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#gouvernement mondial
jloisse · 2 years
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Attali "prédisant " en 2014 la troisième guerre mondiale en commençant par la Russie et l’Ukraine, en disant que c’est la seule solution pour mettre en place un gouvernement mondial avec pour capitale Jérusalem
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raisongardee · 1 year
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“Le peuple est incapable d’entendre ses intérêts ; on doit, pour son bien, le tenir toujours en tutelle. N’est-ce pas à ceux qui ont des lumières de conduire ceux qui manquent de lumières ? Ainsi parlent une foule d’hypocrites qui veulent faire les affaires du peuple, afin de s’engraisser de la substance du peuple. Vous êtes incapables, disent-ils, d’entendre vos intérêts ; et sur cela, ils ne vous permettront pas même de disposer de ce qui est à vous pour un objet que vous jugerez utile ; et ils en disposeront, contre votre gré, pour un autre objet qui vous déplaît et vous répugne. Vous êtes incapables d’administrer une petite propriété commune, incapables de savoir ce qui vous est bon ou mauvais, de connaître vos besoins, et d’y pourvoir ; et sur cela, on vous enverra des hommes bien payés à vos dépens, qui gèreront vos biens à leur fantaisie, vous empêcheront de faire ce que vous voudrez, et vous forceront de faire ce que vous ne voudrez pas. Vous êtes incapables de discerner quelle éducation il est convenable de donner à vos enfants ; et par tendresse pour vos enfants, on les jettera dans des cloaques d’impiété et de mauvaises mœurs, à moins que vous n’aimiez mieux qu’ils demeurent privés de toute espèce d’instruction. Vous êtes incapables de juger si vous pouvez, vous et votre famille, subsister avec le salaire qu’on vous accorde pour votre travail ; et l’on vous défendra, sous des peines sévères, de vous concerter ensemble pour obtenir une augmentation de ce salaire, afin que vous puissiez vivre, vous, vos femmes et vos enfants.”
Félicité de Lamennais, Paroles d’un croyant, 1834.
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francepittoresque · 1 year
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HISTOIRE/ACTU | Gouvernance européenne : volonté ancienne d’élites prônant un « ordre nouveau » ➽ http://bit.ly/Gouvernance-Europeenne En 1930, vingt ans avant que ne soit créée la Communauté européenne du charbon et de l’acier, première organisation posant les bases du développement actuel de l’Union européenne, Edouard Herriot, ancien président du Conseil, fait l’apologie d’une future gouvernance européenne, un « Conseil des ministres européens » lui apparaissant comme l’étape nécessaire permettant de « réaliser un ordre nouveau », et promet chômage et révolution « si l’Europe ne s’organise pas dans l’ordre social et économique »
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malibuzz · 1 month
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Mali : La Banque Mondiale anticipe une croissance économique de 5% par an – Un nouvel espoir pour le développement !
La Banque Mondiale a récemment annoncé une prévision de croissance d’environ 5% par an pour l’économie malienne, une nouvelle qui suscite à la fois espoir et scepticisme. Cette annonce a été faite lors d’une visite de Ousmane Diagana, vice-président pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, qui a rencontré le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, le 20 février 2024, pour discuter des…
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Dans une Europe Multipolaire, la Russie a-t-elle sa place ?
Une perspective pour un monde plus juste et plus pacifique Par Hervé Azoulay Soutenez notre travail, abonnez-vous à Semaine du MENSONGE au tarif préférentiel de : 1,50 € par mois pendant un an,envoi chaque lundi par mailPaiement sécurisé en cliquant ICI   Nota : Le monde (dans le livre) est découpé en cinq grandes zones géographiques dont l’Europe, pour décentraliser le pouvoir avec les Etats…
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immunobiz · 1 year
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Danger!!!!
Le pape François plaide pour un gouvernement mondial puissant, non soumis aux « conditions politiques changeantes »
Pope Francis advocates for powerful global government not subject to ‘changing political conditions’
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meganval · 2 years
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Journée mondiale des zones humides : la mise en terre de plants couronne les activités de la célébration
À l’instar de plusieurs pays, le Bénin n’est pas resté en marge de la célébration de la Journée Mondiale des Zones Humides (JMZH), hier, jeudi 02 février 2023 dans la commune de Ouidah. Portée sur le thème « Il faut restaurer les zones humides », elle est célébrée par l’Agence Béninoise pour l’Environnement (ABE). Née de la signature de la Convention sur les zones humides intervenue le 02…
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banqueenfrancecom · 2 years
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les recommandations de la Banque mondiale au gouvernement tunisien
les recommandations de la Banque mondiale au gouvernement tunisien
⚡les recommandations de la Banque mondiale au gouvernement tunisien #les #recommandations #Banque #mondiale #gouvernement #tunisien #banque #france les recommandations de la Banque mondiale au gouvernement tunisien AA/ Tunis / Majdi Ismail La Banque mondiale (BM) a recommandé, jeudi, aux autorités tunisiennes de renforcer la participation citoyenne, et d’accélérer le processus de numérisation…
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aurevoirmonty · 2 days
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«Macron, c’est un garçon très instable»: Todd appelle le Parlement à se réveiller face au risque de guerre thermonucléaire
«Le moment est venu d'un débat au Parlement», a lancé l’anthropologue, une des rares voix à saisir le danger imminent que fait courir au pays la politique du gouvernement sur l'Ukraine.
Si on aide les Ukrainiens techniquement à tirer sur le territoire russe, c'est une déclaration de guerre
«Peut être que les gens veulent faire la guerre à la Russie, mais il faut qu'on en soit conscient.»
Tout juste catapulté ministre de l’Europe, l’agent américain Benjamin Haddad (https://x.com/frederic_RTfr/status/1836300915399110866) vient de partir en Allemagne pour tenter de convaincre (https://www.berliner-zeitung.de/politik-gesellschaft/geopolitik/frankreich-europaminister-haddad-im-interview-ukraine-muss-langstreckenraketen-auf-russland-abfeuern-duerfen-li.2258051) Berlin d'autoriser les frappes en profondeur du territoire russe.
Un lobbying intensif pour le déclenchement de la 3e Guerre mondiale qui se fait dans un silence médiatique total, favorisé par la pusillanimité des oppositions sur la question.
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Fraude sur les mots, fausse science et fascisme postmoderne… deux ou trois mots sur l’idéologie du point de vue de la psychanalyse
Lorsque Nicolás Gómez Dávila écrit: «La science nous trompe de trois manières: en transformant ses propositions en normes, en divulguant ses résultats plutôt que ses méthodes, en passant sous silence ses limitations épistémologiques», il parle de la science d’avant, une science "baconienne" certes trompeuse mais dont la réfutabilite était de structure (cf. Karl Popper: "il n’y a de science que réfutable"), mais une "science" non encore passée par la moulinette idéologique de "l’innovation technologique" postmoderne, qui en pervertit radicalement la structure, ce qui se traduit en termes de logique borroméenne par: passer du statut SIR (la science Symbolise ce qu’elle Imagine du Réel) au nœud RSI caractéristique de la religion (la religion Réalise le Symbolique qu’elle Imagine)…
Qu’est-ce que ça veut dire?
La "vraie" science revendique la rigueur de sa méthode qui s’appuie d’abord sur des faits consciencieusement répertoriés, ("table des présences" de Bacon, qui implique un primat du Réel sur le Symbolique dans l’observation et la collecte des données…), puis la logique consiste à rapporter les dits faits dans un ordre qui permet d’en tirer les conséquences mesurables donnant lieu à des anticipations. Le réel est a priori visé, cerné, décrit par le symbolique. Aujourd’hui, avec l’arrivée de la "fausse science" charriée par le discours dominant (Discours Capitaliste dans son acception stricte lacanienne) la plupart de ceux qui sont présentés comme des "scientifiques" s’appuient a priori sur des modélisations mathématiques, des calculs de probabilités qui leur confèrent une "imaginarisation du réel" auxquels ils croient et ils demandent "à tout le monde" de croire comme si c’était "la réalité"... à venir! Pour un véritable esprit scientifique, il n’y a rien de plus anti-scientifique que cette procédure invertie. Le réel est évacué, il reste seulement du symbolique détrempé d’imaginaire, autrement dit du fantasme, homologue au plan de la structure, à la mousse religieuse… Qui croit "les professeurs" Delfraissy ou Fauci comme à des prophètes? Réponse: les sujets pris dans le discours courant…
Rappelons ici que c’est suite à une note confidentielle du mathématicien universitaire modélisateur Neil Ferguson prévoyant un demi-million de morts en France, parvenue le 12 mars 2020 au président Macron, qu’un confinement généralisé fut décidé le soir même...
On sait depuis lors que c’est ce même Neil Ferguson (devenu conseiller de la Banque mondiale et de nombreux gouvernements) qui, en 2001, avait convaincu le Premier ministre britannique Tony Blair de faire abattre 6 millions de bovins pour stopper l’épidémie de fièvre aphteuse (une décision qui coûta 10 milliards de livres et qui est aujourd’hui considérée comme aberrante). En 2002, l’expert Neil Ferguson calcula que la maladie de la vache folle tuerait environ 50 000 britanniques et 150 000 de plus lorsque elle se transmettrait aux moutons. Il y en eut en réalité 177. En 2005, il prédit que la grippe aviaire tuerait 65 000 Britanniques. Il y en eut au total 457. (C’est ce même genre de "raisonnement" qui fait conclure à l’Intelligence Artificielle qu’il faut une infirmière pour quinze lits, ou qu’un résident en Ehpad doit manger pour 4,57€ par jour. )
Le sujet postmoderne, formaté par soixante-dix ans de l’idéologie qui a accouché du "numérique", devrait être averti qu’il n’existe aucun bouton "réinstaller les réglages d’origine" ou "restaurer le système" en cas de nécessité ultime.
Le système immunitaire naturel fonctionne selon le principe que toute récupération confère l’immunité et aura renforcé le sujet dans l’épreuve, ainsi en est-il de l'espèce qui devient plus forte. L’être peut s’enorgueillir d’un milliard d'années de perfectionnement biologique, et depuis le petit million et demi d’années que l’homme est arrivé sur Terre, c’est ce qu’il fait, les animaux ayant commencé avant lui.
Une politique réfléchie et responsable de santé publique aurait isolé les quelques uns qui risquaient de mourir suite à l’infection virale et aurait laissé l’immunité faire son travail, la récupération offranr toujours de loin la meilleure sécurité immunitaire, pareil pour toutes les mutations.
Ce n’est pas la médecine qui a inventé la santé, encore moins l’ascience. Quant aux politiques… faire confiance à un gouvernement pour "éradiquer un virus", a-t-on déjà entendu proposition plus délirante? Évacuez les intérêts de l’industrie pharmaceutique de l'équation, et vous verrez que les choses se présentent avec une certaine logique: ne pas se faire tester sauf en cas de symptômes précis, l’attraper quand on n’aura pas pu faire autrement (ce n’est pas dans le "moi" que ça se décide…) et le surmonter.
Voilà ce qu’un "président" sain aurait pu dire à un peuple sain. Les peuples ont le gouvernement qu’ils méritent…
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raisongardee · 8 months
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"La démolition de la morale, de la religion et de la spiritualité au profit d’une pseudo-science – le scientisme technocratique – est facilité par le gouvernement en collusion avec des entités universitaires et des entreprises. Ces institutions promeuvent un nouvel ordre mondial radical et dystopique. Les technocrates totalitaires mondiaux ont remplacé l’éducation par l’endoctrinement et ont pris le contrôle des canaux d’information – tant scientifiques que politiques – en censurant toutes les idées et sources d’information contraires. Les médias aux ordres façonnent l’opinion publique pour qu’elle se conforme au récit unique et contrôlé. Les nazis transportaient les Juifs et autres "indésirables" vers les camps de concentration, les camps de travail forcé et les camps de la mort, dans des wagons à bestiaux. Cette fois, l’objectif est le génocide mondial. Les cartes d’identité numériques sont conçues pour enfermer la multitude dans des camps de concentration contrôlés numériquement, dans lesquels nous serons incarcérés et d’où il n’y aura aucune possibilité de s’échapper. Si nous ne résistons pas et ne refusons pas de nous soumettre à un identifiant numérique, nous perdrons à jamais notre identité individuelle."
Véra Sharav, préface à Ariane Bilheran, Psycho-pathologie du totalitarisme, 2023.
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lemondeabicyclette · 1 month
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Le Covid-19 a brutalement fait entrer le monde dans une ère apocalyptique. Dans l’ère du covidisme, la nouvelle et éphémère religion imposée à l’humanité.
En 2020, les gouvernements, notamment occidentaux et chinois, ont provoqué une panique planétaire jamais vécue et ont instauré un état d’exception permanent imposant des mesures disproportionnées et tyranniques, sous prétexte d’une lutte menée contre un virus dont le taux de létalité est inférieur à 1 %.
Une tyrannie sanitaire justifiée par une idéologie totalitaire, une religion, le covidisme, qui a ses dévots télévisuels et ses prélats, qui portent le titre de docteur, stipendiés par les laboratoires pharmaceutiques.
Le covidisme a aussi ses oracles annonçant les nouvelles vagues épidémiques et les catastrophes sanitaires. Ces oracles des temps modernes ne consultent pas Apollon, comme le faisait la Pythie pour prédire le futur, mais le voient dans des modélisations mathématiques.
Sionisme agissant, mondialisme forcé, dictature vaccinale et projet de dépopulation volontaire sont, tour à tour, passés au peigne fin par l’auteur, qui n’hésite pas à citer nommément aussi bien leurs concepteurs que leurs promoteurs, latents ou patents…
Selon Hindi, la crise sanitaire est un accélérateur historique au service du messianisme actif qui vise l’établissement de l’utopique gouvernement mondial.
Pour étayer sa thèse, il a dû remonter jusqu’aux origines antiques et bibliques du messianisme, juif en particulier, et contextualiser, historiquement et politiquement, la genèse des projets messianiques, avant d’exposer leur structure et leur évolution de l’Antiquité jusqu’à notre époque en passant par le Moyen Âge.
Il nous fait également découvrir l’archaïsme de la modernité, revenue aux pratiques sacrificielles des temps anciens, qui prennent aujourd’hui la forme de la consumation économique, de l’avortement à échelle industrielle et de la vaccination de masse parfois associée à la stérilisation.
Autant de moyens d’aboutir à la dépopulation si chère aux écologistes et aux oligarques occidentaux qui veulent « sauver la planète ».
Cet ouvrage fera sans doute date, car il s’attaque, preuves à l’appui, au mal à la racine et met à nu les visées chtoniennes d’une oligarchie, pour la plupart encline au transhumanisme, plus que jamais déterminée à détruire, consumer et sacrifier cette masse humaine d’« inutiles » pour asseoir, dans « le monde d’après » revendiqué, leur Éden terrestre…
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
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Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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thebusylilbee · 3 days
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"L’absence de réaction de l’Occident face aux actions israéliennes et aux dizaines de milliers de civils tués se situe au-delà du double standard dénoncé depuis des mois. Il s’agit bien de complicité active de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité commis par un État voyou.
La rapidité et la violence des bombardements sur Beyrouth créent une forme de sidération, au Liban comme ici. Et la litanie des morts sans nom et sans sépulture, souvent civils, qui s’amoncèlent sous les frappes prétendument ciblées de l’armée israélienne, possède désormais un effet anesthésiant.
Comme le notait l’historien Vincent Lemire le 4 septembre au micro de France Inter, quelques jours avant l’offensive sur le Sud-Liban et Beyrouth : « On ne connaît pas les histoires et les visages des morts à Gaza. Au moins 40 000 morts, dont au moins 30 000 femmes et enfants à Gaza, innocents par définition… Ces chiffres ont pratiquement une capacité anesthésiante sur nous. Il y a quelques mois, on programmait des émissions parce qu’on parlait de 30 000 morts et non plus de 20 000. Mais aujourd’hui ces chiffres ne nous disent plus rien. On est obligé de les rapporter à une réalité française pour qu’ils continuent de nous frapper. »
Un mois après les massacres du 7 octobre, nous écrivions que « rapportés à la population israélienne, il a été dit que les massacres du 7 octobre ayant fait plus de 1 300 victimes équivalaient, en France, à un Bataclan qui aurait coûté la vie à 9 500 personnes. Si l’on prolonge ces calculs sordides, et qu’on rapporte les 9 000 morts de Gaza à une population totale d’environ 2,3 millions d’habitant·es, c’est comme si, en quatre semaines, la France avait perdu 264 000 habitants, dont plus de 100 000 enfants ».
Si l’on poursuit encore l’extrapolation macabre et que l’on se base sur un chiffre de désormais 41 000 morts à Gaza, la population palestinienne gazaouie engloutie depuis un an équivaut donc à 1,2 million de tués rapportés à la population française, soit à peine moins que le nombre de Français tués pendant la boucherie de la Première Guerre mondiale.
Guerre de vengeance
Mais puisqu’il n’est pas certain que même cette comparaison suffise à frapper les esprits, sans doute faut-il oser un autre parallèle. Si on se base sur les chiffres donnés par les ministères de la santé à Gaza et au Liban et qu’on ajoute une estimation basse des victimes sans nom ni sépulture qui se trouvent encore sous les décombres, on atteint au moins 60 000 morts directes dans les frappes de l’artillerie et de l’aviation israélienne.
Ce qui revient à dire qu’Israël a commis, depuis un an, l’équivalent d’un massacre du 7 octobre chaque semaine. Pourtant, aucun dirigeant occidental ne s’est précipité à Ramallah ou à Beyrouth pour exprimer son horreur devant le carnage. Aucun chef d’État ou de gouvernement n’a assuré les peuples palestinien et libanais de son soutien total face aux agressions. [...]
Cette guerre menée par Israël – guerre de représailles et de dissuasion mais aussi de vengeance – fait couler des rivières de sang dont les mains des dirigeants occidentaux – et avant tout étatsunien, c’est-à-dire Joe Biden mais aussi Kamala Harris en tête – sont entachées, tant ils partagent de responsabilités avec les criminels qui gouvernent Israël.
L’effacement des civils
Dans le monde post-7 octobre, bien préparé par le monde post-11 septembre et les centaines de milliers de morts d’Irak ou d’Afghanistan, c’est ainsi la notion même de population civile qui s’efface, en tout cas si ces civils ont le malheur d’être arabes ou musulmans.
Ce n’est pas seulement que les morts et les prisonniers israéliens ont des noms, des visages et des histoires, contrairement aux corps pourrissant dans les fosses communes de Gaza, enfouis dans les décombres de la banlieue sud de Beyrouth ou retenus dans les geôles inaccessibles du Néguev.
C’est qu’un corps palestinien ou chiite ne vaut plus rien aux yeux des Israéliens en particulier, et des Occidentaux en général, comme le manifeste la démesure des chiffres que l’on peut aujourd’hui mettre en regard.
Si l’on mesure non seulement les morts provoquées directement par les bombardements israéliens à Gaza, mais aussi toutes les victimes indirectes, notamment du fait des maladies et du manque d’accès aux soins, on peut sans doute facilement doubler le chiffre de 60 000 victimes, sans aller jusqu’aux 186 000 victimes comptabilisées par une publication récente du Lancet.
Ce qui signifierait qu’avec une estimation plausible de 120 000 morts à Gaza, on aurait déjà une centaine de morts palestiniens, pour un mort israélien le 7 octobre. Des chiffres effarants, à comparer avec un rapport de 7 à 1 pendant la première Intifada et de 3 à 1 pendant la seconde.
Autre exemple du décalage profond entre l’importance des corps et des vies d’un côté à l’autre de la barrière de Gaza ou du fleuve Litani : l’offensive israélienne au Liban a été justifiée par son gouvernement par la nécessité de permettre aux 60 000 déplacés du nord d’Israël de retourner dans leurs maisons.
Sans sous-estimer la vie devenue invivable de ses populations, que nous avions d’ailleurs documentée dans un reportage récent, comment est-il possible d’accepter une telle justification alors qu’elle se paye de l’exil forcé de déjà plus d’un million de Libanais ?
Les complicités occidentales
De cet effacement des civils libanais et palestiniens, l’Occident est comptable à plus d’un titre. D’abord en fournissant les armes et les devises nécessaires à ce carnage. Au moment même où il frappait Beyrouth et où les États-Unis affirmaient n’avoir pas été mis au courant, le gouvernement israélien se faisait un malin plaisir d’annoncer une nouvelle aide de 8,7 milliards de dollars en provenance de l’allié américain.
Dans quel monde peut-on trouver logique, comme ce fut le cas en avril dernier avec la levée du véto républicain au Congrès, de débloquer une « aide » comparable pour l’Ukraine attaquée par le régime de Poutine ; pour Taïwan sous la pression du régime chinois et pour Israël capable de détruire en quelques jours la menace du Hezbollah libanais après avoir réduit en miettes les infrastructures du Hamas ?
Ensuite, en refusant de reconnaître un État palestinien, à quelques rares exceptions près, telles la Norvège, l’Irlande et l’Espagne. Le Moyen-Orient est de fait bouleversé par la décapitation du Hezbollah – une action en passe de prouver que la menace iranienne sur Israël demeure circonscrite, tant le régime des mollahs est contesté en interne et incapable de rivaliser militairement avec un État hébreu soutenu par les États-Unis.
Dans ce moment majeur de redistribution des cartes, l’urgence est pourtant à une action diplomatique imposant la création d’un État palestinien sans lequel les logiques meurtrières et génocidaires à l’œuvre ne pourront que difficilement connaître de répit. [...]"
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Gouvernance Mondiale en Mutation
Vers une Coopération Multipolaire: Une perspective pour un monde plus juste et plus pacifique Par Hervé Azoulay Continue reading Untitled
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a-room-of-my-own · 11 months
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Je répond dans un billet séparé parce que Tomblère me laisse pas poster en reblog
Pour commencer, le télescopage de grilles de lecture qu’elle présente est au moins incomplet, sinon historiquement faux. 
Pour faire simple, si les US soutiennent effectivement Israël de manière inconditionnelle – et encore, c’est beaucoup moins vrai depuis 15 ans, il suffit d’ouvrir les infos pour le constater - c’est beaucoup moins le cas de l’Europe, et encore moins de l’ONU. La France a la même position depuis des années, qui est de ménager la chèvre et le chou, en ménageant ses relations diplomatiques avec Israël en sous-main, tout en étant dans le discours public plutôt pro-arabe. Nos politiques locaux ont bien compris depuis des années que ce conflit posait un problème de sécurité sur notre propre sol, et les positions prises concernent bien moins le conflit en soi que de la politique intérieure.  
Il suffit d’allumer la radio de service public pour voir d’ailleurs que nos journalistes-fonctionnaires sont à 90% de gauche ou d’extrême-gauche, et que l’information financée par l’Etat et nos impôts est bien loin de diffuser massivement l’idée qu’Israël est un pays héroïque. Au contraire, on a des médias qui reprennent en cœur les chiffres du Hamas sans les vérifier.  
De l’autre côté, la vision qu’elle dit arabe - la réalité des opinions publiques est bien plus nuancée en réalité, surtout dans des pays où la liberté de manifester n’est pas du tout établie - présentée comme “prosaïque” est tout sauf prosaïque. Elle est historiquement fausse.  
“Israël est un état fondé sur le colonialisme et l’expulsion, et qui mène une politique d’apartheid” 
Tous les états du Moyen-Orient sont “fondés sur le colonialisme” si on va par-là, puisque tous ont été créés par les puissances occidentales réunies par l’ancêtre de l’ONU, la SDN, après le démantèlement de l’Empire Ottoman, suite à la Première Guerre Mondiale.  
D’autre part, Israël s’est construit en opposition au titulaire du mandat de Palestine, à savoir l’Angleterre, qui avait certes soutenu l’idée de la création d’un foyer national juif dès 1917, mais qui soutenait par ce biais l’immigration de populations juives sur le territoire qu’elle administrait, et pas la création d’un état juif indépendant. Les précurseurs de l’état d’Israël se sont littéralement battus contre les Anglais, qui s’opposaient radicalement à l’installation de juifs réfugiés après la seconde guerre mondiale, et à la création d’un état juif. C’est donc le comble pour un “état colonial” d’être fondé après une lutte armée contre...l’administrateur de la colonie. 
Israël n’est pas plus un état “fondé sur l’expulsion". Après sa création, l’état a vécu 3 guerres en 25 ans, qu’il a toutes gagnées, et ces guerres ont redessiné les frontières à plusieurs reprises. Le rapport de force, pendant les trois, était en totale défaveur d’Israël, puisque le jeune état était attaqué sur plusieurs fronts par plusieurs pays mieux équipés et avec une armée bien plus nombreuse. Il y a bien eu des expulsions et des violences, comme dans n’importe quel conflit, mais les plus gros mouvements de population ont été une conséquence directe de ces guerres, notamment la première, où c’est littéralement les pays voisins qui ont conseillé aux populations locales de fuir les combats parce qu’ils étaient sûrs de gagner.  
Le fait qu’ils aient perdu – et perdu des territoires par la même occasion – puis que des cellules armées d’obédience palestinienne en Jordanie, en Egypte, au Koweit et au Liban aient tenté de renverser les gouvernements en place a très largement contribué au fait que les relations avec Israël se soient normalisées par la suite, et aussi au fait que ces pays ne veulent plus accueillir de réfugiés palestiniens. C'est surtout à ce moment-là que le rapport de force s’est inversé en faveur d’Israël, car même si les pays voisins instrumentalisent le conflit dans le cadre de leur politique intérieure, aucun n’attaquera Israël militairement / ouvertement. Ils n’ont concrètement rien à y gagner.  
Quant à dire qu’Israël mène une politique d’apartheid, c’est faux aussi. Israël compte 20% d’arabes israéliens. Je mets quiconque au défi d’aller essayer de trouver ce que représentent les communautés juives dans les pays arabes. Concrètement plus grand-chose, parce qu’elles ont été expulsées de chez elles – par la force, la loi, ou par pression - après l’indépendance d’Israël. La Tunisie ne compte plus que 2000 juifs et compte faire passer une loi pour envoyer quiconque a des liens avec “l’entité sioniste” en prison pour plusieurs années.  
A moins de considérer que les populations arabes de Gaza et de Cisjordanie font de facto partie d’Israël, je ne vois pas comment on peut parler d’apartheid. 
Au-delà des arguments historiques qui pêchent par leurs omissions (*tousse* on va rester polie), l’autrice enfile des perles argumentatives qu’elle n’étaye jamais par des faits ou des sources. En vrac on a 
* Des arguments pseudo-psychanalytiques > l’Occident souffrirait d’un “refoulé colonial” qui ressort dans son soutien à Israël.  
* Des arguments pseudo-sociologiques > Le racisme anti-arabes serait “phénoménal” (preuves? Chiffres? Comment on quantifie quelque chose de phénoménal? On le fait pas mais ça claque) 
* Des arguments pseudo-politiques / historiques > l’occident justifierait “l’écrasement” des palestiniens (qui? Quand? Comment? Dans quelles proportions? Suite à quel événement?) 
Le tous en citant bien sûr les chiffres de victimes donnés par le Hamas. 
On est ici - après tout moi aussi je peux faire de la psycho de chez Gifi – dans le chantage émotionnel le plus basique qui soit. On déroule une liste très approximative de faits qui omet 90% du contexte historique, avant de faire tenir une argumentation bancale à coup de gros mots, racisme phénoménal, humiliation, écrasement. Bref à ce stade de l’article si vous n’acquiescez pas avec Mona vous êtes MECHANT. 
"Prouver qu’un enfant est un enfant” 
Je ne vais pas m’attarder dessus, mais on est encore dans le chantage affectif, saupoudré d’une belle dose de malhonnêteté quand on a vu le négationnisme à l’oeuvre immédiatement après les massacres du 7 octobre, qui a obligé les autorités israéliennes à montrer à une sélection de journalistes les images des civils assassinés par les commandos du Hamas. 
Encore une fois, Mona Chollet avance sans preuve et sans citation. Elle décide que quelqu’un - j’imagine encore la personnification de cet “Occident” soudain tellement uni et homogène - considère que la publication de photos d’enfants victimes des bombardements est “le signe d’une fixation antisémite et une volonté malsaine de diaboliser Israël”. Qui a dit ça? Quand? On ne le saura pas mais on est tenus de la croire, et surtout de croire que c’est une opinion majoritaire. De l’esstrème droite certainement. 
On continue dans le registre émotionnel, avec encore des mots forts attribués à...personne encore. Les palestiniens sont “diabolisés”, vus comme “une horde indistincte et barbare congénitalement violente et terroriste”. Par qui Mona? Par qui? A part essayer de susciter chez le lecteur une réaction de rejet immédiat pour le rallier à l’argumentation de l’article, je ne vois pas à quoi ça sert? 
On est littéralement dans le “les gens qui ne pensent pas comme moi sont démoniaques croyez-moi sur parole j’ai pas l’intention de prouver ce que je dis”.  
"Starhawk et l’effacement complet des palestiniens” 
Là j’atteins le moment où je me roule par terre de rire. On parle de quelqu’un qui se définit comme sorcière néo-païenne. Soyons sérieux cinq minutes. J’attends l’avis des reptiliens illuminatis du FBI. Dans le même paragraphe elle tente de maladroitement prouver qu’Israël entreprend un génocide sur la population palestinienne... tout en admettant que c’est l’état hébreu qui fournit eau et électricité. En revanche elle ne précise pas qu’avant la guerre, bien des habitants de Gaza travaillaient sur le territoire d’Israël et que beaucoup d’entre eux s’y font soigner. Pas plus que Tsahal a passé plusieurs jours à essayer de convaincre les civils d’évacuer.  
La source c’est “trust me bro” et “y’a des gens qui sont d’accord avec moi”. OKAY. 
« Les mêmes éléments de langage repris ad nauseam »
Merde alors, et sans sources en plus ? Mais qui ferait un truc pareil. Hem. 
Là notre amie Mona découvre... La communication. De guerre. Le fait que les pays en guerre communique positivement sur les actions qu’ils entreprennent et essaient de convaincre de leur bien-fondé l’opinion internationale. Ah mais c’est du jamais vu. Personne n’a jamais fait un truc pareil. Ouh là là. (pardon je fatigue) 
(aussi, parenthèse professionnelle, déterminer des éléments de langage et les répéter c’est euh, la base de toute campagne de com, pas une preuve de démoniaquisme effréné) 
“La vision des Gazaouis en Occident, un “effet Homeland” 
Bon déjà c’est triste pour Mona parce que l’effet Homeland existe, mais ce n’est pas ça. C’est tout simplement l’engouement pour les séries d’espionnage après Homeland, avec plus ou moins de succès. Après, que les américains soient fans de filtre sépia et autres décors de studio dignes de Tintin au Pays de l’Or Noir, c’est pas exactement nouveau. 
Mona nous explique par la suite que les Occidentaux – cette masse informe -  se sentent plus proches des Israéliens parce qu’ils ont un mode de vie moderne. Basé sur quoi? Rien comme d’habitude, à part un exemple issu de cette fameuse série dont j’ai oublié l’existence depuis 2013, comme je suppose 90% de gens.  
“Si les Etats-Unis avaient forcé Israël à mettre fin à l’occupation il y a 30 ans” 
Mince alors moi je pensais que l’influence américaine était un problème, faudrait savoir. 
On repart sur la psycho de chez Lidl avec le fameux refoulé colonial qui ne sera jamais défini ou étayé et on enchaîne avec les US qui auraient dû “forcer” Israël à cesser l’occupation il y a 30 ans, soit en 1993. 
Du coup on ouvre un autre chapitre d’imprécisions historiques (encore une fois je suis polie) puisque Madame se réfère aux accords d’Oslo qui ont foiré, certes, mais par rejet des *deux* côtés de la barrière. Du côté palestinien parce qu’Arafat et consorts à l’époque ont clairement admis que si l’OLP avait le contrôle de la Cisjordanie, ce n’était qu’une étape avant la reconquête totale du territoire, enterrant de fait l’idée d’une future solution à deux Etats, et du côté israélien parce que la droite considérait que la “Judée-Samarie” conquise après la guerre des 6 jours, faisait de toute façon partie de l’Israël biblique et devait rester sous son contrôle. Le tout dans un contexte fait d’attentats et attaques diverses.  
On termine sur une nouvelle comparaison merdique, cette fois-ci avec les natifs américains, histoire d’ajouter encore une louche de chantage émotionnel sans rien étayer. 
Je conseille à l’autrice de faire ce qu’elle a l’habitude de faire : plagier un ouvrage ou un article écrit par quelqu’un de compétent, et y ajouter une anecdote perso sur sa copine Myrtille, sorcière technopagan, et de laisser la politique aux gens qui s’y connaissent un minimum, ou qui au moins essaient de lire des trucs avant d’écrire.  
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