#il y avait soit sa copine à côté donc son attention était surtout sur elle
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deescontinuity · 3 days ago
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Pour le réveillon, je l'ai fait avec des ami.es, on était 7, 3 couples + moi, et j'aime beaucoup mes ami.es, je sais que t'as envie de passer un moment avec ton partenaire, mais quand au moment du compte à rebours, y'a juste eu "bonne année !" et que je me suis retrouvé le seul plouc debout dans la chambre quand les autres étaient en train de se pécho sur le lit, c'était vraiment pas ouf. Et j'ai entendu ce matin mon meilleur ami dire à sa partenaire qu'il se sentait mal que ce soit arrivé, et j'aurais bien aimé qu'il me le dise directement.
Je m'attendais à être le seul celib, mais je n'avais pas pensé à ce moment de la soirée spécifiquement, parce que l'année dernière, c'était à peu près avec les mêmes personnes, mais personne n'était encore en couple, et on avait mis de la musique et on dansait pendant le compte à rebours, donc c'était une super ambiance, mais là j'étais juste mal.
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histoirevincent · 7 years ago
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L'histoire de Vincent (Partie 19)
Discussion autour des couches entre Vincent et sa maman
Vincent resta encore quelques jours chez Dimitri. Il y rencontra un de ses amis et passèrent du temps à jouer tous ensembles. Mais il était temps de rentrer chez lui et ses parents virent le chercher pour sa plus grande tristesse.
Vincent était triste c'est vrai, mais tout de même heureux de rentrer et de retrouver des amis et surtout Noémie et Virginie.
Quand Vincent fût de retour chez lui, il eut envie de revoir Noémie et Virginie le plus rapidement possible.
- Maman, est-ce Noémie et Virginie pourraient venir à la maison ?
- Tu es rentré il y a moins de 2 heures, laisse moi profiter un peu de toi. Et puis raconte moi un peu tes vacances, nous ne nous sommes pas beaucoup parlé pendant toute ce temps où tu étais chez tes grands parents et chez Dimitri.
Vincent raconta ce qu'il avait envie de raconter, et oublia certains événements comme la couche qu'il avait mise pour aller à la pêche, ou alors la caca qu'il avait fait lors de sa journée à Disney.
- Mais dis moi, quand tu étais chez papy ou mamy , tu as mis des couches quand ? Et chez Dimitri ?
Vincent se douta que sa maman savait certainement plus de choses qu'il ne l’aurait cru et préféra lui raconter toute la vérité. Il savait que de toute façon elle ne le disputerait pas. Il raconta ainsi tous les événements et la punition de sa mamie.
- Merci Vincent de me dire la vérité. Pour les couches la nuit, cela ne me dérange pas. En journée par contre je ne suis pas trop d'accord. Chez Dimitri, cela peut être l'exception mais sinon, je ne veux pas que tu en mettes sans mon accord ou celui de papa.
- Oui maman, je ne me ferai plus sans te demander, et je m'excuse.
- Ce n'est pas grave en soit, et je ne suis pas fâchée mais tu sais les gens ne comprendraient pas car ce n'est pas dans la norme de porter des couches sans raisons médicales. Mais il y a aussi le risque que ton cerveau prenne l'habitude de laisser ta vessie se relâcher quand elle le voudrait et peut-être de manière définitive. Rappelle toi quand tu es sorti se l'hôpital.
Vincent acquiesça sans rien dire. Il savait que sa maman avait raison.
- Tu sais porter des couches toute sa vie ce n'est pas drôle. Il y a des événements ou des occasions qui ne s'y prêtent pas, aussi bien quand on est un enfant que quand on est un adulte. Des vraies personnes qui sont incontinentes souffrent de devoir porter des couches toute la journée.
Sa maman se voulait moralisatrice et il entendait et comprenait tout ce qu'elle lui disait. Il se mit à pleurer.
- Ne pleure pas, si je te dis tout çà c'est pour être que que tu comprennes bien les conséquences de tes actes. Si tu ne le fais plus, il n'y a pas de risques que cela t'arrive.
Ils finirent par se serrer l'un contre l'autre et Vincent sécha ses larmes.
- Et pour en revenir à Noémie et à Virginie , si tu veux les inviter à dormir samedi soir, je suis d'accord, lui dit sa maman en lui faisant un clin d'œil.
- Tu es la meilleure des mamans, lui répondit-il. Merci.
- Cela ne va peut-être pas te plaire, mais j'ai pris rendez-vous chez l'urologue. Je veux que nous fassions une vérification que tout est normal. Nous avons rendez-vous demain. Certains enfants ont du mal à ne plus faire pipi au lit et quelques fois cela peut avoir une raison médicale. Je serais plus rassurée que l'on soit sûr que cela va bien se ce côté. Tu veux bien ?
- Je comprends et je trouve que c'est une bonne idée.
Dans la minute qui suivi la fin de la conversation, Vincent était déjà en train de prendre le téléphone pour appeler ses 2 amies. Il avait vraiment hâte de leur parler et trépignait au point de ne pas réussir à composer le numéro de téléphone.
Les 2 copines étaient libres et acceptèrent l'invitation avec une grande joie, ce qui fit très plaisir à Vincent. Il pourrait ainsi leur raconter ses vacances et leur offrir leur cadeau. Il espérait que cela leur fasse plaisir car il savait que c'était tout de même un cadeau assez étrange.
La dernière fois qu'ils s'étaient vu tous les trois, c'était chez Noémie. Il se rappela la soirée et comme Virginie était belle. Encore plus quand il l'avait vu avec sa couche dans son petit short de nuit. Il se rappelait aussi la discussion qu'ils avaient eu tous les deux en plein milieu de la nuit.
Vincent espérait aussi que Noémie ait toujours besoin de couches la nuit. Ils seraient ainsi tous les trois pareils. Il savait que d'espérer cela n'était pas très sympa pour son amie et avait quand même quelques remords.
Il était un peu inquiet de voir l'urologue, tout comme il l'avait été en allant voir son médecin traitant avant de remettre des couches. Il était inquiet pour 2 raisons.
La première parce qu'il se disait qu'il y avait peut-être une probabilité qu'il ait un problème médical, et que ses pipis au lit pourraient ne jamais s'arrêter, même en grandissant.
La deuxième, par le fait que si l'urologue disait à sa maman qu'il serait préférable qu'il ne mette plus de couche, elle suivrait très certainement son avis.
C'est son papa qui le prépara pour la nuit et Vincent était content car ce n'était pas si souvent. Son papa l'envoya donc faire pipi et prendre une douche après que le repas fût terminé. Il fût décidé que Vincent irait se coucher tôt ce soir là car il s'était couché plutôt tard pendant ses vacances.
Une fois que Vincent fût lavé, il regagna sa chambre où l'attendait son papa.
Celui-ci termina de le sécher et l'allongea sur le lit.
- Cela fait longtemps que je ne me suis pas occupé de toi. Je devrais le faire plus souvent non ?
- Ah oui alors. J'aime bien quand c'est toi.
Son papa lui sécha avec une grande attention l'entre jambes et les fesses. Il peut ensuite de la crème et l’étala et pendant bien soin de ne pas oublier d'endroit.
- Que veux tu mettre comme couche ce soir ? Une normale ou une sur tu as ramené de Disney ?
- Je garde celles de Disney pour les occasions spéciales alors une normale ce soir s'il te plaît.
Son papa choisit donc une Tena slip maxi et s'appliqua donc à la mettre comme il fallait. Il n'avait clairement pas la dextérité de sa femme.
- Voilà, c'est fait. Lève toi maintenant que je t'enfile ton body. Là aussi tu veux garder ton body Disney pour une occasion spéciale j'imagine ?
- Oui papa, je le mettrai samedi.
- Très bien, alors tu vas mettre le blanc. Et comme pyjama, tu veux quoi ?
- Je n'ai pas envie d'en porter un ce soir, je vais dormir juste en couche et body.
- Il ne fait pas froid, c'est donc toi qui décide, lui dit son papa avec un sourire.
La séance de change était maintenant terminée. Vincent attrapa son papa par la taille et le serra fort dans ses bras.
- Merci papa de t'occuper aussi bien de moi et d'être aussi gentil.
- Cela me fait plaisir tu sais.
Et son papa le fit grimper dans ses bras et lui aussi le serra fort. Ses mains soutenaient Vincent sous ses fesses, et ce petit bruit de plastique qu'il entendait lui rappelait des souvenirs, car lui aussi avait fait pipi au lit assez tard.
Une fois ce câlin terminé, Vincent alla à la salle de bain pour se laver les dents.
Son papa le regarda s'éloigner, tout en étant dans ses pensées. Il espérait que son fils s'arrêterait de faire pipi au lit bien avant ses 15 ans, pas comme lui. Il culpabilisait un petit peu car il savait qu'il y avait fait une part d'hérédité dans l’énurésie.
Vincent, lui, était dans de toutes autres préoccupations. Tout en se lavant les dents, il pensait à sa soirée de samedi. Il se demandait ce qu'il allait faire, s'ils allaient rester à la maison ou sortir, si ses parents étaient d'accord bien entendu. Il avait donné rendez-vous vers 16h à Noémie et à Virginie.
C'est sa maman qui le sortit de ses pensée en lui mettant un petite tape sur sa couche et son body.
- Cela fait bien 10 minutes que tu brosses tes dents, à quoi rêves-tu dis moi ?
Après avoir craché et s'être rincé la bouche, Vincent lui répondit.
- Je me demandais ce que nous ferrons samedi avec Noémie et Virginie.
- On verra ça demain, je voudrais que tu ailles te coucher maintenant. Je pense que tu as pas mal de sommeil à rattraper. File dans ton lit maintenant.
Vincent se dépêcha d’aller dans son lit et ne mit effectivement pas longtemps à s’endormir tant il était fatigué. Les vacances n’étaient effectivement pas de tout repos.
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elorecohlt · 5 years ago
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50 - Secrets
D’autres mois ont passé, dans le sang et la suspicion. Des mois à me demander qui pouvait bien être la taupe, des mois à me rapprocher doucement de mon frère. Des mois de confusion, des mois à m’endurcir. Des mois à m’accrocher aux membres de la Meute qui restaient.
Des mois flous.
La musique, par pulsations graves, résonnait en synchronisation avec les lueurs stroboscopiques du bar, éclairant par saccades les ailes d'ange encrées qui s'étalaient sur le dos de Mina. Assise au fond de la pièce, j'ai levé ma boisson. A travers le verre du cocktail aux couleurs radioactives, j’ai vu la fille retirer son haut et l'argent des clients m'a paru plus brillant, plus beau.
Une main s'est posée sur mon épaule alors que la porte à côté de moi se refermait. Je ne me suis pas retournée.
- T'en as mis, du temps.
- Désolé.
Hakeem s'est assis à mes côtés.
- Tu as des plans, pour après ?
- Non.
Il a souri, et cette unique réaction a suffi pour provoquer en moi une vieille forme de méfiance. J'ai reposé un peu trop brutalement mon verre sur le comptoir alors qu’il reprenait :
- J'ai demandé à Face de nous laisser partir plus tôt. Dès que la relève arrivera, on pourra revenir à la maison.
J'ai ricané.
- Et quoi encore ? Tu m'as préparé un gâteau et des serpentins ?
Il a ri à son tour.
- J'ai invité Leïla.
Le nom seul a suffi pour que mon expression change, et celle de Hakeem s'est éclairée en écho. Il était fier de son coup, même s’il n’avait rien d’exceptionnel : comme souvent, ma copine était la seule personne que j'avais réellement envie de voir.
Hope est rentrée en scène, accueillie par des applaudissements : elle restait la plus populaire de nos filles. Alors que je la regardais se déhancher au son d'une musique plus sulfureuse - est-ce qu’elles avaient le choix des chansons sur lesquelles elles se désapaient ? Je ne leur avais jamais posé la question - j'ai commencé à comptabiliser les années de ma vie : 13 ans sans connaître la Meute, bientôt 3 ans à sortir avec Leïla, un anniversaire que je n’avais pas envie de nommer ce soir.
J’étais trop jeune encore. Peu importait.
Une année nous séparait des évènements de l'entrepôt, ou - comme l'appelait Face - la plus ratée de nos opérations. Il avait tort, pourtant : on n'avait rien perdu dans l'histoire à part notre dignité mais le boss avait mal digéré la provocation. En un an, nos effectifs avaient doublé et - surtout - on s'était alliés à plusieurs autres petites frappes de New L.A., ce qui nous avait dispersés et fortifiés. La guerre entre nous et le Noeud n'avait pas cessé, au contraire : depuis l'accident de l'entrepôt, Face avait passé des jours et des nuits à élaborer des stratégies pour nous fortifier et les contrer, et elles avaient payé : notre influence sur le quartier n'était plus discutable et on avait même réussi à gagner un peu de territoire.
Mes apparitions à l'école s'étaient faites plus rares depuis qu'un nouveau prof, bien moins impliqué que Mr. Campbell, avait été désigné pour gérer la classe. Officiellement, j'étais très malade mais beaucoup de gens à l'école se doutaient que mes activités étaient louches, sans pour autant oser m'assimiler à la menace qu'était la Meute. En parallèle, je m'étais éloignée de Cole et Kate. Cela s'était fait assez naturellement : plus j'étais impliquée dans les activités du gang, moins j'avais de temps à accorder au reste. Leïla était restée mon seul contact régulier de ma vie de jour, et notre relation - malgré quelques hauts et bas - s'était stabilisée depuis que je lui avais promis un échappatoire. L'exécution de ce plan, d'ailleurs, n'était plus qu'une question de semaines : la Meute comme le Noeud étaient épuisés de la guerre et Face avait prévu une issue sous peu, même si on ne savait pas encore laquelle.
Je m’interrogeais régulièrement sur son identité. Face n’accordait pas sa confiance facilement : pour entrer et rester dans la Meute, il fallait prouver sa dévotion. Je me doutais qu’il devait s’agir d’un membre ancien, l’un de ses plus fidèles alliés. Mais mon esprit enchaînait les hypothèses, incapable se décider.
Ça aurait pu être Dog. Il aurait eu l’audace et la fidélité. Mais c’était un électron libre, imprévisible, et je n’étais pas sûre que Face lui fasse assez confiance pour lui confier ce genre de job.
De l’autre côté, Gold et son sang-froid auraient pu faire l’affaire. Je le savais absolument loyal, même s’il ne le montrait pas ouvertement. Mais aurait-il accepté une mission aussi risquée, aussi cruciale ? Ou est-ce que Face l’aurait forcé ?
Je n’en savais rien. Je priais que ce ne soit pas l’idiot qui me servait de grand frère. Ça aurait été trop cruel qu’il se mette dans de telles embrouilles alors qu’on venait à peine de se réconcilier. Mais quelque part, je m’y préparais : être dans la Meute m’avait appris à attendre le pire à chaque tournant.
Pourtant, j’espérais encore. Réflexe débile, mais vital et plus fort que moi.
Après plusieurs semaines, mon espoir a commencé à se corrompre. J’avais recommencé à faire attention à l’emploi du temps de Hakeem, ses déplacements. Je savais qu’il n’avait pas d’autre ami que les membres de la Meute - il avait dû perdre ses potes diurnes en même temps que les miens - donc il ne pouvait être qu’à deux endroits : le QG ou la maison.
Pourtant, il en sortait, parfois.
Pour une destination que j’ignorais.
À chaque fois que je lui ai posé la question, Hakeem a esquivé le sujet et le voir me cacher des trucs à nouveau m’a rappelé de sales souvenirs. J’ai eu de nouveau l’impression d’avoir 13 ans et de faire face à un frère fuyant, qui s’éclipsait pour revenir avec de l’eau tourbe dans les prunelles et du sang sous les ongles.
Mais je n’étais plus la même. Je m’étais endurcie, j’avais vu des trucs innommables. Je n’avais plus peur d’emmerder qui que ce soit. Bref, un jour, mes doutes sont devenus insupportables et j’en ai eu assez. Je l’ai attendu une fois à l’appartement, alors que nos parents étaient de passage. Et si j’avais menti pour couvrir son absence, je savais qu’il n’oserait pas se casser alors qu’Evelia et Mazin étaient présents.
C’était l’occasion parfaite.
Je l’ai attendu, assise à l’entrée de l’appart comme un mari jaloux - sauf que j’avais un bouquin dans les mains à la place du traditionnel verre d’alcool. Quand il a ouvert la porte, j’ai aboyé :
- C’est à cette heure que tu rentres ?
Il s’est raidi - j’imagine que la petite sœur que j’étais aurait préféré qu’il sursaute, mais la vie qu’on menait l’avait sans doute habitué à pire. Puis Hakeem a tourné la tête, m’a vue assise sur le sol et m’a adressé un drôle de regard.
- Tu fous quoi ?
- Je t’attendais. T’étais où ?
J’ai pris appui sur le mur pour me relever, lui faire face. J’étais presque aussi grande que lui maintenant.
Il m’a adressé un sourire grimaçant, qui sentait le faux.
- Au boulot. Dog t’a pas dit ?
- T’y étais pas, te fous pas de ma gueule.
Son sourire a disparu, remplacé par une expression à mi-chemin entre la gêne et la colère.
- Qu’est-ce que ça peut te foutre, de toute façon, hein ? T’es pas ma m-
Un bruit dans le salon l’a interrompu, lui rappelant qu’en effet, sa mère n’était pas loin. Il a baissé la voix avant de murmurer furieusement :
- Je te dois rien, Raïra.
J’ai saisi son épaule, obéissant juste à mon impulsion. Je le sentais déstabilisé et en ai profité pour siffler à mon tour ;
- C’est toi, avoue.
Une lueur d’incompréhension lui est passé sur la gueule. Malgré le doute qui m’a traversé le crâne, j’ai continué d’appuyer :
- Quand t’es pas là, t’es avec le Noeud.
Je l’ai poussé.
- Face te l’a demandé. Avoue !
Il y a eu un silence, des pas dans le couloir. Le regard de Hakeem a glissé vers le côté, mais personne n’est venu nous déranger. Plus les secondes se sont égrenées et plus j’ai senti ma colère monter, alimentée par le silence. Au moment où j’ai failli le pousser encore, il a bloqué mes mains et a soupiré.
- ... c’est pas ça, Raïra. C’est pas moi.
J’ai encaissé l’information, sans pour autant m’autoriser à être soulagée.
- Je te crois pas.
- Je te jure !
D’un mouvement, je me suis détachée.
- Tu vas où, alors ? Tu me caches quoi ?
Nouveau soupir. Je le sentais agité, mais pas forcément nerveux. Je l’ai suivi à la cuisine, alors qu’il récupérait une cannette de soda.
- ... je me suis fait un pote, Raïra, c’est tout. Quelqu’un qui est pas dans la Meute.
Quelques secondes ont passé, le temps que je digère l’information. Puis j’ai laissé une première vague de soulagement m’envahir.
- C’est tout ? Promis ?
Il m’a souri, m’a tendu une autre cannette.
- Promis.
Je l’ai saisie sans conviction et suis rentrée dans son jeu.
- Faudra que tu me le présentes, alors.
Il s’est marré, comme si je venais de lui faire la blague du siècle.
- Tu l’aimerais sans doute pas.
J’étais méfiante, mais j’ai laissé aller. Il fallait que je fasse confiance, je me le répétais sans pour autant y croire réellement. Alors qu’on se sépare, j’ai vu Hakeem glisser un billet dans la poche du manteau de notre père. C’était devenu une habitude qui s’était solidifiée après avoir surpris une nouvelle fois nos géniteurs en pleine discute. S'ils s'en rendaient sans doute compte, nous n'en parlions jamais. Leurs visites plus fréquentes avaient eu une autre conséquence, absurde : on se cachait moins et nos excuses pour sortir étaient de plus en plus paresseuses. Pour autant, ni Mazin ni Evelia ne protestaient, ce qui nous arrangeait : peut-être était-ce dû à cet argent qui apparaissait mystérieusement dans leurs poches, mais Hakeem et moi avions envie de tout sauf de nous faire sermonner par deux adultes décidant de remplir leur rôle de parents quand l’envie leur en prenait.
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juliarecits · 6 years ago
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Espagne (1)
 Nous sommes arrivés dans notre maison de vacances début août comme les autres années.
Cela fait 18 ans moi que je viens, et mes parents 22. Maison de vacances. NOTRE maison. Ma copine, Agnès, vient avec nous depuis quelques années également.
 Toute la rue est habitée par pratiquement les mêmes personnes depuis la création de ce quartier, et tout le monde se connait ou presque. Nos voisins sont les mêmes, et on se retrouve presque à chaque fois. Cette année, Tonton, notre voisin de gauche, est arrivé avant nous et il nous accueille avec l’apéritif comme de coutume. On l’appelle « Tonton », surtout moi, car il a 61 ans cette année, et a toujours été pour moi comme un tonton. Il m’a vu grandir, et tous les ans il me dit que je suis plus grande que la fois dernière, et maintenant il rajoute plus belle… Il est retraité depuis 3 ou 4 ans je ne sais plus, et sa femme aussi. Elle est super gentille et quand j’étais petite, elle me gâtait toujours de glaces, de gâteaux ou autres, et même me gardait parfois quand mes parents allaient en courses et aussi le soir si ils étaient invités chez des amis, et que ces soirées n’étaient pas trop pour les enfants. J’ai compris de quoi il s’agissait maintenant. Je connais leurs amis et la villa superbe qu’ils ont sur le bord des canaux. J’y ai fais trois séances de photo dans leur piscine depuis. Il est vrai que le cadre est magnifique. La maison de mon photographe.  
 Tonton et sa femme profitent de leur maison plus longtemps et plus souvent que nous depuis qu’ils sont retraités. Lui, on l’appelle le « chef de rue » ! Il sait tout. La gazette ! Il organise tous les ans la fête de la rue. Une soirée ou les gens mettent des tables sur le trottoir, pour porto et tapas et tout le monde se promène de table en table pour discuter. Très sympa.
 Il doit mesurer 1m85 environ, cheveux gris et longs (catogan), un peu de ventre mais sans trop, il a la peau toute dorée, et ce que je trouve assez sympa et ca quelque soit le physique des gens, c’est qu’il est tout lisse de partout. Pas un poil sur le corps, ou du moins très peu, mise à part une petite touffe de poils sur le torse, poils gris comme ses cheveux, et sa peau lisse et un petit peu craquelante lui donne un air assez marrant. Un gros bonbon caramel ! Et un petit côté baroudeur.
Depuis quelques années, il me regarde avec une petite lueur supplémentaire quand on arrive, et de plus, mais il n’a pas trop osé le demander, il est intrigué de voir que je viens avec Agnès et que nous avons l’air bien plus proches que de simples copines. Ca l’intrigue ca le Tonton, et aussi,  même que ca doit lui donner un petit frisson de nous voir main dans la main ou de se faire des bisous sur la terrasse. A voir sa façon de nous regarder, il ne sait pas si c’est juste un comportement de copines ou si nous sommes vraiment « ensembles ». Est-ce un jeu ? Nous sommes toujours très joueuses justement, alors est-ce une attitude plutôt rigolote ou… ?
 Donc, cette année, à peine les valises défaites, nous sommes à l’apéro chez eux (10mètres à faire pour passer d’une maison à l’autre), et porto et tapas oblige ! Rythme Espagnol et estival de rigueur dés l’arrivée. Conversations classiques pour résumer l’année de chacun. Agnès et moi on participe, mais en se moquant gentiment d’eux. Encore un jeu.
Il a du mal à nous quitter des yeux cette année ! Oui je sais… Les jupettes de 30cm et les petits hauts au dessus du nombril, ca attire l’œil d’un Tonton. Et s’il savait que dessous… Il n’y en a pas justement… Les années passées déjà, il aimait bien nous regarder partir dans nos petites tenues sexys, nous accompagner aussi en ville ou même passer une soirée avec mes parents et nous au restaurant ou simplement pour un verre en terrasse. Il a peut être aperçu un de nos trésors sous une robe trop courte et mal maitriser un jour de minigolf… Je me souviens d’un certain trouble lors d’une partie et de regards plus précis jusqu’au retour. Et puis surtout pendant nos bronzettes dans le jardin, quand il ose à peine regarder par-dessus la haie. Haie qu’il coupe soigneusement pour qu’elle soit assez haute pour nous protéger et assez basse pour pouvoir nous observer un petit peu par-dessus… C’est malin un Tonton ! Parfois il a droit au spectacle de maman Agnès et moi, comme si on ne le savait pas. Maman dit que le pire serait qu’il perde un œil, n’est-ce-pas les filles ? Et tout le monde se bidonne en l’imaginant ramassant son œil sur la pelouse. On nomme sa haie, la « haie canal + », sans décodeur, car il doit avoir du mal malgré tout à visionner correctement. Et il doit envier la place de papounet, nu lui aussi évidement et qui bronze au milieu de ses 3 « gonzesses » dans le jardin. On ne s’est jamais cachés, ils le savent. Ca fait partie de notre façon de vivre ici, et il est le seul des voisins à pouvoir nous apercevoir, l’autre coté étant totalement fermé par un abri, sous lequel papa a installé une douche de jardin, et le mur de la maison voisine. Cette douche nous permet de nous rafraichir en permanence pendant nos moments de bronzette ici. De jouer à nous arroser parfois, et même de se laver, surtout toutes les deux, ce qui a le don de déboussoler un peu le père. Il faut avouer qu’on en joue un maximum, en nous lavant réciproquement avec des gestes tendres, voire un peu coquins. On est pliées de rire à le voir se retourner sur son transat, ou partir en bougonnant parce qu’il se sent perturbé de nous voir ainsi. Gêné et surtout quelque peu ému… On le sait, on le voit, on aime bien, et on en ajoute toujours un peu.
 Tonton n’a jamais osé venir avec nous dans notre jardin à ces moments là. Mais surement il prenait un vrai plaisir à regarder tout ca pendant que madame faisait sa sieste ou était en courses. Son petit plaisir. Il sait que nous allons le plus souvent sur les plages naturistes du secteur. Il y en a 2 de chaque cotés de la plage traditionnelle, ainsi qu’une crique assez sympa a quelques kilomètres de là. Il a osé venir une fois avec nous sur une de ces plages, il y a très longtemps, mais il avait un peu de mal… trop de filles qu’il disait en riant ! Pauvre Tonton ! Il était resté scotché sur sa serviette, assez mal à l’aise et cachait son sexe quand on le tirait pour aller à l’eau, ou qu’on lui demandait de jouer avec nous sur la plage. Ca nous amusait bien. Il regardait partout, en même temps pour ne rien loupé de tout ces corps offerts aux regards et sans pudeur et aussi pour s’assurer que personne ne le regarde lui. L’attitude classique de tout invité novice sur ce genre de plage. Ou du voyeur…
 Donc, apéro, regards inquisiteurs sous nos jupettes, ce que maman a noté et ce qui a failli la faire partir dans un grand fou rire, aidée par le Porto certes ! Papa aussi à remarqué et il me fait un petit signe pour me dire : « ho les filles ! Vous allez nous l’affoler le papy ! ».
 Papou, lui, ne s’affole plus trop, habitué qu’il est de nous voir avec nos petites tenues sexys, ou même nues bien sur et depuis longtemps, chez nous déjà, et tout simplement sur les plages. Il s’affole un peu malgré tout, pendant le voyage en voiture où nos tenues sont réduites au minimum. Très souvent ce sont des jupettes sans dessous, comme cette année et les deux précédentes. A l’aise les filles ! Et le rétroviseur du papounet, il n’est pas trop réglé pour les voitures… habitué c’est vrai, mais malgré tout toujours ravi et toujours friand de ces instants. Même si c’est courant, surtout ici en vacances. Mais à chaque fois qu’il peut le vérifier, il s’en affole.
 Et la discussion est partie sur le Musée DALI de Figueras.
 Et moi DALI ! Je ne peux pas ! Mais alors pas du tout ! Et le musée avec une attente de 2 heures minimum sous le soleil ! Non merci. Agnès essaye un peu de me convaincre mais pas trop, elle me connait, elle n’insiste pas mais elle a envie d’y aller cette année. Ils programment ca pour le surlendemain, et moi, je prévois de rester à la maison, seule jusqu'en fin d’après-midi, parce qu’ils vont aussi faire les boutiques en ville. Ce qui me laisse le temps de m’occuper de moi, de préparer des trucs à manger (peut être), de glandouiller (certainement), voire bronzette ou plage en vélo si j’ai le courage d’y aller seule… Mais rester une journée seule ici ne me dérange nullement. Détente ! Un livre un thé et cela me va très bien pour débuter les vacances.
 Ah tiens ! Tonton en a raz le bol de Dali aussi ! Il a vu le musée 2 fois, il en a marre et sa femme ira avec mes parents et Agnès. Lui, il a de quoi bricoler, il bricole tout le temps. Il préparera un barbecue pour le soir !
 - N’est ce pas Julia ? Tu viendras avec moi sur le port pour acheter du poisson ? On ira dans la matinée ? Tu veux bien ?
 - Oui Tonton, si tu me demande pas d’y aller trop tôt. Je déjeune tranquille et ensuite on voit ? ok ?
 Son œil brille encore plus on dirait… Peut être aussi parce qu’on lui passe sous le nez avec nos semblants de jupe et nos seins arrogants sous nos petits hauts très légers, pour aller chercher des tapas dans la cuisine, et qu’il aimerait être à demain pour voir si nous sommes toujours comme l’année dernière, comme dans ses souvenirs, quand nous nous sommes parlé la veille du départ, lui derrière son grillage, nous sur le transat, habillées d’huile et de lunettes de soleil, un livre posé là ou l’on ne lui autorisait pas trop à poser ses yeux. Enfin, pas pendant la conversation. Histoire de le ménager un peu. J’ai dans l’idée que dés demain, il va être aux premières loges, et que pour lui nous sommes le « petit plus » de ses vacances, le « pourquoi » sa maison de vacances à un gros avantage par rapport aux autres. On en joue, il est content, alors rien de grave.  
 Mardi. 9h.
 Petit déjeuner sur la terrasse avec tout le monde. Ca s’agite un peu. Ils veulent prendre la file d’attente au plus tôt. A coté Tonton bricole déjà. Sa femme est prête et attend (papa se marre car elle attend sur la terrasse, avec son sac sur les genoux…). Agnès et maman se préparent, moi je traîne avec mon bol, dans ma tenue de petit déjeuner, ce qui se résume à un string, très fin, et une petite brassière, très légère, qui a bien du mal à cacher le dessous de mes seins, surtout au moindre courant d’air, ce que papa regarde en souriant et qu’Agnès scrute comme si c’était nouveau… Il est certain que ce string et cette brassière ne doivent pas peser bien lourds. Un de ces mini-strings de bain, qui ne cache que ce qu’il peut le pauvre… 2cm de large je crois, et un cordon qui lui se cache entre les fesses et se fait oublier à peine enfilé. La brassière, elle, blanche également, assez ample, avec de fines bretelles, est assez longue pour descendre au dessous des seins et les cacher, mais à condition de rester droite, les bras le long du corps et de ne pas bouger. De plus, un tissu si peu épais, qu’elle est plutôt transparente. De ce que je lis dans les regards, le spectacle est ravissant, et je suis plus sexy ainsi que nue.
 Une tenue qui me permet de croire que je suis un peu couverte pour respecter les règles de vie sur la terrasse de devant. Celle où l’on déjeune, où l’on mange, où l’on circule, à l’inverse de celle  de l’arrière de la maison où nous nous reposons, nous vivons et sans aucune retenue.
 Pour comprendre : de la rue, on ne voit de la maison que le petit coin des vélos, l’allée courte où l’on gare la voiture, la grande fenêtre de mon studio (aménagé depuis 3 ans) avec le grand volet de bois, et une haie très épaisse qui protège de la vue cette terrasse et la grande porte du séjour de la maison. En fait, on ne voit rien. A la limite nous y vivons totalement à l’abri des regards, et nous ne sommes « visibles » uniquement quand nous entrons et sortons du studio. Donc la règle est de faire en sorte d’être moins nue sur cette terrasse aux heures ou les gens passent dans la rue. Mais il doit passer une personne toutes les heures, pas plus, et de ce fait il est très rare de croiser un regard… Les « règles » ne sont pas trop respectées, mais un peu d’attention malgré tout. Et puis cette rue ne mène nulle part en fait. Ces minimums que l’on s’oblige à porter parfois, ajoutent un côté « sexy » non négligeable, bien amusant, et que l’on a depuis longtemps adopté également pour la plage ou les balades, pour les moins indécentes.
 Je suis dans le coltard, on n’a pas dormi de trop en fait, et puis en vacances je suis un peu plus lente le matin… Je me lève toujours tôt, mais si je ne vais pas courir, je flâne, je traîne.
 Bisous a tout le monde, et bisous encore, et encore un !
 On se revoit vous savez ! Vous ne partez pas au bout du monde !
 Et dire qu’ils vont manger des sandwichs, debout, en faisant la queue pour le musée !!! Pour Dali en plus !
 Ah ! Ils sont partis… Calme… Encore un thé Julia ? Aller ! Un thé !  Ah ? Tiens un Tonton au portail !
 -Bonjour ! Eh bien Julia ? Tu n’es pas prête ?
 -Ho la ! Tu ne vas pas bien Tonton !? Laisse-moi déjeuner ! Tu veux un thé ?
 -Ah ben oui ! (il n’en boit jamais à l’habitude)
 Il s’assoit à la table. Il scrute ma tenue de plus près (de chez lui il ne voyait peut être pas les détails). En tout cas, ca à bien l’air de lui plaire. Il chausse ses lunettes de soleil pour regarder plus discrètement. Tu parles ! Je devine ses yeux qui dessinent les contours de mon petit haut, puis du reste de ma tenue, et dans le même temps de tout ce qu’il peut voir de moi. A la fois un peu gêné, et en même temps super ravi de me détailler, quasi nue a 50cm de lui. Sa journée commence bien : il va prendre un thé avec une jeune fille dénudée… les vacances ont du bon !
Je vais chercher une tasse. Oups ! Mes 2 seins lui passent sous le nez quand je lève les bras pour attraper le plateau ! Et une paire de fesse dans cette position au dessus de la tale que ses yeux suivent comme dans tex Avery ! C’est vrai qu’on ne fait pas trop attention entre nous, mais avec lui je devrais peut-être me couvrir un peu... Oh et puis zut ! Il nous mate bien dans le jardin, alors… Et puis on se connait quand même un peu depuis le temps. Nous sommes rarement plus habillés que ce matin.
 Je sens son regard dans mon dos quand je rentre dans la maison. Il me touche presque son regard… Je le sens comme une caresse sur mon dos, sur mes fesses, sur mes jambes... Ca se sent un regard. Le sentiment d’être examinée, mais examinée avec douceur, avec plaisir, avec une certaine gourmandise et ce n’est pas si désagréable. Bonne journée qui commence pour Tonton !
Je reviens avec sa tasse et nous buvons un thé. Il a la voix un peu enrouée le Tonton… L’émotion peut être. Il remet ses lunettes de soleil comme si je ne voyais pas ses yeux qui guettent tous mes gestes pour surtout ne pas louper un sein qui peut passer sous cette brassière effectivement très courte. De toute façon avec le soleil qui maintenant passe sur la terrasse, et me caresse agréablement, elle est assez transparente pour que mes seins soient largement visibles. Cette brassière fait partie de ces fringues que je ne jette pas. Comme mes deux jupettes en jeans, une jupe de tennis, mon shorty rouge et blanc. Mes « 2emes peaux » comme dit Papounet. Et lui aussi, il les aime bien mes 2èmes peaux… Il ne les jettera pas non plus.
 Les yeux de Tonton font l’inventaire… mes seins, mon ventre, mes cuisses, mon piercing au nombril et mon tatou, et la région du tatou évidement !
 -Ah ? Tu as un piercing maintenant ? (déjà l’année dernière Tonton !) c’est beau ! ca te va bien ! Ta copine aussi j’ai vu ! Elle aussi ca lui va bien !
 Pour voir… il a vu ! Tellement vu qu’il pourrait même les décrire en détail.
 -Oui Tonton !
 Et je lui montre bien mon ventre.  Comme ca il peut regarder sans ses lunettes et il en profite. Il est tout chose mon Tonton à me détailler comme ca. Mon tatou est juste au dessus du haut de mon string, à 5cm du petit bout de tissus qui essaye de me cacher. Ce bout de tissu dessine très bien le contour de mes lèvres, et il est assez court pour être très proche du début de mon petit trésor. Et dans cette position, mon minou lance presque un appel… en tout cas il attire bien son regard. Un aimant.  Ho ! Julia ! 
 -Tu as grandi encore ? Non ?
 Je me mets debout. Là, pour le coup, il voit mes seins par-dessous. Le thé passe mal.
-Non je ne crois pas. Me suis arrêté depuis l’année dernière. 1m73 ca me suffit !
 Il se met debout à coté de moi. Je lui arrive au menton. Il en profite pour détailler l’arrière. Il a chaud le Tonton. Mes fesses cambrées avec ce petit bout de tissus coincé entre les 2, ca lui fait chaud au cœur. Il se rassoit mais il n’a plus de thé. Il semble ravi de l’auscultation. Ce n’est pas pour me déplaire en fait que de me sentir détaillée de la sorte. Même que j’en suis ravie aussi. La sensation de charmer, de séduire, de faire envie, en s’offrant simplement au regard de ce Monsieur qui me trouve désirable. C’est un petit plaisir, passager, mais toujours agréable.
  - En tout cas tu es de plus en plus jolie !
 -Merci.
 -Non c’est vrai ! Ta copine aussi ! Mais toi tu es très élancée ! Tu es … Enfin t’es belle quoi ! Et je m’y connais !
 Un petit clin d’œil la dessus ! Il est tout émoustillé le Tonton ! Il a eu le droit de détailler de près une jeune fille quasi nue sans craindre un reproche de sa femme, et cette jeune fille se laisse détailler sans pudeur…
Comment on rend un Tonton heureux avec un simple thé à 9h du matin…
 -Bon ! On va au port ?
 -Oui Tonton laisse moi un moment pour me préparer ok ?
 -Oui mais pas trop ? Hein ?
 -Je ne peux pas y aller comme ca !
 -Ah tu crois ? Dommage ! Non je plaisante Julia !
 Il ne dirait pas non le Tonton qui ne sait plus trop ou il a posé ses lunettes ! Je suis debout et il scrute mes jambes, remonte au string et fini sous la brassière pour voir le demi-sein qui prend le soleil. S’il pouvait, il soufflerait bien dessus pour le dévoiler complètement.
 -Ah oui tu as du grandir encore. Et t’es bien jolie !
 -Oui merci. J’arrive dans 10 minutes.
 Bon ! Me préparer ! Douchette, huile pour le soleil que je me passe sur tout le corps avec tendresse… Et oui ! Se coiffer un peu, c’est bon, je suis prête.
Ha oui ! Je mets quoi ? Il fait déjà chaud. Tongues. C’est bien les Tongues mais ca n’habille pas vraiment. En même temps on ne va qu’au port.
 Ma brassière ? Non, il va conduire à gauche sinon ! On ne va pas très loin mais bon. Aller j’opte pour mon petit haut court sans manches, blanc, fermé devant avec un lacet, ce qui selon le serrage, laisse plus ou moins apparaitre la poitrine qu’il est sensé protéger. Et là, c’est très peu serré. Juste pour voir entre les lacets la moitié de chacun de mes seins. Sexy. Enfin, raisonnable sur un lieu de vacances. Et voyons… bah oui, ma 2ème peau en jeans (une jupette de 25cm) ce qui va cacher mes fesses, sinon son cœur ne va pas tenir jusqu’au port. Cette jupe est assez vieille en fait, délavée, usée, effilochée aussi. Papa dit que j’ai grandi dedans mais qu’elle n’a pas suivi. Je vais mettre un string au moins, parce que si je laisse mon minou respirer comme je fais habituellement ici et qu’il voit ca,  c’est lui qui va arrêter de respirer.
 Dommage, je raffole d’être nue sous mes jupes, surtout en vacances. Je verrais ca avec Agnès, elle aime beaucoup aussi me savoir comme ca, et elle n’en porte pas souvent non plus. En fait, je n’en porte presque jamais en vacances, et cela depuis 3 ans. Habitude prise ici mais à la maison cela m’arrive, ainsi que par chez nous aussi, mais un peu moins souvent. Par contre, dés que l’on est comme ici, c’est liberté, pratiquement toujours. Super sensation, avec, j’avoue, un peu d’excitation aussi. Voire beaucoup. Se sentir très à l’aise. Une manière d’être nue partout mais sans choquer. Et par moment une sensation de s’offrir un peu, se sentir disponible, excitante, même si personne ne le voit. Sauf si on le souhaite… Agnès s’y est mise également, et comme maman le fait pour faire plaisir à papa depuis bien longtemps… résultat le Papounet se promène avec 3 minous qui respirent. Et pour peu qu’il s’en aperçoive, il est tout ému aussi… Comme au bowling l’année dernière où aucune des 3 filles n’étaient couvertes. Il s’est retourné après un beau Strike et… resté un moment scotché à nous regardé toutes les 3 assises pour l’applaudir et chacune en jupe très courte. Vue furtive et plongeante sur nos petits minous lisses et contents de prendre l’air. Ce fut son dernier Strike de la soirée, on se demande encore pourquoi ? Au bruit le soir venant de sa chambre, maman à mit du temps à calmer ses nerfs… Il est pourtant habitué, il le sait, il le sent mais cela lui procure toujours el même effet.
 Il va voir mon piercing et mon tatou. Elle est courte cette jupe et elle descend aussi très bas sur les hanches. Ca donne une démarche assez sexy, surtout si on prend soin de bien dérouler les pas pour onduler au mieux. Papa appelle ca le « balancement ensorceleur »…
 Me voilà prête. Je me regarde dans la grande glace de l’entrée et j’avoue me trouver craquante. Cette jupe comme un bandeau sur les hanches, mon ventre nu, la poitrine à peine dissimulée derrière les lacets, que je détends encore un peu pour donner plus de liberté à mes seins et leur permettre de prendre aussi du soleil. Mes lunettes sur les cheveux en chignon rapide. Ce qui dégage bien la nuque et les épaules. Je me sais très sexy. Je m’aime bien ainsi. Et je sais que je vais plaire.
 Content le Tonton qu’il va être…
 -Aller Tonton je suis prête !
 Oups ! Il chancèle un peu !
 -T’as pas eu trop de mal a t’habiller toi dis donc ! Ils ne sont pas généreux avec les tissus cette année !
-C’est trop court ? C’est les vacances Tonton ! Toutes les filles sont comme ca ici ! Faut sortir de ton jardin !
-Non je plaisante ! En tout cas t’es très belle comme ca ! Je suis content d’aller au port avec toi ! Les marins vont être jaloux du vieux !
 Content le Tonton ? Le mot est faible ! Je ne sais pas comment il a réussi à faire 10km avec juste un œil sur la route ? Il croit que je ne le vois pas ! Il n’a pas lâché mes cuisses du trajet ! Faut dire qu’en voiture, elle m’arrive à peine sous les fesse ma jupe, et mon string blanc et la toute petite dentelle autour, il n’a vu que cela l Il a bien vu une fille ou deux sur le trajet qui étaient plutôt sexys dans des petits shorts très moulants, mais décidément, rien ne vaut mes cuisses ce matin ! A chaque feu, je sens son regard remonter le long de mes jambes, mes fesses, mon ventre, les lacets du petit haut. Assise un peu de travers, face à lui pour papoter, il est à la meilleure place. Il en profite au mieux. Cela m’amuse. Me sentir détaillée, désirée. Ca me plait bien…
 Arrivés au port (nous partîmes 500… non, juste tous les deux) il a aussi vu mes seins par l’ouverture du petit haut que j’ai encore un peu détendu, volontairement, pour être encore plus sexy, et il a mis un petit moment à descendre. Emotif… Je m’amuse. Et je m’en excite aussi. Je joue. Le plaisir simple de se montrer désirable…
 Arrivés sur les quais ! Il est heureux ! Son panier à droite ! SA Julia à gauche !
 Oui oui ! La petite sexy elle est avec moi ! Regardez bien messieurs ! La belle petite elle est avec moi ! Jolie non ?
 Il n’a jamais aimé le port comme cela le Tonton ! On ne le regarde pas avec sa Bernadette !
Là non plus remarque ! Mais la petite ! Houa ! Il est veinard le vieux !
 On passe de poissonniers en poissonniers. Il me met la main sur les hanches pour me montrer des poissons ou pour me demander si j’aime ou pas. Le contact se sa main sur ma peau ajoute surement à son émotion. Electrique. Quand il est derrière, je sens quasiment ses yeux passer de mes reins a mon entre jambes, le plus haut qu’ils puissent scruter. Je sens d’autres yeux aussi. On me déshabille, si c’est encore possible, du regard et j’en suis fière. J’avoue que comme à l’habitude je savoure.
 Mais comment fait-elle pour porter des jupes aussi courtes ? Ca le rend joyeux mon Tonton.
 En fait ma tenue déclenche pas mal de regards dans ce milieu de marins et de restaurateurs. Très masculin. Et j’admets que ce n’est pas désagréable de se sentir « admirée » de la sorte. Petit frisson dans les reins même. J’admets aussi que ce matin je n’ai pas hésité sur la tenue. Tenue de vacances certes, mais très sexy, voire provocante. J’aime bien. Je suis assez fière de l’effet que je provoque. Peu de monde que l’on croise qui ne se retourne pas ou qui ne me regarde avec insistance. Mon haut est très relâché, et mes seins à demi visibles, attirent les regards comme des aimants. Et je joue un peu plus de la démarche « du balancier », je fais un peu ma star. Je pose un peu innocemment quand on s’arrête devant un étal de poisson. En clair : je fais ma belle ! On s’amuse comme on peut…
 Ah si j’avais su, je serais venue nue sous ma jupe. Ca m’aurait encore plus excité.
 Bah oui je sais ! Coquine !
 Je peux le retirer aussi, c’est rapide… Non aller, fais pas ca Julia. Une chaleur agréable au bas du ventre quand les regards sont insistants. Je n’ai pas voulu ce matin ne rien mettre comme je fais pourtant toujours, et du coup je le regrette fortement. Cette façon d’être pour me promener me provoque un bien être inouïe, une sensation difficilement explicable. Sensuelle et même très érotique. Et à cet instant, sur le port, avec tous ces regards, sans ce petit string presque inutile, je me serais sentie encore plus belle, plus désirable…
 Et après les poissonniers, un petit tour pour voir les bateaux. Le quai est en contrebas de 5 marches. Je suis en haut et lui, il descend. En fait, en descendant sur le quai c’est plutôt mon string sous ma jupe qu’il regarde. Les bateaux attendront leur tour. Il profite du fait que je lui tourne le dos, et il n’a pas fait attention que je le regarde par-dessus mon épaule. Cela ne me gène pas trop en fait. Même que j’aime bien. Ca lui fait plaisir. Moi aussi en même temps. Je pouvais m’habiller autrement. Mais pour être honnête, j’aime bien qu’on me regarde comme ca avec une vraie gourmandise. Il est content. C’est un jeu. Je suis bien. Je suis détaillée, désirée, et j’aime ca… Ca fait de mal à personne. Que du bien. Même des petits frissons quand je sens ses yeux me regarder comme d’autres vont dévorer un Dali… Non !! Pas Dali ! Non, il me regarde plutôt comme un gâteau dans la vitrine du pâtissier, un gâteau qu’on mange des yeux d’abord et qu’on a envie de toucher, mais pas de suite… Déjà le dévorer des yeux.
 Et il dévore le Tonton ! Je le sens me manger… Agréable en fait de sentir un regard comme ca. Tiens ! Ben si j’avais quitté mon string, il se régalerait encore plus… j’enrage de l’avoir mis ce matin, de ne pas pouvoir me sentir encore plus nue sur ce quai.
 Houa ! Il n’est pas gros non plus son string à la petite ! On voit ses fesses ! Et même son… non on ne voit pas. Mais on devine ! La vache ! Elle est avec moi la petite ! Ho ! On dirait presque qu’elle n’a pas de culotte ! Ses fesses ont mangé la ficelle du string ! Elle a un cul !
-Alors Tonton ? Tu as une belle vue sur le port ?
 Pliée de rire la Julia ! Je le regarde du haut des marches. Je suis de dos presque. Ses yeux sont sous ma jupe et n’en sortent plus. Ils cherchent désespérément ce bout de ficelle coincé quelque part… Oups ! Il rougit ! Comme je rigole cela passe mieux, mais tout chagriné qu’il est le Tonton. Ah ben si je n’avais pas mis un string, il serait déjà mort !
 -Oui désolé ! C’est très beau Julia ! Excuse-moi ! C’est ta faute ! T’es trop jolie comme ca ! Et c’est vachement court ces petites jupes !
 -Je sais ! Je rigole ! J’ai plus court tu sais ! Aie ! Il fait son malaise ! Non ca passe.
 -T’aimes bien porter ca ? Pas facile par chez toi ?
 -Non t’as raison mais j’en ai des moins courtes. Celles-ci ce n’est pas pour le lycée !
-Ah ben content que tu en mettes avec moi alors ! Ho ! Le vieux con ! J’ai osé te le dire !
 -Mais t’es pas vieux Tonton ! Tu regardes les filles ! C’est normal ! T’inquiète !
 -T’es sympa avec les vieux toi au moins ! Désolé encore !
 -Mais non ! Mais tu sais si je ne veux pas qu’on me regarde je mets un voile !
 Là il rigole et tant qu’à faire il en profite pour finir l’exploration. Elle est où cette ficelle ?
On s’est baladé un moment sur le port, à regarder les bateaux des pêcheurs. Lui de plus en plus fière de « sa pêche », et moi toute aussi fière d’être le point de mire de tout ces marins qui tout en lavant leurs bateaux me regardent passer avec un petit sourire. Ils profitent de cette période estivale pour s’amuser des visites de toutes ces touristes souriantes, avenantes, qui viennent faire le marché aux poissons et dans des tenues toutes plus estivales les unes que les autres. Mais aujourd’hui j’ai du gagner le concours de la tenue la plus sexy. Et cela me ravie tout autant qu’eux. Certains me lancent des bonjours avec, pour les plus osés, un petit clin d’œil de connivence. D’autres nous arrêtent pour nous montrer leur poisson ou parler avec Tonton du métier, du temps ou autre, mais tous en profitent pour me détailler, voire me draguer ouvertement, en jouant pour la plupart, mais plus sérieusement pour quelques uns. Il joue le protecteur dans ces cas la. Je lui appartiens aujourd’hui ! Il me prend par les épaules pour faire comprendre que je suis avec lui, ou me tire un peu en passant une main sur ma taille. Je sens une vibration à chaque fois. Il doit s’électrocuter. On papote gentiment avec tout le monde. Il n’y a pas d’agressivité. Le jeu de la séduction de mon côté, aidé de par ma tenue très sexy, et de la drague du coté des marins, encouragés par mon sourire.
 Nous sommes restés un bon moment sur les quais et je reconnais que de jouer ma belle, ma star, ma petite coquine aussi, même si ce n’est pas très méchant, me procure une certaine satisfaction. Et même me déclenche un vrai petit plaisir. Je le sens. Cette petite chaleur au fond de mon intimité, et qui remonte dans les reins. Je remarque également que mes seins pointent un peu. Pas de froid, c’est bien une certaine satisfaction qui me produit cet effet. Bref ! Un bien être fort sympathique. Je ne suis pas la seule à avoir noté cette petite marque de plaisir. Les touristes que l’on croise et les marins eux aussi, à en voir avec quelle insistance leurs yeux sont rivés à ma poitrine. Je sens de plus en plus le plaisir m’envahir…
 Retour du port. Dans la voiture, il finit l’examen de la petite.
 -Tu ne m’en veux pas de t’avoir regardé comme un cochon ?
 -Mais non ! Ne t’en fais pas ! Tu me connais en plus. Et puis tu m’a déjà vu nue sur la plage ! Et dans le jardin aussi non ? Et un Monsieur qui regarde une fille, c’est naturel non ?  
 -Heu… ? Le jardin ? Oui… c’est vrai ! Mais là ! Et tu es une femme presque ! Pas presque d’ailleurs ! Et puis ca te va vachement bien ce genre de tenue ! T’es grande. Des jambes très longues ! C’est même très…
 -Sexy ?
-Oui sexy c’est ca ! Oh vieux cochon arrête !
 Il se marre ! Il est embêté et content en même temps. Déboussolé. Une petite connivence entre lui et cette fille presque nue à ses cotés, dans sa voiture… Tout ca au soleil ! Et sans sa femme pour le gronder des yeux comme quand il regarde trop longuement une jolie demoiselle qui passe…
 -C’’est dingue mais plus je vieilli et moins je sais me retenir de regarder les jolies filles !
C’est l’âge con ! Faut que je me retire en maison de vieux ! Mais en plus de mon temps les filles étaient plus habillées que vous maintenant. Vous n’imaginez pas ce que ca peut nous faire a nous les vieux !
 -Mais non ! Je sais bien ! Je suis habillée sexy tu regardes ! C’est naturel ! Et arrête t’es pas vieux !! Papa dit que plus il avance, plus il regarde derrière ! Marrant non ?  
 -Oui ? Tu ne m’en veux pas ? T’es super toi ! Et t’es jolie !
 Là, je pense qu’il y va de son érection matinale ! Il a osé être un peu direct avec la gamine ! Du coup il regarde le décolleté ! Il les a vu ce matin ses jolis seins tout ronds, mais bon, il en veut encore. Et la petite érection de ma poitrine ajoute encore un peu à son plaisir à lui. C’est un peu sa journée après tout. Alors cette Julia elle n’est pas trop timide et elle n’est même pas choquée qu’un vieux regarde ses fesses sous sa jupe. Elle est…
 Il s’arrête pour aller faire le plein de porto. Boutique comme il y en beaucoup ici. En fait comme un très grand garage, avec des tonneaux de chaque coté ou les gens viennent se servir en remplissant des bombonnes. Le temps qu’il fouille dans son coffre pour sortir les siennes, je ne peux m’empêcher de faire glisser mon string et le ranger dans mon petit sac. Une grosse montée de chaleur me traverse le corps ! Nue ! Me voilà nue. J’en avais trop envie depuis le port. Je n’aurais pas du me raisonner ce matin et partir ainsi. Ma promenade sur les quais aurait été encore plus excitante. Je me sens merveilleusement bien ainsi. Je regarde mon minou que le soleil vient caresser maintenant. Assise, les jambes légèrement ouvertes, la jupe ne cachant plus rien. Je passe quelques instants une main sur mon sexe humide. Un bien être fabuleux. Je me plais à me regarder ainsi, nue sur le siège et offerte au soleil. Une chaleur immense qui m’envahit les reins et le ventre en passant pas mon sexe. Excitée que je suis de me retrouver enfin nue, dans la rue, accompagnée d’un admirateur fou. Un plaisir qu’il est très difficile de raconter. Intense !
 Je descends de la voiture avec une envie folle de montrer mon intimité, mais je me contrôle. Mon plaisir est déjà énorme d’être ainsi. Je rentre avec lui dans ce lieu, lui aussi assez masculin. Le temps qu’il passe à se servir, il ne me quitte pas des yeux. Mes seins pointent encore plus, la fraicheur de cette « cave » et mon excitation les rendent encore plus fermes. Mon haut presque transparent et si peu lacé, me dévoile au mieux. Je parade à nouveau. J’évite tout de même de m’approcher de ces messieurs, accroupis aux pieds des tonneaux, qui plongent déjà sous ma jupe trop courte. Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais je dois me raisonner un peu. Ils voient le bas de mes fesses, je le sais, et semblent apprécier le spectacle. N’en ajoutons pas plus. Le plaisir est pour moi. Je me promène un moment dans les 2 allées et je me sens suivi du regard de la plupart des clients. Un employé, un garçon de mon âge, vient me faire goûter un fond de Porto blanc et quelques olives. Une excuse. Il est scotché à mon décolleté ainsi que mon ventre, et nous papotons ainsi le temps que Tonton fasse la queue à la caisse. Il nous accompagne à la voiture pour porter une bombonne, mais surtout pour me suivre le plus longtemps possible. Il est écarlate quand il me regarde monter à ma place en dévoilant mes jambes nues d’abord, puis jusque sous les fesses et que mon trésor lui saute aux yeux, furtivement. Je vois son regard figé sur mon minou pendant ce court instant, puis il me regarde, et je lui souris, coquine, complice. Et le temps que tonton, arrange son coffre, nous échangeons encore quelques mots. Assise, une jambe pendant de la voiture, et il cherche à voir encore. Alors je lui fais ce plaisir et lui offre sans pudeur une jolie vue sur mon minou humide, rose, qui sourit lui aussi sous les caresses du soleil. Avant de fermer ma portière je lui signifie d’un sourire que je suis contente de lui avoir montré mon petit trésor. J’ai fais un heureux… Je suis humide d’un coup.
 Dans la voiture, je sens le regard de tonton courir sur moi, et je suis tentée de me tourner pour lui montrer aussi, comme je suis mieux ainsi, et comme je suis humide. Mais je me retiens. Le petit jeu avec le garçon de la boutique m’a excité comme j’aime l’être. Partager un instant de la sorte avec un inconnu, à un endroit inhabituel, est toujours un moment très intense. Je me calme un peu et me savoir offerte comme cela me suffit bien assez. Moi je peux voir mon sexe rose et humide. Lui essaye de le deviner. Sensation extrême. Je regrette simplement ne pas être partie nue ce matin. Mais après tout, je me suis bien amusé déjà. Plus un mot sur le reste du trajet. Lui, un peu tendu, les yeux fixés par moment sur mes cuisses, ou sur mes seins. Moi, m’imaginant ainsi offerte sur le port aux regards des marins. Et je regarde mon minou respirer et s’émouvoir quand le soleil passe entre mes cuisses.  
 De retour à la maison, on range les gambas et les poissons pour le soir. Il n’est pas très tard et j’hésite à prendre un vélo pour la plage ou en profiter pour faire transat-livre-bronzage ! ca se fait en même temps oui. Je suis un peu émue d’avoir jouer ce matin, et partagée entre l’envie d’aller sur la plage et rester ici pour prendre soin de moi et pourquoi pas faire plaisir à Tonton en étant avec lui encore un peu.
 Décidé ! Pas envie de pédaler donc ce sera transat ! Quoique le jardin il est plein soleil et ca cogne dur. On va commencer par les ongles sur la terrasse devant. Je repense à ma sortie avec tonton et j’en suis assez ravie. Un moment de plaisir furtif. Ravie et humide.
 Un coup de fil à Agnès. Elle est en plein soleil, avec 2 heures minimum de queue devant elle !
 -T’avais qu’à rester la !
 Je lui raconte vite fait le thé et la virée au port avec Tonton ! Elle est pliée. Je lui relate aussi mon retour… Elle ne peut pas trop répondre surement par manque d’intimité, mais j’imagine son regard s’allumer et je la vois se pincer la lèvre. Elle doit m’imaginer aussi.
 -Le retour ? Pas avant 17 h ! Ok ben bon courage ma belle ! Moi je suis bien là et je me fais les ongles. Peinarde ! Je t’attends pour la plage ma puce. Et ce soir on sort ou pas ? On mange ou ? On va prendre un pot ? Fatiguée déjà ? La faute à Dali ! Je l’aime pas tu vois ! Bisous ma belle a plus.
 -Tonton !? T’es où ? Ils ont du monde au musée ! Comme on s’en doutait ! Ils ne pensent pas revenir avant 17 h ! T’es ou ?
 Ah, il ressort de la douche, il fait très chaud c’est sur. En short maillot ! Cuisses maigrichonnes, petits mollets, un peu de ventre mais normal. Il a du s’entretenir pas mal, il fait assez musclé. Belle carrure en fait. Epaules larges même. Un peu mou mais ca va. Et cette peau lisse caramel ce n’est pas moche en fait.
 Allons Julia ! … Et après tout il m’a bien maté une matinée…
 -Tu fais quoi ? Tu vas à la plage ? Tu restes ici ? Tu manges ce midi ?
 -Manger ? Bof je ne sais pas trop ! Une salade peut être mais pas maintenant ! J’ai le temps !
-J’en fais une ! Tu la mangerais avec moi ?  Tomates et petites crevettes dedans ?
 Oui ok je vois. Il a envie de continuer de me détailler encore. Il se dit qu’il me tient pour la journée, que je suis à lui un peu, que je suis à portée de ses yeux, pour un moment encore. Alors s’il peut manger avec moi, ca lui sera plus agréable que tout seul dans son coin. Après tout. Cela ne me dérange pas plus que ca. Même que ce petit jeu m’amuse. Et puis c’est vrai que nous sommes abandonnés et chacun chez nous. Autant manger ensemble.
 -Oui ok je veux bien ! Je mets la table ici chez moi mais pas de suite ok ? Comme ca on a du temps pour après. Ca te va ?
 -Oh merci Julia ! Tu me fais plaisir ! On sera moins seuls !
 Il doit avoir encore mes seins et mes fesses dans les yeux ! Plaisir je crois que le mot est faible. J’avoue que ca me fait plaisir aussi. Quelque part je maitrise. Je joue. Je me montre assez pour lui faire du bien, pas trop encore pour qu’il soit excité… encore que je n’en sais trop rien. Et j’en tire aussi une vraie satisfaction. Pas ennuyeuse cette journée tout compte fait. Un brin d’excitation au point de sentir une petite poussée dans mon string et une petite goutte de plaisir…
 Je dois avouer que mon numéro de star sur le port m’a bien excité, et aussi le fait que depuis ce matin, je sens, depuis le déjeuner, les yeux de ce « papy » posés sur moi… J’aime bien qu’on m’admire et depuis que je suis sortie sur la terrasse à mon lever, il n’a cessé de me regarder. Il est évident que pour lui, je dois représenter quelque chose à la fois inaccessible, tout en étant à sa portée, puisque si proche. Et mon jeu, mon attitude provocante, et mes tenues sexy depuis 2 jours que nous sommes arrivés, doit lui provoquer des désirs. Normal, il ne doit pas avoir l’occasion de voir beaucoup de monde dans sa campagne, et comme j’en ajoute beaucoup… Et moi je me rends compte aussi, que je suis pour lui comme un « cadeau ». Et je m’aperçois également, que son âge ne m’empêche pas d’avoir envie de lui faire ce plaisir, et peut être même au contraire. Je me sens admirée et désirée d’une autre façon, comme un bijou dans une vitrine, qu’il regarde avec envie en sachant qu’il ne pourra pas se l’offrir. Et ce sentiment la, pour moi, me provoque un certain plaisir… Cette différence d’âge ajoute un petit effet érotique. Le Monsieur, et la gamine. Le « vieux », et la « jeunette ». Pourquoi n’aurait il pas le droit de prendre plaisir à regarder une fille, sous prétexte de son âge ?
 Me changer pour commencer ! Terrasse à l’avant : donc pas nue, ou pas trop. Ma brassière de ce matin ? Il va aimer. String ou rien ? Si ! Terrasse, donc je mets un string. Et il est avec moi alors n’exagère pas Julia !  Un minimum, même très minimum mais tout de même. Brassière ? Ok. Ah si ! Je vois ! Mon mini string de bain ! Derrière cela fait juste une petite ficelle attachée avec une petite boucle en forme de cœur, dorée, au dessus des fesses, et la ficelle pour la voir… faut que mes fesses la lâchent, et devant, pas en forme de triangle mais de rectangle de 2cm de large qui cache… pas grand-chose. Ma « flèche » quand j’en laisse une et l’entrée de mon petit jardin. Si je ne fais pas gaffe, souvent le rectangle est absorbé pas mes petites lèvres et il ne reste du string que la ficelle sur les hanches. Affolant ! Scandaleux que dit papa, avec un sourire.
 Ne mets pas ca Julia ! Il va tomber ! C’est trop…
 C’est vrai. C’est trop ! Mais j’en ai très envie en fait. Même que j’ai envie simplement. Il va être là. Moi quasi nue devant lui. Même que c’est beaucoup plus sexy que nue. Je suis contente. Ce n’est pas méchant ! Je joue avec lui mais il en tire surement un vrai plaisir. Comme un môme avec un beau jouet. Je suis SON musée Dali du jour ! Donc il joue aussi. Et il est gentil. Et j’aime bien ces situations où je peux jouer, où j’en tire aussi un vrai plaisir et en fait où j’en donne aussi ; et puis ? Il va surement bander très fort et pour moi ! J’aime bien ! Au fait ? Il est comment son sexe ? Beau ? Tout petit ? Ou gros serpent ? Flétri ? Caramel aussi comme sa peau ? Il doit être lisse aussi on dirait ! ca j’en raffole !
 Julia !! … Oui bon ok…
 Ce n’est pas méchant et ca lui fera un bon souvenir. Il y a pas de mal à prendre du plaisir, et cette forme de plaisir-tentation c’est assez sympa. Ca l’est pour lui et tout autant pour moi.
Ca ne fait pas 5 minutes que je suis sur la terrasse presque nue, que la tête de Tonton au dessus du grillage demande :
 -Ma salade est prête ! Je la mets dans ton frigo ? Le mien est complet avec les poissons.
-Bah oui vas y ! Je te laisse faire ! Tu connais la maison.
 Et Tonton d’arriver avec sa salade… Et là ! S’il a sauvé sa salade, c’est qu’il a su se rattraper au coin de la table… Il faut dire qu’en passant, il a découvert mon string et ce qu’il essaye de cacher, et du coup, il en a loupé la porte d’entrée...
 T’as fais fort Julia ! Tu vas tuer le Tonton d’Espagne rien qu’en te faisant les ongles !
 Il met sa salade au frigo et ressort. Il s’arrête devant moi. Meilleure place pour observer puisque j’ai une jambe repliée sur la chaise pour me faire les ongles. Il a une vue à la fois sur mes seins que la brassière se moque totalement de cacher et sur mon minou, que la position de pédicure appliquée fait en sorte qu’il a déjà avalé une bonne partie de mon mini string…
 Vite le 15 ! Non 112 en Espagne !
 -Tonton à très chaud monsieur le docteur ! Il est debout, figé, et il ne parle plus !
-Rhabillez-vous mademoiselle et ca devrait se passer…
 -Ah ? Tu fais tes ongles ? C’est beau !
 Je suis sure qu’il n’a même pas vu que c’est en rouge ! Je tire sur mon string pour recouvrir ma lèvre gourmande. J’ai même senti mon petit bouton qui en avait profité pour s’évader et prendre un peu le soleil.
-Ah ben ! C’est joli aussi ca !  
 (Le ca ! c’est mon string, qu’il me montre du menton). Il est joli certes, mais il veut surtout dire par là qu’il n’est pas très… couvrant ! Et ce qu’il trouve joli, c’est ce qu’il a cru voir : un minou mangeur de tissu lui aussi et qui semblait en plus en saliver. En fait il n’a pas cru voir. Il a bien aperçu. Pas trop longtemps certes, mais aperçu.
 -Oui ? Merci. C’est un string pour la plage, mais bon ici c’est pareil.
 -Oui t’as raison ! ca aussi ca te va bien ! Dis donc Julia cette année tu as bien changé !
T’es vachement jolie ! Je suis content que tu sois restée avec moi. Ah oui !
 (Traduction : je suis super content de te mater comme ca ! et pour moi tout seul !)
 -Et dis donc ca cache pas grand-chose ton truc ! Autant être nue ? Non ?
 -Oui je sais mais bon, sur cette terrasse, j’évite !
 -Oui c’est vrai ! Mais c’est pire je crois ! Enfin moi, je ne suis pas habitué et je trouve ca terrible !
 Il repart en se marrant et surement avec une érection inversement proportionnelle au tissus que je porte. Il se demande ce qu’il n’a pas encore vu de moi en fait…
 Julia ! Tu pousses ! … Mais non…
 Je dis qu’il est reparti, mais en réalité il n’est pas si loin, il bidouille sous son abri voiture et de là, entre deux arbustes, il peut regarder au choix : soit mes seins, nus maintenant, la brassière me gênait pour me faire les ongles, donc je l’ai posé sur la chaise, soit il essaye de voir si mon minou a mangé entièrement mon semblant de string ! Nos regards se croisent par moments, et du coup il replonge sur ses outils, mais vite il recommence à me détailler. Et comme cela m’amuse je me tourne de façon qu’il puisse satisfaire au mieux sa curiosité. Coquine.
 Décidément ca me plait bien ce jeu. Depuis ce matin j’ai un spectateur assidu et je suis la seule actrice. Maintenant je m’offre encore un peu plus, et même s’il m’a vu souvent ainsi, je sais que depuis ce matin il épie le moindre de mes gestes pour profiter au mieux de ce que je me permets de lui montrer. Et en dehors de la ficelle qui me couvre à l’instant, me voici nue et surement très excitante pour lui. Un regard qui se croise encore et il est rouge. Il tourne les yeux, regarde de l’autre coté, mais vite, comme un aimant, il replonge comme il peut entre les arbustes, et reprend son examen. Je suis humide de ce jeu. Troublée. Et sincèrement très excitée.
 Après mes ongles, je vais ranger mes affaires, et reviens sur la terrasse avec un verre, et en face, de l’autre coté : Tonton, la tête au dessus de la haie, qui devait craindre que je ne sois qu’un mirage et que je n’allais pas réapparaitre…
 Moi, debout, seins nus, string arrogant, main sur la hanche et de le regarder, d’un regard « fière d’elle » (je sais ! j’assume). Très pose glamour. Style sexy mais « sans le faire exprès », comme les photos soi-disant volées de starlettes. Il a la bouche ouverte ! Je suis la star de la terrasse ! Regard et position de gagnante ! Je le regarde me regarder, il ne sait pas trop quoi dire. Je le sors de sa torpeur :
-Tu veux un verre aussi ?
 Il a du dire oui mais je n’ai pas compris son bégayement. Il a du mal à parler d’un coup. Il est fixé sur mon sein droit, ou le gauche, ou les deux. Je remets ma brassière, car il ne faut pas exagérer ! Quoique maintenant… Il arrive et on s’installe pour un verre. La température doit être déjà de plus de 30° à cette heure ci. Ses yeux doivent fatiguer à force de me scruter derrière ses lunettes. Je regarde son short. Oui,  je suis sur maintenant, il a une belle érection. Certaine !
 Bravo Julia ! Rho… Pas grave ! Il est content.
 Puis on est reparti. Surtout lui. Moi je suis chez moi. Lui ne sait plus trop où il est. Mes parents peuvent être tranquilles, il a toujours un œil sur moi. On ne pourrait pas me kidnapper !
Et au pire il aurait su me décrire !
 -Elle est habillée comment ?
-Bah ! Avec une ficelle sur les hanches et un bandeau sur le torse.
-Oh monsieur ! Allongez-vous ! C’est le soleil qui vous fait ca !
-Non je vous dis ! Une ficelle et encore s’il en reste un morceau ! Parce que ses fesses elles mangent tout monsieur le docteur !
-Infirmier ! Un autre cachet pour le monsieur, il délire !
-Mais je vous dis qu’elle a des fesses qui mangent les culottes !
 Le reste de la matinée il ne s’éloigne jamais de la terrasse, tout en restant de son coté. Son bricolage ne doit pas avancer. Et moi je bidouille un peu, un peu de ménage, un peu de vaisselle. Un moment dans ma chambre à trier des affaires, et quelques instants à passer une main sur mes seins et une main entre mes cuisses, en pressant mon minou, juste deux doigts en long, avec tendresse, d’un geste lent et court, comme pour un petit câlin matinal. Pas une masturbation en règle, mais une petite caresse intime assez habituelle, et surement provoquée par mon jeu avec Tonton de ce matin. Un petit plaisir furtif, classique, surtout chez moi, même si je ne suis pas la seule à me faire ce genre de petit plaisir. Ce petit plaisir qui fait juste monter une belle bouffée de chaleur, et qu’on laisse volontairement de coté parce qu’on sait qu’on va y revenir plus tard. Pour approfondir, ou même terminer…
 -A table ! Tonton !
 -Ah ben oui j’ai faim moi ! Le port surement avec l’air marin ca creuse.
 Tu parles ! L’air marin il a bon dos ! Je crois plutôt que ce sont les vues plongeantes sur Julia qui l’ont creusé.
 Je remets ma brassière pour qu’il mange en paix. On s’installe. Pour être à l’ombre il se met au bout de la table et comme ca il peut manger en regardant soit mes seins, soit mes cuisses, enfin tout sauf son assiette. Jour de fête. On parle de tout, du plaisir à être ici comme tous les ans. Des visites qu’on va refaire encore. Du temps qui à l’air de vouloir être clément pour le reste de l’été. On parle aussi d’Agnès. Il ne sait pas quoi dire en parlant d’elle, alors il dit « ta copine » mais ca le chagrine un peu. Il aimerait être sur. Je lui expliquerais plus tard. Amusée que je suis à le voir comprendre et en même temps ne pas être certain.
 Chaque fois que je me lève, je sens son regard sur mes fesses et au retour sur mon string ou ma brassière. Une fois en cuisine, je me repasse une main sur mon minou. Humide que je suis.
 Julia ! Tu aimes ?
 Bah oui en fait, j’aime bien. Depuis ce matin je suis la princesse, et je fais plaisir à un Monsieur tout en en prenant aussi en fait. Alors comment ne pas aimer ?
Fin de repas.
 -Un café Tonton ?
 -Ha ben oui avec plaisir. Ca commence à donner la chaleur ! Tu fais quoi après ?
-Après ? Je ne sais pas. Transat surement et toi ?
-Ben un truc dans le garage et après je fais comme toi. On est tranquille n’est ce pas ?
 -Oui plutôt. Si tu veux quand tu as fini tu viens avec moi. On prendra un thé ! Ou un verre.
 -Ha ben oui ! Je te lâche plus aussi Julia ! ca ne t’ennuie pas la compagnie d’un vieux ?
 -Rho ! Tu n’es pas vieux !! Arrête avec ca !
 Je vais chercher le café, et sans réfléchir, par habitude, mais surtout par envie, je quitte ma brassière. Il fait chaud déjà. Il en renverse un peu sa tasse. Occasion pour que je passe l’éponge et qu’il se trouve à 20cm de mon sein gauche. J’aurais pu rester des heures il n’aurait pas bougé.
-Ho Julia ! Franchement tu es très jolie ! Et tu fais toujours des photos ? Tu avais fais de la lingerie je crois non ?
 -Oui toujours un peu ! Je t’en enverrai si tu veux ?
-Oh merci Julia ! Pour moi ? Pour mon petit jardin secret ?
 -(Rire !) Mais oui ! Pour toi !
 -Heu… ca t’embête si j’en prends une de toi maintenant ? Souvenir de Dali ? (coquin, d’un coup !)
 -Ah ! Ben si tu veux oui. Comme ca ? Dans cette tenue ? je suis nue presque ! Ce n’est pas grave ? (je suis pliée) Où alors c’est que tu préfères non ? C’est pour ca ?
-Heu… t’es pas nue mais t’es vachement jolie comme ca. Je suis con ! Je ne devrais pas dire ca ! Suis désolé Julia. T’es tellement belle comme ca que je voulais m’en souvenir. Quel con je fais !
 -Aller ! Va chercher ton appareil et après je vais derrière.
 -Ho Julia ! Ho Julia !
 Je suis conne moi aussi. Pourquoi je dis oui. Ho, et puis zut ! Il aura une photo de moi en string sur la terrasse ! Avec ca ! Oui très petit string c’est vrai ! Et on ne m’a jamais répéter autant de fois en 5 minutes que j’étais jolie ! Ca flatte un peu j’avoue.
 Et Tonton de retour avec son appareil numérique dernier cri. Je prends ma chaise, me décale de la table, au soleil, assise un peu en arrière, sourire radieux comme quand je pose, seins en avant, jambes à peine écartées mais il doit bien voir le petit bout de tissus qui fait de son mieux pour camoufler un minou humide.
 Et clic ! Le Tonton m’immortalise. Moins surement que dans sa tête. Il se lèche les lèvres.
 -Attends Tonton, on va en prendre une de nous deux.
 Je prends son appareil. Je le pose sur la table. Règle le retardateur. M’approche de lui. Il met sa main sur mes épaules et moi je me serre un peu contre lui. Il n’ose pas trop. Et puis… il ose passer sa main derrière, et la poser sur ma hanche. Je suis dans ses bras pour ainsi dire. Son rêve depuis ce matin. Je fais de même. Je sens un tremblement sur son ventre et aussi par sa main posée sur moi. Il doit bander très fort ! On regarde l’appareil sur la table avec un sourire de touristes japonais devant la tour Eiffel.
 Clic ! Tonton et Julia sur une photo !
 -Ho Julia ! Tu n’imagines pas comme je suis content ! Faut je la mette de coté celle-là !
 Sous entendu : pour pas que ma femme la voit.
 Si si ! Je pense l’imaginer ! Il doit avoir chaud ! Julia nue dans ses bras ! Dali à coté de ca !!! Merde ! Le vieux con de 61 ans avec cette jeunette de 18 ans nue dans ses bras ! Il ne pourra pas raconter à ses copains mais il aimerait bien ! Il le fera peut être…
 -Bon aller Tonton, va finir ta bidouille et moi je passe a l’arrière. Quand tu as fini tu viens me rejoindre. Et on fait un scrabble peut être ?
 -Ah bah oui! Oh Julia! Je te fais un bisou je suis trop content !
 Et hop un bisou sur la joue et avec une main sur l’épaule. Nue l’épaule… et du coup il s’est un peu électrocuté !
 He bé Julia ! Tu déconnes ! Il va être excité après tout ca !
 Un vrai gamin du coup ! Tout fou !
Et alors ? Il est content ! C’est le principal.
 Je m’installe comme à l’habitude, nue sur mon transat, à l’arrière de la maison, là ou personne ne peut nous voir. Notre coin magique. Terrasse couverte, avec un store en toile que je déroule au maximum à cette heure, protégée par un mur d’un coté, de l’autre la haie de Tonton. 4 Transats et autant de dessus de transat à même le sol pour les bronzettes au soleil, et les siestes câlines avec Agnès. Quand ce n’est pas déjà occupé par les parents pour des siestes tout aussi coquines, de ce que l’on peut entendre de notre chambre et à voir le père revenir essoufflé et se jeter dans le frigo pour vider tout ce qu’il peut y trouver. Je les ai entendus plus d’une fois commenter leurs exploits en écoutant de ma fenêtre. Avec Agnès même que ca nous faisait envie.
 Ici, d’année en année, nous osons nous laisser aller à nos câlins. Nous n’y faisons pas vraiment l’amour, mais presque. C’en est tout autant excitant et ces instants prennent une place à part et très attendue pendant nos vacances. C’est arrivé d’être tous les 4 ici et que les petits câlins furtifs (ou appuyés) des uns ou des autres, provoquent des désirs à tous, et d’attendre qu’un des couples parte dans sa chambre pour une sieste agitée. Avant de partir, on pouvait malgré tout profité des envies des uns et des autres. Se regarder mutuellement. Se provoquer. Partager une envie. Jusqu’à ce que le spectacle des caresses devienne trop fort. Ceux qui tiennent le plus longtemps ont gagné le droit de rester sur le lit de la terrasse. Plus facile pour nous avec Agnès de tenir. Papa ne peut pas cacher son envie de la même façon. Un homme est plus vite repéré dans ces moments là. Il est parti plus d’une fois avec un mal fou à cacher une belle érection, et en faisant des signes désespérés à maman qui elle, faisait mine de ne pas comprendre. Rigolage collective assurée !
 Toute enduite d’huile, un livre, le scrabble pour après, me voilà prête pour un après-midi tranquille. Le string posé sur un transat pour le remettre s’il arrive. Quoique maintenant ce n’est plus très utile. Il m’a vu tout aussi nue et même bien plus « sexy » avec ce tout petit truc qui se glisse avec plaisir entre mes lèvres et qui dessine encore plus mes fesses avec la ficelle. J’essaye de lire, mais je ne suis pas trop concentrée.
 Je pense aux moments que j’ai fais enduré à mon pauvre Tonton. Coquine ! Mais bon je suis assez contente, et je ne pensais pas qu’exciter un monsieur de son âge me fasse autant plaisir. Je sais bien que l’âge n’a rien à voir, mais je suis certaine qu’avec un jeune homme de mon âge ou à peine plus, je me serais déjà faite « agressée », gentiment certes, mais je n’aurais pas joué aussi longtemps et provoquer une envie aussi forte. Il y à la un certain respect, rassurant, une retenue, qui découlent d’une certaine tendresse et qui laisse imaginer une autre façon de faire, plus douce, plus patiente et pourtant surement plus brûlante.
 Sur ces pensées, je glisse un peu ma main pour sentir justement ce petit plaisir. Je me caresse doucement en revoyant ses yeux courir sur mes fesses au port. Les pêcheurs qui me prenaient du regard, et le garçon du Porto, les yeux sur mon trésor humide. Et à table quand j’avais mon sein a portée de bouche. Petit plaisir furtif cette caresse, mais avec en tête l’image de Tonton m’embrassant le sein et glissant ses doigts dans mon string pour sentir ma chaleur. Je me pénètre avec 2 doigts pour sentir cette petite humidité et je me goûte avec délice.
 Humm… Julia ! Arrête ! Bah quoi ? Petite envie ? Oui.
 Petite…Mais bien présente. Je regarde et masse mes seins, pointus, tout comme mon petit bouton que ma caresse à fait se dresser et qui sort de sa cachette pour mieux profiter de mes doigts qui glissent dessus. Je pousse cette caresse en me laissant aller. Je suis très bien.
 Je suis là, nue, offerte au soleil, offerte aux regards de Tonton depuis ce matin. Des pensées coquines dans la tête, des petits frissons dans les reins. Je pense aussi à tous ces regards sur le port. Regards emplis d’envie de me toucher, voire me prendre. Tous ces marins, tous ces touristes à qui j’ai procuré un certain plaisir et qui ne savent pas que moi aussi j’en ai pris, et que j’aurais peut être apprécié d’en prendre plus, sans retenues. Fantasme de la fille désireuse d’être prise devant le regard des autres. Je me vois nue sur un de ces bateaux, dans les bras d’un pêcheur, qui me prend devant d’autres pêcheurs, devant les touristes amusés…
 Caresses plus appuyées cette fois. Et le minou de plus en plus humide. Deux doigts qui s’agitent en me prenant. Agréable… Je m’ouvre et me fouille avec une grosse chaleur dans les reins. J’ai envie tout simplement.  
 -Julia ?
 -Oui ?
 -Je peux venir ?
 -Oui !
 D’où j’entends sa voix, il doit être proche… Il m’a vu ??? Possible ! Aie !!!
 Non pas aie ! ca me plait de savoir qu’il a peut être vu. J’aimerais bien qu’il est vu. J’espère même qu’il a vu. J’en coule de plus belle.
J’entends qu’il est déjà là. J’attrape mon string. Je commence à le mettre et puis je me dis que non. Un si petit string alors que je suis quasi nue... quel intérêt.
 Si, quand même, je le mets. Vite et ma brassière aussi ? Non pas utile. Et il est là… Il est debout a coté de mon transat. Il me regarde de partout. Il est assez mal en fait. Et en même temps je vois un regard pétillant ! Il a peut être vu… Il passe décidément un très bon moment. Tiens il a changé son short pour un slip de bain. Pas si moche que ca. Tout doré ! Carrure assez imposante et style baroudeur avec sa queue de cheval ! Il en impose un peu comme ca !
 -Ah ben tu sais Julia te rhabilles pas pour moi ! Si on peut dire habillée d’ailleurs avec ton machin trop petit ! Ca ou rien tu sais. A moins que ca t’ennuie d’être comme ca avec moi ? Je peux retourner à la maison si tu préfères faire ta bronzette tranquille ? Oui ?
 -T’inquiète Tonton ! Moi ca me gène pas mais c’est pour toi !
 -Ha ben tu sais ! Une si jolie fille ! Je ne vais pas lui dire de se cacher ! Ce n’est pas tous les jours que je vois des jolies filles comme toi ! Et si peu vêtue !
 Il se marre et du coup moi aussi !
 -Installe toi Tonton je vais chercher à boire ! Prépare le scrabble si tu en as envie. Et puis tu sais si tu veux te mettre à l’aise t’en fais pas, je suis habituée tu sais !
 Oui il sait, il est venu une fois.
-Tu sais Julia, je le fais aussi chez moi, mais juste dans mon jardin quand je bricole, j’aime bien mais ma femme elle se fâche. Vous, je sais que vous êtes adeptes. Tu es habituée ? Ta copine aussi ? Avec tes parents ca ne la gène pas ? C’est sympa d’être comme vous !
 -Non, Agnès s’est vite habituée, et chez nous aussi, et maintenant ca va très bien. Tu sais si tu veux tu peux avec moi. Et puis tiens fais comme moi !
 Et là, me voila à descendre ma ficelle sur les pieds devant les yeux de Tonton plutôt écarquillés. Me voilà nue. Il me regarde de haut en bas avec un peu d’émotion dans le regard. Pourtant je pense être moins sexy comme ca qu’avec ma tenue à table tout à l’heure. Mais la situation n’est pas classique, surtout pour lui. Cette situation, malgré le fait d’être habituée à me promener nue sur la plage, me provoque une sensation très agréable. Le jeu que je joue depuis ce matin m’excite. Je suis seule avec lui. Comme avec un partenaire amoureux que je provoque et séduit de tout mon corps.
 -Je vais chercher un plateau !
 Il est resté complètement paralysé le pauvre. Il aurait voulu avoir des yeux supplémentaires pour tout regarder en même temps.
 Ben Julia ! Te voila nue avec un Tonton de 61 ans, certes pas vraiment inconnu, mais pas intime tout de même. Tu déconnes Julia ! Il va exploser ton Tonton !
Rho ! Pas grave ! Il passe un bon moment et moi aussi après tout. Tiens je suis encore humide !
 Retour au jardin.
 Hé bé ! Houa !!! Mon Tonton en train de quitter son slip de bain…
 -Je peux Julia ? Je n’ose pas trop mais si tu ne veux pas je reste avec…
 -Ho la ! Tonton ! T’inquiète ! Je t’ai déjà vu non ? Et sur la plage demain il y en aura des tas ! On est tellement bien comme ca ! Non ?
 Fébrile quand il jette son maillot sur un transat et qu’il s’installe presque en face de moi. Je sers à boire et à mon tour d’observer. Bah à vrai dire, il est pas mal dans cette tenue. Mieux qu’avec son bermuda qui lui fait des mollets de coq. Du ventre un peu mais pas tant, fesses un peu tombantes mais pas trop non plus, et son sexe, surement une petite érection très légère, ce qui fait qu’il a un bel outil, moins doré que le reste, mais le fait de faire du nu aussi chez lui en Charente, quand même un peu. Il semble assez long, sans trop, mais pas petit en tout cas, assez large à la base. Je vois une veine qui court en spirale tout autour. Je l’imagine assez épais dans les moments ou il est tendu. Grosses boules, mais pas trop flétris, posées sur le transat. Je ne sais pas pourquoi je pensais ca d’ailleurs. Peut être souvenirs de plage. Et surtout un très beau gland complètement décalotté… Plus large que son sexe. Rond, rouge, une petite tache brune juste au milieu. Très beau. Si il bande il doit être même assez gros ce gland…
Et gagné ! Pas un poil autour ! Ou si peu. Et ca moi…
 Humm Julia ! A quoi tu penses ?
Ah ben oui ! J’y pense !
 Il me ferait presque envie comme ca mon Tonton ! Ca doit être ca, parce que je sens un peu d’humidité descendre sur ma cuisse… J’ai des fois fantasmer sur la plage (avec Agnès aussi) sur des mecs qui passent avec des corps d’athlètes et de beaux outils entre les jambes, mais jamais vraiment sur un papy de cet âge. Et là, me voilà à le regarder avec une certaine excitation… Pas mal du tout en fait ! Pas Apollon mais un coté sexy du à cette peau caramélisée et son style « baroudeur ». Et son côté intimidé qui le rend fragile. Ca ajoute un plus.
-Je n’ai pas préparé le scrabble Julia. Tu veux jouer ?
 -Bof. C’est comme tu veux.
 -Bah je n’arrive pas à me concentrer je crois. Tu dois me troubler en fait (rire). Je ne sais pas si je dois rester.
 -Aller Tonton ! Ne t’inquiète pas ! Je suis a l’aise moi alors reste et on boit un coup. Apres on bronze ! T’es pas trop habitué c’est normal ca va venir tu sais.
Là il commence à se détendre un peu mais il ne me quitte pas des yeux sous ses lunettes. Il est allongé sur son transat, torse relevé, comme moi. Son sexe posé sur ses cuisses, au soleil, pas complètement détendu. Moi dans la même position, tête à l’ombre, et le corps au soleil. Mon sexe un peu humide luit avec la lumière.
 -Au fait ? Avec ta copine ? C’est comment ? Je veux dire : vous êtes ensemble ? Je ne sais pas comment dire…
 -Oui ! Ensembles ! Comme un garçon et une fille Tonton ! Mais 2 filles quoi ! Tu vois ?
 -Ah ben oui je vois ! Mais tu sais a mon âge je vois ca dans des films ou sur le net… mais la ! Et… comment dire… je n’ose pas…
 -Oui Tonton ! On est ensemble et on fait tout ensemble comme un couple ! C’est tout pareil…
 Oh le Tonton il rougit… Il rougit et son sexe remonte aussi un peu.
 -Mais tu… enfin… les garçons ? Heu…
 -Oui Tonton ! Les garçons aussi on connait si c’est ca que tu veux savoir.(rires)
 -Ah ben ! Toi alors ! T’es vachement… je ne sais pas ! Tu à une copine ! Tu connais les garçons ! Tu vis nue ! T’es vachement à l’aise ! Dis donc ! De mon temps…
 Et la le sexe de Tonton il commence à relever la tête sans même qu’il s’en aperçoive.
On discute un moment comme ca. Il ne pose pas trop les questions directement, mais je finis pour lui et on ne parle que de ca : mes tenues sexys, le fait d’être à l’aise nue, ma copine et les garçons, ma vie quoi ! Le fait aussi de faire des photos, ce qu’il comprend comme une raison pour être à l’aise avec mon corps, à moins que ce ne soit le contraire… Il dit aussi que lui aurait aimé être comme ca, mais qu’a son époque les gens étaient coincés et que c’était moins… moins libre que ma façon de vivre quoi !
 On reste un moment, il est bien. Les yeux ailleurs (pour une fois), il est sur son transat. Bien ! Si bien que son sexe prend un peu ses aises… Je regarde ses boules qui se rétractent, ca bouge (j’ai déjà vu ca quand les garçons sont excités… ca travaille !). Il ne bande pas vraiment mais on sent que ca peut venir…
 -Tu ne te mets pas de l’huile Tonton ?
 Je l’ai sorti de ses songes (érotiques ?)
 -Ah ben non pas trop je ne reste pas trop au soleil et ma peau est une carapace tu sais ?
 -Oui je vois !
 Et je le regarde de haut en bas, ce qu’il a l’air d’apprécier, vu le petit coup de rein de son sexe pour relever la tète d’un centimètre.
 -Moi j’en mets parce qu’avec cette peau de rousse (ou presque) je crains un peu, et ca fait un peu de temps que je n’ai pris le soleil.
 Je m’enduis d’huile sur tout le corps, en massant mes cuisses, mes seins (il aime !), un peu plus discrètement sur mon minou, mais à peine… Il suit des yeux mes mains qui parcourent mon corps de partout, avec un regard gourmand et étonné en même temps. Pour lui le spectacle continu. En réalité ses yeux me caressent plus qu’ils ne regardent. Je les sens courir sur moi.
-Tu peux m’en mettre dans le dos ?
 Oups ! Il a failli mourir !  
 Julia Tu pousses encore !
Rho ! Mais non …
 -Ah ben si tu veux oui. Avec plaisir même ! (sourire)
 Je me retourne sur mon transat et lui tend l’huile. Bien embêté qu’il est avec… Comment faire ? Où se mettre ? Je comprends. Je me pousse un peu et lui fais signe de s’asseoir sur le bord. Il vient s’assoir à mon coté. A la hauteur de mes jambes. Je le regarde par-dessus mon épaule. Je le vois tout ennuyé, et resserrant les cuisses pour cacher son sexe qui a quelques idées vagabondes. Je suis toute allongée, lascive. Il commence à verser de l’huile en haut de mes épaules. Je sens sa cuisse sur la mienne, quelques tremblements. Des petites idées en tête la Julia… Il étale tout ca assez timidement. Ses mains fermes sur ma nuque et mes épaules.
 -Vas-y tu sais ! N’hésite pas ! Fais bien pénétrer ! Il faut masser !
 Alors il masse. Il masse le dos. Il descend sur les cotés, à toucher mes seins, mais à peine, sa main repart très vite, comme si c’était brulant. Je le regarde. Ses yeux sont écarquillés et fixent mes fesses, mes cuisses. Il serre les siennes. Pour retenir son sexe qui a envie de regarder aussi ! Je m’amuse. Je suis bien comme ca. On prend soin de moi. En douceur. Comme si c’était Agnès, sauf qu’elle n’hésiterait pas à explorer beaucoup plus. (Ce qui énerve le papounet quand il est sur le transat d’à côté...) au point de souvent s’en occuper lui-même.
-Vas-y Tonton ! Descend un peu ! Ici !!
 Je montre d’un doigt le sommet de ma fesse gauche ! Julia ! Tu vas …
Il hésite. Un peu, et il commence à masser avec l’huile, les reins d’abord et doucement il gagne sur les fesses. Une main qui va de mes reins au haut de mes cuisses en passant pas les fesses entières. Agréable sensation que ces massages, surtout à sentir une certaine maladresse due à l’émotion. Sensation très sexy en fait que de sentir la timidité de ces gestes du à une retenue compréhensible d’un coté et d’une envie extrême de l’autre. Le papy au contact de la jeunette…
Et la ! Je vois la tête de son sexe dépasser d’entre ses cuisses ! Beau ! Pas une érection très forte mais suffisamment pour que je puisse voir qu’il a un gland assez gros et qui peut devenir bien plus beau encore. J’aime assez. Je ne sais plus trop ce que je fais. Ce que je pense. Ce que je veux.
Si en fait je sais ! Il est à moi ! Entièrement à moi ! Et j’en suis émue, contente et un même un peu excitée. Pas qu’un peu.
 Il masse toujours et je commence à écarter mes jambes et à cambrer discrètement mes fesses. Je le fais en me disant qu’il ne faut pas. Et en même temps c’est une envie irrésistible. Aussi irrésistible que l’envie d’être sexy ce matin au port, que l’envie de séduire avec ma tenue, mon allure. Que l’envie de plaire et de jouer avec tous ces gens qui m’ont désiré furtivement en me croisant. Une très forte envie de m’offrir complètement à ses yeux, et à ses mains.
 Il ne peut plus ne pas me voir dans toute mon intimité. Il a mes fesses et mon sexe sous ses yeux. Ouverte un peu ! Je sais très bien que dans cette position, ce n’est plus un sexe d’une fille nue qui se fait dorer au soleil. C’est beaucoup plus que ca. C’est un petit abricot tout rose, tout lisse, légèrement ouvert, légèrement humide, et très provocateur qui attend une caresse. Je sais également qu’en provoquant comme ca, je vais avoir envie de plus, et plus encore. Que je suis en train de le désirer autant que je me fais désirer. Que tout simplement j’ai envie. Envie de plaisir. D’une ambiance intime et coquine. D’un moment… De lui quoi !
 J’ouvre doucement mes jambes pour me montrer au mieux. Je sais que ma fente humide est à sa merci de cette façon. Légèrement cambrée aussi, comme une offrande, une invitation. Mon fruit est en attente, en chaleur. Cette fois il a pris de l’ampleur son sexe ! Il est bien droit ! Beau ! Pas encore au maximum mais très attirant, très…
 -Julia ! Tu sais ? Ce n’est pas bien mais… Tu me fais de l’effet ! (il a osé le dire)
-Je sais. Et même que je le vois ! (je lui dis ca en riant)
 Je le regarde et regarde son sexe bien dressé maintenant et avec un petit sourire qui lui fait encore plus d’effet. Il a l’œil humide. Plaisir, bonheur, avec un peu de honte.
 -Ho Julia ! Ce n’est pas bien ce que je fais la ! Suis trop con ! Merde !
 -Mais non Tonton ! T’inquiète !
 Et en même temps je pose ma main sur sa cuisse, pas très loin de son sexe.
 -Ho Julia ! Tu me… Ho la la ! Qu’est ce qu’on fait ! Ce n’est pas bien !
 -Arrête ! On est la on est bien on est que tous les deux ! Cool ! Continue ! C’est très agréable. J’ai très envie et tu me fais beaucoup de bien ! J’ai envie que tu me touches...  
 Il s’arrête. Complètement abasourdi. Je l’ai sonné en étant un peu crue. Il reprend son massage fessier, et je continue d’écarter mes jambes pour que mon sexe soit complètement offert. Je remonte encore un peu les fesses. Cambrée. Je sais ce qu’il peut voir ainsi. Je me sens couler aussi. Je suis complètement ouverte. En même temps je caresse sa cuisse, doucement, et je monte jusqu'à toucher son bel engin. Du bout des doigts. Il me caresse les hanches, remonte effleurer mes seins, et redescend entre mes cuisses.
 Il sursaute ! Figé un moment ! Je sens au bout de mes doigts qu’il durcit encore. Et il reprend son massage en descendant cette fois passer l’huile entre mes cuisses, et il frôle timidement mon minou. Moi je caresse d’un doigt tout le long de son sexe, en tournant autour de son gland qui est devenu imposant… J’ai une grosse envie. Depuis ce matin je joue un peu ma coquine avec lui, pas volontairement au début, et maintenant c’est moi qui suis excitée par ce Monsieur d’âge mûr qui me caresse, et je n’ai qu’une idée, c’est qu’il continue à me donner du plaisir.
 Julia ! Tu exagères !
 Mais non ! J’ai envie ! Lui aussi ! On ne dérange personne ! C’est la première fois depuis qu’il est marié qu’il tient une jeunesse dans ses bras ! Où est le mal ? L’âge ? Et alors ? C’est un homme, je suis une fille, j’aime bien, la situation est excitante, pourquoi se priver ! Lui n’aura surement plus trop l’occasion ! Et moi j’en ai très envie ! Alors laissons aller !
 -Tonton ! Ce n’est pas grave ! Et t’inquiète je sais ce que je fais ! C’est beaucoup plus de ma faute que de la tienne alors laisses toi aller, te torture pas l’esprit avec des « ce n’est pas bien ! Ne faut pas ! » Je suis grande et toi aussi non ?
 -Bah oui Julia mais tu te rends compte ? Tu pourrais être ma fille ! T’es jeune ! Je suis un vieux crouton !
 -Dis donc pour un vieux crouton ! Je sens que c’est encore très jeune, là ! (rires)
En disant ca je caresse son engin de plus en plus dur. Et puis je le prends dans ma main. Tout chaud déjà. Une main tendre pour le saisir et le geste de la masturbation mais très lentement. Il durcit rapidement et se dresse. Il est brûlant. Doux aussi dans ma main et je le malaxe un peu pour le détendre.
 -Ho Julia ! T’es folle !
 -Oui ! Et alors ? Un moment de folie !
 -Oui bien sur mais…
 Il arrête de parler et commence à explorer mon entre jambe avec des gestes de môme, partout, dans tout les sens, il masse, il fouille mais très peu, trop intimidé, et il bande ! Mais il bande !
 Il ne parle plus. Il souffle ! Il gémit. Sauf pour dire de temps en temps : Ho ! Julia ! Il me caresse un moment comme ca, moi sur le ventre et lui a coté. Je monte mes fesses et ma petite chatte ouverte, à sa rencontre. Je m’écarte encore plus. Cambrée au mieux. Je m’offre à lui, à ses yeux, à ses mains, chaude, humide. Il caresse de partout. Il masse avec l’huile de mes cuisses aux épaules, et ensuite il descend entre mes fesses pour masser mon sexe, et se glisser dedans, le fouiller en douceur, timidement, et à nouveau en bas. Il écarte ses jambes et je le tiens fermement dans une main. Il est droit et bien dur. Plus chaud. Je le masse plus que je ne le branle. Je fais gonfler son gland au mieux que je peux. Beau. Gonflé ! Rouge ! Il me fait très envie comme ca ! Je mouille beaucoup déjà. Il me fait un bien fou. Il voit mon jus couler sur ses mains et ca l’excite encore plus. Je passe mon autre main sous moi et je viens m’ouvrir et me caresser, sous ses yeux. Je guide ses doigts. Il me pénètre avec son pouce et joue en moi un instant.
 Ses gestes sont maladroits, tellement il est à la fois surpris et excité. Son âge, le mien, je dois représenter à ses yeux l’inaccessible ! Et pourtant, je suis là, avec lui… Je comprends à cet instant ce qu’il peut se passer dans sa tête, comme dans la tête de ces Messieurs, que je croise dans la rue, sur la plage, qui sont attirés par la jeunesse que je représente, et le rêve irréalisable… Ce que je peux lire dans leurs regards, leurs sourires. Le jouet dans la vitrine. Et là, à cet instant, je comprends ses gestes maladroits, cette timidité, cette peur, et cette situation, je la trouve trop touchante. Je rechercherais souvent cette sensation plus tard… Se sentir admirée et caressée comme quelque chose de fragile. Avec nos amis, nous sommes déjà cajolées, mais la il y à un sentiment bien différent. Et cela me fait fondre, et me fera fondre plus d’une fois…
 Je le sens durcir encore. Puis je me retourne pour qu’il me caresse encore mieux et je tiens son sexe dans une main et le branle doucement… Il est beau son sexe ! Tout doré comme sa peau ! Et loin d’être ratatiné ! Je n’aurais pas cru !
 Je m’offre totalement à son regard et à sa main qui me fouille maintenant. Il entre en moi et ressort facilement tellement je suis déjà humide et prête. Il enlève ma main de son sexe en me faisant comprendre qu’il ne peut pas tenir. J’ai compris. Trop excité. Trop déboussolé. Je m’approche de lui pour lui parler en mettant ma main sur son épaule.
 - On a l’après-midi devant nous, rasures toi. Agnès me téléphone quand ils partent de la bas alors t’inquiète pas pour ta femme.
 Il parle plus ! Il répond avec juste des sons ! Déboussolé qu’il est ! Je suis si directe dans mes propos qu’il ne sait pas répondre.
 -Tu sais quoi ? J’ai envie que tu me prennes comme ca maintenant tout de suite. Après on prendra du temps et on s’amusera. Ok ? Tu sais je suis peut être jeune mais j’ai un peu d’expérience et j’ai envie qu’on profite beaucoup la. Et si tu restes comme ca tu ne vas pas en profiter non ? On peut rester ici en plus ! Détends-toi !
-Je te choque à parler comme ca ? J’ai envie et toi non ?
 Je masse un peu ses boules, caresse son beau sexe (beau oui !)
 -Je peux venir sur toi ?
 Pas de réponse. Je me lève, le prend par la main pour le lever aussi. Un zombi ! Debout, je me penche et prend ce sexe dans la bouche avec douceur. Il frémit. Il tremble même. Je le lèche de partout avec un air gourmand, en massant ses boules de ma main. Chaque coup de langue le fait bondir comme un jouet. Je le prends juste en bouche quelques instants mais je sens qu’il est au dessus des anges. Il n’est pas heureux ! C’est bien au dessus de ca ! Bon qu’il est ce sexe dans ma bouche. Gros gland assez dur et sa tige assez épaisse très agréable. Je n’ai plus d’idées à la con sur les messieurs de cet âge du coup. Et même au contraire, je découvre à nouveau. Il est tout aussi bon à manger en tout cas. Il est debout. Le sexe bien droit. Il se laisse faire en me regardant l’avaler tout entier. Je sens une goutte de bonheur sur ma langue. Il mouille.
 C’est un fantôme. Je le lâche, je l’allonge sur mon transat, il se laisse faire comme si il ne pouvait plus réagir. Je me mets au dessus de lui, à genoux, assise sur ses cuisses, et je le branle un peu, doucement d’une main pendant que je me fais du bien à moi aussi de l’autre, mon sexe ouvert, humide, coulant, tout chaud. Il me regarde. Il fixe mon minou ouvert, que je masturbe avec énergie en insistant sur mon bouton et aussi en glissant 2 ou 3 doigts dedans avant de les lécher et aussi de lui poser sur ses lèvres. Il me goute. N’en croit pas ses yeux. Il est dans un rêve. Je sens un peu le plaisir monter chez moi, mais je me dis qu’après tout, même si je ne jouis pas là, j’aurais d’autre occasions alors que Tonton… pas trop sur... Si ! Surement en y repensant et en matant notre photo sur son ordi en douce il se branlera très souvent. Mais là, maintenant, j’ai envie de lui faire plaisir et en même temps de toute façon, j’en prends. Je n’ai pas trop envie de jouir. Juste de prendre du plaisir et surtout de lui en donner. Passer une après midi comme ca. A la limite de la jouissance pour moi. Ce sont des moments peut être encore plus intenses. Restée excitée longtemps sans aller au bout. Exquis. Et je suis hyper excitée de la situation
 Je suis très humide maintenant. Je monte sur son ventre au dessus de son sexe. Je prends ses mains et les pose sur mes seins. Je descends trouver son engin avec mon minou, et je le prends doucement. Il entre en moi comme ca au fur et à mesure que je descends sur lui. Il tremble Tonton. Il me caresse mais il regarde surtout son sexe disparaitre dans ma petite chatte. Il est…
Il est entièrement en moi maintenant. Absorbé, au chaud, je le sens bien, son gland épais surtout au fond de moi et il a des petits sursauts. Je bouge un peu, il me rempli bien. Je regarde son sexe ressortir en me remontant et maintenant qu’il est très très dur, je vois qu’il est très sympa. Pas ce que j’ai vu de plus gros mais bien au dessus de la moyenne, et je suis comblée en le remettant au fond de moi. Il m’envahit. Il me ravit. La chaleur qui part de mon sexe et remonte par le dos jusqu’au cerveau me donne une sensation de bien être formidable. Et cet endroit est magique. Je reste assise comme ca. Je bouge juste mon bassin pour le sentir me fouiller de partout. Il me regarde avec un plaisir indescriptible. Puis fixe mon minou qui a engloutit sa queue. Il ouvre des yeux énormes. Je pense que je ne vais pas le faire durer trop. C’est moi qui maitrise mon plaisir et le sien. Il faut qu’on en profite ensuite. J’ai plein d’envies en fait. Et je raffole de ces situations peu banales.
 Je bouge encore plus, je le serre bien avec mon sexe. Il est prisonnier et il tressaute déjà. Je me penche sur lui, pour poser mes seins sur son torse, et mettre ses mains sur mes fesses. Il me caresse de plus en plus. J’aime. Je fais des mouvements plus rapides. Il me fait comprendre qu’il n’en peut plus. Je me pose un peu le temps de l’observer et le sentir en moi et puis j’accélère. Juste des mouvements avec mon bassin. Il est gonflé en moi. Très gonflé. Comblée qu’il est mon minou à moi ! Il gémit un peu. Compris. Je le serre très fort. Me redresse un peu. Juste un aller retour et il se cambre ! Je sens son jus chaud en moi ! Très fort ! 2 jets au fond… Il retombe. Je bouge. Encore un jet. Et un gros soupir. Je n’ai pas jouis. Normal et sans importance. Lui oui ! Trop fort ! Je jouis dans ma tête en réalité. Heureuse de maitriser et heureuse de rendre heureux. J’ai donné un plaisir immense à un Monsieur. Et ce n’est pas fini je pense.
 On reste comme ca. Il me regarde. Un sourire comme jamais. Je le sens se dégonfler. Je reste dessus. Je le regarde avec mon plus gentil sourire. Je murmure. Complice.
 -Ca va Tonton ? Content ?
 -Ho Julia ! C’est fou ! Pourquoi on a fait ca ? Ce n’est pas …
 -Ce n’est pas bien ? Rho ! ca ne te fait pas plaisir ? Je crois que oui moi… et puis j’ai envie moi ! Ne te poses pas de questions ! On est bien !
 La dessus je j’embrasse sur le torse avec douceur et je le câline un peu tout en laissant son sexe ressortir de moi. Il se dégonfle doucement. Tout chaud et humide. Je prends une serviette et je l’essuie, et je le prends dans ma bouche pour le nettoyer. Je le suce, je le lèche encore de partout jusqu'à ce qu’il soit détendu. Il est beau son sexe. Il reprend ses esprits.
 -Dis donc Julia ! Tu es sacrément coquine ! Tu aimes ca on dirait ! Houa ! C’est formidable pour un vieux comme moi ! Incroyable !
 -Rho ! Pas vieux dis donc ! Oui je suis coquine et très contente de l’être. J’aime bien le plaisir, pas toi ? On va boire un coup ?
 Et après un gros bisou sur son sexe et une caresse sur son torse je me lève et vais chercher à boire. Il me regarde partir avec une larme aux yeux. Heureux mon Tonton ! Jamais il n’aurait imaginé…
J’en profite pour me rafraichir et me laver un peu. Je me regarde dans la glace et comme une petite garce je me fais un clin d’œil. Je rie toute seule en me disant que je suis vraiment coquine. Mais bon. Du plaisir partagé comme ca, quoi de plus simple et quoi de mal ?
 De retour avec un nouveau plateau. Il a repris sa place. Il me regarde avec un air à la fois heureux et triste.
 -Ca ne va pas Tonton ?
 -Ho si ! C’est merveilleux Julia ! Mais je ne sais pas…
 -Arrête ! Suis grande ! Tu avais envie de moi ? Moi aussi ! Voila ! Tu ne vas pas te torturer parce que j’ai 18 ans ! Tu sais ! J’ai fais mon allumeuse avec toi ce matin mais je n’ai pas fait l’amour uniquement pour m’en excuser.
Envie de plaisir c’est simple tu sais. On est encore la un moment ensemble.
 Il sourit et tend la main pour me caresser la cuisse. Je suis debout devant lui.
 -Oui Julia mais tu es si belle ! Je crois rêver ! Tu es formidable !
 -Je suis moi c’est tout.
 Je m’avance devant lui. Approche mon ventre de sa main. Je caresse sa tête. Il a les yeux brillants et il sourit. Il me dévore des yeux. Mon sexe à hauteur de son visage. J’écarte un peu mes jambes pour qu’il puisse se perdre dedans. Il me caresse de partout. Je prends 2 verres et m’assoit sur ses genoux à califourchon. Je suis prés de lui et mon sexe est bien ouvert dans cette position. Il ne parle plus. Il me touche les seins, le ventre, mon minou qui lui est offert. Moi je bois et d’une main tripote son engin qui revit un peu. Ses boules qui tombent sur le transat entre ses jambes. C’est gros des boules de cet âge la. Je regarde son corps, je le caresse. Ma proie en fait. Du haut de mes 18 ans c’est moi qui maitrise la situation. Etrange et plaisant. On continue de parler un moment ainsi, et je m’installe en face de lui. Parler de tout, et surtout de plaisir. Jusqu'à ce que les esprits se chauffent à nouveau.
 Jai énormément envie de profiter de notre après midi, et j’ai de belles envies de sexe aussi. Je pose mon verre. Lui donne le sien. Je relève le transat dans son dos. Il s’installe. Je descends entre ses jambes et je le caresse de mes seins, de mes mains, son ventre, son sexe. Je le reprends en bouche très doucement. Il gémit de bonheur. Son sexe est gros mais il ne bande pas vraiment, c’est bien trop tôt encore. Je le mange, je le lèche, je joue avec ses boules et ma langue et je le garde bien au chaud en le regardant. Il admire cette Julia qui a son sexe dans sa bouche et qui lui sourit. Impensable ce matin encore. Je mouille beaucoup maintenant. Rendre un Tonton aussi heureux c’est autre chose que de faire l’amour. J’ai vu des partenaires ravis d’avoir fait l’amour avec moi, mais la ! C’est différent. Ce fut bref, mais gravé dans sa tête pour toujours je pense.
 -Tu sais Julia ? Jamais on ne m’a fait ce que tu me fais la ! Avec ma femme c’est très classique. C’était ! Jamais mon sexe n’a connu une bouche. Et la tienne ! C’est magnifique ! Je lui faisais l’amour mais la c’est toi qui me le fait. Jamais de ma vie je n’ai connu ca ! 2 filles avant elle et depuis jamais personne.
 Pendant que je continue de le manger il me parle. Des pauses quand je touche un point sensible. Il connait le bonheur. J’ai trop envie qu’il s’occupe de moi. Je me relève. Ma main prend le relai de ma bouche. Il finit son verre. Il ne bande pas vraiment. Je remonte au dessus de lui m’assoit sur son sexe. Je me frotte dessus jusqu’a ce que ma chatte soit ouverte et absorbe son engin sur la longueur, je prends ses mains pour les poser sur mes seins. Et je me caresse pendant ce temps. Je veux sa bouche. Je remonte encore. Avec la position du transat, une fois debout, mon minou  arrive à hauteur de sa tête. J’avance et me pose, trempée, sur sa bouche. Mon bouton sur son nez. Et mes lèvres comme un baiser sur sa bouche. Sa langue me cherche. Elle pénètre de suite en moi. Je mouille déjà et je coule sur lui. Je sens qu’il avale mon jus. J’ondule doucement et ma chatte se frotte sur lui sans qu’il bouge. Je pose et pousse mon bouton sur sa langue. Il me boit. Il me mordille. Il me lèche à grands coups de langue. Il me mange aussi à son tour. Il le fait de façon gourmande. Vorace. C’est énorme !
-Ho Tonton ! C’est bon ! Mange-moi ! Lèche-moi.
 Et je continue de me frotter sur lui et je coule de plus en plus, je gémis, c’est extra. Une petite pause pour le regarder. Et écarter encore plus les lèvres avant de les plaquer à nouveau sur sa bouche ouverte. Je fais ca souvent avec Agnès, ou elle avec moi. Notre grand plaisir à toutes les deux. Sa langue me fouille avec force. Sa bouche est un sexe presque, tellement il est gourmand et mange tout ce qu’il peut. On ne voit plus trop ou est sa bouche et ou est mon sexe. Je dirige en fait mon minou sur lui et je peux insister là ou j’en ai envie. Je dirige mon plaisir. J’utilise sa langue, ses lèvres, pour faire monter ma jouissance. Cela dure très longtemps comme ca, ��où je bouge mon bassin d’avant en arrière. J’ai très chaud. Je coule. Je sens mon jus sur mes cuisses. Je me frotte comme sur un sexe mais c’est sur une bouche, une langue, et c’est aussi bien Même mieux souvent.  Envie de jouir. Je crie un peu. Un grand frisson dans les reins et je me cambre sur lui. Je l’étouffe. Il tient sa queue presque redressée dans une main. De l’autre il masse soit mes seins, soit mes fesses, où alors l’utilise pour m’écarter au mieux et entrer sa bouche le plus loin en moi. Cette fois je lui appartiens.
 Je jouis !!! Fort. Comme j’avais envie. Trempée. Il me déguste. Je vois le port, un marin…
Je veux qu’il me caresse encore. Me lève. Je vais m’allonger sur les matelas de transat au sol. Ils sont la pour ca aussi. Je l’entraine avec moi. M’allonge et lui aussi a mon coté. Il me regarde. Non il m’admire.
 -       Fait ce que tu veux de moi. Caresse-moi
 Il me touche de partout. Il s’est détendu maintenant. Il est moins figé. Il a envie de moi. Il de serre à moi. Sa queue sur le haut de ma cuisse il se frotte et je mets ma main pour recevoir son gland quand il pousse. Il me caresse. Seins, ventre, sexe, cuisses, et encore. Je sais plus.
Il doit avoir plusieurs mains. Je suis son jouet et il en profite. Jamais autant de caresses avec une seule personne. Ils sont au moins 3 ! Il s’attarde entre mes cuisses me force à ouvrir au mieux. Je suis à lui cette fois. Il me caresse, ou mieux, il me branle. Sa main à plat et il me frotte très fort puis en douceur. Il se penche manger un sein puis l’autre. Et ca dure. Ca dure ! Et il prend l’initiative. Il me relève. Et tout en me caressant debout il me plaque sur lui et m’enlace de tout son corps. Je sens sa queue durcit qui se coince entre mes jambes. Il m’embrasse le cou, les épaules. Et il m’assoit sur le transat me repousse en arrière et tire mes jambes pour amener mon sexe au bord. Je suis allongée écartée, ouverte, à lui.
 Il s’approche et me prend d’un coup comme ca. Je le sens en moi, pas au plus dur qu’il puisse être, mais assez pour me remplir et me fouiller comme il va et vient. Il est excité tonton. Il me caresse les seins pendant que sa queue me prend sauvagement. Il n’a plus de problème dans sa tête. Il me donne des coups de reins qui font reculer le transat. Et chaque coup me fait un bien fou. Dans cette position mon bouton est ressorti et je me touche. Sa main me rejoint et il me prend de plus en plus fort et me branle aussi dans le même temps. Je gémis sous ses coups de queue. Il me regarde. Content. Il me « baise ». Il revit et il me « baise » à sa façon. Son sexe est énorme maintenant et chaque fois qu’il rentre il me comble de plus en plus. Il va loin et je suis remplie. Comblée. Je sens mon jus couler par jet sur mes cuisses. Un grand frisson qui part de la nuque, jusqu’ au rein et j’ai l’impression de lui transmettre sur sa queue qui me transperce maintenant. Il ne me prend plus, c’est plus que ca, il est déchainé. Il monte et descend ce qui me fait réagir encore plus. Une fois il passe en me frottant le bouton très fort et la fois suivante il me remonte, et ma chatte est béante et en même temps prise de tout coté. Je m’écarte cette fois avec les mains pour qu’il puisse aller très loin. Je vois des bateaux, des marins, Tonton, encore des marins.
 Encore un frisson. Cette fois je me cambre et je reste le bassin en l’air. Il en profite pour me prendre 2 ou 3 fois et je crie ! Il me prend une dernière fois et reste au fond de moi ! Je gémis et mon bassin monte et redescend. Je suis en sueur. Trempée. J’ai jouis encore ! Et très fort ! Plus vite que je pensais mais fort. Il m’a prise avec tant de force que je ressens encore ses coups quand il se retire doucement. Il est dur. Raide. Il n’a pas jouis lui. Trop tôt. Il est ravi. Il m’a pénétré à sa façon. Baiser comme il aime et la petite coquine a tremblée sous ses coups de queue. Elle à jouit ! Il est heureux. Depuis ce matin c’est la première fois qu’il maitrise.
 -C’est trop bon Tonton ! C’est trop bon ! Tu m’as tuée ! J’ai chaud !
 Il remet un peu de son sexe dans moi, il me regarde et me caresse partout. Je sers son gland avec ma chatte. Il me sourit.
 -Je suis content Julia tu ne peux pas savoir.
 -Et moi donc ! Tu vois que ne t’es pas vieux ! Ou alors tu as un greffé un sexe nouveau ! En tout cas je le sens il me fait du bien. J’ai jouis trop vite peut être. Tu pourrais me prendre encore longtemps ! J’aimerais !
 -Tu sais a mon âge j’ai des limites !
 -T’es fou. On ne m’a pas souvent pris comme ca
 Je me relève doucement. Je le tiens par le sexe.
 -On a encore mérité un verre non ?
 Il se remet à sa place. Je vais remplir à nouveau les verres. Je passe par la salle de bain et m’asperge visage et minou pour me rafraichir. J’emmène une serviette mouillée et fraiche avec moi.
Il est à demi allongé et me regarde avec un sourire indescriptible. Je pose mon plateau. Je prends son sexe à demi bandant et le nettoie et le rafraichit avec la serviette. Ca le fait sursauter. Je reprends ma position. Assise a califourchon sur ses cuisses face a lui. Nos sexes face à face également. Lui en demi-érection. Et moi ouverte, rouge, et luisante. Il admire avec un regard d’enfant gâté.
J’ai fait plus qu’un heureux et j’en suis fière et surtout contente. Tout en restant comme ca on boit. On discute. Il caresse doucement mon minou toujours offert. J’en profite pour attraper le portable.
 -Ma puce ? Vous sortez du musée ? Ah ok. Oui je vois ! (clin d’œil à Tonton). Parking. Bouchon a la sortie. Ben oui classique !  Vous en avez pour une heure mini ! Ah ok ! Supermarché pour les boissons ? Ok 1h30 mini (encore un clin d’œil au tonton ravi). Une bonne douche et tu seras à moi !
 Un clin d’œil a tonton et une caresse sur sa queue !
 -Tonton ? Oui il est avec moi !  Tu dis à sa femme qu’il a perdu au scrabble ! Il aura un gage ! Lequel ? Bah tu ne dis rien ! Je t’expliquerais. Bisous ma belle !
 -Tu vois on a du temps ! Tu me refais l’amour ?
Il rit !
 -Je veux bien tu sais mais je pense que je suis un peu épuisé ! Il fait chaud !
 -Tu vois que ce n’était pas une mauvaise journée ! Elle commence !
 Je plaisante.
 Je reste assise sur lui un long moment. On parle de tout comme si on était là, naturellement. Sa main en permanence entre mes seins et mon sexe. Il fouille gentiment. Moi je joue avec son bel engin.
Beau ce sexe ! Bien ce tonton ! J’en reveux du Monsieur trop âgé ! Trop ? Tu parles !
Et puis on en revient à reparler de sa vie sexuelle et de la mienne. Comment je suis libre, libertine aussi, experte à ses yeux. Surtout vu mon jeune âge. Je lui avoue mes jeux avec Agnès dés l’âge de 14ans, mes copains, et ensuite nos copains, nos trios avec elle et eux. Nos soirées depuis quelques temps avec nos amis. Il est ébahi. Moi ! La gamine avec toutes ces expériences, et lui l’ancien avec sa triste vie sexuelle ! 3 filles dont sa femme. Pas d’aventures. Et un « sexe » très classique ! Alors ! Moi et mes soirées à plusieurs, ma façon de montrer mon corps sans pudeur, et avec plaisir. Ma façon de guider ses gestes et mon gout incroyable à prendre un sexe en bouche. Il avait vu ca que dans les films qu’il regardait seul. Et maintenant le net (assez doué pour surfer le tonton). Mais lui c’est la première fois qu’une fille le « suçait ». Et une gamine en plus ! Et avec un plaisir et une manière…
Bah oui tonton ! J’aime bien le faire ! Et il parait que je le fais très bien ! J’ai appris ! Et on fait avec Agnès des fois tu sais ! Je lui ai montré et elle aime bien aussi. (Rires)
 -Alors jamais toi ?
 -Non jamais !
 -Attend. Si tu en as envie, je peux te faire plaisir.
 -Non ! Julia !
 -Pourquoi ? C’est un plaisir pour moi aussi tu sais ! Laisse toi aller !
 Je lui fais signe de se taire. J’incline son transat mais pas complètement. Je l’allonge lui à son tour. Je descends ses jambes de chaque coté. Je m’installe le mieux que je peux pour être entre ses jambes. Juste au dessus de sa queue pas encore trop vigoureuse. A genoux devant lui. Ses jambes de chaque coté du transat. Position idéale pour nous deux. Un face à face avec son sexe.
-Ne pense à rien ! Je te promets que moi aussi ca me fait extrêmement plaisir.
 Il ne répond pas. Il comprend que j’ai décidé. Il se détend. Presque.
 Je passe ma main sur ce sexe que je ne pensais pas être a ma portée ce matin, et je n’avais pas prévu d’en être là. Ses boules sont tendres, douces, et bougent mollement dans ma main... je me mets au dessus de lui. J’embrasse et lui caresse les cuisses, le torse, le ventre, et de mes seins aussi. Et son engin qui se dresse encore un peu. Je passe ma main dessus. Il réagit. Il se dresse. Il retombe.
 Il ne bouge pas...je m'installe nez à nez avec ce sexe qui me réclame. Mes mains sur son ventre, son torse et ses fesses. Je l'embrasse doucement. Je pose mes lèvres sur ces boules qui remontent doucement et je l'embrasse tout du long... petits bisous doux et humides... et je le lèche encore. Je joue de ma langue sur le bout qui se redresse... et je reprends de le lécher comme un fruit... mes mains restent à caresser son ventre. Je prends doucement ce gland dans ma bouche, je l'enferme, joue dessus de ma langue... dans le petit trou aussi... sa queue… elle reprend du volume... je descends en serrant mes lèvres et je l'engloutie doucement toujours. Elle semble me remercier. Je l'enroule... la mâche un peu... la serre... la relâche... et la libère doucement tout en aspirant comme pour la faire grandir encore... elle retombe sur son ventre. Je la lèche de nouveau... la mordille... elle trouve ma bouche toute seule... s'y glisse. Je joue avec ma langue et mon piercing... elle sursaute... et je l'enfouis a nouveau toujours en douceur très lentement en pressant bien... pendant que mes mains caressent son torse ses fesses... elle vit dans ma bouche... des petites gouttes salées par moment... et je la remâche a nouveau... fort... puis la relâche encore... et a nouveau la lécher sur toute la longueur… jouer avec la langue pour la faire un peu bouger... elle se dresse... elle veut retourner au chaud... un gros baiser du bas en haut pour la reprendre encore... et la faire entrer très loin très doucement très serrée.. elle me fait comprendre qu'elle est bien la... et je recommence de cette façon encore et encore... l'engloutir, la manger... la câliner de la langue, la presser et la relâcher en aspirant fort... et chaque fois qu'elle retombe elle me regarde pour pas que je la laisse... jamais je n’ai besoin de ma main pour qu'elle retourne sur ma langue... et encore... et encore... et plus je la mange et plus elle vit et plus elle réclame... maintenant elle vibre elle tressaute quand je la relâche... tu voudrais arrêter ? Tu ne sais plus trop? Les boules une par une dans ma bouche... un gros baiser sur la longueur et de nouveau elle se cambre pour venir se mettre la ou il fait bon. Cette fois en la prenant je sens qu'elle bouge... ses fesses se contractent sous mes mains... aurait t’il envie d'arrêter le supplice... elle vibre de plus en plus... elle me demande ma langue de partout. Je la relâche une dernière fois je crois... elle réclame fort cette fois... un baiser encore... et elle retrouve son nid rapidement... elle me prend la bouche maintenant. Elle rentre, ressort nerveusement comme dans mon sexe. Il est trempé mon sexe... je sens que ca coule sur mes cuisses. Maintenant elle s'agite... je la reprends bien en douceur... la serre... presse de ma langue le canal qui prend du volume. Je monte... redescend... ma boule sur le frein... c'est trop... elle se dresse encore... elle veut en finir... elle me supplie. Je presse encore plus je tourne un peu autour... les sursauts là... un signal un peu plus fort... elle veut... il se fige entièrement... il n'y a plus qu'elle qui vibre… qui vit... je lâche la pression de ma langue... un très long jet chaud au fond de ma bouche. Je le sens passé par le canal... et un autre. Elle a des sursauts... encore un petit... je la relâche un peu. Du jus partout ma bouche... j'en avale... encore un jet très chaud... moins fort... elle se calme. Je la relâche très doucement. Je la laisse un peu tranquille. Je monte sur lui pour l'embrasser avec son jus. Nos langues... son jus... je l'avale... et je retourne pour l'embrasser et la reprendre encore en bouche. Tendrement... je l'aspire... la titille... l'absorbe... elle se détend... et je la garde au chaud... juste ma langue autour pour la calmer... la nettoyer... petit sursaut... petites gouttes encore... comme un 'merci'. Je la relâche... elle retombe... épuisée mais propre... et brillante. Je remonte me blottir... mes cuisses sont trempées… un bateau s’éloigne.
 Il est ailleurs tonton ! Son rêve ! Il est tout chose.
 -Tu as aimé ?
 -Si j’ai aimé ? Mais c’est quoi cette journée, je suis au paradis ?
-Chut !
 Je reste blottie sur lui. Il est épuisé. Moi aussi même si je reprends plus vite mes esprits. On est bien en fait. Belle journée en effet. Je suis ravie de lui avoir fait plaisir. Sentiment indéfinissable. Je n’y pensais pas au début et c’est venu par jeu. En fait il ne pleure pas mais c’est limite. Je l’embrasse. Tendrement.
 -On a passé un bon moment non ? Et Dali ? Tu voulais y aller ?
 On se marre
Il est super mon tonton. Je le verrais plus de la même façon.
-Tu sais quoi ? Faut qu’on se bouge un peu ! Je me douche et je vais t’aider à préparer le poisson tu veux ?
 -Oui t’as raison ! Je sais plus ce que j’avais prévu
 -Je vais venir avec toi ! Faut je m’habille !
 -Ho non Julia ! Dommage ! T’es dans ma tête de toute façon. Je ne peux pas imaginer oublier ca.
-Aller !
 Je reprends une dernière fois son sexe chaud dans ma bouche et lui passe sa main sur mon minou encore tout trempé. Il a du mal à se lever.
-Aller ! Je te vire !
 Il est reparti avec son slip à la main et failli ne pas le remettre pour passer le portail ! Dans les nuages il est !
 Moi je range et je file me doucher. Certes avec quelques caresses pour calmer le petit feu encore bien présent. Agnès s’occupera de moi ce soir. Après ma douche je vais le retrouver. Il s’occupe du poisson mais il a la tête ailleurs. Avec moi je pense.
 -Alors Tonton ? Ca va ?
 -Si ca va ? Tu es folle ! Peut être la plus belle journée de ma vie !
 J’ai remis ma brassière. Et une jupette encore plus courte, rose, plissée. Gagnée lors de ma dernière séance photo. Ici d’ailleurs. Jupe de plage, qui va avec un maillot de bain rose, mais qu’on peut porter facilement en vacances. Il se recule pour m’admirer. Il est plus à l’aise que ce matin. Je tourne pour lui montrer ma tenue. Il est très content. Et il s’approche de moi, passe sa main sur mes seins, moi je caresse son sexe par-dessus son bermuda. Il descend sur mes cuisses et remonte sur mes fesses. Il cherche. Hé non ! Il n’y a rien. Il cherche bien. Pas de ficelle. Et devant ? Non. Rien !
 -Ho Julia ! Tu restes comme ca ?
 -Oui ! Tu n’aimes pas ? On mange ensemble ce soir je crois. Comme ca tu sauras que mon minou est la pour toi. Si tu veux on ira au pain ensemble quand ils se prépareront. Ok ?
 -Ho mais Julia ! Tu vas me faire …. Encore !
 -Bander ? Hum… Alors tant mieux !
 Il caresse mon sexe encore un peu et on continue de faire des papillotes, des brochettes de gambas etc.… et il me regarde dans sa cuisine aller et venir avec cette jupe qui vole et dévoile mes fesses quand je tourne. Il passe une journée INOUBLIABLE !
 Ils sont rentrés.
 On était juste en train de commencer un scrabble. La 5eme partie qu’on a dit. Bon ok, un petit mensonge… Sur la terrasse papa me regarde et scrute ma tenue avec un petit sourire. Content lui aussi de me voir comme ca ! Il m’aurait bien emmené voir Dali dans cette tenue ! Agnès m’embrasse et de mon regard elle comprend que je me suis amusé. Elle ne sait pas comment, mais elle sait.
On avait préparé pour ce soir mais il est très tôt en fait et on a le temps de se détendre. Ils sont passés les uns après les autres à la douche. On finit notre partie, et dés que je peux, je le laisse admirer mon minou tout lisse, tout propre, et encore chaud et humide, ou il a passé un moment de la journée. Il le connait bien maintenant, mais se lasse pas de regarder quand, assise, j’écarte un peu mes jambes pendant qu’il n’y a personne. Quand on a terminé, Agnès sort de la douche et commence à se changer dans notre studio. Elle est sur le lit. Nue. Je m’installe à coté et tout en caressant son corps je commence à lui raconter ma journée. Elle se marre et en même temps elle est assez ébahie !
 -Tonton ?! T’as fais ca ? Il est comment ? Pas très jeune pourtant ?! J’y crois pas !
 -Je ne te dis pas ma belle comme c’était bon. Et surtout comme il est hyper content ! Je te raconterais ce soir. On va aller au pain après. Tu viens avec moi. Ah tiens regardes !
 Je me lève. Pas besoin de montrer. Elle regarde mes cuisses et cette jupette ultra courte.
 -Ah ok ! T’es nue la. Super jolie !
 -Fais comme moi ! Remarque, je dis ca, mais tu l’aurais surement fais de toute façon.
 Elle se marre. Fait un petit signe comme si elle n’aurait pas osé. Tu parles !
Notre liberté supplémentaire en vacances !
-Tonton ! On est prêtes ! On va au pain et 2 petites courses vite fait pour nous. Tu nous emmènes ?
 Quelle question ! Il lâche son balai ! Prend les clés de sa voiture. Bise rapidement sa femme qui se demande pourquoi il part si vite.
 On s’est installées dans sa voiture. Moi devant. Agnès derrière moi. Il nous scrute avant de démarrer. Moi il sait. Mais envie de vérifier à nouveau. Coup d’œil sur mon entre jambes que j’ouvre très grand sur le siège. Minou ouvert ! On ne me voit pas d’ici. Agnès a une jupette un peu plus longue mais à peine. Un petit haut court et moulant qui dessine ses seins et on voit très nettement ses tétons pointer. Il se tourne et la scrute aussi. Plus trop timide. Là, il découvre que ma belle est tout aussi peu couverte que moi, et tout aussi lisse, et tout aussi rose. Il laisse un moment ses yeux branchés sur le sexe offert d’Agnès. Soufflé qu’il est le tonton ! Il me regarde et comme je me marre un peu il comprend que ma belle a suivi mes consignes. Elle a décidé de jouer aussi avec lui. Il va sortir en ville avec 2 gamines en tenue hyper sexys et 2 minous sublimes et accessibles ! Je ne vérifie pas, mais il doit bander comme tout à l’heure.
 -Ho les filles ! Vous êtes supers belles (sous entendu bandantes).
On va ainsi au pain et chercher des crèmes et produits. Il est resté derrière nous. Les yeux fixés sur nos fesses et en attente qu’un geste ou un coup de vent en dévoile plus que ca !
Il n’aurait jamais pu rêver d’une journée aussi… Lui avec les reines de la ville ! Tout le monde les regarde mais elles sont avec lui. Et elle, la ! Elle était dans ses bras il y a 2 heures ! Oui ! Elle ! On le prend chacune par un bras, ce qui du coup lui fait ressentir mon sein gauche et le sein droit d’Agnès. Il est sur un nuage. Je revois des bateaux et des regards encore. La petite chaleur intime ne me quitte pas. On a fait quelques vitrines ainsi, avec un zombie entre nous.  
 On rentre en roulant très doucement. Au bout de la rue avant d’arriver il a osé poser sa main entre mes jambes en regardant dans le même temps Agnès, non pas dans les yeux, mais en haut de ses cuisses à elle. Et elle, elle ouvre en grand ses jambes, ce qui écarte au mieux son sexe, avec un sourire pour lui faire comprendre qu’elle joue aussi maintenant. On a du touché 2 fois le trottoir sur les 20 derniers mètres. Une fois stationné, il regarde à nouveau Agnès, passe encore sa main entre mes jambes, et moi, je pose ma main sur son short pour prendre son sexe bien dur a travers le tissus. Il bande encore plus que cet après midi ! Il nous regarde descendre de sa voiture. On rentre chez nous et lui chez lui.
 Le soir, apéro, suivi du poisson au feu de Tonton. Soirée spéciale pour lui. On fait un peu nos belles en jouant de notre effet sur lui. On « virevolte » comme dis papa comme des papillons. Décidées à faire nos fofolles. Il nous regarde avec un sourire béat. Même que sa femme lui donne des coups de coudes quand il est plongé dans mon décolleté et qu’il répond à coté des questions qu’on lui pose. Ailleurs qu’il est. Je sais où moi !
 Il mate les 2 filles qui sont en face de lui à table. Si possible, elles ouvrent leurs jambes, selon la présence ou pas du reste de la troupe. Il a croisé Agnès en débarrassant dans la cuisine. Elle s’est collée sur son sexe en se penchant pour ranger dans le frigo. Elle a senti son engin dur se caler entre ses fesses. Ils sont ressortis et il a oublié de poser ce avec quoi il était parti.
 -T’as pas ta tête Tonton ?
 -Ha zut quel idiot ! Le soleil ! Je perds la boule !
Il retourne avec un clin d’œil poser ses assiettes sales.
Quelle journée ! Quelle journée !
 On est allé faire un tour en ville toutes les deux, et quand on est rentrées, il était sur sa terrasse avec sa femme. Mes parents étaient partis aussi se balader. On est allé leur faire un petit bisou. Il nous a sorti un clin d’œil à chacune et un regard qui disait : vous êtes extras les filles ! Je vous…
 -A demain Tonton !
 On est rentré, on s’est douché, et vite au lit pour les détails de ma journée en faisant l’amour a ma belle. Contente aussi la Julia ! Pas sur un nuage, mais sur un bateau…
 A demain.
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entrelesdraps · 7 years ago
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Neko et Salvia (2)
[12-15 février]
- On prend les mêmes et on recommence, en mieux -
On va tenter de jeter en vrac tout ce qui me vient, parce que je n’ai pas envie d’être trop linéaire. Neko est passée me récupérer le lundi à l’aéroport à mon retour de la Narbonnaise. J’ai pigé plutôt vite que ça allait être émotionnellement intense, parce que rien que le fait qu’on m’attende à l’aéroport ça m’a collée sur un nuage. Salvia nous a rejointes le mercredi, pour ne rester qu’une nuit au Bout du Monde donc.
Et c’étaient effectivement des jours intenses. On avait réussi à se voir avec Neko, une fois à Rain-City, une fois chez ses parents, mais la saison a été dure pour nous deux, et l’ambiance était plutôt à la causerie qu’à la câlinade, au thé sous pilou qu’aux grands élans. Je savais, après novembre, qu’il y avait du taff, parce qu’une intimité, ça se créé pas en claquant des doigts, surtout à distance. Mais là c’était parfait. J’ai sorti la tête de mon marasme hivernal, Neko a trouvé des réponses à ses questions, cela nous a donc laissé la place pour les trucs plus amusants.
 “Du coup Salvia, il me demandait s'il pourrait te faire des bisous quand il serait là, tu en dis quoi ?” J’en dis que c’est toujours oui pour les bisous. Salvia je l’ai pas revu depuis novembre, mais y’a pas que des bisous que j’ai envie de lui faire. Le temps d’infuser un thé, Neko me couvre de propositions salaces et de câlins, et c’est grosso-modo le mood des deux jours que nous passons ensemble. On renoue une complicité, c’est très doux, et je commence à laisser tomber les barrières que je gardais par réflexe pour juste savourer le bonheur d’avoir du temps avec mon amoureuse.
Et j’arrive à dire je t’aime sans appréhension, enfin.
Quand Salvia arrive, c’est le feu d’artifice à tous les étages de ma personne. Entendons-nous bien, ce n’est pas juste lui, c’est l’amplification des courants qui passent qui me mettent dans cet état (un jour, si je n’ai pas trop peur de me trouver ridicule, j’écrirai sur ce que l’hypersensibilité peut faire en la matière). Neko est aux anges d’avoir ses deux amoureux auprès d’elle, les deux amoureux sont bien contents qu’elle soit contente, on est bien contents de se retrouver avec Salvia aussi, pour moi c’est un raz-de-marée d’émotions très positives. Encore cette histoire de barrières : je décide de me laisser emporter plutôt que de me planquer pour me protéger - parce qu’au fond de moi, j’ai confiance. Et tout naturellement, ça colle également physiquement. On se câline, on se cherche, on se rappelle qu'une pote de Salvia vient prendre le thé et qu’il serait bon qu’elle nous trouve habillé-e-s. On fait des projets pour après (qui a envie de mettre quoi dans quelle partie de qui, ce genre de choses), ça ne calme personne - puis nous sommes enfin seul-e-s, avec la soirée et la nuit devant nous. De mon côté, je prends un peu de mon attention pour établir le lien, trouver sa place à Salvia dans ma tête et sous mes doigts. C’est assez simple finalement, une fois que j’ai trouvé le courage de lui dire qu’il me plaît et que j’apprends que c’est réciproque (ce qui me touche énormément). 
La soirée, donc, est très douce et très planante. Neko m’attache (il faudra aussi que je parle plus avant du shibari un de ces quatre, mais pas maintenant) pendant que Salvia finit quelques dessins, puis vient observer, fait quelques photos, m’aide à boire quand je n’ai plus l’usage de mes mains, papote avec Neko. Toutes les guirlandes du salon son allumées, la lumière est chaude, l’intégrale d’Irfan joue en boucle, c’est un moment tout à fait précieux, profond sans être solennel.
Deux heures après avoir été détachée, je suis encore perchée sur mon petit nuage, tout juste fonctionnelle pour participer à la préparation du dîner. Un état de douce euphorie (avec des mots qui se mélangent dans les phrases et des papillons dans le ventre), qui ne m’a pas quittée jusqu’à leur départ le lendemain. 
C’est tout aussi précieux quand nous faisons l’amour. Contrairement au côté impromptu du mois de novembre, c’est quelque chose qu’on a tous anticipé depuis l’après-midi, le désir a eu le temps de s’installer. Et il y a plus de temps, moins de fatigue. C’est à la fois très bon et très marrant, et puis très intense et très tendre. 
Bref, j’ai passé trois jours plutôt parfaits, à me demander où mettre ce surplus de bonheur et de bien-être qui débordait de partout tellement j’avais plus la place à l’intérieur (ce n’est pas sale). Du coup, et dieux merci je l’avais vu venir, leur départ en début d’aprem’ a été assez difficile pour moi. Aucune envie que ça s’arrête, l’appart vide d’un coup, rien de dramatique mais rien de facile. Je me suis rappelée que tomber les barrières, ça peut rendre un peu vulnérable. Je m’en suis juste ouverte à Neko, et j’ai réussi à exprimer mon besoin d'être couverte de bisous avant d’être seule, pour apaiser ma tristesse. La bienveillance avec laquelle mes émotions ont été reçues... je ne l’avais plus vue, en amour, depuis bien trop longtemps. 
Je ne sais pas si ça a l’air de rien ou pas vu de l’extérieur, mais de mon point de vue c’est énorme, d’avoir de nouveau cette confiance dans une relation. Encore plus dans une relation impliquant trois personnes. Il y a bien sûr une part de peur aussi, il y en a souvent quand les choses semblent tomber parfaitement juste et qu’on craint que ça s’écroule.
Neko en éprouve également, probablement même plus que moi. Elle et Salvia on dû régler pas mal de choses entre eux ces derniers mois, pour finalement décider qu’ils voulaient être ensemble, et elle va donc s’installer chez les Namnètes. Dans sa constellation, il y a donc moi, son amoureuse au Bout du Monde, Salvia, son amoureux, et un amant qu’elle a à Paris. Et c’est assez nouveau pour moi en la matière : je sens que notre relation, et celle qu’elle a avec Salvia sont sur un pied d’égalité. Cela n’est pas forcément une chose à laquelle je m’attendais, mais cela me fait beaucoup de bien. Alors bien sûr, pour Neko le fait d’avoir deux amoureux, qu’ils se plaisent entre eux, et le fait que ce soit si fort et un peu fou quand on se retrouve tous les trois, c’est tellement chouette, c’est tellement de gratitude envers la vie, que ça file les jetons à l’idée que ça foire à un moment. C’est humain je pense. Je pense aussi que c’est tout récent pour chacun-e, et que ça demande un peu de temps pour décanter les choses et leur faire confiance.  
Mais oui, j’éprouve beaucoup de gratitude face à ces relations. C’est une jolie chance que se retrouver comme ça, et que ça marche. Neko, elle a plutôt envie de prendre le temps de se poser dans sa relation avec Salvia et avec moi, pas trop de papillonner. Ça me va, et je suis même très heureuse pour elle et Salvia. Moi, j’ai envie de continuer à construire avec elle ce qui semblera bien, et je suis curieuse de voir comment cela peut évoluer avec Salvia (entre lui et moi et entre nous trois). Et j’ai aussi envie de continuer à faire mon petit n’importe quoi habituel (allumer les copines, rouler des pelles, inviter des jolies personnes dans mon lit, la routine tavu). Et évidemment, les relations qui préexistent à tout ça, je souhaite qu’elles continuent et évoluent aussi. Tout ceci est ok pour Neko, sans condition autre que d’être safe dans les pratiques. Et j’ai rarement éprouvé autant de sérénité dans une relation non exclusive.
Tout cela me rend très heureuse, quoiqu’il en soit. Et c’est bien tout ce qui compte.
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couplesbeyondborders · 7 years ago
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Lindsey + Thomas
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Lindsey Pays: États-Unis Thomas Pays: France
Lindsey et Thomas se sont rencontrés à Lyon lors d’un repas de Thanksgiving en 2010 organisé par le Centre Oregon, organisme d’échanges entre les facultés de Lyon et celles de l’état d’Oregon. « On était dans le même cercle amical et on a commencé à se fréquenter en janvier 2011 », raconte Thomas. Lors d’une soirée avec leurs amis, une copine de Lindsey s’était égarée. Elle décida alors d’aller à sa recherche et demanda à Thomas de l’accompagner car étant lyonnais il connaissait bien ce quartier. « C’était la première fois qu’on était seuls. Je ne pensais pas du tout à lui comme ça parce que j’étais une jeune américaine arrivant en France et que j’avais déjà vécu des histoires avec des français qui ne s’étaient pas très bien passées. Du coup, je n’étais pas du tout dans cet esprit là… Mais je portais des talons dans le Vieux Lyon et c’était un peu difficile pour marcher. Thomas m’a alors demandé s’il pouvait m’aider et là je me suis dit qu’il était assez mignon en fait », explique Lindsey.
Lorsqu’ils se sont vus après cette soirée, Thomas ayant vécu aux Etats-Unis et donc connaissant le principe du dating, il prit les devants et confirma à Lindsey qu’ils étaient bien ensemble. Lindsey était rassurée car aux Etats-Unis, il faut parfois attendre plusieurs mois pour dire que deux personnes sont en couple.
Cependant, au mois de juin ils décidèrent de mettre un terme à leur histoire car après dix mois passés à Lyon pour apprendre la langue française, Lindsey devait repartir chez elle, dans l’Oregon. « On ne savait pas si on allait se retrouver donc on s’est séparés ce qui n’était pas très drôle. On est quand même restés en contact et elle a postulé pour être assistante d’anglais dans les écoles de l’académie lyonnaise. Quand elle m’a dit ça, sachant qu’elle pouvait être un peu partout dans Lyon, je lui ai dit « ok c’est cool mais ça ne veut pas dire qu’on va pouvoir se revoir. » » Sa réaction a destabilisé Lindsey car elle allait être au plus loin à 15 km de lui contrairement aux milliers de kilomètres qui les séparaient à ce moment là.
Finalement, un peu plus d’un an après leur séparation, Lindsey a été prise dans une école située dans Lyon même et arriva sur le sol français. Thomas est allé la chercher à l’aéroport et depuis ils ne se sont plus jamais quittés et se sont pacsés en février 2015.
« Ça fait deux ans qu’on habite ensemble et je ne me sens pas dépaysée par Thomas parce qu’il est assez américain, il a vécu là-bas et il a déjà eu une copine américaine. Mais si j’habitais avec une française ou un français qui ne connaissait pas les Etats-Unis, elle ou il trouverait peut-être bizarre la façon dont laquelle je m’habille, je fais du sport, ou la façon dont laquelle je cuisine. Comme beaucoup d’américains, je mets souvent de la cannelle dans mes plats mais Thomas n’aime pas beaucoup », confie Lindsey.
Thomas continue, « c’est comme si qu’on avait créé notre culture tierce. On se parle beaucoup, on ne s’engueule pas trop. Parfois il y a des choses qui sont « lost in translation » dans ce qu’on dit parce qu’on se parle en français, en anglais, en « franglish », on fait des mélanges. La façon de s’exprimer dans une langue ou dans l’autre n’est pas forcément la même donc il faut faire attention à ce critère parce que parfois ça mine un peu. Il faut s’assurer que j’ai bien dit ce que je voulais dire en anglais ou que Lindsey ait bien compris ce que j’ai dit en français. Déjà dans un couple unilingue c’est compliqué alors dans un couple où il y a la barrière de la langue… »
Malgré la complexité à communiquer, la culture de l’autre leur a apporté beaucoup et les a aussi changés. « Je pense que la culture française a fait en sorte que je sois beaucoup moins un « doormat »*. Nous, les américains on dit beaucoup pardon. Surtout les femmes je trouve. On essaye de faire en sorte que tout le monde soit content, que personne ne soit fâchée, et je trouve que les français sont plus résilients. Je m’affirme plus qu’avant, je dis moins pardon, et je pense que c’est une bonne chose. C’est ce que je préfère dans la culture française. Ça a changé ma personnalité un peu mais pour « the better ».»
Quant à Thomas, il a le sentiment, de par son expérience aux Etats-Unis, que « les gens qui sont talentueux ou qui ont des bonnes initiatives au bon moment, sont valorisés et récompensés là-bas.» Cette perspective américaine a changé son comportement dans le monde de l’entreprise et a fait naître en lui une certaine ambition où l’on peut casser les codes hiérarchiques. « À Lyon, je travaille chez Euronews où avant j’étais juste journaliste et un jour j’ai proposé un projet à mon chef et il a dit « ok ». À partir de ce moment là, j’ai eu des responsabilités ; alors qu’il y a des gens qui sont là depuis 20 ans et qui sont toujours au même niveau. Peut-être qu’ils sont très contents dans ce qu’ils font…Et moi maintenant j’ai plus de travail, c’est un peu plus galère, je rentre tard, mais je n’attends pas de passer un niveau parce que ça fait cinq ans que je suis là. On se crée un peu sa chance aussi. »
Lindsey et Thomas continuent à parler de la culture américaine et de son puritanisme entre autre. « Je pense qu’on a toujours une culture très puritaine aux Etats-Unis. J’ai été élevée en tant que mormon, c’est pour ça que j’ai sept frères et sœurs », raconte Lindsey. « Du coup, lors de mes premiers rapports sexuels, je culpabilisais beaucoup comme si que j’avais fait quelque chose de vraiment mal. Ce n’était plus le cas avec Thomas, j’avais dépassé ça, mais c’est un peu bizarre aux Etats-Unis avec le « hookup culture »**. Il y a un aspect de contre culture où les gens disent « soit vous êtes puritains et vous gardez votre virginité jusqu’au mariage, soit vous avez des hookups tous les weekends ». Pour moi c’est mieux en France, c’est plus sain. Si vous avez envie vous le faites, si vous avez envie de le faire avec une personne différente toutes les semaines tant pis ou tant mieux pour vous, ou si vous voulez rester avec une personne ou vous ne voulez jamais avoir de rapports sexuels c’est personnel. Les gens ne vont pas vous dire il faut faire comme ci, il faut faire comme ça. »
Thomas rejoint les propos de Lindsey, « il y a sans doute, dans mon expérience, moins d’impact de la religion dans les relations amoureuses, sexuelles en France. Je trouve que c’est un peu plus libre en France et à la fois, mais ça c’est juste moi, les sentiments restent très importants. C’est marrant cette idée aussi que se font les américains des français : on a cinq maîtresses, on fait des ménages à trois, etc. C’est peut-être vrai à Paris ou dans les films français qui sont exportés aux Etats-Unis, mais ce n’est pas l’image que j’ai de la sexualité en France. »  
Thomas se souvient que les histoires telles que celles de DSK n’ont pas forcément aidé les américains à changer l’idée qu’ils avaient des français. Cependant, il a été surpris que Trump ait été élu Président des Etats-Unis malgré ces deux divorces. « S’il a été élu c’est que les gens pour qui les valeurs sont importantes préfèrent une personne divorcée à Clinton. Les mentalités changent. » Lindsey n’est pas surprise car selon les américains, il suffit que le Président soit marié pour qu’il soit éligible et cette idée découle de leur puritanisme.
Notre conversation touche à sa fin, il est bientôt 13h, et il est impossible de ne pas parler des spécialités culinaires françaises et américaines.
Thomas raconte qu’il aime beaucoup la nourriture américaine, « je ne suis pas dans le cliché où la nourriture américaine est dégueulasse, au contraire. » Il avoue qu’il aimerait s’y connaître plus dans les barbecues américains, « on m’a d’ailleurs offert il y a quelques années un slow cooker où je peux faire du porc effiloché, donc ça c’est pas mal. »
Lindsey aime beaucoup les plats français mais elle a une préférence pour la tartiflette et les spécialités lyonnaises, notamment le saucisson brioché. Outre ses spécialités culinaires, elle adore la proximité qu’offre Lyon. « On est un peu au centre de la France, pour aller à Paris ou dans le sud il faut compter deux heures. » Elle apprécie aussi de pouvoir voyager facilement à travers l’Europe et adore la Méditerranée et les calanques.
De son côté, Thomas adore les grands espaces américains.  « Il y a le fleuve Columbia qui fait une frontière naturelle entre l’état de Washington et celui de l’Oregon. En arrière plan il y a la chaîne des cascades et d’un côté il y a le Mont Saint Helens couvert de neige. C’est spectaculaire. »
* Une carpette ** La culture d’un coup d���un soir
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teamhomolistes-blog · 7 years ago
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Le polyamour
Bonjour, bonsoir tout le monde !
Ah, le polyamour.. Je sens que je vais encore me faire taper sur les doigts vu que ce sujet avait provoqué un tremblement de terre de magnitude 8 la dernière fois. Mais ne vous en faites pas, je me suis enfermée dans un bunker avec des chips et un gilet pare-balles, je suis prête !
Le polyamour, il y a tellement de versions différentes que j'ai reçu plein de témoignages. Ça me va parfaitement, j'ai plein de choses à vous raconter ! Et vous allez me dire "mais on fait comment si on est pas tous d'accord" ? Et bah, on choisit la version qu'on préfère ! Je vous donnerais aussi MA vision, c'est pas la vérité c'est juste comment je le vois.
Le polyamour a émergé dans les années 1920, sous le nom d'amour-camaraderie, dans les milieux plutôt anarchistes. Ils l'ont défini avec trois choses : l'égalité entre les partenaires (donc pas comme la polygamie, le mari a plusieurs femmes mais les femmes n'ont qu'un mari ou vice versa pour la polygynie), pas de possessivité (appelé le respect des droits individuels des membres du couple) et bien entendu le souci du bien-être de l'autre qui passe avant tout.
Alors.. mon plus vieil exemple, c'est Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre, en 1929. Ce dernier a proposé à sa compagne un pacte de poly-fidélité : plusieurs relations, mais la leur reste la principale. Je peux vous dire que ça a fait beaucoup de bruit ! Il a déclaré lui même qu'ils "ont réinventé le couple".
En 1960, on voit le terme "polyamory" aux Etats-Unis dans un roman appelé "En terre étrangère", mais il n'est réellement utilisé qu'en 1990. Pendant les années 2000, il perce à travers des livres et surtout grâce à Internet. On lui préfère maintenant le mot pluriamour, par souci étymologique.
Même maintenant, le polyamour est extrêmement critiqué, que ce soit par les LGBT+ comme par les hétéros cis qui ne se revendiquent pas de la cause (oh oui frappez moi pour cette phrase, j'aime ça). Parce que, soyons réalistes, c'est très difficile pour ceux qui ne le sont pas de penser que c'est mieux que leur compagnon ou leur compagne soit heureux/se dans les bras d'un autre. Mais il y a une grosse différence entre ne pas pouvoir accepter que son conjoint le soit parce que la jalousie sera trop forte, et ne pas l'accepter parce que "c'est impossible d'aimer plusieurs personnes en même temps". C'est tout à fait possible.
Place à la parole des polyamoureux eux-mêmes ! Et croyez moi, personne n'a la même vision.
1) C'est accepter la possibilité d'être en couple avec plusieurs personnes ou de Désirer plusieurs personne.
2) Je sais que je peux être attiré énormément par plusieurs personnes sans avoir de préférence dans le sens ou je peux en "draguer'', mais je vois mal quelqu'un éprouver de l'amour pour plusieurs personnes sans préférences
3) Pour moi, le polyamour, c'est pouvoir aimer plusieurs personnes à la fois. Pour des personnes, il peut avoir des préférences pour une des personnes aimées, ou tout simplement pas.
Moi) Le polyamour, c'est la capacité d'aimer plusieurs personnes à la fois ou d'entretenir des relations avec plusieurs personnes à la fois, qu'on soit hétéro, homo ou quoi que ce soit d'autre. Ce n'est ni de l'infidélité ni de l'échangisme, tous les partenaires sont consentants même s'il peut n'y avoir qu'une personne polyamoureuse dans le lot, ça n'est pas fait derrière le dos de quelqu'un, et ça n'est pas juste pour un coup d'un soir.
Le polyamour est une relation normale à plusieurs, comme un couple  mais pas limité à deux personnes. Soit c'est un couple à trois ou plus  donc avec une notion de fidélité quand même, soit chaque personne est  libre d'aimer et d'avoir des relations sexuelles avec qui elle veut,  mais n'oubliez pas que dans le dos de quelqu'un, ça reste de  l'infidélité.
Il existe deux valeurs spécifiques au polyamour : la fidélité, qui  est tout simplement la capacité à être honnête et attentionné, et la  compersion, qui est le fait de se réjouir du bonheur de son partenaire  s'il a passé du temps avec quelqu'un d'autre.
Attention, les soi-disant hommes polyamoureux qui en fait veulent  juste collectionner des femmes sont des polyfakes ! (Et oui, ça marche  dans l'autre sens aussi.) C'est une excuse, rien de plus.
Il n'y a pas grand chose à dire dessus, c'est assez simple à expliquer ! J'ai tout de même des questions à vous poser..
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1) J'ai déjà Désirer plusieurs personne, mais je suis jamais tombée amoureuse de plusieurs personnes. :)
2) Je vois mal quelqu'un éprouver de l'amour pour plusieurs personnes sans préférences
3) Oui, c'est d'ailleurs pour cela que je me dis être polyamoureuse.
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1) Je n'ai même pas encore réussi à dire "officiellement" à mes parents que j'étais bi, de plus je pense que je n'en parlerai pas à moins que je tombe vraiment amoureuse. Ça ne concerne que moi, même mes parents sont très tolérant et que nous somme très proche, je préfère séparé ma vie romantique et ma vie familiale un minimum. Pour mes amis, ils savent que je suis bi et pour le polyamour... J'en ai jamais parler mais je n'ai aucune honte d'en parler.
2) Pas à ma famille car je n'en vois pas l'intérêt. Et mes amies l'ont plus ou moins deviné XD ils avaient prédit bi donc ils s'en foutait un peu. Mais pas tout le monde est au courant car je suis dans un lycée privé assez catho.
3) Je l'ai juste dit aux personnes que j'aimais pendant ces moments-là et qui m'aimaient aussi. J'ai eu de la part d'une personne plutôt de la colère. Nous étions dans une phase assez compliqué, aussi. Et c'était surtout un truc du genre "Si tu aime quelqu'un d'autre, c'est que tu ne m'aime plus", ce qui était totalement faux et ça me rendait assez mal.
Moi) Je ne suis pas polyamoureuse alors là ce sera juste un conseil. Si vous vous rendez compte que vous l'êtes, n'oubliez jamais d'en discuter avec la personne qui partage votre vie. Ne soyez pas malheureux juste pour ça, il vaut peut être mieux une rupture qu'une relation nuisible. Votre entourage c'est autre chose, personne n'est obligé de le savoir, mais si vous pensez présenter plusieurs personnes en même temps à vos parents.. c'est peut être légèrement mieux de leur dire, ou de le dire à vos amis pour ne pas qu'on vous traite de pute ou autre infidèle.
Et voilà, vous avez désormais la vision de personnes polyamoureuses, et la mienne pour le côté chiant, ainsi que plein d'informations inutiles, alors.. Place aux débats ! Je sais, c'était court, mais.. Pas grand chose à dire, tant que vous avez compris ça.
- Pourriez-vous accepter que votre partenaire soie polyamoureux ?
Je tiens à le dire : Ne pas l'accepter, ce n'est pas forcément être égoïste ou homophobe, il y a des gens qui ne peuvent pas le supporter parce qu'ils sont jaloux, et j'en fais partie, pourtant me dire que je suis homophobe vous vaudrait un coquard et deux plâtres. J'aurais du mal avec ça, et vous ?
- L'êtes-vous ? Si oui, pouvez-vous répondre aux questions du dessus ?
Si ça vous tente, hein ! Ça aiderait des gens à comprendre.
- Avez-vous envie d'emplâtrer les gens qui disent qu'on ne peut pas aimer plusieurs personnes à la fois sans les aimer moins ?
Parce que moi oui.
La personne 1 a un petit message à vous faire passer, un message de paix et de tolérance pour tous ceux qui ne sont pas polyamoureux ! Alors le voilà, il est très beau et je suis d'accord avec elle même sans l'être moi même donc je vous le mets.
"Je vous demande une chose, si votre copain/copine vous dit qu'il vous aime vous mais qu'il aime aussi une autre personne... Ne l'obligez pas à choisir. Ne le menacer pas. Essayez d'en parler avec lui, de comprendre qu'on ne choisi pas ses sentiments et que c'est encore plus dur pour lui que pour vous. Pensez bien qu'il/elle se demandera toujours si il/elle est normal ou sain(e) et que les insultes sont très violentes: Nympho, Pute, Salope, et tout un tas de chose du genre."
Parce que même pour beaucoup de LGBT+, le polyamour c'est dur à comprendre et pour certains à accepter. Et je ne vais pas vous donner de leçons parce que je reconnais que ce serait très dur pour moi voir impossible, pas que je juge ça mal ou autre ne me frappez pas, bien au contraire, mais je sais que j'aurais du mal à "partager".
Merci à tous d'avoir lu, j'espère que certains comprennent mieux et je vous dit à bientôt !
Ah au fait.. On a une petite idée d'article, sur la manière de qualifier les personnes non-binaires (parce qu'après c'est les gens qui me donnent des cours dans les commentaires donc ça va pas). Mais si vous en avez d'autres à proposer, hésitez pas.
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