#grave une bonne idée la piscine
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weekend bizarre.
samedi c'était une marche commémorative pour une victime de féminicide puis spectacle sur la cathédrale et verres avec les copains du lillois.
dimanche c'était embrouilles et angoisses puis soirée TROP alcoolisée mais tellement fun pour le départ des copains (j'ai évidemment pleuré ce matin quand ils sont partis).
ce matin on se lève et ma pote qui me dit "c qui les 3 gadjos dans ton jardin?" euh pardon ?! les ouvriers sont arrivés 2 jours plus tôt et sont passés par les jardins sans nous prévenir, yes.
beaucoup trop d'émotions si vous voulez mon avis.
#ma cathédrale la plus belle#l'abus d'alcool est dangereux pour la santé#j'ai vomi#grave une bonne idée la piscine#copains#alcool#amour#émotions
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La Fac
30 jours pour écrire/Jour 20/20.08.2021
Thème : Fraternité/Sororité.
-”Meuf, je stresse tellement pour aujourd’hui” maugréa Eugénie en essayent d’ajuster son bandana sous son chapeau pointu. Zéli passa la tête par l’embrasure de leurs salles de bain, sa brosse à dents coincés dans sa bouche couverte de mousse et agita un doigt en direction de son amie : le bandana s’ajusta parfaitement sous le chapeau, les petites mèches de cheveux bien calés en dessous.
-”Comment tu fais pour maitriser aussi bien les sorts de télékinésie capillaire ?” demanda Eugénie en se tourna vers sa colocataire. Cette dernière cracha dans le lavabo et sortie de la salle de bain en frottant une serviette dans ces cheveux.
-”Ma sœur, regarde ben ça :” une tignasse frisée rousse s’échappa de la serviette. “Je ne peux rien en faire, ils ont leur vie propre. Tu vois cette raie ridicule au milieu, pas moyen de la changer de place. Ça fait 25 ans que j’essaye de faire quelque chose de mes cheveux, et même la magie ne m’aide pas. Mais au moins, je maitrise bien la télékinésie en général. Dommage que je n’ai pas tes talents culinaires. Eugénie rie en lançant le café. Zéli enfila une robe longue noire à bretelles fines et vint s’assoir à côté de sa colocataire.
-”Bon, dit moi ce qui te fais peur.”
-”J’ai deux examens ; un en droit magique et juste après en Dragonisterie, et celui-là je le sens pas. J’adore les créatures magiques, mais les dragons, c’est une autre paire de manches. Ils m’impressionnent avec leurs capacités de télépathie et leurs immenses connaissances.”
-” Je te comprends, mais voit ça comme un avantage ; tu fais un double cursus en droits et créatures magiques pour pouvoir mieux les protéger. C’est une approche à l’opposé des autres personnes dans ton cursus, qui veulent juste travailler avec des dragons, je pense que ça peut jouer en ta faveur, surtout si tu tombes sur Apalala. Il appréciera ça, et bien, c’est juste un examen de physiologie non “
-”Euh oui, mais comment tu sais tout ça ?”
-”Bah tu sais, la Sirène qu’on a croisé au sabbat des Omegomongus ?”
Eugénie acquiesça en buvant une gorgée de café.
-”Bah on s’est bien rapproché après ça, et ses cours de Créatures des forets sont dans le même bâtiment que mes cours de Démonologie Mineures. Elle stresse aussi pour l’examen, les dragons terrestres, c’est pas son fort. Je la rejoins pour manger à midi, si tu veux te joindre à nous”
Un chat calico entra pas la fenêtre. Il portait dans sa gueule un petit morceau de papier.
-”C’est le chat de Ptolem ?” s’étonna Zéli.
-”Hi hi, ooui, on s’est vu toute la semaine pour réviser notre droit, et je crois qu’il pourrait se passer quelque chose avec lui. C’est dommage qui ne face partie d’aucune Fraternité, il ne peut pas vivre sur le campus.
-”Oui, mais au moins il a son propre appartement !”
-”t’aime plus vivre avec moi ?” s’offusqua faussement Eugénie
-”Non, c’est pas ça, mais les sirènes n’aime pas trop voir des terrestres trainées dans leurs souterrains, et on est quand même au dernier étage de l’arbre de vie des Volalenn, je vois pas comment on pourrait trouver un peu d’intimité. Eugénie rougit en lisant le message :
-”Il me propose de venir passer une soirée chez lui… Ça te dérange de m’accompagner avec Aryenne ? Il possède une piscine reliée au réseau souterrains marins, au moins vous pourriez avoir de “l’intimité” et si j’ai trop pur, je pourrais vous interrompre.”
Eugénie termina son café et attrapa son sac à dos.
-”Honnêtement, je pense pas que Ptolem tente quoique ce soit d’inconvenant. Il est aussi religieux que toi, et je pense que c’est ce qui fait qu’il ne veut pas être dans une fraternité, il y à trop de dérives chez les sorciers. On en reparle à Midi, tu m’envoies un hibou quand tu sors de ton examen, je passe la mâtinée à la bibliothèque.”
-”Ça marche, bonne révision.” Zéli sortit de leur appartement, traversa un couloir recouvert de bois et ouvrit une porte qui donnait sur le vide. Elle tendit la main et une planche de long board arriva à sa hauteur. Elle grimpa dessus et glissa jusqu’a sa destination. Elle aimait bien le campus de sa ville ; une grande rivière reliée tous les bâtiments pou permettre aux sirènes de se déplacer. Il n’y avait pas de bitumes comme certaines universités modernes, ce qui en faisait un lieu de prédilection pour les centaures. Ils se retrouvaient généralement ne grands groupes avec des elfes et des fées dans les forets qui jouxtait l’entrée des mines. Elle s’amusait à chaque fois de voir comment la société avait imaginé. Il y à encore 50 ans, jamais on aurait pensé qu’un centaure puisse p=faire des études de minéralogie, où qu’un nain face de la démonologie. Ou encore que les sirènes aillent dans les mêmes campus que les harpies. Mais son université avait réussi à prouver au monde magique qu’une entente était possible, dans une société adaptée à tous. Alors qu’elle descendait doucement vers la bibliothèque souterraine, elle se fit quasiment renversé par un nain sur un balai. Il s’arrêta juste avant le mur et descendit péniblement de son engin. Zéli sauta agilement de sa planche, qui reparti dans les airs.
-”Bah alors Nielbeuk, tu testes une nouvelle monture ?”
-”M’en parle pas ma sœur, j’ai refait les branches de mon balai, il pousse de ouf maintenant, faut que je raccourcisse le manche pour plus de maniabilité avant de me faire tuer. T’a pas idée comment je me suis fait insulter par les fées de ta Sororité en passant trop prêt de leurs douches.”
-”Tu viens réviser tes potions ?”
-”Ouais, et toi, qu’est-ce que tu fais ici ?”
-”je suis lié à un Démon du 7e cercle, et il affectionne venir dans la bibliothèque des nains, quelque chose avoir avec les anciennes énergies.”
Zéli et Nielbeuk descendait l’escalier colossal qui menait dans les profondeurs de la bibliothèque.
-”Au fait, j’ai reçu un message d’un goéland. Eh la vache, c’est grand ces trucs-là, limite je pourrais le chevaucher pour aller au bar. Bref, le piaf m’apporte son message et ça dit un truc du genre Désole de t’importuner, je sais que c’est pas commun pour nos deux espèces de se côtoyer, mais je te vois passer tous les jours au-dessus de mon bassin et j’aimerais vraiment bien te connaître, et c’est signé Piscus, tu crois que ta copine pourrait m’aider ?”
-”Ouuuuh mais c’est que tu fais tourner les têtes mon cher ! Écoute on à rendez-vous près de la clairière aux trèfles, dans la mare des songes t’sais à côté du bâtiment de philo à midi. Ptolem et Eugénie seront là aussi, joint toi à nous et puis on verra bien”
-”Ils sont pas encore ensemble ces deux là ? Sérieux ça se voit qu’il la kiff grave, elle devrait tenter sa chance”
-”Ouais, mais tu connais Eugénie … ” Nielbeuk s’arrêta soudain. Il frissonnait.
-”Je crois que ton démon arrive, je me sens pas super bien… tu sais où me trouver. Ça te dérange de me prendre sur ta planche pour aller à la mare, j’ai vraiment eu peu ce matin sur mon balai”. Un chat noir attendait en bas de l’escalier. Son ombre mouvante semblait faite de tentacules et de volutes de fumées, mais elle dégoulinait sur le mur.
-”Ouais pas de soucis. Et tu devrais voir avec Astros, le faune, il est doué pour les balais custom, allé je te laisse”
Le chat souri. Le monde des vivants avait vraiment changé depuis qu’ils maîtrisaient le voyage spatial. Et cala allait permettre la réalisation du Grand Plan. Zéli était prometteuse et la Grande Instance avait déjà déterminé son rôle de chevalière de l’Apocalypse des mondes extra-terrestre bien avant sa venue au monde. Et en plus, elle faisait des grattouilles derrière les oreilles particulièrement appréciables.
(Vous pouvez désormais trouvé la suite des aventures sur le #CampusMagique.)
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Profiter du grand air : Ce que vous devez savoir sur le camping
Le camping est une des plus grandes traditions des Amériques, cependant beaucoup de gens font des erreurs communes lorsqu'ils s'aventurent en plein air. L'article suivant contient des conseils utiles sur la façon de rendre votre prochain voyage de camping plus agréable tout en demeurant le plus sécuritaire possible. Poursuivez votre lecture pour apprendre quelques conseils clés sur le camping. Si vous voyagez avec des enfants, donnez-leur l'occasion de vous aider lorsque vous arrivez au terrain de camping. Ils peuvent transporter des équipements, vous soutenir lorsque vous montez la tente et chercher du bois de chauffage. Non seulement cela les gardera occupés et à l'abri des ennuis, mais ce sera aussi amusant pour eux. Faites savoir à tout le monde qu'ils ont leur mot à dire sur le terrain de camping et qu'ils devraient vous aider à choisir un endroit préféré. Une des choses que vous voudrez discuter est de savoir quel état vous souhaitez visiter. Il y a des millions d'options rien qu'aux Etats-Unis, et il peut parfois être difficile de choisir la plus parfaite ! Jetez vos idées pour voir si elles conviennent aux membres de votre famille. Si vous voyagez avec des enfants, envisagez de séjourner dans un camping spécialement conçu pour les familles. Les campeurs de ces régions savent à quoi s'attendre et n'auront pas de problème si vous avez un tout-petit grincheux ou si vos enfants veulent courir, crier et jouer. Vous serez probablement plus détendu et vous passerez un meilleur moment. Assistez à un cours de premiers soins ; c'est une très bonne idée si vous campez avec des enfants. Si quelque chose de grave arrive, vous pourrez vous en occuper car vous saurez exactement quoi faire en attendant qu'un professionnel de la santé se présente. Faites vos recherches correctement. Il est essentiel de connaître les espèces indigènes de votre région de camping, comme les serpents ou d'autres animaux dangereux.
Lorsque vous allez camper, essayez d'acheter des denrées non périssables pour manger. Il n'y a pas de réfrigérateurs dans la nature, alors tout ce que vous apportez doit être gardé en bon état. Vous pouvez certainement apporter une glacière pour y mettre de la nourriture, mais la glacière sera ajoutée en vrac lors de votre voyage. Par conséquent, faites un effort pour apporter plus d'aliments non périssables que de denrées périssables. Le camping en pleine nature est l'une des choses les plus dangereuses que vous puissiez faire. Il est essentiel que vous ameniez toujours au moins un ami avec vous, à moins que vous ne soyez incroyablement bien informé sur la nature sauvage. De plus, amener plusieurs amis avec plusieurs tentes est la situation idéale, mais ce n'est pas toujours possible. De nombreuses personnes sont dissuadées de camper parce qu'elles doivent dormir sur le sol, mais vous n'avez pas à être mal à l'aise lorsque vous allez camper. Arrêtez-vous à la camping pharmacie locale et achetez des flotteurs de piscine peu coûteux. Ces flotteurs sont beaucoup plus confortables que le sol pour dormir et vous garderont au sec et en hauteur. N'oubliez pas que lorsque vous camperez, vous n'aurez pas accès à de nombreux luxes de cuisine. Tout au plus, vous aurez un ouvre-boîte ainsi qu'un brûleur de base. Cela signifie que les aliments en conserve font un excellent repas, mais encore mieux sont les choses qui nécessitent très peu de préparation, comme les sandwiches au beurre d'arachide.
Assurez-vous de savoir comment allumer un feu de camp avant de vous rendre dans le bois. Si vous avez de la difficulté à allumer un feu, cherchez des fournitures pour allumer un feu que vous pourrez emporter avec vous. Grâce à ces fournitures, il est facile pour presque tout le monde d'allumer un feu sur place. Prenez quelque chose pour vous divertir lorsque vous avez du temps libre. Apportez des jeux de société pour toute la famille ou un livre au cas où vous vous réveilleriez avant tout le monde. C'est une bonne idée pour que vous sachiez que vous êtes diverti tout au long de votre voyage et qu'il n'y a pas un moment d'ennui.
Apprenez à monter votre tente à l'avance. Le montage de la tente pour la première fois peut prendre du temps et vous pouvez être frustré si votre première fois se passe sur le terrain de camping. Si vous vous exercez à le faire à l'avance, ce sera un jeu d'enfant une fois arrivé à destination. Comme vous le savez maintenant grâce à l'article ci-dessus, le camping n'est pas simplement une promenade en voiture dans la nature sauvage sans une bonne planification. Il y a plutôt beaucoup de choses importantes à considérer lorsque vous vous aventurez en plein air. Gardez les conseils que vous venez de lire à portée de main et mettez-les en application la prochaine fois que vous déciderez de faire du camping.
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Démantèlement des réacteurs nucléaires (Fiche de synthèse)
Fiche de synthèse - Dominique Grenêche – Octobre 2020
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Le démantèlement (appelé aussi « déconstruction ») des réacteurs nucléaires est une opération qui, lorsqu’elle est menée à son terme, consiste à démonter entièrement l’ensemble de l’installation jusqu’à retrouver le terrain dans un état où il se trouvait avant sa construction (d’où l’expression imagée de « retour à l’herbe » qui est parfois utilisée pour marquer la fin de cette opération). Cela veut dire que le site d’implantation du réacteur retrouve son niveau de radioactivité naturelle. Sa surveillance n’est alors plus nécessaire et il est rendu disponible pour de nouveaux usages industriels (ce que l’on appelle quelquefois la « banalisation » du site).
Aujourd’hui, la grande majorité des réacteurs nucléaires électrogènes dans le monde peut se diviser en deux grandes catégories : ceux de la première génération qui sont maintenant tous arrêtés définitivement et ceux qui sont actuellement en fonctionnement et qui sont pratiquement tous des réacteurs à eau légère standardisés avec deux variantes : les réacteurs dits « à eau bouillante » (REB) et les réacteurs dits à « eau pressurisée » (REP). La France n’exploite que des REP (56 aujourd’hui).
Pour les réacteurs de la première génération, le démantèlement est parfois assez complexe à réaliser car il s’agit d’installations anciennes non standardisées qui soulèvent chacune des problèmes spécifiques de démantèlement, ne serait-ce que par la nature des matériaux qui ont été employés pour leur conception. C’est par exemple le cas en France avec les anciens réacteurs de puissance de la filière dite « Uranium Naturel Graphite-gaz ». En effet ces réacteurs, dont 6 exemplaires ont été construits et exploités, renferment notamment de très grandes quantités de graphite radioactif (environ 20 000 tonnes au total) dont la manipulation et l’élimination est techniquement difficile. De plus, la conception même de ces réacteurs a beaucoup évolué dans le temps ce qui fait que leur architecture générale est très différente selon les modèles. Des problèmes spécifiques de démantèlement se posent également pour le réacteur à eau lourde de Brennilis, unique en son genre, et pour le réacteur à neutrons rapides refroidi au sodium Superphénix (en pratique ces opérations de démantèlement sont en cours depuis plusieurs années et les difficultés sont maintenant surmontées).
Par rapport à ces réacteurs de première génération, les réacteurs à eau légère sont techniquement plus faciles à démanteler pour au moins trois raisons.
D’abord, on dispose dans ce domaine d’un retour d’expérience très significatif grâce aux opérations de démantèlement complet déjà réalisées dans plusieurs pays sur ce type de réacteur, notamment aux Etats-Unis (4 REP entièrement démantelés), mais aussi au Japon et en Allemagne. En France, le démantèlement complet du premier REP Chooz-A, qui a été arrêté définitivement en 1991, est en cours d’achèvement et devrait être totalement terminé en 2022. Ensuite, les compétences et le tissu industriel sont disponibles, y compris pour la gestion des déchets, grâce au fait que des centaines de réacteurs de ce type sont en exploitation pour longtemps encore et que de nombreux autres sont en construction dans le monde (réacteurs de troisième génération, plus modernes mais de la même « filière », avec une architecture générale très semblable à celle des REP ou REB en fonctionnement). Enfin, l’architecture même de ces réacteurs est relativement simple et elle est standardisée, ce qui permet de bénéficier de l’effet de série dans la mise en œuvre des procédures comme dans celle des moyens de démantèlement (dont les performances sont au demeurant en continuelle progression grâce à la R&D consacrée à ce secteur et grâce aux effets d’apprentissage). Pour un REP cette architecture est essentiellement constituée d’une cuve principale qui contient le combustible formant le cœur du réacteur, d’un circuit de circulation d’eau pour l’extraction et le transport de la chaleur générée dans ce cœur par la réaction nucléaire en chaine (circuit dit « primaire »), d’un dispositif qui permet d’utiliser cette chaleur pour générer de la vapeur d’eau (générateur de vapeur, « GV »), d’une turbine actionnée par cette vapeur et couplée avec un alternateur qui produit de l’électricité. La cuve principale et le circuit primaire ainsi que les GV sont enfermés dans une enceinte en béton permettant d’assurer le confinement des produits radioactifs en cas d’accident grave. Il faut ajouter à cela les dispositifs de sûreté tels que des circuits de secours ainsi que les moyens de manutention et de gestion du combustible avec notamment une piscine où sont entreposés les combustible neufs ainsi que les combustibles usés. Bien entendu on trouve aussi de nombreux dispositifs et circuits de contrôle-commande.
Lorsqu’un REP est définitivement arrêté, on procède d’abord à l’évacuation de tout le combustible contenu dans le cœur et dans la piscine d’entreposage après une période suffisante de refroidissement d’au moins un ou deux ans, puis on vidange les principaux circuits du réacteur. Ces opérations permettent d’éliminer 99,9 % de la radioactivité du réacteur. Un décret autorise alors le passage en phase de démantèlement proprement dite (c’est un impératif de la réglementation française), qui comprend les principales étapes de démantèlement suivantes, incluant l’évacuation des déchets :
salle des machines qui abrite essentiellement la turbine et l’alternateur ainsi que du transformateur
tour ou station de refroidissement (du condenseur)
piscine d’entreposage des combustibles
circuit primaire avec ses GV
cuve principale
enceinte de confinement
Une fois ces opérations terminées, on procède à l’assainissement général du site qui peut alors être utilisé pour d’autres usages (installation de nouveaux moyens de production d’électricité par exemple).
Les coûts associés à ce démantèlement on fait l’objet de nombreuses études sur le plan international dont les résultats sont assez convergents aujourd’hui compte tenu du retour d'expérience évoqué plus haut (les écarts parfois constatés sont dus aux différents contextes locaux, notamment au coût de la main d’œuvre qui représente évidemment une part importante du coût total des opérations). Edf estime aujourd’hui ce coût total entre 300 et 350 millions d’euros pour un REP standard (1 GWe), ce qui est très loin des chiffres abracabrantesques que l’on voit fleurir de temps à autres dans les médias. Cette somme représente environ 10 % du coût de construction du réacteur. Quant à la durée d’un démantèlement complet elle est de l’ordre d’une quinzaine d’année pour des opérations courantes dans lesquelles les aléas sont très réduits (sauf interruption volontaire des opérations). Signalons enfin qu’en France, il existe une réglementation stricte qui oblige l’exploitant (ici EDF) à provisionner l’argent nécessaire à la réalisation de ces démantèlements. Ces sommes sont d’ailleurs intégrées au coût de kWh. Ces provisions sont en outre auditées régulièrement par les autorités nationales et même par la Cour des comptes (voir son dernier rapport publié le 4 mars 2020 intitulé « l’arrêt et le démantèlement des installations nucléaires »). Quelle industrie procède de façon aussi stricte et transparente ? Aucune.
En conclusion, dans le domaine du démantèlement, il faut faire connaître de façon le plus large possible ces quelques éléments irréfutables. Ils servent à « déconstruire » les fausses idées propagées à plaisir par les anti-nucléaires dont le but n’est pas d’informer mais de déformer.
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Complément sur les coûts et les déchets de démantèlement
1 – Les coûts (source Edf)
La décomposition des coûts de démantèlement est illustrée par le graphique suivant :
2 – Les déchets (source Edf)
D’une façon générale, 90 % des déchets générés par le démantèlement d’une centrale nucléaire sont des déchets conventionnels, c’est-à-dire non-radioactifs (hors radioactivité naturelle) tels que les métaux et gravats (par exemple gravats issus du démantèlement des grosses structures en béton comme l’enceinte de confinement qui peuvent facilement être recyclés).
Les 10 % restants sont, pour l’essentiel,
pour 6,6 %, des déchets faiblement ou très faiblement radioactifs ce qui autorise leur recyclage éventuel pour une bonne partie d’entre eux, dans des conditions réglementaires bien précises
pour 3,3% des déchets de faible activité qui sont stockés définitivement dans les centre de stockage de surface agréé, géré par l’ANDRA (Agence Nationale des Déchets Radioactifs)
pour 0,1 %, des déchets de moyenne activité à vie longue, entreposé provisoirement sue des sites agréé en vue de leur stockage définitif par l’ANDRA dans un stockage souterrain (Cigéo).
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The Legend of Aarona – The Journey of the Dumb – 4. Le dénouement
Le château d’Hyrule avait cela de merveilleux qu’il ressemblait à un bloc fin de marbre posé aux milieux des plaines. La blancheur de ses murs réfléchissait les purs éclats du soleil. Ses toits pointant vers le ciel étaient des signes d’espoir pour toutes les espèces qui vivaient autour, dans les plaines, montagnes, rivières et mers.
C’était aussi le symbole appréciable d’une politique fiscale des plus réussies. Pour construire un bâtiment aussi luxueux et pompeux, aux milieux de terres aussi petites et comptant aussi peu d’habitants, il avait vraiment fallu taxer à mort. Mais le jeu en avait valu la chandelle ! Les membres de la famille royale pouvaient ainsi vivre dans une paix des plus appréciables et goûter aux joies de l’existence sans avoir à se soucier des lendemains ! De toute manière, à part l’arrivée de temps en temps d’un grand vilain, ils n’avaient pas grand-chose à craindre. Les pécores qui leurs servaient de sujets étaient obnubilés par un culte des déesses qui les abrutissait complétement. Et puis, ils étaient bien trop stupides pour se rebeller. De toute façon, comment auraient-il pu ? Le royaume comptait plus de soldats que de citoyens ! Une belle dictature militaire centralisée, avec un pouvoir dévolu à quelques chefs de clans ici et là pour noyer le poisson ! La recette du bonheur.
Certes, pour KiLink, noyer le poisson n’avait pas grand intérêt : il l’avait bouffé, le poisson. Tant qu’on lui laissait le rôle de héros et qu’on lui construisait des statues à sa gloire, il préférait ne pas trop s’occuper de politique. Sinon, il se serait fermement demandé comment il était possible qu’un royaume qui comptait plus de soldats que de jeunes filles à déflorer soit incapable de se défendre tout seul contre un tyran et son armée de stupides goblins et ait besoin d’enrôler de force un môme innocent, chétif et désarmé pour faire tout le boulot.
Comme nombre de ses concitoyens, plutôt que de trop remettre en cause l’ordre établi, le jeune héros préférait de loin profiter du système. Avec toutes les taxes que prélevaient le pouvoir royal, les rubis débordaient de partout. Le château était rempli de coffres, eux même remplis à ras bord de pognon et de trésors en tout genre. Autant dire qu’avant de confronter le boss final de son aventure, il s’était fait bien plaisir à piller chaque pièce, au nom de sa juste rétribution en échange de ses services rendus. Du coup, les poches pleines, il hésita un peu avant de frapper à la porte de la salle du trône d’où s’échappait un doux air de piano. Ainsi allourdi, il n’était pas sûr d’être très agile et avait un peu peur de gêner. Ce n’était pas non plus comme si sa présence était « impérative ». Il pouvait encore réfléchir et rentrer se pieuter. Son courage était un peu courbaturé et réclamait bien une petite sieste.
Une petite voix dans sa tête le réveilla. Le front posé contre le montant, il repensa à tous ses amis qui avaient donné leur vie pour lui permettre d’avancer et d’accomplir son destin. Sa petite fée, l’arbre mojo, le hibou, Jabu Jabu, le dragon, le peuple piaf, les enfants de la forêt, ses chèvres, les cocottes, le yeti et même le roi des Moblins… Avec un peu de recul, il se fit la réflexion qu’il avait trucidé largement plus de monde que le grand méchant, mais bon, on ne faisait pas d’omelette sans casser des œufs. Et la plupart de ses victimes – les comestibles – avaient eu bon goût… de l’avoir, bon goût. Enfin, toutes ces morts ne pouvaient pas avoir été inutiles et devaient être honorées. Il était temps de mettre fin à cette histoire. Il poussa la porte. Il entra.
– AH BA ENFIN ? NAN MAIS T’AS VU L’HEURE ? QUATORZE HEURES, C’EST PAS DIX-HUIT ! NAN MAIS MERCI, SÉRIEUX, J’AI DÛ ANNULER MON COURS DE PISCINE À CAUSE DE TOI ! Je… et pourquoi t’es à poil, en plus, sérieux ?
Oui, bon, c’était vrai. Entre la grasse mat, le brunch au bar de la place d’Hyrule, un peu de shopping, le pillage du château et la flemme, KiLink avait un peu dépassé l’horaire prévu. Mais en même temps mieux valait tard que jamais. En plus, il aurait très bien pu choisir de réaliser quelques quêtes annexes avant de venir ! Pour le coup, il s’était plutôt trouvé cool. D’autres héros que lui auraient bien plus traîné en chemin. Et pour la tenue, maintenant qu’on en parlait, c’est vrai qu’il se disait bien qu’il avait oublié un truc ce matin… Enfin, ce n’était pas bien grave, il n’avait pas besoin de fringues pour sauver la princesse. Et, ce n’était pas tout, maintenant qu’il était là, il allait enfin pouvoir découvrir l’identité du grand vilain, ce qui l’intriguait depuis le tout début de ses aventures. Fièrement, le mal se leva et s’avança. De loin, il avait la classe et semblait même plutôt jolie garçon. Il avait des cheveux noirs recouverts d’une teinture rousse pour faire plus joli. C’était sans doute le truc le plus con que KiLink n’avait jamais vu de sa vie. D’ailleurs, s’en rendant compte, le vilain alla tout de suite se laver la tête pour revenir avec une tronche plus présentable. Un fois de retour, il put s’avancer à hauteur de blondinet, l’attraper par le menton et le fouetter d’une bonne vingtaine de coups de cravache pour mieux le défier et se présenter.
– Je suis le mal incarné ! Je suis… Gaarondorf !
– Hein ? s’écria le candide héros estomaqué. Mais… Princesse Aarona, c’est toi ?
– Hein ? Que ? Mais non voyons, je ne suis pas la princesse moi, je suis le méchant. Gaarondorf, tu vois ? Je tue, je pile, je frappe et j’ai très mauvais caractère…
– Ouais, comme la princesse Aarona, quoi… Nan mais cherche pas je t’ai reconnue hein… Et aussi ta manière de frapper, ouille… Là, c’est sûr, c’est bien toi.
Acculé, le vil tyran jeta sa cravache au sol et sauta à pied joint dessus. Il était eu. Enfin, le blondinet en restait quand même estomaqué. Il avait comme la féroce impression qu’il y avait une énorme couille dans la triforce. Et puis, cela voulait-il dit que le grand méchant était en réalité… une fille ?
– Nan mais t’es con ou quoi ? J’suis un mec ! J’ai toujours été un mec ! Prince Aaron ! Aarona, c’était pour te forcer à te bouger le cul ! Si je m’étais présenté comme un garçon, t’aurais été capable de sortir une connerie du genre « ouiiiiiiiiiiiii, mais moi j’suis pas pédééééééé, j’préfère les cocoooooooottes, j’ai pas enviiiiiiiiiiie ». Alors que là, bon, une princesse à sauver, t’avait pas le choix !
– HEIN ? Vrai… vraiment ? La princesse Aarona est un garçon ? Donc c’est pour ça qu’en fait, t’as aussi mauvais caractère ?
– Bah oui ducon. Et puis, vu comment j’t’ai pris par derrière, quand même, t’aurais pu deviner…
Dit comme ça, ce n’était pas vraiment faux. D’autant moins que le brun vaniteux tint immédiatement à le lui prouver une nouvelle fois, en baissant son pantalon et en se mettant à son ouvrage préféré. Le jeune blond, les fesses en l’air et écartées, en hurla d’effroi.
– ARG, C’EST BON J’AI PIGÉ… AAAAAAAAAAAAH… Nan, continue en fait, c’est trop cool… AAAAAAAAAAAAAAH
– Oui, bon, pas trop quand même, on est censé être tout public.
– CONTINUE OU J’TE BUTE !
– Ok, ok…
Plus le prince s’occupait du héros, plus ce dernier comprenait le sens de sa quête. Le fait qu’Aarona – pardon, Aaron – déballe tout entre deux rugissements aidait aussi pas mal.
– Tu comprends, han, c’est que la triforce s’attire, han, et moi, j’ai récupéré deux morceaux, han, celle de la force, han, et celle de la sagesse, han. Du coup, j’ai une double personnalité, han. J’veux absolument conquérir le pouvoir par la force, han, sauf que je l’ai déjà en fait, han… Du coup, j’me suis mis en tête de chercher un héros, haaaaaaaaaaaaan, pour venir me sauver moi-même, han. Ah putain c’est bon. Bref, j’t’ai choisi toi, han, parce que t’es le plus beau du royaume, han, et que j’ai un petit faible pour les blonds, han. J’ai monté, han, toute cette histoire de princesse à sauver, han, pour te motiver… Attends, bouge un peu… voilà… haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan. En plus, han, t’es aussi un élu des déesses, han, donc ça passait crème, haaaaaaaaan. Sauf que t’es un abruti feignant, han, donc j’ai dû trouver des moyens de te motiver un peu… Arg ! Oh mon dieu… Mais ça valait le coup, vraiment, haaaaaaaaaaaaaaaan.
Un peu trop occupé à transpirer et à couiner pour rétorquer, le joli blond s’interrogea. Lui, un élu des déesses ? Certainement pas ! Il avait laissé la triforce du courage au milieu de l’océan. Constatant son air dubitatif, le prince Aaron lui caressa les cheveux et le rassura :
– Nan mais en fait, ce que les gens ne savent pas, c’est que la triforce, c’est pas trois, mais quatre morceaux, han. Tu vois au milieu des trois triangles, han ? Bah ça en fait un inversé, han. Et on nomme ça la triforce de la stupidité, han. Elle t’a choisi dès ta naissance… Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah putain, c’est bon ! Voilà. Donc tout ça pour dire que je t’aime depuis toujours, et que c’était ton destin de finir dans mes bras. Une réaction, le petit héros ?
En larmes, KiLink prit plusieurs secondes à calmer ses sanglots. Toutes ces révélations l’avaient tout retourné et il en était encore un peu chamboulé. En même temps, son prince l’avait lui aussi bien retourné, ce qui l’avait mis complétement K.O pour la soirée. Plusieurs idées étranges passèrent dans son esprit. Il avait l’impression d’avoir plongé la tête la première dans un piège grossier. Il avait un peu honte, et une folle envie de chouiner. Pourtant, blotti nu dans les bras de son prince, il ne put qu’admettre la vérité. Ce n’était là que son simple et pur destin, le plus beau et le plus doux qui soit.
Les poings serrés et la lèvre tremblotante, armé du peu de courage qu’il avait, il avoua ce qu’il gardait au fond de son cœur depuis le premier mot de cette histoire. Une déclaration sincère qu’il avait tant envie de crier et de hurler au monde entier, mais qu’il ne fit que chuchoter à l’oreille de son prince…
– Aaron… je t’aime.
Et c’était la fin.
FIN.
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Dailies - France
19.06.19
I feel myself travelled through by something flammable, down the mouth, but not ignited. I remember knowing that I was drilling my eyes next to her plate, and hearing only what I allowed myself to hear. “The desire to be needed?” I did the dishes like a murderer washes their hands, put up the laundry like a sociopath smiles. In the morning, the sky is gray and I cannot read.
20.06.19
An especially specific thing to do with a three year interval, participate in a study. I’m healthy enough that hospitals are a fascination. I ask about the make of the machines, and what work in the unit is like, about the roof gardens and the validity of measuring BMI. When I wrote about being picked up from a hospital by Akira Touya, I did not know how to say it. Now I am different than fourteen, and could tell you how these rooms are made, and look up who might be allowed to pick me up at all.
It was misty too that freshman year, I remember it more like myself than anything else from that time. Funny that, once again and exactly, I ordered the salmon, and noticed the drum flourish of the MRI scan, turned at the incongruous smell of the hallway cafeteria. I suppose this just means that I am still myself, in a way separate from the certainties I have and how I feel, that my eyes and senses are still the same as those that worried on the dirty floors of our Bingham suite. Or at least that they are enough like all human eyes that not much would have changed anyway.
Le musée par contre, c’est différent. On peut y aller pour pleurer. Je rejoins Millet sous le ciel et je déborde d’amour, mais j'oublierai les noms des impressionnistes, comme d’habitude.
21.06.19
I am preparing myself to go home, weighing the luggage of my person. I am practicing retorts to catcalls in my own language. I will leave the house on Sundays. I have stopped paying attention to New Haven. There is a transitory phase.
22.06.19
Retourner est comme une obligation. J’échange mes inventions du livre comme une exercise. Thumb the blue house of New Haven between the cracks of my phone. Je sens le pli de l’inquiétude dans mon sourcil, et je sais que ma prose en anglais est longue comme du français, l’as toujours été. Je retourne vers les femmes-mères de ma vie, les femmes-famille qui se marient, et laisse derrière moi les ébauches de mes femmes-amour.
23.06.19
I wonder how long I will last being happy to be home. With some grit, until the end. Right now, I have no reason to doubt it. Our candles match the pool chairs, the avocado the grapefruit salad, the water the sky. Children on the plane ask a million good questions, my mother reminisces that that is exactly how I was, I hope that is how I have remained. I look at my cat and think no wonder the Egyptians worshipped you, perfect thing, little piece of god, scarab-sniffer. I’m glad to be back.
24.06.19
Ça commence bien avec Marie. Maman me regarde dans mon costume masculin depuis le fauteuil et ne sourit pas. Elle veut bien, je fais ce que je veux, mais elle ne sourit pas. Marie me demande si je suis “entièrement lesbienne.”
25.06.19
Getting home and dropping into the pool is the kind of thing maharaja’s son does. I take the long way home. Eating fruit here is so much better. I forget my mosquito bites. The women on the metro are, god. Something about it. I smell the air deeply. I think how I would hold Eda’s face if she were here sitting on the banquette next to me, I grip the head of my hat, the woman’s bag on her lap looks like a stomach, I talk about Adrian’s sectioned jaw, Marie’s friend is studying to be a nurse, bonne maman is the eldest child who did not run away she said of earrings “there are things you have to get used to. I got used to my husband, thank God.”
26.06.19
The weather is an occasion for us all to wear sweat. Some things get especially sticky, like the kitchen table, and my computer charger. Everyday utilities gain the properties of an oven. We migrate out of our beds and into the ground for the night. I feel I deserve to live only in the morning, when the air is cool and clear like the first bite from a fruit.
27.06.19
Une brise clémente détend le cimetière du Père Lachaise. Comme les corbeaux je pends mon cou le bec ouvert, et je me crois intime avec les morts. Je verse la larme d’une femme dont le mari et la fille sont morts il y a cent cinquante ans. Les sépulcres sont C.A.P. Faire corps avec l’histoire plutôt que le présent est quelque chose que je dois aux BDs en partie. Adèle Blanc Sec, Corto le faisaient, et leurs auteurs... un cimetière n’est jamais une mauvaise idée, à New Haven non plus, certains coins se recoupent avec celui de la Côte-Saint-André, ca se sent à leur odeur. Un vent clément détend le cimetière du Père Lachaise.
28.06.19
Paris drunk is not the same as New York drunk is not the same as Paris drunk is not the same as New Haven drunk. New Haven drunk has the weight of all my questions in it: whose weight do I want on mine, what kind of love will I accept? Paris drunk has all my answers: not yours, not yours. Even if you are very polite, and you scout out mines on a ship of 26 for the government « secret defense » you are getting off here and I am not giving you my Facebook contact.
29.06.19
Grotte musée, j’en fais l’usage convenu, les yeux humainement levées dans la pénombre, je somnole dans l’abri indéniable. Et en le pensant je m’écorche sur les mots d’hier, peur très peur de l’arrogance. But what of it? If I were a man, I would have no qualms in seeing myself like Picasso saw himself, megalithic, and right, the figure-man in his cave.
Une nostalgie infinie pour la main sur le bois, sur l’os, les salles de cinéma où on s’enfouit, la poussière et le sable, le geste comme l’insecte, l’artiste qui pense, et comme tout au final se ressemble un peu, toujours.
30.06.19
Punition pour ne pas avoir écrit: un rêve qui me détruit.
01.07.19
Compliqué de décrire ce que c’est de parler à quelqu’un derrière un clavier. Grey et moi parlons dans un monde baignée de leur odeur orange, un soleil américain, le ton de la voix surgit des détails du textes, et du choix des mots. Je ris tout haut, oui je vous jure. Et avec Claire c’est l’argent, le violet, c’est une voix qui est comme grave même si je la sais aiguë.
Je peins n’importe comment, mais je peins.
02.07.19
Si je rate, j’écrirai
03.07.19
The idea I have of the metro north when I am away from it is just of a yellow line zipping down a glittering sea. Not much of that is true to what you see (red seats and yellow floors, complications regarding what you are eating or will eat, and who will take you where and how) but of the experience that is it: I am zipping down on an eyeless snake, and the light is always golden.
04.07.19
I haven’t found a way to describe this sky that isn’t electric blue. The air from the window feels like a classroom fan blowing on just some of the leg, someone across the street it seems is eating at a table alone, in an apartment being painted auburn, but I cannot see clearly through the balcony. I keep getting these feelings, dredged up like photographs of a childhood moment, and that way of seeing the world seems so much less complacent than how I currently see it. Not that I am unhappy now, or inattentive, but perhaps feeling for children is more, stronger, stringent and my mind has mellowed to a hum. Feel strongly, think right. Feel strongly.
05.07.19
You got up too late again. You eat like you’re choking and there’s something missing from your movements but licking the spoon of jam clean is the same as many times before bitter on exactly the same parts of your tongue, and reminds you what awakeness can be.
At the section of light before the airplane door all the colors are bouncing out: the raspberry pink of a woman’s dress, the orange chitin of the plane, the misalignment of the pilot’s teeth. Baldwin’s words are still in my head, categoric.
We pass by clouds that look sculpted by a frantic hand which still had in its terrorized tendons, all of herds crossing a path, broccoli and cloaked monks, a monstrous overgrowth of cotton on the stem, the photo-perfect disposition in ranges of mountains as if for a family photo, all of these, behemoths in flight, animals the size of maps, on which you find your way from the relief, shielding your eyes, and in this, smaller yet, I think of Claire’s Leviathans coming often to this playground, so tiny that they would need to shine like pin-prick mirrors to be seen at all.
06.07.19
Il fait gris ce matin. Poppy doit être en train de flipper. Je rythme des sabots au pas est quelque chose auquel on n’est plus habitué. Si je voulais l’écrire il faudrait le décrire plutôt que d’avoir confiance de le trouver dans un esprit ka-pok ka-pok ka-pok. On s’extirpe d’une région sonore à l’autre, oiseaux, grillons, cloche d’église. Je partage le hamac avec deux mouches et au final je vais quand même choper un coup de soleil.
Moment cinématique de la soirée: je m’éloigne de la fête pour regarder l’horizon violet hors du terrain de lumière. Le DJ, fils du propriétaire, pas clairement fille ou garçon au premier coup d’œil, est assis et nous regarde comme le personnage principal fumant, le misanthrope magnifique.
La grande tente a attrapé un frelon. Tout le long du repas on le trouve toujours là, changée à peine de coin. J’y vois un mauvais augure, chiante que je suis.
07.07.19
Fantasy maps tend to be like bowls: a valley of the known hugged into certainty by mountains. I was seated, slouched and film-able, in monoliths
The gravel driveway, too, was a circle of light. Darkness waited at the gate, knowing itself to be charming, and did not speak to me.
The fact I was well dressed matters. All that femininity can be, staring like only jaded men who know they are of adventure’s mettle, out the lip of this great shivering bowl.
08.07.19
Mon impression de la Poyat est comme rayée. Je sens les choses une fois (l’eau de la piscine qui monte au nez, le hall de la maison en odeur de béton et de carrelage, les pages de livres pour enfants qui s’affinent et jaunissent comme la peau d’un rat âgé) puis, plus rien. La musique de mon telephone est une petite voix microscopique sur ma couverture. Les personnes âgées parlent de la maladie comme de plans de vacance. Mes cheveux sont rêches, je ferme les yeux et je vois une forêt noire aux troncs nus et propres.
09.07.19
I’d like to think all of us do this, go up to the attic to sit on the side of the bed and look at Stephane, photo paper stare phasing through our own which traces smile-crinkled eyes and heavy eyebrows, a fringe which would certainly have disappeared by now. I wonder if that is what cuts through my mother’s mind: what he would have looked like now, where he would hang in the house instead of like a funeral mask on a wall of the attic, what it would have looked like to see his face next to ours rather than in them.
10.07.19
La lune est à Demi dans le ciel poudré, je trimballe avec moi une boîte chantante, le chat est là, mais je me teins les mains comme un ancêtre avec des baies mauves. Le ciel n’as jamais été le nôtre, nous n’avons fait que grouiller dessous, heurtés toujours par les mêmes choses: l’eau, l’odeur de viande cuite, la capacité à peindre nos corps, à se sentir être là. On s’entoure de nos créations dans un jardin en perpétuelle construction, mais le ciel n’as jamais été le nôtre.
11.07.19
Le soleil me cuit lentement, et miroite à grandes volées sur la plaine. La peau rougit comme une question posée, répond du doigt pressé comme un photon sur la rétine.
12.07.19
Media is the perfect litmus test for maturity. I watched Breaking Bad having honestly no idea how to follow, what meant what, what was real and what was fanciful, how adults act in hospitals, at work, at home... now I’m an inside interpreter, more or less, I’m keeping track of the script. It’s funny to see Adrien make these assessments, I have no way to tell if they correlate to understanding. It’s like when we trap a wasp under a glass and he asks “do you think it knows it’s under glass?” and I tell him there’s no real way for us to know: our best bets would either be observations of its anatomical function, or tested behavioral response, but the proof that it can conceptualize as we do, that we will never have.
13.07.19
There’s a cat in heat outside. I have my period. I told my grandmother that no one I was sleeping with had the ability to make me pregnant. I say to Max and Adrian “that’s why it’s easy to substitute the idea of entropy for the idea of death, and life for what goes against entropy.” I wear the bathing suit that hides my body the most. I wear a white dress and a pad. I tell them “wait, I’m going to change my mood.” I don’t want to fold napkins with you old women. I want to write about religion and autonomy and women who are in love and make the case for complexity and the risk in having a conscious mind. I’m wrong in thinking these activities preclude one another. I try to think through clamorous music. I want to hit myself to accompany the fact that I cannot be a student of every subject. I want to stay up and write. I will likely fall asleep.
14.07.19
Il n’y a que le quatorze juillet où l’on se surprend à être dehors en robe d’été alors qu’il a commencé à faire réellement frais. Le vent est aussi inutile que les foulards que l’on se pose sur les jambes. Le chat passe, oui gris. Et le feu d’artifice on l’a déjà vu. Ce qu’on remarque peu c’est le rouge attrapé par le ventre du nuage, et la lune qui nous regarde, la nuit qui fuit volontiers à nos yeux tous les soirs, et nous qui si rarement nous éloignons de nos propres lumières.
15.07.19
On s'arrête au long de la ligne, une excroissance routière où les camionneurs passent leurs vies. Petit royaume tout de même, j’y trouve l’abandonné (un terrain de basket), l’explorable (échelle de la station service), l’histoire (coquilles d'oeufs durs, rib blanchi) et une colline d’où tout voir. Les champs, comme toute surface vue de si près, restent infinis. Ils sont disponibles pour s’y perdre, même si ça ne se fait plus beaucoup. Et moi, mon humeur j’en veux bien: je chante comme jamais.
16.07.19
I refuse to tear the weeds out of fear they might be saplings. The stem is too tender not to feel like murder. So it is perhaps with my crying teenage self, who I let possess me, out of fear she had not lived as she deserves.
17.07.19
Lever les yeux dans le métro pour voir les yeux d’un acteur se baisser. Toucher pleinement l’arme flic à Opera. Cette ville que je croyais me scruter à présent c’est moi qui la tourne, mes yeux sur la foule qui danse, et moi dedans. C’est avec Jack que j’y danse, c’est mon visage qui s’ouvre sur la porte de la pharmacie. J’ai la dépose d’un gamin et du lévrier sur la scène, le regard qui ne se rompt pas. Les miroirs, j’y suis, je porte un costume d’esprit. La ville, c’est moi qui l’aime. Je suis acteur, j’ai vue sur la scène.
18.07.19
It’s late, and I’m making use of a moment of outsider eyes I’m being granted by rereading my own writing, my site’s curation. I test my mouth, considered cutting into my tongue to speak more slowly, comment on deep voices, try on a beard. I lean into the mirror and try “I’m gonna fucking kill you.” I draw looks on and off my face. I wonder if I will ever be depressed again (which would mean I have learned nothing). I consider feelings had weeks ago, picking them up and examining them. I dreaded going back, now I dread going home. I wonder if I can be depressed again. I can do things like love Jesse, although not quite the same. I suppose it’s up to me.
19.07.19
The man in Saint Eustache I suppose he is praying, knee-leaning, alone-eveninged, humbly day-rumpled. He is as serious, as husky as the nave-drawn lights, gold folding on skinny shadow. He sighs, or at least it is as if he does. He has as much to say as the church’s Igor, the Latin mass, but as incense he says none of it.
When I pray, because I do pray in holy-water-sampling, pretty-moved, starwards-gazed and history-guessing, it is not for the lovely waitress and the kir, not for my mother counting change, my grandmother and her therapist, the piss and cracker on the street, the fire set to oil or the motorcycle-kicking kid, the woman stroller-helped over over the fence. It is for nothing if my own wonderment, if for the light itself.
20.07.19
The day I leave the weather is unbearably pleasant. The wind is the kind you personify on the mosaics of a villa-home, passing low to bless the living. You are the kind of hand awoken by a clean damp cloth. And the day I go home, the shower-fawn is still there yes, her color has changed with the towel behind the tile. Storm coming like an undertow.
21.07.19
The more I think of it, I haven’t landed in America, idea of itself as a loud city and wide upset nature, America thing, but home, my home in a different kind of air to breathe. I’ve returned to the place I named myself, the place that saw me different, the beast I saw insane across the valley and touched of my own knowledge-less hand. America has kept a piece of me in it, more than the other way around, more perhaps than good old continent.
Through the windows of the Whitney the world itself is diegetic. Circle ‘round or stare through, the wind is installed for now, I placed this tarp just here, ordered the leaves and printed the sky. Can you tell what it is I wanted to make? What the making of it was like? Take care how you look at it, or you’ll be missing out.
I want to be with you, lullaby-flat, baby-funny, rub-the-face. There’s no shame, no shame at all, when tenderness is in the game— if the note is soft and so is your skin, why in the world should it matter what we listen to, what we look like? We’re children, monkeys, old ladies with Alzheimer all at once, we paw and glance and try the world in our hand— hold me won’t you? It just seems it’d make sense.
22.07.19
Everyone in my part of the train is sleeping. The Paleocene outdoors barely watches us go. A strange world is better than one I should get. Storms are uncertainty I’ve come to adore. I’ll go get the mattress, I’ll call up a friend, eat something untimely from the fridge or the table. We are hacking through tropics up to alien machines, weirder and weird but delightful.
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Top 3 des meilleures enceintes Bluetooth de 2019
Pour les soirées animées ou tranquilles en famille ou entre amis, une enceinte Bluetooth vous permet de profiter d’une musique ouverte sans casque. Cette musique peut provenir d’un téléphone ou d’un autre appareil numérique lié par Bluetooth à l’enceinte.
Les enceintes Bluetooth ont pratiquement les mêmes inconvénients, une portée limitée du à la connexion Bluetooth et une reproduction sonore de qualité inférieure à celle d’un lecteur mp3. Il existe aussi d’autres options, comme la technologie AirPlay d’Apple, mais elles ont également leurs inconvénients, en particulier le prix qui est très élevé comparé aux autres enceintes Bluetooth et une compatibilité moindre, la technologie AirPlay d’Apple étant compatible avec très peu d’appareil.
Les enceintes Bluetooth, d’autre part, sont disponibles dans une large gamme d’options, certains avec une qualité sonore qui, contrairement aux années passées, peut plaire à tous sauf aux audiophiles les plus difficiles. Ils sont compatibles avec la plus large gamme d’appareils, y compris les téléphones, tablettes, ordinateurs portables, lecteurs de musique et plus encore. Ils s’apparient directement par Bluetooth avec tous les appareils, ce qui rend leur utilisation plus facile et plus aisée.
Trouver les meilleures enceintes Bluetooth
J’ai sélectionné pour vous les enceintes Bluetooth les mieux évaluées en fonction de leur qualité sonore, leur facilité d’utilisation, leur design et, le cas échéant, de leur autonomie. Je me suis basé sur des tests effectués par moi-même mais également sur des avis d’autres personnes de mon entourage qui ont achetés ces produits. Ces avis sont neutres sans parti pris et ont pour but de vous aider à choisir la meilleure enceinte Bluetooth.
MEILLEUR CHOIX
MARSHALL Kilburn
JBL Flip 4
Ultimate Ears WONDERBOOM
Enceintes Bluetooth munie de prise jack pour une connexion avec des appareils non Bluetooth avec une autonomie de 20 heures.
Enceinte Bluetooth portable robuste et étanche IPX7 pour piscine et plage avec une autonomie de 12 heures.
Enceinte Bluetooth étanche idéale pour les douches, les piscines et les plages avec 12 heures d'autonomie et un son étonnamment puissant.
-
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MARSHALL Kilburn
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La meilleure enceinte Bluetooth de maison
Marshall Kilburn
Vous êtes peut être tenté de dépenser une grosse somme d’argent pour une enceinte Bluetooth de luxe, vous équipez en son digital et en même temps apporter une touche de décoration à votre maison ?
Ce n’est vraiment pas nécessaire de vous ruiner pour ça. Pour moins de 200 $, l’enceinte Bluetooth Marshall Kilburn, de style rétro, joue magnifiquement son rôle.
Le Marshall Kilburn ressemble exactement à un ampli de guitare classique. Il est emballé dans le même vinyle texturé Tolex (noir ou crème), avec la traditionnelle grille de haut-parleur en tissu et le célèbre logo Marshall cursif en or. Les contrôles ont également été pensé pour s’adapter à ce style rétro : Un interrupteur à bascule en métal permet d’allumer ou d’éteindre l’enceinte, et trois boutons à rotation permettent de régler le volume, les graves et les aigus.
Le Marshall Kilburn est livré avec une entrée auxiliaire de 3,5 mm et un câble audio spiralé, vous pouvez l’utiliser pour connecter le Marshall Kilburn à un appareil qui ne possède pas le Bluetooth. Les utilisateurs de cette enceinte Bluetooth ne tarissent pas d’éloge en son endroit, mais elle a quand même quelques défauts qui méritent d’être évoqués.
Points négatifs du Marshall Kilburn
Son poids ; ce petit bijoux pèse quand même 3 kilos. Il est 5 fois plus lourd que la moyenne des enceintes Bluetooth. Pour le transporter, le Marshall Kilburn est muni d’une sangle.
La batterie : En me promenant sur certains sites de vente, j’ai pu constater que plusieurs utilisateurs se plaignent de la durée de vie de la batterie. Dans la plupart des cas, la batterie ne tiendrait pas plus de 18 mois avant de rendre l’âme. Un gros point négatif pour le Marshall Kilburn quand on sait que la garantie n’est valable que pendant 12 mois.
Meilleure enceinte Bluetooth pour vos déplacements
Si vous souhaitez vous déplacer avec votre musique et faire profiter vos amis, alors ces deux enceintes Bluetooth sauront parfaitement répondre à vos attentes.
JBL flip 4 meilleure enceinte Bluetooth à moins de 100$
Rugueux, robuste et imperméable, le JBL Flip 4 fait partir des enceintes Bluetooth les plus recommandées par les utilisateurs eux même y compris moi. « Le nouveau roi des enceintes à moins de 100 $ « , déclare Tom’s Guide, le Flip 4 remporte également des prix du CNET et de TechHive, Il est nommé meilleur achat par Consumer Reports et est l’un des préférés des clients d’Amazon,
De la taille d’une bouteille d’eau, le JBL Flip 4 est recouvert de tissus qui le protègent des chocs. Il est étanche et peut être immergé à une profondeur de 3 pieds dans l’eau pendant 30 minutes. Un de ces grands atouts est sa beauté, Il est disponible dans plusieurs couleurs, noir, blanc, gris, bleu, bleu ou rouge, avec une petite boucle à une extrémité pour faciliter son transport ou pour l’accrocher à quelque chose. Sa forte connexion Bluetooth s’étend facilement à plus de 10 mètres.
Le Flip 4 a une autonomie de 12 heures avec une charge complète de 3 à 4 heures. Il se connecte facilement à tout appareil Bluetooth, et fonctionne très bien avec des assistants virtuels comme Siri.
Pour une utilisation dans une pièce moyenne ou une cour arrière, vous pouvez utiliser le JBL flip 4 sans aucune crainte. Il possède une qualité de son à laquelle vous ne vous attendriez pas pour sa taille ou son prix. Il est compatible JBL Connect+, ce qui signifie que vous pouvez connecter ensemble plus de 100 enceintes Flip 4 pour un son encore plus fort.
Wonderboom, deuxième meilleure enceinte Bluetooth à moins de 100 $
L’enceinte Bluetooth Wonderboom a des points communs avec le JBL Flip 4. Il est également recouvert de tissu et est étanche. Il résiste très bien aux chocs et possède une petite boucle élastique que certains trouvent fort bien inutile. Comme le JBL Flip 4, le Wonderboom fonctionne avec Siri ou Google Assistance. Son autonomie maximale est de 10 heures. Une autonomie un peu courte comparée à celle du JBL flip 4. Cependant, le wonderboom possède une portée Bluetooth super longue.
Points négatifs du Wonderboom
J’ai remarqué qu’il n’était pas possible de prendre un appel avec le wonderboom. Soit je m’y suis mal pris et ce n’est vraiment pas ma faute car j’ai pratiquement tout essayé soit cette fonction n’existe pas sur le wonderboom ou alors mon wonderboom était défectueux.
Wonderboom ou JBL flip 4, que choisir ?
Si vous hésitez à choisir entre ces deux très bonnes enceintes Bluetooth, j’ai compilé ici les avis de plusieurs personnes qui j’espère vous seront très utiles.
Alistair Stevenson de Trusted Reviews dit : « le Wonderboom peut jouer « ridiculement fort » ». Son collègue Williams lui affirme sur Trusted Reviews que « la profondeur des basses et la puissance du Flip 4 surpassent celles du Wonderboom de loin. Le JBL Flip 4 est un meilleur enceinte Bluetooth que le Wonderboom, à moins que votre idée d’une fête soit d’écouter Nick Drake pour faire craquer vos invités ». Mais David Carnoy du CNET préfère la basse et le son d’ensemble de la Wonderboom.
Sur Amazon, la JBL flip 4 obtient une note de 4.5 étoiles / 5 avec plus de 700 commentaires. Le wonderboom obtient également 4.5 étoiles / 5 pour plus de 600 commentaires.
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Ecologie, déconnologie et autres comportements sinistres
Les mots inacceptables de Castaner, (qui joue auprès de Macron le rôle que tenait Sapin auprès de Hollande : rien de ce qu'il dit n'est crédible !) sur le Général de Villiers, sont l’hommage grinçant du vice à la vertu ou du nul au méritant. Cela donne envie de parler d'autre chose. Par exemple, des absurdités de l'écologisme, de celles de l’Ex “épouse (?) royale’’ promue ambassadrice auprès des pingouins, à celles de Nicolas Hulot, l'ex-“essoufflé” de Ushuaïa, dont les efforts ahanants et enfantins parlaient de découvertes d'une naïveté navrante… On y va ?
J'ai commencé à fréquenter la Côte d'Azur dans la première moitié des années 1930… mais aucun des non-souvenirs que j'ai accumulés avant la fin de la guerre de 39/45 ne m'a encombré l'esprit. En revanche, tous les étés passés depuis 1946 sous ces cieux de Provence m’ont profondément marqué, et l'acquisition en 1969 d'une propriété au dessus de Cannes a fait de moi un “enfant du pays” (avé l'accin,de préférince !) et un observateur terrifié de la destruction de ce qui fut un merveilleux cadre de vie : on chantait alors que ‘’sur les bords de la Riviera, murmurait une brise embaumée… ‘‘. C’était hier… ou peu s’en faut !
Ce désastre écologique n'a été obtenu que par des excès de réglementation, des excès de zèle, des normes absurdes et des idées comme seule une pensée de gauche sectaire est capable d'en concocter (même lorsqu'elle se prétend, comme ce fut si souvent le cas, “de Droite”) : ce qui était il y a quarante ans à peine un véritable paradis sur terre est devenu le rêve de technocrates tout puissants, c'est-à-dire le cauchemar des administrés matraqués de manière conFISCatoire… Pensez que jusque vers 1969 (hier, à l'échelle du temps), la forêt qui occupe une moitié de ma propriété avait été entretenue, à travers les siècles : les arbres étaient abattus dès que nécessaire et d'autres prenaient leur place, naturellement. Mais un jour, un inconséquent anonyme a inventé le concept de “Zones vertes”, où il est interdit de construire, bien sûr, mais aussi où le destin de chaque arbre dépend d'un “compétent” auto-proclamé. Que croyez-vous qu'il arrivât ? Les terrains promus “inconstructibles” ont perdu la moitié de leur valeur, ce qui n'est pas si important. Mais ce qui est grave, c'est que les forêts n'ont plus été “gérées’‘ : il était interdit d'abattre un seul arbre, même mort, sans ‘’l'autorisation administrative préalable’’ (sic !) d'un fonctionnaire ignorant absolument tout de la flore et de la faune…
Ah ! La faune… Parlons-en ! Sous prétexte de ’'protéger la nature” (re-sic !), des irresponsables ont rendu obligatoire le débroussaillage annuel, sous peine de fessée publique ou de condamnation au pilori !. Deux ans ont suffi pour que les sympathiques tortues de Hermann (dites aussi “tortues des Maures”), qui avaient traversé sans encombre une bonne centaine de millions d'années tant elles étaient adaptées à leur milieu, au point de vivre jusqu'à 80 ou 100 ans, aient disparu, découpées vivantes en rondelles par les débroussailleuses légales et obligatoires… mais mortelles, le tout au nom d'un écologisme mal compris mais bien dévoyé… Et que dire des jolis petits lapins, si charmants, qui me faisaient revivre , à chaque retour des saisons, les premières pages des “Lettres de mon Moulin”, d'Alphonse Daudet ? Je ne verrai plus jamais le spectacle charmant de leurs petits derrières blancs qui sautillaient si joyeusement : tous ceux qui n'ont pas été “débroussaillés” jusqu’à la mort n'ont pas survécu à la destruction de leur habitat !
Autre conséquence effroyable de l'imprévoyance de ceux qui usurpent le nom de “écologistes’' : la disparition des oiseaux ! C'est à peine s'il reste quelques pies (nuisibles), des pigeons (parisiens ?) et quelques tourterelles… coréennes (les espèces endémiques ont disparu !). Adieu, les passereaux, les hirondelles qui criaient de bonheur en frôlant élégamment la surface de ma piscine, et même le rossignol qui égrenait ses trilles dans mon jardin, à la fraîche et au serein, pour mon bonheur jamais lassé par la beauté de ses hymnes à la perfection de la nature… tant qu’elle avait été préservée des normes absurdes : cet été, il n'est plus là, et je m'en remets très difficilement… Et depuis peu, un irresponsable a introduit des perruches dans cet ’'écosystème” si vulnérable : les éclairs bleus, verts ou jaune de leur vol gracieux sont certes un régal, mais c'est au prix du remplacement des espèces d'oiseaux locales, qui ne peuvent résister à leur “intelligence”.
Je ne vois aucune raison théorique qui pourrait s'opposer à ce que les mêmes imbécillités (ou d'autres, différentes mais aussi impardonnables) ne soient commises par le zèle intempestif de fonctionnaires dont le rêve fou est de tout normaliser pour tout contrôler sans être eux-mêmes soumis à quelque contrôle que ce soit (et pour le moment, tout se passe comme s'ils avaient gagné ! Ils ont phagocyté jusqu'aux sommets de l'Etat !). Qui dira un jour le coût (en argent, certes, mais surtout en liberté, en joie de vivre, en richesse de la nature, en joies simples… ) de toutes les normes qui détruisent notre bonheur depuis une vingtaine d'années, c'est-à-dire depuis que la victoire de l'administration sur l'intelligence humaine semblerait en passe de devenir un fait acquis… Mais il faut espérer ! Bien mal acquis ne profite jamais ! Les beaux jours reviendront… et avec eux les rapides hirondelles et nos douces tourterelles… (pour les tortues, ce sera plus difficile !)
Malgré les menaces… je souhaite de bonnes vacances à ceux qui vont partir… Et je présente mes condoléances à ceux qui sont sur la route du retour et qui vont se trouver plongés dans les idées trop courtes et superficielles de ce gouvernement dans lequel, contre toute rationalité, certains avaient eu la faiblesse de croire…
H-Cl.
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Wilson Promontory et la côte est vers Sydney
Hello !
Après la Yarra Valley, on a décidé d’aller faire un trek dans le parc national de Wilsons Promontory, une immense péninsule qui marque le point le plus au sud de l’Australie continentale. On a l’intention de faire la Great Prom Walk, une randonnée qui se fait sur 3 ou 4 jours. Evidemment, on a choisi de la faire en 3 jours !
Le parc est immense. De l’entrée au visitor centre il y a 30km !! Juste après un panneau indiquant « Attention Kangourous et autruches », on aperçoit ces deux spécimens en train de prendre leur petit déjeuner dans un champ !
Avant de se lancer, on passe au visitor centre pour se renseigner et réserver les campings. 13 $ par tête et par nuit, ce n’est pas donné pour des toilettes sèches et un bout d’herbe mais on prend quand même. On monte avec Skippy (le van) jusqu’au parking de Telegraph Saddle et avant de se lancer vraiment sur la rando on décide de monter en haut du Mont Obberon. 100 m après le parking on croise un petit wallaby « trop mignoooooon », comme dirait Sophie.
Et ensuite un kangourou juste avant le sommet, à partir duquel on a une vue à couper le souffle sur le parc et ses magnifiques plages.
De retour au van on fait nos sacs, on avale un sandwich et c’est parti ! La première partie du chemin se fait sur une piste d’accès pour les 4x4, bof. Un Wombat (sorte de gros mammifère poilu) traverse la piste devant nous. On commence à comprendre que l’animal le plus quelconque est nécessairement plus gros en Australie. On poursuit notre chemin à travers une alternance de bush et zone humide avant de débouler sur une plage déserte proche de la perfection !
Moment de contemplation avant de rallier le camping qui se trouve également à deux pas d’une autre plage magnifique. Au moment de choisir l’emplacement une petite voix me dit « Pas dans un trou, l’eau s’y accumule lorsqu’il pleut ! ». Malheureusement le seul emplacement qui semble potable est dans un trou.
On s’installe, on mange et évidemment on se prend une énorme averse sur la tête. Au bout d’une dizaine de minutes, on entend notre gamelle faire du bruit. En ouvrant le devant de la tente, on tombe sur un rat qui cherche son casse croûte du soir. Cela nous permet de constater que notre emplacement est une piscine. On change d’emplacement en urgence afin d’éviter l’inondation.
Le deuxième jour, après un réveil sous une petite pluie, on enchaîne les criques plus belles les unes que les autres.
Refuge cove présente un décor de carte postale avec sa petite plage de sable fin et son eau turquoise.
La forêt ou les forêts passent d’une végétation de rainforest à une végétation méditerranéenne. Arrivés à Sealers cove, on doit enlever les chaussures et les pantalons pour passer une rivière. L’eau est gelée !
La fin du chemin sera particulièrement long ! Pour divertir Sophie, je me casse la gueule sur une passerelle en bois humide, aïe ! Après 25 km on est tout heureux de retrouver Skippy et on met le cap sur Foster où l’on passera la nuit dans un camping. Douche chaude au programme !
Après ce trek, on avait prévu de partir dans les montagnes pour faire du ski ! Et oui, il est possible de skier en Australie. Bon, la montagne la plus haute affiche 2 228 m au compteur mais c’est pas grave. Malheureusement, les prix sont démesurés. Environ 160 € pour une journée de ski ! La mort dans l’âme (surtout moi), on se résigne passer notre tour et l’on décide donc de rallier Sydney par la côte. La journée se résume donc à route, course, route, dodo.
Le lendemain, on fait notre premier stop du jour à Mallacoota. Station balnéaire plutôt jolie mais vide en hiver. On se ballade sur une belle plage et on croise une vingtaine de kangourous sur le camping désert.
On fait notre pause déjeuner à Eden, ancien haut lieu de la pêche à la baleine. Rien de bien transcendant. La Princes Highway qui court le long de la côte nous amène à Merimbula. Avec son aéroport, c’est la grosse station balnéaire du coin. On se contente d’une petite ballade sur la pointe avant de reprendre la route pour trouver notre campement du jour. Le problème c’est que dans le coin il n’y a pas beaucoup de camping gratuit. En regardant maps.me on repère un coin qui semble éloigné des habitations. Il s’agit en fait d’une réserve. A l’entrée, un panneau « No camping » annonce la couleur. On décide quand même d’aller voir. Après 3 km de piste on arrive sur un parking désert avec des toilettes. C’est décidé, on dort là ce soir et on prend le risque de l’amende si un ranger pointe le bout de son nez.
Au final, on ne sera pas dérangés. Au réveil, on décide d’aller voir où mènent les quelques sentiers de randonnée au départ du parking. En chemin, on croise un kangourou. Arrivés a Wajurda Point, on a une vue superbe sur une grande plage déserte ou presque. Un surfer profite des vagues. Kangourou+plage+surf, on est vraiment en Australie ! En descendant sur la plage, on distingue une maison perdue au milieu des bois. Probablement la retraite du surfeur matinal.
En longeant la rivière qui serpente derrière la plage on tombe sur maman kangourou et bébé kangourou en train de prendre leurs petit déjeuner. Pas farouche, ils nous laissent approcher pour quelques photos. Quelle bonne idée on a eu de camper là !
On récupère le van et on reprend la route vers le nord. En chemin, on s’arrête au Tanja Lagoon. Encore une belle plage avec des kangourous ! A Bermagui, on croise nos premiers Pélicans. C’est énorme !!!
A Narooma, on croit voir deux ailerons de requins dans l’eau. Raté ! C’est juste deux nageoires de phoques qui se laissent porter par le courant. On voit également un Pélican gober un crabe ou une araignée de mer. Ca ferait presque peur comme oiseau ! On s’arrête également à Tilba. Petit village conservé dans son jus depuis le 19ème siècle. Très mignon, mais ça sent quand même l’attrape touriste vu que chaque maison possède son commerce.
A Batemans Bay, on fait escale dans un camping BIG 4. Piscine, toilettes nickels avec la radio, laverie, wifi, la totale !
Après avoir rechargé la batterie du van et les nôtres, on reprend la route en direction de Jervis Bay. Là-bas se trouve la plage de Hyams Beach avec le sable le plus blanc du monde (source : Guiness book) ! Pas de bol, on a des nuages. Malgré cela, on arrive aisément à comprendre le titre décerné à cette plage.
Le sable blanc crisse sous nos pieds, l’eau invite à la baignade et on a même le droit des dauphins qui croisent à quelques encablures de la grève.
Après une pause déjeuner où l’on fait sécher la tente encore trempée depuis le trek, on poursuit jusqu’à Berry, charmante petite escale pour prendre un café ou des donuts. Pour nos premiers donuts, on les a trouvés particulièrement délicieux !
Sophie me dit que dans la ville suivante, il y a un Blow Hole, autrement dit un trou dans la roche et la mer qui s’y engouffre en soufflant comme une baleine. Allons voir ça. Après une petite erreur de guidage de sa part, on arrive sur une pointe pile au moment du coucher du soleil. Le ciel est en feu d’un côté et de l’autre un arc-en-ciel parfait ! Un hélicoptère de la marine fait même un passage en rase-motte comme pour dire bonjour. Superbe !
Une fois le soleil couché, il ne nous reste plus qu’a trouver où dormir ce soir…heu… Et pourquoi pas un bord de route dans une zone résidentielle de la grande banlieue de Sydney. Ca fera l’affaire !
Demain on a rendez-vous avec la mythique ville de Sydney.
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Les Aventures de Benjamin Duronflan, chapitre 20 - Un lit à Madurai
Elle avait raison, ils arrivèrent sans encombre à Madurai, les contrôles avaient été sommaires, malgré des sueurs froides lorsqu’un policier, à la fouille, avait renversé méticuleusement l’intégralité du porte-feuille de Benjamin.
Un taxi les attend, ils grimpent en silence. Le trajet est loin, la nuit tombe, ils distinguent qu’ils quittent la ville pour la périphérie, et soudain, au milieu d’un terrain vague et sec, se tient leur hôtel. Un hôtel de standing avec des portiers, du marbre, une piscine, un room service. Silencieusement, ils font ce qu’ils ont à faire. Leur chambre est immense, c’est une véritable suite avec plusieurs pièces et deux salles de bains. Finalement, Benjamin qui n’en peut plus, brise le silence.
« -Mais, qu’est-ce que… qu’est-ce que tu as fait ? - Hum… je pensais pas vraiment que cela serait comme ça, répond-elle perplexe. C’est la première fois qu’une expression apparaît sur son visage depuis plusieurs heures. - Enfin, bon, c’est très très bien, on va pas se plaindre du confort. - Oui, enfin, c’est un peu ridicule quand même, ça pète un peu plus haut que son cul je trouve. - C’est vrai qu’il y a des traces d’humidité sur les peintures. - Et puis, c’est pas très bien meublé. - Il y a un bar à thème en bas. - C’est quoi le thème ? - Western. Ça te tente ? - Bof, tu sais, les westerns, ça vient de chez moi. - Ah oui, j’avais oublié. Tu parles bien français d’ailleurs, c’est marrant, c’est la première fois que je le remarque. J’avais toujours pris ça pour acquis en fait. - On va se promener ? »
Se promener, ça voulait dire aller voir le « bar », le hall d’entrée et la piscine. Ils firent aussi le tour de l’hôtel à travers les friches qui l’entouraient. En rentrant, ils commencèrent à discuter avec un homme, grand, brun, « la cinquantaine » avait dit l’Américaine. Sa femme était dans leur chambre, « elle dessine » il dit. Benjamin remarque qu’il lit le Monde Diplo, « ah, c’est le Diplo ». « Vous connaissez ? ». Un peu. Ils sont venus voir leur fils, qui voyage depuis longtemps. « Nous aussi, on voyage depuis longtemps » remarque l’Américaine. Il leur explique qu’il n’a pas trop compris comment ils étaient arrivés ici, ils devaient être plus proches du centre dans quelque chose d’un peu plus modeste, explique-t-il en levant les yeux au lustre qui pendouille au plafond. Mais, on comprend pas grand-chose à ce qu’ils racontent dans ce pays, quand même un accent… alors, il a pas osé dire non, et… « bah, voilà, on est là. Forcément, on est un peu déçu, enfin on va pas se laisser abattre. C’est pas grave ». Benjamin dit que c’est un peu pareil pour eux, qu’ils ne pensaient pas que cela serait comme ça. Il raconte un peu son voyage, il explique en riant qu’avec l’Américaine, il et elle s’étaient rencontrés une première fois à Bénarès, puis s’étaient retrouvés par hasard à Jaisalmer. « Ah ! Mon fils aussi est allé à Jaisalmer, il a fait du chameaux ! ». C’est marrant, comme Benjamin, son fils veut devenir instit’… L’homme explique, sa chemise à carreaux entrouverte, que tous les gens qu’il connaît sont tombés malades en Inde. « Ah oui, c’est une lutte permanente pour rester en bonne santé » acquiesce Benjamin. Alors, lui, il a décidé qu’il ne tomberait pas malade : « c’est un peu mon défi, quoi. » Alors, il ne prend qu’un repas par jour, et toujours dans un endroit « où les assiettes, les couverts, sont propres, vous voyez ». « C’est pas un peu radical quand même? » demande l’Américaine. « C’est toi la gauchiste qui parle de radicalité » lui réplique Duronflan en riant. « Écoutez, vous savez j’ai pas beaucoup de vacances, j’ai envie d’en profiter alors… gauchiste ? ». « Oui, je me définis comme appartenant à la gauche critique ». « Mon fils aussi, il est engagé comme ça, dans les luttes il dit, le syndicalisme... ». Là, Benjamin est certain, son fils, il l’a croisé à sur la route de Jaisalmer, et il a fait du dromadaire avec lui. C’était au moment où il avait été ruiné par son séjour à l’hôpital, et finalement, à son fils, il lui avait taxé pas mal d’argent. « Il va voter Poutou, alors ! ». « Faudrait qu’il trouve ses cinq cents signatures ». « Il arrive quand ? ». « Il ne devrait pas trop tarder. » répond l’homme en regardant l’heure sur son téléphone. « On va vous laisser alors ».
Lorsqu’ils furent revenus dans leur chambre et qu’ils profitaient de la fraîcheur de la climatisation, nus sur le lit, immense, Benjamin déclara : « - Il faut qu’on parte d’ici dès demain. - Non, après-demain, on a rien visiter, elle répondit. - Je croyais qu’on était en cavale. - Oui, je vois pas pourquoi ça nous empêche de visiter. - C’est vrai, admit-il. Par contre, j’ai une condition. Elle se retourna vers lui, elle le voyait loin loin au bout du lit, ses bras étendus le long de la peau blanche de son ventre et ses hanches. Quand elle vit les marques de bronzage de son ami, elle releva sa tête pour tenter de voir son décolleté et ses épaules. Oui, c’était pareil, en un peu plus claire. - C’est presque trop grand ce lit, elle dit tout en se rapprochant. Ils sont ensemble, leurs courbes tendres vont bien ensemble, le tableau est doux. - Tu as une taille presque féminine, elle dit encore. - Toi, aussi, il répond, mais… tu ne m’as pas demandé ma condition. C’est pas très important, mais je voulais t’en parler. Elle ne lui répond pas, elle compare leurs genoux respectifs. Ceux du jeune homme sont dures et anguleux, ils articulent ses longues jambes, alors que les siens sont ronds. Ce ne sont pas des os qu’ils relient, ses jambes sont comme de la porcelaine ou plutôt, comme de la pâte d’amande. - Je veux qu’on ne parle plus ni à cet homme, ni à son fils, faut les éviter, tu comprends. Demain, on les évite. Elle compare leurs pieds, les siens semblent minuscules à côté. - Comment on dit en français déjà… panards ? De grands panards ? Il ne répond pas, il se dit qu’elle ne l’écoute pas, qu’elle ne l’écoute jamais. L’Américaine le sent, elle se rapproche encore un peu, suffisamment pour qu’il sente sa peau froide d’air conditionné près de lui. - Pardon. Les éviter… Benjamin, ça va pas ? - Je… tu te rappelles, quand on s’est retrouvé, je faisais, enfin, j’avais des activités peu… peu morales quoi, commence-t-il à expliquer. L’Américaine se souvient le drama qu’il avait fait à l’époque, cette scène de repentance quasi-mystique. En se souvenant du ridicule de la scène, elle se demande presque pourquoi elle l’avait alors suivi. Cela sembie si dérisoire par rapport à ce qu’ils avaient fait, tous les deux, à Varanasi. - Oui ? - Leur fils. - Ben, abrège, dit-elle autoritaire, je suis certaine que tu me fais peur pour rien. - Bah, je lui ai… on va dire que je lui ai coûté pas mal d’argent et que ça me met un peu mal à l’aise. - Tu as peur qu’il te le demande, parce que tu sais, moi je suis une fugitive alors un coup de schlass et c’est réglé, elle lui dit les yeux dans les yeux. - Mais… mais… bredouille son ami épouvanté, mais… tu… tu connais le mot « schlass » ? - Faut croire. Suffit d'un geste, d'un mot pour qu'la gazeuse te douche, chante-t-elle tout en mimant une mitraillette avec son avant-bras que le soleil a rendu légèrement cuivré, pour qu'la rafleuse te touche ! Bam bam bam bam bam bam ! »
Duronflan se recroqueville dans un coin du lit, il la regarde, elle qui est nue, debout devant lui le menaçant d’un FAMAS imaginaire. Il ne comprend pas, et la regarde sauter sur leur lit. Elle parle du public et du cheval de Troie ou de quelque chose comme ça. Elle rebondit près de lui, essoufflée, demain, ils doivent aller visiter un temple très connu.
Le lit était tellement grand qu’il autorisait toutes les fantaisies pour dormir, ils en profitèrent, dormant dans les positions les plus improbables. Pendant la nuit, Benjamin qui avait froid à cause de l’air conditionné se blottit contre sa compagne qui lui renvoya un coup de poing sur la face. Il cria, il et elle se disputèrent à moitié endormis, avant que l’Américaine n’ait la bonne idée de baisser la climatisation. Benjamin voulut continuer à geindre contre le coup de poing, mais fut arrêté par un « tu sais, je suis une fugitive, je suis prête à tout ». Elle se rendormit rapidement, tandis que l’imagination de Benjamin quant à elle, allait bon train. Après tout, il ne la connaissait pas tant que ça, et elle parlait peu de sa vie avant. Peut-être qu’elle était déjà en cavale, que depuis qu’ils voyageaient ensemble, il l’aidait à fuir les autorités de son pays. Il pensa d’abord aux « black blocs », « je suis de la gauche critique » elle disait. Oui, elle disait ça. II la regardait dormir, ses joues rondes et roses. Lèvres fines, mèches blondes si claires. Son bourrelet léger et pâle sur les hanches comme pour mieux souligner les lignes pures de ses jambes. Elle, peut-être qu’elle avait jeté des cocktails Molotov, blessé des policiers. Ou peut-être pire. Une poseuse de bombe, ou alors elle a tiré dans les genoux des patrons. « Pour que la raffleuse te touche » répéta-t-il encore avec la chair de poule. Ils ont trouvé son ADN sur quelque chose, ou alors, ils avaient une vidéo. Et elle a dû partir. Il crevait d’envie de la réveiller pour lui demander, mais craignait un autre coup de poing. Il rêva toute la nuit qu’ils braquaient des banques, puis il la vit à son procès. Elle disait « Oui, je suis une révolutionnaire professionnelle, je suis une anarchiste et le seul jugement que j’accepterai sera celui de mes sœurs de lutte ». Il la voyait avec sa combinaison orange, dans un parloir avec d’autres couples - sans avoir l’autorisation de se toucher.
Quand le lendemain, derrière un large pilier du temple de Madurai, il lui demanda : « tu étais déjà en fuite avant de me rencontrer ? », elle lui répondit « on fuit tous un peu quelque chose, non ? ». Une énième fois, il la regarda consterné. Elle marchait à travers le vieil et immense édifice d’un pas assuré. « C’est quand même beaucoup plus facile d’être une femme ici que dans le nord de l’Inde » lui fit-elle remarquer. Ils jouaient à reconnaître les dieux, ce qui n’étaient pas si évident parce que l’iconographie n’était pas totalement la même ici qu’en Uttar Pradesh ou au Rajasthan. Il y avait par exemple, ces statuts de Shiva comme « danseur cosmique ». Le dieu qu’il avait l’habitude de voir plein de muscles et des haschichs, couvert de sa peau de bête, était là tout gracile, que souplesse et élégance. Duronflan déclara que cet endroit l’oppressait un peu : l’obscurité, les colonnes, les pierres massives. Ils sortirent ; de dehors, on pouvait observer les toits. Ils étaient composés d’un enchevêtrement de multiples statuettes de dieux, déesses, animaux, êtres humains, très colorées. L’ensemble était à la fois kitsch et impressionnant. Il lui demanda où ils allaient le lendemain, elle lui répondit « Munnar, Kerala ». « Munnar », ça lui faisait un peu penser à un personnage d’Harry Potter mais il ne se rappelait plus bien lequel. « C’est au bord de la mer ? ». « Non, à la montagne ». « Ah ».
Lorsqu’ils rentrèrent à leur hôtel, ils aperçurent dans le restaurant la petite famille réunie, le père devait avaler son unique repas de la journée, et le fils… le fils était bien le jeune homme à qui Benjamin avait extorqué un voyage en bus et un safari en dromadaire. Ils regagnèrent leur chambre avant d’être aperçu. Cette nuit-là, ils réglèrent correctement la climatisation avant de se coucher. Ils purent ainsi dormir nus sans avoir trop froid et dormir l’un près de l’autre sans avoir trop chaud. C’était parfait. Benjamin lui souffla à l’oreille un « tu règles bien les climatisations, tu sais ? ». Elle lui dit que s’il essayait de donner une connotation érotique à sa phrase, c’était ridicule, mais que si c’était juste un constat, c’était mignon. Il dit que, bien entendu, ce n’était qu’un constat et elle revint se pendre à son épaule.
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12 les Avantages de l’Eau de noix de Coco – Ce que c’est et les Propriétés de
En dépit d’être une boisson traditionnelle au Brésil, l’eau de coco a vu sa consommation d’énergie de croître à travers le monde, et de la transformer en un championnat de la piscine. La popularité n’est pas sans raison, il ya plusieurs avantages de boire de l’eau de coco. En plus d’être délicieux, est le liquide qui vient de l’intérieur de la noix de coco a très peu de calories, faible en sodium, riche en potassium et contiennent des glucides faciles à digérer, sous la forme de sucre et d’électrolytes. En plus de cela, il est également parfait pour les athlètes car elle est très hydratante.
Le seul, cependant, l’eau de la noix de coco est la possibilité d’un excès de potasse, mais pour ce faire, le consommateur devrait être très, très hors de l’ordinaire. Autre que cela, c’est une lotion liquide avec une faible teneur en calories et très nutritif.
Propriétés nutritionnelles de l’Eau de noix de Coco
Découvrez les valeurs nutritionnelles dans les juste un verre (200ml) de l’eau de noix de coco:
Teneur en énergie: 33 calories
Hydrates de carbone: 6,6 g
Protéines: 1,65 g
Total des lipides: 0,33 g
Gras saturés: 0 g
Fibres alimentaires: 1,65 g
Sodium: 252 mg
Potassium: 600 mg
L’idéal est de prendre l’eau de la noix de coco, le plus frais possible, plutôt que de l’apport de nutriments sont perdus.
12 des Plus grands avantages de boire de l’eau de noix de coco
Pour comprendre ce qu’elle est, et quels sont les avantages de l’eau de noix de coco pour la santé et de remise en forme:
1 – le Corps de l’eau
Pour garder votre peau jeune et votre métabolisme est actif, il est nécessaire de boire beaucoup d’eau et c’est le liquide qui vient de l’intérieur de la noix de coco est de 95 pour cent d’eau. En outre, au cours de l’activité physique, le corps perd de minéraux à travers la sueur, qu’ils doivent être remplacés. Plus de boissons pour sportifs, eau de coco, régénère ces minéraux dès que possible: est-294 mg de potassium et 25 mg de sodium, et de 5 mg de sucre naturel dans une tasse. D’autres boissons, l’industrie de l’énergie obtenir la moitié de la quantité de potassium et de deux fois plus de sodium, et jusqu’à cinq fois la quantité de sucre, et ces boissons, le sucre est transformé.
L’eau de coco est également idéal dans les cas de déshydratation, mais il fournit également des acides aminés, des enzymes, des acides gras, et sans remplissage en la personne de sodium comme certains des sérums.
2 – aide dans la perte de poids.
L’eau de coco ne pas avoir tout type de substance qui vous fait perdre du poids, mais c’est une super alternative à d’autres boissons que vous remplir votre corps avec des calories et de sucre. Il a très peu de calories, riches en nutriments et il supprime l’appétit, car il contient une haute teneur en fibres. Qui est, vous pouvez boire de l’eau de noix de coco à volonté, sans la peur de gagner quelques kilos en trop.
Voir aussi:
3 – les Propriétés anti-vieillissement et aide à la prévention du cancer
Des recherches récentes ont souligné que citocininas de l’eau de la noix de coco, comme le cinetina et trans-zéatine a des propriétés anti-vieillissement et la prévention du cancer et accident vasculaire cérébral. En plus de cela, l’eau de la noix de coco est riche en antioxydants, en général, pour éviter les dommages causés par les radicaux libres et prévient le vieillissement prématuré de la peau, et dans la création de cellules cancéreuses.
Outre les propriétés de ces substances, l’eau de noix de coco garde la peau hydratée et propre, il va vous aider à éliminer l’excès de sébum du corps.
4 – Moins de fatigue et de stress
Les sels minéraux présents dans l’eau de coco, tels que le magnésium et le potassium, ils sont également responsables pour les moins de fatigue, moins de stress et de garder vos muscles détendus et à l’aise. Le magnésium agit directement sur le système nerveux, le système parasympathique, qui aide les gens à se détendre, ainsi que d’aider à produire des seretonin – une hormone qui crée un sentiment de bien-être.
5 – Rend plus facile à digérer
Le fait d’être riche en fibres, l’eau de noix de coco aide à réguler le processus de la digestion et réduit les risques de refoulement. Aussi, manger une alimentation riche en fibres ralentit l’absorption des hydrates de carbone et d’aider dans le régime alimentaire, et de maintenir un sentiment de satiété plus longtemps.
6 – la Pression est sous contrôle
En 2005, une étude a constaté que, après la consommation de l’eau de noix de coco pour les deux premières semaines, la pression artérielle systolique de personnes a diminué de 71% de plus que ceux qui ne buvait que de l’eau, et la pression diastolique de la pression artérielle a diminué de 29% au plus. Cela est particulièrement vrai pour la grande quantité de potassium présent dans la boisson.
En plus de cela, une très grande quantité d’électrolyte peut augmenter la pression sanguine – un-danger dans les boissons énergisantes. Le lait de noix de coco fournit un approvisionnement adéquat de ces électrolytes, en aidant à rétablir l’équilibre dans votre corps.
7 le Cerveau et le système nerveux est à pleine puissance
Comme je l’ai dit avant, l’eau de coco est riche en potassium, ce qui est essentiel pour le cerveau et le système nerveux fonctionne bien. Un verre de lait de noix de coco vous donnera 13% de potassium, nécessaire pour toute la journée.
8 – à l’Aide dans la prévention de l’asthme, le diabète et l’ostéoporose
Parmi tous les nutriments, l’eau de coco fournit, c’est le mg qui a les propriétés qui aident à prévenir les maladies, comme l’asthme, le diabète et l’ostéoporose. Des études ont montré que seulement 32% des personnes qui ont consommé, la quantité de magnésium est nécessaire pour vous garder en bonne santé, avec un verre d’eau de noix de coco fournit environ 14 pour cent de ce que le corps a besoin dans une journée.
9 – cure de Désintoxication
Donc, si vous détoxifier votre corps a besoin de beaucoup d’eau et les nutriments. Si le corps n’est pas capable de faire ce nettoyage, les toxines qui peuvent causer de graves problèmes dans le foie et les reins, entre autres problèmes, tels que des problèmes avec la peau. En plus d’être une source incroyable de l’eau (ic à 95%, comme mentionné ci-dessus), et le lait de noix de coco a un profil que la concentration de l’électrolyte, très semblable à du sang humain, de sorte qu’il se régénère rapidement dans les fluides du corps, et il aide à éliminer les toxines.
10 – accélérer le métabolisme
Les avantages de boire de l’eau de coco, c’est l’accélération du métabolisme de l’organisme. Cela est dû à la présence d’enzymes et de bioactifs, tels que l’acide phosphatase, catálase, déshydrogénase, la diastase, la peroxydase, l’ARN-polymérases etc. Un métabolisme rapide signifie que votre corps brûle des calories plus rapidement, ce qui les empêche de collecte, et ils voient la graisse.
11 – le taux de Cholestérol, équilibré
Selon le médecin, Bruce Fife, directeur du Centre de Recherche sur l’eau de noix de Coco à partir de fruits va aider à augmenter le bon cholestérol (HDL). Dans une enquête réalisée en 2006 a révélé que les rats qui boivent beaucoup d’eau de noix de coco a le moins de chance d’avoir une crise cardiaque. C’est surtout à cause du lait de noix de coco réduit les niveaux de mauvais cholestérol. En outre, lorsque les souris ont souffert d’une attaque cardiaque, et la boisson aide à se remettre sur leurs pieds plus rapide, grâce au potassium, calcium, et magnésium sont présents.
12 – les Reins-santé
En étant un diurétique naturel, afin de prévenir les infections des voies urinaires et les calculs rénaux sont les avantages de l’eau de noix de coco. Les chercheurs dans les philippines trouvé boire de l’eau de noix de coco au moins trois fois par semaine, réduit la taille des pierres dans les reins et la nécessité d’une intervention chirurgicale.
Vidéo:
Comme les conseils?
Sources et Références:
Campbell-Falck, Darilyn, et al. “L’utilisation intraveineuse de l’eau de noix de coco.” L’American journal of emergency medicine 18.1 (2000): 108-111.
Quand Mohammed, et. al. “La réhydratation après l’exercice avec jeune, fraîche eau de noix de coco, hydrate de carbone de l’électrolyte de la boisson et de l’eau ordinaire.” Journal de la physiologie de l’anthropologie et de sciences humaines appliquées, 21.2 (2002): 93-104.
Alleyne, T., et al. “Le contrôle de l’hypertension par l’utilisation de l’eau de noix de coco et mauby: deux tropicales alimentaires boissons.” West Indian Medical Journal 54.1 (2005): 3-8.
Anurag, P., et T. Rajamohan. “Les effets cardioprotecteurs des offres de noix de coco de l’eau dans les expériences de l’infarctus du myocarde.” Usine d’Aliments pour la Nutrition Humaine, de 58,3 (2003): 1-12.
Sandhya, V. G. et T. Rajamohan. “Les effets bénéfiques de l’eau de coco, de l’alimentation sur le métabolisme des lipides dans le taux de cholestérol chez les rats nourris.” Le Journal of medicinal food, 9.3 (2006): 400-407.
Wu CHIN-CHEN, et DAVID F. Bohr. “Les mécanismes de calcium, la relaxation du muscle lisse vasculaire.” Le Journal Américain de la Physiologie Cardiaque et Circulatoire Physiologie 261.5 (1991): H1411-H1416.
L’Axe – la Nourriture est la Médecine.
Vous n’avez aucune idée de tous les avantages de l’eau de noix de coco pour la santé et de remise en forme? La fréquence de la consommation de cette boisson est délicieuse et nutritive? Il va augmenter, maintenant que vous le savez, votre propriété et de savoir ce que c’est? S’il vous plaît commentaire ci-dessous!
(102 votes, moyenne: 4,19 / 5) Y…
Cet article a été publié pour la première fois dans 12 les Avantages de l’Eau de noix de Coco – Ce que c’est et les Propriétés de
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Quand j’ouvre les yeux je vois une affiche
l’affiche me ressemble pour ces trois raisons
je suis dans un lit
je parle deux langues
ma peau c’est de la pelure d’orange
Quelqu’un a renversé des draps dans ma morphine
c’est pas grave Quelqu’un était gentil
Quelqu’un voulait juste que je sois confortable
j’essaie d’expliquer: je n’ai pas huit ans pour vrai
mon art est comme un coeur d’artichaut
il me faut du temps pour comprendre
comment ça marche pour remarcher
j’aimerais juste manger l’orange dans le lit de sueur
ou prendre une douche sur internet
et j’ai les yeux ouverts je sais que
quelque chose se brise
le micro sur la scène meurt
avec la maladie du chat
l’auteure retourne à l’hôpital au dos duquel elle a écrit
l’oeil est wide open
l’autre au bout du regard du chien
je me suis fait tatouer un chien
l’ambulancière a ri de mon tattoo elle a dit:
y’a quelque chose de weird qui s’est passé ici
j’essaie d’expliquer: l’étoile dans l’oeil du chien
c’est tout le lac Memphré
toute sa grandeur
à l’amie et la noyade avant elle:
la mer est à boire en entier
sa peau est malade quand l’orage prend fin
l’orange c’est la bouche
dans le suicide de la belle fille
chaque piéton est un ballon dans la main du piéton
chaque voix est l’hélium d’une voix
après un certain temps
n’importe qui devient un spécialiste des boucles
bonne nouvelle
Aujourd’hui est chaud est froid est dehors
est d’une certaine heure
Aujourd’hui tu écris un livre ou tu dérange la conversation
tu dérange la voisine et tous tes ami-e-s
Aujourd’hui: tu vas au Dollorama chercher du Naproxène
tu ressors avec 25 pots pour pouvoir faire des semis
au fond de ton pot préféré
il y a de la place pour la gravel et le sel de la gravel mouillée
mais tu deviens juste cette fille portant culotte mouillée
et tu n’as rien de neuf à déposer là dedans
Aujourd’hui, on écrit un livre
on prend toute la morphine de la terre
on la porte comme un bébé qu’on espérait revoir
avant la retraite de nos hanches
l’idée du bébé c’est comme rêver de l’eau vers le haut
l’eau toujours en direction contraire
à l’instinct d’écriture
imagine avoir une voisine qui crie dans l’escalier
qu’on lui a pris son pied parce qu’elle était méchante
imagine
te lever tous les matins pour ramasser
ce qui est méchant chez l’autre
la merde et l’odeur de javel
l’envie de pisser comme du sang neuf dans la piscine
on dit à la voisine: “c’est correct tu peux revenir
planter tes fleurs dans le plastique
faire ta couleur dans les toilettes”
on dit: “quand on regarde bien
on reconnaît la peau orange sur l’affiche d’hôpital
c’est émouvant d’y voir ton visage”
il y a cette loto naturelle
elle te hit on the spot
si tu es chanceux tu n’auras pas besoin de la manette
ou du mouvement de la manette pour faire bouger les images
et fuck tu diras
“c’est beau un oeil ouvert
comme un poisson qui pleure
sur les écailles de mon désir”
j’ai souvent des idées
je te donne un exemple:
le poisson dort dans les néons
l’ambulancière prend une photo
un pré-nup à l’eau dedans l’iphone
c’est ma génération ça je dis
j’ai une génération de larme
qui fait la file à la caisse
la caisse d’orange est 5,99$
les frais de douane 69,99$
mon dieu mexicain avec des tits
est fait pour fitter avec tes gants de plastique
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Van Life est-elle pour vous? 9 questions qui vous aideront à décider
“Vivre sur la route est incroyable et nous aimons absolument ce style de vie non conventionnel. Mais la vérité, c’est que ce n’est pas pour tout le monde. Et c’est pas grave !”
Nous recevons beaucoup de courriels de gens qui sont inspirés par la vie en camionnette et qui envisagent d’en faire leur propre réalité. C’est formidable d’entendre parler de l’enthousiasme des autres pour ce style de vie, mais la plupart du temps, ils se mettent à dire : ” Je ne sais pas comment je pourrais me le permettre ” ou ” J’ai peur de le faire tout seul et de me sentir seul ” dans leurs messages.
Vivre sur la route est incroyable et nous aimons absolument ce style de vie non conventionnel. Mais la vérité, c’est que ce n’est pas pour tout le monde. Et c’est pas grave !
Par exemple, je suis fasciné par les Kazakhs mongols qui traversent les montagnes à cheval, chassant avec leurs aigles royaux dressés perchés sur leurs bras. Ils sont comme des super-héros qui vivent des vies si primitives sur un terrain d’une beauté exquise, et j’adorerais avoir l’occasion de vivre cette vie.
Le seul problème, c’est qu’il n’y a pas d’avocats, je deviendrais fou de ne pas pouvoir parler à mes amis ou à ma famille (je doute que Verizon ait beaucoup de tours en Mongolie), et je ne peux même pas regarder de faux animaux mourir au cinéma, encore moins les chasser moi-même. Donc, même si ce mode de vie m’inspire, il ne me convient pas tout à fait. Exemple extrême, mais vous avez raison ?
Nous avons donc quelques questions à vous poser pour vous aider à déterminer si la vie en camionnette vous convient !
Etes-vous une personne au foyer ?
C’est une bonne question pour commencer. Oui, une camionnette est certainement une maison, mais une maison qui bouge constamment. La plupart du temps, vous ne savez même pas où vous dormirez cette nuit-là. Donc, si vous avez un certain niveau de spontanéité et que vous savez bien vous adapter à de nouveaux endroits, vous pourriez bien vous épanouir en vivant la vie de fourgonnette !
De plus, si vous aimez être à l’extérieur, mais que vous appréciez le temps que vous y passez dans le confort de votre foyer, la réalité de ce mode de vie est que vous passez facilement 80 % de votre temps à l’extérieur. Même lorsque nous sommes dans notre camionnette, toutes les portes et fenêtres sont grandes ouvertes. S’il fait chaud dehors, on est chaud. S’il fait froid dehors, on a froid. S’il y a du vent, mettez vos cheveux en l’air, mesdames (et quelques hommes).
Beaucoup de gens aiment le plein air ; il est facile d’aimer faire des randonnées, nager dans les piscines en terre et camper les fins de semaine, mais dans ce style de vie, le plein air est tout autant votre maison que le lit où vous dormez. Donc si cette idée vous excite, alors la vie en camionnette pourrait être une option viable pour vous.
Etes-vous à l’aise avec la saleté ?
Par là, je ne parle pas d’hygiène personnelle. Un stigmate typique est que “tous les vanlifers sont des hippies sales”. Des hippies ? Peut-être, ça dépend de votre définition. Sale ? Fais gaffe, mon pote. Je ne peux parler que pour moi et Pete, mais nous nous soucions de l’hygiène personnelle. Nous ne prenons pas de douche tous les jours (ou tous les trois jours), mais il y a plusieurs façons de rester propre et nous en profitons pleinement !
Votre niveau de confort avec la saleté est directement lié à la question #1. Vous pouvez faire de votre mieux pour rester propre et bien rangé, mais lorsque l’extérieur est la moitié de votre maison, la saleté et la poussière trouveront leur chemin dans chaque recoin.
Mais il y a de l’espoir pour les monstres propres ! Je le sais parce que j’en suis un moi-même. Chaque fois qu’on apportait du sable dans la camionnette, je balayais. Ça veut dire que je balaierais, je ne suis pas sûr, 100 fois par jour ? Mais j’ai réussi à me débarrasser d’un monstre de la propreté compulsive qui était en moi. En ce moment, la saleté de la forêt nationale dans laquelle nous campons est essentiellement de la craie : blanche et très fine. Tout dans le van a une teinte blanche. Snoop aime sa douceur et s’y couche ; il y a un chien à moitié noir, à moitié blanc et poussiéreux à côté de moi pendant que j’écris ceci et quand il se lèvera, le coussin sera blanc aussi !
Avez-vous tendance à porter les mêmes vêtements à plusieurs reprises ?
Si votre réponse est non, alors je me sens enclin à dire que vous pourriez avoir du mal à faire vos valises pour la vie de la camionnette. L’espace limité est un facteur énorme et la réduction des effectifs fait partie d’un style de vie minimaliste. Pete et moi sommes plutôt gâtés avec notre espace de rangement de vêtements. Nous avons chacun trois tiroirs et un placard, et c’est plus que beaucoup de vanlifers. En général, je porte les mêmes quatre ou cinq t-shirts et pantalons et je ne touche même pas le reste de ma garde-robe, à moins que ce ne soit pour une occasion spéciale.
Si vous êtes comme moi, la vie en camionnette serait une bouffée d’air frais. C’est une excellente occasion de vous consacrer à un mode de vie simple et peu encombrant et de vous débarrasser de tous les ” trucs ” dont vous n’avez pas besoin.
Etes-vous prêt à faire preuve de créativité pour gagner de l’argent ?
Gagner de l’argent est sans aucun doute la chose la plus courante que l’on nous demande. Il n’y a cependant pas de réponse facile à cette question. Ceux qui vivent la vie de fourgonnette viennent d’horizons et de carrières différents, et gagnent tous de l’argent de multiples façons. Beaucoup de gens ont un emploi qui peut être fait entièrement à partir d’un ordinateur, comme le développement Web, la conception graphique, la rédaction à la pige, le marketing des médias sociaux et le blogging. D’autres peuvent faire de la main-d’œuvre migrante, vendre des produits ou travailler pendant quelques mois pour économiser, puis voyager avec leurs économies. Comme je l’ai dit, c’est différent pour tout le monde.
Donc, pour répondre à la question d’un million de dollars, “comment gagnez-vous de l’argent sur la route et avez-vous les moyens de vivre ce style de vie”, la réponse est… . TOUT UN TAS DE TRUCS
Nous sommes des majors du marketing et de l’entrepreneuriat et nous avons toujours su que nous voulions commencer quelque chose sur la route. Nous avons économisé beaucoup d’argent avant de partir et nous avons dû dépendre de nos économies, mais nous travaillons activement pour créer notre propre revenu. La première chose que nous faisons activement pour gagner notre vie est de vendre notre livre électronique ! Nous avons écrit un livre électronique détaillant tout notre processus de conversion dans l’espoir d’aider d’autres personnes qui convertissent leur propre véhicule ou pour ceux qui sont simplement curieux. Vendre ce livre nous permet d’aider les autres tout en finançant notre mode de vie. Donc, si vous êtes déjà en train de convertir votre camionnette ou si vous êtes simplement curieux de savoir comment nous avons construit la nôtre, alors achetez notre livre incroyablement utile et informatif et aidez-nous à nous soutenir !
Aussi, vous lisez ceci sur notre blog, n’est-ce pas ? Eh bien, nous avons mis ceci ici pour fournir un contenu utile et divertissant pour les autres. Nous espérons également accroître notre audience afin de pouvoir continuer à créer du contenu pour nos lecteurs et, à long terme, faire de l’argent !
J’ai également un emploi à temps partiel en ligne comme réviseur de dissertation en laboratoire de rédaction pour un site Web de tutorat en ligne. Je peux accepter autant de documents que je le souhaite / j’ai assez de temps pour les compléter et je peux les réviser n’importe où, tant que j’ai Internet.
Etes-vous un client impulsif ?
En réponse à la question précédente, si vous n’avez pas l’intention d’avoir un revenu régulier sur la route, vous devrez être avisé lorsqu’il s’agit de magasiner. C’est aussi l’une des bénédictions de la vie en camionnette : n’acheter que ce dont on a besoin. Si vous êtes une personne qui entre dans une ligne de caisse, remarque tous les “appâts pour les clients impulsifs”, et décide que vous avez besoin de plus de porte-queue de cheval, de nouvelles chaussettes, un paquet de gomme et un Twix, alors vous pourriez avoir du mal avec cette partie.
Il est important de savoir quand transmettre des choses qui ne sont pas complètement nécessaires. Il y a toujours des moments où il est acceptable de se faire plaisir, mais avec des fonds et un espace limités, il est essentiel de savoir comment prioriser ses achats.
Avez-vous un animal domestique ?
C’est un gros problème. Soyons réalistes, tout le monde a un chien, ou même un chat, qu’il pense être le plus grand du monde entier et qui veut parcourir le pays en camionnette avec lui. Nous partageons certainement cette conviction. À nos yeux, nous avons le meilleur chien au monde, mais le fait d’avoir un chien sur la route encourage quand même certains défis.
Snoop est la plus froide des frissons. Si nous le laissons quelques heures pour faire une longue randonnée à laquelle son arthrite ne lui permet pas de participer, il est à terre pour faire une sieste sur le lit tant que la température du van est confortable. Il est si digne de confiance et écoute si bien que nous ne l’avons presque jamais tenu en laisse. Il a neuf ans et n’a pas beaucoup d’énergie refoulée. C’est légitimement le meilleur candidat pour la vie en camionnette.
Cependant, il y a encore des revers à la vie de fourgonnette avec un animal de compagnie qui ont besoin d’être considérés. Après tout, vous voulez la meilleure vie pour votre animal autant que vous voulez la meilleure vie pour vous-même, n’est-ce pas ? Certains endroits n’autorisent pas les chiens et s’il fait trop chaud ou trop froid pour rendre le van confortable, nous n’y allons pas. Cela arrive plus souvent qu’on ne le pense. Si votre animal souffre d’anxiété de séparation ou s’il est impossible de lui faire confiance sans laisse, la vie en camionnette pourrait être particulièrement stressante pour vous. Mais si vous êtes prêt à faire de nombreux sacrifices et à accommoder tous les caprices de votre animal pour lui donner une vie BONNE et ENJOYABLE, alors vous pouvez certainement trouver un moyen pour que ce style de vie fonctionne.
Quels sont vos passe-temps ?
Même si vous avez l’intention d’emballer vos journées d’aventure et d’exploration, vous aurez encore beaucoup de temps libre tout seul. C’est une excellente occasion de cultiver vos passe-temps et vos passions ! Cependant, si votre passe-temps favori est de regarder chaque saison de The Office pour la cinquième fois ou de chercher des vidéos d’amitié animale inhabituelles sur YouTube, vous aurez peut-être besoin de faire un examen de conscience avant de prendre la route.
Si vous aimez lire, écrire, jouer de la musique, faire du yoga, de l’escalade, du surf, ou tout ce que vous pouvez faire sans la technologie et par vous-même, alors la vie en camionnette offre une chance d’explorer ces passe-temps et d’en pratiquer de nouveaux.
Aimez-vous rencontrer de nouvelles personnes ?
Certaines personnes ont dit que vivre sur la route semble être une vie solitaire – ne jamais s’installer au même endroit et se faire des amis. Mais cette idée est tellement fausse ! Depuis que nous sommes sur la route, nous avons noué des liens et des amitiés plus profonds en quelques jours que nous ne l’avons fait avec des gens que nous avons connus presque toute notre vie.
Ce qui est bien, c’est que si vous préférez rester entre vous, c’est bien aussi ! Vous voyez, quand vous rencontrez d’autres personnes sur la route, vous avez déjà beaucoup en commun. Mais si vous n’êtes pas particulièrement enthousiaste avec quelqu’un, vous pouvez suivre votre propre voie. Quand vous avez une connexion avec les gens que vous rencontrez, vous sautez toutes les conneries de surface et plongez en profondeur, pour arriver aux bonnes choses. Il n’y a pas besoin de se faire passer pour quelqu’un d’autre, il suffit d’être soi-même et les autres font de même.
L’incertitude vous met mal à l’aise ?
Honnêtement, c’est la question la plus importante à vous poser si vous envisagez un mode de vie mobile. Je suis ici pour vous dire que presque rien ne se passera comme prévu. … et c’est la meilleure partie !
Si vous êtes vraiment une personne qui peut rouler avec les coups de poing et de trouver un moyen d’embrasser tous les rebondissements de la vie, alors vous pouvez trouver un moyen de faire de ce style de vie de travail pour vous. Les véhicules tomberont en panne, le temps sera défavorable, les gens tomberont malades et les plans s’écrouleront ; tout cela est inévitable. C’est la façon dont vous voyez ces obstacles qui détermine si vous apprécierez la vie en camionnette, car pour chaque événement malheureux, il y aura dix événements spectaculaires qui en valent la peine.
Alors, quel est le verdict ? T’es fait pour la vie de fourgonnette ? Commentez ci-dessous et faites-nous le savoir ! Nous aimerions connaître vos réponses.
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27 Août 2017 – Edmonton en été : le casse-tête du holiday planning
La journée du dimanche 27 commence par l’inévitable séance d’au-revoir sur le parking de l’hôtel. Heureusement pour moi, personne dans le groupe ne se complait dans des discours à rallonge. On s’en tient à de brefs et sincères bienveillances. Dallas me donne mon dernier chèque de salaire, avant de simplement me tendre la main en guise d’au-revoir. Un peu surpris (mais pas franchement étonné connaissant son caractère un tantinet bourru) je le force gentiment à me donner une accolade, en le taquinant.
Après avoir une dernière fois remercié mes Dycks et mes Babeneks pour leur accueil, après avoir regardé s’éloigner les deux voitures, après avoir jeté mon énorme sac sur mon dos, je me retrouve donc seul avec ma bite et mon couteau, loin de tout le monde et livré à moi-même. Cette sensation désormais familière, que je conspue tant et qui m’a tant donné le tournis, je l’accueille cette fois avec un soupir de soulagement, comme le symptôme de l’enthousiasme fugace d’une liberté retrouvée. Devant moi ne se dessine alors que le projet des vacances que j’avais prévu de me payer dans les rocheuses canadiennes après mon charbonnage avec les chevauux, et je retrouve le temps d’un battement de cil la brève mais grisante sensation de liberté que j’avais ressenti lors de ma première journée sur le sol Australien, alors que je chevauchais mon longboard sur les ponts de Brisbane.
Ici point de longboard, ni d’air marin, alors que je marche sur les trottoirs d’Edmonton en direction de l’agence BMO la plus proche. J’en profite pour chater avec quelques amis pour leur faire part de ma liberté retrouvée. Arrivé dans la banque dont seul le self-service est ouvert en ce dimanche matin, je glisse mon chèque dans la machine prévue à cet effet, et me voici en train d’attendre le bus qui doit m’emmener à mon logement Air Bnb de l’autre côté de la ville, au Sud du fleuve. Plus le bus se rapproche du quartier universitaire de Whyte Avenue, plus il se remplit de jeune gens. 4 ravissantes jeunes filles indiennes montent à bord, et je les écoute ragoter, amusé et heureux de me retrouver dans une ambiance urbaine, si différente du monde des cowboys et de l’isolement qui furent les miens pendant 4 mois.
Je descends au même arrêt que les étudiantes, et je commence à cheminer dans une foule de jeunes gens en jupes et en shorts. Le soleil d’Août brille et une évidente ambiance de détente estivale enrobe les rues de ce quartier très vivant que j’avais déjà arpenté dans son manteau d’hiver. C’est dans une rue typiquement dentelée de maisonnettes des quartiers résidentiels canadiens que je trouve mon logement du soir : une petite maison de bois, avec un arbre sur le frontyard. Je récupère la clé dans une keybox, avant de pousser un vieux portail en bois qui me mène à l’arrière de la maison. Ma chambre, comme souvent, est située au sous-sol et propose tout le confort nécessaire pour passer une nuit. Si dans la chambre le lit n’est pas encore fait, j’y jette quand même mes affaires (au grand plaisir de mon dos erreinté de devoir trimballer 20kg de paquetage), avant de repartir le cœur léger à l’extérieur, enjaillé par l’idée d’aller me susbstanter.
Alors que je me dirige vers le centre-ville dans une chaleur qui rend insupportable l’écoute « d’Affaires Sensibles » avec mon casque audio, je recroise certains lieux que j’ai fréquentés durant mes précédentes visites. Ici le café « Second Cup », là des escaliers dans un parc, plus loin le parking de la piscine publique où est garé la même Mustang qu’il y a 4 mois. Avec l’étrange sensation d’avoir foulé ses trottoirs la semaine précédente (comme si les 4 longs mois qui venaient de s’écouler n’avaient été qu’une étrange parenthèse volatile effacée en un clin d’oeil), j’évolue dans Edmonton avec un certain sentiment de familiarité, ce qui n’est pas pour me déplaire. Au lieu d’emprunter le pont principal, je décide de longer un le fleuve en direction de l’Est histoire de faire un peu le touriste.
Dans le parc des berges qui longe le fleuve Saskatchewan, j’observe les Edmontoniens s’affairer à leurs activités estivales. Ici un couple à vélo, là un groupe en train de s’entraîner à la danse. Après quelques minutes de marche en changeant de trottoir comme une mamie dans les rues de Saint Denis pour chasser un peu d’ombre salvatrice, je traverse le fleuve sur le pont piéton suspendu sous la voie ferrée. Derrière moi, un jeune papa répond avec patience aux questions et remarques de son petit bonhomme à casquette, visiblement diminué mais pas malheureux d’être en vacances. De l’autre côté du cours d’eau, me voici au pied d’un vertigineux escalier en bois qui mène en haut de la bute, où se pose le centre-ville. Suffocant sous le soleil d’Août, les jambes prisonnières de la fournaise de mon jean, je progresse péniblement, dépassé dans mon ascension par quelques dizaines de sportifs en pleine séance de pilométrie. Hommes, femmes, jeunes, vieux, en courant, en marchant, les écouteurs sur les oreillles ou la gourde en main, ils sont nombreux à suer pour sculpter leur corps toniques, agiteant sous mon nez toute une variété de popotins en pleine séance de raffermissement.
C’est à cours de souffle que j’achève mon ascension, cruel rappel de mon manque de condition physique après 6 mois passés sans avoir couru, posant au passage un regard jaloux sur ces gens actifs, que j’imagine en train de s’entretenir entre deux semaines de travail, calés dans leur vie active. Heureusement pour moi, la contemplation de mon propre égarement est rapidement interrompue par la contemplation d’une jolie canadienne aux traits asiatiques en train de bouquiner allongé dans l’herbe dans le petit parc en haut des escaliers de la mort. Le temps d’un instant, je me demande s’il existe dans cette réalité ne serait-ce qu’un seul scénario dans lequel je puisse trouver la force d’engager une conversation avec elle. Je sors deux secondes plus tard de ma rêvasserie, amusé de ma propre crédulité alors que je me considère, tout suant dans mon jean en plein été (ouai mais bon c’est la seule fringue potable qui me reste), avec mon sac à dos de lycéen vissé sur le dos.
Quelques dizaines de minutes plus tard, après avoir arpenté les petites rues du quartier d’affaire d’Edmonton fois parées de leur couleurs d’été, et retrouvé certains bâtiments cette (notamment ce surprenant HLM à deux pâtes de maison des immeubles d’affaire), je trouve le magasin MEC que je suis venu chercher. L’établissement est fermé mais au moins je saurai où foncer le lendemain. Par chance il se trouve à deux pas du centre commercial de la 104ème avenue, où j’ai mes habitudes. Le vide dans mon estomac se faisant alarmant, je décide de me sustenter. Mais alors que je chemine entre les fastfoods, l’intensité de mes gargouillis ne trouve écho que dans celle de l’écoeurement que je ressens à l’égard de la bouffe grasse. Tacos, burgers, poulets, frites… la simple idée d’un aliment gras me retourne l’estomac, une réaction de rejet que je mets sans hésitation sur le compte des 4 derniers mois passés à me goinfrer de nourriture de cowboys. Qu’à cela ne tienne, je trouve refuge chez Freshii, le snack végétarien.
Après avoir randonné mon séant dans le sens inverse jusqu’à mon AirBnb, je me pose enfin dans ma chambrée temporaire, y allume mon ordinateur, ouvre un paquet de biscuit, et m’installe confortablement pour organiser mon excursion à travers les rocheuses qui doit commencer dans 3 jours. Après avoir étudié la carte, je décide que 3 arrêts devraient me permettre de bien visiter la région des grands parcs : Jasper, Lake Louise, puis Banff, traçant ainsi un trajet pépère du Nord au Sud sur une dizaine de jour, avec pour Terminus Calgary. Sur le papier, le plan semble cohérent et pas compliqué : Une voiture de location, des nuits dans les auberges de jeunesse, une bonne paire de godasse et roulez jeunesse.
C’était sans compter sur les conséquences de ma nonchalance et d’un certain optimisme exacerbé qui fut le mien pendant quand je m’étais convaincu que « j’ai pas le temps de m’occuper des réservations, mais c’est pas grave, de toute façon il y aura de la place début Septembre, les vacanciers seront partis ». Ha ha ha, qu’il est amer de réaliser qu’on est un imbécile. 4 heures durant je vais donc tenter de trouver des places dans des auberges de jeunesse bondées, à des tarifs exorbitant. Impossibl de trouver un endroit où dormir pour ma première nuit à Jasper (tout est complet) ; les sites web qui plantent ; encore mieux : une de mes nuits disponibles à Lake Louise qui disparait alors qu’elle était dispo 20 minutes… je réalise que d’autre personnes sont en train de réserver leurs vacances à la dernière minute, ce qui ne fait qu’augmenter mon sentiment d’urgence et d’égarement. J’arrive fnalement à réserver 2 nuits à Jasper et 2 autres à Lake Louise, mais hélas la réservation de Banff n’accepte pas le dépôt de garantie de ma carte de débit canadienne (foutue carter de débit). La bave au coin des lèvres, et au bord de la crise de nerf, j’envisage très sérieusement de tout annuler et d’acheter un billet d’avion pour la France. Pas très chaud à l’idée de rentrer au pays sans avoir vu la seule chose que j’avais peut être envie de voir au Canada, j’arrive à négocier un paiement paypal bancal par email avec l’hôtel de Banff. Quelques mails plus loin, quelques touffes de cheveux en moins et les yeux rougis par la colère, j’ai enfin réussi à réserver la plupart de mes nuits. Seul ma première nuit à Jasper, et ma première nuit à Lake Louise sont sans abris ; défait, j’accepte l’idée que je dormirai dans ma voiture et que, ma foi, on verra bien.
Avant de pouvoir me relaxer, je procède à la réservation de ma voiture de location, histoire de pouvoir dormir l’esprit tranquille. Je compare les prix, choisis de donner mes deniers à Avis, je rentre mes renseignements et coordonnées bancaires, etc. Tout est validé mais le la paiement ne passe pas. Je m’étonne et m’y reprends à deux fois, sans succès. Habitué à ce que ma foutue carte de « DEBIT » ne soit pas accepté en ligne, je note l’adresse du loueur et règle mon alarme pour m’y rendre le lendemain dès la première heure afin de procéder au paiement directement au guichet.
Sur les coups de 1h du mat, c’est nerveusement épuisé que je ferme la lumière et mes paupières, soulagé mais sans être vraiment sûr que tout cela en vaille la peine.
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Tout va bien, tout est normal!
Et là tout est normal, donc, la vie est belle et c’est tant mieux et on fait tous encore un coup « Pouce, c’est pour du beurre ! »
Pas crédible, y’ en a plus, du beurre, d’abord, et si c’est pour nous refaire « le dernier tango à Paris », je suis pas certain que le moment soit bien choisi, vue l’ambiance pourrie au fond des slips des pourris.
Alors comme ça on n’est pas foutu d’évaluer la fiabilité de nos centrales nucléaires, savoir si elle vont tenir le coup ou nous péter à la gueule, non mais vas -y j’ hallucine, alors tu te gères un truc de la mort qui tue qui nous a terminé la 2ème guerre mondiale par un feu d’artifice, quand même, merde, chié, con, excuse-moi d’être vulgaire mais tu fais chier, t’es en train de me dire à moi que tu « sais pas si nos centrales vont tenir le coup mais que de toutes façons on l’a dans l’ cul turlututu chapeau pointu parce qu’on sait pas trop comment qu’on démontera nos conneries, pi c’est dangereux pi qui c’est qui va si coller et pourquoi personne m’a prévenu ?"
Mais alors on est dans la merde, des dizaines de cœurs nucléaires un peu partout, vous voyez le truc ou bien je vous explique qu’on flotte sur une bassine atomique, et à la française, avec les trous pour égoutter, les tuyaux réparés système D et le béton qu’est pas du béton, le plus grand nombre de centrales par habitants, premier sur la planète Terre, c’est pas la classe, ça ma poule ? Et tout va bien, merci au-revoir, je te reporte mon « avis » pour savoir si le truc est sécure ! Mais ho hé dis mon garçon, je te rappelle vite fait comme ça en passant qu’on a le cul posé dessus, nous pendant que toi tu t’ demandes…Allô, non mais Allô, quoi!
On devrait refiler Areva à Monsanto, vu comment ils nous baisent avec le glyphosate il seraient foutus de nous faire payer le droit de sucer des bites en enfer, non, je plaisante, je voulais dire des barres d’uranium plongées dans la piscine, arrête tu m’excites !(il est con!)
Non, mais sans rire, y’a urgence à réveiller le flux neuronal, les amis, vous qui êtes les seuls rescapés parcourant encore ces maigres lignes farfelues jetées à la mer dans la bouteille que j’ai bue jusqu’à la dernière goutte avant de lui confier le secret, en silence, évanoui, vaporeux, disparu, vous qui êtes encore là, mes amis, (encore ? Vous n’êtes pas raisonnables non plus), écoutez ma voix :
Wouais, mais non, finalement, en fait, bien-réfléchis-tout-ça-tout-ça c’est mieux pas, je vais plutôt la fermer !
Qu’est ce qu’on disait avant qu’on s’égare, surtout moi, ah oui, qu’on est tous carbonisés de par en dessous-dessus, en dehors, en dedans, partout, purée, la fin du monde sera DDP mon frère c’est pas grave le kif, ça ?Je dis ça je dis rien, hein !
Non, parce que c’est un peu facile de casser le trip nucléaire frenchy, c’est pas dans le groove, t’as rien compris, c’est just too bad, c’est la réussite du pays, tu vois, quoi, la fierté de la perfection parfaite inimaginable du truc que t’as même pas idée des bombes qu 'on fait avec maintenant? (j’ai rien dit, c’est pas moi madame le juge)
Non, vrai ou pas ? En France y’a des trucs t’en causes pas, non, non, c’est mieux pas, si t’es d’ici tu sais bien que c’est mieux pas, non mais non, arrête c’est mieux…pas, oui, voilà !
Le nucléaire, voilà, par exemple, les pesticides, oui, oui, voilà, parce que tu veux que je te dises, le glyphosate, c’est qu’une petite bite qui se la joue concours du plus dégueulasse avec l’amiante, attends le scandale des nanoparticules, la crise des perturbateurs endocriniens, l’urgence d’une sauvegarde ADN, la fuite de cette planète merveilleuse parce qu’on aura pas su se bouger notre boule avant d’avoir la vase dans les orbites ! (et dans orbites, il y’ a…)
On est dans la merde, mais bon, soyons honnêtes avec nos tronches de piafs qui se la pètent, entre nous :-est-ce bien si grave de chez grave si on ne va pas s’en sortir comme d’ hab’ au-bar-tranquille, déchiré-torché sous les étoiles avec la musique qui va bien et l’impression que la nuit ne finira jamais et que de toutes façons demain on aura tout oublié?
C’est le côté frenchy de la chose, absolutely inimaginable (tu vois tu parles anglais!)…Cette capacité naturelle de décontraction devant le tsunami qui va lui refaire le portait façon fouille archéologique !
Et je peux même pas te dire d’où ça vient, à chaque fois ca m’arrive dans ma tête à moi pareil que dans la tienne, ça doit être inné, c’est le côté coq qui chante les deux pattes dans la merde !
Je résume, glyphosate on sait pas, on a réfléchi, mais on veut pas dire ce qu’on pense pas qu’il faudrait dire ou pas…faut pas fâcher la boutique, on vend des trucs, nous oh, alors, non, mais, aussi, tu veux une bonne santé, un emploi, une vie en bonne santé avec un emploi ? Mais t’es un fou, toi ? T’es un guedin ? Et le tout sans pesticides, nucléaire, panama-paradise-papieràcul ? Vous planez ? Faut me filer l’adresse de votre dealer, en plein trip utopistogauchiste !?
Sac Papier, Respiration, toujours vivant !
(attends, je me pince!)
OUI, vivant, même si c’est plus pas simple que c’est compliqué !
Parce que je te causes pas diesel, ça va t’énerver, le scandale escroquéconomicosanitaire, les dizaines de milliers de morts, les filouteries des constructeurs, les prix qui s’écroulent, tout ça…va revendre un diesel, aujourd’hui, tu y crois encore ? -C’est mort ! C’est l’abondance de superflu généralisé qui vomi ses invendus par le vide ordure d’un système emporté par sa bile. Et là, ça ruisselle grave. (deux secondes, je m’essuie)
Et donc, miracle, du jour au lendemain, d’un coup d’un seul, mon Dieu, touchés par la grâce, ils abandonnent le navire, et se jettent de leurs Yachts pour sauver les fuyards de misère ? Ben voyons, mais bien sûr, et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d’alu aussi ? Elle le fume oui ! C’est pas grave, en inaugurant le Musée qu’on leur a vendu, on en a profité pour vendre 2 frégates, c’est joli comme nom, frégates ? Quoi ? C’est plus glamour que navires de guerre…Ah c’est les promos d’automne, faut écouler le stock, et pour ça on est trop bons, toujours un pays à armer, une guerre à fournir, un dictateur à sauver, une région à « sécuriser » !
Et puis c’est pas grave, ça va tellement plus loin, les réacteurs, les pesticides, la guerre, nucléaire même, y en a marre, ça suffit toutes ces conneries, bordel ! On n’a pas le sou pour 9 millions de frenchys en dessous du seuil de pauvreté, pas d’abris pour les sdf, des enfants dans les rues par centaines, (oui, oui) et il paraît qu’ on va se construire un super deuxième porte avions, je te dis pas comme ça va claquer, grave, avec la participation bénévole (j’déconne) de tous les évadés-pardon, je voulais dire optimisés- fiscaux toujours prêts à relever un défi casse gueule mais qui rapporte du pognon sur le dos du pays!
Et J’optimise et j’optimise, et je me vautre dans du pognon qui devrait construire des routes et des écoles, des crèches des hôpitaux, et des missiles, aussi, des casernes, des chars, des bombes, tout ça, ah ben faut savoir, à vouloir faire les malins, la grande armée, le bouclier nucléaire européen, vous saviez pas ? Les petits copains européens ils sont tous d’accord pour qu’on s’y colle, à la sale besogne, intervenir, sécuriser, protéger, faire le gendarme, en Afrique, au moyen-orient tout ça…mais quand on aborde la question budget, d’un coup y a plus personne dis-donc !
On dépense un pognon dans la guerre, du délire, en Europe on est les seuls à dépenser autant, à part les Anglais, mais ça compte pas, je les aime bien, hein, mais faudrait savoir, t’es dans l’affaire ou tu t’défiles,on comprend pas tout, faudrait te réunir avec toi même, tirer ça au clair parce que ça a pas l’air d’être bien compréhensible pour pas grand monde, je dis ça…! Ce serait bien qu’on se quitte pas fâchés ou même qu’on se quitte pas, je sais pas, je fais pas dans la gelée molle et verdâtre tous les jours et perso, le thé c’est uniquement en bain de pied, je serais plutôt tireuse à café, moi, dans des chopes à bières, mais comme on est voisins de palier, c’est toujours mieux de pas être en embrouilles pour des sacs de nœuds de marins dont on se souvient même plus qui les a fait.
Heureusement qu’on a Poutine sur qui on peut toujours compter et se reposer, solide, fidèle au poste et à lui-même et, souriant, avec ça, blagueur, quel boute en train, quel rigolo, sauf si t’es homosexuel, opposant, journaliste, syndicaliste, ou femme, mais là aussi, tu cherches, alors, si si, aussi, tu n’es pas raisonnable non plus, non plus !
Bon je vais prier pour les abeilles, moi!
Namaste
Plein d’autres bidules sortis de ma caboche c’est par là: http://dans-la-tete-a-toto.over-blog.com/
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