Tumgik
#grant watkins ━ visage
newrcgime · 10 months
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tag drops pt. 2 (visage)
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onebigerror · 4 months
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bleu439 · 8 years
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Tops 10 des films vus en 2016 mais qui ne sont pas sortis cette année-là
LOLA
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Premiers ex aequo
1. La porte du Paradis, Michael Cimino Vu à la Cinémathèque.
1. Edvard Munch, la danse de la vie, Peter Watkins Vu à la Filmothèque
1. Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette Vu au Reflet Médicis
1. Showgirls, Paul Verhoeven Vu au Grand Action
Et aussi... 2. La fin du jour, Julien Duvivier Vu au Champo
2. L’inhumaine, Marcel Lherbier Vu en ciné-concert au festival Lumière à Lyon
2. Pas de repos pour les braves, Alain Guiraudie Vu au festival international de La Rochelle
2. L’ange bleu, Josef von Sternberg Vu à la Cinémathèque
2. Boro in the box, Bertrand Mandico Vu à Côté Court, Pantin
RODOLPHE
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Le roi de l’évasion, Alain Guiraudie Ou retomber amoureux d’Hafsia Herzi, au détour d’une pipe, au Festival de la Rochelle.
Head On, Fatih Akin Ou une autre façon bien étrange de tomber éperdument amoureux au Festival Premiers Plans d’Angers.
Que viva Mexico, Sergueï Eisenstein Accompagné par Ignacio Plaza & Arthur B. Gillette avec nos petites filles qui dansent devant l’écran du Limonaire.
Volte Face, John Woo Vu avec la bande BLEU 439 à la Cinémathèque française.
Noi Albinoi, Dagur Kari Vanté mille fois par l’ami Philippe Dumez. Pas déçu du tout à la sortie de la salle. Bien au contraire. Premiers Plans, encore.
La patrouille perdue, John Ford Film étonnant, minimal et drôle à sa manière. Brillamment présenté par ma ravissante épouse, Elodie Imbeau à l’Espace en cours dans le cadre des 20 à 20h de Braquage.
Je veux seulement que vous m’aimiez, Rainer Werner Fassbinder Taxi Driver en Bavière sans le Taxi mais cent fois plus touchant grâce en particulier à une utilisation intelligente du flash forward. Une belle découverte donc, grâce à BLEU 439, au Studio des Ursulines.
Jeunes filles en uniforme, Leontine Sagan Film incroyable tant par le propos -tourné en 1931 à la fin la république de Weimar- que par des images parfois bouleversantes de beauté. Merci Hervé Pichard de la Cinémathèque Française
Below Sea Level, Gianfranco Rosi Vanté mille fois ici par Nicolas Le Finnois (BLEU 439) alors que nous avions programmé
Sacro GRA, Gianfranco Rosi Plongée sensible dans un monde parallèle. Vu à la Rochelle.
Pink Narcissus, James Bidgood Beaucoup vu pour l’avoir longtemps programmé dans une autre vie. Heureux de le revoir. Toujours fan. Programmé ici par Hervé Pichard à la Cinémathèque Française (encore).
LORIS
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2001, L’odyssée de l’espace, Stanley Kubrick Revu en 70mm à la Cinémathèque.
Suspiria, Dario Argento Revu en DCP restauré lors du festival Toute la Mémoire du Monde au Méliès de Montreuil. Suivi d’une conversation entre Dario Argento et Jean-Baptiste Thoret <3 )
Pas de repos pour les braves, Alain Guiraudie Découvert en 35mm au festival de La Rochelle
Showgirls, Paul Verhoeven Découvert en DCP restauré, à la Cinémathèque, lors de la nuit Paul Verhoeven Une femme est une femme, Jean-Luc Godard Découvert en DCP restauré au Champo. Tropical Malady, Apichatpong Weerasethakul Revu en 35mm au Champo
Starman, John Carpenter <3 Découvert en 35mm au Grand Action
La porte du Paradis, Michael Cimino Revu en DCP restauré à la Cinémathèque présenté par Zaza Huppert <3
Living still life, Bertrand Mandico Revu lors du festival Côté Court à Pantin.
Millenium Mambo, Hou Hsiao-Hsien Découvert en 35mm à la Cinémathèque
Bonus : La Passion de Jeanne d’Arc de Dreyer en Ciné-Concert avec Jean-François Zygel à la Cinémathèque, Indiscrétions de Cukor (Katharine Hepburn + Cary Grant + James Stewart = <3 ) à la Filmothèque, Last Days de Gus Van Sant en 35mm à la Cinémathèque.
CLEMENT
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Spetters et Showgirls, Paul Verhoeven 2016 est l’année où j’aurai définitivement découvert le cinéma de Paul Verhoeven. Et ce dès le début de l’année avec Spetters, au festival Toute la mémoire du monde dont il était l’invité. Je pense que la salle se souviendra longtemps de l’ouverture de ce film, à base de guitares 80s kitsch, et de grosses cylindrées vrombissant fièrement. Je ne sais pas ce que la salle aura retenu du film, mais je n’oublierai pas non plus ces histoires d’amour contrariées entre tous ces motards et la fille de la baraque à frite du coin. C’est aussi trivial et invraisemblable que génial. Et parfois émouvant. A la suite de cette projection, il y eut une rencontre avec le bonhomme lui-même. Plutôt intéressant mais moins inoubliable que le film. 2016 est aussi l’année où le maudit Showgirls, après le succès de Elle (avec notre Isabelle Huppert nationale, dédicace à Lola) fut réhabilité. Pour ma part, je comprends pourquoi.(BONUS : La chair et le sang, premier film vu au festival de La Rochelle. Après le trajet en voiture, à peine arrivé, film vu, à moitié somnolent. Le titre annonce bien le programme du film, même si on aurait pu y ajouter « Peste bubonique ».
Profondo Rosso, Dario Argento Film présenté par le bonhomme lui-même à Toute la mémoire du monde. Précisons que ce bonhomme a un visage grimaçant plutôt fascinant et qu’il n’est pas bien grand (plus ou moins grand que Scorsese ?). Là aussi, le titre annonce la couleur ! Bonheur de découvrir enfin le film en salle !
Drugstore Cowboy, Gus Van Sant : Ouverture du cycle Gus Van Sant à la Cinémathèque. Présenté par le Gus lui-même (rencontré plus tôt dans l’après-midi, un chic type !). Content d’avoir pu enfin voir celui-ci en salle !
Pas de repos pour les braves, Alain Guiraudie Ce titre résume assez bien un état d’esprit, voire une fièvre Guiraudie qui s’est emparée d’une partie de Bleu 439 à La Rochelle. L’occasion de rappeler que Guiraudie est un grand cinéaste. Et que découvrir presque tous ses films à La Rochelle fût l’une des meilleures choses de 2016. Mais surtout Pas de repos pour les braves. Et Le roi de l’évasion (avec Hafsia Herzi). Et Ce vieux rêve qui bouge... Notons que Guiraudie est le cinéaste français trouvant les meilleurs titres actuellement.
Lost Patrol, John Ford : Présenté par Elodie, avec talent, pour ��Le 20 à 20h” de Braquage. Un scénario à la limite de l’abstraction, des bruitages étonnants… Une curiosité, projetée en Super 8, avec son doublage français d’époque !
L’été de Kikujiro, Takeshi Kitano Beaucoup de tendresse pour ce Kitano, vu en salle, au cœur de l’été. Un beau film de saison, à voir aussi hors-saison !
Nowhere, Gregg Araki En 35mm au Grand Action. Satisfaction de découvrir enfin ce film d’Araki. Comédie horrifique perturbante, perturbée, malade… Dans la salle, certains riaient beaucoup. Quelques autres pleuraient. Atmosphère étrange…
Je veux seulement que vous m’aimiez, R.W Fassbinder Vu à Bleu 439, aux Ursulines. Extrêmement intense, et perturbant. Mais beau. Animer le débat de la séance après cela fut un peu compliqué au début.
Boro in the box, Bertrand Mandico Vu au festival Côté Court à Pantin. Il me reste l’image de ce personnage avec une tête de boîte courant d’un bout à l’autre du cadre, tout affolé de découvrir une femme (en surimpression dans le ciel, je crois).
La passion de Jeanne d’Arc, Carl Theodor Dreyer DCP restauré. Vu en cincé-concert à la Cinémathèque, accompagné par J-F Zygel. Choc esthétique intense, voire intimidant. 
BONUS : La rétro Jarmusch à la filmothèque :Il fallait trouver coûte que coûte une place à Jim dans ce classement. Mention spéciale à Night on earth (notamment le monologue de Begnini-chauffeur de taxi, hilarant) et à Ghost Dog, tous les deux très beaux à leur façon.
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