#idéal de beauté
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Alors que le soleil commence à descendre, projetant une lueur chaude et dorée sur le ranch, je ressens le besoin de sortir et de faire une promenade. L’air est vif et pur, porteur d’un léger parfum de fleurs sauvages et de terre. Le ciel est une toile de teintes pastel, avec des nuances de rose, d’orange et de violet qui se mélangent harmonieusement.
Je commence ma marche le long du sentier familier qui serpente à travers les champs et les pâturages, l’herbe haute se balançant doucement dans la brise. Le doux craquement du gravier sous mes bottes est un son réconfortant, qui me ramène dans le moment présent. En marchant, je sens la tension dans mes épaules commencer à fondre, remplacée par un sentiment de calme et de paix.
La beauté du coucher de soleil est envoûtante, les couleurs deviennent plus vives à chaque minute qui passe. Je m’arrête pour tout absorber, pour apprécier la beauté qui m’entoure. Le ciel semble s’étendre à l’infini, une vaste étendue de couleurs qui me remplit d’admiration et d’émerveillement.
En continuant ma marche, je laisse mon esprit vagabonder, permettant à mes pensées de circuler librement. La quiétude du ranch au coucher du soleil est le cadre idéal pour la réflexion et l’introspection. Je pense aux événements de la journée, à mes espoirs et mes rêves, et à l’avenir. Chaque pas m’apporte de la clarté, m’aide à organiser mes pensées et à prendre du recul.
Au moment où je rentre chez moi, le ciel est illuminé de couleurs, une dernière explosion de beauté avant que le soleil ne disparaisse à l’horizon. Je me sens rajeunie, mon esprit clair et mon cœur léger. Traverser le ranch au coucher du soleil est devenu un rituel, un moment pour moi de me connecter à la nature, de me vider l’esprit et de trouver la paix dans la beauté du monde qui m’entoure.
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Paris, comme Rome, est une ville idéale pour les mélancoliques et les nostalgiques. Les vestiges de sa grandeur passée, sa beauté à la fois immuable et dégradée, son altière décadence sont le décor parfait du romantisme blessé. Une ville désormais peuplée de teufeurs, de hipsters et d'un lumpen prolétariat totalement acculturé mais dont les pierres respirent encore l'art et la littérature, la violence historique et la volonté impériale. Un écrin aujourd'hui vide mais toujours enivrant. Il suffit de marcher au hasard, exposé à toutes les embuscades de beauté et de poésie, et de garder constamment le regard au niveau du premier étage des maisons et immeubles, juste au dessus de la zone où commencent le grouillement et le pourrissement. Ne rien écouter, surtout, ni les palabres des passants, ni les vociférations des obsédés téléphoniques, juste ressentir. Oublier les remugles de pisse se dégageant du clodo vautré sur le trottoir, les vociférations des camés du cellulaire, les éructations des racailles en goguette, la triste passivité des bouches de métro dégueulant leur diarrhée quotidienne de post-humains zombifiés. S’imaginer à une autre époque, en un autre temps, dans les pages d’un roman de Malet ou de Simenon, espérer croiser un mousquetaire ou un hussard au coin de la rue, inventer une barricade, une canonnade, s’évader pour pas cher… La magie de Paris survit à tous les outrages, et si l’on veut bien souvent quitter et fuir ce qu’elle est devenue, c’est en gardant toujours, quelque part au fond de l’âme et du coeur, l’espoir d’y revenir un jour.
Xavier Eman
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Montolieu est l’étape idéale pour les amoureux du livre
Montolieu (Aude) constitue une agréable escapade à quelques kilomètres de Carcassonne. Ce « Village du Livre & des Arts » rassemble 17 librairies et a séduit de nombreux écrivains par son charme. L’occasion d’une belle balade littéraire dans les rues du bourg.
C'est l'un des 8 villages du livre recensés en France. On y trouve des libraires de livres anciens et d'occasion mais aussi des professionnels des arts et des métiers du livre : relieurs, doreurs, graveurs, calligraphes, enlumineurs, fabricants de papier, imprimeries artisanales, éditeurs.
Dans les 17 librairies du village, on trouve principalement des livres d'occasion, avec du vécu… une histoire. Certaines sont spécialisées en livres jeunesses ou encore en littérature anglaise : il y en a pour tous les goûts.
Après avoir visité Carcassonne et sa fameuse Cité médiévale, une étape par Montolieu (Aude), charmante commune située à une quinzaine de kilomètres, s’impose. Il s’agit d’un « Village du Livre & des Arts », autrement dit un bourg rural où sont installés des librairies et des commerces d’artisanat autour du livre.
Riche d’une longue histoire, puisque occupé depuis la Préhistoire, Montolieu est devenu un village du livre en 1990, à l’initiative de Michel Braibant, relieur belge installé à Carcassonne, explique l’office du tourisme du Grand Carcassonne. Son rapport avec les écrivains est toutefois plus ancien encore : le village en a inspiré beaucoup, comme l’autrice Anna Gavalda, qui a vécu à Montolieu quelques années.
Au total, aujourd’hui, cette commune de 800 habitants compte 17 librairies de livres anciens, neufs ou d’occasion. « Certaines librairies ont justement des spécialités (BD, jeunesse, art, revues, journaux anciens…) », détaille l’office du tourisme. Les visiteurs peuvent aussi arpenter les 15 galeries ou ateliers d’art du village. Le bourg dispose par ailleurs d’un Musée des Arts & Métiers du Livre, où il est notamment possible de s’initier aux arts graphiques.
Mais plus généralement, ce bourg pittoresque est l’occasion d’une agréable balade. Au détour de ses ruelles fleuries et de ses maisons anciennes, il est possible de découvrir l’église Saint-André, un édifice du XIVe siècle classé aux monuments historiques, l’ancienne manufacture royale de draps, ou encore la chapelle Saint-Roch, qui offre un magnifique panorama sur les environs.
Situé sur les contreforts de la Montagne noire, au beau milieu des vignes, Montolieu ouvre sur de nombreux itinéraires de randonnée dans les gorges de l’Alzeau et de la Dure, avec ses ponts et ses moulins. « Oliviers, cyprès, variétés de cactus et arbustes fleuris mettent sublimement en beauté le paysage », assure l’office de tourisme.
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L'humain, par sa nature, se croit unique en son monde. Cependant, que se passerait-il si votre Terre, celle que vous connaissez depuis toujours, n'était pas la seule ?
En l'an 2000, les sorciers d'Elysium ont été confrontés à cette réalité. Une catastrophe écomagique a ouvert une brèche, perturbant l'équilibre des dimensions. Cette explosion a fragilisé la barrière magique, révélant des passerelles insoupçonnées entre des univers autrefois séparés, bouleversant ainsi la perception de l'unicité et de l'existence même des sorciers.
Sur Terre-1, les sorcier·e·s de l'île d'Elysium évoluent librement en marge des moldus, sous une barrière dissimulant soigneusement ses espaces et quartiers magiques. Ici, le monde sorcier s'est développé en harmonie avec la nature, et s'ouvre lentement au modernisme depuis vingt ans, influencée par Neferis et sa technomagie. La faune et la flore coexistent en symbiose avec la communauté, et les créatures magiques sont omniprésentes dans les rues et espaces plus sauvages, ou la nature reprend ses droits. Après l'explosion du laboratoire de Whispering Veil vingt-quatre ans plus tôt, révélant des expérimentations cruelles sur des créatures, les lois se sont durcies pour réprimer le trafic d'animaux fantastiques, avec des peines sévères jugées nécessaires. Les moldu·e·s contaminé·e·s, n'ayant pas la moindre connaissance de la magie sont bien souvent dérouté·e·s, sujets à la panique lorsque leurs premières capacités s'éveillent. C'est ainsi que le métier de traceur a vu le jour dans l'urgence, afin d'identifier, traquer, et marquer ces non-mages, et ainsi préserver le secret magique coûte que coûte, Neferis n'ayant que trop bien donné un avant-goût d'un monde où le monde moldu a connaissance du monde sorcier.
La dimension Fae, Altea, a toujours été intrinsèquement liée à Terre-1. Monde de merveilles naturelles et de magie pure, où rivières étincelantes et forêts luxuriantes coexistent en harmonie, les Faes, avec leurs attributs animaux, évoluent dans un décor aussi enchanteur que dangereux, des hauteurs éthérées d'Utopia jusqu'aux profondeurs énigmatiques et dangereuses de Pandemonium. Lieu de mystère et de beauté, Altea a toujours représenté aux yeux des humain·e·s un monde de risque, où les promeneur·euse·s manquant d'attention ou trop audacieux·ses peuvent facilement s'égarer... Ou devenir les jouets d'un·e fae un peu trop espiègle.
En parallèle, Terre-2 abrite l'île jumelle d'Elysium, Neferis. Ce monde sombre et dangereux est marqué par la répression magique, où les sorcier·e·s doivent vivre sous le joug des non-mages, luttant quotidiennement pour la liberté et la justice. Les détecteurs de magie parcourent les rues, en quête de la moindre utilisation de sorts non autorisés, chaque sorcier.e n'ayant le droit d'employer sa magie que lorsque cela est nécessaire pour l'ensemble de l'île (et bénéfique aux moldu.e.s, en somme). Les points de rencontre illégaux se multiplient à l'abri des regards, et pour beaucoup, les portails vers Elysium sont devenus une réelle échappatoire au quotidien, provoquant parfois la jalousie, incarnant bien souvent un rêve, un idéal, un espoir de renverser un jour la donne sur leur île.
Jusqu'en 2000, Terre-1 était uniquement liée à Altea. Aujourd'hui, grâce aux stations de cheminette, les trois dimensions sont inter-accessibles, permettant des voyages et des interactions entre Elysium, Neferis, et Altea.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif
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« L’homme qui, au nom d’un idéal moral, s’efforce constamment de vivre en beauté et qui considère la mort comme le critère ultime de cette beauté, vivra jour après jour dans une tension continuelle. Jôchô, aux yeux de qui la paresse est le vice suprême, a découvert un mode de vie quotidienne dans lequel la tension n’offre jamais la moindre rémission ; c’est la lutte au sein même de la banalité de tous les jours. Voilà le métier du samouraï. »
Yukio Mishima, Le Japon moderne et l’éthique samouraï (1967)
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Volutes
Quand je porte à l’oreille un coquillage brut J’entends loin l’océan occulte et violent Jusqu’au colimaçon de ma mémoire en chute Envoutement d’écho du pavillon vibrant
La conque et son volume ouvrent bientôt le champ De l’horizon audible en son cœur de volute Qui l’emporte aussitôt vers mon cœur indolent Quand je porte à l’oreille un coquillage brut
Et je ferme les yeux sur les longues minutes De ce voyage en mer intime et se brisant Sur le rocher caché des volontés hirsutes J’entends loin l’océan occulte et violent
Je vois le pavillon des souvenirs grisants D’un vaisseau idéal que la beauté chahute Qui dans un tourbillon s’engloutit en-dedans Jusqu’au colimaçon de ma mémoire en chute
De la conque à la coque avidement je scrute Du vague à l’âme amer ressac enroulement Des lames convoquées par mon cœur en tumulte Envoutement d’écho du pavillon vibrant
-Fabienne PASSAMENT. 2023
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Une vidéo d’une jeune fille qui expose son point de vue à propos de la nudité de la femme en public. Elle trouve que c’est absurde que les seins soient considérés comme un “objet sexuel”. Que les seins ne servent qu’à nourrir le nourrisson. Certes, certes. Ce qu’elles doivent comprendre, ces femmes, ces jeunes femmes, et les hommes qui tiennent le même discours, c’est qu’il existe chez l’être humain quelque chose qui s’appelle l’instinct de reproduction et que cet instinct est un des plus puissants, si ce n’est le plus puissant. Pourquoi les attributs proprement féminins de la femme, les seins, les fesses, les cheveux, et tout ce qui représente l’altérité, sont générateurs de tant d’émotions pour le sexe opposé ? Un homme excité à la vue d’une belle poitrine, d’une belle croupe, ou de tout autre attribut, l’est car le génie de son espèce y reconnait ce dont il a besoin pour tendre vers son idéal de vitalité. C’est déjà une chose, un phénomène qu’il faut comprendre. Ce n’est pas moi qui l’invente, il faut relire Schopenhauer, ou simplement observer les faits. Nos préjugés et nos mœurs, aussi arbitraires qu’ils semblent, cachent une vérité qu’il faut découvrir. Tout, tout a une explication. Hommes et femmes, les deux recherchent et désirent la même chose chez l’autre : la beauté. La beauté qui n’est autre chose que la vitalité. Vitalité qui s’exprime de différentes façons : mais toujours en ce qui agit pour, en faveur de la vie, tout ce qui l’empuissante. La femme est attiré par la virilité, l’homme la féminité... Mais ce qui plait pour l’une dans la virilité et ce qui plait pour l’un dans la féminité est une seule et même chose : il s’agit de tout ce qui promesse et signe de vitalité, signe de force donc, de puissance. C’est d’ailleurs ça qu’on appelle “beauté”. Seins nus en public... Il faut comprendre que cela ne peut pas être sans conséquences, qu’inévitablement cela engendra des regards et certains comportements. Inévitablement, il y aura tentation, désir. Alors quoi ? Éduquer les hommes ? Les désensibiliser ? Taire, tarir l’instinct ? C’est folie. Il me semble bien, à moi, que la pudeur est le garant d’une certaine paix sociale, aussi superficielle soit-elle. Mais la pudeur est peut-être ce qui nous éloigne de notre bestialité. La pudeur, ce produit de l’intelligence de notre instinct de survie, ce raffinement qui est sûrement né de notre couardise face à la violence qu’engendre la compétition. Il faut savoir ce qu’on veut. Il y a autre chose qui vient expliquer les différences de comportement entre les hommes et les femmes. Une chose logique, biologique. Il faut neuf mois à une femme pour enfanter. Il faut deux minutes à un homme pour l’ensemencer. La femme est forcément plus exigeante et prudente quant au choix du partenaire. C’est un réflexe très profondément ancré dans sa biologie de femme. Et ce fait explique la réserve naturelle de la femme, sa prudence, sa méfiance instinctive. L’homme, qui ne risque rien à enfanter, a forcément une autre psychologie que celle de la femme. Il est, forcément, plus exubérant, plus bête. La peur rend plus sensible. D’où une certaine délicatesse chez la femme. On comprend donc bien pourquoi le fait qu’elle veuille aujourd’hui se montrer seins nus puissent outrer certains. Car nous, êtres humains, nous savons, davantage instinctivement qu’intellectuellement, que quelque chose pose là problème. D’ailleurs, je pose ça là, mais toutes celles qui aimeraient pouvoir se balader seins nus (pourquoi d’ailleurs ?) : ce ne sont généralement pas des femmes qu’on veut enfanter : elles sont, physiquement, soit indésirables, soit psychologiquement dépravée. Le génie de l’espèce n’y voit rien de bon. On en tirera les conclusions qu’on veut.
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"Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité ? D'abord l'état d'esprit : zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations [...] La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme."
Lounès Darbois, août 2023.
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Je sais qu'elle n'est pas dans le tournoi mais honorable mention to Anne de Kiev qui était pas mal dans son genre:
She was apparently a biiig hottie at the time, married the King of the Franks Henri I (the propaganda for him should have been about his second wife smh). Ils ont cherché "un idéal de beauté et de sagesse" et c'était elle qui a fulfill les requirements!
C'est une ancêtre de tous les rois français jusqu'à Louis-Philippe ! You go girl 😌
La principauté de Kiev était tellement riche et cultivée and altogether great que c'était apparemment hyper recherché comme alliance and we won guys 🥳
She spoke Latin and Greek perfectly, and she was the one to introduce the name Philippe to France! Yep Philippe Ier (her son) has his propaganda thanks to her. Icon
...Elle a aussi réussi à se faire excommunier ET à fonder une abbaye. Apparemment les deux n'ont pas de contre-indication l'un pour l'autre...
(pardonne mon franglais it's 10 pm I'm not bothered)
she IS in the tournoi !!! et la plupart des trucs que tu me dis est dans la propaganda !
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Les petites cabanes et le moulin de Gouville-sur-Mer - Août 2021
Sur la côte normande, niché dans le charmant village de Gouville-sur-Mer, se trouve un trésor caché: un ensemble de petites cabanes et un moulin à vent qui offrent un panorama idyllique sur la Manche. Les cabanes, construites en bois et aux couleurs vives, se dressent fièrement sur la plage de sable fin. Elles invitent à la détente et à la contemplation, offrant un abri paisible face à l'immensité de la mer. Que ce soit pour se relaxer au soleil, lire un livre ou simplement profiter du clapotis des vagues, ces cabanes sont un véritable havre de paix. Le moulin, quant à lui, se dresse majestueusement sur une parcelle à la sortie du village. Construit au 18ème siècle, il a été restauré avec soin et abrite aujourd'hui un musée pédagogique qui retrace l'histoire de la meunerie et de la vie rurale en Normandie. Le site des petites cabanes et du moulin de Gouville est une destination idéale pour les amoureux de la nature et de la tranquillité. C'est un lieu unique où l'on peut se ressourcer et profiter de la beauté des paysages normands. Camera: Canon EOS 2000D Objectif: Canon EF-S 18-55 IS II Post-production avec Skylum Luminar 4 Read the full article
#Cotentin#France#Gouville#Manche#monumenthistorique#moulin#Normandie#paysagecôtier#petitescabanes#touristes#touristique
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Robe Champêtre Élégante – Le Charme Naturel avec Douce Couture
Découvrez la beauté intemporelle de la robe champêtre avec Douce Couture. Conçue pour allier confort et élégance, cette robe légère est idéale pour des occasions en plein air, des mariages bucoliques ou des sorties estivales. Ses motifs floraux délicats et sa coupe fluide apportent une touche romantique à chaque silhouette. Fabriquée à partir de tissus naturels et respirants, elle vous assure une allure fraîche toute la journée. Exprimez votre style unique avec cette robe qui célèbre la nature et le raffinement. Laissez Douce Couture sublimer vos moments avec une tenue qui respire la simplicité et la sophistication.
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En ce qui concerne les normes sociales, il me semble que de nos jours, il existe plusieurs membres de notre société qui sont victimes de ces exigences. Nous laissons les autres dicter la façon dont nous devrions vivre, et les actions plus importantes pour notre développement personnel. En fait, c'est une société qui crée une personne qui se laisse marcher sur les pieds.
Par rapport au livre de Marie Darrieussecq, un aspect clairement évident est que la narratrice n'est pas en charge de ses actions. À cause de trouble financière, elle est mis dans une position où un directeur de parfumerie prend en charge le futur de son corps. En étant une prostituée, elle vent son corps pour satisfier plutôt le directeur à la place de ses clients et elle-même. Par conséquent, elle ne sent aucune raison d'être en vie, sauf une fausse idée que son corps est seulement avantageux quand les autres en profite, et quand elle présente un niveau de beauté que les autres trouvent convenables.
Cependant, ce mécanisme de la pensée change vers la fin du livre, et la narratrice se rend compte que sa forme de truie réalise une vie plus simple et paisible. C'est-à-dire, quand elle décide à rejeter les normes sociales épouvantables, elle trouve une meilleure vie. Comparé à notre société actuelle, je crois que la majorité d'entre nous pourrait profiter d'une décision similaire à la narratrice. Trop souvent, c'est les personnes autours de nous qui influence comment nous devrions se comporter. Néanmoins, cela peut provoquer un grand manque d'estime de soi. Parfois, la meilleure décision est de s'en moquer complètement de l'opinion des autres, et de faire uniquement les choix idéales pour notre avenir en tant qu'individus!
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Arvo Pärt, figure majeure de la musique minimaliste, est connu pour ses œuvres empreintes de spiritualité et de mysticisme. Parmi celles-ci, The Deer's Cry (2007) se distingue par sa beauté poignante et son atmosphère contemplative. Cette pièce pour chœur a cappella, nous plonge au cœur d'une prière millénaire.
Le texte de The Deer's Cry, également connu sous le nom de "Lorica" ou "Breastplate", est attribué à Saint-Patrick, évangélisateur de l'Irlande au Ve siècle. Selon la légende, Patrick et ses moines, poursuivis par leurs ennemis, se seraient transformés en cerfs après avoir récité cette prière. Initialement écrite en vieil irlandais, elle exprime une confiance inébranlable en Dieu et invoque la protection du Christ à chaque moment de la journée, dans toutes les situations, face aux dangers visibles et invisibles.
Arvo Pärt met en musique ce texte avec une sensibilité et une profondeur exceptionnelles. Son style minimaliste, caractérisé par des harmonies simples et une mélodie dépouillée, crée un écrin sonore idéal pour la prière.
L'atmosphère de The Deer's Cry est celle du recueillement et de la méditation. La musique, à la fois poignante et apaisante, invite l'auditeur à un voyage intérieur, à la rencontre de sa propre spiritualité.
Christ with me, Christ before me, Christ behind me, Christ in me, Christ beneath me, Christ above me, Christ on my right, Christ on my left, Christ when I lie down, Christ when I sit down, Christ in me, Christ when I arise, Christ in the heart of every man who thinks of me, Christ in the mouth of every man who speaks of me, Christ in the eye that sees me, Christ in the ear that hears me, Christ with me.
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Françoise
par Jean-Marie Périer
Editions du Chêne, Paris 2011, 240 pages, 22.5 x 26.5 cm, ISBN 978-2812304897
euro 180,00
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" Ce qui m'a tout de suite frappé chez Françoise, c'est qu'elle n'avait aucune conscience de son incroyable beauté. Pour un photographe, c'est une situation idéale, et pour le jeune homme que j'étais ce fut un vrai choc. " Photographe de nombreuses célébrités, Jean-Marie Perier a noué depuis les années 1960, une amitié très forte et très touchante avec Françoise Hardy. A travers un parcours photographique rassemblant près de 200 clichés autour desquels le photographe et son sujet se répondent, cet ouvrage nous livre le regard pétillant, subtile, intime et émouvant de Jean-Marie Perier sur l'une des plus grandes idoles des yéyés et de la scène musicale française, sur l'icône de mode et surtout sur la grande amitié qui les lie depuis toutes ces années.
08/07/23
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Dans le Beau idéal, l'homme de l'ancien temps reconnaissait l'image de l'immortel que son âme poursuivait ; dans le beau moderne, notre contemporain demeure stupide, comme la proie hypnotisée par le serpent.
Jacques Darriulat, Esthétique de Baudelaire : la Beauté et le Mal
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« La France éternelle ? Le peuple le plus spirituel de la terre ? En réalité, une armée de fonctionnaires d’autant plus ignorants qu’ils occupent un poste plus élevé, une masse énorme de besogneux, de grippe-sous, sans idéal, coupés de tout contact avec la beauté du monde. Un pays de vieillards sordides ! »
Marc Augier, Les copains de la belle étoile (1941)
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