#homme de Tautavel
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sushis4kalyo · 2 years ago
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L'homme de Tautavel 💀
Petit tour au musée de Tautavel aujourd'hui.
TrÚs sympa, beaucoup d'outils en pierre. D'ailleurs heureusement qu'ils précisent quel était leur usage car à part certains silex caractéristiques, je n'aurais pas vraiment su les différencier de pierres classiques.
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Reconstitution de la grotte. On ne voit pas bien mais le sol est jonchĂ© d'ossements d'animaux car ils mangeaient absolument tout : muscle, cervelle, moelle ... Et ce qui me surprend c'est qu'autant ils s'habillaient avec des peaux ... mais ils marchaient pieds nu lĂ  dedans ? Ça me surprend qu'ils n'Ă©vacuaient pas les os ... Ça devait bien faire mal aux pieds ...
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MĂȘme qu'entre 2 parties de chasse, l'homme de Tautavel allait faire du mini-golf ! 😂
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antikorg · 4 years ago
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Pesticides : les habitants de Tautavel privĂ©s d’eau potable
Pesticides : les habitants de Tautavel privĂ©s d’eau potable
29 juillet 2020
Depuis le 10 juin, les habitants de Tautavel (PyrĂ©nĂ©es orientales) ne peuvent plus consommer l’eau du robinet, car celle-ci prĂ©sente un taux de pesticides trop Ă©levĂ©. Les habitants de Tautavel sont obligĂ©s d’aller chaque jour se ravitailler en bouteilles sur le parking du palais des congrĂšs.
Le village pyrénéen est connu pour avoir abrité des hommes et femmes préhistoriques,

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rentscoot · 5 years ago
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Balade dominicale pour des PĂšres NoĂ«l Ă  mobylette d’ArgelĂšs-sur-Mer
bande de copains. Ils ont gardé la passion de leur jeunesse pour ces drÎles de deux roues.
Vintage mob 66 est un groupe de copains passionnĂ©s de mobylettes. Sous la houlette de StĂ©phane Dieulle, prĂ©posĂ© Ă  l’organisation, une manifestation est organisĂ©e environ une fois par mois, le samedi ou le dimanche. La quarantaine de potes, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, enfourche alors leurs montures pour une balade d’environ 150 km, avec le prĂ©texte de visiter le dĂ©partement, autour d’un thĂšme souvent en rapport avec la saison. C’est ainsi qu’ils se sont retrouvĂ©s Ă  Banyuls-sur-Mer pour la fĂȘte des vendanges, Ă  Leucate pour dĂ©guster des huĂźtres, Ă  Tautavel
 Parfois, la bande va beaucoup plus loin : « De temps en temps, on organise une grosse balade d’une semaine : on a fait l’Andorre, Biarritz, Millau et au printemps dernier certains d’entre nous ont mĂȘme fait la Corse ! On a Ă©galement, une fois par an, en septembre, un rassemblement national Ă  Graulhet dans le Tarn. Bien entendu, quand on va loin comme ça, on organise une assistance technique : un vĂ©hicule nous suit, avec les bagages et le matĂ©riel pour les rĂ©parations « .
Ce dimanche 29 dĂ©cembre, comme d’habitude, mais dĂ©guisĂ©e en PĂšre NoĂ«l, c’est devant Le TrĂšfle, le cafĂ© PMU de la plage, que la bande s’est rassemblĂ©e vers 10 h. Direction Saint-Cyprien, puis AlĂ©nya, Elne, Ortaffa avant de se diriger vers CĂ©ret et le Vallespir.
La plupart des mobylettes datent des annĂ©es 1970 Ă  1990, certaines des annĂ©es 1950. Les copains sont des nostalgiques, mais certains, comme Matthieu, 14 ans, sont nĂ©s bien aprĂšs la commercialisation de ces cyclomoteurs aujourd’hui vintage.
« J’ai connu ça grĂące Ă  mon pĂšre, et aujourd’hui, je participe aux sorties parce que j’aime bien« . La relĂšve est assurĂ©e, ces mobylettes ont encore de beaux jours devant elles !
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calendrierlavin2018 · 6 years ago
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Jour 5 - CĂŽte Ă  cĂŽte
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CĂŽte Ă  cĂŽte
Une fois encore, c’est une histoire de changement de cap, d’un pĂ©riple vers une vie meilleure, oĂč tout ce qu’on a fait et tout ce qu’on fera est et sera d’ĂȘtre pleinement en accord avec son for intĂ©rieur. Être et faire ce qui est juste pour soi. Plus de barriĂšres, une seule ligne de mire : la recherche constante d’émotions, de virĂ©es Ă©piques entre nature et humanitĂ©.
Il faut imaginer que ce que je vais vous conter (c’est la pĂ©riode des histoires, des contes qui si la fin n’est pas belle nous enseignent au moins quelque chose) a sa bande son, en plus des images, des mots que je m'apprĂȘte Ă  vous confier.
Il y a mon anniversaire. Un peu avant la fĂȘte surprise que mon Elle a programmĂ©, je discute en voiture avec mon fils. Ce que vous saurez ici c’est qu’il apprend l’alto depuis 4 ans et qu’il est fan de Bpm (le beat/battement par minute), la musique Ă©lectro.  Comme tout bon papa, je partage, discute de mon choix et suis Ă  l’écoute des siens. LĂ , je lui fais Ă©couter la source de mes rĂ©centes Ă©motions musicales avec le duo « The Blaze » et le morceaux « She » de leur album « Danhehall ». On parle importance de l’écho, de la voix trafiquĂ©e mais trĂšs humaine, ça semble venir du trĂ©fonds. On tend l’oreille vers la mĂ©lodie, la rythmique trĂšs physique aux boucles rĂ©pĂ©titives. Quelques heures plus tard, je bois le prĂ©sent de mon ami Bertrand Denizot de la cave-restaurant L’Accord Parfait Ă  Lavaur (81). C’est « Sur le Zinc » de ChloĂ© Barthet et FrĂ©dĂ©ric Almazor.  Du FaugĂšres  de potes, de clin d’yeux complices !
Quelques semaines passeront. Et un samedi soir, je rencontre ChloĂ© en fin du salon qu’a organisĂ© Bertrand pour notamment fĂȘter les 5 ans de sa cave. Elle est en pause, pas moi. Sa gamme, son sourire qui  croque la vie, puis tout Ă  coup dans le verre le vin nommĂ© « CĂŽte Ă  cĂŽte ». Un bouchon sur la table, dessinĂ© dessus deux silhouettes qui semble vous saluer, les pieds ancrĂ©s dans la colline.  Je n’ai jamais ressenti le phĂ©nomĂšne de synesthĂ©sie, soit un bouleversement des perceptions sensorielles, un trouble, disent certains, oĂč les sens s’associent. Par exemple une lettre, un mot seront ressentis comme une couleur, une forme. Moi je n’en « souffre » pas, j’emploie simplement la synesthĂ©sie en figure de style comme, pour ne citer qu’eux, Rimbaud et Baudelaire.
« Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,  Doux comme les hautbois, verts comme les prairies »
Syrah, mourvĂšdre, grenache, carignan, avalĂ©s, Ă  l’intĂ©rieur, et revient alors le tempo de The Blaze
 Une rythmique qui va crescendo comme le choix d’une vie quand il est bon. Janvier 2016, Richard et Victor, deux coopĂ©rateurs (l’un des deux ne voudra jamais revenir sur ces terres qu’il aimait tant) se sĂ©parent de leur terre et passent le relais Ă  ChloĂ© et Fred.  CĂŽte Ă  cĂŽte, entre les collines, entre Sol y sombra, elles et il dĂ©sirent. Sur cet ilot enchĂąssĂ© de schiste, entourĂ© de bois, un couple, une petite fille Ă  venir. Qui des deux du couple a embrasĂ© l’espĂ©rance de meilleur pour une vie de vignes ? Il y eut l’humanitaire au Mali seule, l’entreprise entre pĂ©trole et gaz pour le rencontrer, et en duo l’envie de vie, de vins. Une envie nĂ©e puis entretenue depuis un loft de Notting Hill, quartier de Londres oĂč ChloĂ© travaillait pour un importateur de vins. Fred continue dans la partie direction financiĂšre. Puis c’est la lecture du livre de Catherine Bernard, une femme qui raconte son changement de vie de ville en vignes. Ça inspire, donne le souffle nĂ©cessaire. Si un jour ils ont jetĂ© les angoisses urbaines par la fenĂȘtre c’est pour rester debout. Ils ont fait table rase pour un futur qui se finira sur le zinc. A se rĂ©galer la Vie jusqu’à satiĂ©tĂ© et perte de vue.
Ah ça, ils en ont caressĂ© des cĂŽtes ! Du RhĂŽne jusqu’à celles de leur terre de FaugĂšres. Ici, entre schistes bleus et grĂ©seux, la succulence des Ă©pices, de la garrigue, pas forcĂ©ment l’exubĂ©rance du cassis, de la groseille, fraise comme d’autres mais une sacrĂ©e fraĂźcheur Ă  ciseler sur 5 hectares dĂ©jĂ  bio. Une partition Ă  jouer entre nadir et zĂ©nith, la course du soleil pour repĂšre, leurs gestes en adĂ©quation avec les saisons.
Le WSET niveau 4, la formation BPREA à Aix, les apprentissages chez les domaines de Belhambrée à Puyricard et Gourt de Mautens, JérÎme Bressy, Tautavel, tout ça palpite dans les veines de Chloé.
J’ai bu une gorgĂ©e de CĂŽte Ă  cĂŽte et j’ai vu tout ça (Bon j'avoue pour les noms, les adresses je les ai obtenues au tĂ©lĂ©phone  il y a quelques jours). J’ai Ă©coutĂ© Ă  nouveau de l’électro en Ă©crivant cette histoire et il m’a semblĂ© apercevoir les silhouettes d’un homme et une femme grimper une colline, celle du levant. Un son de clavier, des tempos comme un essoufflement entre vignes enherbĂ©es, un Ă©merveillement, une envie de bouger sa tĂȘte de gauche Ă  droite, oui, Oui, se dire j’y suis arrivĂ©e et main dans la main, au sommet, regarder l’autre colline en face, celle du couchant oĂč la syrah est plus fraĂźche, se tourner vers lui, lui Fred, lui dire : A prĂ©sent, je vais te former. Pour le chai, on verra plus tard et puis sinon... Sinon on demandera Ă  JĂ©rĂŽme Rateau s'il peut nous faire de la place. Sourire, Rire, la main libre sur le ventre.  Sentir l’accord d’Erin Ă  venir. Avenir.
Merci Eva, CĂ©line Oh Capitaine, mon Capitaine, Philippe de m'avoir inciter Ă  Ă©crire un jour
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Franck - Buveur de poĂšmes
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