#jacques sternberg
Explore tagged Tumblr posts
Text
“Je pense, donc je sue. De trouille, évidemment.” 🧙🧹🦇
Jacques Sternberg
Gif de Sonnette /Hilda de Duane Bryers
#gif animé#sonnette#happy halloween#hilda#pin up#duane bryers#joyeux halloween#quotes#jacques sternberg#humour#sorcière#halloween#fidjie fidjie
95 notes
·
View notes
Text
Si on te pelote le sein droit, tends le gauche......💞✨
Jacques Sternberg
23 notes
·
View notes
Text
Hier j'ai vu pour la première fois Je t'aime, je t'aime d'Alain Resnais (co écrit avec Jacques Sternberg, sorti en 1968) et c'est un film que j'ai aimé avec passion. Ça raconte l'histoire d'un homme qui se remet d'une tentative de suicide et accepte de participer à une expérience scientifique autour du voyage dans le temps. En théorie, il devrait retourner le temps d'une minute dans son passé. En pratique, la machine s'affole et il revit toutes les dernières années de son existence en fragments décousus. Des instants de tendresse, de colère, d'ennui, de discussions philosophiques, des instants qui n'ont pas toujours de sens mais ont existé dans sa vie et il faut bien faire avec. C'est un film sur la manière dont nous nous construisons malgré nous en puzzles éparpillés, un film sur la dépression, la tristesse qui prend comme une vague, sur le temps perdu au travail (il y a une scène géniale dans laquelle le personnage principal compare à l'aide de deux montres le temps du bureau et le temps du dehors), sur l'écriture et les jobs alimentaires. C'est un film sur l'humour qui émerge à des moments inattendus. Il y a des dialogues qui resteront avec moi pour toujours comme quand Claude Rich dit, le visage impénétrable, à quel point il est "flou" (et ce n'est pas un personnage particulièrement aimable, notamment à cause de son rapport aux femmes mais il m'a bouleversée malgré tout). C'est peut-��tre ça d'ailleurs — c'est un film sur le flou étrange d'une vie humaine, impossible à résumer et pourtant fascinante à regarder. Ça tente mille choses et ça les réussit toutes (je vous avais dit que j'avais aimé ce film avec passion). J'écrirai peut-être plus longuement dessus mais je voulais archiver ça là. Vous dire que s'il croise votre chemin, vous pouvez sans crainte aller à sa rencontre.
8 notes
·
View notes
Text
Aventuriers ?! On pourrait en coller des définitions à cette épithète ! Une chose au moins peut mettre tout le monde d’accord sur ce qui caractérise ce genre de fripouilles célestes : l’aventurier, c’est celui qui repousse les limites.
Les Aventuriers de la Vie, ou les épopées de quelques hurluberlus, certains renommés et d’autres bien plus délaissés par l’histoire. Avec eux, direction les lointaines expéditions et les frénétiques embardées. Au plus loin des continents parsemés de déserts et de jungles, des horizons maritimes et des montagnes au firmament, embarquez-vous avec ces frénétiques forbans, ces toréadors de l’existence, honorant de leurs coups de sabre et de leurs coups de reins la petitesse de nos vies d’homme.
Amateurs de gangsters des limites, de personnages impétueux et de destins grandioses, vous voilà servis !
François-Xavier Consoli, essayiste et journaliste, auteur de l’essai La République contre la France aux Éditions du Verbe Haut, signe son deuxième ouvrage avec cette galerie de destins d’exceptions.
Liste des aventuriers, par ordre d’apparition :
Albert Spaggiari, braquage, cigare et sans haine
Jules Brunet, le vrai dernier samouraï
Richard Francis Burton, gentlemen explorateur
Vincent-Yves Boutin, l’espion de Napoléon
Ungern-Sternberg, l’enragé dieu de la guerre
Démétrios de Pharos, l’opportuniste magnifique
Eustache le moine, le premier des corsaires
Robert Sexé, motard de l’impossible
Jean Bart, l’invincible corsaire
Arthur Cravan, artiste sans œuvre et boxeur des mers
Robert Surcouf, le dernier des corsaires
Jacques Balmat, par delà les sommets
Charles-Louis Du Pin, l’incorrigible colonel
Cizia Zykë, pour l’amour de l’or et ne rien prendre au sérieux
Antoine de Tounens, noble roi d’opérette
8 notes
·
View notes
Text
" Pourquoi chercher désespérément la clef du bonheur alors que, de toute façon, la serrure n'a jamais existé ? "
Jacques Sternberg
11 notes
·
View notes
Text
Top 100 Films
Just wanted to put this somewhere for the sake of documentation, might do this once a year to see how much the overall list changes.
Not ranked, but the list is done by release date, earliest to most recent. Includes short and feature length films (plus one TV series, and two serials, if you want to be specific):
• The Musketeers of Pig Alley (1912), dir. D.W. Griffith
• Fantômas (1913), dir. Louis Feuillade
• Les Vampires (1915), dir. Louis Feuillade
• The Doll (1919), dir. Ernst Lubitsch
• Foolish Wives (1922), dir. Erich von Stroheim
• Sherlock, Jr. (1924), dir. Buster Keaton
• Die Nibelungen: Kriemhild’s Revenge (1924), dir. Fritz Lang
• Greed (1924), dir. Erich von Stroheim
• The Last Laugh (1924), dir. F. W. Murnau
• The Gold Rush (1925), dir. Charlie Chaplin
• The General (1926), dir. Buster Keaton, Clyde Bruckman
• Sunrise: A Song of Two Humans (1927), dir. F. W. Murnau
• The Passion of Joan of Arc (1928), dir. Carl Theodor Dreyer
• The Docks of New York (1928), dir. Josef von Sternberg
• The Wedding March (1928), dir. Erich von Stroheim
• Man with a Movie Camera (1929), Dziga Vertov
• M (1931), dir. Fritz Lang
• Vampyr (1932), dir. Carl Theodor Dreyer
• I Am a Fugitive from a Chain Gang (1932), dir. Mervyn LeRoy
• Gold Diggers of 1933 (1933), dir. Mervyn LeRoy, Bubsy Berkeley
• L’Atalante (1934), dir. Jean Vigo
• The Scarlet Empress (1934), dir. Josef von Sternberg
• The Thin Man (1934), dir. W.S. Van Dyke
• The Only Son (1936), dir. Yasujirō Ozu
• Citizen Kane (1941), dir. Orson Welles
• Now, Voyager (1942), dir. Irving Rapper
• Meshes of the Afternoon (1943), dir. Maya Deren
• Day of Wrath (1943), dir. Carl Theodor Dreyer
• At Land (1944), dir. Maya Deren
• Ivan the Terrible, Part I (1944), dir. Sergei Eisenstein
• Notorious (1946), dir. Alfred Hitchcock
• Sunset Boulevard (1950), dir. Billy Wilder
• Monsieur Hulot’s Holiday (1953), dir. Jacques Tati
• The Wages of Fear (1953), dir. Henri-Georges Clouzot
• The Big Heat (1953), dir. Fritz Lang
• The Inauguration of the Pleasure Dome (1954), dir. Kenneth Anger
• Rear Window (1954), dir. Alfred Hitchcock
• Ordet (1955), dir. Carl Theodor Dreyer
• A Man Escaped (1956), dir. Robert Bresson
• Ivan the Terrible, Part II: The Boyars’ Plot (1958), dir. Sergei Eisenstein
• La Dolce Vita (1960), dir. Federico Fellini
• L’Avventura (1960), dir. Michelangelo Antonioni
• La Notte (1961), dir. Michelangelo Antonioni
• L’Eclisse (1962), dir. Michelangelo Antonioni
• The Exterminating Angel (1962), dir. Luis Buñuel
• Mothlight (1963), dir. Stan Brakhage
• Red Desert (1964), dir. Michelangelo Antonioni
• Gertrud (1964), dir. Carl Theodor Dreyer
• The War Game (1966), dir. Peter Watkins
• Au Hasard Balthazar (1966), dir. Robert Bresson
• Daisies (1966), dir. Věra Chytilová
• Lemon (1969), dir. Hollis Frampton
• The Conformist (1970), dir. Bernardo Bertolucci
• The Discreet Charm of the Bourgeoisie (1972), dir. Luis Buñuel
• F for Fake (1973), dir. Orson Welles
• Lancelot of the Lake (1974), dir. Robert Bresson
• A Woman Under the Influence (1974), dir. John Cassavetes
• The Texas Chain Saw Massacre (1974). dir. Tobe Hooper
• House (1977), dir. Nobuhiko Obayashi
• Stalker (1979), dir. Andrei Tarkovsky
• Nostalgia (1983), dir. Andrei Tarkovsky
• L’Argent (1983), dir. Robert Bresson
• Blue Velvet (1986), dir. David Lynch
• Heathers (1989), dir. Michael Lehmann
• Kiki’s Delivery Service (1989), dir. Hayao Miyazaki
• Baraka (1992), dir. Ron Fricke
• Satantango (1994), dir. Béla Tarr
• A Confucian Confusion (1994), dir. Edward Yang
• Chungking Express (1994), dir. Wong Kar-Wai
• Ed Wood (1994), dir. Tim Burton
• Whisper of the Heart (1995), dir. Yoshifumi Kondo
• Showgirls (1995), dir. Paul Verhoeven
• Neon Genesis Evangelion: The End of Evangelion (1997), dir. Hideaki Anno, Kazuya Tsurumaki
• Gummo (1997), dir. Harmony Korine
• The Big Lebowski (1998), dir. Joel Coen, Ethan Coen
• Outer Space (1999), dir. Peter Tscherkassky
• Beau Travail (1999), dir. Claire Denis
• Julien Donkey-Boy (1999), dir. Harmony Korine
• Yi Yi (2000), dir. Edward Yang
• Dancer in the Dark (2000), dir. Lars von Trier
• The Piano Teacher (2001), dir. Michael Haneke
• Mulholland Drive (2001), dir. David Lynch
• What Time Is It There? (2001), dir. Tsai Ming-liang
• Memories of Murder (2003), dir. Bong Joon-ho
• The Matrix Reloaded (2003), dir. Lily Wachowski, Lana Wachowski
• The Village (2004), dir. M. Night Shyamalan
• Caché (2005), dir. Michael Haneke
• Southland Tales (2006), dir. Richard Kelly
• Inland Empire (2006), dir. David Lynch
• Zodiac (2007), dir. David Fincher
• The White Ribbon (2009), dir. Michael Haneke
• The Turin Horse (2011), dir. Béla Tarr
• Five Broken Cameras (2012), dir. Emad Burnat, Guy Davidi
• The Master (2012), dir. Paul Thomas Anderson
• Spring Breakers (2012), dir. Harmony Korine
• Song to Song (2017), dir. Terrence Malick
• Twin Peaks: The Return (2017), dir. David Lynch
• The Favourite (2018), dir. Yorgos Lanthimos
• Portrait of a Lady on Fire (2019), dir. Céline Sciamma
• We’re All Going to the World’s Fair (2021), dir. Jane Schoenbrun
(10/4/23)
20 notes
·
View notes
Text
On veut des noms – Jean Paul Clair (de STERNBERG Jacques à SZENT-GYÖRGYI Albert)
On termine avec les nom en S de notre lexique drôle et cultivant ” on veut des noms ” qui décline les patronymes de celles et ceux qui ont fait l’Histoire la grande comme la petite. Régalez vous c’est offert par Jean Paul ! STERNBERG Jacques (1923-2006) : Auteur belge francophone. Au fil de ses livres on trouve des citations : Quand on arrive on est important, quand on essaie d’arriver on est…
0 notes
Text
Bologna: per nove giorni sarà il paradiso dei cinefili, dal 22 al 30 giugno con 480 film torna 'Il Cinema Ritrovato'
Bologna: per nove giorni sarà il paradiso dei cinefili, dal 22 al 30 giugno con 480 film torna 'Il Cinema Ritrovato'. Con 480 film in 9 giorni, Bologna apre le porte del paradiso dei cinefili. E lo fa con la 38^ edizione del festival 'Il Cinema Ritrovato' che si svolgerà sotto le Due Torri dal 22 al 30 giugno. Nove giorni di proiezioni, da mattina a sera, in 8 sale e 3 location all'aperto in città: al Cinema Modernissimo, Sala Scorsese e Sala Mastroianni al Cinema Lumière, Auditorium – DamsLab, Cinema Jolly, Cinema Arlecchino, Cinema Europa, Sala Cervi. E poi tutte le sere in piazza Maggiore, anche all'Arena Puccini e quattro serate speciali, sempre all'aperto, in Piazzetta Pasolini. Alla Biblioteca 'Renzo Renzi' si rinnova l'appuntamento con la fiera dell'editoria dedicata alle pubblicazioni cinematografiche, che quest'anno raccoglie 70 editori. E poi incontri al Mast.Auditorium. Quest'anno, per la prima volta, Il Cinema Ritrovato sarà anche al Cinema Modernissimo, la sala "ritrovata", uno scrigno sotterraneo nel cuore di Bologna, sotto piazza Maggiore, restituito alla sua originaria bellezza primo-novecentesca: qui proiezioni già dal 18 giugno per vivere l'emozione dei grandi film restaurati in piazza Maggiore fino al 7 luglio. Il Cinema Ritrovato è promosso dalla Cineteca di Bologna nell'ambito di Bologna Estate 2024, il cartellone di attività coordinato da Comune e Città metropolitana di Bologna - Destinazione Turistica e sostenuto da Ministero della Cultura e Regione Emilia-Romagna, diventata negli scorsi mesi socio sostenitore della Fondazione Cineteca di Bologna. L'edizione 2024 è stata presentata questa mattina a Bologna da Cecilia Cenciarelli e Gian Luca Farinelli, co-direttori festival Il Cinema Ritrovato, con la partecipazione di Mauro Felicori, assessore regionale alla Cultura e Paesaggio della Regione Emilia-Romagna ed Elena Di Gioia, delegata del sindaco alla Cultura del Comune e della Città metropolitana di Bologna. Ospiti e grandi restauri Tra gli ospiti stranieri Damien Chazelle presenterà a Bologna Les Parapluies de Cherbourg di Jacques Demy (che ispirò La La Land) e il suo più recente Babylon, omaggio all'epoca mitica del cinema muto; Wim Wenders con i suoi Paris, Texas, I fratelli Skladanowsky e Buena Vista Social Club e i classici di John Ford, Anthony Mann e Yasujirô Ozu; Darren Aronofsky e Amadeus di Miloš Forman; Alexander Payne con il suo The Holdovers e il film di Marcel Pagnol che lo ha ispirato, Merlusse; Volker Schlöndorff con il suo Homo Faber e L'angelo azzurro di Joseph von Sternberg con Marlene Dietrich. E ancora Costa-Gavras, Nicolas Seydoux, Juho Kuosmanen, Mohammad Malas. Proprio Marlene Dietrich sarà al centro di una delle tante retrospettive, tra cui anche quella dedicata a Pietro Germi a 50 anni dalla scomparsa, e quella a un'altra grande figura femminile, Delphine Seyrig. Un programma dedicato anche alla scoperta di importanti registi come lo statunitense (ma di origini ucraine) Anatole Litvak, capace di attraversare, con la sua lunga filmografia, 40 anni di storia del cinema, e lo svedese Gustaf Molander, scopritore di dive come Ingrid Bergman.... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
0 notes
Text
Accouplements 239
(Accouplements : une rubrique où l’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.) Sternberg, Jacques, l’Employé. Roman, Paris, Éditions de Minuit, 1958, 216 p. «— Cette flèche ne vient pas du corridor, dit l’autre père en signant l’acte de décès domestique. Regardez-la de près. Regardez surtout l’angle de tir. — Et alors ? — C’est une ruse. Cette n’a pas…
View On WordPress
#canada#fiction#fiction française#france#littérature#littérature française#photo#photo canadienne#photograohie canadienne#photographie#roman#roman français
0 notes
Text
Je t´aime, Je t´aime (1968) dir. Alain Resnais, Jacques Sternberg
0 notes
Text
La Rencontre
Je le croisais tous les soirs à la même heure, au même endroit. Lui passait toujours sur le trottoir de droite, moi je passais toujours sur celui de gauche. Fait d’autant plus frappant que nous étions toujours les seuls à longer cette ruelle des faubourgs. Je le croisais ainsi depuis des années. Jamais je ne lui avais adressé la parole. Je ne le saluais même pas.
Puis, un soir, en arrivant dans ma rue, je me rendis compte d’un fait, insolite peut-être, qui me frappa avec une force certainement insolite : malgré moi, par distraction sans doute, j’avais pris le trottoir du passant ; j’allais donc le frôler pour la première fois depuis tant d’années. J’entendis son pas à l’heure habituelle. Je vis son ombre d’abord, sa silhouette ensuite et, fait étrange, lui aussi avait changé de trottoir. Je le croisai comme d’habitude, au même endroit, un peu avant le réverbère, je vis son visage et je me sentis m’étouffer : l’homme avait incroyablement changé, c’était certain. Il avait, à n’en pas douter, les traits de mon visage et je compris que moi, finalement, je devais avoir les siens.
Jacques Sternberg, « contes glacés », 1974.
0 notes
Text
"Un jour, on aura besoin d'un visa pour passer du 31 décembre au 1er janvier." 🍾🥂
Jacques Sternberg
Gif de Flying Bee Animations
#gif animé#flying bee animations#happy new year#bonne année#humour#quotes#jacques sternberg#meilleurs voeux#fidjie fidjie
29 notes
·
View notes
Text
Si on te pelote le sein droit, tends le gauche......💞✨✨
Jacques Sternberg
22 notes
·
View notes
Text
« On avait souhaité qu’un sang impur abreuve nos sillons sans savoir qu’un jour un déluge de sons impurs abreuverait nos microsillons. » Jacques Sternberg, Les pensées, 1986.
0 notes
Text
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Sternberg
Avec plus de 1 500 textes répertoriés à ce jour, Jacques Sternberg est le nouvelliste le plus prolifique du xxe siècle[réf. nécessaire].
0 notes
Text
LOS MISTERIOS DE MURNAU
Pese a haber visto todas las películas suyas que hoy se conservan, algunas de ellas muchas veces, y a contarse Friedrich Wilhelm Murnau, sin la menor duda, entre mis tres o cuatro cineastas favoritos, debo confesar que su arte sigue siendo, para mí, un insondable misterio.
Ni siquiera la más límpida y perfecta de sus obras, que es desde hace ya unos cinco años la que elegiría de toda la Historia del Cine, si tuviera que limitarme a una, para dar cuenta de lo que entiendo por cine, porque en apenas hora y cuarto, con una concisión solo comparable a su densidad y su fulgor, reúne y comprende, con un máximo de intensidad, todo lo que más me interesa de este medio de conocimiento y expresión; me refiero a su último film, Tabu (Tabú, 1931), en el que encuentro resumida y depurada, no sólo toda su filmografía, sino lo esencial del cine que prefiero: de Ford a Mizoguchi, de Renoir a Hitchcock, de Griffith a Nicholas Ray, de Chaplin a Ophuls, de Rossellini a Dreyer, de Sternberg a Hawks, de McCarey a Lubitsch, de Sirk a Godard, de Vigo a Preminger, de Jacques Tourneur a Buñuel, de Keaton a Stroheim, de Walsh a Naruse, de Ozu a Satyajit Ray, de Vertov a Lang, de Barnet a Rouch, de Lumière a Donskoi, de Bresson a Borzage, de Flaherty a Murnau, todo está en Tabú, con un sentido del humor y de la ternura sólo igual al que demuestra de la tragedia sin aspavientos: todos los sentimientos y todas las experiencias, de la felicidad a la desdicha, de la maldición al milagro, de la fatalidad al azar, del amor al espanto, de la ilusión a la desesperanza, de las bromas al miedo, de la derrota al esfuerzo, de la luz a las sombras, del melodrama a la comedia, de la sequedad al lirismo, se dan cita en una lección inigualada de economía narrativa, de sobriedad y hondura dramática, de realismo y estilización, de espontaneidad aparente y elaboración invisible.
No cabe duda de que una gran parte de la emoción contenida que transmiten las películas de Murnau - Sunrise, A Song of Two Humans (Amanecer, 1927) es tan sublime como Tabu , y poco a la zaga les van Faust, Nosferatu, Herr Tartüff, City Girl/Our Daily Bread o Der letzte Mann - procede de la discreción que permitía el cine mudo, y que no siempre se supo aprovechar; su obsesión por la belleza y precisión del gesto entronca, evidentemente, con D. W. Griffith, pero muy pronto se fue liberando de las "muletas" del cine mudo, probablemente por rehuir y trascender tanto la "ilustración" de un texto como la mera "escenificación" y filmación de los guiones, para dar un gigantesco paso adelante: escribir directamente con la cámara y los actores, pensando ya en imágenes, es decir, en sombras y luces, en encuadres y composiciones, en movimientos y miradas. Por eso es tan evidente que Murnau, al menos en sus últimas películas, no sentía necesidad alguna del sonido, cuya ausencia había dejado de ser una mutilación, una carencia o un límite, y era una característica más de este nuevo arte, una condición, un punto de partida, si se quiere un "pie forzado" o una exigencia, pero también la posibilidad de crear un lenguaje nuevo, extraído de la realidad pero no confundible con ella ni una mera reproducción fotográfica de la misma; por otra parte, es presumible que Murnau, de haber vivido un poco más, se hubiese adaptado sin ningún problema al sonoro, aunque creo que no le hubiese aportado a su cine gran cosa. Hasta tal punto representa Murnau la culminación del "cine silente" que puede considerarse su obra de madurez como la encrucijada del "séptimo arte" en el momento de su mayor mutación.
Si la influencia de F. W. Murnau fue, durante varios años, decisiva y vastísima, también es cierto que sólo fue profunda en algunos casos, y meramente superficial en la mayoría, y que dejó huella duradera o permanente, sobre todo, cuanto más inconsciente e imperceptible a primera vista resultaba. Hoy cabe decir que no tuvo herederos ni discípulos fieles y obedientes: no generó ortodoxias, no creó escuela, no añadió convenciones a las ya establecidas o en curso de consolidación. A pesar de ello, en el mejor cine de todas las épocas, de cualquier país, podemos detectar de vez en cuando un eco, un soplo, una sombra de su estilo, un reflejo de su manera de servirse de la luz o del movimiento ominoso de una sombra, de su forma de llenar el cuadro sin marco que crea la cámara o de repartir las figuras en ese hueco en perspectiva que, desde 1920, Murnau componía en profundidad, sin esperar el advenimiento, veinte años más tarde, de Citizen Kane.
Y, sin embargo...yo creo que, en el fondo, las grandes enseñanzas de Murnau, lo que puede extraerse de su manera de hacer cine que no es privado y exclusivo - y por tanto inimitable, a lo sumo plagiable, y muy difícilmente con éxito y con algún sentido expresivo -, lo que además se mantiene en plena vigencia y es - o sería, más bien - de aplicación general, no han sido atendidas, comprendidas y aprendidas: me refiero no ya a golpes de intuición magistrales, pero cuyo secreto parece haberse llevado a la tumba, como su talento para conseguir tratar los objetos como personajes -recuérdense, sobre todo, ciertos vehículos, como los veleros de Tabú, el tranvía y la barca de Amanecer, el carruaje, los féretros y el buque apestado de Nosferatu -, haciéndoles entrar en campo y salir del encuadre como si fuesen seres vivos, sino lecciones más elementales quizá, pero fundamentales, como, por citar algún ejemplo, que no es necesario - antes al contrario - multiplicar los planos ni forzar los ángulos y la composición para obtener un efecto dramático inigualablemente contundente: basta un gesto seco, casi imperceptible pero inapelable, como dar un tajo a una cuerda, o detenerse en silencio en un umbral y dejar que la sombra ominosa de Hitu se proyecte, como una nubarrón, sobre el pacífico sueño de Reri. De este tipo de ademanes encontramos un eco, de tarde en tarde, incluso a muchos años de distancia (Inkijinoff en La tumba india de Fritz Lang, Ray Milland en Al borde del río de Allan Dwan, los finales de Centauros del desierto, El hombre que mató a Liberty Valance o 7 mujeres de John Ford), en personalísimas obras de vejez y plenitud de otros grandes cineastas, mucho más que en las que rodaron en los tiempos en que Murnau triunfaba con El último, Fausto o Amanecer - pese a la obvia influencia de sus movimientos de cámara o de su uso del decorado en Four Sons, Flesh o The Informer de Ford, en varias de Lang, Hawks, Hitchcock o Borzage, o a que Tabú sirviese de modelo e inspiración a King Vidor en una de sus mejores películas, Bird of Paradise, 1932, a Ford en The Hurricane, 1937, o a Delmer Daves en su autónoma y excelente Ave del Paraíso, 1951 -; de hecho, fuera de estos casos, la presencia de Murnau en el cine posterior a su muerte hay que rastrearla casi donde menos se espera, y suele ser sutil y no proclamada, posiblemente tan profunda que sus contados discípulos o seguidores no son conscientes de ella: es más fácil encontrarla en Jacques Tourneur - desde Cat People o I Walked With a Zombie a Out of the Past - que en Edgar G. Ulmer, que fue colaborador suyo - al menos, eso es lo que ese mitómano pretendía -, en Víctor Erice que en Éric Rohmer, que dedicó su tesis doctoral al empleo del espacio en el Faust de Murnau, en Rossellini y Max Ophuls, o, extrañamente, los Straub, Manoel de Oliveira, Mur Oti, Robert Bresson, o el primer André Delvaux, que en Alain Resnais o Bernardo Bertolucci.
Murnau es un cineasta tan secreto que es poco, y muy oblicuo, lo que de él nos revelan, siempre indirectamente, cuando no por inversión y contraste, sus películas; además, de poco nos serviría llegar a saber si son "autobiográficas", aunque sea en clave, o si convierten cualquier materia prima ajena en metáforas o alegorías de sus vivencias y sentimientos más íntimos, si reflejan sus obsesiones o simplemente es que se expresa obsesivamente, con la tenacidad de un cineasta experimental, cuando aún en el seno de la industria eran posibles al mismo tiempo, y hasta compatibles, la creación y el comercio. Tampoco aclara gran cosa saber lo mucho que se va averiguando acerca de su origen, su familia, su carácter, su educación, su cultura, sus gustos o sus costumbres: a partir de un momento dado, su biografía consiste esencialmente en hacer cine, y el resto de su vida - pública o privada - acaba por resultar irrelevante, cuando no irrisoria.
Las etiquetas que se le han adherido, en un momento u otro, siempre sin contar con él (y, sobre todo, la de "expresionista", con la que se le mete en un mismo saco con directores tan opuestos como Wiene, Leni, Lang, etc.), tampoco permiten avanzar demasiado hacia su comprensión, cuando no son formas de atajar o desviar la reflexión, simplificando y esquematizando lo que es, por definición, tan rico y vivo que está en constante transformación, lo que ciertamente dificulta el análisis, sacrificando su personalidad, su carácter único y aislado, su caminar solitario, la desorientadora falta de programa de su trayectoria.
Es más, se diría que Murnau hizo todo lo posible por borrar las huellas y preservar intacta su intimidad, al mismo tiempo que tenía clara conciencia y vocación de artista y que aspiraba, evidentemente, a la originalidad y a ser recordado por su obra cinematográfica, y quizá esa contradictoria pista sea, en el fondo, la más reveladora del conflicto interior que siempre estuvo presente en este gran cineasta, como insinúan sus constantes incursiones en el territorio de lo maldito y lo prohibido, lo inconsciente y lo reprimido, lo deseado y temido, lo destructivo y lo autodestructivo, lo sensible y lo oculto, lo radiante y lo tenebroso, lo latente y lo emergente, lo extraño y lo inquietante. Cineasta de dos caras - habría que encontrar Die Januskopf -, trató de abarcarlo todo con su mirada, sin excluir - como algunos - la parte oscura, las zonas de sombra, ni cegarse a la belleza del mundo ni a la posibilidad remota de una felicidad tan improbable como ilimitada en su intensidad, acrecentada si cabe por su propia condición de efímera, fugaz, frágil y amenazada, cuando no condenada de antemano a no durar.
Publicado en Diario 16, seguramente en diciembre de 1988
0 notes