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Donne chienne berger créole 7 ans - Somme à heudicourt https://www.chiensadonner.com/ads/malinoise-7-ans-somme/
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Choisir son expert-comptable à Heudicourt - 6 critères incontournables
La région de Heudicourt compte moins de 10 experts-comptables. En tant qu’entrepreneur, dirigeant ou créateur, cela vous fait donc autant de possibilités pour choisir l’expert-comptable adéquat qui vous
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209,000 €
285m² / 3067ft²
Heudicourt-sous-les-Côtes, Meuse, Grand Est, France.
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Elmar3.5/3,5 cm/ Entre Longchamps et Heudicourt (Eure)
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Illustrated WWI on Jun 16
New-York Tribune Jun 16 1918 Building a Battleship
The Sphere Jun 16 1917 British troops at the storming of Heudicourt Village
The Sphere Jun 16 1917 The Flemish coast
The Sphere Jun 16 1917 Artillery on the Belgian coast
The Sphere Jun 16 1917 Man of the moment in Russia, Kerensky
Jun 16 1915 Illustrated War News - Bombarding Russian heavy guns with caterpillar wheels
Jun 16 1915 Illustrated war news- German breaches of the Hague conventions
Jun 16 1915 Illustrated War News A scene from Battle of Shaiba #OTD Apr 12 1915 - Apr 14 1915 The magazine claims that the 3-day battle was the biggest the Indian Army has ever been in. The Imperial Ottoman Army was trying to retake Basra from the British
Jun 16 1915 Illustrated war news - storming of Notre Dame de Lorette fortifications, Ypres
Jun 16 1915 Illustrated war news German painting of British surrendering in mass at Gallipoli
Jun 16 1919 Cartoon about Mexico-American Battle of Ciudad Juárez - Published by the Polish Daily, Dziennik Chicagoski in Chicago, Ill
Polish: Amerykainie na granicy Znowu Sie Ukazuje Mexyk
English: Americans on the border Again It Shows Mexyk
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Gandini and Giugiaro battle! (à Heudicourt, Haute-Normandie, France) https://www.instagram.com/p/B2MpwcJi3iw/?igshid=1pl1ptjrjopd0
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Foto AK - Soldaten Feldküche in Heudicourt Frankreich - 1.WK
Foto AK – Soldaten Feldküche in Heudicourt Frankreich – 1.WK
Foto AK – Soldaten Feldküche in Heudicourt Frankreich – 1.WK Price : 20.00 Ends on : [readable_time]2020-03-03 16:24:55[/readable_time] View on eBay
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Lac de Madine in Heudicourt-Sous-Les-Côtes, Lorraine, France
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Bonne de Pons, Marquise d'Heudicourt
Bonne de Pons, Marquise d’Heudicourt
Bonne de Pons was born between 1641 and 1644 in Poitouto Pons de Pons, Seigneur de Bourg-Charente, and his wife Elisabeth de Puyrigaud. Bonne is the youngest of the couple’s three children, having an older brother, Renaud de Pons, and an older sister, Marie Elisabeth de Pons. Bonne’s family was of old nobility and related to many great names, among them César Phoebus d’Albret, Comte de Miossens,…
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#Bonne de Pons#Bonne de Pons d&039;Heudicourt#César Phoebus d’Albret#Louis XIV mistress#Marie Elisabeth de Pons
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La famille Denaes et l’obligation de quitter la culture de la terre
La lecture du livre d’Eugen Weber intitulé « La fin des terroirs » m’a remis en mémoire un phénomène que j’avais observé de façon très forte au cours de mes recherches sur les descendants de mes ancêtres Jean François DENAES (1786- 1861) et Marie Jeanne CHRISTELEIN (1792- 1827), alors que j’avais eu à contacter beaucoup de porteurs du nom DENAES.
J’ai pu constater que des DENAES avaient fait souche ailleurs que dans la Flandre et ce, depuis plusieurs générations. Cette migration était certainement nécessaire car il s’agissait souvent de familles nombreuses et il n’y avait pas de terres à cultiver pour tout le monde. La création des chemins de fer du Nord, en 1845, a aussi été une belle opportunité de carrière pour beaucoup de DENAES.
Comme nombre de ses contemporains, Jean François DENAES a été cultivateur à Lynde puis à Oxelaëre. Parmi ses sept enfants, les deux filles se sont mariées avec deux frères DEREEPER, l’un meunier, l’autre charpentier de moulin. Un fils est mort à l’âge de cinq ans et un autre est décédé sans postérité à l’âge de soixante-deux ans. Deux autres fils sont devenus cultivateurs, l’un à Cassel, l’autre à Oxelaëre tandis que l’antépénultième fils, Pierre François DENAES, a fait carrière dans la gendarmerie.
tableau réalisé avec l’aide de Paul-Antoine Salvetti
Il demeurait à Paris lorsqu’il a épousé, en 1847, une jeune fille originaire d’Oxelaëre, Blondine Catherine SMAL qui avait vingt-sept ans comme lui. Dans l’état-civil reconstitué de la ville de Paris, on trouve juste la mention de leurs noms et prénoms ainsi que la date du mariage.
Je ne leur ai trouvé qu’un seul et unique enfant, né quatorze ans après leur mariage, à Brou dans l’Eure et Loir. Edmond Gaston Albert DENAES est né le 20 mai 1861 à la caserne de gendarmerie de Brou qui se trouve rue de la Fresnaye. Ses parents avaient alors quarante ans et Pierre François était brigadier de gendarmerie.
Bizarrement, en consultant le recensement de 1861 de Brou, je constate que cet enfant que je suppose tant désiré, ce petit bébé de trois jours seulement était placé en nourrice chez Jacques et Madeleine LANNOY, un couple de cultivateurs de trente-six et trente-deux ans avec deux filles âgées de dix et trois ans qui demeuraient faubourg Saint Jean. Dans le même recensement, je trouve Pierre François DENAES et son épouse Catherine SMAL à la caserne de gendarmerie….. avec deux neveux Marie PENIGUEL, 9 ans et Gaston PENIGUEL, 6 ans. Ces enfants étaient-ils seulement de passage ou étaient-ils à leur charge ? En tous les cas, je n’en trouve plus mention dans le recensement de 1866 où Pierre François DENAES vit avec son épouse et son fis de cinq ans dans la caserne de la gendarmerie de Brou. Quatre autres gendarmes et leurs familles respectives vivent également dans la caserne.
C’est alors qu’il était à Brou que Pierre François a eu connaissance de sa nomination au grade de chevalier de la Légion d’Honneur par décret du 26 décembre 1864. Dans son dossier, je constate qu’il a obtenu la médaille militaire par décret du 25 juin 1859 pour ses services en qualité de brigadier de gendarmerie à la force publique de l’armée d’Italie. Je peux lire qu’il est à Châteaudun, toujours en Eure et Loir, en 1872 et effectivement je le retrouve, lors du recensement de 1872, avec sa femme et son fils de dix ans demeurant cloître saint Roch à Châteaudun. Il est alors qualifié de rentier. On peut penser qu’il a été admis à faire valoir ses droits à la retraite à l’âge de cinquante ans, soit en 1870. Puis il fait savoir à la Grande Chancellerie de la Légion d’Honneur qu’il a transféré son domicile à Paris à partir de 1873.
Je retrouve cette famille treize ans plus tard au 23 rue Salneuve dans le 17° arrondissement de Paris, où décède Catherine SMAL, le 1° février 1886. Pierre François meurt trois ans plus tard, le 14 mars 1889. En 1886 et 1889, Pierre François DENAES est qualifié d’employé. Exerçait-il un emploi rémunéré afin d’apporter un complément de revenu à sa solde de gendarme ? Edmond avait alors vingt-huit ans et il se retrouvait seul dans le grand appartement familial.
Edmond avait gardé des contacts avec la famille du Nord car il lui a adressé le faire-part de décès de son père qui est parvenu jusqu’à moi, pour la convier aux obsèques de Pierre François DENAES en l’église des Batignolles et à son inhumation au cimetière Montparnasse. Par contre, je suis surprise de ne pas retrouver trace des enfants PENIGUEL sur le faire-part de décès.
Cinq ans après le décès de son père, Edmond va épouser une jeune fille avec qui il s’était mis en ménage et qui est enceinte de ses œuvres. C’est le 14 avril 1894 qu’il épouse, en la mairie du 17° arrondissement, Léontine Félicie SERY qui a quatre ans de moins que lui et qui a vu le jour à Heudicourt, dans la Somme. Leur seul et unique enfant, Albert François Edmond DENAES, naîtra le 30 juin 1894, mais bizarrement, sur l’acte de naissance, toute la famille est notée comme habitant au 23 rue de Saussure et non plus au 23 rue Salneuve. Je me demande s’il n’y a pas une erreur de transcription d’autant qu’il est mentionné que Léontine a accouché au 21 rue de Saussure.
Je sais qu’Edmond sera employé à la Société Générale de Crédit Industriel et Commercial à Paris et qu’il recevra la médaille d'honneur du Ministre du Commerce et de l'Industrie (promotion du 14.07.1911).
Sur le site des Archives de Paris, j’ai trouvé la date de décès de Léontine SERY qui est partie bien vite après le décès de son fils unique Albert, le 4 juillet 1916. Albert est décédé au 10 rue Ambroise Paré, dans le 10° arrondissement de Paris. Il s’agit, en fait, de l’hôpital Lariboisière. Il était donc malade mais il n’est pas considéré comme mort pour la France. Je ne sais pas s’il a combattu durant la guerre 14-18 ou s’il a été réformé parce que souffrant.
A son décès, Albert était qualifié d’employé et ne demeurait plus avec ses parents. Il avait élu domicile dans une petite impasse de Montmartre appelée cité Germain Pilon au numéro 10, alors que ses parents demeuraient au 38 avenue de Suffren dans le 15°, non loin de la Tour Eiffel.
Léontine SERY est également décédée à l’hôpital, le 9 février 1919, au 47 rue Jacob où se trouvait l’hôpital de la Charité qui a été détruit entre 1935 et 1937. Sur son acte de décès, il est fait mention qu’elle et son époux demeuraient au 79 rue de Provence dans le 9° arrondissement de Paris. Léontine avait seulement cinquante-trois ans lorsqu’elle est décédée. A-t-elle succombé à la grippe espagnole qui a fait énormément de victimes à la fin de la guerre 1914-1918?
J’ai voulu retrouver une trace de cette famille en me rendant au cimetière du Montparnasse, où je savais que Pierre François DENAES avait été inhumé en 1889. Mais il n’ y a plus rien. Un employé du cimetière m’a informé que les ossements de Pierre DENAES avaient été transférés à l’ossuaire du Père Lachaise, le 15 avril 1997. Il en est de même pour son petit-fils Albert qui avait donc été inhumé dans la tombe familiale. Par contre, son fils Edmond n’a pas été enterré au cimetière du Montparnasse.
J’ai donc repris mes recherches sur le site des Archives de Paris pour trouver la date de décès d’Edmond.Je n’ai rien trouvé dans les tables décennales de 1913 à 1922 et de 1923 à 1932 pour chacun des vingt arrondissements de Paris.J’ai donc continué dans la table annuelle de 1933 en choisissant le 9° arrondissement qui était la dernière adresse connue d’Edmond.Et là, mon attention a été attirée par un acte au nom de DENAESSE Edouard? Et c’était effectivement lui, Edmond DENAES. Il est décédé le 21 juillet 1933 à Paris 13° au 83 boulevard de l’Hôpital c’est à dire à la Pitié-Salpétrière. La déclaration de son décès a été faite par un employé de l’hôpital qui ignorait tout de lui au point de déformer son nom et son prénom. Il savait seulement qu’il avait soixante-douze ans, qu’il avait travaillé dans une banque et qu’il était veuf. Il est dit habiter au 55 rue de Provence et non plus au 79, être né à Doule et non à Brou et les noms de ses pères et mères étaient inconnus du déclarant, Agapit DELRUE.
Avec le décès d’Edmond DENAES qui s’est éteint dans l’anonymat le plus total, c’est toute une branche des DENAES qui a disparu pour toujours.
Le père de Jean François DENAES avait un cousin germain, Dominique Winoc Joseph DENAES qui était cultivateur à Hondeghem et qui a eu quatorze enfants. Parmi ceux-ci, j’en ai sélectionné deux, Pierre Joseph DENAES (1787- 1869) et Pierre Jean DENAES (1789- ) qui illustrent parfaitement mon propos, à savoir que leur descendance a quitté massivement la culture de la terre et pour certains, se sont éloignés définitivement de la campagne flamande.
tableau réalisé avec l’aide de Paul-Antoine Salvetti
Pierre Joseph DENAES (1787- 1869) a été d’abord tisserand mais aussi cultivateur à Hondeghem puis à Morbecque mais il a fini ses jours comme journalier. Son épouse, Catherine RUCKEBUSCH qu’il avait épousée en 1813, lui a donné onze enfants dont au moins quatre sont morts en bas âge. Les quatre garçons survivants ont tous fondé une famille mais seuls les enfants du fils aîné Charles Louis DENAES (1814- 1896) ont choisi de faire carrière dans les chemins de fer du Nord. Ils arrivaient probablement sur le marché du travail à une époque où l’embauche était massive. Il fallait construire des kilomètres de voies ferrées.
Charles Louis DENAES était tordeur d’huile, il a vécu à Hazebrouck une quinzaine d’années après son mariage avec Reine GLORIE puis il est parti à Strazeele autour de l’année 1856. Il a eu douze enfants dont la moitié sont morts jeunes ou très jeunes. Parmi les six garçons survivants deux sont partis travailler aux chemins de fer mais les enfants d’autres frères suivront la même voie.
Lorsqu’il s’est marié, en 1877 à Strazeele, avec Marie BONTEMPS, Théophile DENAES (1852- 1944) était encore tordeur d’huile comme son père. Sa fiche matricule indique qu’il a été incorporé au 25° régiment d’artillerie le 5 mars 1874 et qu’il a été envoyé en congé de l’armée le 5 octobre 1877. Un mois plus tard il épousait la mère de son fils Henri qui avait vu le jour le 6 juin 1877 dans les Vosges d’où elle-même était originaire. A la naissance de son second fils, en 1880 à Hazebrouck, il est dit contremaître et à celle de son troisième fils, en 1887, il a pour profession garde-frein. La fiche matricule indique qu’il est employé au chemin de fer du Nord comme graisseur à Hazebrouck depuis le 16 octobre 1880. En 1903, au mariage de son deuxième fils, il est devenu conducteur de train.
Ses trois fils ont tous travaillé au chemin de fer. Henri DENAES (1877- 1955) a, comme son père, épousé une jeune vosgienne, Marie Angélique ANTOINE, en 1900. Sur l’acte de mariage, il est indiqué qu’il est employé au chemin de fer domicilié de fait à Lille (où il travaille) et de droit à Calais (où résident ses parents). Au mariage de son frère, en 1903, il est garde-frein à Beauvais mais en 1906, il est de retour à Calais.
Le second fils, Emile DENAES (1880- 1958) travaillait également au chemin de fer lorsqu’il s’est marié, en 1903 à Hazebrouck, avec Marthe VANHOVE. On le retrouve à Calais en 1906, à la naissance de sa fille Raymonde. Il est alors receveur au chemin de fer du Nord. Sur sa fiche matricule, il est noté qu’il était chef de bureau à la gare de Calais en 1927.
Le troisième fils Louis DENAES (1887- 1940) s’est marié à l’âge de dix-huit ans, en 1905 à Calais, avec Isabelle BEGHIN, une fille de cheminot, qui en avait seulement dix-neuf. Il avait certes une profession, employé au chemin de fer, mais il n’avait pas encore accompli ses obligations militaires. Il sera incorporé au 8° régiment d’infanterie à Calais du 8 octobre 1908 au 25 septembre 1910. Il n’était pas loin de sa jeune épouse mais il ne pouvait pas rentrer tous les soirs chez lui et devait attendre d’avoir une permission pour cela. Tant et si bien que l’épouse s’est lassée d’être seule et elle s’est consolée dans les bras du frère de la femme du cousin Charles DENAES (cité ci-dessous). Leur divorce a été prononcé le 24 décembre 1909 et Isabelle BEGHIN se remariait avec Adolphe VERHÉE qui travaillait également aux chemins de fer du Nord, le 24 septembre 1910 à Coudekerque-Branche. Quant à Louis DENAES, il épousera un peu plus tard, le 25 mai 1912, alors qu’il était pointeur au chemin de fer à Hazebrouck, une jeune-fille de ce lieu, Marie ROELS. Ses parents avaient refusé de donner leur consentement à ce mariage suite à la notification que leur avait faite Maître LAVERSIN, notaire à Hazebrouck. Néanmoins, la mariée étant majeure, le mariage a pu se conclure. Sur la fiche matricule de Louis DENAES, il est indiqué qu’il était conducteur de train à Calais en 1927 et qu’il est décédé le 28 janvier 1940 à Laon.
Désiré DENAES (1855- 1951) s’est marié à Strazeele le 2 octobre 1877 avec Eugénie DOUAY et deux jours plus tard naissait son fils Alphonse. Désiré était alors désigné comme ouvrier au chemin de fer. Le couple s’est ensuite installé à Merris où est né et décédé leur deuxième fils en 1882 puis on le retrouve à Bailleul, hameau d’Outtersteene, à la naissance de son troisième fils, en 1884. En 1886, Désiré était qualifié de cantonnier et son épouse Eugénie avait un emploi de garde-barrière. En 1890, il était garde-nuit. En 1911, au mariage de sa fille Marguerite, Désiré était retraité et habitait avec son épouse à Hazebrouck.
Parmi les enfants de Désiré DENAES seul Alfred DENAES (1877- 1963) a opté pour les chemins de fer. Lorsqu’il s’est marié, le 26 juillet 1905 à Hazebrouck, avec Gabrielle TROTTEIN, il était employé au chemin de fer. Sur sa fiche matricule, il est noté qu’il était terrassier à La Madeleine en 1897 mais en 1911 il était cabaretier à Hazebrouck. J’aurais pu comprendre qu’il ait quitté les chemins de fer après son amputation du medius de la main gauche durant la guerre 1914-1918 mais pourquoi quelques années avant la première guerre mondiale ?
Léon Gustave DENAES (1849- 1897), un autre frère de Théophile et de Désiré DENAES n’a pas fait carrière dans les chemins de fer (il était tanneur) mais plusieurs de ses fils ont choisi d’y travailler.
Lorsqu’il s’est marié le 24 janvier 1899 à Vieux-Berquin avec Marie-Louise GAMELIN, Jules DENAES (1873- 1900) était employé de chemin de fer. A la naissance de sa fille Emilienne, l’année suivante, le couple demeurait à Vieux-Berquin, rue de Cassel. Un peu plus de cinq mois après la naissance d’Emilienne, le 4 octobre 1900 à vingt et une heure trente, Jules était retrouvé mort dans une dépendance de la gare de Strazeele où il travaillait. Il avait vingt-six ans. Que s’est-il passé ? Je l’ignore.
Son frère Charles DENAES (1875- 1945) s’est également marié à Vieux-Berquin. Il a épousé Eudoxie VERHÉE le 30 novembre 1901, il était employé au chemin de fer et demeurait alors à Strazeele. Mais à partir de 1906, on le retrouve à Calais, non loin de la gare des Fontinettes, au 37 rue Cambronne, où son épouse mettra au monde trois enfants nés sans vie ou morts dans les jours suivant la naissance. L’état-civil de Calais en ligne ne me permet pas de savoir s’il y a eu d’autres enfants et quand Eudoxie est décédée. Charles s’est remarié avec Elise REBIER le 7 juin 1924 à Calais. Leur fils Marcel est né l’année suivante, le 7 mai 1925. Il se distinguera durant la guerre 1939-1945 pour des actions dans la Résistance.
Un autre frère, René DENAES (1876- 1951) était ouvrier presseur de paille lorsqu’il s’est marié à Juliette VANHOVE, en 1901 à Vieux-Berquin. Mais à la naissance de son fils Léon (1902- 1980) qui lui aussi travaillera aux chemins de fer, il était dit homme d’équipe. Sa fiche matricule nous précise bien qu’il est employé au chemin de fer du Nord à partir de 1902.
Enfin, Abel DENAES (1865- 1940), un autre frère de Théophile et Désiré, ne fera pas, lui non plus, carrière au chemin de fer (il a été meunier puis commissionnaire en engrais en 1911) mais son fils Louis DENAES (1904- 2003) deviendra chef de gare.
tableau réalisé avec l’aide de Paul-Antoine Salvetti
Pierre Jean DENAES a évolué dans le périmètre Hondeghem- Wallon Cappel- Lynde où il était journalier. Il n’était donc pas cultivateur comme son père mais prêtait ses bras à un ou plusieurs cultivateurs. Ses enfants n’ont donc pu compter que sur eux-mêmes. Leur jeunesse et leur force étaient leur seule richesse. Au moment de leur arrivée sur le marché du travail, la Compagnie des Chemins de Fer du Nord venait d’être créée.
C’est Pierre Joseph DENAES (1820- 1902) qui ouvrit sans doute la voie à une longue lignée de cheminots dans la famille. Lorsqu’il s’est marié, le 1° août 1855, il était qualifié d’ouvrier employé au chemin de fer. Ses deux premiers enfants sont nés à Lynde en 1856 et 1857. Puis on retrouve la famille à Bailleul, en 1860, à la naissance de Léonie Antoinette. Pierre Joseph est garde-haies au chemin de fer et son épouse Marie Catherine LUCHIÉ a trouvé un emploi de garde-barrière. A la naissance de leur fils Charles Théophile, le 28 juin 1864, le couple demeurait à Wallon-Cappel. Pierre Joseph était cantonnier au chemin de fer tandis que son épouse était toujours garde-barrière. Ils habitaient donc vraisemblablement dans une maison de la Compagnie des Chemins de Fer du Nord située à proximité d’un passage à niveau. Au mariage de leur fils aîné, en 1882, Pierre Joseph est devenu chef cantonnier par contre son épouse ne travaille plus.
Ce fils aîné, Henri Louis DENAES (1856- ) est également employé de chemin de fer, au moment de son mariage avec Zoé STECULORUM, le 11 octobre 1882 à Wallon-Cappel. Sa fiche matricule indique qu’il a été graisseur à Hazebrouck du 23 mars 1883 au 1° novembre 1902, date à laquelle il a été libéré définitivement du service militaire. Il avait fait quatre ans de service au 27° régiment d’artillerie, de 1877 à 1881. Je pense que le couple n’a pas eu d’enfants car, au recensement de 1906, ils demeurent à deux à Hazebrouck.
Un autre fils, Charles Théophile DENAES (1865- 1907) était sans profession au moment de son mariage en 1890. Il venait d’être libéré de ses obligations militaires. Il avait été engagé volontaire pour cinq ans pour les équipages de la flotte stationnés à Cherbourg en qualité d’apprenti marin. Mais il a très vite trouvé un emploi au chemin de fer, en qualité de garde-freins, d’abord à Lens puis ensuite à Hazebrouck. En 1899, il était conducteur au chemin de fer et en 1902, chef de train. A son décès, en 1907, il était déjà retraité à quarante-deux ans mais peut-être était-il en invalidité ? Je pense, en effet, qu’il devait être souffrant depuis un certain temps parce qu’en mars 1904 il n’avait pas pu se déplacer jusqu’à la mairie pour déclarer la naissance de sa fille pour cause de maladie. Son frère, Henri Louis qui a déclaré son décès à la mairie d’Hazebrouck était également retraité alors qu’il avait cinquante-deux ans.
Un frère de Pierre Joseph DENAES, Justin Alexandre DENAES (1824- 1902) est qualifié simplement d’ouvrier, lors de son mariage, le 24 avril 1849 et il a déclaré ne pas savoir écrire. Mais, dans son acte de décès, le 30 novembre 1902, il est dit ancien garde-barrière au chemin de fer. Il a vécu à Lynde puis à Oxelaëre, sans doute également dans une maison des chemins de fer, comme son frère.
Parmi ses enfants, Charles Isidore Louis DENAES (1860- 1934) était poseur de rails lorsqu’il s’est marié en 1887 à Saint-Denis et habitait au 43 avenue de Paris. A la naissance de sa fille Marie, en 1888, il demeurait dans le 18° arrondissement de Paris, au 23 rue du Poteau où sa femme était concierge tandis que Charles était aiguilleur. Sa première épouse, Marie Florence VROMENT, originaire de Bavinchove, est décédée l’année suivante au Bastion 39 situé sur le boulevard Ney qui est en réalité l’hôpital Bichat.
Dès son décès, Charles DENAES a dû quitter le logement et s’est installé à Saint-Ouen. A son deuxième mariage qui a été célébré à Bavinchove en 1891, Charles était chef cantonnier. Sa deuxième épouse, Marie Sidonie MAHIEU lui a donné quatre garçons, tous nés à Saint-Ouen de 1893 à 1898. Dans plusieurs journaux de mars 1902 j’ai pu lire que Charles DENAES était devenu garde-barrière au passage à niveau de l’avenue Victor Hugo à Saint-Ouen. Il a été frappé au flanc gauche par un camionneur, à l’aide d’une barre de fer pointue. Et cela, suite à une observation que lui avait faite Charles parce que le camionneur avait heurté et démonté une partie de la palissade en bois qui protégeait la voie ferrée. Dans la pharmacie où il fut soigné on déclara que Charles avait subi de graves lésions internes, toutefois il demanda à être ramené à son domicile, 27 rue de l’Hermet à Saint-Ouen.
Au moins l’un des fils entrera également au chemin de fer comme son père, il s’agit de Robert DENAES (1894- 1956).
Un autre enfant de Justin DENAES à avoir été cheminot est Rémi Achille Emile DENAES (1863- 1934) était dit cantonnier au moment de son mariage en 1885 mais à la naissance de son premier enfant, en 1886 à Leffrinckoucke, il est bien cantonnier au chemin de fer. Il a donc demeuré environ une année à Leffrinckoucke, chemin des dunes puis en 1887, il se trouvait à Bray-Dunes où son épouse Mathilde VANDEWALLE exerçait les fonctions de garde-barrière avec sans doute un logement à la clé. En 1895, à la naissance de leur sixième enfant, le couple avait regagné le chemin des dunes à Leffrinckoucke. En 1899, la famille de Rémi DENAES demeurait à Rosendaël, rue de la Station où est né le huitième enfant. Les enfants de Rémi DENAES ont embrassé des professions diverses telles que cabaretier ou marin-pêcheur mais aucun n’était à ma connaissance employé des Chemins de Fer du Nord. Il y a une vingtaine d’années, quand je faisais mes recherches sur les DENAES, je lui avais trouvé un petit-fils prénommé Charles à Villeneuve sur Lot.
Un troisième fils de Justin DENAES, Julien René DENAES (1869- ) était terrassier au chemin de fer en 1891, lors du mariage de son frère Charles. En 1889, il n’a pas effectué son service militaire parce qu’il était myope, il a été classé dans les services auxiliaires. Lorsqu’il s’est marié en 1894 avec Gabrielle BECQUAERT, à Bavinchove, il était ouvrier mineur et sur sa fiche matricule, il était indiqué qu’il habitait au 7 rue Lavoisier à Lens, en 1898. Durant la guerre 14-18, il a été réquisitionné par l’Armée pour travailler aux mines de Bruay du 19 juillet 1915 au 24 avril 1918. Ensuite, je perds sa trace.
Enfin, je ne dois pas oublier le frère aîné, Benoît DENAES (1850- ) qui n’était pas cheminot mais douanier. Il avait épousé Célestine MATORET et demeurait à Téteghem, près de la frontière belge. Il a eu deux enfants dont un fils, Benoît Désiré Julien DENAES (1881- 1955) qui a été fait chevalier de la Légion d’Honneur par décret du 5 novembre 1931 rendu sur le rapport du Ministre de la Guerre. Benoît DENAES avait été blessé par balle, le 14 septembre 1914 à Roesbrugge en Belgique, avec fracture de la clavicule gauche et perforation du poumon gauche. Il a été cité à l’ordre du régiment le 30 septembre 1914 « Blessé grièvement, a fait preuve de beaucoup de courage sous le feu ». Il était alors sergent et il est passé adjudant au 1° octobre 1914 puis sous-lieutenant le 20 octobre 1915 et enfin lieutenant le 20 octobre 1917. Il était marié depuis 1904 à Lucie SONNET et en 1931, il demeurait à Paris, dans le 20° arrondissement, 48 rue de Terre Neuve et il exerçait la profession de chef de service dans une maison de vente.
Un troisième frère de Pierre Joseph DENAES, Fidèle Alexandre DENAES (1835- 1904) est dit chef cantonnier à la naissance de son dernier enfant, Alphonse Justin, en 1872, à Saleux, dans le département de la Somme. Fidèle Alexandre est le premier DENAES, employé aux Chemins de Fer du Nord qui quittera définitivement le Nord. Il finira ses jours à Marissel près de Beauvais dans l’Oise. Ses fonctions au chemin de fer l’ont d’abord mené à Hazebrouck puis à Cassel où sont nés ses cinq premiers enfants, les trois derniers voyant le jour à Saleux entre 1867 et
Fidèle DENAES avait épousé Adrienne GUERBEAU en 1855 à Ebblinghem. Comme beaucoup d’épouses de cheminots, elle avait un emploi de garde-barrière. Le mariage de leur premier fils, le 12 avril 1882 a lieu à Vers sur Selles dans la Somme, mais celui du deuxième fils a lieu quelques mois plus tard, le 14 novembre 1882 à Marissel dans l’Oise, commune également située sur le tracé de la ligne de chemin de fer reliant Beauvais à Amiens, où toute la famille a déménagé.
Le premier fils, Alfred DENAES (1856- ) qui a épousé Marie Octavie DUCROQUET en 1882 est qualifié d’employé au chemin de fer lors de son mariage ou lorsqu’il a été témoin aux mariages de ses frères en 1882 et 1889. De Vers sur Selles où il s’est marié, il a également suivi sa famille à Marissel pour finalement demeurer à Voisinlieu qui faisait partie de la commune d’Allonne à l’époque. Je ne sais rien de plus sur ce couple.
Le deuxième fils, Emile DENAES (1858- ) était également employé au chemin de fer en qualité de mécanicien c’est-à-dire qu’il conduisait les locomotives. Il a épousé Ernestine TOURAIN en 1882 à Marissel et je lui connais au moins trois enfants, une fille morte à seize ans, une autre fille qui est restée dans la région de Beauvais après avoir épousé Jules LAHOUCHE et un fils Isaac Geoffroy (1887- 1954) qui sera serrurier et forgeron.
Le troisième fils, Victor DENAES (1859- ) épousera en 1889 Marthe LESIEUR. Il était employé au chemin de fer comme chauffeur, c’est-à-dire qu’il alimentait la locomotive en charbon et en eau pour la production de vapeur. Je lui ai trouvé deux enfants, une fille morte à l’âge d’un mois et un garçon mort pour la France dans les combats de la Marne, à Beauséjour, le 25 septembre 1915 à l’âge de vingt-quatre ans.
Le quatrième fils, Geoffroy DENAES (1867- 1886) était également employé au chemin de fer lorsqu’il est décédé à l’âge de dix-huit ans. Il est mort dans la nuit au domicile de ses parents. A-t-il eu un accident ou a-t-il simplement été malade, l’acte de décès ne le précise pas ?
Pour le cinquième fils, Bénoni Charles Louis DENAES (1870- 1946), l’état-civil ne m’a pas été d’un grand secours. Je sais simplement qu’il est né en 1870 à Saleux et qu’il a épousé Marie-Claire SCALQUIN. Sa fiche matricule m’a permis de savoir qu’il était comptable au chemin de fer et qu’en 1895 il demeurait à Saint-Denis et qu’il est décédé le 30 mars 1946 à Ham, dans la Somme. Dans les archives en ligne de la ville de Saint-Denis, je le trouve sur les listes électorales qui étaient établies chaque année à l’époque de 1897 à 1914 (dernière liste en ligne). Il a toujours habité au 124 avenue de Paris. Par contre, je n’ai pas trouvé de mariage ni de naissances sur la période 1893-1912. J’en déduis donc que Bénoni a dû se marier sur le tard, pendant ou après la guerre 14-18 et qu’il n’a peut-être pas eu d’enfants.
Enfin, Alphonse Justin DENAES (1872- 1913), le sixième et dernier fils de Fidèle Alexandre DENAES était également employé des chemins de fer. Il s’est marié en 1905 à Marissel avec Louise MOROY qui avait eu un enfant naturel né à l’hôpital Cochin à Paris en 1894 alors qu’elle était domestique à Beauvain dans l’Orne. Alphonse Justin DENAES a reconnu l’enfant de dix ans passés, lui a donné son nom et l’a élevé comme son fils. Sa fiche matricule m’indique qu’il est décédé le 24 avril 1913 à Marissel. Il avait tout juste quarante ans.
Cette liste n’est certainement pas exhaustive. On pourrait sans doute trouver bien d’autres DENAES qui ont quitté précocement la culture de la terre mais j’ai voulu m’en tenir à quelques lignées bien caractéristiques et qui m’avaient interpellée à l’époque où je faisais mes recherches sur la famille DENAES. N’hésitez pas à me contacter si vous avez des informations à me donner sur cette grande famille DENAES ou si vous voulez davantage de précisions
Je remercie Arnaud DENAES pour les informations qu’il m’a transmises.
sources:
Archives Départementales du Nord
Archives Départementales de l’Oise
Archives de Paris
Archives Départementales du Pas de Calais
Archives Départementales de la Seine Saint Denis
Archives Départementales de la Somme
https://www.retronews.fr/
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