#grand trophée
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Martin Fuchs gewinnt die 4 - Trophée de Genève beim CHI Geneva 2024
Auftaktsieg für Martin Fuchs in der 4 – Trophée de Genève Mit einem fulminanten Ritt sicherte sich Martin Fuchs mit Conner Jei den Sieg im Auftaktspringen beim CHI Geneva 2024. Das Stechen in der 4 – Trophée de Genève hatten 19 Reiterinnen und Reiter erreicht. Lange Zeit führte Lorenzo de Luca (ITA) mit seinem Wallach Denver de Talma und einer Nullrunde in 34,33 Sekunden. Lorenzo de Luca Erst…
#4 - Trophée de Genève#CHI Geneva 2024#Conner Jei#Daniel Deußer#Denver de Talma#Henrik von Eckermann#Killer Queen VDM#Lorenzo de Luca#Martin Fuchs#Rolex Grand Prix#Toveks Azaria Dinero
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Aucun mot n'est trop grand trop fou quand c'est pour elle Je lui songe une robe en nuages filés Et je rendrai jaloux les anges de ses ailes De ses bijoux les hirondelles Sur la terre les fleurs se croiront exilés Je tresserai mes vers de verre et de verveine Je tisserai ma rime au métier de la fée Et trouvère du vent je verserai la vaine Avoine verte de mes veines Pour récolter la strophe et t'offrir ce trophée
Louis Aragon
Ph. Tabercil : Michelle Monaghan
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ORGANISATIONS JOUABLES
Les idéaux rassemblent créatures surnaturelles comme êtres humains, rassurent et offrent une cause commune. Qui choisirez-vous de suivre dans la nuit ? Vous ne trouverez ici qu'un aperçu, chaque organisation fera l'objet d'une annexe plus détaillée sur le forum, cette liste est non exhaustive et pourrait être amenée à évoluer et grandir au fil du jeu.
(tw : meurtres, sang, violence, consommation de sang ou de chair, manipulation, secte, chasse, drogue, alcools)
NB : à savoir que les organisations seront dirigées par des PNJs, et donc non jouables.
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GREAT BRITAIN NIGHT WALKERS
Type : Organisation secrète gouvernementale Domaine : Chasse de créatures hostiles, protection des êtres humains et du secret surnaturel Membres : exclusivement humains Signe distinctif : Un matricule autour du cou, une face avec des informations codées et un nombre à quatre chiffres, l'autre un croissant de lune Quartier Général : L'Howard Castle pour le QG principal, des QG secondaires dans tout le Royaume-Uni.
Humanité bienveillante embrigadée au sein d’un ordre ancestral qui prône la protection humaine et le secret du monde surnaturel. Chasseurs de bêtes hostiles et police du mystique afin de garantir l'harmonie et le bon fonctionnement du système. Les Walkers sont inévitablement embourbés dans une lignée familiale belliqueuse, on ne le devient pas sans posséder un proche du même sang, suivant un enseignement rigoureux. Leur rôle est également de faire disparaître les preuves de l’existence des créatures qui se tapissent aux ombres, priorité absolue.
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SPECTRAL HOWLERS
Type : Gang, mafia. Domaine : Combats clandestins, trafic de drogues et d’alcools. Membres : Créatures, principalement harpies et lycanthropes. Signe distinctif : Tatouage d'un S et d'un H entrelacés sur un éclair. Quartier Général : Sous-terrains cachés en ville.
Gang crasseux croupissant dans les sous-sols, ce sont les chiens qu’on y lâche clandestinement, poussant les bêtes à s’entretuer pour faire sensation. Voir la violence apaise la violence selon eux. Mains sales, ils n’en sont guère restés aux combats, demeurent magouilleurs pour les larcins en tous genres, mêlant conception et trafic d’alcools et de drogues assez puissantes pour les diverses espèces surnaturelles en mal d’euphorie.
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THE KILLING MOON CLUB
Type : Organisation secrète, secte. Domaine : Pouvoir aux créatures et endoctrinement d’êtres humains. Membres : Créatures et humain·es captif·ves Signe distinctif : Une chevalière gravée d'un sphinx tête de mort. Quartier Général : Les sous-sols privatisés du Grand Hotel.
Culte factice à la gloire d’une divinité abstraite, The Killing Moon Club cache seulement les ambitions d’un groupe de créatures surnaturelles, avide d’un jour assoir leur pouvoir ouvertement. Réputé dans toute l’Angleterre, les dirigeants du club font partie de l'élite surnaturelle. Ici, on tue, et les soirées mondaines sont de véritables boucheries. On y vient pour chercher une âme à arracher, s'assurer d'un service de nettoyage irréprochable. Secte aux allures de club huppé, les humains y perçoivent salvation et pensent faire face à des êtres divins. Hypnose et captivité entraine la dépendance, tandis que les bêtes y voient buffet à volonté.
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THE BLEAK OUTBREAK
Type : Organisation secrète, gang. Domaine : Chasse et anéantissement des créatures, trafique de ressources surnaturelles. Membres : exclusivement humains. Signe distinctif : des clefs croisées tatouées sous la plante du pied droit. Quartier Général : les sous-sols du Whitby Museum.
Traqueurs de bêtes qui se sont donnés pour mission d'éradiquer la pestilence surnaturelle, en collectionner les trophées ou les revendre à prix d'or. Les créatures révulsent, peu importe leurs espèces, ne sont que manifestations du malin descendues sur terre pour mieux laisser répandre leur venin, des sbires d'un Lucifer venu punir l'espèce humaine sur terre. Alors ils arrachent les crocs vampiriques, les écailles de sirènes, les crânes de loups, les ailes de harpies ou feuilles de dryades sur leurs carcasses et en font commerce pour mieux financer leurs battues dans les landes.
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DAWNBRINGERS
Type : Ligue, association. Domaine : Protection du secret surnaturel, prônent l'harmonie des espèces, moyen de se nourrir alternatifs. Membres : exclusivement créatures. Signe distinctif : un contrat qu'ils doivent avoir sur eux lors des missions. Quartier Général : Le sous-sol de la Terror Tower, attraction hantée de la ville.
Ligue bienveillante prônant l'harmonie des espèces et la cohabitation terrestre. Le principal moteur est la protection du secret surnaturel et des plus faibles, évinçant les traces de toutes ombres chimériques. L'être humain vu comme un allié plutôt qu'une proie, préservé tel un compagnon de route. Les bêtes hostiles qui se joignent au groupe doivent montrer patte blanche, prouver leurs valeurs de part des moyens de se nourrir alternatifs.
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« t’es vraiment trop belle, je comprends même pas que tu sois célibataire ahah »
Bah il est sûrement là le soucis. A défaut de représenter une femme avec laquelle on a envie de faire les choses bien, j’ai l’impression de ne représenter qu’un trophée qu’on exposerait fièrement sur une étagère. « Celle là je l’ai eu et toi tu l’auras jamais ». C’est sans doute que pour eux, je ne pouvais pas être belle et ressentir de la peur, de la déception ou même de la peine lié à cela.
« Estime toi heureuse, t’as vu ce pétard que tu es toi au moins ». Justement, ils ne veulent que cela. La beauté pour se faire briller, pour se mettre en valeur. Ils ne veulent pas d’une femme que d’autres vont trouver belle par peur de « se la faire voler ».
Je ne représente pas grand chose à part peut-être un booster de leurs estimes, une joli montre qu’on aime porter au poignet pour que tout le monde vois notre richesse ou notre privilège. Un simple objet qui ne sert qu’à dire aux autres je suis meilleur que toi. Un objet dépourvu d’émotions et de sentiments à en voir la façon dont ils m’ont traité.
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Tu crois qu’on viendra me sauver? J’essaie de remonter à la surface, de nager, ou ne serait ce que de flotter. J’essaie de choper cette foutue bouée, de respirer, ou ne serait ce qu’une goulée. J’essaie de remonter, de délier ses algues entortillées. Je tente d’être mon propre héros, de ne pas attendre le prince, de prendre l’épée, de briser l’étau. Je me bas depuis des années mais toujours aucun trophée. Je ne demande pas grand chose, juste peut être la paix. Si ce n’est pas trop demandé.
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Idées de lieux de rp originaux
École
Salle des profs
Garde-robe
Passage secret
Derrière le gymnase
Chaufferie
Toîts
Salle de perm
Préau
Salle des casiers
Couloir des trophées
Ville
Boulangerie
Banque
Mairie
Barbier
Cordonnerie
Tannerie
Cartographe
Boutique mystique
Garderie pour enfants
Étable, écurie
Cimetière
Blanchisserie, pressing
Horloger
Rails ferroviaires
Office du tourisme
Aéronef
Égouts
Bureau de poste
Karting
Cabine téléphonique
Photomaton
Costumerie
Vétérinaire
Pigeonnier
Prêteur sur gage
Puits
Catacombes
Cathédrale
Fast Food
Aire de jeux
Kiosque à journaux
Mondes + étendus
Ferme
Dongeon
Monastère
Portail magique
Île flottant dans le ciel
Territoire d'une bête
Tour de guet
Pont
Épave de bateau, vaisseau abandonné
Phare
Maison de sorcière
Labyrinthe
Cercle de pierres
Moulin
Sources chaudes
Abri côtier
Grand arbre sacré
Tombeau
Autel à un/des dieu(x)
Lac aux lucioles
Falaises escarpées
Serre
Piège (genre un gros trou)
Oasis
Campement
Cavernes & souterrains
Caverne à champignons
Caverne à stalactites
Mine de cristaux
Mine pleine de lave
Caverne à peintures rupestres
Caverne submergée
Caverne glacée
Tunnel mal éclairé
Rivière souterraine
Weirds +++
Abattoir
Maison close
Fourrière
Fight club
Derrière un tableau avec des trous
Quartier des pestiférés, zone de quarantaine
Antenne relai, antenne radio
Freak show
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Au Canada, l'équivalent des Victories de la musique sont les Junos. Ils récompensent depuis les années 70 la musique canadienne et ses créateurs. Mais dans un pays à majorité anglophone, il peut être difficile pour le bastion francophone de faire entendre sa voix.
Malgré quelques clins d'oeil au Québec, soulignons entre autre l'animation de la cérémonie par Célin Dion en 1993, le belle province s'est toujours sentie boudée par l'académie canadienne.
C'est donc pour cette raison qu'en 1978 est créée l'ADISQ (Association québécoise de l'industrie du disque, du spectacle et de la vidéo). L'année suivante, un gala est mis en onde afin de souligner le talent de chez nous.
Le trophée
Le prix Félix, nommé en l'honneur de Félix Leclerc ayant reçu le premier prix "hommage" lors du tout premier gala en 1979, représente une femme assise en position du lotus se coiffant d'un tiare. Le lien avec la musique? Il n'y en a pas. ^^
Les nominations
Ce sont les membres de l'ADISQ qui choisissent les nommés ainsi que les gagnants, sauf dans les catégories:
-> Atriste masculin de l'année
-> Artiste féminine de l'année
-> Chanson de l'année
où les gagnants sont choisis par un vote populaire.
Sans surprise, c'est Céline Dion qui possède la plus grande collection de Félix avec un total impressionnant 47 trophées, suivi des Cowboys Fringants avec 29.
SCANDALE!
Rien de mieux qu'un scandale, une prise de position ou une gaffe pour voler le show! Au fil des ans, quelques moments mémorables ont marqués les mémoires.
-> En 1982, Céline Dion perd dans la catégorie "révélation de l'année" face au groupe de la comédie musicale "Pied de poule". Qu'à cela ne tienne! On l'a remise dans cette catégorie l'année suivante où (oh surprise!) elle a gagné!
-> En 1983, Robert Charlebois gagne le Félix de la chanson de l'année pour "J't'aime comme un fou", écrite en collaboration avec Luc Plamondon. Le grand parolier en a gros sur le coeur et décide de régler ses comptes, dénonçant les maigres redevances des droits d'auteur.
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-> 1990! C'EST CÉLIIIIIIIIIIIIINE! La consécration de Céline se poursuit en 1990 où elle remporte le Félix de l'artiste anglophone de l'année... qu’elle refuse! C'est probablement le plus gros scandale de toute l'histoire de l'ADISQ parce qu'un Félix tu ne refuses pas ça et parce que... elle avait raison! Tellement que, l'année suivante, la catégorie a changé de nom pour: l'artiste québécois s'étant le plus illustré hors Québec.
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(Laure je ne m'excuse même pas pour le C'EST CÉLIIIIIINE)
-> En 2004, Richard Desjardins brille par son absence au gala. Recevant 2 prix, c'est l'animateur Guy A Lepage qui "accepte" les trophées à sa place. Dans un discours cinglant, ce dernier accuse le chanteur de manque de respect envers le public, ses pairs et l'industrie. Hors, il s'avère que Desjardins avait une bonne raison!
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-> L'année 2005 en est une toute en couleur pour Isabelle Boulay. Elle remporte le prix de l'artiste québécois s'étant le plus illustré hors Québec. Dans son élan vers la scène, elle s'arrête pour embrasser son ami Corneille, lui aussi nommé dans cette catégorie. Le problème c'est qu'Isabelle arrive ensuite sur scène avec la moitié du fond de teint de Corneille! Les joies du direct!
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Le gala cette année eu lieu dimanche dernier. Grand gagnant, les Cowboys Fringants sont repartis avec 6 Félix (dont 3 hors d'onde). Seul à leur échapper est celui de l'album succès populaire, à l'étonnement de tous, même d'Alexandra Stréliski, la gagnante!
Parlant d'étonnement, devinez qui qui était là aussi? Éh ouais! J'me la pète avec les VIP!
Je vous laisse sur la chanson de l'année en citant Jean-François Pauzé "tu nous manques mon Karlo!"
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ooh interesting today - the stream at Trophée Métropole is almost as low tech as the Masters one was, so it's not an equal experience to watching teams at the other Challengers. i wonder if anyone's watching whose takes will matter. because i think it would be a disadvantage to R/A and Gr/Pa -
R/A's Rod Stewart RD isn't disco but still doesn't really stand out? idk, we'll see when they compete somewhere with a real broadcast, but they scored 77.96, pretty close to where CPom have been
Gr/Pa's 60s Austin Powers, Boots are Made for Walking RD looked a little undercooked? they had a couple awkward moments - like if you saw this at a summer competition, you'd think it could be a fun program, but here they don’t look as prepared as you expect for Grand Prix season, and she had to pull him off the ice at the end like he was depleted. LaLa are doing the same theme and one of the same songs. Gr/Pa scored 73.7, less than a point ahead of Pate/Bye
Bashynska/Beaumont 60.02 surprisingly low. Soucisse/Firus fell
and if this is an Azerbaijani face off, Ritter/Brykalov scored 50.04 and looked solid. Weathersby/Kolosovskyi are brand new this season - 44.72
#b/h yet to skate but i have to run#tumblr isn't letting me upload videos rn😩#and there's another competition to go this afternoon
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Mes adieux au son tournoyant des martinets,
tournoyant comme l'est le destin dans cette simple vie.
Dans ce cercle où tout prend fin à jamais
règnent ces exclamations de l’instant
comme des trophées offerts au perdu
comme une vie qui reprend déjà sur la mort.
Et tout finit à grands cris dans ce vol circulaire !
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© Pierre Cressant
(mardi 27 juin 2006 - jeudi 11 mai 2023)
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Le film "All about Eve" (1950) décrit l'ascension fulgurante d'une arriviste parvenant à supplanter une célèbre vedette de Théâtre vieillissante en devenant à son tour une comédienne de grande renommée récompensée par un prix prestigieux, un précieux trophée qu'elle est invitée à ranger dans sa poitrine, à la place de son cœur par la femme qu'elle a approchée, imitée, remplacée, puis destituée.
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Going gold | Yuri P.
Chapter 4, the bet | TW language
I woke up to my alarms like usual. I stood up from under my covers and put on some leggings and one of the new shirts I had bought while shopping with Yuri yesterday. I pulled back my hair and walked downstairs to see Yuri making a pancake. He put syrup on it and sat down, it was then that I realized he was wearing an apron. I looked over and he saw me and almost flipped out. His face turned bright red and he started frantically trying to untie the knots that held the apron together. I burst out with hysterical laughter and he got so angry I thought he was going to burst.
"STOP LAUGHING ITS NOT FUNNY YOU PIECE OF SHIT" he yelled but that only encouraged my laughter.
I finally calmed down and started apologizing to him but he just huffed and turned away. I stood up and got out a box of cereal from the cabinet along with some milk from the fridge. I sat down and ate. A few minutes later I finished and put my bowl into the sink. I started walking towards the ballet studio and Yuri followed behind me. We started our stretching and then it was hell, like always. After a very long and traumatic class we finally finished four hours later. While I was drinking water yakov walked in the door holding papers in his hand. Yuri and I looked at each other and we both knew they were the grand prix assignments. Yakov walked over and said "these are your assignments for this season."
"Y/N you will be at the Rostelecom cup, Trophée Laliquel, and skate America" yakov said looking at me.
I'll be going to the US and France! Now Im excited. "Yuri your assignments are the Rostelecom cup, Trophée Laliquel, and skate Canada. And hopefully you will both be going to Italy for the final." yakov said.
Yuri and I have two competitions in common, at least I won't be alone.
"This will be a breeze I could win this with my eyes closed" Yuri said very confidently which angered me.
"How are you so sure? I could probably get higher scores than you ever could" I said.
"Oh yeah? Well I bet I could place first in every event" he added.
"Is that a challenge?"
"Sure, like you could win anyway"
"Alright fine, the person who gets the most gold medals wins and the loser had to do whatever the winner wants" I said proudly.
"Ok bet" he said turning around and walking away.
This bitch was going doooown.
I was going to win no matter the cost. I got my bag and told yakov I was going out for a while. I think he knew that I was going skating but didn't really care. I walked out of the door and raced down the streets, I want to get in the most amount of practice time I can. The first competition we had was the Trophèe Laliquel which was in a week. I burst open the ice rink doors and throw my stuff down onto the floor infront of the benches. I unzipped my bag and took out my skates. I quickly laced them up, and then I was out on the ice. I hooked my phone up to the Bluetooth speakers and started my short program, I put as much effort as I could into it and finished it. I fixed all the things Yakov told me to fix and my program felt a lot smoother. When the music stopped I skated over to the side and grabbed my water bottle.
I felt nervous, scared almost.
I know Yuris a better skater than me, he's been doing it longer than I have and I don't know why I made that stupid bet. But I still have to try, I can't loose to him or he's never gonna let me live it down.
I took a deep breath and got back to practicing. I did my free program and it went just as smoothly as my short. I decided to take a small break and eat a snack. I grabbed my water bottle and skated off the ice. I was looking down at my phone when I tripped over my toe pick and fell flat on my face. I heard someone hysterically laughing. I immediately shot up from the floor and saw it was Yuri.
"SHUT UP" I screamed.
That only encouraged him, so I pushed him onto the bleachers. His face turned beet red within seconds, and he finally shut up. I didn't realize how close my face was to his and my face stated to heat up as well.
"Sorry..." I said sheepishly letting go of him.
"It's fine.." he replied awkwardly, and still quite flustered.
"Anyway I wanted to ask if you maybe wanted to watch a movie tonight? However that was before you decided to JUMP on me" He asked, getting slightly annoyed.
I stood up and then sat down on the bleachers next to him.
"I'm sorry! and yeah I'll watch a movie with you." I replied as my cheeks flushed a slight shade of pink at the thought.
We sat next to each other in an awkward silence
"What movie are we going to watch?" I asked
"I don't know, do you have anything in mind?"
"Ooo we could watch Dirty dancing!"
"What is that"
"It's a romance movie about this girl and guy who come from like different back, it's really good"
"Sounds cliche" he added
"Yeah but it's good" I argued
"Whatever" he said getting up and walking onto the ice.
I left my skates on the bench and headed up to the upstairs ballet studio for some off ice training. I connected my phone to the speakers and started stretching, but I couldn't help but stare out the window looking down onto the ice. Yuri was doing his program and he once again looked so beautiful. I continued my stretches but it was no use because I couldn't pull myself away from him. I decided to get myself together and I started practicing my triple and quad jumps. I cant get distracted from my ultimate goal, beating Yuri.
#yuri on ice#figure skating#fluff imagine#grand prix#oneshots#victuuri#x reader#yuri plisetsky x reader#yurio plisetsky
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Je ne quitterai pas le combat jusqu'à ce que, devant mes yeux, ces ennemis soient tous détruits.
Car si, éveillés à la fureur par le moindre affront, incapables de dormir jusqu'à ce que les comptes soient réglés, fiers mais misérables rivaux, destinés tous à souffrir à leur mort, tracent les lignes de bataille et font de leur mieux pour gagner, et indifférents à la douleur des coups et des blessures, tiennent leur position sans céder, il est inutile de dire que je ne perdrai pas courage, quelles que soient les difficultés de la mêlée.
À partir de ce jour, je m'efforcerai d'écraser ces ennemis dont la nature même est de me faire souffrir.
Les blessures infligées par l'ennemi dans des guerres futiles sont exhibées par le soldat comme un trophée.
Alors, dans cette noble entreprise, pour une cause si grande, pourquoi devrais-je être effrayé par la douleur ou les blessures ?
Bodhicaryavatara
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aperçu • lieux de boring.
NORTH FORK ROAD.
THE SKATE PALACE, skating rink Lieu de rendez-vous de tou.te.s les amateur.ice.s de glisse, le Skate Palace n'est autre qu'une piste dédiée aux patins à roulettes. Occasionnellement occupé par les entraînements des Screaming Banshees, l’équipe locale de roller derby, le track est aussi accessible au grand public en après-midi et en soirée. Des événements y sont régulièrement organisés, et notamment des soirées "roller disco", où l'on peut patiner dans une ambiance musicale entraînante.
CRATER LAKE.
THE RED APPLE, bar A toute petite ville, son bar. Qui n'est pas déjà passé.e par ici pour une bière en soirée, au son d'un concert de blues, alors que plus loin, une partie de fléchettes bat son plein ? C'est dans l'atmosphère tamisée du Red Apple que nombreux.ses habitant.e.s de Boring viennent profiter d'un verre en fin de journée. Avec son nom emprunté aux contes les plus légendaires, le bar local est lui-même digne des meilleures histoires : murs recouverts de lambris de bois brut, tables en pin massif et tête de cerf en guise de trophée de chasse ornent l'endroit, qui semble ne pas avoir changé depuis des décennies.
FAIRMONT HEIGHTS.
THE SMOKEY SAPPHIRE, ancien speakeasy Originellement fondé dans les années 20, lorsque la prohibition était à son apogée, The Smokey Sapphire a depuis été transformé en un bar à l'ambiance feutrée où tou.te.s sont les bienvenu.e.s pour partager des cocktails enfumés entre ami.e.s, profiter de la musique langoureuse et des spectacles grandioses qui s'y déroulent. Tout cela dans un décor riche de velours couleur saphir et d'autres dorures qui donnent au lieu un caractère d'autant plus mystérieux. Le bruit courrait même que certaines activités illicites s'y passeraient à porte close. Mais ce ne sont que des ragots... n'est-ce pas ?
OUTSKIRTS.
BEAVER BASE SUMMER CAMP, camp de vacances Autrefois, chaque été, on pouvait retrouver des dizaines d'enfants profitant du Crater Lake ou se baladant dans le parc national. Hélas, depuis la disparition d'un campeur, le camp a fermé définitivement ses portes, laissant à l'abandon toute la base nautique et les différents pavillons existants. Plus aucun enfant n'y a mis les pieds depuis 1978 et peu se risquent à y retourner. En est née la légende morbide que le camp serait maudit et que l'esprit du disparu y errerait encore. Certain.e.s osent parfois s'y aventurer pour profiter des ruines ou pour relever un défi qu'on leur a donné.
#forum rpg#forum city#rpg francophone#projet rpg#rpg français#slice of life#rpg slice of life#Pacific Northwest Gothic
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Si tu veux faire parti de ma vie, il va falloir que tu prennes en considération, mes défauts, mes restes de rêves...
Mes folies sans ailes, mes amies en fées, mes amours en trophées.
Va falloir que tu saches que mes failles sont aussi grandes que mes qualités.
Que mes blessures aussi profondes que mon cœur.
Va falloir que tu ne me fasses jamais souffrir. Jamais.
Faudra me comprendre, alors que souvent je ne me comprends pas moi même.
Faudra pratiquer le silence, la patience, la résilience.
Faudra accepter mes erreurs, mes débordements, mes éclats et mes questions...
Je sais ce n'est pas facile.
Je sais, je suis dure à aimer, et encore plus dure à ne plus aimer je crois.
Mon coeur est un lieu chargé en sentiments.
Il faut un laisser passer,
Et quand on en sort c'est qu'on m'a blessé.
En plus il n'y aucun règlement intérieur, et pas de limite visible.
Tout est à l'aveugle.
Je suis un labyrinthe sans carte.
Si tu veux faire partie de ma vie, ne crois jamais que c'est acquis.
À portes ouvertes, je sais aussi tout verrouiller.
Si je dois prendre des pincettes, alors je préfère m'en aller.
J'ai quelques zones d'ombres avec turbulences.
Quelques endroits sombres sous mes paillettes savamment déposés.
Si tu veux faire partie de moi,
Apprends à réapprendre sans cesse, je ne suis jamais la même.
Mais en vrai, toi non plus.
La dame aux bons mots.
Cyrielle Soares
©️copyright
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Je suis venue te guérir. Te dire que c'est possible. Te dire que tu as le droit de m'oublier, ou de ne pas le faire, et de me laisser vivre en toi. Te dire que dans le fond on peut finir par être heureux, et se souvenir d'un temps plus beau que le ciel après l'orage. En faire notre souvenir préféré, classé hors catégorie. Que finalement tout finit par cicatriser, même les trous béants, même les cicatrices entretenues. Je suis venue te guérir de moi. Te détester des trop plein, des non dits. Ne plus chérir nos souffrances comme des trophées. Ne plus s'empêcher d'avancer. Ruminer c'est ne pas pouvoir digérer. Je suis venue te dire, que je continue, que j'aime à nouveau, Que je vibre sans toi. Que tu n'es pas mort, mais que tu n'es plus là. Que tu ne partira jamais, que ça fait partie du décor. L'amour c'est aussi ça, Transformer, s'intégrer et ne jamais totalement disparaître. Mais devenir grand. S'en vouloir puis se souhaiter le meilleur. Se bercer d'espoir, et aimer l'illusion. Dénouer les liens, et rester attaché quand même, l'un à l'autre, au travers du temps. Être un baiser éternel, et pourtant ne plus jamais s'embrasser.
Cyrielle Soares
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Jeudi 9 mars 2023.
Marseille encore.
Bord de mer, basket ou football, peu importe. Sous le soleil il fait bon taper dans un ballon rond. À Marseille il y a une grande histoire avec le foot. J’ai déjà signalé l’autre jour que l’Olympique de Marseille a été à ce jour la seule équipe française a remporter le championnat d’Europe de football (l’ancêtre de la ligue des champions), sans doute une des compétitions les plus prestigieuses sur la terre entière, et que même si cela s’est mal terminé, le nom de Marseille figure sur la liste des vainqueurs. C’est un fan de foot qui vous écrit cela. Un fan qui espère qu’un jour prochain une autre équipe inscrira son nom sur la coupe.
Il y a quand même un bémol au paradis (une des premières marches), c’est le taux de pauvreté qui en fait l’une des villes la plus pauvre de France. D’après un article publié dans le journal Ouest-France en septembre 2001, Marseille est la plus pauvre des six plus grandes villes de France. En prenant des chiffres de 2018, le taux de pauvreté s’y élevait à 26% contre 21% pour Nice, la suivante dans la liste. Le taux de chômage prè-covid s’élevait à pour les 15-64 ans à 11,3%. Je m’arrête là dans mon chapitre statistique. Je doute qu’aujourd’hui cela se soit arrangé. Est-ce le prix à payer pour vivre dans un paradis, ou alors le paradis ne se transforme t-il pas en enfer ?
Les religieux pourraient disserter sur cette lutte paradis enfer, quant aux politiques…Ils ont du pain sur la planche, eux.
Dernière minute : le graal pour le PSG attendra encore un peu, ils ont été sèchement battus et éliminés par le Bayern Munich. L’OM sera encore pour un an la seule équipe française a avoir ramenée le trophée européen.
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