#humérus
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Luxation et instabilité de l'épaule : une approche plus approfondie
Anatomie simplifiée de l'épaule
Pour mieux comprendre ces pathologies, il est utile de connaître les principaux éléments de l'articulation de l'épaule :
La tête humérale: extrémité supérieure de l'os du bras (humérus) qui s'articule avec...
La glène: cavité arrondie de l'omoplate.
La capsule articulaire: enveloppe qui entoure l'articulation et la stabilise.
Les ligaments: structures fibreuses qui renforcent la capsule et limitent les mouvements.
La coiffe des rotateurs: groupe de muscles qui assure la stabilité et la rotation de l'épaule.
Mécanismes de la luxation :
Lors d'une luxation, la tête humérale sort de la glène, entraînant une perte de contact entre les deux surfaces articulaires. Les luxations antérieures (vers l'avant) sont les plus fréquentes.
Facteurs de risque d'instabilité :
Traumatismes répétés: micro-traumatismes liés à la pratique sportive (volley, handball, etc.).
Laxité ligamentaire: une certaine prédisposition génétique peut rendre les ligaments plus lâches.
Défaut de coaptation: une malformation de la glène peut favoriser les luxations.
Lésions de la coiffe des rotateurs: une faiblesse musculaire peut altérer la stabilité de l'épaule.
Types d'instabilité :
Instabilité traumatique: liée à un événement précis (chute, choc).
Instabilité atraumatique: survenant sans cause apparente, souvent liée à une laxité ligamentaire.
Instabilité récurrente: luxations à répétition.
Instabilité multidirectionnelle: l'épaule peut se luxer dans plusieurs directions.
Diagnostic :
Le diagnostic repose sur :
L'examen clinique: recherche de la douleur, de la limitation des mouvements, de la crépitation (bruit de craquement), de la laxité.
Les examens d'imagerie: radiographies, IRM, arthro-IRM pour visualiser les lésions.
Traitement :
Le choix du traitement dépend de la gravité de l'instabilité, de l'âge du patient et de ses activités. Il peut associer :
Réduction de la luxation: manœuvre manuelle pour remettre la tête humérale en place.
Immobilisation: attelle ou écharpe pour soulager la douleur et permettre la cicatrisation.
Kinésithérapie: renforcement musculaire, récupération de la mobilité.
Chirurgie: dans les cas d'instabilité récurrente ou de lésions importantes, différentes techniques chirurgicales peuvent être envisagées pour stabiliser l'articulation (réparation des ligaments, latéroplastie, etc.).
Complications possibles :
Arthrose précoce: usure prématurée du cartilage articulaire.
Lésions nerveuses: atteinte du nerf axillaire ou du nerf sus-scapulaire.
Raideur articulaire: si l'immobilisation est trop prolongée ou si la rééducation est insuffisante.
En résumé, la luxation et l'instabilité de l'épaule sont des pathologies qui peuvent être très invalidantes. Un diagnostic précoce et un traitement adapté sont essentiels pour retrouver une fonction normale de l'épaule.
Pour aller plus loin
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Plaque pour humérus proximal verrouillable - 4,5/5,0 mm K & Apple K et Apple vétérinaire #medicaldevice #physiothérapie #blessure #orthopedicdoctor #colonne vertébrale #chirurgical #traumatisme animal #genou #sports #kneereplacement dog #kandapple #orthopedicsurgeon
K et Apple
+91 9099027776, +1 8572778302
https://kandapple.com/,
https://vetimplant.co/
K et Pomme
Implantation et instrumentation orthopédiques.
Implants orthopédiques vétérinaires.
Dr Asiya Khan
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Je me vois bien à mon âge retourner à l'école !
Si, si...Et faire UCHI KOMI et beaucoup plus si affinité avec ces deux fientes !
Leur péter mâchoire supérieure, inférieure, des deux côtés, les clavicules, humérus, radius, poignets, chaque phalange, côtes, bassin, fémurs, genoux, chevilles, et leur déboîter le fion à ces détraqués avec un extincteur ! Eux et tous ceux qui COLLABORENT de près ou de loin à cet ASSASSINAT EN MASSE DES ENFANTS !
Ces déchets se rappelleront ainsi à chaque pas, à chaque parole ou tentative de boire une boisson qu'ils n'ont rien à faire auprès des enfants !
NOUS DEVONS PROTÉGER LES PLUS FAIBLES !
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Le Membre antérieur
Le squelette du membre antérieur du cheval...
https://www.aucoeurdeschevaux.com/m/membre-anterieur-223/
#épaule#squelette#scapula#omoplate#humérus#cubitus#ulna#métacarpiens#phalanges#sésamoïdes#naviculaire#skeleton#sesamoids#cheval#équidé#horse
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Nouns with a voiced final -s
Albatros - albatross
Albinos - albino
Ananas - pineapple (optional)
As - ace (card)
Biceps - bicep
Blocus - blockade
Bonus - bonus
Bus - bus
Cacatoès - cockatoo
Cactus - cactus
Campus - campus
Cassis - blackcurrant
Consensus - consensus
Couscous - couscous
Cubitus - ulna
Cursus - degree course
Express - express
Fils - son (sg+pl)
Gratis - free (informal)
Hélas - alas
Humérus - humerus
Infarctus - infarct
Jadis - once (formal)
Laps de temps - period of time
Lys - lily (plant)
Maïs - corn
Mars - Mars, March
Minus - loser (corny/old)
Moeurs - social manners (pl) *common mistake
Myosotis - forget-me-not (plant)
Oasis - oasis (f)
Os - bone (singular)
Ours - bear (sg+pl)
Palmarès - list of achievements
Pancréas - pancreas
Pastis - pastis (alcohol)
Pelvis - pelvis
Processus - process
Radius - radius
Rhinocéros - rhino
Rictus - smirk
Sas - security door
Sens - sense
Tennis - tennis
Terminus - terminus
Tournevis - screwdriver
Triceps - tricep
Tricératops - triceratops
Uranus - Uranus
Utérus - uterus
Vasistas - spyhole
Vénus - Venus
Virus - virus
Vis - screw (fem)
N.B. 1: Proper nouns keep a voiced -S (Agnès, Texas, Tunis).
N.B. 2: The S of Tous is pronounced when the word is a pronoun - which replaces a noun (Je les ai tous - I have them all); Plus depends on the context.
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Il la réveille
Une nuit, Suzanne dort seule dans son appartement quand elle est réveillée par la sonnette. C'est Jean-Michel. Il demande s'il peut monter. Suzanne presse le bouton de l'interphone et attend son arrivée. Elle attend deux minutes, trois minutes, dix minutes et il n'apparaît pas.
Suzanne lace ses chaussons de danse et descend à toute allure mais en vain. Elle ne le trouve pas. Elle fait le tour de pâté de maisons, en vain toujours.
Suzanne se rappelle que, pendant qu'il peignait, Jean-Michel lui criait soudain : « Vénus, lis-moi les os du bras. » Et elle répondait : « Humérus, cubitus, radius, carpe. »
Deux semaines avant sa mort, à deux heures du matin, il est venu et a sonné à l'interphone. Je lui ai ouvert. Mais il n'est jamais monté.
Je sais qu'il était venu me dire au revoir. C'est la chose la plus gentille qu'il ait jamais faite pour moi.
—
"He would wake me up to ask me what I thought of a painting or to have me name whatever he was working on.
For Jean-Michel, money was a weapon – a tool that he could use to expose people’s hypocrisies and racism. We would take limousines everywhere as a sort of parody of the hip-hop stars like Run-DMC who did the same. Occasionally, he would drop $100 bills out of the window for the homeless people outside. Once, we were at dinner at a fancy Italian restaurant called Barbetta, and a group of Wall Street bankers started laughing and pointing at us, asking, “How can you afford to be here? Are you a pimp? Is that your whore?” Jean-Michel kept quiet, called over the waiter, and paid for their dinner. It must have cost thousands of dollars. When one of them sheepishly came over to thank him afterwards, he just slapped another $500 in his hand and said: “Sorry, I forgot the tip.”"
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Chronique de la poussière fine
Inépuisable sagesse de la Bible. – Plumeau de Vialatte. – Recette du divin potier. – Modelage de l’homme. – Réveil d’Adam. – Doses de poussières, de liquides et d’oxygène. – Humidité de l’homme. – Sculpture divine de la femme. – Côte surnuméraire. – Fouilles des paléontologues. – Faconde des ossements. – Âge au carbone 14. – Secrets avoués au microscope. – Pouce opposable, maxillaire et rotule bavards. – Nos ancêtres Lucy et Toumaï. – Leur connaissance du latin tardif. – Membres manquants suppléés. – Abondance de poussière fine. – Rédaction consécutive de la Genèse.
L’homme n’est que poussière. Le livre de la Genèse ne laisse aucun doute là-dessus. Celui de Job illustre même l’insondable profondeur de l’énoncé. Vialatte de son côté en déduit le rôle indispensable du plumeau. Pourtant, est-ce tellement vrai ? Au vu de la procédure suivie par le divin potier, on peut en douter. Car quand il a voulu modeler l’homme, il a appliqué une recette dont il avait été lui-même l’inventeur : disposer un bon volume de terre ou de sable en rond de couronne, verser un volume d’eau au milieu, gâcher les deux de manière à obtenir un mortier susceptible de prendre différentes formes, qu’on laisse durcir au soleil ou cuire dans un four réfractaire du Moyen-Orient. Or après avoir procédé ainsi, il roula un long boudin de mortier sablonneux sur sa table d’atelier et le façonna en trois morceaux : la tête, le tronc et les jambes. Puis il fignola les détails : le nez, les oreilles, les mains, les doigts de pieds et quelques organes adventices. Et il appela le tout Adam, qui veut dire « le Terreux ». Mais son chef-d’œuvre n’était encore qu’une statue couchée, à forte ressemblance humaine certes, mais incapable de se lever, de marcher, de faire des entrechats et des ronds de jambes. Il fallait pour cela que le potier lui insufflât encore une haleine vivifiante dans les narines, des trous de nez qu’il avait modelés larges et profonds. Le résultat fut saisissant : Adam vint tout à coup à la vie, ouvrit les yeux, se demanda où il était et finit par avoir faim, ce qui est la meilleure preuve qu’on est vivant.
Au vu de ce qui précède, on dira que l’idée selon laquelle l’homme n’est que poussière mérite d’être nuancée. Un tas de poussière certes, mais mélangé à une bonne quantité de liquide, additionnée d’oxygène. La Faculté estime même que le corps d’un homme adulte contient près de 60 % d’eau. Comme s’exclamait le président Mac Mahon dans une autre circonstance (celle des inondations de 1875) : « Que d’eau, que d’eau ! » Il paraît que la femme n’a droit qu’à 55 %, en raison de ses « tissus adipeux plus développés ». Et puisqu’on parle de la femme, comment le divin potier s’y est-il pris pour la créer ? A-t-il suivi la même recette basée sur un mélange de poussière, d’eau et d’air ? Pas exactement ! Il a d’abord endormi Adam et lui a prélevé une côte, qu’il a plantée comme une bouture dans un second tas de mortier. Puis il est rentré dans son atelier pour y modeler une statue de femme, une bien plus belle cette fois, grâce à quelques prothèses galbées aux endroits adéquats. Enfin il lui a insufflé, à elle aussi, le souffle de vie, l’esprit.
Dès lors il faut se rendre à l’évidence : ni l’homme ni la femme ne sont faits de pure poussière. L’eau dans le mortier, l’oxygène dans les narines, et maintenant la côte surnuméraire, autant d’éléments qui le prouvent. D’ailleurs, les paléoanthropologues seraient bien en peine de remonter aux origines de l’homme, s’ils ne pouvaient compter que sur de la poussière. Il y faut aussi quelques morceaux plus durs, qui aient résisté à l’usure du temps. Une mandibule d’australopithèque par ci, une clavicule de mouton berrichon par là, sinon un tibia d’Ergaster ou de Proconsul d’Afrique. On les libère de leur gangue, on les nettoie et on les fait parler. Soumis à la question, ils finissent par raconter une longue histoire. Ils avouent leur âge sous la menace du carbone 14, sous celle du microscope électronique leur teneur en calcium, magnésium, fer et phosphore. Leur pouce opposable dit qu’ils ont taillé le silex biface, leur maxillaire supérieur qu’il ont mangé du mammouth laineux en plein carême, leur rotule abîmée qu’ils étaient habitués aux longues marches. Si on insiste, ils avouent même, tout honteux et penauds, qu’ils ont violé une néandertalienne dans les buissons ou massacré un homo sapiens dans un coupe-gorge. Parce qu’il était homo.
Tous ces débris osseux prouvent donc que l’homme n’est pas seulement poussière. D’ailleurs déjà le prophète Ézéchiel prévoyait qu’un jour ses ossements desséchés reprendraient vie. Et il ne croyait pas si bien dire. Pas seulement vie, mais aussi faconde, bagout, langue bien pendue. Quand on a trouvé en Afrique le squelette de tante Lucy ou le crâne fossile de l’oncle Toumaï, on a eu du mal à leur imposer le silence, tellement ils étaient bavards. Le plus étonnant était qu’ils parlaient comme un dictionnaire latin. Ce n’était que cubitus, humérus, sacrum, radius et autres sternum. Bien entendu, il y manquait souvent une vertèbre, une dent de sagesse, un fémur, mais comme la plupart des membres vont par deux (et même parfois par douze, comme les côtes), rien ne s’opposait à ce qu’on extrapolât, remplaçant les pièces manquantes par des membres en plâtre ou en polyester. Et qu’on les exposât derrière une vitre dans un musée paléontologique.
Résumons-nous : l’homme n’est pas que poussière, mais il en contient beaucoup. C’est d’ailleurs une poussière de qualité, une poussière fine, qui s’est mise un jour à vivre, à réfléchir, à parler et, pour finir, à rédiger la Genèse et le Livre de Job.
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Dessin d’un humérus et d’une vertèbre
Fait le 20/01/2021
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Marc Marquez sort enfin de l’hôpital
Marc Marquez était à l’hôpital depuis le 4 Décembre et n’était pas sorti de l’hôpital Ruber de Madrid. L’intervention de son bras a duré 8 h 00. Cela fait quand même la 3 iéme opération que son humérus droit blessé en juillet dernier après une chute à Jerez, à subi les affres du bistouri. Le chirurgien a remis une plaque et accompli une greffe osseuse. Les problèmes n’arrivant jamais seul, une infection a été constatée. Cela a nécessité l’appui d’antibiotiques. Suite à ses problèmes, c’est le silence qui enveloppait l’octuple champion. Les spéculations passaient d’un moral en hausse en vue d’une fin de calvaire à carrément une quatrième intervention qui devait éventuellement avoir lieu aux Etats-Unis.
Mais ce dimanche, une bonne nouvelle est arrivée …
Le site Motosan a suivi de près l’affaire et il nous informe ce dimanche après-midi : Marc Marquez sort de l’hôpital Ruber International de Madrid.
Nous n’en savons pas plus, mais les sources proches du pilote indiquent que “pour l’instant, Marc Marquez suit les étapes post-opération comme prévu ” et qu’ils sont “satisfaits de la façon dont tout se passe” même si “il faut attendre de voir comment se déroulera la suite“. Le pilote, sur les réseaux sociaux, s’était montré positif après son récent 3 iéme passage en salle d’opération, remerciant tous les messages d’affection.
Le compte à rebours a commencé pour Marc Marquez
Combien de temps pour récupérer??? What is the question??? Le Team Honda n’a pas donné de date estimée à son retour sur les circuits. Ceci dit connaissant ce bougre de pilote il fera le maximum pour être opérationnel fin mars pour le lancement de la saison au Qatar. Les rumeurs parlaient d’environ six mois mais l’équipe est convaincue que si Marc Marquez respecte au plus prêt le bon déroulement de la rééducation, le délai peut être réduit. Nous entendons le tout et son contraire même si beaucoup suggèrent déjà que le pilote Honda pourrait faire l’impasse sur la 1 ère course de la saison 2021 le 28 mars au Qatar.
Début 2020, Marc Marquez avait signé un contrat de 4 ans avec Honda jusqu’à la fin de 2024. Les chiffres n’ont jamais été dévoilés et cela faisait jaser beaucoup sur ce contrat. La rumeur veut que l’accord soit de qualité et il se dit qu’il serait supérieur aux 25 millions d’euros touchés par Jorge Lorenzo lors des saisons 2017 et 2018 chez Ducati. Suite à cette blessure, les 5 années pendant lesquelles Honda aurait dû se réjouir de son investissement, la première a été celle du forfait tandis que la seconde n’est pas encore certaine…
“Les progrès de Marc Marquez suite à l’opération réalisée le 3 décembre et le début de l’antibiothérapie ont été jugés satisfaisants par son équipe médicale. Aujourd’hui, il a été libéré de l’hôpital Ruber Internacional pour poursuivre sa convalescence chez lui où il se trouve. le traitement antibiotique spécifique se poursuivra “, a déclaré Honda dans un communiqué.
Nous ne manquerons de suivre la rééducation de Marc Marquez pour connaître son état de santé. Nous savons deja qu’il fera le maximum pour rouler le plutôt possible.
À suivre...✌️✌️✌️
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Most of these tumours occur in the trunk
Ewing's family of tumors also known sarcome of Ewing. They most generally occur in the basin, the bone of thigh (femur), the bone of higher arm (humérus) and the veins. EFTs most frequently occur in the teenagers. This family of the tumours can occur at any age, but these tumours are most common in years of teenager early. Ewing's family of tumors slightly more often occurs in the boys approximately 15% occur in the adults. Ewing's family of tumors most frequently occurs in the Caucasians.
Most of these tumours occur in the trunk, and the most common place is the basin. The most common sign of ewing is tumors pain with the site where the tumour is localised. This pain can be accompanied by swelling. Since these symptoms could also indicate the bumps, the contusions or the normal infections of Zhejiang Xinyida Reinforced Materical Co., Ltd bone. The treatments of the family of the ewing of the tumours can include the surgery, the radiation therapy and the surgery of chemotherapy can also be employed to remove any tumour which is left after radiation therapy of chemotherapy or radiation therapy. Myeloablative therapy is a very intense mode of chemotherapy conceived to destroy all the cells which divide quickly.
These cells involve some cells of blood and cells of hair, as well as the malignant cells of cancer. Chemotherapy employs drugs to kill out of the cells of cancer. Chemotherapy can be taken by the pillule or it can be injected into the body by a needle in a vein or a muscle. Myeloablative therapy is a very intense mode of chemotherapy conceived to destroy all the cells which divide quickly. These cells include some cells of blood and cells of hair, as well as the malignant cells. The immunothérapie employs your immune system to fight cancer. Many future advances against cancer will presumably come from this field.
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La bursite sous-acromiale est une inflammation de la bourse sous-acromiale, une bourse séreuse – ou bourse synoviale – en forme de sac aplati, située sous la saillie de l'omoplate appelée acromion. Rempli de liquide synovial, ce coussinet est situé à l'interface entre l'os et les tendons de la coiffe des rotateurs enveloppant la tête de l'humérus. Il facilite le glissement lorsque l'articulation de l'épaule est mobilisée. La bourse sous-acromiale communique avec une autre bourse séreuse, la bourse sous-deltoïdienne, située entre le tubercule majeur de la tête de l'humérus et le deltoïde. On parle parfois de bourse sous-acromio-deltoïdienne. La douleur est le principal symptôme de la bursite. Elle se manifeste dans la région de l'épaule, mais irradie le plus souvent jusqu'au coude, voire jusqu'à la main dans les cas les plus sévères. Elle est aggravée par certains mouvements d'élévation du bras. Des douleurs nocturnes sont possibles. Les personnes concernées Avec le coude, l'épaule est l'articulation la plus touchée par les troubles musculosquelettiques. La douleur de l'épaule est un motif de consultation fréquent en médecine générale, et les bursites et les tendinopathies dominent le tableau. N'importe qui peut souffrir d'une bursite, mais cette affection est plus fréquente chez les quadra- ou les quinquagénaires que chez les personnes plus jeunes. Les sportifs ou les professionnels à qui leur métier impose des gestes répétés sont exposés plus précocement. 👨⚕️ #LaboSalem #BursiteSousAcromiale #Sante #douleur #épaule #inflammation #synovial #synoviale #articulations #tendons #health #algérie #algeria #alger #oran #annaba #constantine #setif #algeriangirl #hehalthy #humérus https://www.instagram.com/p/B86NILVoFVB/?igshid=1bf2fcymd39x9
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Final -s letter on singular masc nouns
Usually, you don't pronounce it: cas (case), tas (pile - of stg), pays (country), temps (time, weather), bois (woods), cours (class); especially if it's the second word (noun): pare-chocs (bumpers) or the first element (preposition) of a compound word: sans-papiers (undocumented person). That rule can be broken:
if muting it would make it sound like another word: fils (son), sens (sense)
if it comes from latin (particularly true for health, body-related words): humérus, cubitus (and other bones), rictus, consensus, autobus, tournevis, cactus...
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Il est milieu d’après-midi. Des mâles m’enculent. Je l’avais bien cherché, avec ma robe qui fleurit. Je gonfle mes pectoraux. Je les sens emprisonnés dans ma peau. Ils aimeraient saillir au grand milieu d’après-midi. Plus que le sein de la femme, le sein de l’homme est pauvre. Le livre du citron passe de main en main. Nous appelons livre du citron ce livre qu’un détenu a trouvé. Un citron est tombé de l’arbre. Pressée, la couverture du livre s’acidifia et nos langues vinrent la trouver, chacune tour à tour, de bas en haut récupérant autant que faire se peut l’humide éclat du jus sur une lèvre. Il est milieu d’après-midi. Nous avons travaillé ce matin, puis c’est désormais repos. Taillés furent les blocs de glace par nos soins sensuels. Un résident de ma chambre fut achevé, il avait sculpté son bloc en une drôle de cabane qui lui servirait d’hiver, après sa mort. Il savait qu’il mourrait, il avait appelé la mort de ses voeux, il avait désigné sa cabane de ses doigts en léchant sa lèvre qui a manqué le citron de peu, mais il aura sa part en cabane, cabane qui lui servira d’hiver, puisqu’il est mort, puisque c’est pour ça qu’il est mort. J’avais pour ma part respecter les consignes, je voue aux consignes un respect empli de chagrin. Ce n’est pas que je voudrais y déroger. C’est que j’aimerais simplement ne pas entendre d’ordres. Demandez-moi un calamiteux conseil, prenez-vous d’un superbe besoin, piquez-vous d’un désir surprenant, très bien, je suis votre mâle. Mais n’ordonnez pas. C’est violent et ça me chagrine, bien que j’aie tout essayé. J’ai justifié par l’émotion du citron. J’ai pleuré par la raison du citron. J’ai vécu des tués par citron. Maintenant je me sors. Le citron s’est changé en peinture rouge lorsque personne ne le léchait plus, à un moment la liqueur s’était faite boire et les langues en revenaient chargées de diamants de papier tout frottés, (patiner sur un étang frotte ainsi). Le livre fut contraint d’être abandonné. Aucun ne trouva son plaisir dans ces pellicules de pages. Alors, après, sans s’épuiser, le petit livre donna son rouge. Des centaines de groupes auraient bien pu peindre ce jeu qu’affectionnent les fresques rupestres ou la gothique secousse d’une cathédrale monolingue où sirote le goéland chassé, tant le petit livre citron donnait de rouge. Curieux, c’est seulement du-dessus que le rouge pouvait se prendre, sous le livre, la quatrième de couverture elle resta blanche tranquille. Inépuisable ce rouge, d’où il venait c’était d’où il venait qu’il disait notre citron. Mais nous l’avions bu. Avant de savoir que le rouge était à venir, nous l’avons bu, il fallait se remémorer, or l’argent du passé ne nous gagnait plus. Nos mains s’échangèrent par le livre. Le rouge gagna bientôt l’ensemble de notre cabane mise au repos du bois. Nous la suivîmes, pétris d’urgence, modelés comme la fumée d’un feu nous étions, nous devinrent. Les baraquements plats comme des femmes nuages anguleuses que l’on aurait même pris comme table ou comme assiette, ils se tournèrent vers le rouge également. Nos draps se demandèrent comment auraient-ils fait preuve de grâce sous l’onction dilatée du rouge. Ils déterminèrent que c’est par un vote qu’ils auraient démontrés la vivacité méconnue de leur teneur, n’est-ce pas que qui vote exclame rouge ? Ils s’imaginèrent, se visionnèrent tribuns, mariée du tribun, étagère du tribun, pas du tribun, le suffrage alléché courbé comme dent de lait saillante en la narine de la paume politique qui renifle jusqu’au plat reflétant la dent en bouche : voter, mais cela resta sans suite, nous n’avions pas de draps. Bientôt, comme un martelé, comme une martelée, aussitôt, comme notre citron rouge, la terre fut rouge. Elle donna son accord non sans avoir crié auparavant qu’elle avait toujours autant envie de cul, et que si elle n’était pas satisfaite sous peu, elle se refuserait à nous, au citron rouge, au livre, aux maigres peaux qui retirent et les fémurs et les coccyx et les mandibules et les humérus et les métacarpes et les tarses pour les étreindre rapidement la nuit suivant la mort, juste avant que l’air sec ne s’en empare et que les dorades royales qui sont autant de véhicules que des anneaux de fourrures, ne viennent satisfaire nos songes. Ainsi, pour que la terre fut à nos côtés glanés par notre rouge, nous choisîmes trois héroïques, ils se dénudèrent, ils faillirent se dépecer, terre poussa encore cri et ils comprirent que ce n’était pas attendu, et s’assirent en terre, fesses contre terre, pour qu’elle soit calme, rassérénée, convaincue du bienfait de notre action, étant donné ce que nous étions prêt à lui concéder, tout de même, généralement la fesse assise est concédée en dernier. Elle n’est pas digne, la terre, mais elle est humaine. C’est d’ailleurs un enseignement que nous apprîmes ici. Pour nous rapprocher, pour survivre, nos corps se mirent à sonner nos antres. Ils voulaient qu’on y entre. Nous les firent visiter, mais pas au hasard. Chacun se choisit un sexe un soir, puis si ce sexe se perdit, à cause de la mort de son habitant par exemple, il ne pouvait en être récolté de suivant. Le citron rouge, son terrain, s’agrandit, c’est que le domaine avait attendu ce destin. Seuls nous ne le savions pas, et encore, nous le savions. Nos os rougissaient la nuit parfois quand c’était obscur devant nos yeux, ils perçaient l’enveloppe, que nous maintenions coûte que coûte, en offrant à l’ensevelissement, empêchant de dormir l’os qui rougeoyait dormait à l’étoile, les corps avilis et comme avinés de l’intérieur, qu’un diabète de soleil couchant attachait aux poteaux de nos artères funéraires. Nous formions des tas de corps et nos os glaçaient leur rouge leur citron rouge et il remontait à la surface et se déposait il se plaquait comme un reflet de lampe qui à cause d’une vitre se retrouve à l’extérieur en pleine nature et pleure par sa fièvre et le citron passait à travers nous, formait des croutes qui ne tardaient pas à s’évaporer dans le ciel de notre cabane au repos et que nous allions ensuite, la pyramide engagée, se démener à attraper les uns sur les épaules des autres, par groupe de deux, lançant les filets de cheveux qui poussaient de sous la terre de notre cabane au repos, où le citron s’était réveillé pour ne plus jamais s’assoupir même lors de la sieste et de la chaleur ahurissante qui alourdit et assourdit le disque de diadème que coiffe sur sa nuque l’été et sa bile de jamais, poussaient maladroitement sans donner suite, cheveux sans légumes, attaches, sangles, bornes sans vitamines. Nous savions donc que le rouge ferait son entrée, et nous étions sa cour. Nous nous rentrions les uns dans les autres et notre sang perdait de sa teinte de feuille fraîche mais née pour se désigner au rouge qui avec vertige pleure au sol parmi les décombres des citrons. Le rouge atterrit sur les guéridons palpables, trouvées dans notre imaginaire qui avait peuplé cet ici-bas-à-venir-rouge depuis fort jours, ces guéridons étaient aléatoirement transvasés et aucun n’avait aucun rapport avec les autres et aucun apport à se faire, simplement chacun en sa tête mentale choisissait des instants où au détour de rien ses pieds rencontraient nos guéridons et il s’esclaffait de devoir se baisser pour consoler son genou meurtri rouge comme le citron qui avait culbuté sur le guéridon, rouge par citron, rouge citron nous étions, citron donc rouge. Nos allées et venues aux toilettes bouillantes d’excréments ou bien aux cantines en terrasse qui bordaient nos piscines où nous allions rituellement noyer les yeux fichus dans les fourchettes qui étaient jetés par-dessus les barbelés par les habitants des bourgs environnants, pourquoi jeter ainsi des oeufs d’yeux, nous n’en avons jamais eu la moindre idée, et encore aujourd’hui d’ailleurs au paradis parfois le vendredi nous nous réunissons, entre vendredi et jeudi, et nous évoquons cette question, bien que la réponse importe seulement à la curiosité qui dans l’Eden resplendit, puisque avec ces yeux et ces fourchettes nous décidâmes de noyer, de planter en terre, de guérir des dos fulminants endoloris par le labeur du sommeil en plomb qui tirait sa vase empesée jusqu’à nos draps, jamais vus, afin de nous soutirer à l’air et que nous mourrions d’air à air (en effet cohérence : nous sommes venus par la narine réveillée, réveillés par la narine, nous n’avions dans les ventres bien évidemment jamais inspirés, nous avions été des mois sans la moindre poussière d’oxygène, et nous frémissions en même temps que la cadence de la narine trouvait son citron, et nous devions repartir par la narine après la course, narine qui par une offrande conquise par mégarde, se fermait et abattait son tissu sur nos espoirs de draps et de citrons rouges) ; c’est donc que ces yeux furent occupés. Ce qu’il reste à raconter, c’est que le rouge régna. Seuls les autres restèrent blancs, cloitrés dans le blanc céleste qui sera rongé aussi lentement que la pluie complète le ciel et ne laisse plus une place à un éclair. C’est faux. Le rouge n’avança pas vers les mers, il ne conquit pas. Mais il y en eut juste un peu. Sur nos pyjamas. Nous en trouvâmes et il se retrouva sur nos pyjamas. D’aériennes traces, faites au doigt, des bagarres représentées avec une seule tracée de corps sans tête, le rouge avait été. Le rouge fit ce que rien ni personne n’avait pu faire. Il ne fit strictement rien, mais ils comprirent que nous avions été sauvé. Ils se rangèrent en ligne, et sautèrent dans le gouffre qui avait été présent, ensemble, les mains jointes. Nous les pardonnâmes et nous nous enfuirent sauter les mains jointes, à ceci près que les ligaments de nos pieds furent mêlés. Notre entraide éclata, et tout disparut.
Que ce soit un citron ou un rouge, il se peut que cela se passe de Tout. Azazel retire entièrement au désert sa falaise, Il enseigne à fabriquer une épée à l’ange qui porte le fard à la paupière. J’attends le sacrifice du soir L’oiseau impur se présente et descend sur le corps, Chutes accidentelles de bris d’os qui tardent à s’embraser. Je te ferai connaitre que je t’ai aimé. Tout incline son visage, et il se passe de nous.
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“La congruence, c'est quand ça s'emboîte. Un humérus avec une omoplate, ça s'emboîte, c'est congruent. Un homme et une femme aussi, c'est congruent ! Mais bon apparemment, avec le mariage pour tous, maintenant, un homme et un homme aussi, une femme et une femme... Pourquoi pas avec des animaux !”
Université de Nantes - Cours d'anatomie.
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La chirurgie bariatrique malabsorptive associée au risque de fracture ostéoporotique
La chirurgie bariatrique, en particulier celle de type malabsorptive, est associée à un risque accru de fracture ostéoporotique majeure, selon une étude française présentée mardi au congrès de la Société française de rhumatologie (SFR) à Paris.
Il existe une altération de la résistance osseuse et une augmentation du risque fracturaire après chirurgie bariatrique, mais les études réalisées sur le sujet ont porté sur des populations jeunes (moins à risque de fracture ostéoporotique) et n'ont pas évalué ce risque en fonction du type de chirurgie, soulignent Julien Paccou du CHU de Lille et ses collègues dans le résumé de leur communication.
A partir de la base de données du programme de médicalisation des systèmes d'information (PMSI), ils ont identifié 16.840 patients âgés de 40 ans et plus, avec un indice de masse corporelle (IMC) supérieur ou égal à 40 kg/m2, ayant subi une chirurgie bariatrique entre le 1er janvier 2011 et le 30 juin 2012. Ils les ont appariés à des personnes obèses n'ayant pas subi de chirurgie bariatrique, en fonction de l'âge, du sexe, de l'indice de comorbidité de Charlson et de l'IMC. Les données ont été analysées sur 4,5 ans de suivi.
Le risque de fracture ostéoporotique majeure (hanche, humérus, avant-bras, vertèbre) était significativement augmenté de 42% dans le groupe opéré par rapport au groupe témoin, avec 174 cas contre 123 cas, respectivement.
Il y avait en particulier un risque accru de fracture de l'avant-bras (+73%), tandis que le risque de fracture de hanche n'était pas significativement augmenté.
Le risque de fracture ostéoporotique majeure était significativement augmenté avec la chirurgie malabsorptive (bypass gastrique par Roux en Y, dérivation bilio-pancréatique), d'un facteur 2,29, mais il n'était pas associé à la chirurgie restrictive (anneau gastrique et sleeve gastrectomy).
"Dans cette étude de cohorte rétrospective basée sur la population française, chez des patients âgés de 40 ans ou plus, la chirurgie bariatrique était associée de manière significative à un risque accru de fracture ostéoporotique majeure, et cela tout particulièrement avec les procédures malabsorptives", concluent les auteurs.
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"C'est la première fois qu'on trouve un descendant direct de ces deux groupes", explique la coauteure de l'étude publiée mercredi.
Il était une fois, il y a 50 000 ans, une Néandertalienne et un Dénisovien, deux espèces de la lignée humaine. De leur union naquit une enfant, comme le prouve un minuscule fragment d'os, dont l'analyse vient de faire l'objet d'une étude (en anglais), publiée mercredi dans Nature. "C'est la première fois qu'on trouve un descendant direct de ces deux groupes", explique Viviane Slon, de l'Institut Max-Planck d'anthropologie évolutionniste de Leipzig en Allemagne, coauteure de l'étude.
Découvert en 2012 dans une grotte des montagnes de l'Altaï en Sibérie, près de la frontière actuelle entre la Russie et la Mongolie, ce petit os de 1,5 cm surnommé "Denny" (son nom scientifique est "Denisova 11") par les chercheurs, appartenait à une adolescente d'au moins 13 ans, vivant il y a "plus de 50 000 ans", selon ce qu'en dit leur étude. L'os viendrait de son fémur, de son tibia ou de son humérus. La grotte où elle est décédée, dite de Denisova, était déjà célèbre pour avoir livré les premiers reste fossiles de l'Homme de Denisova, des fragments d'une phalange d'auriculaire.
En analysant "Denny", des généticiens sont parvenus à distinguer les chromosomes que la jeune femme a hérités de son père et de sa mère. Pas de doute pour eux, ils lui ont été légués par une Néandertalienne et un Dénisovien.
J'ai d'abord pensé qu'il y avait eu une erreur en laboratoireSvante Pääbo, coauteure de l'étudeà l'Agence France Presse
"Ils ne semblaient pas avoir de préjugés les uns envers les autres"
Les Dénisoviens et les Néandertaliens se sont séparés il y a entre 400 000 et 500 000 ans, devenant deux espèces distinctes du genre Homo (les Homo sapiens en formant une autre). L'homme de Néandertal a disparu de la surface de la Terre il y a environ 40 000 ans, pour une raison toujours inconnue. Les Dénisoviens se sont également éteints mais l'on ne sait pas exactement quand.
"Néandertaliens et Dénisoviens n'ont peut-être pas eu beaucoup d'occasions de se rencontrer. Mais quand cela arrivait, ils ne semblaient pas avoir de préjugés les uns envers les autres", note Svante Pääbo, qui est à l'origine de l'identification de l'Homme de Denisova.
Ils devaient s'accoupler fréquemment, beaucoup plus que ce que nous pensions auparavant, sinon, nous n'aurions pas été aussi chanceux.
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