#gestion écologique
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erwanicolas · 2 years ago
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L'avance immédiate (du crédit d'impôt)
L’avance immédiate est un service optionnel et gratuit qui permet la déduction immédiate de votre créditd’impôt de 50% lors du paiement de votre facture à votre organisme prestataire de service. Concrètement, pour une dépense de 200 € de services à la personne, l’Urssaf ne prélèvera plus que les 100 € de reste à charge. C’est très simple puisque c’est La Bêche et la Brouette qui s’occupe de tout…
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malibuzz · 2 months ago
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Mali : Une Saison des Pluies Dévastatrice - La Montée Inquiétante des Eaux
    Bamako, 07 octobre 2024 — Le Mali est confronté à une saison des pluies exceptionnellement dévastatrice. Les conséquences de cette saison d’hivernage, exacerbée par les effets des changements climatiques, ont été présentées lors d’une réunion du Comité interministériel de gestion des crises et catastrophes le 19 septembre 2024. Le rapport fait état de 377 cas d’inondations, causant des…
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dooareyastudy · 6 months ago
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et sinon pensez vous que c'est utile de voter pour les verts aux européennes ? ça sert vraiment à qqch ?
Ce n'est pas aberrant, je pense, de se dire que c'est (au moins) au niveau de l'UE que devrait se jouer la politique environnementale. Et l'UE a des compétences clés en la matière : elle a la main sur l'agriculture avec la PAC, elle a des compétences en matière de pêche (donc de gestion / protection des espaces marins). En plus de sa compétence proprement liée à l'environnement, elle a des compétences en matière de transport et de protection des consommateurs.
Je ne suis pas exhaustive (et je mélange toujours les compétences exclusives / partagées - RIP mes cours de droit de l'UE de licence) mais tout ça pour dire qu'envoyer des représentants qui portent des propositions écologiques ambitieuses à l'UE, ça n'a rien d'inutile (après, ça ne préjuge pas de ce que ces gens feront ou ne feront pas si / une fois élus ; d'autant plus que le vrai résultat des élections dépend aussi très largement des autres pays membres).
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icariebzh · 10 months ago
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes. 
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
    Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA. 
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
    Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire général de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
    Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol... 
    Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €. 
       Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent. 
    Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative. 
    Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels  intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
    C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...  
    Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
    Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
    Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne. 
    Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
    Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte. 
    Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques. 
    L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
    Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre  - le 30 janvier 2024  source
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themonsterp · 1 year ago
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Développement durable, perturbations , résistance, constance , persistance et résilience écologique.
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Le développement durable connaît un engouement notable depuis les deux dernières décennies en raison de la prise de conscience du fait que les ressources sont limitées, que certains écosystèmes sont menacés, avec, comme corollaire, de nombreux préjudices pour la société.
Le développement durable consiste à répondre aux besoins du présent sans nuire aux besoins des générations futures. Il s’agit de tendre vers un équilibre entre le maintien d’un bon développement économique et social, et la préservation de la structure et du fonctionnement des écosystèmes.
La gestion durable des systèmes socio-écologiques consiste, quant à elle, à définir des stratégies de gestion soucieuses de préserver l’intégrité des écosystèmes naturels et anthropiques (productivité, flux de matières et d’énergies, biodiversité, économie etc…).
Les perturbations : un facteur écologique fondamental
Les perturbations constituent des événements discrets dans le temps, souvent Imprévisibles, agissant à toutes les échelles d’espace et affectant une majorité d’écosystèmes terrestres.
L’agent de perturbation possède ses propres caractéristiques : fréquence, prédictibilité, intensité, hétérogénéité spatiale.
En raison de leur extension et leur répartition, les écosystèmes forestiers sont touchés par une grande variété de perturbations : incendies, tempêtes, ouragans, cyclones, tornades, insectes ravageurs, tempêtes de glace, glissements de terrain, avalanches, érosions torrentielles), avec des conséquences importantes sur la biodiversité, les cycles de nutriments, le cycle de l’eau.
Par perturbation, nous entendons tout événement discret dans le temps et dans l’espace provoquant une réduction de biomasse ou une mortalité des entités fondamentales du système, par exemple les arbres dans un peuplement forestier.
En quoi la diversité peut contribuer à augmenter la résistance et la résilience des écosystèmes ?
La résilience au sens de l’écologie (“ecological resilience”) et la résilience au sens de l’ingénierie (“engineering resilience”) .
Les perturbations empêchent le système d’atteindre un équilibre dominé par quelques espèces. En revanche des perturbations trop fréquentes empêchent les espèces de fin de succession de réaliser leur cycle de développement.
Les perturbations peuvent provoquer des bouleversements, des changements radicaux de comportement des systèmes écologiques ainsi que des fluctuations importantes de leurs variables caractéristiques. Elles peuvent en revanche réduire sensiblement la complexité de certaines dynamiques (Chaotiques et cycliques par exemple).
Relations entre résistance, résilience, constance et persistance .
La résilience définit la capacité des systèmes écologiques à maintenir de façon dynamique leurs structures et leurs propriétés, leur organisation, face à des bouleversements du milieu.
La résilience écologique décrit ainsi trois propriétés fondamentales : La quantité de changement que le système peut endurer, la capacité du système à s’auto- organiser, la capacité du système à apprendre et à s’adapter.
La résilience au sens de l’écologie se distingue ainsi de la résilience au sens de l’ingénierie définie par la vitesse de retour à un état de référence après perturbation. Les deux types de résilience sont complémentaires et leur emploi respectif dépend en premier lieu de l’échelle d’étude des systèmes.
Résistance et résilience définissent le comportement d’un système face à une perturbation de forte magnitude ; il s’agit de propriétés intrinsèques au système.
Fort de ces propriétés, les effets des perturbations (événement unique ou régime de perturbation) peuvent conduire à une extinction du système (extinction d’une population), à une extinction de certaines de ses composantes (espèces pour une communauté) ou à une profonde réorganisation de sa structure et de son fonctionnement (ex. dégradation irréversible d’écosystèmes).
En écologie des communautés, la résistance peut être associée à une différence de composition spécifique dans la communauté entre les états avant et après perturbation. Il s’agit de la capacité du système à absorber ou contrecarrer les effets d’une perturbation.
La constance est la propriété de ne pas changer au cours du temps. La constance permet de caractériser des trajectoires pour lesquelles il n’existe pas de formalisme mathématique permettant de tester simplement l’existence ou non d’état d’équilibre.
Made by @themonsterp and inspired by— Perturbations, diversité et permanences des structures dans les écosystèmes forestiers. Thomas Cordonnier.
La persistance représente un critère clé en biologie et en écologie de la conservation car elle exprime le maintien de l’intégrité du système au cours du temps.
En théorie, la persistance est une qualité : on persiste ou on ne persiste pas. En écologie forestière, on parle éventuellement de persistance d’une espèce, de persistance de classes d’âge, ou de persistance d’une structure.
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bienvenuechezmoi · 2 years ago
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Je suis outrée par les propos de Borne sur les -25% d'émissions de gaz à effet de serre depuis 1990. C'est mathématiquement pas possible avec une démographie et une économie en croissance.
J'ai envie de la taper. On est encore parti en version exponentielle pour une décrédibilisation (violente) des mouvements écolo.
Be carefull, il vient d'y avoir un tournant politique en France sur la gestion de la crise écologique pour laquelle nous n'avons vu que les prémisses.
Les attaques ont toujours été présentes mais plus dispersé. Le roman (le mytho) national écolo est en marche.
C'est la première pièce imposante d'une négation de l'impact de la France (et plus généralement de l'Occident) sur la crise environnementale mondiale faite de façon aussi sale que le greenwashing à coup de tote bag et de savon solide.
Nul doute que Macron utilisera ce -25% sorti pour stopper l'avancement des règlementation européenne sur ce sujet dans le but de "ne pas submerger les entreprises".
Ma limite de tolérance a été atteinte avec ce discours à vomir.
Dans le milieu on sait très bien que le Net Zéro pour 2050 est une illusion intenable. Alors il va falloir nous sortir les tableaux Excel de ce chiffre. JE VEUX SAVOIR EXACTEMENT OU SONT TOUTES LES PUTAINS DE MAGOUILLES DE CE -25%.
Je rappelle qu'on est à peine capable de calculer nos GES comment on peut les avoir fait baisser.
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actu-juridique · 14 hours ago
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Transition écologique et système de santé
https://justifiable.fr/?p=1475 https://justifiable.fr/?p=1475 #écologique #santé #système #transition Présentation Le système de santé français, entendu ici comme renvoyant à l’ensemble des acteurs et organisations des secteurs sanitaire, social et médico-social, est un grand émetteur de gaz à effet de serre, représentant plus de 8% des émissions nationales. Le Ministère de la Santé et de la Prévention a ainsi publié en mai 2023 une feuille de route portant sur la planification écologique du système de santé, fixant des objectifs et ouvrant un certain nombre de « domaines d’action » prioritaires parmi lesquels le bâtiment et l’énergie, l’achat durable ou encore les mobilités durables, mais aussi, concernant plus spécifiquement le secteur de la santé, les soins écoresponsables ou la gestion des déchets de soins. L’enjeu porte autant sur la capacité du système de santé à participer à l’effort de réduction des émissions de gaz à effet de serre que sur sa soutenabilité environnementale sur le long terme. Jusqu’à présent, les réflexions ont semblé se déployer à la marge du droit. Or la transition écologique soulève un certain nombre d’enjeux juridiques. Ainsi, l’intégration des objectifs de la transition écologique dans la politique des établissements de santé, notamment au travers de l’adoption d’un volet « éco-responsable » dans le projet d’établissement, interroge quant à sa compatibilité avec les objectifs assignés au système de santé. Plus largement, le déploiement d’instruments de planification écologique pose la question de leur caractère juridiquement contraignant. De même, la territorialisation de la politique de santé et l’organisation de l’offre de soins sur le territoire doivent-elles (voire peuvent-elles) prendre en compte les impératifs de la transition écologique ? A ce titre, le numérique en santé ou la commande publique peuvent-ils jouer un rôle en faveur de la transition ? En outre, dans quelle mesure la liberté de prescription du médecin peut-elle être aménagée dans le sens d’une « éco-prescription » ? Voici, parmi d’autres, les interrogations que soulève en droit la transition écologique du système de santé, objet de cette journée d’étude. Les actes de cette journée d’étude seront publiés par les éditions LEH dans un ouvrage dont la publication est prévue au printemps 2025.   Programme 8h45 | Accueil des participants 9h00 | OuvertureThierry Bonneau, Vice-président de l’Université en charge de la recherche   Matinée sous la présidence de Yves Surel, Professeur à l’Université Paris-Panthéon-Assas, directeur du CERSA   Introduction. Penser la transition écologique du système de santé 9h20 | Penser la transition écologique dans le système de santé ? Approche théoriqueSara Brimo, Professeure junior HDR à l’Université Paris-Panthéon-Assas 9h40 | Penser la transition écologique dans les systèmes de santé ? Approche comparéeStéphanie Dagron, Professeure de droit à l’Université de Genève   Partie 1. Quels objectifs et contraintes ? 10h00 | Les acteurs et l’intégration des objectifs de la transition écologiqueJean-Baptiste Guyonnet, Maître de conférences à l’Université Paris-Panthéon-Assas 10h20 | Financement, évaluation et contrôle de la transition écologiqueBenoît Apollis, Maître de conférences à l’Université Paris-Panthéon-Assas Débat et questions 10h50 | Pause café   Partie 2. Quelles conséquences pour les pratiques de soins ? 11h10 | Les soins écoresponsablesEléonore Masson, Doctorante contractuelle à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne 11h30 | Déchets de soins, eau et assainissementWilliam Gremaud, Maître de conférences à l’Université Paris-Panthéon-Assas Débat et questions 12h00 | Pause déjeuner   Après-midi sous la présidence de Benoît Plessix, Professeur à l’Université Paris-Panthéon-Assas, directeur du CRDA   Partie 3. Quels leviers d’action ? 14h | Le numérique en santé : un outil au service de la transition écologique ?Charles-André Dubreuil, Professeur à l’Université Clermont-Auvergne 14h20 | La commande publique à l’épreuve de la transition écologiqueHélène Hoepffner, Professeure à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Débat et questions 14h45 | Pause café   Partie 4. Quelle gouvernance ? 15h00 | Table-ronde. Accompagner et conduire la transition écologique Sous la présidence de Benoît Apollis, Maître de conférences à l’Université Paris-Panthéon-AssasRudy Chouvel, Docteur en droit public, Directeur d’hôpital et chargé de mission – Transition écologique en santé à la Fédération hospitalière de FranceDorothée Henin, Référente Investissement et Développement durable à la Direction de l’Offre de Soins de l’ARS Ile-de-FranceArnaud Joan-Grangé, Directeur d’hôpital, Directeur de l’offre de soins et des parcours de santé à la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs (FEHAP)Jean-Carles Grelier, Député de la 5ème circonscription de la SartheClaire Traon, Directrice de mission Transition écologique et santé environnementale, Caisse nationale d’assurance maladie   16h30 | Rapport de synthèseAgathe Van Lang, Professeure à Nantes Université   Inscriptions obligatoires avant le 29 novembre 2024 : [email protected] Journée organisée par Benoît Apollis, Maître de conférences, CERSA, Université Paris-Panthéon-Assas, Sara Brimo, Professeure junior HDR, CRDA, Université Paris-Panthéon-Assas et Jean-Baptiste Guyonnet, Maître de conférences, CRDA, Université Paris-Panthéon-Assas. Source link JUSTIFIABLE s’enrichit avec une nouvelle catégorie dédiée à l’Histoire du droit, alimentée par le flux RSS de univ-droit.fr. Cette section propose des articles approfondis et régulièrement mis à jour sur l’évolution des systèmes juridiques, les grandes doctrines, et les événements marquants qui ont façonné le droit contemporain. Ce nouvel espace est pensé pour les professionnels, les étudiants, et les passionnés d’histoire juridique, en quête de ressources fiables et structurées pour mieux comprendre les fondements et l’évolution des normes juridiques. Plongez dès maintenant dans cette catégorie pour explorer le passé et enrichir vos connaissances juridiques.
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kejiangjiang · 3 days ago
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Réflexion sur les Enjeux Numériques : Naviguer dans l'Océan Virtuel
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Dans notre ère numérique en perpétuelle expansion, les enjeux environnementaux occupent une place prépondérante, non seulement dans le monde physique mais également dans le monde virtuel. L'environnement numérique, avec ses vastes océans de données, de réseaux sociaux et de technologies émergentes, présente des défis et des opportunités uniques.
Cette semaine, dans le cadre de notre exploration des enjeux numériques, nous avons étudié plusieurs textes pertinents. L'un des points clés soulevés dans ces textes est l'impact écologique croissant de nos activités en ligne. Selon une étude récente de Greenpeace, le secteur numérique est responsable d'une part significative des émissions mondiales de gaz à effet de serre, principalement en raison de la consommation d'énergie des centres de données et des appareils connectés. Cette réalité souligne l'importance de repenser nos comportements en ligne et de favoriser des pratiques plus durables.
L'un des principaux défis de l'environnement numérique est la gestion responsable des données. Avec la prolifération des mégadonnées et des algorithmes de traitement, la protection de la vie privée et la sécurité des informations personnelles sont devenues des préoccupations majeures. Les récents scandales liés à la collecte et à l'utilisation abusive des données par les grandes entreprises technologiques soulignent la nécessité d'une réglementation plus stricte et d'une sensibilisation accrue à ces questions.
Malgré ces défis, l'environnement numérique offre également des opportunités pour l'innovation et le progrès. Les avancées technologiques telles que l'intelligence artificielle et l'Internet des objets peuvent être exploitées pour relever des défis environnementaux tels que le changement climatique, la gestion des ressources naturelles et la conservation de la biodiversité. Cependant, il est crucial d'adopter une approche éthique et responsable dans le développement et l'utilisation de ces technologies afin d'éviter des conséquences néfastes imprévues.
En conclusion, l'environnement numérique est un domaine complexe et en évolution constante, avec des implications profondes pour notre société et notre planète. En naviguant dans cet océan virtuel, il est essentiel de rester conscients des enjeux environnementaux et de travailler ensemble pour façonner un avenir numérique plus durable et éthique.
Bibliographie :
Greenpeace. (2023). Rapport sur l'impact environnemental du secteur numérique.
Smith, J. (2022). Data Privacy in the Digital Age. Journal of Cybersecurity, 15(2), 45-62.
Le premier océan numérique du monde, Publié le : 29/05/2022 https://www.rfi.fr/fr/podcasts/nouvelles-technologies/20220528-le-premier-oc%C3%A9an-num%C3%A9rique-du-monde.
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toutmontbeliard-com · 9 days ago
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Géraldine Grangier, Députée Rassemblement National de la 4ème circonscription du Doubs, communique : "Mme Géraldine Grangier appelle l'attention de Mme la Ministre de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt sur les retards dans la gestion et le versement des aides européennes du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) en Bourgogne-Franche-Comté. La gestion des fonds FEADER dans la région Bourgogne-Franche-Comté connaît actuellement des retards massifs et inacceptables qui menacent gravement la viabilité de nombreuses exploitations agricoles. Ce dysfonctionnement, qui se distingue par son ampleur par rapport aux autres régions françaises, met en lumière des faiblesses de gestion régionales mais aussi des lacunes dans l'accompagnement de l'État dans la transition de la gestion de ces fonds européens aux autorités locales. Plus de 3 500 dossiers seraient encore en attente de traitement en 2024, alors même que ces aides sont cruciales pour assurer la modernisation des infrastructures agricoles, le soutien aux jeunes agriculteurs et la transition écologique de l'agriculture française. La situation en Bourgogne-Franche-Comté est particulièrement alarmante et il convient de rappeler que cette région bénéficie d'une enveloppe de 254 millions d'euros sur la période 2021-2027, soit une augmentation de 28 % par rapport à la période précédente, ce qui devrait permettre de répondre à des besoins de financement cruciaux dans des secteurs en crise. Or le transfert de gestion des dossiers du FEADER des services de l'État à la région, effectif depuis le 1er janvier 2023, semble s'être accompagné de nombreux dysfonctionnements, allant de la mauvaise anticipation des besoins en ressources humaines à des lourdeurs administratives paralysant le traitement des dossiers. Dans cette perspective, il est nécessaire de replacer la Bourgogne Franche-Comté dans un cadre comparatif avec les autres régions françaises et européennes afin de mieux comprendre les causes de ce blocage spécifique et d'en tirer les leçons pour l'avenir. Dans d'autres régions françaises, la gestion des fonds FEADER semble mieux maîtrisée. On peut prendre l'exemple de la Bretagne, une région à forte dominante agricole, où la transition s'est opérée avec beaucoup plus de fluidité. Bien que des ajustements aient été nécessaires, les retards sont restés modérés et l'instruction des dossiers n'a pas connu d'engorgement comparable à celui observé en Bourgogne-Franche-Comté. De la même manière, en Normandie, autre région agricole de premier plan, les autorités régionales ont mis en place une collaboration étroite avec les chambres d'agriculture afin d'accélérer le traitement des dossiers et éviter des retards de paiement, en particulier pour les jeunes agriculteurs, un segment de population particulièrement vulnérable dans le contexte actuel. En comparaison, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, une gestion proactive et un renforcement des moyens administratifs ont permis de maintenir un flux constant de traitement des dossiers. Une étude comparative des performances régionales en matière de gestion des fonds européens pourrait permettre de dégager des pistes d'amélioration pour la Bourgogne-Franche-Comté, en s'inspirant des bonnes pratiques mises en place dans ces autres régions. Au niveau européen, certains pays comme l'Allemagne ou les Pays-Bas se sont montrés particulièrement performants dans la gestion des fonds agricoles européens. En Allemagne, la coordination entre les Länder et l'État fédéral a permis d'éviter les lourdeurs bureaucratiques qui pèsent actuellement sur la Bourgogne-Franche-Comté. En effet, la mise en place d'outils numériques centralisés, associée à une meilleure anticipation des besoins administratifs, a permis d'assurer un traitement rapide et efficace des dossiers. De même, aux Pays-Bas, l'accent est mis sur la simplification des procédures administratives, avec une répartition claire des rôles entre l'administration centrale et les autorités locales, ce qui évite des engorgements tels que ceux observés en Bourgogne-Franche-Comté. Ces exemples étrangers montrent qu'une gestion décentralisée des fonds européens peut être efficace à condition qu'elle s'accompagne de moyens techniques et humains adaptés et d'une coordination efficiente entre les différents niveaux de gouvernance. L'impact des retards de versement des aides FEADER sur les agriculteurs de Bourgogne-Franche-Comté est immense. Les aides financières de ce fonds ne sont pas un luxe, mais une nécessité absolue pour maintenir la compétitivité des exploitations agricoles, souvent confrontées à des marges réduites et à des défis environnementaux de plus en plus complexes. Le manque de ressources pour moderniser les infrastructures, acheter de nouveaux équipements ou mettre en place des pratiques agricoles plus durables risque de pénaliser durablement le secteur, aggravant encore la précarité de certains agriculteurs déjà en grande difficulté. Cela est d'autant plus vrai pour les jeunes agriculteurs, qui comptent sur ces aides pour s'installer et développer des projets viables. Les retards dans le versement des fonds créent une situation d'insécurité économique qui pourrait conduire certaines exploitations au bord de la faillite. Les manifestations récentes des syndicats agricoles, dont la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles (FRSEA) et les Jeunes Agriculteurs (JA), témoignent du climat de tension croissant dans le monde agricole. Cette situation est d'autant plus incompréhensible que les fonds sont disponibles et que les besoins sont urgents. L'inaction prolongée pourrait aussi avoir un effet domino sur l'ensemble de l'économie rurale, qui repose en grande partie sur la bonne santé des exploitations agricoles. Des retards dans le traitement des dossiers, à ce stade critique, risquent d'entraîner une perte de confiance entre les agriculteurs et les autorités publiques, ce qui est préjudiciable à la mise en œuvre des politiques agricoles futures. Dans ce contexte, il apparaît nécessaire que l'État reprenne en main la gestion de ces dossiers, en coordination avec les autorités régionales. Une intervention directe de l'État pourrait permettre de mobiliser des moyens supplémentaires, notamment en matière de ressources humaines, pour accélérer l'instruction des dossiers et rétablir un dialogue constructif avec les représentants du monde agricole. Mme la ministre va-t-elle impliquer l'État pour pallier à ces manquements ? De plus, des solutions temporaires, telles que la mise en place d'avances sur les aides FEADER en attente, pourraient être envisagées pour soulager les agriculteurs les plus en difficulté, en particulier ceux qui comptaient sur ces fonds pour investir dans des projets cruciaux pour la survie de leur exploitation. Elle lui demande si elle va appliquer des avances d'urgence et si elle compte demander une enquête approfondie pour identifier les causes exactes des dysfonctionnements observés en Bourgogne-Franche-Comté". Read the full article
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gaboninfoslive · 10 days ago
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Perenco : Négligence Criminelle et Crise Écologique
La gestion de crise par la société pétrolière Perenco est marquée d’une négligence criminelle et flagrante. Rappelons que, le 20 mars 2024, un incendie dévastateur s’était déclaré sur l’une des plateformes pétrolières de l’entreprise. Un accident qui, loin de servir de leçon, aurait dû alerter Perenco sur la nécessité de renforcer de manière urgente ses mesures de sécurité et de maintenance.…
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coolroofing · 10 days ago
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Peinture Réfléchissante Toit La Solution Idéale pour un Toit Plus Frais et Écologique en France
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Le toit est l'une des parties les plus importantes d'un bâtiment, non seulement pour la protection contre les intempéries, mais aussi pour la gestion de la chaleur. En France, où les étés peuvent être particulièrement chauds, l'utilisation de la peinture réfléchissante sur le toit est une solution innovante qui permet de réduire la chaleur accumulée dans les bâtiments, tout en offrant des avantages écologiques et économiques considérables. Cet article explore les différents avantages de la peinture réfléchissante pour les toits, ainsi que son application et son importance pour les propriétaires de maisons et d'entreprises en France.
1. Qu'est-ce que la Peinture Réfléchissante Toit ?
La peinture réfléchissante toit est une peinture spéciale composée pour réfléchir une grande quantité de la chaleur et de la lumière du soleil, caractéristique ainsi une partie importante de la chaleur d'être absorbée par les matériaux du toit. Elle est généralement composée de pigments réfléchissants et de matériaux comme des microbilles qui renvoient à la lumière solaire dans l'atmosphère plutôt que de l'absorbant.
Ce type de peinture a plusieurs applications, notamment dans les régions où les températures estivales peuvent atteindre des niveaux élevés. En France, l'utilisation de cette peinture sur les toits peut être particulièrement avantageuse dans les zones méridionales, comme le Sud de la France, où la chaleur est intense pendant plusieurs mois de l'année.
2. Les Avantages Écologiques et Économiques de la Peinture Réfléchissante
L'un des principaux avantages de la peinture réfléchissante est qu'elle contribue à réduire l'effet des îlots de chaleur urbains. Ces îlots se produisent lorsque les zones urbaines, en raison de la concentration de béton, d'asphalte et d'autres matériaux, absorbant plus de chaleur que les zones rurales, créant ainsi des températures plus élevées en été. En appliquant de la peinture réfléchissante sur les toits, en réduisant la quantité de chaleur qui s'accumule dans ces environnements, ce qui peut contribuer à rendre les villes plus agréables à vivre.
Sur le plan économique, les économies d’énergie sont un autre avantage majeur. Les toits peints avec des produits réfléchissants permettent de maintenir les températures intérieures des bâtiments plus fraîches, notamment la dépendance aux systèmes de climatisation. En France, où la climatisation est de plus en plus courante, surtout dans les régions chaudes, cela peut se traduire par une réduction significative des factures d'énergie pendant les mois d'été. En outre, cette réduction de la consommation d'énergie est bénéfique pour l'environnement, car elle diminue l'empreinte carbone des bâtiments.
3. Comment Appliquer la Peinture Réfléchissante Toit ?
L'application de la peinture réfléchissante sur le toit est relativement simple, mais elle nécessite une préparation adéquate pour garantir des résultats durables et efficaces. Voici quelques étapes à suivre lors de l'application de la peinture :
• Préparation de la surface : Le toit doit être propre et sec avant l'application de la peinture. Il est important d'éliminer toute saleté, moisissure ou débris. Dans certains cas, une couche d'apprêt peut être nécessaire pour assurer l'adhésion de la peinture réfléchissante.
• Choix de la peinture : Il existe plusieurs types de peintures réfléchissantes disponibles sur le marché. Il est essentiel de choisir une peinture de qualité qui répond aux besoins spécifiques de votre toiture, qu'il soit en tuiles, en métal ou en bitume.
• Application : Une fois la surface préparée et la peinture choisie, l'application peut commencer. Il est recommandé d'utiliser un rouleau ou un pulvérisateur pour une couverture uniforme. Plusieurs canapés peuvent être nécessaires en fonction du type de toit et du produit utilisé.
• Sécurisation : Comme pour tout travail de peinture en hauteur, il est crucial de suivre les normes de sécurité appropriées. L'utilisation de harnais de sécurité et d'équipements adéquats est essentielle pour éviter tout accident.
4. Peinture Réfléchissante et Durabilité : Une Solution Long Terme L'un des atouts majeurs de la peinture réfléchissante sur le toit est sa durabilité. Contrairement à d'autres méthodes d'isolation thermique, comme l'installation de panneaux solaires ou de nouveaux matériaux de couverture, la peinture réfléchissante nécessite peu d'entretien et une durée de vie relativement longue. La plupart des produits de peinture réfléchissante peuvent durer entre 5 et 10 ans, voire plus, sans nécessiter de retouche.
Cela fait de la peinture réfléchissante une solution à la fois économique et écologique sur le long terme. Elle ne se contente pas de réduire la température interne des bâtiments pendant les mois chauds, mais elle aide également à prolonger la durée de vie des matériaux de toiture en ressemblant à la chaleur excessive d'accélérer leur usure.
5. Pourquoi Choisir CoolRoofing pour l'Application de Peinture Réfléchissante Toit ?
Chez CoolRoofing, nous nous engageons à offrir des solutions de toiture innovantes et durables pour nos clients en France. Spécialisés dans l’application de peinture réfléchissante toit, nous mettons à votre disposition notre expertise pour vous aider à rendre votre maison ou votre entreprise plus écoénergétique et plus confortable.
Nous travaillons avec les meilleures peintures réfléchissantes disponibles sur le marché, et nous veillons à ce que chaque application soit effectuée dans les règles de l'art pour garantir des résultats optimaux. En créant CoolRoofing, vous bénéficiez non seulement d'une réduction des coûts énergétiques, mais vous contribuez également à la lutte contre le réchauffement climatique en définissant la demande d'énergie et en minimisant l'effet des îlots de chaleur urbains.
Faites confiance à CoolRoofing pour rendre votre toit plus durable et plus performant grâce à la peinture réfléchissante du toit. Contactez-nous dès aujourd'hui pour une évaluation gratuite et des conseils personnalisés sur la meilleure solution pour votre toit.
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entomoblog · 11 days ago
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Le Rapport Planète Protégée 2024 | Site national de la Convention sur la diversité biologique
See on Scoop.it - Insect Archive
Publication du Rapport Planète Protégée 2024 : une première évaluatio
  CHM France
Site national de la Convention sur la diversité biologique
  "... Ce Rapport permet de fournir une première revue globale des progrès réalisés pour mettre en œuvre la cible 3 du Cadre mondial de la biodiversité de Kunming-Montréal, à savoir la conservation et la gestion d’au moins 30% des terres et des mers d’ici 2030, grâce à la mise en place d’aires protégées et à d’autres mesures de conservation efficaces par zone.
Chaque chapitre du Rapport Planète Protégée 2024 couvre un élément spécifique de la cible 3 et décrit les progrès réalisés au niveau mondial par rapport à cet élément, sur la base des indicateurs inclus dans le Cadre de suivi du Cadre mondial. Les chapitres portent sur :
La couverture des aires protégées
Les aires d’importance pour la biodiversité et les fonctions et services écosystémiques
Les aires écologiquement représentatives
Les systèmes bien connectés
La conservation et gestion efficaces
La gouvernance équitable
Les territoires autochtones et traditionnels
L’intégration dans des systèmes plus vastes et l’utilisation durable"
(...)
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utank · 13 days ago
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Développement du post précédent par Chat GPT4.O, avec une interprétation en vidéo par une iA pas trop bonne en synchro ahaha Mais pour des propositions vertueuses, faut les plus grosses des putaclics nan?? :
Le texte que tu partages porte sur des pratiques de gestion écologique des terrains arborés, avec une référence particulière à l'écosystème des castors et leur impact positif sur la biodiversité et la résilience environnementale. Voici un développement pour chaque aspect évoqué, avec des références à des publications académiques et des auteurs pertinents :
1. Gestion des terrains arborés et ripisylve
La ripisylve, terme qui désigne les formations végétales bordant les cours d'eau, joue un rôle crucial pour la stabilisation des berges, la filtration des eaux, et le maintien de la biodiversité. Les travaux de Clément et al. (2017) soulignent l'importance de la ripisylve dans la prévention de l'érosion des sols et comme habitat pour une grande diversité d'espèces aquatiques et terrestres. En imitant le comportement des castors, comme la création de barrages naturels à partir des ronces et autres végétaux, il est possible de renforcer ces écosystèmes ripicoles.
2. Création de marécages et augmentation de la biodiversité
La restauration de milieux humides, tels que les marais, est considérée comme une solution naturelle pour la séquestration du carbone, l'augmentation de la biodiversité, et la régulation des inondations. Ramsar Convention Secretariat (2004) et les études de Carpenter & Lodge (1986) sur l'écologie des zones humides mettent en évidence que ces écosystèmes sont parmi les plus productifs et biodiverse au monde. L'introduction de pontons et de ruches favorise l'accueil d'une faune variée, des insectes pollinisateurs aux oiseaux, en passant par les petits mammifères.
3. Rôle historique et écologique du castor (bièvre)
Le castor, appelé aussi bièvre dans l'histoire française, a une longue histoire d'interactions avec les milieux humains. Son rôle dans la création et la gestion des écosystèmes aquatiques est largement étudié. Les recherches de Gurnell (1998) et de Naiman et al. (1988) mettent en évidence la capacité des castors à créer des environnements favorables à la biodiversité, grâce à leurs barrages qui régulent les flux hydrauliques, filtrent les sédiments, et augmentent la rétention d'eau. Historiquement, la surexploitation pour sa fourrure et ses glandes a mené à une diminution drastique des populations de castors en Europe, notamment dès le Moyen Âge.
4. Impact de la disparition du castor sur les écosystèmes fluviaux
L'absence de castors a modifié profondément les écosystèmes fluviaux européens. Pollock et al. (2007) décrivent comment la suppression des barrages naturels par les castors a entraîné une augmentation de l'érosion des sols, une réduction des habitats pour certaines espèces aquatiques, et des régimes de crue plus irréguliers. Les travaux de Brown et Hebda (2002) montrent que les barrages de castors jouent un rôle crucial dans la création de dépôts d'humus et de zones humides, ce qui accroît la fertilité des sols.
5. Perspectives d'aménagement en agroforesterie
Le texte suggère des pratiques d'agroforesterie, combinant cultures agricoles et systèmes forestiers pour améliorer la résilience des écosystèmes. Les recherches de Jose (2009) démontrent que l'agroforesterie favorise la diversité des espèces et contribue à la régulation du climat local, en améliorant la rétention d'eau et la qualité des sols. L'idée de créer un "havre de biodiversité" s'inscrit dans une tendance de plus en plus populaire dans la gestion des terres durables, où l'agriculture devient non seulement une source de production alimentaire, mais aussi un moyen de préserver les écosystèmes locaux.
6. Usages médicinaux et industriels du castoréum
Le castoréum, une sécrétion des glandes anales des castors, a été historiquement utilisé dans divers domaines. Des études sur l'histoire de la médecine et de la pharmacie (voir Dunn, 1996) révèlent que le castoréum, riche en composés bioactifs tels que l'acide salicylique, était couramment employé comme analgésique et anti-inflammatoire au Moyen Âge et à la Renaissance. En parfumerie, le castoréum a été utilisé comme fixatif pour les fragrances, démontrant son importance économique et culturelle au fil des siècles.
7. Stratégies face aux changements climatiques
Le texte souligne l'importance de préparer les terres face à des conditions climatiques extrêmes. Les recherches de Hodgson et al. (2009) sur la gestion adaptative des paysages montrent que la création de refuges climatiques, par le maintien de zones ombragées et d'humidité, peut contribuer à atténuer les effets du réchauffement climatique sur la biodiversité locale. En outre, des initiatives de gestion paysagère favorisant les corridors écologiques, tels que suggéré dans le texte, ont été discutées par Opdam et Wascher (2004) comme stratégies cruciales pour la résilience écologique.
8. Usufruit et pratiques durables en écotourisme
L'idée de transformer une parcelle en une zone attractive pour l'écotourisme et l'agroforesterie rejoint les travaux de Honey (2008) sur l'écotourisme durable. L'implantation de circuits de visites éducatives et la valorisation des produits forestiers non ligneux sont des stratégies identifiées pour allier conservation et rentabilité économique. Les projets communautaires autour des zones humides et ripicoles offrent des perspectives de développement local tout en renforçant la conscience écologique.
En somme, le texte appelle à une vision holistique et durable de la gestion des terres, en se réappropriant des pratiques inspirées par les castors et en intégrant des éléments modernes d'agroforesterie et d'écologie. Les références scientifiques soutiennent l'idée que ce type d'aménagement peut non seulement accroître la résilience environnementale, mais aussi favoriser la biodiversité et offrir des bénéfices économiques.
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vizovccltd · 18 days ago
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L'Essor des Cartes Virtuelles : 30 Raisons pour Lesquelles Elles Conquièrent le Marché en 2024
Les cartes virtuelles connaissent une popularité fulgurante en 2024, grâce à leur sécurité renforcée, leur flexibilité et leur commodité dans le monde des paiements en ligne et numériques. Si vous découvrez les cartes virtuelles ou vous vous demandez pourquoi elles sont si populaires, voici 30 raisons convaincantes expliquant cet engouemen argentina virtual credit card
1. Sécurité Améliorée
Les cartes virtuelles offrent des numéros à usage unique ou des durées limitées, réduisant les risques de fraude. Contrairement aux cartes physiques, elles sont moins vulnérables aux vols, pertes ou piratages argentina vcc .
2. Protection Contre la Fraude
Grâce à des numéros de carte aléatoires, les cartes virtuelles compliquent le travail des fraudeurs. Même si un numéro est volé, il ne peut souvent pas être réutilisé virtual argentina credit card
3. Contrôle des Dépenses
Les utilisateurs peuvent fixer des limites de dépenses, ce qui permet de gérer les achats en toute sécurité et de mieux contrôler leur budget.
4. Option de Paiement Unique
Les cartes virtuelles peuvent être programmées pour expirer après un seul achat, parfait pour les transactions en ligne où la sécurité est cruciale.
5. Gestion Simplifiée des Abonnements
Les utilisateurs peuvent créer une carte pour chaque abonnement, facilitant ainsi le suivi et l’annulation sans perturber les autres paiements récurrents.
6. Emission Rapide et Accès Instantané
Contrairement aux cartes physiques, les cartes virtuelles sont disponibles presque instantanément, idéales pour des achats urgents.
7. Adaptabilité pour Usage Personnel et Professionnel
Les cartes virtuelles répondent aux besoins personnels et professionnels. Pour les entreprises, elles permettent de gérer les dépenses par département, tandis que les utilisateurs individuels bénéficient d'une sécurité renforcée.
8. Compatibilité avec le Paiement Sans Contact
Les cartes virtuelles sont compatibles avec les portefeuilles numériques (comme Apple Pay ou Google Wallet), permettant des paiements sans contact fluides.
9. Bénéfices Environnementaux
Sans besoin de plastique, les cartes virtuelles représentent une option écologique, réduisant les déchets plastiques.
10. Accessibilité Mondiale
Faciles à émettre et à utiliser dans le monde entier, les cartes virtuelles facilitent les transactions internationales, avec une compatibilité multi-devises.
11. Outils de Budgétisation Améliorés
Les fournisseurs de cartes virtuelles offrent souvent des outils de suivi des dépenses, permettant aux utilisateurs de mieux gérer leur budget.
12. Praticité pour le Commerce en Ligne
Alors que les achats en ligne se multiplient, les cartes virtuelles offrent un moyen de paiement sécurisé, évitant d'exposer les comptes bancaires.
13. Facilité d'Utilisation pour les Équipes à Distance
Les entreprises peuvent gérer les paiements de leurs équipes distantes en leur attribuant des cartes virtuelles avec des limites de dépenses.
14. Suivi Simplifié des Dépenses pour les Entreprises
Intégrées à des logiciels de gestion des dépenses, les cartes virtuelles simplifient le suivi des dépenses par département ou projet.
15. Intégration Mobile Simplifiée
Les cartes virtuelles s'intègrent facilement aux applications mobiles, permettant une gestion et une utilisation directement depuis un smartphone.
16. Options de Personnalisation Accrues
Les cartes virtuelles peuvent être personnalisées pour des besoins spécifiques, comme restreindre l'utilisation à certains commerçants ou types de transactions.
17. Alertes et Suivi en Temps Réel
Les utilisateurs reçoivent des alertes instantanées pour chaque transaction, ce qui aide à détecter rapidement toute activité suspecte.
18. Facilité d'Annulation
Une carte virtuelle peut être désactivée rapidement sans impact majeur, évitant les longues démarches des cartes physiques.
19. Adaptée à un Mode de Vie Digital
Les utilisateurs préférant une vie numérique adoptent facilement les cartes virtuelles, qui s'intègrent parfaitement dans un écosystème financier en ligne.
20. Réduction des Coûts
Les cartes virtuelles comportent souvent des frais réduits par rapport aux cartes traditionnelles et évitent les frais de remplacement physique.
21. Limitation des Risques sur les Sites Non Fiables
Lors d'un achat sur un site inconnu, l'utilisateur peut créer une carte temporaire pour réduire les risques potentiels.
22. Accès Simplifié aux Applications de Budget
Intégrées aux applications de gestion financière, les cartes virtuelles offrent une meilleure visibilité des dépenses.
23. Parfaite pour les Achats Numériques
Les cartes virtuelles sont idéales pour les paiements numériques, comme les abonnements de streaming et les jeux en ligne.
24. Facilité pour les Réservations
Utiles pour les réservations d'hôtels ou de voyages, elles permettent de payer sans compromettre la sécurité de sa carte principale.
25. Options de Remplacement Rapide
En cas de besoin, une nouvelle carte virtuelle peut être générée en quelques secondes, facilitant la continuité des achats.
26. Transparence pour les Petites Entreprises
Les PME bénéficient d'une meilleure visibilité sur leurs dépenses grâce aux cartes virtuelles, rendant la comptabilité plus claire.
27. Prévient les Frais d'Abonnement Cachés
En liant chaque abonnement à une carte distincte, les utilisateurs évitent les frais cachés et peuvent annuler plus facilement.
28. Compatibilité avec des Technologies Avancées de Sécurité
Les cartes virtuelles utilisent des technologies de cryptage avancées, réduisant les risques de fraude en ligne.
29. Accès Facile pour les Freelancers
Les travailleurs indépendants utilisent les cartes virtuelles pour organiser leurs dépenses professionnelles et simplifier la gestion des revenus.
30. Évolution Vers un Système Financier 100% Numérique
Les cartes virtuelles sont une étape vers un système financier entièrement numérique, répondant aux besoins d'une société de plus en plus connectée.
Conclusion
L’essor des cartes virtuelles en 2024 est alimenté par leur sécurité, leur flexibilité et leur capacité à s’adapter à un environnement numérique. Avec la montée des paiements en ligne, les cartes virtuelles sont devenues une solution de choix pour tous ceux qui recherchent un moyen de gérer leurs finances de manière plus sécurisée et pratique.
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deepestmagazinemilkshake · 19 days ago
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La carte de visite connectée : un moyen de rester en contact avec ses prospects
Introduction
La carte de visite connectée est un outil moderne et innovant qui permet de rester en contact avec ses prospects de manière efficace. Grâce à cette technologie, il est possible d'établir des liens durables et de maintenir une communication fluide avec les clients potentiels. Dans cet article, nous allons explorer les avantages et les fonctionnalités de la carte de visite connectée, ainsi que son impact sur le développement des affaires.
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Qu'est-ce qu'une carte de visite connectée ?
La carte de visite connectée est une évolution numérique de la traditionnelle carte de visite papier. Elle intègre des éléments interactifs tels que des codes QR, des puces NFC ou des liens vers les réseaux sociaux et les sites web. Ces fonctionnalités permettent aux prospects d'accéder facilement aux informations importantes du professionnel ou de l'entreprise et facilitent la prise de contact.
Les avantages d'une carte de visite connectée Facilité d'accès aux informations : Avec une carte de visite connectée, les prospects peuvent accéder instantanément aux coordonnées, au site web et aux profils sociaux du professionnel ou de l'entreprise. Mise à jour facile des informations : Contrairement aux cartes de visite papier, les cartes de visite connectées peuvent être mises à jour facilement. Ainsi, si vous changez vos coordonnées ou mettez à jour votre site web, vos prospects auront toujours accès aux informations les plus récentes. Intégration avec les outils numériques : Les cartes de visite connectées peuvent être intégrées avec d'autres outils numériques tels que les CRM (Customer Relationship Management) ou les plateformes de marketing automation. Cela permet un suivi plus précis des prospects et facilite la gestion des contacts. Personnalisation : Les cartes de visite connectées offrent la possibilité de personnaliser le contenu et l'apparence de la carte selon les besoins du professionnel ou de l'entreprise. Cela permet de transmettre une image professionnelle et adaptée au secteur d'activité. Écologique : En utilisant des cartes de visite connectées, vous contribuez à réduire l'utilisation du papier, ce qui est bénéfique pour l'environnement. Comment fonctionne une carte de visite connectée ?
Une carte de visite connectée utilise différentes technologies pour permettre une interaction avec les prospects. Voici certains des éléments couramment carte de visite sans contact utilisés :
Code QR
Un code QR est un type de code-barres en deux dimensions qui peut être scanné à l'aide d'un smartphone ou d'une tablette équipée d'une application appropriée. Lorsque le code QR sur la carte de visite est scanné, il redirige le prospect vers une page web spécifique contenant les informations souhaitées.
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Puce NFC
La technologie NFC (Near Field Communication) permet aux appareils compatibles, tels que les smartphones, de communiquer entre eux lorsqu'ils sont à proximité. Une carte de visite connectée avec puce NFC peut être simplement tapotée sur le smartphone du prospect pour transférer instantanément les informations.
Liens vers les réseaux sociaux et le site web
Une autre fonctionnalité courante des cartes de visite connectées est l'inclusion de liens directs vers les profils des réseaux sociaux du professionnel ou https://ameblo.jp/claytondoeh236/entry-12872797760.html de l'entreprise, ainsi que vers leur site web. Cela permet aux prospects d'accéder rapidement à ces informations et
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rideaupress01 · 20 days ago
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Tendances Actuelles en Rideaux Électriques et Stores Intérieurs pour 2024
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En 2024, l'innovation et le confort prennent une place centrale dans l’univers de la décoration intérieure, en particulier pour les rideaux et stores modernes. Les avancées technologiques, les préférences esthétiques, et le besoin de solutions durables influencent les choix des consommateurs, qui recherchent des produits à la fois élégants et fonctionnels. Rideaupress, spécialisé dans les rideaux électriques et la fourniture et pose de stores intérieurs à Bruxelles, vous présente les grandes tendances qui domineront cette année.
1. Automatisation et Rideaux pour Domotique : Le Confort Connecté
L'année 2024 marque un tournant vers des intérieurs intelligents et connectés. Les rideaux pour domotique permettent aux utilisateurs de contrôler facilement l’ouverture et la fermeture de leurs rideaux via un simple bouton, une application mobile, ou encore des commandes vocales. Grâce à ces solutions, les rideaux électriques offrent une combinaison parfaite de confort et de contrôle de la luminosité, tout en s'intégrant parfaitement aux systèmes domotiques existants.
Ces innovations s’intègrent aussi bien dans les maisons modernes que dans les bureaux, répondant aux besoins de simplicité et de confort. De plus, l’automatisation permet de programmer les rideaux pour qu'ils s’adaptent aux variations de lumière naturelle tout au long de la journée, contribuant à une meilleure gestion de l’énergie.
2. Fourniture et Pose de Stores Intérieurs à Bruxelles : La Personnalisation Avant Tout
À Bruxelles, la demande pour des stores intérieurs sur mesure augmente. La fourniture et pose de stores intérieurs personnalisés deviennent une priorité, car de plus en plus de personnes souhaitent que leurs intérieurs reflètent leur style personnel. Qu'il s'agisse de stores enrouleurs, de stores vénitiens, ou de stores plissés, chaque choix doit s'harmoniser avec le décor existant et répondre aux exigences spécifiques de chaque espace.
Chez Rideaupress, la qualité et la diversité des matériaux permettent d’assurer des installations personnalisées et durables, idéales pour tout type d'intérieur. En offrant des solutions adaptées aux besoins de chaque client, Rideaupress s'assure de fournir un service de qualité à Bruxelles et dans ses environs.
3. Louverdrapelamellen : Le Mix Parfait d'Esthétique et de Fonctionnalité
Les Louverdrapelamellen, qui combinent l’aspect pratique des lamelles orientables et l’élégance des rideaux traditionnels, gagnent en popularité. Ces modèles offrent un contrôle de la lumière optimal tout en ajoutant une touche de sophistication à l’intérieur. Polyvalents, ils conviennent aussi bien aux espaces résidentiels qu’aux bureaux et autres espaces professionnels.
En 2024, cette tendance prend un essor particulier, car les consommateurs recherchent des solutions polyvalentes et esthétiques qui optimisent l’utilisation de la lumière naturelle. Avec des Louverdrapelamellen, vous pouvez ajuster l’éclairage selon l’heure de la journée tout en bénéficiant d’un design moderne et élégant.
4. Systèmes Écologiques et Durables : Une Responsabilité Grandissante
Avec une prise de conscience écologique croissante, les consommateurs privilégient désormais des produits respectueux de l'environnement. Dans le domaine des rideaux électriques et des stores, cela se traduit par l'utilisation de matériaux recyclables et des systèmes économes en énergie. Les rideaux pour domotique, par exemple, permettent de réduire la consommation d'énergie en optimisant l’apport de lumière naturelle, ce qui aide à maintenir une température intérieure confortable sans recourir constamment à la climatisation ou au chauffage.
Rideaupress s’engage à proposer des solutions durables qui répondent aux exigences écologiques, tout en offrant un style moderne et épuré. En 2024, cette tendance devrait se renforcer, surtout parmi ceux qui désirent faire des choix responsables pour leur habitat.
5. Rideaux Électriques : Design et Innovation à Bruxelles
Les rideaux électriques ne cessent d’évoluer et de se diversifier pour répondre aux nouvelles attentes esthétiques et fonctionnelles. En 2024, les tendances de rideauxélectrique à Bruxelles se tournent vers des modèles épurés, dotés de tissus techniques et de couleurs neutres qui s’intègrent facilement dans n'importe quel environnement. Ces rideaux offrent une technologie avancée qui se déploie en silence et s’intègre discrètement au cadre des fenêtres, garantissant à la fois intimité et élégance.
En conclusion, l’année 2024 met en avant une fusion de technologie, de personnalisation, et de durabilité dans le domaine des rideaux et stores intérieurs. Avec Rideaupress, vous bénéficiez de conseils experts et d’une large gamme de produits pour faire de vos espaces des lieux à la fois modernes, confortables et éco-responsables.
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