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Et si Hitler n’était pas mort ?
Dans la maison qu’il a achetée sur la côte du Finistère, Paulo a trouvé une centaine de romans de guerre chez un éditeur appelé Gerfaut et dont le logo est un faucon aux ailes déployées. Il en a conservé une dizaine. Parmi eux, un titre a retenu mon attention : « Et si Hitler n’était pas mort ? » écrit par un certain Kurt Gerwitz et publié en 1979.
Le récit uchronique m’a instantanément attiré, mais aussi le côté potentiellement sulfureux, du genre pro-nazi, mâtiné d’un peu de cul bien macho, voire un peu tordu. En outre, comme je l’ai trainé avec moi au cas où l’on trouverait le temps de bouquiner un peu dans un café cosy, je me suis beaucoup amusé avec l��effroi de mes compagnons, terrorisés à l’idée que quelqu’un puisse lire sa couverture.
En fait, je ne leur ai pas fait peur longtemps car ça se lit très vite. Pour le côté sulfureux, c’était raté. D’abord le bouquin n’est nullement pro-nazi, pour le cul, le plus "scandaleux" est une rouste que donne Himmler à une prostituée, qui avant de connaître la suite, pousse « des gloussements sonores »,« rose de plaisir d’avoir été distinguée par un personnage aussi puissant que le Reichsführer », ce qui est assez conforme à l’idée que je me faisais de ce malade et de sa sexualité.
S’il s’agit de la même maison d’édition, les éditions du Gerfaut existe toujours, et publie de nos jours des livres bien innocents autour de la chasse, pêche, nature et cuisine.
Kurt Gerwitz, de son vrai nom, Jean-Hubert Guffens, était nullement allemand, comme aucun des auteurs de la collection qui sont des pseudonymes. Il mourut l’année de (ré)édition du roman.
Au final, le livre répond probablement à la curiosité de pouvoir se trouver du côté du Mal, celui du lamentable Hitler de la Chute et de ses proches, tous plus fêlés les uns que les autres, et le frisson de retrouver dans la dernière page du livre, Hitler revigoré face à Péron en Argentine.
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Some of this year's Inktober!
My theme is ELEGANTE, a mix of everything I like about the 1830s 😊🫶
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Le Gerfaut (série télévisée)
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L' uomo perdona e dimentica; la donna perdona soltanto.
-Philippe Gerfaut
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Gli uomini perdonano e dimenticano, mentre le donne perdonano e basta.
|| Philippe Gerfaut
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Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c’est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons.
Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu’il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c’est pour rire.
Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons…
Il tomb-en-co-RR des grê-lons, Mais Zon sait bien que c’est pour rir(e). Quand les nu-ag-Es se dé-chir(ent), Le ciel éc-um-E de ray-ons.
Le vent ca-re-ssE les bour-geons Si lon-gue-ment qu’il les fait luir(e). Il tomb-en-co-RR des grê-lons, Mais Zon sait bien que c’est pour rir(e).
Les fauv-ett-Es Zet les pin-sons Ont tant de chosEs Zà se dire Que dans les jar-dins Zen dé-lire On Noub-lie les pre-miers bour-dons. Il tomb-en-co-RR des grê-lons
Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c’est pour rire. Quand les nuages se déchirent, Le ciel écume de rayons.
Le vent caresse les bourgeons Si longuement qu’il les fait luire. Il tombe encore des grêlons, Mais on sait bien que c’est pour rire.
Les fauvettes et les pinsons Ont tant de choses à se dire Que dans les jardins en délire On oublie les premiers bourdons. Il tombe encore des grêlons…
Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon cœur D’une langueur Monotone.
Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure;
Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Dans la forêt sans heures On abat un grand arbre. Un vide vertical Tremble en forme de fût Près du tronc étendu.
Cherchez, cherchez, oiseaux, La place de vos nids Dans ce haut souvenir Tant qu’il murmure encore.
O mon jardin d’eau fraîche et d’ombre Ma danse d’être mon cœur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s’il n’est de son amour Aveugle au jour d’après son jour Ses yeux sur toi seule fermés
Heureux celui qui meurt d’aimer Heureux celui qui meurt d’aimer
D’aimer si fort ses lèvres closes Qu’il n’ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n’en retient que tes couleurs Il lui suffit qu’il t’ait nommée
Heureux celui qui meurt d’aimer Heureux celui qui meurt d’aimer
Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L’éternité n’est qu’une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu’il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée
Heureux celui qui meurt d’aimer Heureux celui qui meurt d’aimer
Il a dit ô femme et s’achève Ainsi la vie, ainsi le rêve Et soit sur la place de grève Ou dans le lit accoutumé Jeunes amants vous dont c’est l’âge Entre la ronde et le voyage Fou s’épargnant qui se croit sage Criez à qui vous veut blâmer
Heureux celui qui meurt d’aimer Heureux celui qui meurt d’aimer
Je suis comme le roi d’un pays pluvieux, Riche, mais impuissant, jeune et pourtant très vieux, Qui, de ses précepteurs méprisant les courbettes, S’ennuie avec ses chiens comme avec d’autres bêtes. Rien ne peut l’égayer, ni gibier, ni faucon, Ni son peuple mourant en face du balcon. Du bouffon favori la grotesque ballade Ne distrait plus le front de ce cruel malade; Son lit fleurdelisé se transforme en tombeau, Et les dames d’atour, pour qui tout prince est beau, Ne savent plus trouver d’impudique toilette Pour tirer un souris de ce jeune squelette. Le savant qui lui fait de l’or n’a jamais pu De son être extirper l’élément corrompu,
Et dans ces bains de sang qui des Romains nous viennent, Et dont sur leurs vieux jours les puissants se souviennent, II n’a su réchauffer ce cadavre hébété Où coule au lieu de sang l’eau verte du Léthé
Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, Fatigués de porter leurs misères hautaines, De Palos de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres d’un rêve héroïque et brutal.
Ils allaient conquérir le fabuleux métal Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines, Et les vents alizés inclinaient leurs antennes Aux bords mystérieux du monde occidental.
Chaque soir, espérant des lendemains épiques, L’azur phosphorescent de la mer des Tropiques Enchantait leur sommeil d’un mirage doré ;
Où, penchés à l’avant de blanches caravelles, Ils regardaient monter en un ciel ignoré Du fond de l’Océan des étoiles nouvelles.
Golfes d’ombre ; E, candeur des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d’ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;
U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d’animaux, paix des rides Que l’alchimie imprime aux grands fronts studieux ;
O, suprême Clairon plein des strideurs étranges, Silence traversés des Mondes et des Anges : – O l’Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! –
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Dans la saga de bandes-dessinées intitulée "Complainte des Landes perdues", créée en 1993, apparaît un personnage sinistre et sanguinaire répondant au nom de Dame Gerfaut.
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1833 Mean Girls
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VITRAL
Esta vidriera ha visto damas y egregios pares —lucientes de oro y nácar, de grana y lazulita— derribar, bajo diestra suprema que consagra, las altivas cimeras, los chatos capirotes,
cuando al son de los cuernos y añafiles salían —empuñando tizona, gerifalte o neblí—, fuera al llano o al bosque, Bizancio o San Juan de Acre, a levantar las garzas o a la santa cruzada.
Ya los grandes señores junto a sus castellanas —con el lebrel echado ante los borceguíes— se tienden en las losas de mármol blanco y negro.
Enmudecidos yacen, sin ademán, y sordos, y con ojos de piedra miran siempre sin ver la rosa del vitral que se abre inmarcesible.
*
VITRAIL
Cette verrière a vu dames et hauts barons Étincelants d’azur, d’or, de flamme et de nacre, Incliner, sous la dextre auguste qui consacre, L’orgueil de leurs cimiers et de leurs chaperons ;
Lorsqu’ils allaient, au bruit du cor ou des clairons, Ayant le glaive au poing, le gerfaut ou le sacre, Vers la plaine ou le bois, Byzance ou Saint-Jean d’Acre, Partir pour la croisade ou le vol des hérons.
Aujourd’hui, les seigneurs auprès des châtelaines, Avec le lévrier à leurs longues poulaines, S’allongent aux carreaux de marbre blanc et noir ;
Ils gisent là sans voix, sans geste et sans ouïe, Et de leurs yeux de pierre ils regardent sans voir La rose du vitrail toujours épanouie.
José-Maria de Heredia
di-versión©ochoislas
#José-Maria Heredia#literatura francesa#poesía parnasiana#vidriera#yacentes#pasado#medievo#gloria#di-versiones©ochoislas
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Heinrich ZIMMER “Le Grand Complot” (Editions Gerfaut, 1971)
cover: Jordi Longaron
Heinrich Zimmer was a pen-name of french author P. Frank Fournel who used also the signature Franz Rheinhards for his war-fiction novels. PF Fournel wrote also some spy-fiction novels, published at Editions de la Corne d’Or (Monaco) & Editions du Grand Damier (Paris). In his novels signed Heinrich Zimmer, he sets in scene a soldier of the Wehrmacht named Hans Zimmer and pushes the reader to believe that it is about himself.
In "The Great Conspiracy" he revisits the failed attempt to liquidate Adolf Hitler followed by the ruthless elimination which deprived the Reich of many of its most capable military leaders.
source: amsaklapper
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Gli uomini perdonano e dimenticano mentre le donne perdonano e basta.
Philippe Gerfaut
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Gli uomini perdonano e dimenticano, mentre le donne perdonano e basta.
|| Philippe Gerfaut
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strong shape #gyrfalcon #whitegyrfalcon #feathers #wildlife #falconry #falcon #fauconnerie #gerfaut #gerifalte #instamood #guillermotorrent
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Que son règne vienne de Gilles MILO-VACERI
Que son règne vienne de Gilles MILO-VACERI
Le résumé des éditions du 38 – 06 mai 2019 : Décembre 2012, Bretagne. Un nouveau meurtrier sévit au pays des contes et des sombres légendes, des vents qui malmènent les cœurs et de la brume qui étouffe les âmes. Un meurtrier sans pitié, un meurtrier sacrilège. Un meurtrier qui s’en prend à la source même de la vie : les femmes enceintes. Quatre ont été retrouvées éventrées, le fœtus arraché à…
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#Editions du 38#Les enquêtes du commandant Gerfaut#Milo-Vacéri#Que son règne vienne#Thrillers et policiers
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Il était un petit navire…
Ante-scriptum : Je viens de me rendre compte qu’un ‘’Jn’oun, comme on disait dans mon enfance, a empêché ce ‘’billet’’ d’arriver. Pardon pour... je ne sais quelle cause
Mon Dieu ! Que d'histoires ont pu faire nos journalistes, pour un petit bateau de rien du tout. Ce pauvre Ocean Viking, qui n'est même pas un Drakkar et dont les passagers étaient tellement plus pacifiques que les autres vikings, ceux qui lui ont donné son nom (ou le leur), et laissé de si mauvais souvenirs partout où ils ont accosté… Tout ça pour 230 passagers, puisque quatre s'étaient offert l'hélicoptère, avant même tout débarquement, ce qui, avouez-le, a une autre gueule ! On dirait que nos ‘’journaleux’’ en mal de sensations ne savent même pas que c'est par centaines de mille par an que se comptent les arrivants indésirables. Alors… 234…
A la question “Où sont passés les migrants de l’Ocean Viking?”, la version officielle suffit à rendre heureux ceux qui avaient décidé de l'être. Et la réponse fuse, nette et précise comme un bobard gouvernemental (les plus savoureux, car les plus éhontés), et risible comme une confidence de Macron hier à Bangkok sur l'arrogance des français (venant de lui, c'est savoureux ! C'est le gag du maître qui se gausse de son élève !) : ils étaient 230 à débarquer le 11 novembre dans le port de Toulon, après que l'Italie ait sagement et prudemment refusé de leur ouvrir ses ports… déjà pleins ce jour-là, comme tous les autres jours de l'année de chaque année depuis la crise nerveuse de la Merkel. A partir de là, la version officielle ressemble aux jolis contes de fées de notre enfance, qui sont entre temps devenus des comptes de faits, par la magie de notre garde des sots (NDLR : on suppose que ce nom curieux vient de ce que seuls les sots ne se tirent pas, lorsqu'ils sont soumis à sa vigilance foireuse) ou à une tragédie de Corneille : “Ils arrivèrent 234 mais par un prompt effort, ils se virent zéro en arrivant au Fort” (le Cid… un peu).
Ce récit en passe de devenir une “Légende du siècle” raconte donc que la quasi-totalité de ces envahisseurs prêts à se sauver a été libérée –ou, plus exactement, s'est libérée toute seule en 3 ou 4 jours– pour des raisons variées. Tout d'abord, on nous a emboqué –façon “gavage d'oies dans le Périgord”– le roman d'horreur de ces 44 faux mineurs mensongèrement dits “isolés” et qu'il ne fallait surtout pas contrôler : la loi interdit leur maintien dans un centre de rétention. Du coup, 26 se sont “fait la belle” dès “H + 2”, comme un vol de gerfauts hors du charnier natal… (NDLR : j'écris ça pour qu'il reste un souvenir de notre belle langue, après la honteuse nomination à la tête de la francophonie (devenue par ce fait-même une entreprise de ‘’francophobie’’, par le manque total de grâce d'une chanteuse inconnue, émigrée en Belgique pour fuir la France –pour elle un pays invivable. Ce n'est pas sans bonne raison que je parlais hier des horreurs du progressisme ! J'espère que Macron va faire des cauchemars, pour un tel manque de jugeote).
Passons donc sur le récit inventé de ces (44 moins 26) enfants dont la moyenne d'âge doit être, sans doute, 25 à 30 ans. Ils paraissent moins… mais ils refusent tous le test de la radio du poignet… ce qui tendrait à démontrer qu'ils sont à peine moins mineurs… que moi. A côté de ces 44-26 = 22, il y en a 66 qui ont reçu l'autorisation d'entrer sur le territoire pour demander l'asile. Ils ne parlent pas un mot de français, ne connaissent aucun des critères qui vont avec le “vivre en France”, nous sont hostiles “par système”. Ils sont bien incapables de vivre d'autre chose que de nos allocations, ad vitam aeternam et s’en contre-foutent. ’‘Encore de vrais bons français dans le pipe-line’’... aurait ironisé mon ami le Roi Hassan II !
Il y en avait théoriquement 123 qui s'étaient vus refuser l'entrée sur le territoire et devaient donc rentrer chez eux (Compte là-dessus et bois de l'eau fraîche disait une expression très usitée dans ma lointaine jeunesse !). Evitant les “délais impartis”, ils sont… ‘’partis sans délai’’, évanouis dans la nature, introuvables à jamais… Une autre centaine a été laissée libre de quitter la zone d'attente sur une non-décision de non-justice, “les délais” (les juges étant trop contents de souligner leur manque d'effectifs… et, pour certains, de montrer qu'ils préféraient tous ces braves gens en France que n'importe où ailleurs dans le monde). De ceux qui ne figurent pas dans ce récit inventé de toutes pièces par Darmanin pour tenter de se dédouaner et se laver les mains, on serait sans nouvelles, dans la ridicule “zone d'attente exceptionnelle” de la presqu'île de Giens où ils avaient été transférés à grands frais…. qui sont maintenus, au cas où un ou deux d'entre eux, ayant raté leur train –ou leur correspondance à Strasbourg– décideraient de revenir, le temps de se refaire une petite santé, avent de repartir dès que possible. Le résultat : aujourd'hui, qui c'est qui se marre ? Meloni… Et qui c'est qui a l'air d'un… c-malin ? Pas Meloni ! Moralité : quand est-ce qu’on aura enfin un(e) vrai(e) président(e) ?
Assez de gens mieux renseignés et plus intelligents que moi ont hurlé de rire (un rire amer… mais il faut sauver la face !) devant cette histoire de cornecul : pour une fois qu'on connaît les détails sur une des mille mésaventures qui rendent le gouvernement ridicule à longueur de journée à l'étranger –sans que la presse vendue ne nous le raconte–, on ne va pas se priver de se foutre de sa gueule. Et pourtant… il existe un autre décompte possible, que le complotiste-fier-de-l'être que je suis a tendance à croire plus que la version officielle : le total de ces pseudo migrants qui se sont carapatés serait bien supérieur à ceux qui se trouvaient à bord de ce vaisseau fantôme, et ils ont été si nombreux à disparaître qu'on en aurait perdu le compte. Par exemple, sur les 44 mineurs débarqués, il s'en serait évaporé 88 dans la nature, et ainsi de suite. Au total, nous sommes lourdement débiteurs.
L'organisme spécialisé dans les faux bruits d'origine gouvernementale, l'ACDILMO (la célèbre Agence Chargée D'Inventer Les Mensonges Officiels) affirmerait, mais “off”, qu'il nous manquerait dans les 250 types, qui auraient disparu. C'est ce qui explique qu'en haut lieu, on attende avec une telle impatience le bateau suivant, en espérant que “la Meloni” ne nous fera pas le sale coup de le laisser accoster chez elle, celui-là, car là, on serait bien embêtés : il faudrait attendre le suivant et son suivant, et l'autre, après, pour solder notre “manque à s'installer”… En attendant, si l'immigration avait pu être “une chance pour la France”, comme “i” disent, qu'est-ce qu'on aurait paumé, comme sommes énormes non-dépensées, à une moyenne de 50 000 € par an et par faux mineur soi-disant non accompagné (quant au prix des adultes… “je vous dis pas”!). (NDLR : à 50 000 € par tête alors que le SMIC annuel est de 15 948,71 €, “y en a qui doivent s'en mettre plein les fouilles” ! On sait ce qu'il faut faire pour redresser les finances, baisser les impôts et tout sauver…).
Mais ça, ni le gouvernement (qui ment plus qu'il ne gouverne) ni la Nupes (qui a besoin de faux scandales pour exister) ne le supporteraient : ils sont “shootés” à l'entrée illégale de gens qui n'ont aucune raison de venir, rien à nous apporter, pas même envie de rester, pas le moindre affect et encore moins “d'affectio socletatis” ! Pour les prochains bateaux qui vont s'inviter sans invitation, nos grands hommes sont si contents qu'ils pensent envoyer la Garde Républicaine à cheval pour les escorter dans les eaux françaises… en plus des millions d'€ et des 600 personnes dilapidés, comme à Giens… On saura très bientôt combien… mais en gros, pas beaucoup plus que tous les jours depuis des années. Fluctuat et merditur, si j'ose.
H-Cl.
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