#immixtion
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Liste des condamnés et mises en examen dans la macronie:
Laetitia Avia - ex députée et porte parole LREM condamnée à six mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité pour harcèlement moral.
Anne-Christine Lang - ex députée condamnée à 3 ans d’inéligibilité et 60 000€ d’amende pour détournement de fonds publics.
François Pupponi - condamné à 5000 euros d’amende et 29 000 euros de dommages et intérêts, en janvier 2022, pour abus de biens sociaux et faux et usage de faux.
Alain Griset - ex ministre délégué condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine
Sira Sylla - ex députée LREM condamnée pour harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires et de journées de repos.
Jacques Krabal - ex député LREM condamné pour travail dissimulé et harcèlement moral de son ancien directeur de cabinet.
Pierre Cabaré - ex député LREM condamné pour licenciement sans cause réelle et sérieuse d’un collaborateur. Egalement poursuivi pour harcèlement sexuel et moral et agression sexuel par sa suppléante et assistante parlementaire.
Sandrine Josso - condamnée à un an d’inéligibilité pour n’avoir pas présenté ses comptes de campagne de l’élection municipale dans les temps. Également poursuivi pour abus de confiance pour avoir demandé à son assistante de lui prêter 10 000 euros en contractant un crédit à la consommation qu’elle ne veut pas rembourser.
Benoit Simian - condamné à huit mois de prison avec sursis pour harcèlement moral sur son ex conjointe. Également poursuivi pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice.
Jean-Paul Delevoye - condamné à 4 mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique.
Stéphanie Kerbarh - condamnée pour un licenciement sans cause réelle et sérieuse de son assistant.
Alexandre Benalla - condamné à 3 ans de prison, dont 1 an ferme pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection et recel de violation du secret professionnel.
Vincent Crase - gendarme réserviste salarié du parti LREM, condamné à 2 ans d’emprisonnement avec sursis, 500 euros d’amende, interdiction de port d’arme de 10 ans et confiscation de celles qui détient pour « violence en réunion », « port d’arme prohibé » et « suppression de données » dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 à Paris.
Jérôme Peyrat - condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 euros d’amende avec sursis.
Stéphane Trompille - conseiller de Macron condamné pour « harcèlement sexuel » envers une ex-collaboratrice.
Mustapha Laabid - député LREM condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10.000 euros d’amende pour abus de confiance.
Claire O’Petit - députée LREM condamnée pour des fautes de gestion.
François Bayrou et Sylvie Goulard - poursuivis pour abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen.
Alexis Kohler - mis en examen pour prise illégale d’interêts.
Thierry Solère - mis en examen pour « détournement de fonds publics », « trafic d’influence passif » dans le but de faire « obtenir des marchés » à des sociétés immobilières et à une société de conseil, et pour manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. »
Éric Dupond-Moretti - mis en examen pour « prise illégale d’intérêts »
Alexandre Nardella - mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » et « recel de détournement de fonds publics ».
Michel Mercier, ancien ministre de la Justice et trésorier du Modem, mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics ».
Richard Ferrand - mis en examen pour prise illégale d’intérêts.
(Liste partielle .....)
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Fraude Bancaire
Le tribunal de commerce de Paris a récemment condamné LCL (Le Crédit Lyonnais) à indemniser un client ayant été victime d’une fraude lors de virements bancaires, soulignant ainsi les obligations de vigilance des banques dans les transactions financières.
Contexte et Décision du Tribunal
Le 19 juillet 2024, le tribunal de commerce de Paris a jugé que LCL n’avait pas suffisamment respecté son devoir de vigilance lors de l’exécution de deux virements d’un montant total de 105 000 euros. Ces virements avaient été ordonnés par un chef d’entreprise français dans le cadre de l’achat de parts dans un Ehpad en Espagne, une opération qui s’est révélée être une fraude basée sur l’usurpation d’identité du bénéficiaire.
Manquement au Devoir de Vigilance
LCL a été critiqué pour ne pas avoir remarqué une « anomalie intellectuelle » dans l’opération. Le chargé d’affaires de la banque avait bien contacté le client pour vérifier les virements en raison des montants élevés et du caractère inédit de l’opération. Cependant, il n’a pas vérifié la cohérence entre la facture fournie par le client et les noms des bénéficiaires des virements, qui étaient « non identifiables et inconnus » et situés dans une banque étrangère.
Le tribunal a rejeté la défense de LCL, qui invoquait son devoir de non-immixtion dans les affaires de ses clients. Selon la jurisprudence de la Chambre commerciale de la Cour de cassation, les banques doivent vérifier non seulement l’authenticité des ordres de virement, mais aussi leur cohérence avec les relations d’affaires du titulaire du compte et le caractère exceptionnel des montants.
Témoignages et Signaux d’Alerte
Un expert en sécurité bancaire, Pierre Dubois, a expliqué : « Lorsque des montants inhabituels sont transférés vers des bénéficiaires inconnus situés à l’étranger, cela devrait automatiquement déclencher une alerte rouge au sein de la banque. La négligence de LCL dans cette affaire est préoccupante. »
De plus, le client victime de la fraude a témoigné lors de l’audience : « J’avais confiance en ma banque. Lorsque j’ai reçu la facture de la société d’Ehpad, j’ai immédiatement contacté mon chargé d’affaires. Il n’a pas exprimé de doutes sur la validité des bénéficiaires, ce qui m’a rassuré. Jamais je n’aurais imaginé que ces fonds se retrouveraient entre de mauvaises mains. »
Responsabilité Partagée
LCL a été condamné à rembourser 50% des sommes transférées, soit 52 500 euros, au lieu des 75% demandés par le client. Le tribunal a considéré que le client avait agi « avec rapidité et légèreté » en concluant l’accord avec la société d’Ehpad, et qu’une mise en garde de la banque n’aurait pas nécessairement empêché le client d’effectuer les virements.
Importance du Jugement
Ce jugement souligne la responsabilité accrue des banques dans la prévention des fraudes, surtout à une époque où les virements instantanés deviennent de plus en plus courants. La décision a été rendue publique par Patrick Sayer, président du tribunal de commerce de Paris, dans un effort pour sensibiliser les banques et les clients aux obligations de vigilance.
Implications pour les Banques
Avec l’augmentation des fraudes liées aux virements instantanés et la réglementation européenne exigeant une prévalidation rigoureuse des bénéficiaires, les banques doivent renforcer leurs procédures de vérification. Le jugement rappelle que la vigilance des banques doit s’étendre au-delà de la simple exécution des ordres de virement, incluant une évaluation plus complète des risques potentiels.
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Fraude Bancaire
Le tribunal de commerce de Paris a récemment condamné LCL (Le Crédit Lyonnais) à indemniser un client ayant été victime d’une fraude lors de virements bancaires, soulignant ainsi les obligations de vigilance des banques dans les transactions financières.
Contexte et Décision du Tribunal
Le 19 juillet 2024, le tribunal de commerce de Paris a jugé que LCL n’avait pas suffisamment respecté son devoir de vigilance lors de l’exécution de deux virements d’un montant total de 105 000 euros. Ces virements avaient été ordonnés par un chef d’entreprise français dans le cadre de l’achat de parts dans un Ehpad en Espagne, une opération qui s’est révélée être une fraude basée sur l’usurpation d’identité du bénéficiaire.
Manquement au Devoir de Vigilance
LCL a été critiqué pour ne pas avoir remarqué une « anomalie intellectuelle » dans l’opération. Le chargé d’affaires de la banque avait bien contacté le client pour vérifier les virements en raison des montants élevés et du caractère inédit de l’opération. Cependant, il n’a pas vérifié la cohérence entre la facture fournie par le client et les noms des bénéficiaires des virements, qui étaient « non identifiables et inconnus » et situés dans une banque étrangère.
Le tribunal a rejeté la défense de LCL, qui invoquait son devoir de non-immixtion dans les affaires de ses clients. Selon la jurisprudence de la Chambre commerciale de la Cour de cassation, les banques doivent vérifier non seulement l’authenticité des ordres de virement, mais aussi leur cohérence avec les relations d’affaires du titulaire du compte et le caractère exceptionnel des montants.
Témoignages et Signaux d’Alerte
Un expert en sécurité bancaire, Pierre Dubois, a expliqué : « Lorsque des montants inhabituels sont transférés vers des bénéficiaires inconnus situés à l’étranger, cela devrait automatiquement déclencher une alerte rouge au sein de la banque. La négligence de LCL dans cette affaire est préoccupante. »
De plus, le client victime de la fraude a témoigné lors de l’audience : « J’avais confiance en ma banque. Lorsque j’ai reçu la facture de la société d’Ehpad, j’ai immédiatement contacté mon chargé d’affaires. Il n’a pas exprimé de doutes sur la validité des bénéficiaires, ce qui m’a rassuré. Jamais je n’aurais imaginé que ces fonds se retrouveraient entre de mauvaises mains. »
Responsabilité Partagée
LCL a été condamné à rembourser 50% des sommes transférées, soit 52 500 euros, au lieu des 75% demandés par le client. Le tribunal a considéré que le client avait agi « avec rapidité et légèreté » en concluant l’accord avec la société d’Ehpad, et qu’une mise en garde de la banque n’aurait pas nécessairement empêché le client d’effectuer les virements.
Importance du Jugement
Ce jugement souligne la responsabilité accrue des banques dans la prévention des fraudes, surtout à une époque où les virements instantanés deviennent de plus en plus courants. La décision a été rendue publique par Patrick Sayer, président du tribunal de commerce de Paris, dans un effort pour sensibiliser les banques et les clients aux obligations de vigilance.
Implications pour les Banques
Avec l’augmentation des fraudes liées aux virements instantanés et la réglementation européenne exigeant une prévalidation rigoureuse des bénéficiaires, les banques doivent renforcer leurs procédures de vérification. Le jugement rappelle que la vigilance des banques doit s’étendre au-delà de la simple exécution des ordres de virement, incluant une évaluation plus complète des risques potentiels.
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En toute simplicité ! 2 thématique l' immixtion du personnel et du profe...
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Condamnation par le Conseil de l’Ordre des médecins de la pédopsychiatre Eugénie Izard pour avoir alerté sur de possibles faits de maltraitance sur mineure
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La France a fait preuve d'une "immixtion quasi permanente" en Afrique, selon un journaliste
http://dlvr.it/T41xVB
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A M. Macron, Président de la République française.
J’ai beaucoup de peine à vous définir, tant vous êtes indéfinissable en tant qu’homme politique. Ce que je sais c’est que vous êtes un adepte du laisser faire anarchique quand le vent vous est favorable, sinon donneur de leçon de droit-hommeisme destructeur et accapareur en tant que Président de la République française, favorisant le ségrégationnisme.
Vous êtes surement conscient que je m’oppose à votre immixtion dans les affaires de mon pays, je m’oppose donc au fond de votre politique que je considère néfaste pour le notre, ce n’est alors guère une question de guerre entre deux personnes vous et moi. Sur le plan strictement personnel, il nous faudrait nous opposer tant en termes d’amour et d’attention pour les autres, que de compassion.
Toutefois, et considérant que vous aviez –volontairement ou non-, que tout homme politique doit vivre simplement loin des excès et des abus et, adopter des comportements d’être humain qui présuppose énormément de choses dans la construction de sa conscience. Je ne vous demande pas d’émuler le défunt Mandela, ce serait trop vous demander. Vous êtes ce que vous êtes sur le plan humain.
Les qualités humaines Monsieur le Président de la république des droits de l’homme, on les forge dés l’âge enfant, et on les cultive tout le long de sa vie, sans jamais croire que l’on est surhomme ou immortel. Bien avant que vous n’eussiez cet âge, je présume que votre pays était militairement agresseur du mieux, et ouvrir les yeux à cet âge de ce coté de la barrière, dans un monde si détestable, je comprend qu’on soit atteint d’un complexe de supériorité.
Vous vous permettez, et de quel droit je vous le demande, une anarchique politique d’ingérence dans les affaires intérieure d’un pays, ou le votre est en grande partie le vecteur de la fracture sociale, qui s’est insidieusement installé chez nous. Ceci à l’instant où votre pays n’a pas jugé humain et juste de reconnaître le crime contre l’humanité et les génocides dont il demeure comptable, et continue à les ignorer, au détriment de la raison et du bon sens, votre pays persiste à fermer les yeux, au lieu d’une courageuse repentance, comme l’exige la morale humaine.
Non Monsieur le Président de la République française, il me semble que la situation amplement médiatisée à travers les réseaux sociaux, qui prévaut dans votre pays, devrait à mon sens être le sujet unique et essentiel de votre préoccupation, alors de grâce, ne venez pas réveillez en nous un sentiment de douleur, et conjointement une colère sourde amplement justifiée. Tout le monde chez nous n’est pas Déserteur de l’Armée Française, ou graine de collabo, alors il serait raisonnable que vous compreniez une fois pour toute, que l’Algérie n’est plus un département d’outre-mer, et que nous refusons toute ingérence d’ou qu’elle vient,
M. Nourredine BELMOUHOUB
Défenseur des droits de l’homme
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2934 - La politique intérieure américaine mine la détente avec la Russie
2934 – La politique intérieure américaine mine la détente avec la Russie
par Hannes Hofbauer*- N° 18, 6 août 2018 – Horizons et débats
Poule mouillée, menteur, traître. La presse américaine a cité une série de personnalités appartenant aux élites washingtoniennes ayant réagi de manière haineuse à la rencontre des présidents Donald Trump et Vladimir Poutine à Helsinki.
C’est le vétéran de la guerre du Vietnam John McCainqui fut, une fois de plus, le pire. Pour…
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#Donald Trump#Election#Espionnage#Hannes Hofbauer#Horizons et débats#immixtion#John McCain#liberté#média#politique#Russie-USA#Traitre#Vladimir Poutine
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Episode Endroit #6: Le co-emploi : situation exceptionnel
Episode Endroit #6: Le co-emploi : situation exceptionnel
Podcast Endroit https://podcast.ausha.co/endroit/6-le-co-emploi-situation-exceptionnel Ce 6e épisode est consacré au coemploi qui demeure une situation exceptionnelle. Ce concept a été développé par la jurisprudence. Le co-emploi correspond à une situation dans laquelle, il existe un doute quant à l’identité de l’employeur. Généralement, on parle de coemploi, lorsqu’il existe une situation…
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#coemploi#coemployeur#Endroit#gestion économique et sociale de la filiale#immixtion société mère#podcast
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«La logique de la vaccination repose sur la possibilité de renforcer l’immunité face à l’action pathogène d’agents infectieux. Ceux-ci concernent les entités biologiques que sont les virus, les bactéries, les champignons et les parasites, et qui sont globalement rassemblés sous le terme de micro-organismes, bien que ce terme ne soit pas adéquat au virus qui, comme nous l’avons vu dans le texte précédent, n’est pas un être vivant organisé et autonome.
La notion d’immunité concerne donc l’intégrité d’une forme plus évoluée que les micro-organismes par sa capacité à être ce qu’elle est et à s’y maintenir. Cependant, tous les organismes, microscopiques ou non, font partie du système de la nature et sont donc pénétrés de sa logique interne relative à l’unité du tout. Ce tout inclut donc aussi bien la cosmogonie, que le problème de la conscience chez l’homme, en passant par le bacille tuberculeux.
Cette logique de connexion entre tous les phénomènes intra-planétaires et extra-planétaires constitue l’énigme qu’il revient à l’homme de résoudre car elle fonde les racines de l’éthique.
S’il est possible d’évoquer un système de la nature arrivé à un certain équilibre après l’arrêt apparent du courant de l’évolution, celui-ci reste précaire. En effet, la théorie synthétique de l’évolution réfléchit cette tendance à l’unification par un processus général d’autorégulation des interconnexions adaptatives entre les formes. Autrement dit, les formes s’adaptent les unes aux autres constituant des écosystèmes relativement stables commandés par une logique de la survie.
Quel est le rôle des micro-organismes dans le système de la nature sachant qu’ils sont des formes primitives de la vie participant aux premiers moments de l’évolution ? N’oublions pas de toujours garder à l’esprit l’exception identitaire des virus plus proches des rêves du minéral que de la vie puisqu’ils se présentent en général sous la forme de cristaux liquides et ne possèdent aucun organe.
Il existe donc un curieux paradoxe du fait que ces micro-organismes sont à la fois les débutants géniaux de l’histoire du vivant et qu'ils se révèlent également infectieux pour les formes plus évoluées. Une simple observation apporte un début de réponse puisqu’une forme vivante qui meurt subit une décomposition bactérienne rapide. Ainsi, si les micro-organismes dans le système de la nature jouent le rôle d’initiateur de la vie, ils sont aussi initialement liés à la mort. Cette première boucle liant la vie à la mort a fait dire à Bichat la célèbre formule “La vie est l'ensemble des fonctions qui s'opposent à la mort”. Si la vie semble être effectivement une lutte perpétuelle contre la mort, cela relève plus d’une simple constatation que d’une explication.
En effet, les virus procèdent d’une logique plus fondamentale sur le caractère dialectique de cette première boucle. L’essence négative du virus fait qu’il ne peut exister que par son autre fantasmé. Son existence reste un phénomène illusoire, le virus ne pouvant se répliquer comme son même autre, et atteindre au seuil de la vie. Il se réplique en occupant l’espace d’un autre au risque de le mettre à mort, ce qui paraît absurde.
Il faut donc penser plus loin le rôle du virus au travers de l’étrange logique que la négativité, ou la puissance du néant, qui l’habite devient le cœur même du mouvement de la vie. Le virus dévoilerait ainsi la nature structurelle du lien entre la vie et la mort.
En revanche, la réplication des bactéries consiste en une simple division à l’infini du même et montre le mode d’être du processus primaire de la vie : il n’y a pas d’autre que soi-même. Autrement dit, les virus se rapporteraient à la nature structurelle du lien entre la vie et la mort alors que les bactéries dévoileraient la fonction illusoire de la vie pour la vie, sans autre que soi, pour l’éternité, modèle de la théorie cellulaire.
Il faut donc accepter le fait que la mort devenant le réel du néant est le moteur de la vie. Si les bactéries sont des cellules sans noyau, c’est qu’elles n’ont pas intégré leur autre ; elles n’ont pas de centre et leur vie reste périphérique et de nature lunaire, préférant la lumière nocturne, se divisant à l’infini comme de simples reflets miroitant sur l’océan primitif.
La véritable aventure de la vie commence avec la mise en place d’un noyau au centre du cytoplasme, lieu de la négativité, et puissance du néant engendrant la vie non pas contre la mort, mais au-delà de la mort.
Ainsi s’explique le rôle des micro-organismes agissant à des niveaux aussi bien fonctionnels que structurels, en rapport avec la capacité à faire de l’autre le moteur permanent de l’évolution.
Ainsi, nous pouvons digérer grâce à des millions de bactéries dont une grande partie est par ailleurs sujette à une immixtion virale. Chez certains animaux, le nombre de bactéries commensales peut dépasser celui de leurs propres cellules, ce qui relativise sérieusement la notion d’organisme que nous évoquerons plus loin.
L’ambivalence du rôle des virus et des bactéries qui consiste à servir la vie du côté de la mort, permet d’envisager l’arbre de la vie ou encore l’arbre généalogique des formes, sous l’angle d’un perpétuel processus créatif de construction et de déconstruction. La stabilité apparente des formes masque leur extrême vulnérabilité existentielle du fait que la négativité de l’essence virale rend la pyramide évolutive des formes structurellement instable sur son fond car elle y place une contradiction...»
(René Gandolfi, médecin)
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Mardi 15 décembre 2020
René
La logique de la vaccination repose sur la possibilité de renforcer l’immunité face à l’action pathogène d’agents infectieux. Ceux-ci concernent les entités biologiques que sont les virus, les bactéries, les champignons et les parasites, et qui sont globalement rassemblés sous le terme de microorganismes, bien que ce terme ne soit pas adéquat au virus qui, comme nous l’avons vu dans le texte précédent, n’est pas un être vivant organisé et autonome.
La notion d’immunité concerne donc l’intégrité d’une forme plus évoluée que les microorganismes par sa capacité à être ce qu’elle est et à s’y maintenir. Cependant, tous les organismes, microscopiques ou non, font partie du système de la nature et sont donc pénétrés de sa logique interne relative à l’unité du tout. Ce tout inclut donc aussi bien la cosmogonie, que le problème de la conscience chez l’homme, en passant par le bacille tuberculeux.
Cette logique de connexion entre tous les phénomènes intra-planétaires et extra-planétaires constitue l’énigme qu’il revient à l’homme de résoudre car elle fonde les racines de l’éthique.
S’il est possible d’évoquer un système de la nature arrivé à un certain équilibre après l’arrêt apparent du courant de l’évolution, celui-ci reste précaire. En effet, la théorie synthétique de l’évolution réfléchit cette tendance à l’unification par un processus général d’autorégulation des interconnexions adaptatives entre les formes. Autrement dit, les formes s’adaptent les unes aux autres constituant des écosystèmes relativement stables commandés par une logique de la survie.
Quel est le rôle des microorganismes dans le système de la nature sachant qu’ils sont des formes primitives de la vie participant aux premiers moments de l’évolution ? N’oublions pas de toujours garder à l’esprit l’exception identitaire des virus plus proches des rêves du minéral que de la vie puisqu’ils se présentent en général sous la forme de cristaux liquides et ne possèdent aucun organe.
Il existe donc un curieux paradoxe du fait que ces microorganismes sont à la fois les débutants géniaux de l’histoire du vivant et qu'ils se révèlent également infectieux pour les formes plus évoluées. Une simple observation apporte un début de réponse puisqu’une forme vivante qui meurt subit une décomposition bactérienne rapide. Ainsi, si les microorganismes dans le système de la nature jouent le rôle d’initiateur de la vie, ils sont aussi initialement liés à la mort. Cette première boucle liant la vie à la mort a fait dire à Bichat la célèbre formule " La vie est l'ensemble des fonctions qui s'opposent à la mort". Si la vie semble être effectivement une lutte perpétuelle contre la mort, cela relève plus d’une simple constatation que d’une explication.
En effet, les virus procèdent d’une logique plus fondamentale sur le caractère dialectique de cette première boucle. L’essence négative du virus fait qu’il ne peut exister que par son autre fantasmé. Son existence reste un phénomène illusoire, le virus ne pouvant se répliquer comme son même autre, et atteindre au seuil de la vie. Il se réplique en occupant l’espace d’un autre au risque de le mettre à mort, ce qui paraît absurde.
Il faut donc penser plus loin le rôle du virus au travers de l’étrange logique que la négativité, ou la puissance du néant, qui l’habite devient le cœur même du mouvement de la vie. Le virus dévoilerait ainsi la nature structurelle du lien entre la vie et la mort.
En revanche, la réplication des bactéries consiste en une simple division à l’infini du même et montre le mode d’être du processus primaire de la vie : il n’y a pas d’autre que soi-même. Autrement dit, les virus se rapporteraient à la nature structurelle du lien entre la vie et la mort alors que les bactéries dévoileraient la fonction illusoire de la vie pour la vie, sans autre que soi, pour l’éternité, modèle de la théorie cellulaire.
Il faut donc accepter le fait que la mort devenant le réel du néant est le moteur de la vie. Si les bactéries sont des cellules sans noyau, c’est qu’elles n’ont pas intégré leur autre ; elles n’ont pas de centre et leur vie reste périphérique et de nature lunaire, préférant la lumière nocturne, se divisant à l’infini comme de simples reflets miroitant sur l’océan primitif.
La véritable aventure de la vie commence avec la mise en place d’un noyau au centre du cytoplasme, lieu de la négativité, et puissance du néant engendrant la vie non pas contre la mort, mais au-delà de la mort.
Ainsi s’explique le rôle des microorganismes agissant à des niveaux aussi bien fonctionnels que structurels, en rapport avec la capacité à faire de l’autre le moteur permanent de l’évolution.
Ainsi, nous pouvons digérer grâce à des millions de bactéries dont une grande partie est par ailleurs sujette à une immixtion virale. Chez certains animaux, le nombre de bactéries commensales peut dépasser celui de leurs propres cellules, ce qui relativise sérieusement la notion d’organisme que nous évoquerons plus loin.
L’ambivalence du rôle des virus et des bactéries qui consiste à servir la vie du côté de la mort, permet d’envisager l’arbre de la vie ou encore l’arbre généalogique des formes, sous l’angle d’un perpétuel processus créatif de construction et de déconstruction. La stabilité apparente des formes masque leur extrême vulnérabilité existentielle du fait que la négativité de l’essence virale rend la pyramide évolutive des formes structurellement instable sur son fond car elle y place une contradiction.
Cette fragilité est certes devenue le cœur de la pensée écologique, mais celle-ci se contente de la réfléchir suivant un système clos néo-darwinien incluant l’homme qui en serait non pas la raison, mais simplement le moment le plus évolué. Ainsi, sous le mode d’une nouvelle philosophie monadique de la nature, l'écologie naturalise l’homme. Si le concept d’écologie veut devenir cohérent il doit servir un modèle d’évolution ouvert sur le temps, celui de sa fin logique. Par ailleurs, pour que la tonalité idéologique concernant l’écologie, soit reconnue pour ce qu’elle est dans son fond, il faudrait trouver une explication au fait que l’homme est la cause de la disparition de milliers d’espèces chaque année. L’écologie tend à une vision élégiaque dont Hölderlin a montré la valeur utopique de caractère panthéiste.
L’enlacement de la vie et de la mort garantit un au-delà de la performance dialectique et tout existant ne se réduit pas à l’effort de devoir simplement persévérer dans son être ; il emblématise la marche du temps vers des réalisations ultimes que seule la conscience peut amener.
Ainsi, la venue de la conscience chez l’homme a radicalement modifié la logique de la survivance. La conscience que l’homme a de lui-même en fait un être-là. Ce « là » pose problème car il n’est pas que de nature spatiale. Il ouvre sur une temporalité intérieure qui ne peut plus totalement se confondre avec celle du monde extérieur. L’homme n’a eu de cesse de donner un sens à ce « là » afin de surmonter son angoisse existentielle où se déploie la puissance de la négativité.
Les dernières découvertes sur les sanctuaires Néanderthaliens, il y a plus de 170 000 ans, ne laissent aucun doute sur la nécessité pour l’homme de découvrir sa raison d’être au monde ou plutôt de ce qui est devenu un monde pour lui. La structure logique des mythes et des religions a permis à la conscience d’avancer vers des questionnements plus franchement métaphysiques, l’obligeant à faire un usage critique sur l’étrangeté de son être là. Autrement dit, l’homme a dû peu à peu accepter, de par le pouvoir de la pensée réflexive, le fait de ne rien comprendre à soi, ni au monde. Il est un être libre ne possédant pas d’autre raison que celle qu’il se donne, la liberté est dans son surgissement pour rien. Ce rien est le cœur du mystère psychique, il est le point de fusion incandescent entre l’être et le néant, la source de sa négativité, son manque à être fini et la source de son infini. Le corps ne peut donc être que le lieu où se creuse ce manque pour laisser naître la psyché comme pure temporalité, sortant du cercle répétitif de l’espace-temps que constitue la seule raison de la survivance.
Ainsi, se comprend l’injonction métaphysique du devoir être homme. Cela n’est en rien un devoir facile puisqu’il s’agit d’un dépassement de la naturalité pour une vie plus haute. Cette injonction intérieure a permis à la conscience de l’homme de croître durant des milliers d’années en remodelant les fonctions corporelles aptes à la servir.
Cependant, le piège de l’individualisme s’est refermé en Europe au tournant du XVIIème siècle avec l’essor de la pensée naturaliste et le rejet de la métaphysique. On a pu ainsi laisser croître le credo en la naturalité de l’ipséité, celle-ci offrant le privilège d’être soi-même sans avoir besoin d’y pourvoir. Ce soi-même se suffisant à lui-même est un phénomène en contradiction évidente avec ce que propose le moindre regard sur la nature où tout n’est qu’aliénation et interdépendance. Si le piège naturaliste s’est refermé de façon insensée sur l’homme, cela tient au fait qu’il combine le sentiment de la liberté à un empirisme logique de l’usage de cette même liberté, laissant accroire que chacun peut profiter de sa propre expérience et que cela suffit à donner du sens à l’existence.
La pandémie dévoile le vice de cette pensée naturaliste qui s’est accentuée depuis la révolution darwinienne.
Nous assistons depuis plusieurs mois à une incroyable attitude d’incompréhension face au virus, à son comportement, à ses caractéristiques pathogéniques, à ce qu’il signifie dans le champ biologique en ce qui concerne son rapport à la vie et la mort. Cette totale déficience de la pensée est compensée par la mise en scène théâtrale de la valeur de la vie individuelle, faisant ainsi des individus des héros, morts ou vivants, de l’idéologie de la survivance.
Cette façon hypocrite de profiter du virus pour vouloir tout à coup donner du sens à la vie individuelle après l’avoir radicalement expurgée de tout contenu métaphysique et réduite à une valeur économique, relève d’une farce, sachant par ailleurs que cette vie individuelle concerne majoritairement des personnes âgées parquées dans des EHPAD et ayant oublié depuis longtemps leur raison d’être là. Une des raisons éthiques qui limite la pandémie en Afrique vient du fait que l’on n’y parque pas les vieux, ils existent jusqu’au bout dans leur tentative de donner du sens à leur communauté.
La pandémie devient le prétexte à célébrer la seule vision physico-chimique de la vie, alors qu’elle en est la défaite, laissant la porte ouverte à une futurologie inquiétante. L’homme pourrait se libérer des contraintes de la survivance en s’appropriant les mécanismes de l’évolution et en les élevant au-delà de leur simple fonctionnalisme adaptatif à de nouvelles potentialités.
Ainsi, la politique des vaccinations reflète de façon idéale ce projet pour une humanité exempte des maux que l’évolutionnisme a imposé pendant des millions d’années. L’homme s’augmenterait de son propre pouvoir technoscientifique en vue de soutenir son espérance édénique en réduisant la notion d’organisme à une pure machinerie de l’extase.
Nous approfondirons la prochaine fois l’usage de la notion de système et en particulier quand on lui accorde le dénominatif d’immun qui l’identifie à une conception éminemment religieuse propre au refoulé de la science.
Linda
Vaccins et conséquences transgénérationnelles
La campagne pour la vaccination contre le coronavirus a commencé. D'après le discours général, il va falloir lutter contre l'obscurantisme et convaincre les sceptiques. Convaincre de la non dangerosité du vaccin, de la nécessité de créer une immunité seule capable de faire reculer ce terrible fléau. Tel est le nouveau combat qui unit politiques, chroniqueurs et journalistes. Et si l'obscurantisme était du côté des vaccineurs à tout prix ? Il est difficile de se faire traiter en permanence d'arriérés et de peureux irrationnels, quand on sait que la position prise relève d'une longue et courageuse réflexion sur l'existence. Mais il n'est pas possible de convaincre la masse des suiveurs aveugles car cela demande une élévation du niveau de conscience et une liberté d'esprit qui n'est pas possible sans une longue réflexion. D'un côté l'argument est simple : "vous n'avez rien à craindre, il faut vivre avec son temps, nous sommes certains d'avoir raison..." De l'autre : ... Comment résumer des années de questionnement ? Que faire alors devant ce mur de surdité, d'incompétence, de rigidité ? de certitude ? Que faire devant ce concert de bien-pensants ? Se tapir dans son coin, attendre que la vague passe et juste prévoir les conséquences. Là on peut sans doute émettre quelque avis sur les conséquences car si la vaccination aveugle et sans stratégie de la maladie se poursuit, l'ordre naturel lui, ne dévie pas de sa route et posera les limites inéluctables à des pratiques irréfléchies. La difficulté est que les conséquences ou ce qu'on appelle les effets secondaires ne se feront pas sentir aussitôt. Et c'est là le nœud du problème. L'homme peut bien partir dans toutes les directions et expérimenter librement toutes les impasses, c'est sa liberté absolue. Mais je voudrais montrer ici que les conséquences se feront sentir un jour, beaucoup plus tard, et vraisemblablement sur les générations qui suivent. Qu'est-ce qui me permet d'avancer une telle hypothèse ? La Théogonie d'Hésiode — encore un vieux texte ringard — propose une naissance de l'homme à la conscience en trois générations de Dieux. Après être née du Chaos, Gaïa, la terre engendre Ouranos, le ciel avec lequel elle forme le premier couple divin. Première étape d'une longue gestation fusionnelle qui n'est pas sans évoquer la gestation de l'être dans le sein de la mère ou encore cette lointaine préhistoire quand l'homme vivait encore dans des grottes, et dont nous n'avons que quelques échos. Nous sommes dans la phase préparatoire à la venue de l'être à sa naissance psychique. Hésiode nous raconte ensuite comment Kronos délivra sa mère en châtrant son père Ouranos. En s'éloignant de la terre mère, l'immense Dieu inonda le monde de sa lumière et le plongea dans l'âge d'or. Âge paradisiaque s'il en est, celui de l'enfance innocente et de l'âge d'or du monde mythique, quand la parole n'était pas encore aussi tranchante et que la vérité se donnait dans la transparence du monde. Moment sacré rythmé par le jeu des apparitions apolliniennes. Enfin Zeus et Héra viendront constituer la troisième génération et organiser du haut de l’Olympe, le partage de la souveraineté du monde entre les hommes et les dieux. Moment délicat d'émergence de la conscience de soi et du monde. Pour les enfants de Zeus, le défi n'est pas simple : il faut donner aux hommes les impulsions de l'existence tout en préservant leur liberté. Dionysos organise en sourdine le soubassement des pulsions, alors qu'Apollon vient souffler à l'oreille des artistes seuls témoins de cette aventure, les desseins secrets de son père. Athéna enfin, celle qui a contre vents et marées, conduit Ulysse à bon port, décille les yeux de ceux qui veulent bien voir. De ses lointaines contrées, Hésiode, inspiré directement des Muses, nous racontent comment les Dieux ont posé les bases historiques de notre monde occidental dans l'espoir sans doute de nous aider un jour, à comprendre de quoi il retourne. Trois générations pour construire un homme : enfant, parents, grands-parents, trois étapes, trois âges de la vie qui permettent tour à tour d'expérimenter le déterminisme générationnel aussi bien physique que psychique. Trois étapes que l'homme reprend à son compte et une énigme, celle que la Sphinge pose à Œdipe : qui suis-je ? Avant tout un être pris dans les mailles de la temporalité. Autrement dit, il n'y a aucun geste, aucune pensée qui ne soient déterminés par la génération qui précède et qui ne déterminent la génération qui suit. La liberté oui, mais à condition de respecter les règles de la temporalité à la base de l'éveil de la conscience. Schelling voit dans ce procès l'origine et l'impulsion de l'avancée des hommes vers un processus d'individualisation qui leur permettra de penser et d'agir librement. Le problème est que l'homme était censé découvrir les grands principes à l'origine même de cette liberté et non d'ignorer ces règles afin de satisfaire avant tout à son appétit de pouvoir. L'homme ne peut se penser en dehors de la génération qui le précède et qui le fonde et de la génération qui le suit et qui subira les conséquences de ses actes. Ainsi chaque acte réalisé ce jour aura des conséquences au minimum, jusqu'à la troisième génération. Les femmes qui vont enfanter dans les années qui arrivent transmettront à leurs enfants les modifications génétiques apportées par le vaccin ARN, enfants qui les transmettront à leur tour à leurs propres enfants et ainsi de suite. Pourquoi s'en inquiéter ? On peut même penser que cette barrière imposée au virus par le corps peut se transmettre et vacciner les générations futures. Ici il nous faudra ouvrir un nouveau chapitre pour répondre à cette question. Pour l'instant je m'en tiendrais juste au fait que l'analyse des conséquences d'un vaccin sur quelques mois ou même quelques années est très insuffisante pour en mesurer l'impact réel qui s'étend sur plusieurs générations. C'est un premier point qui invite à la prudence. Nous verrons dans une prochaine communication en quoi ces modifications qui peuvent être très positives dans la lutte actuelle contre le virus, peuvent aussi présenter un danger irréversible pour les générations futures.
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« Dans cette perspective, l’analyse additive de la domination est à proscrire car elle induit et entretient une forme de « solipsisme blanc » dans la théorie féministe hégémonique, qui peine à penser que les femmes « blanches » des classes moyennes sont bel et bien concernées par le racisme et le rapport de classe, tout comme les femmes de couleur et/ou appartenant aux classes populaires. Il faut plutôt penser ces rapports dans leur immixtion, dans leur « cosubstiantialité », ou encore depuis leur commune généalogie. Le blanc est une couleur, un marqueur de « race ». Autrement dit, l’expérience de la domination des femmes WASP (white anglo-saxon protestant) de la classe moyenne exemplifie tout autant le croisement des catégories de « sexe », de « classe » et de « race » que celle des femmes de couleur. Toutefois, elle l’exemplifie en introduisant la question des rapports de dominations entre les femmes elles-mêmes. »
Elsa Dorlin, Sexe, genre et sexualités
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