#j'ai envie de manger tout pleins de trucs
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une petite heure que je fait des recherches pour trouver un resto... bon en vrai ça va c'est rigolo hein
PAR CONTRE MAINTENANT J'AI UNE DE CES DALLES C'EST PAS POSSIBLE
#j'ai envie de manger tout pleins de trucs#en plus y a en a les cartes font trop enviiiiie#ça va commander ce soir#pas envie de me faire des pâtes après avoir salivé devant cinquante douze plats là
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tout à l'heure on parlait de plein de choses dont de cul et des problèmes que ça nous cause et dans la discussion elle m'a demandé si c'était à cause du gars de cet hiver (en partie mais pas que, ça fait juste remonter des trucs mais c'était déjà la merde dans ma tête) et je me souviens plus vraiment lui en avoir parlé (après j'ai passé mon hiver continuellement bourrée), peut-être que zoé l'a mise au courant car je lui avais fait comprendre. toujours est-il qu'il y a quelques mois j'avais dit que j'allais le bloquer mais que comme pour d'autres je l'ai toujours pas fait. j'ai pas envie de le faire ça veut dire que ça a existé et j'ai peur de le croiser comme on fréquente les mêmes endroits et de devoir lui expliquer (de faire une crise d'angoisse donc), ou alors que d'autres le fasse à ma place. surtout qu'hier il a répondu à une story en me disant qu'il fallait qu'on aille manger ça ensemble mais non, j'ai juste pas répondu du coup mais entre les quelques fois où je lui ai répondu et mon incapacité à le bloquer je me demande toujours si c'était vraiment grave, j'arrive pas à savoir si le revoir ferait tout remonter et me donnerait envie de gerber ou si je me suis juste monté la tête. en fait je comprends pas pourquoi je ne veux pas supprimer des hommes par peur de me dire ok je le fais parce que ça c'est arrivé alors que du coup je les garde en me disant mais du coup c'est peut-être pas vraiment arrivé?
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La journée commençait bof parce qu'on avait prévu de faire "un truc" aujourd'hui mais on ne savait pas trop quoi, et c'est souvent comme ça que ça commence mal parce que moi je veux bien à peu près n'importe quoi pourvu qu'on passe par un magasin de bouquins ou de jeux, mais l'homme veut absolument visiter qqchose et bien manger et l'ado veut absolument faire les magasins sans être accosté par un vendeur, manger en vitesse et être de retour assez vite du coup ce matin je sentais venir la journée de merde au point que l'ado a failli rester seul à la maison et à la dernière seconde il a vu ce qu'il devait réchauffer pour manger à midi du coup il a décidé de venir, je ne sais pas comment je dois le prendre, mais il devait encore se laver alors on a pris le train suivant mais même celui-là on a failli le rater, ensuite j'ai râlé parce que "vous n'êtes pas foutus de prendre un peu sur vous alors soit je suis avec l'un OU l'autre, soit je passe des journées de merde quand vous êtes là tous les deux mais y a jamais moyen de passer une journée normale à trois, vous êtes deux boulets, bordel" bon ça les a fait réfléchir apparemment et la journée s'est bien passée jusqu'à un certain moment.
On a visité Train World à Schaerbeek, c'était énormissime, l'histoire des trains en Belgique depuis les locomotives à vapeur jusqu'aux années 70/80, des vrais vieux trains dans lesquels on pouvait rentrer, des vieux objets, des anciennes affiches, tout ça tout ça bref l'ado a trouvé ça mieux que ce qu'il pensait (il pensait que c'était un vieux musée poussiéreux avec des miniatures de trains), l'homme était content pcq sa proposition avait plu, et puis on a pris le tram vers le centre-ville, il y avait l'air-co donc génial, on a mangé un petit truc et on s'est baladé en faisant des photos, la Rue Neuve n'est plus que l'ombre d'elle-même mais il y a une chouette dynamique à Anspach, Ste Catherine, Les halles et vers la Grand Place. On est en pleine période des plaisirs d'été du coup il y avait des animations de rue et des acrobates sur la Grand Place. Elliott a reconnu un acrobate d'une troupe de cirque dont il suit l'actualité. Il est rentré dans des magasins, a trouvé sa pointure sur les nouvelles Nike mais a eu la flemme de dépenser ses sous alors il est sorti en râlant bah oui la vie est chère que veux-tu, et après ça il a eu faim, il a été fatigué, il a eu mal aux pieds (tu sens venir le truc où je lui dis que ok je mets la moitié sur les Nike parce qu'il se plaint subitement de ses pieds ?) (jamais de la vie mais bel essai) moi j'ai fini mon film de 72 photos, j'en ai entamé un nouveau et cette fois je n'ai pas mis un Kodak, j'ai mis un lomography avec un effet un peu patiné on verra ce que ça donne mais c'est aussi 72 photos, ça va prendre une blinde pour les faire, j'ai trouvé 5 cartes pour ma collection dans Weward malgré que ça les ennuyait de me suivre dans des rues pour trouver ces cartes et on a mangé un mochi près de la grand place, il était délicieux et j'avais envie de parler japonais au gars du mochi mais j'ai pas osé et pourtant je voyais bien qu'il galérait en français et pourtant je sais commander trois mochis en japonais, comprendre un prix, remercier et dire au revoir du coup j'étais un peu déçue de moi-même. Après on a chacun eu fini nos pellicules et ça tombait bien parce que l'ado commençait à saturer de marcher sans autre but que des photos et des cartes Weward (pour ça il était d'accord avec son père) on a déposé les pellicules au labo, je me suis acheté une dragonne colorée pour mon Pentax 17 et on a repris le train vers la maison. L'ado s'est assoupi 5 minutes sur mon épaule et a décrété que "ah finalement ça va j'étais juste un peu fatigué" et vous avez remarqué comme moi qu'on n'est rentrés ni dans un magasin de livres, ni de jeux.
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La chassée devenue chasseuse
J'enchaine vraiment en ce moment IRL alors, j'avais envie de dessiner un peu pour me vider la tête donc, voici une nouvelle version de Metaheta de dos avec plein de détour (juste un peu déçu qu'on ne voie pas les motifs autour de son oeil central dans son dos [mais ils se voient quand on grossit le dessin !]).
C'est une des Braves que j'aime le plus à cause de son histoire vis à vis des agarthans, son design qui est dur mais très satisfaisant une fois passé au noir, son caractère et sa force... même si j'en ai fait peut-être un peu trop pour cette dernière vu que... bah je sais même pas comment Némésis et Thalès ont pu réussir à la vaincre en fait 😅
Vu que la dame a 1 200 ans de sorcellerie à son actif, une force colossale, la capacité à moduler son corps comme elle le veut - que ce soit pour grandir, le tordre dans tous les sens ou changer d'apparence - et le contrôle comme elle le souhaite, voie sous tous les angles possibles grâce à ses yeux, se régénère très vite, lit dans les pensées des gens (vu qu'elle a développé ses sens et son corps, ça me semble dans la continuité qu'elle développe assez sa sorcellerie pour pouvoir voir et entendre les pensées des autres... et ce serait tout à fait son genre de lire de le faire pour repérer encore plus vite les agarthans)... ouais, arriver à la faire tomber est pratiquement impossible à ce stade, encore plus pour des agarthans vu que de base, si elle est aussi surentrainée, c'est justement pour les vaincre alors, elle connait tout leurs trucs et même armé de l'épée du Créateur, Némésis risque de ne pas faire long feu face à elle étant donné qu'il n'a ni son endurance, ni sa capacité de régénération ni d'adaptation. Encore, elle pourrait galérer contre des nabatéens qui pourrait la battre avec pas mal d'effort (même si je ne voie pas pourquoi elle s'en prendrait à eux, elle en a juste rien à cirer de ce qui se passe en-dehors de sa montagne et si on ne la menace pas), mais des agarthans... voilà quoi, elle les repoussait avant leur chute alors, avec les ressources bien diminuées, même pas la peine d'y penser. C'est elle qui va les éliminer, y a pas de débat là-dessus.
De base, je me disais qu'il l'épuisait en la forçant à combattre pendant des jours sans qu'elle puisse manger, boire ou dormir mais, il leur faudrait une véritable armée pour l'assaillir continuellement et à ce stade, je voie mal les agarthans avoir assez de ressources pour créer suffisamment d'automate ou recruter assez de gens pour ça... j'ai le même problème avec les autres sorciers vraiment anciens que son Lamine (avec son poison mortel en quelques secondes flottant dans l'air et sa capacité de régénération vraiment infinie vu qu'elle peut survivre à une décapitation et brûle moins vite qu'elle ne guérit), Kelon (idem, se régénère très vite, avec la difficulté en plus qu'il faut pouvoir l'attraper vu qu'il voie assez haut dans le ciel tout en étant ultra mobile avec ses ailes, avec ses éclairs qui peuvent toucher à assez longue distance) ou Pyrkaïa dans une moindre mesure vu qu'elle est une pointe plus jeune (bonne capacité de régénération et faut pouvoir attraper une véritable torche humaine) mais bref, à voir.
En plus, après tout ce qu'elle s'est pris dans les dents, les agarthans qui ont littéralement chassé son peuple pour s'amuser, voler les peaux des siens afin de s'infiltrer chez eux et faire encore plus de dégâts, tout ce qu'elle a enduré pour protéger sa cité, tout ce qu'elle a sacrifié pour son peuple, tout le travail pendant des siècles pour calmer sa paranoïa et qu'elle s'autorise un peu plus à vivre pour elle aussi et pas que comme une gardienne de sa cité... ouais, j'ai pas très envie de l'imaginer en train de perdre contre son pire ennemi, encore plus quelqu'un d'aussi arrogant et pourri que Thalès qui se prend pour un dieu, encore plus contre quelqu'un qu'il voyait comme une proie auparavant. Faudra bien un jour quand je me déciderais à faire son billet à elle mais bon, au rythme où je vais...
Alors, juste, vas-y reine, tu peux enfin en finir avec cette ordure qui a fait de la vie de ta cité un enfer, fait toi plaisir !
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#les 11 braves (+ peut être les premiers qui reçoivent l'emblème des saints)#goneril of the 10 elites#Metaheta Gonerile#Metaheta mérite de l'exploser cette pourriture !#C'est simple elle arrive à l'académie par voyage dans le temps raté elle défonce El et les agarthans qu'elle croise sans problème !#Pour Hubert El et Jéritza elle sent la magie agarthan autour d'eux idem pour Solon et Kronya#Elle risque même de prendre un grand plaisir à les défoncer vu qu'eux chassent les humains pour le plaisir...#... ou les utilise comme des cobayes d'expériences comme des animaux alors elle va leur faire ravaler leurs dents#alors si elle voie des humains alliés à des agarthans... ça va barder et ils vont prendre bien cher à coup de poings#même si elle épargnerait sans doute ses trois là... pas par pitié ou compassion juste parce qu'elle a lu dans les pensées de tout le monde#dont celle de Dimitri alors elle voie que c'est la personne dont Dimitri veut se venger alors elle ne lui volera pas sa vengeance#elle les gardera juste sous le coude le temps de s'occuper de tous les agarthans jusqu'à chez eux#même si elle pourrait épargner les civils qui ont été obligés de suivre comme elle l'a fait avec Pan dans le passé#même si elle serait du genre à le titiller sur le fait que sa tête est sans dessus dessous et qu'il consulter pour ses hallucinations#Elle n'a rien contre la vengeance mais elle sait aussi que c'est quelque chose qui peut te bouffer tout cru#alors quand c'est au point de voir des morts... ouais consulte gamin t'en a besoin#ce serait sa manière de mettre Dimitri en garde contre son envie de vengeance qui le rend aveugle à tout le reste quand il se perd#alors que des gens tiennent à lui et surtout ont besoin d'un roi compétent qui s'occupe de son peuple correctement#elle elle-même une personne très influente dans sa cité -peut-être née princesse - alors la protection de son peuple elle l'a dans le sang#-oui c'est la seule à être issue de l'aristocratie tous les autres sont plus au système D et des couches les plus basses de la société-#elle a le problème contraire d'Hilda elle ne s'arrête jamais que ce soit de travailler ou de construire pour son peuple
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23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches.
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
#stuff#j'ai déjà laissé tomber l'idée du blog respectable#je crois que je préfère continuer à déblatérer ici
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On a une nouvelle coloc depuis samedi et elle ne sort jamais de sa chambre, je la critique pas pour ça parce que j'ai moi même besoin de temps seule mais elle n'a quasi rien à manger et n'a même pas de carte de bus pour se déplacer.
La dernière fois elle a mangé des pâtes au sel. AU SEL. RIEN D'AUTRE. Elle m'a fait trop de peine donc je lui ai proposé plein de trucs que j'avais, du pesto, du fromage, même du ketchup si elle voulait mais elle a refusé. J'ai beaucoup insisté mais après elle avait l'air agacée donc j'ai abandonné. Puis aussi elle ne parle vraiment pas beaucoup, elle a l'air très timide. J'essaye à chaque fois de lui poser des questions mais elle fait des réponses super courtes. Genre je lui ai demandé si elle regardait des séries et quelles étaient ses préférées et elle m'a juste dit "oh je regarde un peu de tout".
J'ai trop envie de l'aider mais je crois que je la dérange plus qu'autre chose??
(21/12/2022)
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Coucou ! :D Pour le jeu des questions, les questions 10, 20 et 29 pour Ismène ou Zoé selon ce qui t'inspire le plus ? Merci d'avance ! :D
OC asks that reveal more than you think
Coucou et merci pour les questions 👋 Du coup j'ai fait les deux :D. Surtout que ça m'a permis de partager des extraits de ma fic interrompue et de l'histoire de Zoé.
10. What age do they want to be the most right now?
Ismène est satisfaite de l'âge qu'elle au début de l'histoire (21 ans) même si elle sait qu'elle a encore beaucoup à apprendre. Là où ça coince, c'est en côtoyant les autres agarthais. Elle se voit souvent rappeler qu'elle est face à des gens qui ont vécu des centaines d'années, voire un millénaire, et que son existence n'est qu'un grain de sable dans la leur. D'ailleurs, certains continuent de la traiter comme une enfant à cause de ça.
C'est pour ça qu'Anselma disait qu'il fallait qu'Ismène puisse interagir avec des gens de son âge. Et quel que soit la route, elle en retire aussi beaucoup de bien.
C'est aussi une source d'inquiétudes pour Stéphanos qui, après la mort d'Anselma, se prend le caractère éphémère de la vie humaine en pleine face :
"Il la garderait (Anselma) avec lui pour les siècles à venir. Un jour, Ismène mourrait aussi. Il était l’urne de leur souvenir, le spectateur silencieux de la pièce. Cette pensée donnait parfois envie à Stephanos d’ouvrir la réserve de tsípouro. L'eau-de-vie n'emporterait cependant pas l'inévitable."
-Zoé à 27/28 ans au début de l'histoire. Elle regrette parfois l'année de ses 25 ans. Elle était alors sur le point de se marier avec son fiancé, Démétrios (quel que soit l'univers, c'est le prénom des gens bien !), et se pensait être la femme la plus heureuse du monde. Zoé se sent maintenant comme un arbre touché par l'hiver. Elle est aussi nostalgique de son enfance, lorsque ses parents étaient vivants. Le plus gros enjeu était alors de faire une bataille de boules de neiges ou un concours de tir à l'arc avec son grand-frère Manuel (qui a 3 ans de plus qu'elle).
20. What do they like that nobody else does?
Je sèche pour cette question ^^. Je ne leur vois pas de goûts vraiment atypiques. J'ai essayé de regarder des plats grecs étranges ou insolites (vu que ça collait pour les deux) mais rien ne correspondait (végétarienne ici). Même si je n'ai aucun soucis à décrire mes personnages en train de manger de la viande, ça allait trop loin pour moi et je me voyais mal écrire "elles aiment ce truc envers et contre tout !!!".
29. What recurring dreams do they have?
Ses yeux vitreux fixaient le vide. Zoé chercha le métal froid de l'amulette à son cou. Sa compagne de chambrée la laissa sans jugement. Zoé étant une guerrière, elle devait certainement avoir vu des choses.
-Zoé revit souvent en rêve les différents combats dans lesquels elle a été impliquée. Notamment un combat où elle a tué une jeune guerrière ennemie qui avait la même couleur de cheveux qu'elle et dont c'était sans doute la première bataille. Cet épisode a agi comme une sorte de rappel de la vacuité et de l'absurdité de la violence.
Elle rêve aussi souvent de Démétrios, souvent avec des cauchemars (et c'est d'un de ces rêves qu'elle se réveille dans l'extrait du dessus).
Elle l’enlaça, le tint contre son sein palpitant, le frictionna et le réchauffa de toutes ses forces. Le corps resta de pierre. Et soudain, elle sentit un ressac salé et amer, une caresse froide. L’eau était là, au pied de son lit.
-Ismène rêve parfois d'Anselma de manière plus ou moins heureuse. La chanson que je lui associe est Only if for a night de Florence and the Machine qui a été inspirée à la chanteuse par un rêve fait à propos de sa grand-mère décédée.
And I heard your voice, as clear as day And you told me I should concentrate It was all so strange, and so surreal That a ghost should be so practical Only if for a night
Elle fait aussi parfois des cauchemars inspirés par tous les récits qu'elle a pu entendre sur le déluge, en mélangeant avec les événements de son quotidien :
C’était fini. Aucun abri n'existait face à la colère du ciel. L’orgueil de Shambhala ne contiendrait cette puissance furieuse. La cité serait leur tombe aquatique. Sylvain l’attira à lui. Elle l’agrippa. Ils ne se détournèrent pas et affrontèrent ensemble ces dernières secondes déchirantes. La vague les engloutit.
(Oui, j'aime le mythe de l'Atlantide).
#answered asks#lilias42#my ocs#ismène#zoé dame du palais#for those who want to ask questions you can browse my “my ocs” tag#écriture
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Fuck you! (fr)
(English translation: here)
J'ai le plaisir de vous présenter ma BD qui a été pensée en 2020-2021 et écrite/dessinée en été 2021 ! Donc c'est pas tout récent, mais je l'aime toujours beaucoup ! Elle est faite à l'aquarelle, sur du papier de 17cm sur 17cm environ.
C'est la version originale ; j'ai aussi fait une traduction en anglais (avec l'aide de Tay !) et c'était marrant (bien que un peu chiant parce que mes bulles ont de la texture et de la couleur).
Je vous ai aussi mis la transcription de ce que y'a écrit sur la page en-dessous parce que ma BD est plutôt pensée pour être lue sur papier que sur écran et ça complique peut-être un peu la compréhension...
Bref enjoy etc.
A ce moment précis, j’ai eu envie de mourir
Cela voulait dire, qu’un certain nombre de changements s’imposaient
Changement de prénom : Elliott
Voulez-vous supprimer 137 contacts ? oui, non
Reorientation : L1 socio-eco
Salut, je suis NB. Si vous pouvez pas le respecter, allez vous faire foutre. Bisous / Des gens. 98 [_]
C’est pour ça que je suis ici !
Université
cheveux rouges / amour inconditionnel pour les crop-top / emo 4 ever / expression de genre incertaine / nouveau.lle en ville / side-cut
Bon, cette année promet d’être au moins intéressante
A *ce* moment, mon monde explosa
J’ai vu *cette fille - personne*
cheveux !! / joli sourire / yeux hypnotisants / style d’enfer / piercings graves bg
… et grosses gay vibes
J’avais besoin d’une manière, d’un prétexte pour lui parler, et vite
Heureusement, l’univers ne comptait pas sur mes skills de flirt subtils (il a raison)
Bonjour, est-ce que tu sais où est la salle des L1 éco-socio ? Je suis vraiment arrivé.e hier…
T’as de la chance, j’ai fait un repérage ! suis-moi. Je suis Antoine, d’ailleurs
Enchanté.e. Moi, c’est Elliott
Et de fil en aiguille, on est devenus assez proches
J’arrive !
Un peu trop proches
Putain de merde
bien sur que je veux sexer avec ellui mais putain j’ai merdé, je voulais construire une relation vraie, solide avant, iel va penser qu’on est sexfriends mais je l’aime, beaucoup, putain de merde
bien sur ; mais pas comme ça
solution 1 : en parler -> c’est ce qu’il faut faire
solution 2 : fuir
oui ; je suis un gros con
qu’est-ce que c’est que ces conneries ?!
Hey ! Je peux pas être ton sexfriend ! Désolé (c’était cool hier)
connard
Plus rien n’a d’importance / je suis stupide
2 appels manqués
c’était les pires semaines de ma vie
ne pas s’asseoir
je me suis réfugié dans la lecture
et moi dans tout plein de trucs
les cours étaient assez gênants
mais je voulais m’expliquer
Qu’est-ce que tu me veux ?
Je suis désolé. Est-ce qu’on peut en parler ?
Pas spécialement, non.
Raté, comme moi
Il est temps de sortir mon meilleur cope mechanism
Salut, je suis Alice / Enchanté. Léo. Tu fais quoi dans la vie ? / Je suis en double-licence socio-éco. / Tu peux m’expliquer l’inflation ? On a de l’argent puis il vaut moins, c’est chelou / On va danser plutot ?
Grave
Utiliser des inconnu.e.s
Se détruire
Elliott, je… je t’ai pas vu.e en cours récemment, je m’inquiète pour toi…
Parle-moi, s’il te plaît
Laisse-moi au moins te donner les cours
Salut
je suis désolé.e que tu aies à voir ça,
Antoine
Okay, tu es manifestement trop mal pour que je t’aide tout seul, mais je vais pouvoir te soutenir
Tout va bien se passer. /Il y a plusieurs étapes.
Mais d’abord, est-ce que tu considere que ta situation est un probleme ? / …Oui. / Est-ce que tu es pret.e,
A essayer de l’ameliorer ? / Oui. / Sur.e ? / Oui. J’en ai marre de vivre comme ça.
Cool, c’est la première étape
Merci, Antoine
L’étape 2, c’est de nettoyer ton appart et de le maintenir un minimum propre et rangé
il vaut mieux faire la vaisselle que la stocker dans sa baignoire / aérer c’est bien / changer ses draps aussi / se débarasser des objets nuisibles
Etape 2 : restructurer sa journée et se débarasser de ses mauvaises habitudes
Tous les jours : boire de l'eau / manger (3 fois) / sortir au moins une fois / se reposer, dormir / aller en cours & etudier
Toutes les semaines : planifier repas / lessive / faire les courses / faire du sport
desinstaller Webtoons, Twitter, Instagram / X self-harm (sobre 2 jours) / idem alchool, cigarette / faire du sport / travailler, mais pas trop / tenir un journal / etc.
Mais Antoine était très clair :
On est amis. On verra si on peut être plus quand tu iras mieux
Il me restait une étape, et pas des moindres : consulter un.e psy
Ça m’a pris du temps et de l’énergie, mais ça valait le coup
Merci.
De rien, Elliott
Bien sur, j’ai eu quelques difficultés
Mais Antoine m’aidait dès que je lui demandais de l’aide
Désolé.e
Soit désolé.e à toi-même, pas à moi
C gonflé, enfoiré
Je vais mieux, donc je vais proposer un date à Antoine. Enfin, c’est le plan
stress intense, teinture noire, tentative de tenue classe
Oh, salut Elliott ! / Super élégant.e aujourd’hui
Euh…
Salut… La dernière fois, on a pas fait les choses dans le bon sens. Alors je voulais te demander correctement, si tu voulais faire un date (avec moi)
Bien sur, Eliott. / Très content de savoir que tu es toujours intéressé.e
et ce date,
fut le début de beaucoup d’autres
et encore d’autres rendez-vous
Merci, l’univers
***
Ca me ferait vraiment trop trop plaisir que vous me disiez que vous l’avez lue et/ou ce que vous en avez pensé donc hesitez surtout pas !! J’aime trop parler de mes meow-meow 🥰
Vous pouvez aussi trouver des ptits dessins d'eux sur mon Insta: ici (dans les un peu moins récents surtout).
Et à la revoyure,prenez soin de vous :)
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2022 ambiance cheloue
cette année j'ai eu mes premiers partiels en présentiel et c'était aussi les derniers (j'ai tout niqué), j'ai bu trop de tequila alors que j'aime pas la tequila, fumé trop de shit comme si j'avais de nouveau 16 ans et ça m'a pas trop réussi souvent, j'ai un peu trop vomi car je veux jamais m'arrêter et que je dois plus boire de ni de tequila ni de bières immondes à 9 degrés, j'ai embrassé énormément de mecs et pas assez de filles, j'ai mis mes doigts dans beaucoup de nez sans aucune raison, eu des techniques d'approches beaucoup trop nazes qui ont toutes beaucoup trop bien marché, j'ai fait des bêtises en vendée, en normandie mais jamais autant qu'à bordeaux, d'ailleurs je suis tombée amoureuse de cette ville j'y pense tout le temps j'exagère trop, on m'a tej et j'ai eu le seum mais j'ai aussi tej et j'avais moins le seum, j'ai passé beaucoup beaucoup de temps à attendre quelque chose mais quoi ? j'ai beaucoup baisé mdr et ça n'a jamais été aussi cool, je me suis souvent affamée parce que j'avais pas la force de manger, j'ai fait beaucoup de choses "pour l'expérience" ou variante "parce que c'est drôle" et c'était souvent effectivement drôle sur le moment mais regrettable en y repensant
j'ai vu plein de concerts super cool genre the cure !!!!? odezenne et la femme, j'ai cru que j'allais mourir dans des pogos mais c'était marrant, je suis allée dans des festivals paumés trop nice, j'ai accepté des choses que j'aurais pas du accepter, j'ai cru que j'allais pas finir l'année, j'ai enfin vu no', j'ai pleuré au cinéma, j'ai pleuré en boule dans mon lit, j'ai pleuré dans les rues de bordeaux, j'ai pleuré dans des parcs sous mes lunettes de soleil comme une drama queen et sur la tombe de papy pour la première fois, j'ai vraiment cru que j'étais enceinte, donc j'ai dit que je ferai plus de conneries mais j'en ai refais, j'ai eu des discussions sérieuses alors que j'étais trop bourrée, j'ai essayé de communiquer mais ça a pas toujours bien marché, mon dos a encore fait des siennes mais on m'a confirmé qu'au moins j'ai pas le gène maudit de la famille, j'ai vu des CSP+ danser sur bella ciao et ça m'a fait rire, j'ai acheté plein de trucs grenouilles à ma soeur, j'ai vu grandir bébé tokyo et vieillir ma vieille falia, on a fait des gâteaux d'anniversaire moches, j'ai volé quelques tee-shirts trop grands pour moi et un body que je rendrai jamais à sa propriétaire
j'ai eu ma licence avec mention très bien mais j'ai pas eu la force et la confiance de postuler à des masters et je regrette lol, j'ai vu mes copines se mettre dans des états pas possible pour des mecs et après je me suis rendue compte que j'étais mal placée pour penser ça, j'ai survécu à mes vacances dans le sud, et aux mezzanines sous 40 degrés, on m'a fait du mal mais bien, j'ai dit que je ferai des trucs et je les ai pas fait, on a déchiré des draps et taché d'autres, on m'a pris très fort dans ses bras et j'ai eu l'impression qu'on me réparait un peu, j'ai fait tomber un mec dans les pommes et j'ai eu très peur, j'ai aussi fait beaucoup de siestes au lieu de bosser quand j'étais dans le rush ou que j'étais trop dans le mal comme si ça allait tout régler, j'ai eu envie de manger des riches et puis j'ai eu envie d'être riche, j'ai souvent rêvé d'un accident bête et mortel car rien ne m'intéresse vraiment, on a découvert qu'on avait hérité d'un inconnu et j'ai visité sa maison il avait l'air trop cool dommage que tu sois mort mec, j'ai cru que j'étais amoureuse et en fait non, j'ai joué à pou et j'ai fait des colliers de perles aux gens que j'aime parce que j'ai 4 ans
j'ai été énervée que les gens soient cons et de droite, j'ai vu plein d'expos trop cool qui ont nourri mes pupilles, on m'a dit que j'étais paumée et malsaine mais on m'a dit je suis fier de toi, je suis tombée amoureuse un soir d'un bel anglais qui m'appelait belle mathilde mais il était en couple, j'ai fait une raclette alors que j'aime pas le fromage et c'était cool en fait my bad, j'ai pleuré la mort de gaspard ulliel beaucoup trop premier degré, je me suis pissée dessus de rire plusieurs fois, j'ai été trop gentille, j'ai pas assez osé puis j'ai trop osé, j'ai failli ken dans des buissons (ça c'était trop osé), j'ai récupéré une guitare qui prend la poussière chez moi parce que je sais pas comment en jouer et que j'ai tej celui qui aurait pu m'apprendre, j'ai écrit des lettres mignonnes et j'en ai reçu d'autres, on m'a oppressé et ça m'a cassé les couilles, on m'a beaucoup appelé sans que je réponde alors que j'avais vu, j'ai appris des choses terrifiantes sur ma famille en parlant avec ma cousine et d'autres super tristes en lisant les mémoires de mon arrière grand-mère, j'ai préféré le monde dans ma tête
j'ai souvent dit que je cherchais du taff sans en chercher, on m'a pris pour une conne et j'ai fait comme si je savais pas et j'ai pris des gens pour des cons comme si de rien n'était, j'ai été heureuse de plus remettre les pieds à la fac puis j'ai été un peu nostalgique car mon cerveau aime trop me faire croire que de mauvais moments sont de bons souvenirs, je me suis rendue compte que j'étais myope et que la mangue c'était super bon, on m'a dit "je me sens super bien avec toi" et on m'a demandé trop de fois à mon goût "et tu fais quoi alors cette année ?", j'ai passé beaucoup de temps à fixer mon plafond en me sentant vide, j'ai vu la vénus de botticelli en vrai, j'ai eu tellement mal aux tripes d'avoir à ce point envie de mourir tout en sachant que j'étais là pour rester, j'en ai voulu à mon cerveau d'être aussi ravagé, on m'a envoyé beaucoup d'animaux mignons en me disant "us" et ça fait toujours autant fondre mon cœur, j'ai attrapé une souris à main nue alors que je voyais tout flou, j'ai perdu le k-way de mon grand-père et ça m'énerve, on m'a volé des lunettes trop cool et ça m'énerve encore plus, j'ai fait des choses d'adulte et j'ai trouvé ça bizarre
je me suis pas sentie à ma place puis je me suis souvenue que je me sentais jamais à ma place donc ça m'a rassuré un peu finalement, j'ai pas pleuré le jour de mon anniversaire et c'était pas arrivé depuis longtemps, on a écrit des poèmes à mes fesses, j'ai pensé beaucoup de choses très fort sans oser les dire, j'ai pris des rdv chez des psy que j'ai toujours annulé, j'ai ramassé des objets insolites par terre car la rue c'est le meilleur des magasins, je me suis souvent trouvée dégueulasse et des fois trouvé trop belle pour ce monde, j'ai beaucoup joué et rigolé avec mes amis et j'ai rencontré quelques nouvelles personnes que je veux connaitre plus, je me suis sentie utilisée et c'était cool, je me suis sentie utilisée et c'était pas cool, on m'a fait découvrir de belles musiques, j'ai trouvé un taff et j'ai un peu été payée à rien foutre ce mois-ci c'est super, j'ai eu des envies d'HOMME-icides à intervalles réguliers, j'ai essayé de me remettre vraiment à lire sans énormément de succès, j'ai menti dans mon propre intérêt, et on m'a demandé plein de conseils alors que je suis incapable de bien gérer ma vie
en vrai j'ai rien compris à cette année, il s'est passé plein de choses très vite, mais d'autres semblaient ne jamais vouloir s'arrêter, j'ai été intensément triste mais j'ai vécu quelques pics de vie très drôle et qui m'ont fait du bien au cœur, le stress m'a pourri la vie comme d'hab que dire j'ai peur de tout des gens des premières fois de l'inconnu de l'administration du futur et de mon futur du jugement des autres qui est en fait surtout celui que je me porte, mes rencontres ont été autant positives que négatives, je me suis éloignée de certaines personnes que j'aime mais je me sens bien entourée de mes meilleurs cops sinon j'angoisse déjà de l'année prochaine car comme l'année dernière je suis pas plus avancée sur ce que je veux faire de ma vie et sur ce que je vais faire pour continuer mes études je pense à tous les dossiers que je vais devoir remplir je sens que je vais pleurer beaucoup de larmes de rage et de larmes tout court car je fais nimp de ma vie et que je respecte jamais mes limites mais bon j'imagine qu'il y aura aussi des trucs sympa j'ai déjà plein de concerts prévus, des week-end avec mes cops, je gagne des thunes donc je vais pouvoir m'acheter de nouvelles dr martens, je vais me relancer dans la couture j'ai plein d'idées et puis j'ai des relations à approfondir, des choses à accomplir et surtout je vais continuer de passer mon temps à râler sur tumblr et ça c'est cool (pour moi pas pour vous désolée si vous avez lu jusque là fallait pas, de toute façon vous n'existez pas)
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// Matin. Heure encore sombre. Sortir de la maison, fine bruine désagréable, pester sur la météo. Une bretelle du sac à dos sur l'épaule, la capuche de sa veste sur la tête. Pester sur l'été encore loin.
Il sort du pâté de maison, marche encore machinalement 5 minutes, descend les escaliers. L'air puant et le brouhaha de la station de métro. Il visualise mentalement sa journée. Les cours, la BU, manger un truc, les cours, la BU, rentrer trop tard, manger en vitesse ce que sa mère aura laissé pour lui dans le frigo, Twitch un peu s'il a le temps ou insta puis dodo.
Le métro arrive mais ce n'est pas le sien. L'air chaud, les tenues des gens, l'incivisme de certains qui poussent pour rentrer. Il soupire doucement. La journée va être longue mais ça tombe bien, il a beaucoup à faire. Dernière année de Master.
Trois minutes plus tard son métro arrive, il laisse passer les plus pressés. A cette heure ci, il y a des places assises de toutes façons.
Il s'installe, garde sa capuche, enfonce la main dans le fond de sa poche pour y retrouver ses airpods, les visse dans ses oreilles et démarre Apple Music, une playlist un peu chill, une bulle avant l'effervescence de la ville, de la journée, des étudiants, de son cerveau.
// Matin brumeux et froid en pleine campagne. Ado levé au treuil, douche, petit déj, vêtements, chaussures. T'as un contrôle aujourd'hui ? Et ton bouquin c'est pour quand ? T'es sûr qu'il n'y avait rien pour maths ? J'avais rien à signer ? Allez on s'active, tes chaussureuh.
Dans la voiture, l'ado décide de la musique, chipote dans Spotify pour faire découvrir des sons. Elle apprécie, ils parlent de la drill, de ce qui la différencie du rap, des influences de Ziak, de ses textes un peu trop explicites, des anciens rappeurs, du concert de NTM où elle était allée, des morceaux à textes, des morceaux à ambiance, de Nekfeu. Il met un son de Nekfeu accompagné de Dinos. Elle connaît par cœur le moment où ça va vite et il est impressionné. Puis il parle du rap plus chill, il change de morceau, met Dinos seul. 93 mesures. L'intro au piano envahit la voiture et son cœur rate un battement. Elle fait semblant de rien. Celui là aussi, elle en connaît chaque rime, chaque note, chaque silence. Ça la remet quelques mois en arrière, elle pense à lui. Elle fait semblant de rien.
// Le métro s'efface, les gens disparaissent. Il croise les bras au dessus de son sac plaqué contre lui, incline la tête vers l'arrière, ferme les yeux et se laisse bercer par la musique. Disiz, Youssoupha, Dinos.
Dinos. Changer de morceau. Ne plus penser à elle.
Le trajet se prolonge. Il sort à son arrêt, émerge de la musique et de la station de métro, marche encore un peu et arrive à l'université. Les études sont sacrées pour lui. Jusqu'au soir, il absorbera chaque mot prononcé par ses profs, il sera intéressé et concentré. Aux heures de fourche, il ira à la BU pour s'avancer dans son travail, réaliser ses tp, faire des recherches pour sa première thèse. Après les cours, il ira encore à la BU jusqu'à la fermeture, pour travailler au calme dans cette ambiance studieuse qu'il apprécie.
// Arrivée à l'école. "Oublie pas que tu prends le bus" et "Concentre toi bien en maths hein". La musique se coupe, le tel de l'ado étant maintenant trop loin pour le bluetooth.
Repartir de là. Une playlist de rap pour rester dans la continuité. Soleil Noir, nouvel album de Dooz Kawa et ses potes. Sa voix éraillée, sa poésie, ses jolis mots, mettre du beau et de l'harmonie dans ce qui est cru.
La journée démarre doucement et en musique, avec cette petite pointe de nostalgie qui s'élargit comme une tache d'encre dans son cœur en papier froissé. Un soupir plus tard et les larmes pointent.
Ça vient de loin, d'il y a des mois. Penser à lui, à la musique découverte avec lui, aux moments passés en pleine nuit assise par terre dans les toilettes, seul endroit calme de la maison, les écouteurs sur les oreilles à l'écouter parler "Je sais pas y a quoi mais j'ai pas envie de couper aujourd'hui" "tu me rends fou je deviens fou c'est pas possible" "tu fais quoi si j'arrive maintenant là ?" "Tu ferais quoi si on était célibataires tous les deux?"
Elle lui répondait en chuchotant, écoutait ses silences, sentait ses hésitations, entendait ce qu'il ne disait pas.
Elle se gare pour reprendre ses esprits. Coupe la musique. "Tu es trop jeune" "Et toi tu ferais quoi ?" Silence, sanglots et murmure de la circulation, oreilles qui sifflent.
"Je jouerais avec le feu, je te rendrais folle comme tu me rends fou", cerveau qui implose. Cette sensation insupportable d'être vide.
Respirer.
Respirer.
Encore.
Se recentrer. Remettre la musique, pas Dinos, remettre le contact, repartir. Ne plus penser à lui.
Laisser la journée s'écouler, profiter des bons moments, rassurer, apprendre, être patiente.
Et puis le soir arrive, elle retrouve son conjoint et son ado, elle est repassée acheter de quoi faire une soupe. Pas de musique, la tv déclame les infos, en vod parce qu'il est tard. Ça va trop fort pour elle. Et il y a trop de lumière. L'ado en a marre de la soupe, le conjoint raconte sa journée. Et toi ça a été ? Oui oui nickel.
Bien sûr, elle taira les plaies encore ouvertes du matin.
// Il quitte la bibliothèque universitaire pour reprendre le métro. Il fait déjà noir. Il met sa capuche malgré qu'il ne pleut plus. Les mains dans les poches. La fatigue lui barre le front, les lumières de rue sont un peu crues. Heureusement il fait calme, il entend plus loin la circulation des rues plus fréquentées. Ses pas résonnent sur le trottoir un peu humide.
Elle, elle s'inquiétait pour lui. "Mais t'as pas peur de rentrer si tard ? Moi je serais tétanisée". Il sourit en se souvenant comme il l'avait laissée sans voix en lui répondant "Oh tu sais en général c'est plutôt de moi dont on a peur". Après elle avait été désolée et il lui avait envoyé de la musique.
Il la chasse encore de son esprit. Ne plus penser à elle.
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Hier je me suis enfin fait ma fameuse soirée pizza/the office qui me faisait envie depuis plusieurs jours, c'était chouette
(enfin à quel prix ? Depuis ce matin je suis malade bahahaha
En vrai je sais pas si ça vient de la pizza qui avait peut-être un truc pas frais ou si c'est juste mon corps qui est passé en mode alerte panique
Alerte panique parce qu'hier soir j'ai pas mangé, j'ai englouti tout ce qui était sur mon passage
Aka une pizza entière, un paquet de galettes au beurre, un paquet de chips bbq, des petits bonbons au café/noisette/chocolat
Ainsi que le petit repas mignon que mon chéri a ramené après son travail alors que j'étais remplie à exploser, c'est �� dire
Des lasagnes façon ratatouille avec un peu de viande dedans, une part de galette des rois ET DIEU MERCI J'AI QUAND MEME ÉTÉ CAPABLE DE DIRE STOP AUX CHURROS
Vraiment je comprends pas ce qui m'a pris, j'arrivais pas à m'arrêter de manger même si je savais et que je ressentais que mon corps était vraiment plein
Je commence un peu à m'inquiéter vis-à-vis de mon alimentation et de mon rapport à mon image quand même
Ce matin j'étais contente d'être malade parce que "au moins ça me fera peut-être perdre du poids plus vite si je reste malade comme ça quelques jours"
Je sais pas si je dois m'inquiéter alors que je suis hyper rationnelle et que je me rends compte du problème)
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23 novembre
premier jour de mon futur fertile et navigable, j'ai passé la journée à transformer mon poème d'hier en poème sonore sur garageband, c'est encore plus addictif que photoshop ce truc, si j'avais pas commencé à sentir la fatigue vers minuit j'y serais encore. j'ai téléchargé audacity en complément je m'amuse trop. et quand j'aurai un synthé et un micro, alors là, trop envie de faire une pièce sonore longue, bizarre, avec une histoire, plein de samples, des trucs d'émission américaines, mes chansons, etc. tellement de possibilités!! trop bête qu'y ait cette histoire de job et d'argent qui vienne foutre la merde. dans mon poème je dis je veux pas travailler, comme dans marrons glacés, c'est ma catch phrase pas très catchy, dans la version sonore je la crie et j'ai mis un écho dessus et on dirait rebeka warrior qui crie dans le sang dans mes veines. le jour de mon anniversaire elle mixait seins nus à paris, comme dans ma chanson, rebeka rebeka j'crois qu'je suis jalouse de toi moi aussi j'veux être dj les seins à l'air les bras musclés. j'en pouvais plus de regarder les vidéos en boucle en pensant à ce qu'aurait pu être ma soirée d'anniversaire.
ce matin j'ai ouvert les stories de r. et je l'ai vu sur scène avec sa guitare en train de faire yeaaaaaheaaheaaheaaheaaayeaaaaahhheaaah d'une voix aigue avec plein de vibes en pointant le public du doigt et puis pendant que j'étais en train de lui écrire il s'est mis en live et après une courte hésitation j'ai cliqué dessus et à chaque fois qu'il levait la tête de sa guitare pour regarder la caméra j'avais l'impression qu'on était en tête à tête et que c'était moi qu'il regardait, j'étais presque gênée toute seule derrière mon téléphone. je suis allée prendre une douche brûlante pour me défouler en hurlant STOP LOOKING AT YOUR FUCKING PHONE HE'S NEVER GONNA LOVE YOU BACK JUST FACE IT en reprenant les mêmes vibes en priant pour que personne ne soit en télétravail dans les environs. j'étais épuisée en sortant de la douche. ça me fait mal mais en même temps ça me fait rire, depuis le début ma relation avec lui me fait rire, il est drôle il me trouve drôle et il me rend drôle. je peux pas être dépressive avec lui. ce soir dans la cuisine en remuant le chou rouge je me disais qu'il était l'équivalent humain d'une chanson d'animal collective. ils m'aidaient à passer l'hiver quand j'étais au lycée. est-ce que r. m'aide à passer l'hiver? on est même pas en hiver encore. peut être qu'il m'aide à la fois à passer l'hiver et il me donne envie de mourir. l'un n'empêche pas l'autre.
bon à part ça ce soir avant de manger mon chou rouge aux pommes dégueulasse parce qu'il a cuit trop longtemps et que j'ai oublié le vinaigre parce que j'étais trop occupée à penser à animal collective et à r. pour cuisiner correctement, je suis tombée sur un post de l'actrice canadienne kelly mccormack qui parle de ses études à oxford et de son grand tour d'italie en 2018 quand elle souffrait d'une maladie respiratoire et que son médecin au canada lui a dit de changer de climat, alors elle a vidé son compte en banque et elle est partie plusieurs mois en italie comme les étudiants d'oxford au 18e siècle puis les poètes anglais et les romantiques allemands au 19e, ce qui a déclenché toute une série de questions existentielles dans mon esprit, à commencer par: what is it all for? où je vais? est-ce qu'il faut aller quelque part? est-ce qu'il faut construire quelque chose?
kelly mccormack faisait du sport de haut niveau quand elle était plus jeune, je crois, et puis elle est devenue actrice, elle a réalisé un film, ou elle l'a écrit je sais plus, et maintenant elle fait des études à oxford. elle veut tout faire et elle fait tout. elle y va. elle se lance. et si moi je meurs après avoir passé ma vie sur le canapé à regarder par la fenêtre à écrire dans mon journal et à fabriquer des trucs mineurs à l'ordinateur, est-ce que c'est grave? je veux dire, what does it matter? en sachant que j'aurai adoré chaque matinée passée sur ce canapé à traficoter dans mon petit monde? à la fin, est-ce que ça compte ce qu'on a fait, combien de choses on a accompli, ou on s'en fout? ou ce qui compte vraiment, c'est le plaisir qu'on a pris à faire les choses qu'on a faites, même si c'était juste rester assise sur le canapé à regarder par la fenêtre à écrire un journal et à traficoter sur un macbook? c'est pas une raison pour continuer à passer mes journées sur le canapé jusqu'à la fin de mes jours parce que je suis manifestement en train de péter un câble, mais ça m'aide au moins à dédramatiser tout ce que j'ai pas fait jusqu'à maintenant. parce que, sans vouloir être trop mindfulness cringe, tout ce qui compte vraiment c'est de faire de son mieux pour apprécier le maintenant, non? j'arrête pas de le perdre de vue ça. je suis trop perfectionniste à grande échelle. une fois ma psy de y a six ans m'avait dit qu'on était sur terre pour être heureux.se et j'avais intérieurement secoué la tête en me disant n'importe quoi celle-là elle vit dans quel monde, mais maintenant je vois.
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Sombre
J'ai pas l'habitude d'écrire quand je vais pas bien. Parce que j'ai peur de ce que je pourrais mettre. Écrire ce que je pense, ça donne trop de consistance à ces pensées. ça les rend un peu trop réelle. Mais peut-être que ça fera du bien. De les mettre sur papier. Ou plutôt sur écran. De vider mon être de toute cette noirceur. C'est pas si noir. C'est juste très sombre. Un gris déprimant. Comme un de mes vieux pulls. J'en peux plus de ce gris. Mais parfois, c'est comme s'il y avait plus aucune autre couleur. Juste du gris qui existe. Choisir entre gris foncé et gris sombre. Je crois que j'avais trop d'ambitions pour moi-même. Je pensais que je pourrai être qui je voudrais, j'avais une image de mon futur moi super pleine de succès, à l'aise en société, créative. Je pensais que je pourrais amener du changement, avoir de l'impact. J'avançais dans les études, ça me réussissait. J'avais toujours un peu cette peur au fond de ne pas être à la hauteur. Mais malgré tout, je voyais que j'avançais. Et là, je suis juste blasée. Depuis dix ans, j'ai l'impression que j'ai pas changé. J'ai toujours l'air pareil. Je me sens pas plus intelligente, j'ai pas l'impression d'avoir développé une expertise. Je me traine. Tenir, tenir, tenir. Une épreuve super nulle après l'autre. J'ai l'impression de faire que des trucs médiocres, de pas voir d'évolution. Me forcer à créer, ça me donne le vertige. ça me demande tellement d'énergie de produire quelque chose professionnellement, pour un impact aussi infime. Je ne sais pas ce que je dois changer. Si c'est sur ma vision des choses et mon estime de moi-même que je dois travailler. Mais ça fait dix ans que je me gave de développement personnel. Pourquoi je vais toujours pas bien ? Je peux pas accepter ma propre médiocrité. Je nourrissais beaucoup d'espoir vis-à-vis de ma propre vie. Et là, j'enchaine les jours et je m'en fous de tout. J'ai plus envie de rien faire. Plus envie de faire d'efforts. ça m'épuise déjà d'aller au boulot tous les jours. Juste tenir. Il y a plus rien qui reste après. Pourquoi lire, dessiner, se balader, rêver, faire des projets si c'est ça ne me donne plus aucun plaisir ? Quand le boulot aspire tout. Je termine la journée hypnotisée par un écran qui me donne juste le plaisir dont j'ai besoin pour tenir, tenir encore. Jusqu'à quand ? Et pourquoi ? J'ai un toit, un lit chaud, à manger. Pourquoi je ferais autres choses, le reste ne m'apporte plus rien. Tout est culpabilisant, tout pollue, tout fait du mal à quelqu'un dans le monde. J'ai plus envie d'acheter de vêtements, de toute façon rien ne me va ni ne me convient. Pas la bonne forme, la bonne couleur, puis je suis pas assez mince. Un livre de plus sur une étagère qui prend la poussière. Un jeu qui me lassera dans cinq minutes. Un achat, c'est un futur déchet. C'est de l'argent qui disparait pour un gadget inutile. Je connais tous les tips pour aller mieux. Mais c'est pas suffisant. Je suis blasée de chez blasée. Au bout du compte, j'ai envie de rien, je change d'avis toutes les cinq minutes. Je pense à un projet puis j'abandonne en imaginant tout l'inconfort supplémentaire que ça me procurerait. J'en ai déjà assez. Je suis déjà dans la survie. Ce monde va trop vite, produit trop, consomme trop, jette trop. Du contenu est produit en masse et une infime partie est lue avec attention. Je suis assommée par toutes ces informations. Je ne sais plus les intégrer. Les mots me passent au-dessus de la tête. J'oublie la moindre chose nouvelle que je viens d'entendre. Je crois savoir comment quelque chose fonctionne mais si j'y réfléchis, je suis incapable de l'expliquer. Je vis de manière superficielle. Je veux ralentir mais je ne sais pas si je peux faire partie de ce monde si je le fais. Je me sens entrainée, j'ai pas le choix. J'ai l'impression que tout se joue dans l'instant. Tout presse, tout est pressant. Pas le temps de prendre du recul, d'assimiler. Agir, produire, agir, produire, consommer, produire, garder le visage à la surface.
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De toi à moi
Aujourd'hui, je suis Maman. Et outre ma magnifique petite fille, j'ai une autre obsession : mon corps.
En 2019 je passe un pallier positif grâce à un rééquilibrage alimentaire*, je sors du surpoids, je me sens mieux, plus désirable, je prends plaisir à m'habiller, j'ai moins de douleurs, et je peux me faire plaisir sans problème. Mais voilà, la vie fait que je me retrouve presque avec mes anciennes formes.
Alors oui c'est pour la bonne cause, fabriquer un bébé est un miracle de technologie ^^ et il faut de nombreux mois pour s'en remettre physiquement et psychologiquement. Mais comme toute Maman, ce bébé prend toute la place dans ma vie, et il est impossible de faire des efforts alimentaires, pas le temps de cuisinier, pas évident de trouver un créneau pour manger donc la stabilité de vie on oublie, sommeil encore plus déréglé qu'avant et cela influe sur le poids, pas envie de faire des efforts... la seule envie que tu as, c'est de te faire plaisir car clairement c'est tout ce qu'il te reste.
Tout le monde me dit que je suis belle, j'ai même entendu que j'étais bonne. Cela ne me fait pas rire, je n'y crois juste pas du tout, je sais qu'ils sont sincères, mais je ne sais pas s'ils ont des gouts de chiotte ou si c'est moi. Mais ce sont des gens que j'aime, et s'ils sont unanimes c'est que J'AI tort. Je me dis qu'ils ne sont pas objectifs car ils me connaissent, ils m'aiment, la valeur que j'ai à leurs yeux altère l'image réelle. Mais au final, ce qui est important, c'est la valeur que j'ai à leurs yeux... Même si je le sais, impossible de me défaire de ces complexes. (Oulala faut que je me rattrape Non mon Amour tu n’as pas des gouts de chiotte XD).
Outre le surpoids post-partum, j'ai une peau affreuse. Je viens de tomber par hasard sur une photo d'une modèle que je suivais vite fait (Miss Deadly Red), un gros zoom sur ses cuisses, et j'ai été interpelée; je suis donc allé voir ses photos et constate qu'elle a prit 20 kilos... Elle continue les shootings et s'assume complètement, elle se maquille beaucoup moins aussi. Ce n'est plus du tout la même personne, elle disait qu'avant elle se privait de manger et tout, il y avait donc bien un malaise dans sa tête malgré les apparences. Aujourd'hui elle a l'air libérée, même si je la trouve beaucoup moins belle. En soi, ça reste une belle femme dans le sens où on est vraiment plus proche de la réalité (seins qui tombent, cellulite..). Et comme j'ai sûrement de la merde dans les yeux, elle est en théorie encore plus belle qu'avant. Ce qu'elle a réussi à faire c'est chouette et j'espère que ça va en aider plus d'une.
J'ai toujours envie de sortir de ce surpoids, mais peut-être serai t'il préférable de ne pas aller jusqu'au step qui pourri la vie de toutes les femmes : l'IMC idéal, qui en soit ne veut pas dire grand chose, mais qui nous rends si malheureuses, car si après milles efforts on y arrive, il y a une grosse pression pour y rester. Et le mental doit travailler tout autant pour ne pas vouloir aller toujours plus loin et se mettre en danger, ni de jalouser celles qui sont nées toute bien faite (et c'est là qu'il y a une justice, elles ont toujours un énorme truc négatif pour équilibrer ce joli physique -- bouh que je suis vilaine).
Je pense être consciente de mon image telle qu'elle est vraiment, mais elle n'est pas ce qui me fait kiffer, mon corps ne correspond pas à mes critères de beauté à moi. Alors non je ne suis pas fan des nanas toutes maigres, mais il y a un “juste milieu”.
A TOI qui es bonne mais qui a une vision faussée de ton image, acceptes ta situation, et bas-toi pour voir ce qui merde vraiment. Tu n'es pas obligée de t'accepter comme tu es, mais si tu découvres d'où vient ton souci (source familiale, scolaire, insta, d'avoir été dans l'ombre de tes jolies copines..), et que tu te rends compte que ce n'est pas du gras, ce sont les plis de ta peau, que ce chiffre sur la balance, ce ne sont plus que tes os, que ce que tu hais, ce ne sont pas les kilos, mais ces hanches trop petites qui font difformes, tu as gagné une bataille ! Ou tu peux te faire raboter les os...
Toutefois, j'espère bien que tu es capable de séduire avec uniquement ton esprit sinon tu crains ^^.
Bref fais pas ta salope pour gagner en confiance, et n'hésites pas à consulter, l’Amour de soi est l’un des plus grands combat. Même si nous devrions nous contenter de notre toit sur la tête, du frigo plein, d’être dans un pays en paix, et de ne pas encore avoir le cancer...
Bisous.
* Le rééquilibrage alimentaire était accompagné d'un suivi psy, c'est primordial pour faire disparaitre le mal-être. Vous devez trouver le spécialiste qui prend soin du physique ET du mental au risque de vous retrouver avec une dysmorphophobie ou un dérivé, si c’est pas déjà le cas.
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Les projets
Chers amis, comment vous dire.
La gestion du stress, en ce moment, ça se passe un peu comme ça : https://youtu.be/KkGTB8ESMCM
Mais aussi comme ça : https://youtu.be/JNxh3r0346Y
Tout en étant ceci :
Ou, plus concrètement :
Ça n’a jamais été mon fort, il faut dire. La question est : pourquoi en ce moment particulièrement ?
La réponse est la suivante : les projets.
J’en ai. Plein.
Plein de choses à faire, plein de choses à penser.
Et je découvre de nouveaux sommets de terreur. Je marche sur des oeufs l’estomac noué. Je combine l’appréhension avant de les faire (“vais-je y arriver”), l’angoisse en me lançant (“je vais pas y arriver”) et l’anxiété de l’après (“J’y suis arrivée ? Y’en a d’autres, des comme ça ?”). Le packaging de les montagnes russes qui ne s’arrêtent jamaaaiiis <3
Quelle idée, mais quelle idée aussi.
Ça mérite une explication.
Je vous présente Madame. Madame a un intellect assoiffé de connaissances, qui a besoin d’être occupé constamment sous peine de crier famine à la moindre pause. Madame a aussi vaguement envie de s’exprimer et d’essayer des trucs. Alors Madame s’investit dans des projets, Madame décide de faire des machins plus ou moins artistiques. Et ça prend ! Il y a des trucs chouettes qui se préparent. Mais… Tout ça, c’est rémunéré ? Et avec, y'a de quoi manger ?
C’est là qu’advient la question du travail. Et Madame en a un peu ras-la-moule de le travail. Plus précisément de dédier 39h à un job frustrant sur tous les plans, à l’exception de celui de ramener de l’argent à la maison. C’est déjà quelque chose, me direz-vous. Mais cette seule satisfaction ne suffit plus. Madame veut du sens.
Forte de cette résolution, il y a quelques mois, je me suis dit “Allez, ça y est, cette fois, je me prends en main et je me RÉORIENTE.” en me promettant des lendemains qui chantent.
C’était oublier ma peur panique du changement. Et ma légère tendance à reculer lorsqu’il s’agit de mettre les mains dans le cambouis et de PRENDRE DES DÉCISIONS. Et ma propension à paniquer quand je me retrouve à attendre telle nouvelle date, telle nouvelle étape.
Sauf que… Après, disons, une trentaine d’années dans ce schéma-là, je pense en avoir à peu près fait le tour. Et j’en ai plus que marre de me réveiller tous les matins avec la seule perspective de passer la journée à m’ennuyer. Il faut que ça change. J’en ai besoin.
D’où les projets. Et là, ça se gâte. Parce que ça implique des délais à respecter. De la fiabilité vis-à-vis de ceux et celles auprès de qui je m’engage. De la discipline. J’ai des comptes à rendre, y compris quand je suis seule à mener la barque. Et ce même si je n’ai pas la motivation, même si le moral ne suit pas. Il faut se sortir les doigts, se décoincer, mettre de côté l’envie de chouiner. Allez hop hop hop, petites foulées !
Afin de remédier à mes tendances procrastinatrices et recevoir mon quota de dopamine, j’ai pensé à la solution suivante : avoir des choses à faire sur du court, moyen et long terme. Comme ça, me disais-je, j’aurai de quoi satisfaire mes demandes de récompense immédiate (je suis un enfant) tout en me stimulant pour les plus tardives. Ceci étant dans l’idéal.
Ce même idéal dans lequel je peux tout faire. Mener une carrière artistique et littéraire, exercer la profession de mes rêves tout en sauvant des chats et des oiseaux, lire plein de bouquins, jouer de tous les instruments de musique, avec une petite place pour les amis et la famille.
Ben voyons.
Pour le moment, je me retrouve avec du boulot dans tous les sens, un jeu d’équilibriste perpétuel, et donc du stress sur tous les termes.
Mais c’est pour la bonne cause, il paraît.
Alors, pour calmer la voix du stress, j’agis.
J’écris des mails, j’appelle des gens, je parle. Je me bouge. J'ai l'impression d'avoir mené ma barque bien plus loin en quelques mois qu'en deux ou trois ans auparavant. J’ai même fait un Plan de Conquête du Monde avec des post-its. Comme ça, j’ai tout sous les yeux. Et moins d’excuses pour oublier, moins d’excuses pour laisser tomber en cours de route. Plus de raisons de plonger les mains dans le cambouis. Plus de raisons pour faire au moins une chose par jour en lien avec tout ça, et moins me sentir comme une merde à la fin de la journée. Mais voilà, il faut s’y mettre. Cesser de tourner en rond devant le cambouis, prendre une inspiration et s’y jeter la tête la première.
Hmf.
Quelle idée de vouloir tout faire en même temps, mais quelle idée...
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Vendredi 30 juillet 2021
Always crushing on the wrong girl
Le mois de juillet est en train de s'achever et voici plusieurs semaines que je vis dans ce nouvel appartement. Je me suis vite habitué à cet environnement là. On y est plutôt bien. Les voisins sont quasiment invisibles et comme il n'y a pas d'étage supérieur au notre, je peux écouter des disques le soir sans embêter tout le monde (j'ai encore le souvenir de ces fois où dans mes précédentes habitations les voisins fous de rage cognaient pour protester lorsque j'écoutais un disque de rock n roll après 21 heures, l'enfer).
J'ignore ce qui m'a prit d'écrire ce soir. Je venais de prendre un petit repas nocturne et furtif (jambon blanc, pain et Saint Nectaire, le tout englouti sur mon lit à la va vite comme si je n'avais pas mangé depuis une semaine) et puis j'ai eu envie d'écouter cet album de Lana Del Rey que j'aime tant, le tout en faisant une activité qui me détendrait, alors forcément, j'ai songé à l'écriture. Qu'est-ce que j'aurai à raconter ce soir ? Je n'en sais rien, je vais improviser et gérer avec une petite inconvenance, à savoir l'abscence de mon correcteur d'orthographe qui semble avoir disparu de mon traitement de texte sans aucune raison apparente.
Hier j'ai passé une mauvaise soirée, j'ai commencé à broyer du noir, toujours la même histoire que vous connaissez bien vous qui me lisez depuis longtemps :
Oh mon Dieu, pourquoi suis-je si misérable ? L'amour m'est il interdit ? Pourquoi est-ce qu'elles ne m'aiment pas, je suis pourtant si intéressant comme garçon, et puis ma maman dit que je suis vachement séduisant, ah, la vie est si injuste ! J'envisage le suicide si je n'ai pas pris une fille dans mes bras avant l'an 2025 !
Bon, ça m'arrive environ tous les mois et demi, en général je déprime une journée ou deux et hop, je redeviens vite opérationnel. Cette fois ci j'ai trouvé le salut à l'aide de la musique, il m'a suffit d'écouter un album (Ram de Paul McCartney) pour retrouver soudainement goût à la vie. Après tout, si je peux avoir encore tant de plaisir en écoutant un disque, alors peut être que la vie n'est pas si moche!
Les disques devraint être remboursés par la sécurité sociale !
Ces derniers jours j'ai fait la connaissance d'une jeune fille via Instagram. Une merveilleuse créature qui semble être tout droit sortie d'une publicité pour un parfum chic, une espèce d'incarnation de la française idéale un peu comme on en voit dans les films étrangers. Nous avons échangés sur la musique (pas étonnant, dites vous) et puis on a discuté de plein d'autres choses. Et puis au détour d'une phrase anodine, elle m'a dit qu'elle avait un copain. Toujours pas étonnant. Mais ça ne m'a pas dérangé plus que ça, je suis heureux de la connaître et de discuter avec elle, moi qui pensait que ce genre de fille ne me donnerait même pas l'heure dans la rue. Eh bien elle, elle est belle ET gentille, ouais, ça existe. J'espère qu'on va pouvoir continuer à discuter encore comme ça, j'ai plein de choses à lui raconter et ces derniers jours, rien ne m'a rendu plus heureux que nos conversations ! Si tu passe par là, adorable créature, ne change rien, t'es top (cette expression n'a pas été utilisé depuis 1995), et je te promet que je vais tout faire pour ne pas devenir fou de toi, parce que ce ne serait pas raisonnable, n'est-ce pas ?
Au moment où j'écris ces lignes je suis en train de discuter avec Florian, qui est un peu dans la même situation que moi niveau misère sentimentale. C'est bon de savoir qu'on est pas seuls dans cette galère. Florian, courage ! Et continue de jouer de la guitare, c'est pas donné à tout le monde d'avoir ton talent.
Depuis quelques semaines, voir un peu plus d'un mois, je passe pas mal de temps à mater des vidéos sur Tiktok. Longtemps je me suis dit que c'était un truc pour les jeunes et que ce n'était plus de mon âge. Et puis à force de voir des gens se filmer en disant des bêtises afin de faire rire d'autres gens, j'ai pensé que je pourrais moi aussi essayer, après tout, pourquoi pas. Aujourd'hui je m'y suis mit et j'ai pondu 5 petites vidéos. Je pensais obtenir 4 ou 5 vues d'ici la fin de la journée, telle était mon ambition et, à l'heure où j'écris ces lignes 4 des 5 vidéos ont obtenues plus de 100 vues et la plus vue en affiche 714. J'ignore comment tant de gens ont pu tomber sur mes vidéos mal foutues mais ça m'a fait sourire de penser que tant d'étrangers ont pu voir ma tronche déblatérer des conneries. Désormais, je note plein d'idées de petites vidéos et je les posterais régulièrement tant que ça m'amusera.
Cette semaine avec Canel nous avons décidé d'aller au cinéma et, tant qu'à faire, d'aller manger dans un restaurant japonais avant la séance. Ca a suffit à me rendre joyeux, j'ai hâte que ça arrive. Ca me fait du bien de voir mes amies. Si ça ne tenait qu'à moi je verrais Canel et Justine plus régulièrement. Peut être que ce sera le cas lorsque je me serais installé à Clermont.Peut être que cette future vie en solo va s'avérer excitante, qui sait !
Bande son : Norman Fucking Rockwell, Lana Del Rey
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