#geoges bataille
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sucharide · 24 days ago
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okay i know this isnt going to win me any friends in academia, but i miss when writing an essay meant skimming the conclusions of dozen papers whose abstracts sound kinda relevant. I'm reading Erotism: Death and Sensuality by Geoges Bataille, and I do think its very relevant to my research question (not quite as far as a thesis starement yet) and its so... exhausting. I mean the book itself is fascinating, but I dont have time to read a whole book, so i have to skim and find the relevant bits... but these kinds of books often feel like they require reading in their entirety to adequately understand their content.
Anyway. blaaah. I guess I need to hunt down some sunmaries? I just dont know really how to do essays at this level in any timely fashion.
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merzbow-derek · 8 years ago
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POST-SCRIPTUM 695
UNE RÉACTION À LA CRISE DE LA FORME
Ci-aprĂšs, un extrait d’un entretien avec Jacques Oger (Axolotl, Potlatch) faisant partie d’un ouvrage autour de l’underground musical en France ; ouvrage d’ailleurs quasi exclusivement constituĂ© d’interviews, entre autres avec Christian Vander, Jac Berrocal, Dominique Grimaud, Yann Goudon, Dominique RĂ©pĂ©caud, Jean-Marc Foussat, Bruno Meillier, Richard Pinhas, Michel Bulteau, Romain Perrot, Dominique Grimaud, JĂ©rĂŽme Noetinger, Daunik Lazro, Jean-Jacques Birgé  Une quarantaine Ă  peu prĂšs. Soit un peu de l’histoire de Catalogue, Magma, VidĂ©o-Aventures, Soixante Étages, Étage 34, M.I.M.E.O., Vomir, Etron Fou Leloublan, entre autres

EXTRAIT

Comment te présenter ?
J’ai commencĂ© Ă  Ă©couter Coltrane, Ornette Coleman, Archie Shepp, Hendrix, Zappa, vers 1966-1967. J’ai suivi de prĂšs le free jazz français au dĂ©but des annĂ©es 1970. J’ai dĂ©couvert la musique improvisĂ©e europĂ©enne vers 1975. Puis j’ai Ă©tĂ© saxophoniste et j’ai participĂ© au groupe Axolotl (l’un des tous premiers groupes de musique totalement improvisĂ©e en France) Ă  la fin des annĂ©es 1970.
J’ai aussi jouĂ© avec Jac Berrocal, Daunik Lazro, Jean-François Pauvros. Puis j’ai cessĂ© toute activitĂ© musicale vers 1985-1986. Jean-Marc Foussat, que je connais depuis vingt ans, a eu l’occasion d’enregistrer tous les musiciens de la scĂšne de la musique improvisĂ©e europĂ©enne. Nous avons crĂ©Ă© ensemble le label Potlatch.
Pourquoi choisir de le consacrer aux musiques improvisées ?
Depuis de nombreuses annĂ©es, les musiques improvisĂ©es agissent comme si elles Ă©taient le refoulĂ© des autres musiques qu’elles dynamitent de l’intĂ©rieur : le jazz, le rock, la musique contemporaine, l’électroacoustique. La plupart des musiques dominantes sont devenues ennuyeuses. Ne parlons pas des musiques « Ă  la mode », tristes Ă  mourir et tellement dĂ©nuĂ©es d’invention et d’imagination. Les majors ronronnent Ă  coups de rĂ©Ă©ditions faciles, et la plupart des journalistes, qui ne veulent surtout pas dĂ©ranger cet ordre Ă©tabli (sans doute afin de prĂ©server leur gagne-pain), se dĂ©culpabilisent en faisant de la pĂ©dagogie rĂ©dactionnelle, toujours avec un mĂ©tro de retard (sur l’histoire du jazz par exemple) – ce qui n’empĂȘche d’ailleurs pas l’inculture gĂ©nĂ©rale de progresser. Autre facette du mĂȘme phĂ©nomĂšne : on entend dire partout qu’il n’y a plus de grands gĂ©nies musicaux. Je dis : « Ras-le-bol ! » Aujourd’hui, pourquoi faudrait-il attendre d’hypothĂ©tiques nouveaux Coltrane ou Hendrix ? En fait ils sont lĂ  (et peu importe qu’ils aient ou non leur talent). La musique bouge, elle vit, il y a plein de choses extraordinaires Ă  Ă©couter. C’est le sens du titre du premier disque que nous avons produit sur Potlatch : No Waiting. Toutefois, je ne veux pas ĂȘtre non plus un inconditionnel de la musique improvisĂ©e, qui, elle aussi, peut parfois sombrer dans des styles figĂ©s (mal qui guette n’importe quelle musique). Elle ne doit pas ĂȘtre une fin en soi, et elle n’est pas immunisĂ©e contre le rĂ©pĂ©titif, le conformisme, le conventionnel. En revanche, l’improvisation totale (dont l’origine est Ă  trouver dans le free jazz) est une rĂ©action Ă  la crise de la forme de la musique occidentale en gĂ©nĂ©ral. Si on la considĂšre tout simplement comme une mĂ©thode appliquĂ©e Ă  n’importe quel matĂ©riau, elle peut conduire Ă  des expĂ©rimentations, des dĂ©couvertes extraordinaires. Les exemples – concerts, enregistrements – abondent. C’est un lieu trĂšs fertile qui attire des musiciens de pratiques trĂšs diffĂ©rentes: aussi bien Fred Frith, John Zorn que le noise rock japonais, Otomo Yoshihide et Keiji Haino par exemple. On peut juste regretter que ce mouvement, qui correspond Ă  ce qui se fait de plus riche en musique depuis plus de vingt-cinq ans, soit trop occultĂ© aujourd’hui. Avec Potlatch, Jean-Marc Foussat et moi voulons simplement nous battre pour mieux faire connaĂźtre cette musique. Comme d’autres le font aussi en France et bien que celle-ci soit gangrĂ©nĂ©e par des institutions sclĂ©rosĂ©es. Nous avons des artistes qui sont invitĂ©s dans de grands festivals Ă©trangers et qui n’ont pas la reconnaissance qu'ils mĂ©ritent ici. Je pense Ă  LĂȘ Quan Ninh et au quatuor HĂ©lios, Ă  Erik M., Michel Doneda, Jean-Luc Guionnet. Quand vous parlez avec Thurston Moore et Lee Ranaldo de Sonic Youth, ils ne jurent que par eux ! Sais-tu que l'un des plus grands innovateurs Ă  la guitare, Keith Rowe (AMM), habite prĂšs de Nantes et qu’il ne joue presque jamais en France ? Il faut que ce soit Sonic Youth qui l’invite en premiĂšre partie d'un concert ! Thurston Moore passait en public le disque de Derek Bailey et JoĂ«lle LĂ©andre sur Potlatch avant les concerts de leur tournĂ©e aux États-Unis ! J’espĂšre tout simplement que les recommandations qu’ils dĂ©livrent Ă  longueur d’interviews finiront par porter leurs fruits auprĂšs du public car je pense que, lorsqu’on aime Sonic Youth, on est prĂȘt Ă  aimer ces nouvelles musiques. Que souhaiter de mieux ?
Les choix du label sont politiques ?
Le dĂ©bat politique / musique est toujours d’actualitĂ©, Les musiques intĂ©ressantes doivent certes affronter un systĂšme Ă©conomique, mais elles reprĂ©sentent surtout un imaginaire qui est intrinsĂšquement dangereux pour les valeurs du systĂšme en place. Bien sĂ»r, je ne crois pas que c'est la musique qui va changer le monde, mais ces musiques sont par nature dĂ©rangeantes. Alors, pour en revenir Ă  Potlatch, ce nom fait rĂ©fĂ©rence Ă  une pratique souvent rencontrĂ©e dans les tribus indiennes d’AmĂ©rique du Nord, l’échange par le don, pratique Ă©tudiĂ©e par le pĂšre de l’ethnologie moderne, Marcel Mauss. Ce terme a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© utilisĂ© dans les annĂ©es 1950 par un groupe de l'Internationale lettriste pour..., ..., ...
( Jacques Oger, par lĂ  )
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callumleckie2017 · 4 years ago
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Geoges Bataille: Vision of Excess
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jesse12deng · 5 years ago
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Bataille. The word silence has a saying in itself, indicating itself, that was conceiving of knowing, and it must not be said to stop knowing. The sand made my eyes opened. Words were just used for escaping. When I stopped escaping, words brought me back to the state of escaping. This was true when I opened my eyes, but it should not be said, and I should remain dull as a fool.
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Geoges Bataille, L’Experience Interieure
‘Silence is a sound’
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heimatlosen · 8 years ago
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Escrevo para apagar meu nome.
Geoges Bataille
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alexktplt · 10 years ago
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A partir d'une ignoble souffrance, à nouveau, l'insolence qui, malgré tout, persiste de façon sournoise, grandit, d'abord lentement, puis, tout à coup, dans un éclat, elle m'aveugle et m'exalte dans un bonheur affirmé contre toute raison. Le bonheur à l'instant m'enivre, il me saoule. Je le crie, je le chante à pleine gorge. En mon coeur idiot, l'idiotie chante à gorge déployée. JE TRIOMPHE !
le bleu du ciel
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