#je déteste les boules quies donc si je dois dormir avec tous les jours je vais déménager direct en fait
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EH BAH SUPER
mon voisin a une télé maintenant apparemment
et elle est contre mon mur
joie
#C'EST FORT#genre ça doit pas être super fort pour lui mais moi j'entends comme si j'étais dans la pièce en fait#ça va pas le faire#ça m'a saoulé cette aprem mais là c'est le soir et juste. non#le pire c'est que mon immeuble est séparé en deux avec deux portes d'entrées différentes#et lui est dans l'autre bâtiment#donc je le connais pas‚ je sais pas où il habite exactement dans son couloir#et je sais même pas si je pourrais rentrer dans son immeuble pour me plaindre#j'ai frappé au mur mais soit il entend pas soit il s'en bat les couilles#SUPER#je déteste les boules quies donc si je dois dormir avec tous les jours je vais déménager direct en fait#oui parce que mon lit est contre ce mur pour compléter le tableau. et ma tête est au niveau de sa télé.#lise raconte sa vie
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**Baby Snatcher** - Fin -
dessin de @orgasmesetfantasmes
Les jours qui s’ensuivirent, viennent ternir ce beau tableau. Je ne travaille pas à cette période, j’ai donc toutes mes journées libres, et je mise sur les soirées pour passer du temps précieux avec Zack. Je commence �� ressentir des choses fortes pour lui, j’ai envie de vivre au maximum cette chance qui s’offre à moi. Seulement, lui, c’est différent.
Il travaille d’arrache-pied, sous la chaleur caniculaire, tous les jours. C’est dur et demandant. Il a besoin d’exutoire quand arrive le soir, besoin de substances pour s’évader, besoin de vivre son rêve australien d’une manière différente de la mienne.
A chaque fois, c’est la même rengaine… Il rentre, se douche, dort afin de se préparer pour son rituel. Alcools, weed, H, ecstasy, cocaïne… Le produit est différent selon les soirées. Je suis là, spectatrice de sa défonce. Je suis là, à faire des leçons de morale à un gamin de 20 ans parce que je l’aime. Mes rappels à l’ordre et mes avertissements ne sont que de belles phrases qui rentrent par une oreille et ressortent aussi vite par l’autre.
- Come on beautiful ! laisse-moi tranquille, c’est pour le trip, je ne suis pas un junky. Je veux juste tester. Je suis curieux.
- La curiosité à ses limites, Zack. De la coke… sérieusement tu me déçois…
- Quoi ? tu ne vas pas me faire croire que tu n’en as jamais pris ?
- Crois-le ou non, mais effectivement je ne touche pas à cette merde. Et tu devrais en faire autant !
- Fuck babe, t’es lourde ! laisse-moi vivre ! Ce n’est pas la fin du monde. On est à l’autre bout de la Terre, on est jeunes. Je ne vais pas devenir un addict. C’est juste pour délirer.
- Regarde…fais ce que tu veux, mais si tu prends cette shit ce soir, tu pourras remonter dormir avec tes potes. Je ne veux pas de toi dans mon lit.
- Et voici les menaces… parfait ! j’irai dans ma chambre Mummy ! il part dans son fou-rire, et reprends :
- Could you please bring me a glass of milk mum?
- Go fuck yourself …
- Oh please Babe, ce n’est pas une blague, je te le demande gentiment. Tu peux me ramener un verre de lait ?
- Toi et tes putains de verres de laits à chaque soir, sérieux mais j’en ai ma claque ! Putain de sale gamin de merde ! Va te faire foutre toi, tes potes, tes conneries ! Ton verre de lait carres toi le où je pense tiens…je ne suis pas ton chien.
Bon…J’ai dit tout cela en français tellement vite, qu’il n’a rien compris bien évidemment, sauf le fait que j’étais extrêment furax.
- Babe… je te conseille d’aller te coucher. À ton âge, ce n’est pas bon les crises de nerfs ! s’esclaffa-t-il.
- Arggggh ! Zack shut the fuck up ! Is it enough English for you now ?
On dirait une mère qui engueule son fils parce qu’il n’a pas rangé ses jouets et qu’il fait de l’attitude…je me dégoute.
J’ai le ventre noué, les larmes qui se bloquent, une boule serrée dans ma gorge. Je quitte le patio, prends mes affaires et décide d’aller marcher, seule. Je le hais, je le déteste. Pourquoi je ressens de l’amour pour lui sérieusement, on n’est pas sur le même tempo. Pourquoi je me sens comme une merde encore une fois. Je décide d’appeler Jo, et de la rejoindre. Il veut tester ses limites, pas de problème : Je vais aller tester les miennes à ma façon.
J’ouvre la porte à mes démons de la nuit, verres après verres, je m’oublie et surtout je l’oublie lui et sa stupidité ! En même temps, vu la voie que je choisis pour oublier, je suis consciente de ne pas valoir mieux que lui à cet instant. Je rentre complètement imbibée et titubante au milieu de la nuit. J’arrive au bord de mon lit et…Zack est là, couché à m’attendre :il n’a finalement pas été dans sa chambre. Les larmes montent et coulent. Je me faufile dans les draps, m’empare de ses bras et me blotti sur son torse. Il me donne un baiser sur le front et soupire :
- Sorry babe, je suis désolé. Je m’excuse. J’ai vraiment été un con.
- On a tous les deux été cons…je m’en veux aussi…Serre-moi fort s’il te plaît.
L’étreinte de ses bras, se transforme peu à peu en caresses et baisers. On scelle notre première grosse dispute en faisant l’amour lui et moi, comme si en ne faisant plus qu’un, cela effacerait définitivement la première fêlure de notre couple. Et si seulement…
Arrive alors le message que je redoutais tant. Je reçois un courriel de mes amis de Nouvelle-Zélande, qui eux aussi ont immigrer en Australie. Nous nous étions entendus avant nos départs respectifs de l’île, que nous nous retrouverions à Melbourne, tous ensemble. La date est lancée, noire sur blanc : le 16 mars… dans une semaine et demi…
J’ai la vue qui se trouble, le cœur qui bat fortement et des suées. Je ne sais plus ce que je désire. Sydney, avec Zack ou bien Melbourne avec mes amis…voici les récipiendaires de ma balance du questionnement. Prendre le risque de rester pour quelqu’un que je connais depuis seulement un mois et avec qui j’ai beaucoup de divergences et de différences malgré nos sentiments, où bien laisser derrière moi cette idylle dans une bulle avec un souvenir plus doux qu’amer et rejoindre les gens de confiance qui me supporteront dans les tracas et difficultés de la vie à l’étranger ?
Je ne veux pas prendre cette décision ultime tout de suite. Je ferme mon ordinateur et décide de l’ignorer encore un peu…je préfère prendre mon maillot de bain, et profiter des belles plages de Coogee avec mon baby boy pour la journée.
Ohhh, Coogee, ses vagues, ses surfeurs, son beau sable blanc. Cadre paradisiaque à seulement 15 minutes en bus de notre auberge. Nous sommes un petit groupe à s’être motivé pour aller farnienter sur la beach. Il fait encore trèèès chaud en cette journée d’été et le travail de Zack les a dispensés pour cause de trop forte chaleur. Nous avons donc enfin un moment privilégié ensemble.
Étreinte dans les vagues, jeux d’enfants, batailles d’eau, câlins, baisers sur mon front : je suis bien, je me sens en parfaite harmonie avec lui. J’oublie toutes les disputes de ces derniers jours. Je les efface d’un coup de brosse sur un tableau noir plein de craie. Dès qu’il pose ses yeux sur moi, il a cette force dans le regard qui vient me chercher. Personne ne m’a jamais regardé comme Zack le fait. Je me sens comme un lingot d’or, un trésor, la 8ème merveille du monde. Je suis une étrangeté pour lui, mon accent, ma nationalité, le fantasme de la fille française, et le fantasme de la fille plus âgée. Tout est réuni dans le même chaudron, pour avoir le dessert plus que parfait. Certaines filles de l’auberge ont maintes et maintes fois essayé de le faire plonger dans leurs filets, lors de soirées où je n’étais pas présente à mon grand désarroi. Peine perdue, il n’avait d’yeux que pour sa frenchie et finissait toujours par prendre le chemin de ma chambre pour venir se blottir dans mon lit.
La plénitude qui m’entoure n’est pourtant que de courte de durée, puisque revient au galop l’angoisse du décompte qui me séparera de mon English man. Il faut que j’amorce la discussion, ce soir en rentrant, car je garde égoïstement l’envie de ne pas gâcher ces beaux instants.
Il est 22h30, Zack et moi sommes sur la terrasse du 2ème étage de l’auberge, seuls.
- Beautiful, tu veux un verre de lait ? je vais descendre m’en chercher un.
- Toi et ton lait…comment tu fais pour boire ça par litre sans être écoeuré !
- Et toi, comment tu fais pour détester cela? Le lait c’est bon pour la santé et c’est ce qui me rends fort ! T’en aurais bien besoin, avec tes petits bras de froggie !
Son sourire en coin est de retour et je ne peux m’empêcher de l’embrasser.
- Tu es sûre ? tu ne veux rien ?
- Non merci babe, je suis correcte.
Quelques minutes s’écoulent, où je me retrouve seule sur le balcon, je rumine, je suis nerveuse, je dois amorcer la discussion. Zack revient avec sa pinte de lait au complet. Je pars à rire, mais les larmes me montent aux yeux en simultané. Zack s’interroge.
- What’s going on ‘’chérie’’?
- Il faut qu’on parle Zack…
Je commence à exposer les faits : Melbourne, mes amis, mon départ incertain, mon questionnement, mon hésitation, mes sentiments pour lui. Zack m’écoute, mais ne me regarde plus. Il fixe le ciel étoilé qui nous entoure, avec sa pinte de lait dans les mains.
- Reste…
- Zack…je ne suis pas sûre.
- Reste, please. On est bien ici, tu ne vas pas avoir de difficulté à trouver un job, puis tu peux toujours aller visiter tes amis à Melbourne pour quelques jours et revenir, ici, avec moi.
- Je ne sais plus ce que je veux, c’est juste horrible.
Il se décide enfin à me faire face, s’approche et colle son front à mon front pour laisser plonger ses yeux hypnotiques dans les miens.
- Babe, stay here with me. Melbourne sucks!
- Qu’est-ce que tu en sais ? Tu n’y es jamais allé encore ! Je vais y réfléchir, promis, mais imaginons que je reste, quels sont les plans?
- Les plans? On met du cash de côté, on part en road-trip dans quelques mois, toi, moi et Sy ! on achète une voiture, ou un van. On voyage le long de la East Coast, on se tire tous les trois !
- Ohhh, tous les trois…avec Sy, évidemment où avais-je la tête.
- Babe, tu sais que Sy fera toujours parti du plan, je suis arrivé avec lui, c’est mon ami d’enfance, je ne peux pas le mettre de côté, c’est intraitable.
- Je comprends à 400 % Zack, c’est juste que pour avoir déjà testé ce genre d’équation, je sais qu’il est très rare que la fin soit des plus heureuses pour l’un des joueurs.
- Peut-être, mais là les joueurs ce sont mon meilleur ami et ma copine. Deux personnes que j’aime, qu’est-ce qui pourrait venir ternir le tableau ?
- Justement, c’est toi ! tu ne pourras pas assumer le fait de devoir faire moitié-moitié, car ce sera inévitable ! C’est humain de ne pas pouvoir choisir entre son best-friend et sa chérie. Et pour le coup, une relation de presque 20 ans versus notre relation de seulement un mois et demi…le joueur qui sortira malheureux ce sera certainement moi Babe…je le sais, je le sens, j’en suis sûre et ce, malgré toi j’en conviens. Je dois aussi m’écouter un peu, et arrêter de fonctionner par rapport à un homme. Tu comprends ? Il faut que je quitte Sydney pour suivre mon plan original, sinon j’ai peur de le regretter. On pourra toujours se retrouver quelque part à un moment donné si l’envie se fait ressentir. Ce n’est pas forcé d’être une fin en soi…juste le début de quelque chose de nouveau, pour toi et moi.
Un silence s’installe sur la terrasse, laissant place aux bruits des oiseaux nocturnes volant au-dessus de nos têtes. Zack s’allume une cigarette, reprends une gorgée de sa pinte de lait et se met à soupirer. Il tourne sa tête vers moi et laisse apercevoir des larmes aux coins de ses yeux.
On en est là…le glas vient de retentir, le compte à rebours des heures et des secondes qu’il reste à vivre notre relation est lancé.
- Ok, well…quand est-ce que tu prévois de partir ?
- Je ne sais pas encore, mais mes amis arriveront le 15 mars à Melbourne, donc ce serait aux alentours de cette date certainement.
- La semaine prochaine ?!
- Oui Zack, la semaine prochaine…
Il tire une dernière longue taffe sur sa cigarette, et jette son mégot par-dessus la rambarde et me dit :
- Alors, on a plus une seconde à perdre !
Il m’attrape par la taille et les jambes, me porte comme une princesse jusque dans la chambre et décide de me faire amèrement regretter le choix que je viens de faire…une bonne partie de la nuit.
Le lendemain matin, exceptionnellement, Zack décide de ‘’caller malade’’, et reste toute la journée à mes côtés. Nous sommes au lit, enlacés, et nous jouons à notre jeu favori : ‘’Teach me French !’’ Je décide de sortir ma caméra pour immortaliser ce moment parfait.
- Zack, what time is it ?
- Bonjour, Madame, quelle heure il est ?
- Well done !
- Ma chérie, je te trouve très belle !
- Hahah, good, what’s the other one? ‘’Ma chérie’’ ou bien….
- Ma bébé ? le bébé est très belle !
- Presque ! mais je te l’accorde ! c’est ‘’mon’’ bébé est très ‘’beau ou belle’’.
- Ma chérie est très belle, je veux coucher avec vous ce soir !
- Alors par contre, pour demander de coucher avec moi, bizarrement, tu ne fais aucune faute ! Vous les mecs sans déconner !
- Babe, promets-moi de ne jamais oublier cette journée…Keep in mind I really like you. You’ll be my Baby Snatcher for life.
- Comment pouvoir l’oublier Zack… c’est enregistré pour toujours maintenant, dis-je, en lui pointant du doigt la caméra...
Est-ce que ce fut le véritable point final ?!...je vous donne un indice, en anglais bien sûr :-)
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