#j'ai du écouter cette chanson 100 fois depuis les deux derniers jours
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Paroles : Il fait toujours beau au-dessus des nuages It's always sunny above the clouds Mais moi si j’étais un oiseau j’irais danser sous l’orage But if I were a bird I'd dance under the storm Je traverserais les nuages comme le fait la lumière I'd fly through the clouds as the light does J’écouterais sous la pluie la symphonie des éclairs I'd listen to the symphony of lightning under the rain Dès sa plus tendre enfance, elle ne savait pas From her earliest childhood, she didn't know how to Parler autrement qu’en criant tout bas Speak except by shouting softly Pas faute d’essayer de les retenir Not for lack of trying to hold them back Ces cris et ces larmes qui les faisaient tant... Those screams and those tears that made them so… Il fait toujours beau au-dessus des nuages Mais moi si j’étais un oiseau j’irais danser sous l’orage Je traverserais les nuages comme le fait la lumière J’écouterais sous la pluie la symphonie des éclairs En grandissant rien ne s’est calmé As she grew up, nothing calmed down Petite tempête s’est trouvée Little storm found for herself Des raisons de pleuvoir autant Reasons to rain so much Qui pourrait l’aimer franchement ? Who could love her honestly ? Personne n’aimerait se retrouver No one would like to find themselves Au cœur d’une tempête avouez In the heart of a storm, admit it Il y a des raisons de pleurer There are reasons to cry Elle a ses raisons mais She has her reasons but Il fait toujours beau au-dessus des nuages Mais moi si j’étais un oiseau j’irais danser sous l’orage Je traverserais les nuages comme le fait la lumière J’écouterais sous la pluie la symphonie des éclairs Quand la tempête a su When the storm found out Que des mélodies That melodies Pouvaient s’échapper du vent Could escape the wind Et se retrouver And find their way Dans le cœur des gens Into people's hearts Celle-ci s’est dit This one said to herself Nulle raison d’envier le soleil There's no reason to envy the sun Je ferai danser les gens I'll make people dance Au rythme de mes pleurs To the rhythm of my cries La tourmente de mes chants The torment of my songs Viendra réchauffer les cœurs Will warm hearts Réchauffer mon cœur Warm my heart Il fait toujours beau au-dessus des nuages Mais moi je suis de ces oiseaux qui nous font danser sous l’orage Je traverserai tous les nuages pour trouver la lumière En chantant sous la pluie la symphonie des éclairs
#frenchblr#j'ai du écouter cette chanson 100 fois depuis les deux derniers jours#french music#Youtube#zaho de sagazan
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Cher journal, Me voilà de retour à Granby aujourd’hui. Je retrouve mes affaires et ma chambre d’hôtel, mon lit; soigneusement refait. Tout semble calme, seule la climatisation ronronne. Nu face à mon écran d'ordi, je tente d’aligner deux phrases à-peu-près correctes. C’est bien simple si je ferme les yeux je m’endorsssssssssssjigrhirhdfhrtei »r’rtkgyhjrstkdgjlsdqrt’égr !!!!!!!!!!!!!!ik k,lol===ijomn,oïl;okijk,l;:;dzfjmgk………………… Christ! J’ai piqué une tête sur le clavier, maintenant j’ai mal au nez. Hier soir j’étais à Montréal, pour jouer aux Quai des Brumes, une date bookée par l’ami Raph. Il faut voir ce lieu comme une institution mythique de la rue St Denis, comme l’était Le Bateau Ivre à Rouen, rue des sapins. Tous les musiciens d'ici s’y rendent un jour où l’autre pour y jouer ou pour écouter d’autres musiciens jouer (la deuxième info reste à confirmer). Ça se passe comme ça tous les soirs. J’étais donc très heureux d’y venir à mon tour. Nous étions partis vers 11h45 du Castel, avec les marseillais de MPL - Ma pauvre Lucette qui reprenaient l’avion, les amis Belges de Rives et Julien, leur manageur. Eux aussi avaient un show le même soir à l’Escogriffe, un lieu à 100 mètres du Quai des Brumes. Quand le chauffeur nous a déposé à la gare routière de Montréal, nous nous sommes promis de nous revoir le soir même pour éventuellement consommer quelques verres ensemble et échanger nos expériences avec les drogues de synthèse. Ce programme me plaisait bien et nous partions chacun de notre côté vivre nos rêves. J’ai alors passé ma journée à marcher sur le Plateau. D’abord je me suis gracieusement perdu. Il faisait beau et les gens l’était aussi. Je vagabondais aux travers de larges rues débordantes d’activités humaines et mobiles, j' essayais malgré moi de refaire le parcours de l’an passé, lorsque nous étions venus avec Titi et Lulu, pour les Francofolies. Les cousins nous avaient fait visiter Miles End, le Plateau et nous avions fini au monument à Georges Etienne Cartier à écouter une fanfare de djembés. je me souviens qu’il faisait au moins 40°C, et que mon jean slim noir avait fusionné avec ma peau haliteuse. J’ai fini par trouver un super endroit où tu peux manger une poutine burger aux champignons, boire des bières et ensuite te faire masser sur ta chaise. Pour seulement 35$, sans les tips. Quand je me suis réveillé, il était comme 16 heures. Le serveur est revenu avec une pinte de Boréale rousse, c’était compris dans le forfait. J’ai repris mon chemin vers le nord, je ne me souvenais plus que l’étui de ma guitare était aussi lourd. Par chance le quartier fourmillait de micro-brasseries, où sont élaborées des bières tous plus surprenantes les unes que les autres. J’ai donc mêlé l’utile à l’agréable, en faisant des pauses assez régulières, en terrasse. Quand je suis enfin arrivé avenue du Mont Royal, j’avais l’impression que la population avait doublé d’un seul coup. La rue était piétonne et les commerçants avaient prévu des échoppes volantes à l’extérieur, afin de liquider leurs fins de séries. J’ai failli craquer sur un mug caribou qui criait Tabarnak au milieu de la forêt. À 2$ au lieu de 15. Mais je me suis repris avant de partir avec une merveilleuse femme aux seins nues sur un tee-shirt blanc, taille S. J’étais tellement fasciné par la foule, les accents, les odeurs délicieuses de sandwich à la viande fumée, que j’ai marché plus loin que prévu jusqu’à l’avenue Papineau. J’ai dû faire demi-tour pour trouver le Quai des Brumes que j’avais dépassé sans m’en rendre compte. Monsieur Raph m’a rejoins vers 19h alors que je parlais géo-politique avec Blanche, une des serveuses. Celui-ci a pris la discussion en cours et une pinte de « Coup de Grisou ». Guillaume le sonman est arrivé à son tour, Raphaël a installé tous ces instruments et ses pédaliers samplers. Il rode encore son nouveau spectacle avant de partir en Colombie afin de finir son prochain album. Il aime bien ça voyager, ça se ressent dans sa musique et ses textes, il en parle souvent. Il est français d'origine et vit depuis 10 ans à Montréal; il faut que tu ailles écouter ses tounes. Ça vaut le détour. On s'est connu il y a 4 ans au Festival international de la chanson de Granby. Depuis nous sommes restés en contact par Messenger. Cela faisait comme si nous nous étions quittés il y a 2 semaines. J'ai souvent cette sensation ici au Québec, avec les personnes rencontrées depuis 4 ans. Des liens impalpables se nouent et résistent au temps, aux intempéries de l'existence. J'aime ça. Avant ma représentation, la gang des cousins est arrivé. Sam, Lara et Rémi se sont installés au premier rang et nous avons écrit le set ensemble, j'ai composé avec les titres qu'ils me soufflaient, en 5 minutes j'avais le goût de monter sur scène. Là est arrivée Judith, nous nous étions rencontrés deux semaines plus tôt lors d'un concert à Champanges, Haute Savoie*, France. Elle venait d'arriver à Montréal pour ses études et a vu que j’y jouais, elle est donc venue et s'est proposé spontanément pour organiser le cover charge**. Le public était nombreux et avait pris place dans la salle. J'ai commencé mon set et Sam me backait*** merveilleusement bien. Il a fait 50% du job, accompagnant la salle dans des moments de plus en plus intenses. Du fait, tout le monde a eu suffisamment de fun pendant toute la durée de ce tour de chant acoustique. Ensuite Monsieur Raph a pogné les spectateurs à son tour, avec ses chansons atmosphériques qu'il échafaudait avec dextérité, sous nos yeux ébahis. Même son solo de didgeridoo est passé crème. Chacun en avait eu pour son argent. J’ai vendu deux disques et on m'a offert deux bières. Égalité parfaite; soirée réussie. J'étais bien euphorique. J'ai alors retrouvé François, un autre musicien montréalais, avec qui j'avais joué à Granby. On a fini la soirée à s'offrir des verres en se remémorant de vieux souvenirs, comme la soirée à St Ambroise où nous avions monté ce groupe fulgurant; les "CHOC". Nous reprenions le répertoire des Clashs, en français. Ça avait fière allure, même Lynda Lemay avait dansé ce soir là! Raph et moi allions partir, la voiture était chargée mais la fête continuait dans les rues de Montréal. Rives et Julien sont apparus de cette effervescence festive. Visiblement en verve, nous avons entamé des conversations, sans jamais les finir ; « est-ce à Bruxelles..? » Ou bien « ça, en France par exemple... » C’était super intéressant. Ainsi, grâce à leurs conseils je suis prêt à envahir la Belgique, j'ai un plan imparable. Il faut juste que j'envoie un mail à Julien. Ce dernier a disparu ensuite, par une toute petite porte, ressemblant à une trappe à chats, située juste à côté du quai des brumes. Il s’était plié en deux et m'invitait à le suivre, tel le Lapin Blanc. Apparemment il connaissait bien l’endroit. Un petit escalier en damier, baignant dans une lumière rouge, menait à l’étage. Chris Isaak y interprétrait « Wicked Game », en Si Dorien sur un kick de 808. J’étais très intrigué cependant je n'ai jamais réussi à le rattraper. Je restait bloqué dans l'ouverture de ce cloaque, au niveau du bassin, ce qui me mis dans une posture délicate pendant quelques minutes. Finalement, je me suis senti partir en arrière, quelqu'un me tirait par les pieds. C'était Raph. Il me récupéra sur le trottoir et me porta jusqu'à sa voiture. Il avait décidé de me faire visiter Montréal by night avant d'aller travailler. Mais à peine avions nous dépassé l'Oratoire St Joseph que Guillaume le sonman nous appela en catastrophe. Nous avions oublié la caisse, avec tout l'argent des entrées, dans le bar à la portée de n'importe quel pickpocket de base. Raph fit un frein à main sur le pont Champlain pour récupérer au plus vite notre butin. Quand nous sommes arrivés nous avons pris le plus beau savon de notre vie de la part de Christelle la serveuse en chef. Nous regardions nos chaussures avec insistance. L'orage est passé ainsi et elle nous a rendu notre recette. Nous avons déguerpis tels de coyotes coupables. Ralph m’avait préparé une chambre chez lui. C’était celle de son coloc, qui était parti dans le désert de Sonora, il y a 5 ans. Il avait juste laissé l’affiche du film Erin Brockovich avec Julia Roberts. Mon fantasme de jeunesse. Dès fois la vie raisonne adon. Avant d’aller définitivement nous coucher, nous nous fîmes une playlist sur Youtube, plutôt cool, sans aucuns morceaux d’Ed Sheeran. Ralph ramena alors deux bonnes bières de Montréal que j’avais sans aucun doute loupé l’après midi. Au bout d’un quart d’heure il était déjà 4H55 du matin. Ralph m’a trouvé un co-voiturage, avec l’ancien gérant de Lynda Lemay. On a bien parlé sur la route du retour et le trajet est passé vite. Vers 20H, j'irai au spectacle « Musique de notre monde » et demain sera mon tout dernier show à Granby, pour la soirée « beau comme on s’aime » avant de rentrer en France. Je te raconterai. Je t’embrasse, en vibrant plus fort encore. Foray Ps: Je te joins un rapide croquis de la devanture du Quai des Brumes. Tu peux y voir, à gauche, Raph arriver, avec son gros fly-case plein de matos. À droite, la petite porte vers le wonderbarland de Julien. *voir post "les rescapés de Champanges" #estour#CCAS #2018 ** tenir la caisse des entrées, en France on dit PAF (participation aux Frais) *** faire les chœurs – avec Monsieur Raph et Quai des Brumes.
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