#il tranfert
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«Nella mano che si tende verso il frutto, verso la rosa, verso il ceppo che all’improvviso s’infiamma, ebbene, il gesto di tendersi, di attirare, di attizzare è strettamente solidale con la maturazione del frutto, con la bellezza del fiore, con la vampata del ceppo. Ma quando, nel movimento di tendersi, di attirare, di attizzare, la mano è ancora lontana dall’oggetto, se dal frutto, dal fiore o dal ceppo esce una mano che si tende incontro alla vostra, e se in quel momento la vostra mano si fissa nella pienezza chiusa del frutto o in quella aperta del fiore o nell’esplosione di una mano che brucia, ecco allora che si produce l’amore».
(Jacques Lacan, Il seminario. Libro VIII, Il transfert 1960-1961, Einaudi, Torino, 1991, p. 59).
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Kylian Mbappé a Signé pour le Real Madrid : Finances, Conditions, etc. Tout ce qu'il faut Savoir sur Ce Tranfert
Le feuilleton Mbappé a pris une tournure définitive ce lundi, confirmant ce qui n’était plus qu’un secret de polichinelle : la star française rejoindra officiellement les rangs du Real Madrid à partir du 1er juillet. Les détails de cette transition majeure ont été révélés par le prestigieux journal espagnol Marca. Le processus s’est enclenché il y a deux semaines, lorsque l’international…
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Incroyable : Chelsea veut se servir de Strasbourg pour contourner la règlementation !
Dans les coulisses agitées du mercato estival, l'homme d'affaires américain Todd Boelhy est en train de manœuvrer dans l'ombre pour réaliser un coup de maître qui pourrait bouleverser le paysage du football européen. Son objectif : amener Arsen Zakharyan, la pépite du Dynamo Moscou, à Chelsea. Mais, les sanctions et restrictions imposées aux oligarques russes ont compliqué cette transaction de grande envergure. Chelsea et l'intérêt pour Arsen Zakharyan Depuis plusieurs semaines, les rumeurs circulent sur l'intérêt de Chelsea pour Arsen Zakharyan, jeune talent évoluant au Dynamo Moscou. Le milieu de terrain offensif de 20 ans a attiré l'attention des plus grands clubs européens par ses performances impressionnantes. Chelsea ne fait pas exception à la règle. Les sanctions et les restrictions imposées aux oligarques russes ont considérablement compliqué le transfert de Zakharyan vers le club londonien. Le gouvernement britannique a suspendu la plupart des transactions entre Moscou et le Royaume-Uni, créant ainsi des obstacles financiers majeurs. Voir aussi : - Pochettino décide de faire le grand ménage à Chelsea ! Le plan de Todd Boelhy Depuis, Roman Abramovitch a cédé la propriété de Chelsea au pavillon américain, dirigé par Todd Boelhy. Face à cette situation délicate, Boelhy, personnage clé de cette saga, a un plan audacieux pour faciliter le transfert de Zakharyan vers Chelsea. Il compte se servir du Racing Club de Strasbourg, club de Ligue 1 française, pour réaliser son coup de maître. Contrairement au gouvernement britannique, les autorités françaises n'ont pas les mêmes restrictions dans les transactions avec la Russie. Cette manœuvre stratégique pourrait bien ouvrir de nouvelles portes pour l'arrivée de Zakharyan à Stamford Bridge. Ce qui lui permet de contourner les restrictions du gouvernement britannique. Lire ensuite : - Chelsea cible 2 gardiens de haut niveau Le rôle de Strasbourg dans le tranfert de Zakharyan La stratégie de Boelhy consiste à acheter Arsen Zakharyan pour le Racing Club de Strasbourg, puis à le prêter à Chelsea. Cette astuce lui permettrait de contourner les obstacles financiers et politiques qui entravent actuellement le transfert du jeune joueur russe vers l'Angleterre. Une fois à Strasbourg, Zakharyan pourrait continuer à se développer et gagner en expérience avant de rejoindre Chelsea. Ses talents de négociateur et sa capacité à trouver des solutions créatives ont valu une réputation enviable à Todd Boelhy. Avec son coup de massue imminent à la FA et au gouvernement britannique, Boelhy est prêt à redéfinir les règles du jeu dans l'univers du mercato. ________ Pour retrouver toute l'actu foot, rendez-vous sur notre site web ou sur notre page Twitter. Read the full article
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Samedi 25 avril 2020
A qui réserver l'espace public, aux personnes ou au virus ?
Par Gérard Slama
Posée comme cela la réponse à la question semble évidente : aux personnes, bien sûr! Mais ce n'est pas ce qui a été choisi, faute de moyens peut être . En effet la première mesure qui s'imposait était la fermeture des frontières aux avions venant d'Asie et particulièrement de Chine. Cela n'aurait été ni une mesure discriminatoire ni raciste ni nationaliste mais un simple devoir des pouvoirs publics de protéger les habitants et le territoire ; la mesure aurait, bien entendu été transitoire. Rendons hommage à Mme Buzyn d'avoir très tôt tiré la sonnette d'alarme plutôt que lui faire je ne sais quel procès...
Fermer les frontières aux rassemblements de masse pour de futiles match de football italo-lyonnais (en pleine crise sanitaire ), ou pire, de congrégations sectaires internationales. (Bien sûr on ne ferme pas les frontières à un virus, mais on peut les fermer aux personnes porteuses du-dit virus). D'où la nécessité où nous étions alors, et sommes toujours confrontés, de tester toute personne venant sur le territoire au moins dans les aéroports où il n'est fait aucune vérification, pas même de la température. Cela n'a pas été fait : soit! Faut il continuer à observer ce laisser-passer sans mesures conservatoires ? Non, bien sûr. Alors compte tenu que le virus était bien là et bien là dans notre pays, le choix logique aurait été de confiner le virus, c'est à dire les personnes porteuses et en incubation probable par contact direct par une mise en " quarantaine " écourtée jusqu'à guérison ou preuve de non contagiosité, et laisser l'espace public aux personnes saines ou supposées telles, aux personnes qui travaillent, qui étudient ou ne travaillent plus. Cette stratégie imposait qu'on ait un large accès au dépistage des personnes suspectes (et non comme cela a été fait à beaucoup de personnes totalement asymptomatiques ; ce qui était peu rentable) : encore eût il fallu que l'on achète dès le mois de janvier les kits de PCR pour détecter le virus, comme l'ont fait les allemands. Deuxième versant de cette stratégie: il fallait imposer par la loi le port d'un masque en permanence dans l'espace public ; y compris sur les lieux de travail. C'est une position inverse qui a été prônée à savoir le dénigrement de l'efficacité des masques à protéger le porteur et les autres. Il y a là une forme de scandale d'Etat qui devra bien, à un moment ou un autre défendre la position qu'il a prise. Il convenait simultanément d'expliquer sans relâche au public la nécessité d'une hygiène des mains par le gel hydroalcoolique à l'extérieur et le savon à l'intérieur en expliquant l'inutilité des gants qu'ils soient de caoutchouc ou de cuir, car porter sa main au visage est le geste contaminant, qu'elle soit nue ou gantée. Malheureusement il n'y avait ni masques, ni alcool (dans le premier pays producteur de vins et spiritueux du monde). Alors on a pris la stratégie que Gribouille aurait choisie : confiner les gens sains et laisser l'espace public au virus ! Cette stratégie avait comme objectif de protéger d'un engorgement fatal les services de réanimation : en ce sens le but à été atteint au prix de tranferts acrobatiques dans d'autres régions voire à l'étranger. Ce faisant on ne fait que repousser sans le traiter le problème. Le virus nous attend patiemment au coin de la rue dès que nous ressortirons. Se reposera la question de la disponibilité pour tous des gels alcooliques (c'est maintenant le cas, en payant ) et des masques : on nous les promet pour juin, mais peut être observera-t-on des retards de livraison ? Avec la réserve que "pour nos ainés" (la belle périphrase) dont je suis, on demandera un peu plus de patience, peut être jusqu' en 2021 où ils auront peut être un ticket prioritaire ? S'ils sont toujours vivants et non déments.A moins que le Professeur Raoult ait raison et que ce virus se révèle être un virus saisonnier qui disparaîtra après le printemps. En d'autres termes, remettons nous entre les mains de la Providence. Pourquoi ne pas avoir recours comme au moyen-âge à des processions ou à l'allumage de cierges ; mais les lieux de culte sont fermés !
G.S.
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Buongiorno Cartofolo, da ragazza ho subito una violenza sessuale dal mio primo ragazzo che era il mio primo grande amore, ho passato negli anni varie fasi al riguardo, negazione dell'accaduto, rancore, perdono, ancora rancore... la cosa più strana è che nel tempo mi ha portato a dubitare di aver ricevuto violenze da mio padre da bambina che non sono mai e poi mai accadute. Come mai questo meccanismo psicologico bizzarro?
Non te lo so dire, Anon.E' normale che quello che hai passato, possa aver segnato la tua emotività.Forse ora hai dei risentimenti verso tuo padre e li scarichi con questa fantasia (un vero e proprio tranfert) che lo colpevolizza per cose che diversamente non sapresti imputargli.Ripensa al tuo rapporto filiale e vedi se ci sono cose nascoste che ti creano un conflitto con il tuo genitore.
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LA DIASPORA HAÏTIENNE DOIT ASSUMER SES RESPONSABILITÉS...
La diaspora haïtienne doit se s’organiser pour contribuer au développement de son pays.
L’élite intellectuelle et économique d’Haiti se trouve à l’étranger. La diaspora haïtienne est une source inépuisable pour les compatriotes vivant au pays. Elle intervient de manière systématique pour suppléer à l’absence des autorités publiques dans une communauté. C’est pour cette raison que je propose un modèle de gouvernance du territoire en alliant la société civile, les organisations internationales, les associations et les regroupements de citoyens, le mouvement paysan, les élus locaux et la diaspora pour fournir des services publics aux citoyens dans leur milieu de vie.
Dans cette approche de gouvernance multisecteurs, l’Etat ne sera pas la seule instance à prendre la décision qui concerne le bien-être de la population. Les autorités publiques auront à adopter des politiques qui tiennent compte des besoins en fonction des priorités et l’Etat jouera un rôle de coordination auprès des acteurs impliqués dans le développement des communautés.
C’est ce modèle de gouvernance que je préconise dans mes écrits universitaires pour faciliter le relèvement de notre nation meurtrie par des luttes intestines. Il n’est pas normal que le pays continue d’importer des produits pour un montant de 5 milliards de dollars en 2018. C’est inacceptable que notre cher Haïti exporte seulement pour 1,8 milliard de produits. Il faudra prendre des mesures pour empêcher l’importation des produits de luxe, contrer la contrebande et la corruption généralisée; encourager l’agriculture, inciter la consommation des produits locaux et promouvoir une économie solidaire. Par ailleurs, il est important d’éduquer la population en créant des écoles professionnelles dans les 10 départements afin de doter les 7 millions de jeunes en chômage un métier au lieu qu’ils se défoulent sur WhatsApp depuis le matin jusqu’au soir en pensant que l’Etat leur droit tout gratuitement. Ce que je constate, ils ne sont pas prêts à acquérir certaines expériences en faisant du bénévolat dans un domaine ni en participant et contribuant à quelque chose utile dans leur milieu de vie. Il faut changer cette mentalité de dépendance infinie chez nos jeunes haïtiens. Ils doivent assumer leurs responsabilités citoyennes.
Jean-Marie Mondésir
Juriste haïtien
Citoyen solidaire de Dumont
Http://Dumont.port-salut.org
Économie : les tranferts de la diaspora ont atteint la barre de 3,2 milliards de dollars en 2018 https://www.vantbefinfo.com/economie-les-tranferts-de-la-diaspora-ont-atteint-la-barre-de-32-milliards-de-dollars-en-2018/
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Facebook: caricare tutte le tue foto su Google Foto diventerà semplicissimo
#Facebook: caricare tutte le tue foto su #Google Foto diventerà semplicissimo
Facebook sta semplificando profondamente il trasferimento di dati con Apple, Twitter, Microsoft e Google. Le cinque aziende hanno firmato un accordo nel 2018 e hanno lanciato il progetto Data Tranfert . Una delle prime illustrazioni di questi sforzi sarà il trasferimento di foto tra Facebook e Google Foto. Quindi sarà presto possibile trasferire tutte le tue foto di Facebook dalla creazione…
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Défense de mourir !
Vous avez envie de mourir ? On devine la réponse. Même si la déprime le dispute aux idées noires, même si le mauvais sort s’acharne, vous êtes d’avis, tout bien réfléchi, que rien ne presse, qu’il n’y a pas le feu. Si malgré tout l’envie vous prenait de passer l’arme à gauche, un conseil : n’allez pas à Longyearbyen. C’est la capitale d’une île norvégienne située dans le cercle polaire. C’est même la ville la plus septentrionale de la planète. Elle se fait notamment remarquer par le fait que, même si l’on s’ennuie à mourir, la mort y est illégale. Interdiction stricte de rendre l’âme ou de trépasser.
Pour comprendre le pourquoi de cette rigueur, contactez le syndicat d’initiative. Il vous tiendra le discours suivant. « Vous avez l’intention de mourir un de ces jours ? Allez faire cela ailleurs, de préférence sur le continent. Chez nous le fossoyeur a du mal a creuser une tombe dans la terre gelée. En plus, étant donné le permafrost, les corps ensevelis restent à peu près intacts. Sur ceux qui sont morts de la grippe espagnole en 1917-1918, des biochimistes ont retrouvé récemment le fameux virus, lui aussi intact. Lequel pourrait faire de nouveaux ravages s’il venait à se libérer à la faveur d’un dégel, rare mais non exclu, surtout eu égard au réchauffement climatique. Si donc vous sentez un désir irrépressible de mourir, allez partout dans le vaste monde mais pas ici. » On comprend un peu la rigueur, à première vue excessive, de l’autorité communale : il s’agit d’une mesure de salubrité publique pour les quelque 2 200 habitants. Les édiles ne sont pas contre la mort, tant s’en faut, pourvu qu’elle ne produise pas de cadavre. C’est pourquoi aussi il n’y a pas d’objection à l’incinération et à ce qu’on conserve les cendres au cimetière, car la crémation à quelque 600 degrés s’avère d’une efficacité définitive pour tuer tout le vivant dans un « corps sans vie ». On comprend en même temps pourquoi la modeste ville congelée ne comporte pas d’hospice de vieillards, ni de centre de gériatrie, encore moins de « mouroir », où les apprentis morts pourrraient attendre des soins appropriés différant l’heure fatale. Quand la Faculté – ou le malade lui-même – estime que toute médication supplémentaire relèverait de l’acharnement thérapeutique, un tranfert est organisé vers le continent, où auront lieu l’enterrement ou la crémation. Alors que chez nous on appelle parfois l’enterrement et le cortège qui y est associé « le dernier voyage » du défunt, là-bas c’est le transfert vers le continent qui s’appelle ainsi, à cette différence près qu’il se pratique avant le décès. Cette mesure hygiénique, qui date de 1950, trahit donc bien une appréhension, non de la mort mais du cadavre. Elle entraîne aussi des conséquences pour l’organisation de la vie sociale, notamment de la justice pénale. Que faire, par exemple, en cas de meurtre ou d’assassinat, heureusement très rares ? Outre que la peine capitale n’a plus la force dissuasive de jadis, elle présenterait l’inconvénient d’ajouter un second cadavre au premier. C’est donc ce qu’on veut éviter à tout prix, surtout compte tenu de la loi norvégienne, qui prévoit 21 ans de réclusion comme peine maximale pour les crimes les plus graves. Or là aussi on peut organiser à la rigueur des transferts vers le continent, où les prisons modernes sont bien équipées pour mettre les criminels hors d’état de nuire. Reste le problème du suicide. Il est vrai qu’à de telles latitudes, où la lumière se fait crépusculaire ou nulle la moitié de l’année, où le soleil d’été n’arrive pas à dégeler la terre, où il n’est donc guère question de cultiver son jardin ou de cueillir des fleurs, la vie quotidienne n’est pas toujours d’une folle gaieté. On peut bien sûr aller à la pêche de l’omble arctique ou à la chasse de l’ours polaire, mais les jours sont courts et les années longues à cause de l’interminable hiver. (Longyearbyen se traduit d’ailleurs par « ville des longues années ».) Il n’est donc pas étonnant que certains veuillent abréger l’ennui des « jours sans fin » en mettant fin à leurs jours. Mais comment s’y prendre quand il est interdit de mourir ? De deux choses l’une, ou bien on réussit son suicide et il en résulte un cadavre, ou bien on se rate mais on a enfreint la loi, du moins dans l’intention. L’une et l’autre méritent sanction. C’est ce que pensent aussi les juges, qui mettent alors à contribution le suicidaire ou sa famille en leur imposant de lourdes peines financières. Au vu de mœurs aussi déconcertantes, en particulier celle de la mort interdite, on se demande si le patois de Longyearbyen n’aurait pas intérêt à développer une locution telle que « Allez vous faire pendre ailleurs ! » Ou bien si, dans le marbre au fronton de l’hôtel de ville on ne devrait pas graver l’équivalent du sage énoncé de Jean Yanne : « Mourir c’est bien la dernière chose à faire ! »
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