#influencer & La baronne
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Two moments from Mme Danglars’ reflections upon her daughter, in which I invite you to consider the difference between “not only because” (in the older translation) and “not because” (in the newer):
Or, Mme Danglars redoutait la perspicacité d’Eugénie et les conseils de Mlle d’Armilly, elle avait surpris certains regards dédaigneux lancés par sa fille à Debray, regards qui semblaient signifier que sa fille connaissait tout le mystère de ses relations amoureuses et pécuniaires avec le secrétaire intime, tandis qu’une interprétation plus sagace et plus approfondie eût, au contraire, démontré à la baronne qu’Eugénie détestait Debray, non point parce qu’il était dans la maison paternelle une pierre d’achoppement et de scandale, mais parce qu’elle le rangeait tout bonnement dans la catégorie de ces bipèdes que Diagène essayait de ne plus appeler des hommes, et que Platon désignait par la périphrase d’animaux à deux pieds et sans plumes.
Now, Madame Danglars feared Eugenie’s sagacity and the influence of Mademoiselle d’Armilly; she had frequently observed the contemptuous expression with which her daughter looked upon Debray,—an expression which seemed to imply that she understood all her mother’s amorous and pecuniary relationships with the intimate secretary; moreover, she saw that Eugenie detested Debray,—not only because he was a source of dissension and scandal under the paternal roof, but because she had at once classed him in that catalogue of bipeds whom Plato endeavors to withdraw from the appellation of men, and whom Diogenes designated as animals upon two legs without feathers.
Now Madame Danglars was in awe of Eugénie’s perspicacity and the advice of Mlle d’Armilly. She had intercepted certain contemptuous looks cast by her daughter in the direction of Debray – looks which seemed to indicate that Eugénie knew all about her amorous and financial relations with the private secretary. In fact, a better-informed and closer examination would have told her that Eugénie detested Debray, not as a cause of disruption and scandal in her father’s house, but quite simply because she classed him among those bipeds whom Diogenes tried to avoid describing as ‘men’ and Plato designated under the circumlocution ‘two-footed animals without feathers’.
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Mme Danglars, à son point de vue, et malheureusement dans ce monde chacun a son point de vue à soi qui l’empêche de voir le point de vue des autres, Mme Danglars, à son point de vue, disons-nous, regrettait donc infiniment que le mariage d’Eugénie fût manqué, non point parce que ce mariage était convenable, bien assorti et devait faire le bonheur de sa fille, mais parce que ce mariage lui rendait sa liberté.
Unfortunately, in this world of ours, each person views things through a certain medium, and so is prevented from seeing in the same light as others, and Madame Danglars, therefore, very much regretted that the marriage of Eugenie had not taken place, not only because the match was good, and likely to insure the happiness of her child, but because it would also set her at liberty.
From her own point of view – and unfortunately in this world everyone has his or her own point of view which obscures that of others – from her point of view, then, Mme Danglars regretted infinitely that Eugénie’s marriage had been broken off, not because the match was suitable, compatible and destined to make her daughter happy, but because it would have given her back her own freedom.
And a moment from later where the older translation plays it safe:
Debray se défendait en homme qui ne demande pas mieux que d’être vaincu; car souvent cette idée s’était présentée d’elle-même à son esprit, puis, comme il connaissait Eugénie, son caractère indépendant et altier, il reprenait de temps en temps une attitude complètement défensive, disant que cette union était impossible, en se laissant toutefois sourdement chatouiller par l’idée mauvaise qui, au dire de tous les moralistes, préoccupe incessamment l’homme le plus probe, et le plus pur, veillant au fond de son âme comme Satan veille derrière la croix.
Debray did not defend himself very warmly, for the idea had sometimes crossed his mind; still, when he recollected the independent, proud spirit of Eugenie, he positively rejected it as utterly impossible, though the same thought again continually recurred and found a resting–place in his heart.
Debray was defending himself like a man who asks nothing better than to be defeated. The idea had often occurred to him of its own accord. But then from time to time, knowing Eugénie, with her independent and haughty character, he would adopt a completely defensive attitude, saying that the match was impossible; yet meanwhile allowing himself to be secretly titillated by the wicked thought that (if moralists are to be believed) incessantly worries at the most honest and the purest of man, lurking in the depth of his soul like Satan behind the Cross.
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This was, after all, a society in which the claims of Franz Mesmer to effect cures by the use of 'animal magnetism' were also taken seriously. The Baronne d'Oberkirch visited him too, and he fascinated among others the Marquis de La Fayette as well as Marie Antoinette herself, although it was the scientific-minded Louis XVI who initiated the investigation that caused Mesmer's fall from Parisian favour.
Marie Antoinette: The Journey by Antonia Fraser, Chapter 15. Lafayette was interested in new discoveries like most of his Enlightenment contemporaries. He was taken by the notion of animal magnetism, an invisible natural force supposedly possessed by all living things that could be influenced to provide health benefits.
#Animal Magnetism#Franz Mesmer#Baronne d'Oberkirch#Marquis de Lafayette#Marie Antoinette#Louis XVI#Marie Antoinette: The Journey#Antonia Fraser#Chapter 15
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George Sand
Femme de pouvoir et intellectuelle 1804-1876 France
George Sand est souvent cantonnée à ses amours tumultueuses ou ses romans tardifs sur la campagne berrichonne. Nul doute cependant que de son vivant elle a, plus que des passions scandaleuses et un amour immodéré pour son Berry natal, tout fait pour changer les codes d’une époque où les femmes ne pouvaient jouir ni de leur fortune ni de leur personne.
Aurore Dupin, baronne Dudevant, revendique très tôt un abandon des codes traditionnels de la féminité bourgeoise qu’elle aurait dû gentiment accepter. Malheureuse dans son mariage, qui, comme la loi l’impose en ce XIXe siècle, a transféré sa fortune à son mari, elle laisse ce dernier à la campagne pour écumer les salons littéraires parisiens. Rapidement, elle s’habille en homme et écrit sous le pseudonyme George Sand, ce qui lui permet d’être davantage prise au sérieux par son éditeur comme son lectorat. Le succès vient très vite, et ne la quitte jamais. George Sand, intarissable, produit une œuvre prolifique de 150 volumes où elle défend le libre arbitre et l’émancipation des plus défavorisés.
Outre ses nombreux romans, Sand entretient des correspondances soutenues avec d’autres monuments littéraires : Fiodor Dostoïevski et Victor Hugo. Ses amis et confidents sont Gustave Flaubert, Honoré de Balzac, Franz Liszt ou encore Marie d’Agoult, et parmi ses nombreux amants, on compte Mérimée, Musset, et Chopin.
Sand crée des journaux politiques, revendique l’émancipation du foyer et l’importance des droits civils des femmes, l’abolition de l’esclavage et un suffrage censitaire universel : autant de positions qui font d’elle une légende vivante que chacun veut lire et entendre. Si son rôle politique est prépondérant sous la IIe République, il n’en est pas ainsi sous le Second Empire : ses positions la contraignent à l’exil dans son Berry natal, tandis que son œuvre est mise à l’index. Cependant son influence ne décline pas, bien au contraire : sa demeure de Nohant est un lieu de création et de réflexion, où séjournent les grands artistes de son époque.
La mort de George Sand en 1876 est célébrée nationalement. Si son apport politique est aujourd’hui moins présent dans la mémoire collective que son image d’icône libre et passionnée, George Sand reste célébrée pour son rôle émancipateur inspirant toutes les générations : son portrait était fièrement exhibé en 2017, lors des mobilisations de la Women’s March de Washington.
[A Paris : Rue dans le 16e arrondissement / Statue dans les jardins du Luxembourg]
Photo : George Sand par Nadar - Domaine public
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La visite de l’exposition FUKAMI à la Fondation Salomon de Rothschild permet de plonger dans la culture ancestrale et contemporaine du Japon à l’occasion de la commémoration du 160ème anniversaire des relations diplomatiques entre le Japon et la France et inaugure toute une année consacrée à cette rencontre appelée “Japonismes 2018”.
FUKAMI – Une plongée dans l’esthétisme japonaise
Fondation Salomon de Rothschild
Du 14 juillet au 21 août 2018
Commissaire : Yuko Hasegawa, directrice artistique du Musée d’art contemporain de Tokyo et professeur à l’université des arts de Tokyo
Organisation:Fondation du Japon
“Japonismes 2018” sont une série de manifestations destinées à présenter la culture japonaise.
Les japonais sont capables de ressentir les supériorités de la Nature qui transcendent les êtres humains. Plutôt que d’insister sur l’égo, ils font preuve de respect et de révérence envers ces supériorités, ce qui est une caractéristique remarquable de ce peuple. Paul Claudel – Écrivain mais aussi ambassadeur de France au Japon vers 1920.
A travers des œuvres variées d’époque et de genre différents, cette exposition présente un esthétisme singulier, vivant et original à la fois.
Je dois dire que je n’y connais rien ! A part, une exposition sur Hokusai au Grand Palais en 2014, la collection d’Ishibashi Foundation Tokyo-Paris en 2017 et une très belle présentation de la culture japonaise à travers l’art de faire et de porter les Kimonos. Au bonheur des dames. en 2017 aussi et quelques estampes rencontrées de ci de là…Rien ou pas grand chose. Pas comme ma Cop qui fréquente le Musée Guimet au point qu’elle pourrait se voir offrir un Pass annuel gratuit ! Culture japonaise à venir, nous nous devions d’y faire un saut ! Nous ne l’avons pas regretté du tout!
D’abord, le lieu : une immense demeure de style Louis XIV situé au 11, rue Berryer dans Paris 8ème à deux pas de l’avenue Friedland construit par la baronne Salomon de Rothschild. Ce lieu a servi d’ancien Institut d’Art et d’Archéologie puis dès 1976, la Fondation nationale des arts graphiques et plastiques y élit domicile. Nous avons cru que les jardins étaient privés
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Cette exposition a l’ambition de synthétiser les éléments des diverses manifestations prévues à Paris dans le cadre du programme et de présenter la particularité de l’esthétisme japonais.
Tout d’abord, des éléments d’introduction trouvés dans la superbe plaquette indispensable pour apprécier les œuvres présentées.
Extrait de la plaquette
L’exposition se décompose en dix thèmes pour un voyage vers la culture d’un pays lointain et la découverte de créations époustouflantes.
Au Japon, le gong est entre autres utilisé lors des services religieux bouddhistes accompagnés de théâtre et de danse. Pour les japonais, son son permet d’éloigner les mauvais esprits et de purifier l’air ambiant. Cette œuvre, présentée dès l’entrée, annonce la permanence de l’histoire dans le quotidien puisque l’objet a été réalisé par un artiste dont la famille appartient depuis trois générations à la même branche de métallier.
Dora (gong) – Ryohei Miyata
En Asie, le sol était peints aux motifs de tapis et de mandalas. Au Japon, les murs n’étaient pas peints mais composés de cloisons mobiles appelées fusamas avec des paravents.
Dans la seconde salle, l’atrium, une composition magnifique orne le sol recouvert d’un feutre blanc. C’est à l’aide de pochoirs et de pigments de peinture japonaise qui colorent le sable que l’artiste Shinji Omaki a composé son œuvre.
Ces motifs sont inspirés des souvenirs de l’artiste au niveau de plantes, de fleurs et des kimonos de la famille.
Echoes Infinity – Shinji Omaki – 2018
Normalement, l’œuvre évolue au fil des visites : les visiteurs foulant le sol la transforment au fur et à mesure de leurs passages. Mais, des médiateurs culturels répètent sans cesse de la contourner et de ne pas marcher dessus. Quand un des visiteurs fait remarquer que les indications de l’auteur, répétées dans la plaquette, ne sont pas respectées, aucune réponse. Lorsqu’il demande encore, est-ce le dernier jour que les visiteurs auront le droit, là encore pas de réponse. Dommage !
Mais, le spectacle est impressionnant de beauté !
Du haut de la mezzanine
Sur le balcon de l’atrium, sont exposées des étranges bêtes attirantes et répulsives à la fois.
Shinichi Sawada (né en 1982)
Ses sculptures ressemblent à des porcs-épics avec leurs épines, mais elles sont terriblement gentillettes. En 2008, certaines de ses œuvres entrent dans la “Collection de l’art brut” en Suisse. Et, depuis 2013, après la Biennale de Vienne fait son entrée parmi les grands potiers du monde.
Les céramiques de la période Jômon nous projettent à l’époque de 1600 à 2000 avant J-C : des pièces de poteries créées dans une région du Japon.
Céramiques de la période Jômon
Cette céramique (à gauche) en forme de “flamme” est datée de 5000 avant J-C et fait partie du trésor national le plus ancien du Japon.
Intégrer de l’inattendu dans le quotidien et donner importance aux détails, tels sont les devises de la marque de vêtements ANREALAGE créé par le styliste Kunihiko Morinaga en 2013. C’est réussi ! Les vêtements sont colorés et taillés comme un patchwork.
Roll (colombin) – Photochromic Aging Pants – Kunihiko Morinaga – 2017/2018
Le styliste transforme un jean blanc neuf en vieux jean indigo en l’exposant à la lumière. En référence aux céramiques présentées plus haut, Il s’est associé avec un sculpteur pour créer ce types de colombins avec des cylindres d’argile ce qui produit ces “vagues”.
Un salon d’honneur avec ses colonnades, son parquet géométrique et son splendide lustre italien est transformé par un amoncellement d’ardoises placées en équilibre précaire.
Relatum Dwelling – Lee Ufan ( né en 1936) – 2018
Les plaques après être brisées ont été placés en suivant les formes de fissuration de la pierre. L’acte de destruction violent et instable s’oppose à la décoration et style stable depuis de nombreux siècles de la pièce.
Une collection d’estampes de Katsushika Hokusai (1760 – 1849) de 12 œuvres est exposée. Il a contribué à influencer le monde artistique contemporain, notamment Monet et Van Gogh.
Sengai Gibon (1750-1837) , peintre et moine bouddhiste, crée à partir de la cinquantaine des peintures poétiques destinées à l’éducation. Il dessine des représentations de son Bouddha rieur apprécié du public. Dommage, nous ne pouvions pas les photographier !
Encre sur papier – Fin du XVIIIè – Sengai Gibon
Pour la prochaine œuvre, la présentation de la plaquette résumera mieux les intentions de l’artiste.
Cette fusion est palpable dans l’œuvre présentée au sous-sol : la rencontre avec un robot et d’un comédien – danseur. Œuvre étrange qui interroge notre perception occidentale, pas dérangeante juste porteuse d’interrogations et de poésie très particulière.
Col – Justine Emard (née en 1987) et Mirai Moriyama (né en 1984) avec Alter – Université d’Osaka – 2017
Justine Emard est plasticienne française et Mirai Moriyama est acteur-danseur. Dotés d’intelligences différentes, le dialogue se fait par le corps et les mots et le robot apprend de sa rencontre. Ils essayent de définir de nouvelles relations pour tenter de coexister ensemble.
La dernière œuvre, située elle aussi au sous sol, est envoutante, mystérieuse mais magnifique. C’est le clou de cette exposition ! Cette installation a déjà été présentée en 2013 à la Triennale d’archi.
Foam – Kohei Nawa (né en 1975) – 2018
C’est un paysage de mousse qui se recompose au fil du temps et qui crée des formes étranges qu’on croit monter sur un patron tant la structure est élaborée.
L’espace entre la structure et le corps s’estompe, c’est ce qui devrait faire éprouver au spectateur-visiteur l’essence du sens de l’esthétisme japonais, dixit la plaquette. Pour moi, c’est enchanteur, ludique et hypnotique.
Questions pratiques :
Hôtel Salomon de Rothschild
11 rue Berryer
75008 – Paris
Renseignements ici
FUKAMI – Fondation Salomon de Rothschild La visite de l'exposition FUKAMI à la Fondation Salomon de Rothschild permet de plonger dans la culture ancestrale et contemporaine du Japon à l'occasion de la commémoration du 160ème anniversaire des relations diplomatiques entre le Japon et la France et inaugure toute une année consacrée à cette rencontre appelée "Japonismes 2018".
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New Orleans Scouted
A detailed guide to those making their way to the “Big Easy�� to pull for South Carolina’s very own Clemson Tigers in the Sugar Bowl on January first!
Where to Stay
NOPSI HOTEL Located in the heart of the Crescent City’s vibrant and convenient Central Business District, NOPSI is just two blocks from Canal Street and the bustling French Quarter. nopsihotel.com 317 Baronne Street, New Orleans, LA 70130 504.844.1463
SOUTHERN HOTEL In the quaint town of Covington, Louisiana located just across Lake Pontchartrain from New Orleans, the Southern Hotel’s vaunted history of hospitality began in 1907. Established as a physical and spiritual retreat where visitors would re-energize amidst the area’s cool breezes, piney woods and mineral springs, the hotel hosted guests for more than 50 years. southernhotel.com 428 East Boston Street, Covington, LA 70433 844.866.1907
THE TERRELL HOUSE A New Orleans Bed & Breakfast like no other. After a long day of exploring New Orleans, there is no better place to seek refuge than in the beautiful surroundings of Terrell House. (Pictures Above) terrellhouse.com 1441 Magazine Street, New Orleans, LA 70130 504.237.2076
WINDSOR COURT HOTEL Windsor Court Hotel is a luxury hotel located in the heart of New Orleans. Our world-class hotel boasts a rooftop pool, the Polo Club Lounge, Le Salon tea room, the Grill Room restaurant, along with stunning views of the city. windsorcourthotel.com 300 Gravier Street, New Orleans, LA 70130 504.523.6000
Where to Eat
ARNAUDS Classic Creole cuisine in the heart of the French Quarter. arnaudsrestaurant.com 813 Bienville Street, New Orleans, LA 70112 504.523.5433
BALISE Louisiana fare with European accents plus cocktails & wine in a townhouse setting with dark wood. balisenola.com 640 Carondelet Street, New Orleans, LA 70130 504.459.4449
BRENNAN’S Acclaimed Chef Slade Rushing’s menus are rooted in Creole traditions and are bolstered with contemporary New Orleans influences. Marrying classic and modern techniques yields a decidedly innovative approach and enhances our local, seasonal offerings. brennansneworleans.com 417 Royal Street Street New Orleans LA 70130
CAVAN Coastal American cuisine, an uptown restaurant with a downtown edge, part of the LeBlanc and Smith Restaurant Group. (Pictured above) cavannola.com 3607 Magazine Street, New Orleans, LA 70115 504.509.7655
LA PETITE GROCERY Made-from-scratch Louisiana fare in a quaint cottage that housed a grocery store in the 1800s. lapetitegrocery.com 4238 Magazine Street, New Orleans, LA 70115 504.891.3377
POKE LOA The original poke place in New Orleans and the best poke of your life. eatpokeloa.com 3341 Magazine Street, New Orleans, LA 70115 504.309.9993
SYLVAIN A spot for locals and visitors who want a local experience to eat and drink in the French Quarter, part of the LeBlanc and Smith restaurant group. sylvainnola.com 625 Chartres St. New Orleans LA 70130 504.913.5883
Where to Drink
BARELL PROOF An intimate bar featuring 288 whiskies, part of the LeBlanc and Smith collection. barrelproofnola.com 1201 Magazine Street, New Orleans, LA 70130 504.299.1888
DAVENPORT LOUNGE Featuring live music by Jeremy Davenport Wednesday- Saturday
The Ritz-Carlton 921 Canal Street 504-524-1331
MEAUX BAR A LeBlanc and Smith restaurant, Meaxbar is a charming Vieux Carre Bistro with bold dishes featuring seasonal products sourced locally and daily from trusted purveyors throughout Louisiana. (Pictured above) meauxbar.com 942 Rampart Street, New Orleans, LA 70130 505.569.9979
What to Do
THE FRENCH LIBRARY Children’s French and English books in a magical space on Magazine Street. (Pictured Above) thefrenchlibrary.com 3811 Magazine Street, New Orleans, LA 70115 504.267.3707
COLE PRATT GALLERY A contemporary art gallery located in New Orleans respresenting southern artists. coleprattgallery.com 3800 Magazine Street New Orleans, LA 70115 504.891.6789
NEW ORLEANS MUSEUM OF ART The New Orleans Museum of Art is the oldest fine arts museum in the city of New Orleans. noma.org One Collins Diboll Circle, City Park, New Orleans, LA 70124 504.658.4100
Where to Shop
AZBY’S Casual to cocktail clothes, shoes, and accessories.
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NOLA COUTURE Founded by Cecile Hardy, NOLA Couture is a line of men’s ties, belts, children’s items, pet items, and more recently, homeware. These items feature New Orleans motifs such as NOLA gators, shrimp cocktail, and fleur de lis. nolacouture.com 2928 Magazine Street, New Orleans, LA 70115 504.319.5959
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Staël-Holstein Germaine de - Considérations sur les principaux événemens de la révolution françoise (parties 1-3)
Staël-Holstein Germaine de - Considérations sur les principaux événemens de la révolution françoise (parties 1-3) : « Née le 22 avril 1766, rue de Cléry, à Paris, Anne Louise Germaine Necker avait huit ans lorsque Louis XVI fut couronné et vingt-six au moment où tomba la tête de Louis Capet. C’est dire qu’elle a déroulé ses années d’enfance et de jeunesse au crépuscule de l’Ancien Régime et au cœur de la Révolution. » (Winock 15) En 1789, Germaine Necker de Staël a donc vingt-trois ans. Issue de la classe bourgeoise, fille unique du banquier genevois Jacques Necker, directeur des Finances de Louis XVI, elle est depuis trois ans l’épouse du baron Magnus de Staël-Holstein, ambassadeur de Suède, de 27 ans son aîné. Bien que ce mariage de raison lui ait apporté son titre de noblesse, elle a conscience d’appartenir depuis toujours à cette aristocratie de l’esprit qui fait d’elle une authentique héritière des Lumières. Virtuose de la conversation, férue de littérature et d’histoire, passionnée de philosophie politique, auteure à vingt-deux ans d’un ouvrage remarqué sur Rousseau, la jeune et riche baronne partage son temps entre Paris et Versailles et se trouve donc idéalement située pour prendre la mesure des événements qui vont changer son destin et celui de la France. Si elle entretient des relations difficiles avec sa mère, une Vaudoise très cultivée dont le salon fut l’un des derniers grands salons de l’époque prérévolutionnaire, elle voue à son père un véritable culte qui l’amènera à lui consacrer plusieurs ouvrages. Les Considérations sont de ceux-là. L’essai, conçu initialement comme un vibrant hommage à Jacques Necker, se présente comme une vaste fresque historique assortie de détails personnels qui donnent tout leur sel à ces réflexions. Brillante, ambitieuse, mais limitée dans son champ d’action par son sexe, Mme de Staël se contente d’abord d’être une observatrice privilégiée de la Révolution. À Versailles, où elle passe beaucoup de temps auprès de son père ministre, elle assiste pleine d’espoir à l’ouverture des États généraux le 5 mai 1789. Les 5 et 6 octobre, elle est à nouveau aux premières loges quand le peuple de Paris envahit le palais et ramène la famille royale sous escorte aux Tuileries. Très attachée aux idéaux de 1789, elle ne manque aucune séance de l’Assemblée et suit avec passion les débats qui opposent les jacobins aux constitutionnels, partisans comme elle d’une monarchie parlementaire. Mais en 1792, lorsque la France bascule dans la folie meurtrière, elle ne peut plus se limiter à son rôle de simple témoin. En août, alors qu’elle est enceinte de son deuxième fils, elle retarde courageusement son départ pour la Suisse afin d’arracher deux de ses amis à une mort certaine. Elle sauve également son amant Narbonne, ex-ministre de la Guerre de Louis XVI, et le fait passer en Angleterre au péril de sa propre vie. Le 2 septembre cependant, au moment où elle s’apprête elle-même à quitter Paris, sa voiture est arrêtée place de Grève et encerclée par une foule vociférante. Conduite sous les menaces de mort à l’Hôtel de Ville, elle n’en réchappe que de justesse grâce la bienveillance d’un communard touché par sa grossesse et son extraordinaire sang-froid. Après la chute de Robespierre, Mme de Staël exercera une influence considérable dans les coulisses du pouvoir. Son salon rue du Bac devient l’un des grands salons politiques de la capitale. Quelques années plus tard, quand Bonaparte s’empare du pouvoir, elle sera à nouveau prise dans la tourmente. Celui qu’elle accuse de trahir les idéaux de la Révolution voit d’un mauvais œil cette femme trop célèbre qui a l’outrecuidance de lui tenir tête. Malgré les vexations continuelles et les exils à répétition dont elle sera la victime, l’indomptable Mme de Staël ne capitulera jamais devant le despotisme napoléonien. Bannie de France et de tous les territoires sous occupation française, elle fera de son château de Coppet non seulement le centre névralgique de l’opposition à l’Empereur, mais ce que Sainte-Beuve appela lui-même « l’Élysée intellectuel de toute une génération ». Téléchargements : ePUB - PDF - PDF (Petits Écrans) - Kindle-MOBI - HTML - DOC/ODT Read the full article
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