#jasait
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et je t'étreins et tu me serres
et zut au monde qui jasait !
— chansons pour elle, ii., paul verlaine
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Elle devait faire gaffe la route sur laquelle elle s'engageait n'avait rien de saine pour son esprit, et pourtant.. Elle devait lutter pour ne pas dormir. Heureusement le travail l'attendait et elle n'aurait pas le temps de flancher. Lorsqu'elle quitta son bureau elle entendit certains murmures et elle soupira. - J'ai des oreilles, si vous avez quoi que ce soit à dire, ne faites pas les dégonflés. Bien sur qu'elle se doutait que ça jasait sur ta présence. Mais il ne s'était strictement rien passé d'incorrect. - Le premier qui balance de rumeurs aura affaire à moi, c'est clair ? Puis elle embarqua John pour rendre une visite à cet individu. Qu'elle trouva dans un bordel. Génial. Deux diners pour toi. Elle se garda cette réflexion pour elle et laissa son officier interroger le potentiel suspect. De loin elle guetta ses réactions. Et, à sa grande stupeur (ou pas) c'était lui aussi un wesen. Une drôle de coïncidence, n'est-ce pas ?
Un nouveau capitaine
@somewhereonthegreensea
En quelques semaines tout avait changé au sein de l'unité de police. On avait nommé un nouveau capitaine, et quelle ne fut pas la surprise lorsque tous découvrirent qu'il s'agissait d'une femme. Sous ses airs de poupée, Gamze était une redoutable combattante. Et elle entendait bien remettre de l'ordre dans la ville. A peine avait-elle investit le bureau que l'un des officiers fit irruption dans son bureau. Il voulait la mettre en garde. Des trucs pas nets se passaient et souvent, trop souvent le nom d'Eric Königberg revenait au coeur des affaires. Hors de questions pour Gamze de se laisser impressionner, même si elle demanda discrètement quelques informations sur ton compte. Elle détermina que sa meilleure option était de se présenter à toi, afin de mettre les choses au clair. Si, pour l'heure elle ignorait pourquoi tu intervenais sur certaines affaires et pas d'autres, Gamze se fit la promesse de découvrir pourquoi. Après qu'on lui ait donné l'adresse de ton cabinet, elle ne perdit pas un instant de plus pour débarquer. Face à la secrétaire, elle montra sa plaque, avec son plus beau sourire. - Bonjour mademoiselle, j'aimerai parler à maître Königberg. Qui le demande ? Le capitaine de police de la ville.
La secrétaire semblait surprise d'avoir affaire à une femme, mais elle ne pipa mot et s'empressa de t'informer de la venue du capitaine Özberk.
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La cascade des Sautets
Les flammes du feu de camp réchauffaient les cœurs après cette journée de marche dans les montagnes. Je demandais alors à mes amis s’ils connaissaient la légende de cette vallée. Un vieux du village m’avait raconté cette histoire de la jeune fille à la robe blanche qui apparaît parfois la nuit par temps clair et pleine lune. La dernière personne à l’avoir vu c’est Antoine le fils du boulanger. Il rentrait d’une soirée chez des amis et se hâtait pour aller allumer le four à pain lorsque elle lui était apparu.
Avant lui beaucoup d’autres hommes du village avaient fait cette rencontre nocturne, même si beaucoup n’avaient jamais osé l’avouer de peur de passer pour des arriérés, des crétins des Alpes…
Mais Antoine lui ne se souciait pas des cancans et autres commérages, il était sûr de ce qu’il avait vu, et avait raconté son aventure à l’assemblée des buveurs de gentiane le soir même au bistrot.
Car il faut noter que ce sont uniquement les hommes à qui cette apparition se révèle, c’est là aussi toute la particularité de cette histoire, d’après ceux qui osent en parler, aucune femme de la vallée n’a jamais eu cette révélation.
Tout à commencé vers la fin du XIXème siècle sous la 3ème république avec l’arrivée du premier instituteur de l’école laïque. Il arrivait de Chambéry avec sa femme et leur petite fille Geneviève qui devait avoir quatre ou cinq ans.
Geneviève était très enjouée et curieuse, sa peau blanche et ses cheveux blonds lui donnaient une apparence gracile et légère. Elle fut bien vite connue dans tout le village et les hommes surtout l’intéressaient particulièrement. Elle aimait bien se faire admirer dans sa belle robe blanche en passant près du banc devant la mairie, où les vieux devisaient en fumant leur pipe, ou saluer les gars attablés aux terrasses des cafés sur la place. Il faut dire qu’elle n’était pas comme les autres enfants du village et même si elle jouait parfois avec eux, elle aimait beaucoup être seule, explorer les ruelles ou aller au début des alpages aux beaux jours. Elle s’asseyait dans l’herbe tendre, cueillait des fleurs pour sa mère, parlait aux vaches qui ruminaient là paisiblement dans les patûres.
Le temps avait passé, et maintenant Geneviève, que tout le monde avait fini par surnommer Miette, car c’était plus court et délicieux, Miette donc, devenait une belle jeune fille, presque une femme.
Il était facile de se rendre compte que tout ce que le village comptait d’hommes jeunes ou moins jeunes n’avaient d’yeux que pour sa beauté enchanteresse. Même s’ils se voulaient discrets, la tentation était irrésistible de jeter un coup d’œil sur ses belles courbes, ses hanches, son décolleté et ses yeux bleus intenses. Ils étaient comme ensorcelés par sa beauté éclatante.
Les jeunes blanc-becs, le François, le Pierre et les autres, en rêvaient la nuit dans les moments agités et tendus par leur virilité naissante. Le soir venu, les pères de famille fantasmaient tous un peu en pensant à elle en se retournant sans bruit sur leurs oreillers pour ne pas réveiller leur matrone qui ronflait auprès d’eux. Les papy sur le banc se sentaient rajeunir dans leurs vingt ans lorsqu’elle passait devant eux et leur décochait son sourire éclatant.
Mais Miette ne s’en souciait guère, toujours absorbée dans ses pensées, vivant dans son monde fantastique, celui de la montagne, des alpages, des troupeaux, des bêtes sauvages, des insectes et des fleurs.
Lorsqu’il y avait fête au village, pour la St Jean ou pour la fête de l’Automne à la fin des récoltes, lorsque le violoneux les faisaient danser toutes et tous, nombreux étaient ceux qui se pressaient pour l’inviter pour un quadrille ou une valse. Ce n’était pas pour la gêner, elle adorait danser et acceptait volontiers, dansant et dansant encore jusqu’à ce que la dernière note s’évanouisse au fond de la vallée dans le creux de la nuit.
Pourtant un seul jeune homme n’avait jamais osé lui demander une danse, même s’il en mourrait d’envie, c’était Valentin, le fils du forgeron. Valentin c’était le bossu du village, celui qu’on montrait un peu du doigt, la cible des railleries. Petit garçon il avait eu un grave accident lorsque travaillant avec son père, il s’était retrouvé coincé sous une charrette qui avait vacillé de son support qui s’était dérobé alors que son père en recerclait la roue. Après des mois de souffrance et de convalescence il s’en était sorti, mais avec cette infirmité qui lui donnait cette démarche courbée et légèrement inclinée sur le côté gauche. Sinon c’était un garçon aux traits fins et aux cheveux clairs avec un regard doux et sensible. Tout le contraire de son père, l’homme au torse velu qui bâtait le fer rouge avec son énorme marteau, ce qui lui avait sculpté un corps musculeux de gladiateur. Il tenait sans doute plutôt ça de sa mère, une femme discrète qui occupait la fonction de couturière auprès des femmes de la bourgeoisie locale.
Timidement Valentin s’était rapproché de Miette et elle avait accepté qu’il l’accompagne dans ses randonnées en dehors du village ; ils aimaient tous les deux musarder dans les alpages, patauger dans l’eau glacée des torrents,s’allonger dans l’herbe tendre et regarder les cimes des grands pins qui se perdaient dans l’immensité bleue d’un ciel d’été qui ne finirait jamais.
Cette complicité ne plaisait pas à tout le monde, et surtout pas aux autres garçons de leur âge à qui Miette n’accordait pas les mêmes faveurs. Sans doute Miette n’était pas naïve malgré la légèreté apparente dont elle faisait montre et son instinct de femme lui avait fait comprendre que certains hommes cachaient quelque chose de malsain derrière leurs sourires forcés lorsque leurs regards se croisaient.
Alors elle fréquentait de moins en moins la place et les ruelles, et préférait se réfugier plus loin dans les alpages. Elle avait obtenu du vieil Isidore la permission d’aller dans son chalet qu’il n’utilisait plus depuis que le grand âge l’avait cloué dans son lit à la ferme des Montets. Miette en avait fait son refuge et elle y passait de plus en plus de temps, après la classe, durant le congé de fin de semaine ou pendant les vacances.
Ses parents n’y avaient pas opposé de résistance, car leurs valeurs éducatives progressistes de gens de la ville avaient penché en faveur du besoin de liberté de leur jeune fille qui était presque adulte maintenant.
Et c’est ainsi que Miette en était arrivée à se rapprocher de la vie paysanne, tant et si bien que Albert, le fils d’Isidore, avait accepté de l’employer pour s’occuper du troupeau à l’estive. Et au fil des saisons elle avait su s’imposer comme une vraie fille de la montagne, de plus en plus aguerrie aux travaux agricoles, les fenaisons, les récoltes, la garde du troupeau, elle savait maintenant toutes les pratiques nécessaires à la vie montagnarde.
De son côté, Valentin travaillait à la forge avec son père, et tout en frappant le fer rougeoyant il se prenait à rêver de l’alpage et du chalet de Miette. Quand il avait un peu de temps libre il partait la rejoindre pour quelques heures. Leur connivence était restée la même que pendant leurs plus jeunes années, Miette l’accueillait toujours avec son beau sourire, elle lui préparait une infusion des plantes sauvages qu’elle avait glanées dans la montagne et dont on disait tant de bien des vertus et des soins qu’elles savaient prodiguer à ceux qui prenaient le temps de les découvrir.
Miette descendait de moins en moins au village, et Valentin montait de plus en plus souvent au chalet, et de quelques heures ses visites s’étaient parfois allongées jusque tard le soir et on l’entendait parfois au milieu de la nuit refermer la lourde porte de la forge le plus discrètement possible. Certains prétendaient même l’avoir vu redescendre seulement au petit jour juste pour reprendre sa place au soufflet de la forge. Ça jasait, on en parlait dans les cafés, sur le banc de la mairie, autour des tables familiales. Comment le bossu avait-il pu s’attirer les graces de la petite ensorceleuse de l’alpage ? Oui, sans doute cette fille était un peu étrange, elle si belle et lui si bossu ce n’était pas ordinaire.
Les jalousies se développant comme la moisissure au milieu d’un cageot de vieilles pommes, bientôt tout le village n’avait de mots que pour cette liaison contre-nature.
Le forgeron avait bien essayé de dissuader Valentin de retourner là haut, de rompre cette relation avec cette petite perverse, il ne s’attendait pas à la réaction virile de son fils qui malgré son handicap lui avait montré combien il était homme et prêt à le prouver.
L’instituteur et sa femme n’avaient pas dérogé à leurs principes, et exprimaient clairement à ceux qui en auraient douté, que leur fille était maintenant une jeune femme libre, une fille de la République, une femme émancipée, et qu’ils n’avaient pas à lui dicter sa conduite.
Mais l’idylle de Miette et Valentin fut de courte durée. Les tensions, les rancœurs et la bêtise humaine faisant leurs œuvres dans les cerveaux agités des villageois, bientôt tous avaient quelque chose à dire ou à médire de cette situation. A la fin de cet été, la chaleur était devenue insupportable, le soleil brûlait les alpages, asséchait les torrents, la canicule commençait à mordre de ses crocs les résistances nerveuses des montagnards les plus coriaces.
Bientôt la fontaine sur la place ne coulait pratiquement plus et cela faisait encore plus s’échauffer les esprits et grandir une angoisse sournoise dans la population.
Seuls Miette et Valentin semblaient épargnés, passaient au travers de cette peur collective, car le petite source qui alimentait leur chalet coulait encore, et leur vie n’avait semble-t-il pas été bouleversée par les affres de cette météo infernale.
Alors, comment tout cela est arrivé est encore mystérieux, mais fatalement seule une catastrophe pouvait mettre un terme à cette situation, il ne pouvait pas en être autrement.
C’est ainsi qu’un matin on découvrit le cadavre du bossu au fond d’un fossé à l’entrée du village. Personne ne savait ce qui avait bien pu se passer, qui avait osé finalement s’en prendre à lui, mais tout le monde soupçonnait tout le monde, son père, son frère, son voisin. De fait personne n’osait en parler, les regards se faisaient fuyants et sombres. Mais comme il est de coutume, tout le village fut quand même présent à l’enterrement du pauvre jeune homme, tout le village se rassemblât à l’église pour la messe des obsèques, et l’on pouvait sentir la chape de plomb qui écrasait cette foule de toute la culpabilité qui l’envahissait. La foule qui restât tout aussi silencieuse et grave autour du trou dans lequel le cercueil fut descendu. Au moment où l’on mettait la dernière pelleté de terre à la tombe, Miette se retourna vers les villageois silencieux, les regarda intensément, tous pensèrent qu’elle allait leur dire quelque chose, mais elle se retourna simplement et disparu aussitôt en direction de son chalet.
Chacun rentra chez soi, le mystère de la mort du bossu restait non résolu, la canicule continua à faire souffrir les corps et les âmes plusieurs jours, les récoltes furent mauvaises, l’Automne qui suivit fut pourri de pluies diluviennes. Chacun luttait pour survivre à l’entrée de l’Hiver, et personne n’avait remarqué immédiatement que Miette avait disparu elle aussi.
C’est le vieil instituteur qui en fit la révélation lors-qu’après plusieurs jours sans nouvelles de sa fille il était monté jusqu’au chalet. Il avait trouvé la porte entre-baillée, l’intérieur rangé, propre et désespérément vide. Il demanda l’aide des hommes du village pour organiser les recherches, il battirent la montagne, ils ne retrouvèrent jamais la trace de Miette.
Ce n’est qu’un peu avant Noël de cette année là que la première apparition eu lieu. Hector le charpentier rentrait d’un hameau éloigné du village où il travaillait à la réfection du toit d’une grange, il faisait très froid ce soir là, un froid sec qui glace le visage, la pleine lune était bien ronde et lumineuse dans son dos, au dessus de la crête des montagnes, il forçait l’allure pour rentrer au plus vite.
Soudain, près de la cascade des Sautets, alors que l’ombre des pins sous la Lune prenait de la profondeur, que le chemin se faisait soudain plus sombre, il fut aveuglé par une lueur blanche devant lui qui semblait flotter dans l’air ; Miette était là devant lui dans sa plus belle robe blanche, il fut saisi de stupeur et se figea incapable d’avancer. Miette le regardait fixement de ses yeux bleus clairs qui brillaient comme des torches et elle lui dit d’une voix cristalline qui résonnât dans le fond du vallon « Je trouverai celui qui m’a enlevé Valentin, il ne reposera jamais en paix ». Puis il y eut comme un éclair, Miette avait disparu, tout était étrangement calme et silencieux. Hector couru jusqu’au village et arriva chez lui hors d’haleine, à bout de souffle. Il ne parla d’abord à personne de sa mésaventure, mais souvent la nuit il était hanté par ce cauchemar, Miette flottait au dessus de son lit dans sa robe blanche. Comme lui beaucoup d’hommes du village firent la même rencontre, mais aucun n’osait en parler de peur de s’attirer la vengeance de Miette. Pourtant, au fil du temps il se chuchota ici et là que les hommes de ce village étaient envoûtés par la jeune fille à la robe blanche, et qu’ils n’auraient de tranquillité que le jour où l’on éclaircirait le mystère de la mort de Valentin.
Toute cette histoire est bien ancienne maintenant, sans doute qu’il ne faut pas trop accorder plus d’importance à ces croyances d’un autre temps, même si certains prétendent encore qu’il vaut mieux ne pas traîner du côté de la cascade par les nuits de pleine Lune.
C’est ainsi que je terminais de raconter cette histoire à mes compagnons, autour du feu de camp, sous un ciel clair illuminé d’une magnifique pleine Lune, au pied des montagnes silencieuses, alors que l’on n’entendait plus que le chant de l’eau à la cascade des Sautets juste à côté de notre campement.
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« Nouvelles en trois lignes » - Félix Fénéon - Le Matin, mai-novembre 1906 (suite)
Boulevard Carnot, au Vésinet, une automobile a attaqué à toute vitesse un troupeau de moutons. Trois moururent.
M. Jules Kerzerho présidait une société de gymnastique, et pourtant il s’est fait écraser en sautant dans un tramway, à Rueil.
Prenant au mot son état civil, Mlle Bourreau a voulu exécuter Henri Bomborger. Il survivra aux trois coups de couteau de son amie.
C’est au cochonnet que l’apoplexie a terrassé M. André, 75 ans, de Levallois. Sa boule roulait encore qu’il n’était déjà plus.
À Trianon, un visiteur s’est dévêtu et s’est couché dans le lit impérial. On conteste qu’il soit, comme il le dit, Napoléon IV.
Debout sur le seuil, la modiste Rudlot, de Malakoff, jasait avec un voisin. À coups de barre de fer, son sauvage mari la fit taire.
Le valet Silot installa, à Neuilly, chez son maître absent une femme amusante, puis disparut, emportant tout, sauf elle.
Congédié mardi par son patron, le 13 ans Godillot, de Bagnolet, n’aura pas osé reparaître au logis. Enfant, rentre : on t’y attend.
« Mourir à la Jeanne d’Arc ! » disait Terbaud, du haut d’un bûcher fait de ses meubles. Les pompiers de Saint-Ouen l’en empêchèrent.
Un chasseur de Tessancourt a contraint sa femme et le quidam à attendre sur la couche adultère (3 heures) le gendarme constatateur.
Quatre fois en huit jours la fille de ferme Marie Choland a mis le feu chez son fermier. Maintenant elle incendiera la prison de Montluçon.
Couderc, du 129e au Havre, voulut se faire réformer pour surdité. En vain. Alors il se suicida.
Encore quatre ans et M. Renard, de Verrières, était octogénaire. Mais il souffrait trop de sa maladie de cœur. Il s’est suicidé.
Encapuchonnée de sa robe, car il pleuvait dru, Mme Rossy, de Levallois, n’entendit pas venir le fiacre électrique qui l’écrasa.
Derrière un cercueil, Mangin, de Verdun, cheminait. Il n’atteignit pas, ce jour-là, le cimetière. La mort le surprit en route.
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2022-10-07 Fleuve
J'écoute toujours une émission. Ou des films. Ou des streams. Au printemps, j'ai commencé à m'arrêter au café du quartier. D'abord juste pour l'ambiance (la fille aussi était cute. Je ne l'ai plus jamais revue), puis pour lire. Ça faisait un bout que j'avais pas lu autant. Pendant une semaine, tous les matins avant mon quart de midi à 20h, je lisais 1-2 heures. Un roman, quelques comics books. Plus tard, mon horaire faisait en sorte que j'avais pas le temps de prendre deux heures pour lire avant mon quart. Je me suis remis à écouter des streams, des émissions. Depuis juillet, j'ai commencé à streamer moi aussi. Ça a pris de mon temps, de mon intérêt. La dernière fois que j'ai lu, ça remontait à la mi-juin, quand j'étais au chalet de mon oncle, après la mise en terre des cendres de ma mère, sa sœur. Je lisais «Terres et forêts » d'Andrew Forbes. Ça fitait avec l'ambiance chalet. Mon oncle me tenait occupé. C'était cool, on jasait énormément. Mais je ne lisais plus.
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Hier, un fellow instagramer a publié une photo d'un album d'Adrian Tomine, un artiste californien publié chez Drawn & Quarterly que j'aime beaucoup. Son style me rappelle quelque part entre Daniel Clowes (dans le visuel et les histoires) et Raymond Carver (dans les histoires et les dialogues). Je suis sorti en ville pour voir le film Niagara (dans lequel joue François Pérusse) et j'ai commencé à lire «Sleepwalk» de Tomine dans le métro, plutôt que de juste scroller à l'infini sur Facebook sur mon cell comme je fais toujours. Ça m'a fait du bien. Un, de lire, deux, de lire quelque chose de bien fait, trois, pas des longues histoires, des trucs très très courts. L'automne amène cet esprit de froid, d'incertitude. J'ai ressenti ça dans la plupart des récits.
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J'ai passé la semaine à écouter les Sopranos. J'ai arrêté un épisode au quart à l'instant pour me pieuter en continuant ma lecture. Je ne peux pas ignorer ce sentiment de plénitude, pendant que joue l'album «The Man who died in his boat» de Grouper. Je pense à ma mère, je pense à elle tous les jours. Tous les jours, c'est différent. Je pense de plus en plus à mon père, s'il va mourir de nulle part. Je pense à toutes mes tantes à qui j'ai promis de les appeler ou de les visiter. Je pense à mon meilleur chum que j'ai pas relancé depuis des semaines, parce que anyway, il ne répond pas, ou peu.
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Comme à chaque fois que je vois de la thérapie dans une série télé, j'ai envie de reprendre la mienne, sans savoir si ça serait vraiment nécessaire. | Ça fait au moins un mois qu'à toutes les nuits, je fais des rêves intenses. J'avais l'habitude de les noter à mon réveil quand j'en avais. Mais comme des animaux sauvages, on dirait que si je les chasse avec mes notes, ils fuieront. Alors je les laisse se promener dans ma tête. J'ai rêvé qu'on devait greffer un poumon à ma mère, malgré l'état de sa colonne. J'ai rêvé de mon ami atteint de cancer avec sa voiture sport qui s'excusait d'emprunter l'autoroute jammée. J'ai rêvé de Salammbô, qu'on parlait comme avant.
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I miss talking to people. J'ai pas souvent parlé avec l'intérêt qui me ferait vibrer. Souvent on parle de projets désirés, ou de banalités. J'ai les lèvres qui tremblent, les doigts qui font des spasmes. Je devrais pas, mais je n'arrête pas de fumer. Les voix des femmes que j'entends me semblent si douces, mais j'en suis incapable d'en assumer leur présence chez moi, et ce même si je passe toujours deux fois la moppe avant de sortir, dans la prévision qu'une personne revienne avec moi ce soir-là.
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I miss people. I miss therapy. J'ai l'argent, et le temps. Y'a juste moi, ma personne, qui se met dans le chemin. Pis j'ai pas envie de la déranger, cette personne, de dos, dans le cadre de porte, qui prend sa poffe avec son café. Je suis cette personne que je ne suis pas, dont les gens disent du bien. J'aimerais que ces gens voient la personne derrière qui est incapable de bouger.
== https://www.instagram.com/p/Cjb4PamIB42
©Jean Derome Vendredi 7 octobre 2022, 21h57 (voir aussi le texte en commentaire pour les lectures de Tomine et Hartley Lin: https://www.instagram.com/p/CjqZpL_rW64/ )
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*Rhapsodie des Réalités pour les jeunes «Voix d’Ados»*
Édition: Français Canada
*Pasteur Chris Oyakhilome PhD*
Mercredi 9 mars 2022*
*AUGMENT TA CONNAISSANCE*
*(Comment augmenter la gloire de Dieu dans ta vie tous les jours)*
📖 *QUE DIT LA BIBLE?* *Colossiens 3:10 AMPC traduit*
_*«Et vous vous êtes revêtus du nouveau [moi spirituel], qui est [toujours en train d'être] renouvelé et remodelé en [une connaissance plus complète et plus parfaite sur] la connaissance à l'image (la ressemblance) de Celui qui l'a créé.»*_
⊶⊷⊷⊷⊶⊷⊷
▶️ *SI ON JASAIT!*
Colossiens 3:10 nous fait savoir que la nouvelle création dans le Christ est constamment renouvelée et rafraîchie par la connaissance de la Parole de Dieu. Le mot «connaissance» est le grec «epignosis», se référant à la connaissance complète et absolue, donc plus tu as de connaissance de la Parole de Dieu, plus Sa gloire augmente dans ta vie! Ça augmentera la grâce de Dieu dans ta vie; ton efficacité et ton rendement augmenteront aussi.
Colossiens 3:16 AMPC* dit: «Que la parole [prononcée par] Christ (le Messie) ait sa maison [dans vos cœurs et vos esprits] et habite en vous dans [toute sa] richesse, alors que vous enseignez, exhortez et formez les uns les autres en toute perspicacité, intelligence et sagesse [dans les choses spirituelles, et pendant que vous chantez] des psaumes, des hymnes et des chants spirituels, chantant la mélodie de Dieu avec [Sa] grâce dans vos cœurs.» Ça signifie que tu devrais avoir la Parole de Dieu en abondance dans ton esprit. Pendant que tu étudies la Parole, médite-la et laisse-la te donner un nouvel état d'esprit! Ça rendra ta vie plus glorieuse.
Tu portes la gloire de Dieu dans ton esprit, et cette gloire peut augmenter; elle peut être plus forte et produire de meilleurs résultats à mesure que tu augmentes ta connaissance de la Parole. C'est ce que l'Apôtre Pierre voulait dire quand il a dit: «Grâce et paix vous soient multipliées par la connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur» (2 Pierre 1:2).
🎯*FOUINONS*
2 Corinthiens 3:9; 2 Corinthiens 3:18
🗣 *AFFIRME ÇA*
Cher Père, je te remercie pour la joie et les bienfaits d'étudier et de méditer ta Parole. La gloire de ta Parole est révélée et manifestée dans ma vie, alors qu'elle me transforme, provoquant la multiplication de ta grâce et de ta paix dans ma vie, m'apportant faveurs et bénédictions, au Nom de Jésus. Amen.
📚*TA LECTURE DU JOUR*
*UN AN*
Marc 14 :1-26, Nombres 24-26
*DEUX ANS*
Matthieu 21:18-32 Exode 18
▶️ *PASSE À L’ACTION*
Prends le temps d'étudier, de mémoriser et de méditer sur 2 Corinthiens 3:18.
✍️ *MES NOTES*
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Altruisme vs Égoïsme
On jasait cette semaine avec des amis que la perte d’identité d’un peuple est peut-être une des raisons pourquoi les gens s’investissent de plus en plus sur eux même plutôt qu’au sein de leur communauté. J’imagine qu’un groupe comme les Québecois dont le tissu social s’effrite n’a plus la même volonté de s’impliquer auprès des autres, la société n’ayant plus la même capacité à rassembler ses…
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Noémie* - Ça s'est passé il y a une douzaine d'années. J'étais à un party chez un ami à Verdun (je crois). Au cours de la soirée, je me suis retrouvé seul dans les toilettes avec Noémie. On jasait et j'esperais qu'il se passe quelque chose entre-entre nous, juste là! Eh bien non. Elle sortie de la toilette, me laissant sur ma faim. Croyant qu'elle eût mal compris mes intentions, j'ai une la superbe idée de lui donner une tape sur les fesses. Méchante erreure de justement et clairement macho. Dans d'autres circonstances ou pour une autre personne, ça pourrait être considéré comme une agression sexuelle. Surprise et outrée, elle m'a évité le reste de la soirée. Je l'ai revue quelques années plus tard dans un bar sur St-Denis avec le même groupe d'amis. Ma présence le rendait clairement mal-à-l'aise et c'est à ce moment que j'ai réalisé l'ampleur de mon geste. Je ne l'ai pas revue depuis, mais lui dois toujours des excuses.
*NF
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Le cercle des canailles, tome 1 : Le flambeur
Une chronique sur le premier tome d'une série de romances historiques écrite par Sarah MacLean. Résumé : Dix ans auparavant, le Marquis de Bourne a été chassé de la haute société, ne gardant que son titre. Désormais l'un des associés des plus fameuses tables de jeux de Londres, le froid et dur Bourne fera tout pour regagner son héritage - y compris épouser la parfaite Lady Penelope Marbury. Des fiançailles rompues et des années à se faire gentiment courtiser ont laissé Penelope avec peu d'intérêt pour un mariage confortable... et le désir de quelque chose de différent. Quelle chance que son nouveau mari ait accès à toutes sortes de plaisirs inexplorés ! Bourne est peut être un prince de l'ombre dans Londres, mais il a juré de tenir Penelope éloignée de ses faiblesses - un défi bien difficile à relever lorsque la lady découvre ses propres désirs et est prête à tout pour les réaliser... même à parier son coeur. Mon avis : Je voulais une petite lecture tranquille et j'ai opté pour celle-ci : les romances sont souvent des lectures plutôt sympathiques et faciles à lire. Je ne m'attendais pas à quelque chose d'extraordinaire, je me suis dit que ce serait comme d'habitude, c'est-à-dire cliché au possible. Hé bien, j'avais à moitié tort, oui c'est vrai que c'est parfois assez cliché mais en fait, il y a des petites touches d'originalité qui font que j'ai très bien accroché à l'intrigue. Tout commence quand le Marquis de Bourne perd son héritage. Il refait fortune en l'espace de dix ans mais pendant ces dix ans son envie de vengeance a fait qu'il est devenu un homme froid, orgueilleux, complètement obsédé par son envie de regagner son héritage et notamment le château de ses ancêtres. C'est là qu'entre dans l'histoire Pénélope, une femme qui a perdu son honneur lorsque son fiancé l'a quitté pour épouser une autre - hé oui, ça paraît incroyable mais nous sommes au XIXe siècle : époque où la bonne société jasait beaucoup et où les femmes n'aspiraient qu'à trouver un mariage stable avec un homme noble de préférence. J'ai détesté Bourne au début : ce n'est qu'un homme prétentieux et égoïste. On lui dirait bien un coup de poing ou deux au visage. Aucune once de compassion ou de pitié, rien du tout, un vrai coeur de pierre. J'ai donc eu beaucoup de mal à l'apprécier. Heureusement, ça a un peu changé quand il a commencé à se montrer un peu plus charmant. Quant à Pénélope, c'est une femme que j'ai trouvée un peu effacée au début du livre mais qui s'affirme de plus en plus jusqu'à tenir tête à son mari et c'est pour ça que je l'ai appréciée. Elle fait toujours bien attention à paraître "bien" aux yeux de la société et en même temps, elle veut profiter de sa vie et découvrir des choses inédites. C'est une femme plutôt libérée pour l'époque. En revanche, les personnages secondaires sont très peu mis en avant : les soeurs de Pénélope n'apparaissent pas beaucoup. Les associés de Bourne un peu plus mais pour des petits rôles seulement. L'intrigue est assez classique : une femme qui aime, un homme qui ne veut pas aimer et puis finalement, révélation et tout le monde s'aime. Ca ne m'a pas empêchée de bien aimer l'intrigue tout de même grâce à cette ambiance que je n'ai pas trouvée dans d'autres romances : une ambiance un peu en marge de la société puisque Bourne tient une maison de jeu et a plutôt mauvaise réputation. C'est loin d'être une relation qui se construit très convenablement comme on peut en trouver dans les romans de Jane Austen par exemple, ça donne une ambiance un peu plus exaltée mais carrée, moins "propre". En conclusion, un livre très sympathique à lire, peut-être un peu classique parfois mais avec sa touche d'originalité qui lui donne un certain charme et un certain intérêt.
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Te souviens-tu quand la nuit, parfois quand on était pas couchée ni une ni l'autre, on s'assisait dans le salon, il était 2h du matin, mais peut importait. On jasait de tout et de rien, de choses sérieuses ou d'annecdotes qui nous fesait rire.
J’adorais ces moments là tu sais? C'était spécial, même si c'était bien banal. J'aurais voulu que ces moments dure plus longtemps, qu'on parle de pleins de choses encore. J'ai encore des choses à te dire, à te demander, je veux encore réentendre l'histoire de ma vie de tes yeux, je veux réentendre encore tes vielles anecdotes de jeunesse qui me fesait rire ou qui me fascinait. Je veux encore réentendre ta voix et ton rire, ça me réconfortais.
J'écris ces lignes en pleurant, parce que c'est ce que je sais faire de mieux depuis que tu n'es plus là..
Mais, tu me manque terriblement, ça me fâche tellement de pas pouvoir te parler, te raconter mes histoires, mes potins, te poser mes questions et faire des blagues avec toi.
Je m'ennuie de tout, même les choses les plus banale comme aller à l'épicerie avec toi, quand tu me soupliais de t'y accompagner..
T'avoir juste dans ma tête me suffit pas, j'ai besoin de te voir de mes yeux et de te prendre dans mes bras, ça fait si longtemps. J'aurais besoin de ton réconfort que nul autre peut me donner. Genre maintenant ...
Tu le sais tu au moins que j'ai mal? Que j'y pense trop souvent, oui encore aujourd'hui, mais comment ne pas y penser ?
J'ai perdu le lien le plus cher de toute ma vie, celle d'une mère..
Je m'ennuie que quelqu'un de random passe et nous dise, "ouin c'est fou à quel point tu ressemble à ta mère toi!"
Je sais que ça arrivera plus jamais..
Je m'ennuie de nos matins où occasionnellement, on allait déjeuner ensemble juste toi et moi...
Pourquoi t'avoir enlever de ma vie alors que j'ai tant besoin de toi?
Bonne nuit, je taime
Je m'ennuie tellement..
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Pourquoi il faut ignorer les notes et les points sur le vin
Pourquoi il faut ignorer les notes et les points sur le vin
“Ce vin est exceptionnel car il a obtenu 94 points de la part de Robert Parker…” “Wine Spectator lui a donné 98 points…” “Ce vin rouge a reçu 5 étoiles de la part de Decanter…”James Suckling a décerné 92 points à ce magnifique Bourgogne…” Oui ? Et alors ? Achetez-vous vraiment du vin en fonction des points donnés par d’autres personnes ? Et si on en jasait un peu…
Par Frédéric Arnould (lefred@tou…
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Et si on jasait de modèles d'emploi pyramidal... Il y a 3 modèles: Le vôtre Le mien L'illégal Le vôtre (pyramide blanche): EMPLOI DE 9 À 5 EN ENTREPRISE Vous commencez en bas et c'est vos supérieurs qui décident de votre salaire et votre avancement. Vous ne pouvez pas gagner plus que vos supérieurs. L'illégal (pyramide rouge): Vous payez pour rejoindre la pyramide, il n'y a pas de produits ou services défini et vérifiable, vous devez convaincre des gens de payer aussi pour se joindre à l'opportunité. On vous fait miroiter des gros montants mais, vous ne connaissez personne qui en a encore bénéficié et seuls ceux au 🔝 s'enrichissent. Le mien (pyramide verte): Le MLM... 100% LÉGAL (T4 annuel) C'est VOTRE franchise d'une compagnie qui offre un produits de qualité et l'opportunité de travailler à votre compte. C'est exactement comme un EMPLOYEUR FRANCHISÉ (sans local et frais supplémentaires): Vous faites de la promotion, vendez des produits à votre clientèle et offrez de nouvelles franchises à ceux qui veulent RÉALISER leurs rêves comme vous. Vous êtes payé en commissions sur vos ventes ET celles de votre équipe de franchisés en plus des BONUS d'équipe et d'avancement. ET OUI 😉 Vous POUVEZ gagner plus que la personne qui vous a présenté l'opportunité et la SEULE personne responsable de votre avancement c'est VOUS... #itworksadventure #ItWorksOpportunity #OpportunitéItWorks #LiveYourDreams #itworks #vivezvosreves #Travailadomicile #workfromhome #freedom #beyourownboss #byob #bossbabe #becauseofitworks
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Découvrez le parcours de Roz Morris
Vous êtes-vous déjà demandé comment vos auteurs préférés sont devenus écrivains ? Voici une histoire qui devrait vous intéresser.
Roz Morris est connue pour ses fictions littéraires, oscillant entre la science-fiction et la fable. Elle qui a longtemps écrit pour les autres en tant que nègre est désormais une auteure accomplie. En parallèle de cette activité, elle donne des cours de création littéraire pour le journal The Guardian à Londres ainsi que des cours d'écriture en ligne. Et si elle vous en parlait elle-même ?
« J'ai toujours aimé lire et j'ai toujours écrit. J'étais une gosse timide qui ne parlait pas beaucoup à voix haute, mais je peux vous assurer que ça jasait dans ma tête. J’inventais des histoires en permanence !
Mes romans commencent toujours par une idée étrange. Et si une personne était hypnotisée et expérimentait une vie différente ? Et si, au lieu de retourner dans le passé comme on a l’habitude de le voir, elle avait assisté à des scènes de son avenir ? Cette idée s’est ensuite transformé en livre : My memories of a future life. Mon deuxième roman a également commencé avec une idée sortie de nulle part. Et si, dans les décennies à venir, toute forme naturelle avait disparu et nous vivions dans un monde régi par la technologie ? Et si quelqu'un vivant dans ce monde artificiel rêvait qu’il montait à cheval ? Ce questionnement étonnant est devenu Lifeform Three.
Ces idées me frappent de plein fouet même si, comme les rêves, je n’en saisis pas toujours le sens. J'écris alors des tonnes de notes, de longs essais secrets. De ce travail préalable, les personnages émergent. Quand je suis enfin prête, je planifie chaque scène sur des petites fiches, je les étale sur la table à manger, je les mélange.... Puis vient le texte.
Je crois que la réécriture est essentielle pour écrire un bon livre. Les livres à succès ne sont pas juste une chaîne de mots bien choisis ; ils sont aussi un mécanisme complexe que l’auteur met au point pendant des mois de travail. Le meilleur conseil que je pourrais donner à un écrivain en herbe est d'apprendre comment évaluer son travail de façon critique. »
Avis à tous les anglophones désireux de lire les romans de Roz, c’est par ici !
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Unsere Rubrik “5um5” liefert jeden Tag um Punkt 5 Uhr insgesamt – wer hätte das gedacht – 5 wissenswerte Fakten, bahnbrechende Tipps oder hanebüchene Anekdoten rund um ein startupaffines Thema. Heute geht es um: 5 Investorinnen, die jeder Gründer kennen sollte. Frauen sind in der Venture Capital-Welt noch immer selten. Aber auch in der Welt der Millionen-Investment gibt es immer mehr Frauen, die jeder Gründer kennen sollte. Kiana Mardi Kiana Mardi ist Investment Manager bei Alstin, einem noch jungen Geldgeber aus dem Umfeld von AWD-Macher und DHDL-Löwe Carsten Maschmeyer. Zuvor baute Mardi das Start-up Glamloop, eine Plattform für Second Hand-Klamotten, auf. Die Jungfirma wurde 2014 vom Hamburger Wettbewerber Rebelle übernommen. Davor war Mardi bei Rocket Internet tätig – etwa bei eDarling (Interim Management) und zalando (New Business Development / Head of Business Development). Iris Ostermaier Iris Ostermaier verstärkte im Juni dieses Jahres den Münchner Venture Capital-Geber Target Partners. Ostermaier leitet zuvor über sechs Jahren das ehemalige Target Partners-Investment 1-2-3.tv. Davor war sie CFO beim Online-Auktionshaus Swoopo sowie bei Euvia Media. “Ich habe Target Partners in der langjährigen Partnerschaft als Venture Capital-Investor kennen und schätzen gelernt. Ich freue mich, die Zusammenarbeit in neuer Form weiterzuführen”, sagte Ostermaier vor wenigen Wochen zu ihrem neuen Job. Daria Saharova Daria Saharova führt seit einigen Monaten Vito One. Die Wahl-Münchnerin war zuvor Principal bei Vito Ventures, Investment Managerin bei SevenVentures und Associate bei KMC Capital bzw. Holtzbrinck Ventures. Zudem sammelte sie Erfahrungen als Gründerin von Bellegs. Die Geldgeberin freut sich mit Vito One in Unternehmen aus den Segmenten IoT, Energie und PropTech zu investieren. Im Portfolio von Vito One befindet sich neben Home und optionspace bereits gridX. Romy Schnelle Romy Schnelle ist Investment Director und Prokurist beim High-Tech Gründerfonds (HTGF). “Ich kam aus meinem eigenen Tech Start-up, welches ich gemeinsam mit Fraunhofer und Prof. Brandenburg, mp3-Erfinder, gegründet hatte und im Rahmen des Unternehmensaufbaus VC-Gelder akquiriert hatte. Und schon hatte ich Blut geleckt, wollte meine Start-up-Erfahrung teilen und aber auch lernen, wie erfolgreiches VC geht”, sagt sie kürzlich im Interview mit deutsche-startups.de über ihren Werdegang. Franziska Schaefermeyer Franziska Schaefermeyer ist seit 2012 Investment Managerin bei Tengelmann Ventures und ist beim bekannten Geldgeber mitverantwortlich für die Impact Investing Aktivitäten der Tengelmann Social Ventures. Vorher arbeite sie im Bereich Marketing und Vertrieb – unter anderem bei Materna, Bertelsmann und initiierte einen Business Plan Wettbewerb mit. Schaefermeyer studierte Betriebswirtschaft an der Universität Göttingen und in San Sebastián. Sie absolvierte noch einen MBA an der Hochschule für Wirtschaft und Recht Berlin. Bonus: Milda Jasaite (Earlybird Venture Capital), Anvita Mudkani (IBB Beteiligungsgesellschaft) und Chiara Sommer (HTGF). Kennen Sie schon unseren #StartupTicker? Der #StartupTicker berichtet tagtäglich blitzschnell über die deutsche Start-up-Szene. Schneller geht nicht! Foto (oben): Shutterstock
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Gala des Luc en macramés
Autant j'aime ça courir, autant c'est le fun d'être bénévole à une course, surtout quand celle-ci est organisée par Luc Hamel. Edith et moi avons eu beaucoup de plaisir et nous avons beaucoup ri. On jasait hier et ce matin et on se disait que tout le monde avait été gentil et poli mais évidemment, certaines personnes sont sorties du lot et ont laissé une image marquante lors de cette journée. Ah! J'oubliais! Je parle de la course 5 Peaks du Mont Orford qui a eu lieu le 17 juin 2017.
Tout d'abord, félicitations à tous les coureurs et aux gagnants. C'était tout un défi. Voici maintenant le premier Gala des Luc en macramés, organisé par Beau Temps - Mauvais Temps. Désolé pour les coureurs du 25 mais comme on ne vous a pas vus de la journée (à part au départ), vous n'avez pas grand chance de voir votre nom ici. Voici donc nos catégories et nos gagnants/gagnantes. Désolé de la piètre qualité des photos. Elles ont été prises à partir de vidéos.
Sweety
Benoît Beaupré: Toujours de bonne humeur, toujours le sourire, ça a toujours l'air facile. Ça ne l'a pas empêché de finir 4ème, devant plusieurs jeunes fusées.
Rosanne Fréchette: Elle est arrivée à mi-parcours avec son sourire et un beau bonjour. Rosie avait l'air de nager dans le bonheur. Quand je l'ai vu terminer la course, c'était la même chose. J'aimerais ça l'adopter comme petite soeur.
Drôle/Expressif
Kevin Bessette: Il nous a fait bien rire en arrivant au ravito. Dire que Kevin est expressif, c'est comme dire que je parle beaucoup... une évidence. Je n'ose même pas l'imaginer sur le party.
Isabelle Bernier: Elle n'était pas une participante mais plutôt celle qui fermait le parcours à l'aller. C'est le choix d'Edith pour la plus drôle. Je lui donne une mention spéciale pour la "bad-ass" de la journée car aussitôt arrivée au ravito, elle est repartie en sens inverse pour retourner à sa voiture au départ. Au ravito, elle est arrivée avec les derniers coureurs du 50k et a donc fait un méchant temps sur le retour car elle est arrivée troisième fille! Bad-ass!
Business as usual
Alister Gardner: Alister est arrivé au ravito après 2h45 de course. On venait à peine de finir d'installer nos choses. Il est passé en coup de vent, juste le temps de remplir ses gourdes. Un exemple d'efficacité.
Laurianne Roberge: C'était son premier ultra et non le moindre. Quand un gars comme Alister dit que c'est une des courses les plus techniques qu'il a fait, ça donne une bonne idée. À 19 ans, elle est arrivée au ravito comme si elle avait 10 ans d'expérience en ultra. Calme, efficace, en contrôle. Si elle ne brûle pas les étapes trop rapidement, elle sera certainement une des filles à surveiller dans les prochaines années au Québec. Bravo Laurianne!
Les joyeux perdus
Benoît, Steve et Julie: Mention spéciale ici pour les trois personnes qui ont trouvé l'ancien sentier des crêtes que je n'ai jamais réussi à trouver. Fait à noter, Luc Hamel et Sébastien Roulier n'ont jamais réussi à trouver l'entrée de ce sentier non plus. Ils ont donc descendu le mont Alfred Desrochers et remonté la Grande Coulée au complet. Ils ne trouvaient pas le 50k assez difficile alors ils ont ajouté un bon 300m (ou plus) de D+. Malgré tout, ils sont arrivés au ravito de bonne humeur et j'ai entendu une rumeur selon laquelle ils sont prêts à offrir des visites guidés du sentier des crêtes.
Persévérance
Gregory Labelle: Gregory est arrivé vidé à mi-parcours. Il voulait abandonner. Nous l'avons encouragé et il a pris la décision de repartir. Il est arrivé au Castor dans les temps et est reparti 5 minutes avant le cut-off. Il a réussi à terminer la course. C'est notre DFL et il a sincèrement raison d'être très fier de lui. Il n'a que 21 ans et c'était son premier ultra. Good job!
Relax
Jean-Frédéric Lemay: Quand j'ai croisé Jean-Frédéric, une centaine de mètre avant d'arriver au ravito, il était trempé de la tête au pied. Il m'a expliqué qu'il avait pris le temps d'arrêter prendre une douche dans la grande chute du ruisseau des Chênes. Il a jasé avec moi en descendant et pris ça relax au ravito, en se demandant s'il complétait la course ou s'il bifurquait vers le burger pub en arrivant dans la 4km. Il a aussi pris le temps d'aider Edith à réparer le bidon de Gu. Il a évidemment décider de compléter la course. Mention spéciale "bad-ass" pour Jean-Frédéric qui, ne voulant pas réveiller sa blonde, a eu la brillante idée de venir au départ à la course. Un petit 12km d'échauffement avant de faire le 50k le plus difficile au Québec. Ça fait une bonne préparation pour le 165km de l'UTMA dans deux semaines. Un mot pour toi pour les prochains jours: TAPER.
Relève
Prix spécial de la relève pour mon petit dernier, Étienne, qui n'a pas encore 7 ans et qui a fait 4,5km de hill repeats entre le ravito et la chute. Il a terminé la journée avec 9km et a trouvé le tour de parler continuellement le reste de la soirée. On va en faire un coureur en sentier et un successeur de son père comme gars incapable de se la fermer. ;)
Efficacité
Bianca Jacques: Bianca s'occupait de l'accueil des coureurs et du camp de base. En plus d'avoir toujours le sourire, elle est incroyable. Mon idole d'organisation!
Alex Tremblay: Un autre monsieur sourire, derrière sa barbe impeccablement coupée. Il s'est occupé de transporter le matériel, monter et démonter tous les ravitos en plus de ramener quelques coureurs. C'est le genre de gars que tu pourrais appeler à 22h00 un mardi pour lui demander de venir t'aider à déménager ton piano.
Meilleur organisateur de course
Ex-aequo à Luc Hamel et Anne Roisin. C'est toujours plaisant d'être avec vous deux. Beaucoup de rire et d'émotion. On vous aime!
On oublie plein de gens mais sérieusement, tous les coureurs ont été adorables et ça nous a fait plaisir de vous rencontrer et de prendre soin de vous. Si vous avez des prix à décerner, écrivez-les dans les commentaires. :)
C'est tout pour la première édition du gala! Merci à tous les coureurs et les bénévoles. Nous avons passé une très belle journée. On se revoit bientôt. :)
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