#gaec
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cuteciboulette · 2 months ago
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I'm thinking about trying for a 1/2 NaNo this year (considering that November starts in 2h for me, I need to make a decision FAST XD). I figured a 1/2 NaNo would be a more achievable goal as I still remember how hard a full NaNo had been years ago, while writing in my native langage, with the support of friends (most of who were doing the NaNo too) the first time.
But I've been thinking about a multi chapter GW fic for a few weeks now, haven't touched the beginning of chapter 1 since that one time I've created the word doc, but I kinda really like Heero and Duo's relationship in it and if I want to give an actual chance to this fic, I obviously need an excuse to commit to it... consistently.
Realistically, even "only" 833,3 words a day is a laughable goal but the point is to really try to write a bit every day...
Am I really going to do this? oh gosh...
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nosbastidoresdopier · 1 year ago
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GEAC realiza fiscalização em agropecuårias para coibir venda ilegal de veneno
O Grupo Especial de Apoio Conjunto de Fiscalização Municipal (GEAC) realizou mais uma operação de fiscalização nesta quarta-feira (28). A ação, em conjunto com o Instituto Municipal do Meio Ambiente de Penha (IMAP), visa coibir a venda ilegal do veneno conhecido popularmente como “chumbinho”, apĂłs denĂșncias de mortes de cachorros por envenenamento no municĂ­pio. A ação ocorreu em diversos bairros

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haydryers-agricompact · 2 years ago
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#AgriCompact #haydryers invest in their clients, not in shows. 🍃🍃🍃 Have a good Hay! #dryhay 🍃🍃🍃 Francais/Italiano/Deutsche Website: www.agricompact-technologies.de English website: www.agricompact-technologies.com 🍃🍃🍃 #2023goals #2023strategy #gaec Thibault Roche - #elevage #charolais - #bourgognefranchecomte #hautesaone , #france https://www.instagram.com/p/CnaTtjksdaY/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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adamafera · 1 year ago
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starter para @dragnoess no grupo de apoio Ă s ex-criaturas
O conceito de tudo aquilo era um tanto quanto estranho a Adam. Sinceramente, ele precisava de uma pausa. Sentimentos sĂŁo fĂĄceis de lidar, alguĂ©m certa vez lhe dissera. Essa pessoa nĂŁo fazia ideia do que estava falando. Eram impossĂ­veis. Olhou, Ă  distĂąncia, para as outras pessoas do Grupo de Apoio Ă s Ex-Criaturas, o GAEC, e a reuniĂŁo quinzenal. "SerĂĄ que em algum momento ser humano fica mais... fĂĄcil?" Ele perguntou para a pessoa que tambĂ©m se afastara. "Às vezes me pergunto se ser uma besta nĂŁo era muito melhor."
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oenodyssee · 1 year ago
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Numéro double
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Chez Jocelyne et GĂ©rald Oustric // Gaec du Mazel // ValvignĂšres // ArdĂšche // CĂŽte-du-RhĂŽne // 20 hectares
Saint-ThomĂ©. Descendre du car. Retirer l’étuis rouge de la soute. L’étui en forme de L qui intrigue tant les voyageurs des trains et des bus que j’emprunte pour aller et venir entre Bordeaux et les lieux oĂč je laisse mon vĂ©lo. De plus en plus souvent on ose me demander ce que le L contient. Mes rĂ©ponses varient. Aux enfants, je rĂ©ponds : - Un T . Aux vieux soupçonneux, je parle d’arme, de sulfateuse. Aux jeunes couples j’avance : - ma partenaire. Aux rĂȘveurs de tous Ăąges j’etcĂ©tĂšre : - un autre Ă©tui (mais plus grand) contenant lui-mĂȘme un autre Ă©tui (mais plus grand) contenant lui-mĂȘme
 Il arrive aussi que, pour rester vague,  je parle d’instrument.
Quelle est la vĂ©rité ? J’hĂ©site moi-mĂȘme. Disons que quelque chose se prĂ©cise au fil des jours. DĂ©mĂȘler. La housse en L taillĂ©e dans une bĂąche Ă©tanche incarnat contient en effet un coffre en cuir rigide de forme identique et fermĂ© par des sangles Ă  boucles, lequel contient en effet un cep de syrah en forme de T (tourmentĂ©) grĂ©Ă© en instrument de musique Ă©lectronique et informatique – que j’appelais encore mĂ©taphorminx ou hypercep avant d’arriver chez Jocelyne Oustric, il y a un mois. Jocelyne prĂ©cisĂ©ment dont la voiture se gare Ă  ma hauteur.
On fait maintenant route vers ValvignĂšres oĂč se trouvent les vingt hectares de vignes dont ma trĂšs sympathique conductrice s’occupe avec son frĂšre GĂ©rald. Cette fois, ni domaine, ni chĂąteau, ni mas, ni ferme mais GAEC. Le GAEC du Mazel. Si l’acronyme (Groupement Agricole d’Exploitation en Commun) fleure un peu techno, la rĂ©alitĂ© est qu’il permet Ă  un petit groupe de professionnels (de 2 Ă  10) de s’associer au sein d’une entreprise tournĂ©e vers l’agriculture. Des frĂšres et sƓurs par exemple.
« Au dĂ©part, m’avait expliquĂ© Jocelyne lors de ma premiĂšre visite, GĂ©rald Ă©tait tout seul. Il avait repris l’exploitation de notre pĂšre et livrait le raisin Ă  la coopĂ©rative. Comme la plupart des vignerons de son entourage il pensait ne pas aimer le vin et buvait surtout du Ricard. » Jusqu’à ce qu’au hasard d’un passage en Beaujolais il rencontre Marcel Lapierre, pionnier du vin nature, et goĂ»te ses canons. « LĂ , il a tout de suite aimé  Ensemble ils ont essayĂ© de convaincre la coopĂ©rative de prendre le virage du nature ; ils y croyaient vraiment, mais c’était peine perdue et Marcel a fini par dire Ă  mon frĂšre : - si tu veux boire ton vin, sors de la coopĂ©rative. » À cette pĂ©riode, Jocelyne s’est Ă©loignĂ©e de ValvignĂšres. AprĂšs avoir rĂȘvĂ© de devenir sage-femme, elle a passĂ© plusieurs annĂ©es Ă  Londres.  « J’ai quand mĂȘme fini par revenir en ArdĂšche oĂč j’ai trouvĂ© un boulot dans une entreprise informatique. C’est Ă  ce moment, en 1998, que GĂ©rald m’a proposĂ© de monter le GAEC. Au dĂ©part on faisait tout ensemble, la taille, les vinifes, tout ça. Ce qui m’allait trĂšs bien vu je n’avais pas fait d’études agricoles. Ensuite j’ai eu mes enfants et je me suis plus concentrĂ©e sur la partie administrative. »
La voiture quitte maintenant la route pour emprunter un chemin bordĂ© de vignes. Nous grimpons jusqu’à la forĂȘt encore quasi mĂ©diterranĂ©enne qui coiffe le coteau et nous arrĂȘtons un plus bas, devant le grand chai du GAEC. Dans l’entrĂ©e deux piles de cartons remplis de bouteilles Ă©changĂ©es avec d’autres vignerons. La premiĂšre pile en provenance de Mulhouse oĂč GĂ©rald Ă©tait en salon les deux jours prĂ©cĂ©dents. La seconde de Latour de France d’oĂč sa sƓur revient pour la mĂȘme raison. Plus loin, le grand pressoir mĂ©canique dĂ©diĂ© Ă  certaines cuvĂ©es pour la qualitĂ© des jus qu’il produit, les cuves inox chemisĂ©es avec tempĂ©rature rĂ©versible puis, un Ă©tage au-dessous, quelques contenants devenus inutiles depuis la rĂ©duction du domaine : « on est passĂ© de 30 Ă  20 hectares il y a dix ans et on se demande souvent pourquoi on ne l’a pas fait plus tĂŽt » ; le monte-charge, vestige des conseils de l’Ɠnologue vagabond Jacques NĂ©auport qui Ă©tait contre le pompage « qui abime l’intĂ©gritĂ© molĂ©culaire des jus », aujourd’hui remplacĂ© par une pompe pĂ©ristaltique ayant les mĂȘmes qualitĂ©s.  « Comme Marcel, Jacques nous a beaucoup aidĂ©s, encouragĂ©s. Il faut dire qu’à l’époque on Ă©tait trĂšs isolĂ©s ici. Personne ne comprenait ce que nous faisions. Ce n’est plus le cas maintenant, de nouveaux vignerons comme Anders Frederik Steen et GĂ©raldine Croizier que tu as rencontrĂ©s le soir de ta performance sont arrivĂ©s, on peut discuter s’échanger des avis, dĂ©guster ensemble. »
Oui, le soir de ma performance. Se remĂ©morer.  Nous Ă©tions quelques-uns devant la maison de Jocelyne installĂ©s en cercle entre de vieilles vignes de grenache et une parcelle de cinsault plus juvĂ©nile. On discutait de la chaleur extrĂȘme qui avait sĂ©vit pendant les vendanges, nĂ©cessitant – premiĂšre ! - de reloger les Ă©quipes au camping municipal, Ă  l’ombre de ses grands arbres. De l’épuisement, lui aussi exceptionnel qui en avait rĂ©sultĂ©. Jocelyne avait servi La cuvĂ©e Les LĂšches 2021, grenache blanc, sĂ©millon, sauvignon dont j’admirais la robe dorĂ©e parfaitement accordĂ©e Ă  la blondeur concentrĂ©e de cette soirĂ©e d’automne.
Je m’inquiĂ©tais cependant du dĂ©clin de la lumiĂšre, espĂ©rant qu’il en resterait assez pour la partie du texte dont je confie la lecture au public. On attendait encore quelqu’un, Anders, qu’on entendit finalement dĂ©bouler de loin, deux bouteilles s’entrechoquant dans sa besace. Le dernier convive assis et servi, je pouvais sortir la mĂ©taphorminx de son Ă©tui. Et lĂ , – effet secondaire des LĂšches ? – au lieu d’actionner la flĂ»te de l’hypercep comme je le fais souvent en prĂ©ambule de Rhapsode, je me suis entendu prĂ©senter – premiĂšre ! – cette vieille syrah comme une partenaire. Expliquer. Comment tous les flux de sĂšve, tous ses Ă©lans vĂ©gĂ©tatifs, tout le stop and go de la taille, des travaux en vert et de la rĂ©colte, toute cette mĂ©moire en apparence pĂ©trifiĂ©e dans le bois et la contorsion de ses formes Ă©tait encore active et, pourvu qu’on se laisse bouger, activante. Comment je l’avais dĂ©couvert et comment je tachais Ă  prĂ©sent d’explorer la partition chorĂ©graphique potentielle proposĂ©e continĂ»ment par ma cavaliĂšre.
Quelle nouvelle, prise, nouvelle passe – premiĂšre ! – Ă©tait alors apparue, dans le jour dĂ©clinant, les lectures dĂ©licates Ă©clairĂ©es finalement au photophore, la fraicheur de la nuit, le silence un instant retrouvĂ© avant les joies du banquet ? Quel ajout au pas de deux ? Un baptĂȘme, je crois, au Mazel. Dire. Le prĂ©nom soudain rĂ©vĂ©lĂ© de l’instrument : MĂ©dĂ©e.  
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lonestarflight · 2 months ago
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The full-size Mockup Apollo Lunar Module (M-5) at Grumman Aircraft Engineering Corporation’s facility in Bethpage, Long Island, New York.
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"The space-suited test subject demonstrates entry through the forward hatch of the Lamar Excursion Module (LEM) M-5 Mock-up."
Note: "the laid out components, photos, graphics, schematics, displays, etc. of LEM systems. I assume for VIP/NASA visitations/presentations in conjunction with their attendance at testing, evaluations, meetings, conferences, etc."
Mike Acs's Collection
Date: October 13, 1964
GAEC photo no. 641261
NASA ID: S64-38816, S64-38816
Long Island Daily Press Identifier: aql:31431 ldp-000249 ldp-000249
Ryan Aeronautical Co. photo: no. 83141, link
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actu-juridique · 19 days ago
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France, Cour administrative d'appel de NANCY, 5Úme chambre, 03 décembre 2024, 21NC00073
https://justifiable.fr/?p=2417 https://justifiable.fr/?p=2417 #21NC00073 #5Ăšme #administrative #chambre #Cour #dappel #dĂ©cembre #France #NANCY Vu la procĂ©dure suivante : ProcĂ©dure contentieuse antĂ©rieure : M. B
 D
, Mme G
 D
, M. L
 D
, Mme O
 E
, Mme N
 A
, Mme P
 D
, M. J
 D
, M. H
 K
 et M. I
 K
 ont demandĂ© au tribunal administratif de Besançon d’annuler, d’une part, l’arrĂȘtĂ© du 10 juillet 2018 par lequel le maire des Ecorces a dĂ©livrĂ© un permis de construire au groupement agricole d’exploitation en commun C
 du PrĂ© Louvet et, d’autre part, la dĂ©cision du 5 novembre 2018 par laquelle le maire des Ecorces a rejetĂ© leur recours gracieux tendant au retrait de ce permis de construire. Par un jugement n° 1802298 du 9 juillet 2020, le tribunal administratif de Besançon a, sur le fondement des dispositions de l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme, sursis Ă  statuer sur les conclusions de la demande de M. D
 et autres et fixĂ© Ă  la commune des Ecorces un dĂ©lai de trois mois pour justifier de la dĂ©livrance d’un permis de construire permettant la rĂ©gularisation de l’arrĂȘtĂ© du 10 juillet 2018. Par un arrĂȘtĂ© du 18 septembre 2020, le maire des Ecorces a dĂ©livrĂ© un permis de construire modificatif au groupement agricole d’exploitation en commun C
 du PrĂ© Louvet. Par un jugement n° 1802298 du 12 novembre 2020, le tribunal administratif de Besançon a rejetĂ© la demande M. D
 et autres. ProcĂ©dure devant la cour : Par une requĂȘte, enregistrĂ©e le 11 janvier 2021, un mĂ©moire en rĂ©plique, enregistrĂ© le 3 mai 2021 et un mĂ©moire, enregistrĂ© le 18 octobre 2024, M. B
 D
, Mme G
 D
, M. L
 D
, Mme O
 E
, Mme N
 A
, Mme P
 D
, M. J
 D
, M. H
 K
 et M. I
 K
, reprĂ©sentĂ©s par Me Devevey, demandent Ă  la cour : 1°) de rĂ©former ces jugements du tribunal administratif de Besançon du 9 juillet 2020 et du 12 novembre 2020 ; 2°) d’annuler les arrĂȘtĂ©s du 10 juillet 2018 et du 18 septembre 2020 ainsi que la dĂ©cision du 5 novembre 2018 ; 3°) de mettre Ă  la charge de la commune des Ecorces le versement, Ă  chacun, d’une somme de 500 € au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. Ils soutiennent que : – le mĂ©moire prĂ©sentĂ© par M. et Mme C
, faute de l’ĂȘtre par un avocat, est irrecevable et doit ĂȘtre Ă©cartĂ© des dĂ©bats ; – le jugement du 9 juillet 2020 est irrĂ©gulier, faute que les parties aient Ă©tĂ© invitĂ©es Ă  prĂ©senter des observations sur l’éventualitĂ© de l’application de l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme ; – le jugement du 12 novembre 2020 est irrĂ©gulier en consĂ©quence de l’irrĂ©gularitĂ© du jugement du 9 juillet 2020 ; – ils justifient d’un intĂ©rĂȘt Ă  agir ; – l’article R. 431-8 du code de l’urbanisme est mĂ©connu ; – un permis d’amĂ©nager, et non une dĂ©claration de division, Ă©tait nĂ©cessaire ; – les articles L. 122-5 et L. 122-6 du code de l’urbanisme sont mĂ©connus ; – les articles L. 122-10 et L. 122-11 du code de l’urbanisme sont mĂ©connus ; – l’article R. 111-2 du code de l’urbanisme est mĂ©connu ; – les articles R. 111-5 et R. 111-6 du code de l’urbanisme sont mĂ©connus ; – un hangar agricole n’est pas nĂ©cessaire pour l’exploitation du groupement agricole d’exploitation en commun C
 du PrĂ© Louvet ; – la carte communale est en consĂ©quence mĂ©connue ; – l’article L. 111-3 du code rural et de la pĂȘche maritime est mĂ©connu ; – l’article R. 111-14 du code de l’urbanisme est mĂ©connu ; Par des mĂ©moires en dĂ©fense, enregistrĂ©s le 3 mars 2021, le 23 septembre 2024 et le 24 octobre 2024, la commune des Ecorces, reprĂ©sentĂ©e par la SELARL Brocard-Gire, conclut au rejet de la requĂȘte et Ă  ce que soit mis Ă  la charge de l’indivision D
 le versement de la somme de 3 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. Elle soutient que : – l’indivision D
 ne justifie pas d’un intĂ©rĂȘt Ă  agir en annulation du permis de construire contestĂ© ; – les moyens de la requĂȘte ne sont pas fondĂ©s. Par un mĂ©moire, enregistrĂ© le 11 octobre 2024, le GAEC C
 du PrĂ© Louvet ainsi que M. F
 C
 et Mme M
 C
 font valoir que la construction autorisĂ©e a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e, ne prĂ©sente aucune difficultĂ© et a toute sa place Ă  cet endroit, dans la continuitĂ© de leur exploitation agricole. Par une lettre du 1er octobre 2024, les parties ont, en application des dispositions de l’article R. 611-7 du code de justice administrative, Ă©tĂ© informĂ©es que la dĂ©cision Ă  rendre est susceptible d’ĂȘtre fondĂ©e sur le moyen relevĂ© d’office tirĂ© de ce que les conclusions de la requĂȘte dirigĂ©es contre le jugement avant dire droit du 9 juillet 2020 en tant qu’il met en Ɠuvre l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme, privĂ©es d’objet par la dĂ©livrance du permis de construire modificatif du 18 septembre 2020, sont irrecevables. Par un mĂ©moire, enregistrĂ© le 18 octobre 2024, M. B
 D
 et autres ont prĂ©sentĂ© des observations en rĂ©ponse Ă  la lettre du 1er octobre 2024. Ils font valoir que leurs conclusions dirigĂ©es contre le jugement du 9 juillet 2020 sont recevables. Vu les autres piĂšces du dossier. Vu : – le code rural et de la pĂȘche maritime ; – le code de l’urbanisme ; – la loi n° 85-30 du 9 janvier 1985 ; – le code de justice administrative. Les parties ont Ă©tĂ© rĂ©guliĂšrement averties du jour de l’audience. Ont Ă©tĂ© entendus au cours de l’audience publique : – le rapport de M. Durup de Baleine, – les conclusions de Mme Bourguet-Chassagnon, rapporteure publique, – les observations de Me Devevey, pour M. B
 D
 et autres, – les observations de Me Maurin, pour la commune des Ecorces. ConsidĂ©rant ce qui suit : 1. Par un arrĂȘtĂ© du 10 juillet 2018, le maire des Ecorces a dĂ©livrĂ© au groupement agricole d’exploitation en commun (GAEC) C
 du PrĂ© Louvet un permis de construire l’autorisant, sur une unitĂ© fonciĂšre d’une superficie de 717 m2 constituĂ©e par la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 195 au lieu-dit PrĂ© Louvet du Bas, Ă  Ă©difier une construction Ă  usage de rangement de matĂ©riel agricole, d’une surface de plancher de 235, 04 m2. 2. Par un jugement avant dire droit du 9 juillet 2020, le tribunal administratif de Besançon a, en application des dispositions de l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme, sursis Ă  statuer sur la demande de M. B
 D
 et autres, formant l’indivision D
, tendant Ă  l’annulation de ce permis de construire et de la dĂ©cision du maire des Ecorces du 5 novembre 2018 rejetant le recours gracieux prĂ©sentĂ© le 6 septembre 2018 tendant au retrait de ce permis et fixĂ© Ă  trois mois le dĂ©lai imparti Ă  la commune des Ecorces pour justifier d’un permis de construire permettant la rĂ©gularisation de l’arrĂȘtĂ© du 10 juillet 2018. Par un arrĂȘtĂ© du 18 septembre 2020, le maire des Ecorces a dĂ©livrĂ© un permis de construire modificatif au GEAC C
 du PrĂ© Louvet et, par un jugement du 12 novembre 2020, le tribunal administratif de Besançon a rejetĂ© la demande de l’indivision D
, qui relĂšve appel de ces deux jugements. 3. Aux termes du premier alinĂ©a de l’article R. 811-7 du code de justice administrative :  » Sous rĂ©serve des dispositions de l’article L. 774-8, les appels ainsi que les mĂ©moires dĂ©posĂ©s devant la cour administrative d’appel doivent ĂȘtre prĂ©sentĂ©s, Ă  peine d’irrecevabilitĂ©, par l’un des mandataires mentionnĂ©s Ă  l’article R. 431-2. « . Selon ce dernier :  » Les requĂȘtes et les mĂ©moires doivent, Ă  peine d’irrecevabilitĂ©, ĂȘtre prĂ©sentĂ©s soit par un avocat, soit par un avocat au Conseil d’Etat et Ă  la Cour de cassation (
) « . 4. Ainsi que le font valoir les requĂ©rants par leur mĂ©moire enregistrĂ© le 18 octobre 2024 et qui a Ă©tĂ© communiquĂ© aux intimĂ©s, le mĂ©moire enregistrĂ© le 11 octobre 2024 produit par le GAEC C
 du PrĂ© Louvet n’a pas Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© par un avocat ou un avocat au Conseil d’Etat et Ă  la Cour de cassation. Il en rĂ©sulte que ce mĂ©moire n’est pas recevable et qu’il y a lieu de l’écarter des dĂ©bats. Sur la rĂ©gularitĂ© des jugements attaquĂ©s : 5. Aux termes de l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme :  » Sans prĂ©judice de la mise en Ɠuvre de l’article L. 600-5, le juge administratif qui, saisi de conclusions dirigĂ©es contre un permis de construire, de dĂ©molir ou d’amĂ©nager ou contre une dĂ©cision de non-opposition Ă  dĂ©claration prĂ©alable estime, aprĂšs avoir constatĂ© que les autres moyens ne sont pas fondĂ©s, qu’un vice entraĂźnant l’illĂ©galitĂ© de cet acte est susceptible d’ĂȘtre rĂ©gularisĂ©, sursoit Ă  statuer, aprĂšs avoir invitĂ© les parties Ă  prĂ©senter leurs observations, jusqu’à l’expiration du dĂ©lai qu’il fixe pour cette rĂ©gularisation, mĂȘme aprĂšs l’achĂšvement des travaux. Si une mesure de rĂ©gularisation est notifiĂ©e dans ce dĂ©lai au juge, celui-ci statue aprĂšs avoir invitĂ© les parties Ă  prĂ©senter leurs observations. Le refus par le juge de faire droit Ă  une demande de sursis Ă  statuer est motivĂ©. « . Aux termes de l’article L. 600-5-2 du mĂȘme code :  » Lorsqu’un permis modificatif, une dĂ©cision modificative ou une mesure de rĂ©gularisation intervient au cours d’une instance portant sur un recours dirigĂ© contre le permis de construire, de dĂ©molir ou d’amĂ©nager initialement dĂ©livrĂ© ou contre la dĂ©cision de non-opposition Ă  dĂ©claration prĂ©alable initialement obtenue et que ce permis modificatif, cette dĂ©cision modificative ou cette mesure de rĂ©gularisation ont Ă©tĂ© communiquĂ©s aux parties Ă  cette instance, la lĂ©galitĂ© de cet acte ne peut ĂȘtre contestĂ©e par les parties que dans le cadre de cette mĂȘme instance. « . 6. Lorsqu’un tribunal administratif , aprĂšs avoir Ă©cartĂ© comme non fondĂ©s les autres moyens de la requĂȘte, a retenu l’existence d’un ou plusieurs vices entachant la lĂ©galitĂ© du permis de construire, de dĂ©molir ou d’amĂ©nager dont l’annulation lui Ă©tait demandĂ©e et, aprĂšs avoir estimĂ© que ce ou ces vices Ă©taient rĂ©gularisables par un permis modificatif, a dĂ©cidĂ© de surseoir Ă  statuer en faisant usage des pouvoirs qu’il tient de l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme pour inviter l’administration Ă  rĂ©gulariser ce vice, l’auteur du recours formĂ© contre le permis est recevable Ă  faire appel de ce jugement avant dire droit en tant qu’il a Ă©cartĂ© comme non fondĂ©s les moyens dirigĂ©s contre l’autorisation d’urbanisme initiale et Ă©galement en tant qu’il a fait application de l’article L. 600-5-1. Toutefois, Ă  compter de l’intervention de la mesure de rĂ©gularisation dans le cadre du sursis Ă  statuer prononcĂ© par le jugement avant dire droit, les conclusions dirigĂ©es contre ce jugement en tant qu’il met en Ɠuvre les pouvoirs que le juge tient de l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme sont privĂ©es d’objet. 7. A la suite du jugement du 9 juillet 2020, un permis de construire modificatif, destinĂ© Ă  rĂ©gulariser les vices du permis de construire du 10 juillet 2018 dont fait Ă©tat ce jugement, a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ© le 18 juillet 2020 au GAEC C
 du PrĂ© Louvet. DĂšs lors, les conclusions de la requĂȘte, qui conteste notamment la rĂ©gularitĂ© du jugement du 9 juillet 2020 en ce qu’il a dĂ©cidĂ© de surseoir Ă  statuer sur le fondement de l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme, tendant Ă  l’annulation de ce jugement, en tant qu’il met en Ɠuvre les pouvoirs que le juge tient de cet article, ne sont pas recevables. 8. Il en rĂ©sulte que les requĂ©rants ne peuvent utilement, Ă  l’appui de leurs conclusions dirigĂ©es contre le jugement du 9 juillet 2020, soutenir que les premiers juges ont commis une irrĂ©gularitĂ© en s’abstenant d’inviter, comme le prĂ©voit l’article L. 600-5-1 du code de l’urbanisme, les parties Ă  prĂ©senter des observations sur l’éventualitĂ© de la mise en Ɠuvre de cet article au motif que, la commune ayant elle-mĂȘme sollicitĂ©, le cas Ă©chĂ©ant, son application – ainsi qu’elle l’avait effectivement fait dans son mĂ©moire en dĂ©fense enregistrĂ© le 5 fĂ©vrier 2019 -, les parties ont ainsi eu la possibilitĂ© de prĂ©senter leurs observations sur ce point. En outre, le vice propre ainsi allĂ©guĂ© quant Ă  la rĂ©gularitĂ© du ce jugement est sans incidence sur la rĂ©gularitĂ© du jugement du 12 novembre 2020. 9. Il ressort des piĂšces du dossier que, postĂ©rieurement Ă  l’intervention du jugement du 9 juillet 2020, la commune des Ecorces a produit le permis de construire modificatif du 18 septembre 2020 Ă  l’appui d’un mĂ©moire complĂ©mentaire enregistrĂ© le 23 septembre 2020 et qui a Ă©tĂ© communiquĂ©, avec la piĂšce ainsi jointe, Ă  l’indivision D
, communication dont il a Ă©tĂ© accusĂ© de la rĂ©ception le 25 septembre 2020. Cette communication invitait ce demandeur Ă  prĂ©senter les observations que, le cas Ă©chĂ©ant, ce mĂ©moire appellerait de sa part. Il en rĂ©sulte que l’indivision D
 a Ă©tĂ© invitĂ©e Ă  prĂ©senter des observations sur la mesure de rĂ©gularisation ce faisant notifiĂ©e au juge. DĂšs lors, le jugement du 12 novembre 2020 n’est pas entachĂ© de l’irrĂ©gularitĂ© dont il lui est fait grief sur ce point. Sur le bien-fondĂ© des jugements attaquĂ©s : En ce qui concerne la composition du dossier de demande de permis de construire : 10. Aux termes de l’article R. 431-7 du code de l’urbanisme :  » Sont joints Ă  la demande de permis de construire : / a) Un plan permettant de connaĂźtre la situation du terrain Ă  l’intĂ©rieur de la commune ; / b) Le projet architectural dĂ©fini par l’article L. 431-2 et comprenant les piĂšces mentionnĂ©es aux articles R. 431-8 Ă  R. 431-12. « . Aux termes de l’article R. 431-8 du mĂȘme code :  » Le projet architectural comprend une notice prĂ©cisant : / 1° L’état initial du terrain et de ses abords indiquant, s’il y a lieu, les constructions, la vĂ©gĂ©tation et les Ă©lĂ©ments paysagers existants ; / 2° Les partis retenus pour assurer l’insertion du projet dans son environnement et la prise en compte des paysages, faisant apparaĂźtre, en fonction des caractĂ©ristiques du projet : / a) L’amĂ©nagement du terrain, en indiquant ce qui est modifiĂ© ou supprimĂ© ; / b) L’implantation, l’organisation, la composition et le volume des constructions nouvelles, notamment par rapport aux constructions ou paysages avoisinants ; / c) Le traitement des constructions, clĂŽtures, vĂ©gĂ©tations ou amĂ©nagements situĂ©s en limite de terrain ; / d) Les matĂ©riaux et les couleurs des constructions ; / e) Le traitement des espaces libres, notamment les plantations Ă  conserver ou Ă  crĂ©er ; / f) L’organisation et l’amĂ©nagement des accĂšs au terrain, aux constructions et aux aires de stationnement. « . 11. La circonstance que le dossier de demande de permis de construire ne comporterait pas l’ensemble des documents exigĂ©s par les dispositions du code de l’urbanisme, ou que les documents produits seraient insuffisants, imprĂ©cis ou comporteraient des inexactitudes, n’est susceptible d’entacher d’illĂ©galitĂ© le permis de construire qui a Ă©tĂ© accordĂ© que dans le cas oĂč les omissions, inexactitudes ou insuffisances entachant le dossier ont Ă©tĂ© de nature Ă  fausser l’apprĂ©ciation portĂ©e par l’autoritĂ© administrative sur la conformitĂ© du projet Ă  la rĂ©glementation applicable. 12. Il ressort des piĂšces du dossier que la demande de permis de construire dĂ©posĂ©e le 12 avril 2018, complĂ©tĂ©e par celle de permis de construire modificatif dĂ©posĂ©e le 25 aoĂ»t 2020, dĂ©crit, par les mentions littĂ©rales de la notice descriptive ainsi que quatre photographies, de maniĂšre suffisamment prĂ©cise l’état initial du terrain et de ses abords. Il ne ressort pas du dossier que la mention de cette notice selon laquelle on ne trouve aucun arbre sur la parcelle formant le terrain d’assiette du projet serait matĂ©riellement inexacte. La construction existante au nord-est sur la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 194 n’étant pas situĂ©e en limite avec la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 195, le pĂ©titionnaire n’avait pas Ă  prĂ©ciser le traitement de cette construction. La construction autorisĂ©e est, en revanche, implantĂ©e en limite de ces deux parcelles et la demande en prĂ©cise les caractĂ©ristiques et l’aspect, notamment de la façade nord-est. Cette demande prĂ©cise Ă©galement, de maniĂšre suffisante, le traitement des espaces de cette parcelle laissĂ©s libres par l’emprise au sol, de 248 m2, de la construction, en particulier par l’amĂ©nagement d’une plate-forme et il est spĂ©cifiĂ© que le terrain sera terrassĂ© afin d’obtenir un niveau constant et recouvert par du gravier calcaire sur la partie du projet et sur la place de retournement nĂ©cessaire pour les engins agricoles. La notice descriptive ajoute que les talus Ă  crĂ©er reprendront la forme des existants, qui seront adoucis puis vĂ©gĂ©talisĂ©s pour mieux rattraper la forme du terrain naturel. La demande de permis de construire, ainsi complĂ©tĂ©e, comporte la description des conditions d’accĂšs au terrain, comme Ă  la construction autorisĂ©e, depuis la voie rurale n° 1 dite du PrĂ© Louvet, dite aussi chemin communal du PrĂ© Louvet ou rue du PrĂ© Louvet, au moyen de la servitude de passage consentie par la commune des Ecorces sur la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 193 par acte authentique du 10 janvier 2019. Cet accĂšs est figurĂ© sur le plan de masse au 1/500 et trois des quatre photographies prĂ©sentĂ©es en figurent la localisation. Il en rĂ©sulte que cette demande satisfait aux exigences des a), c), e) et f) de l’article R. 431-8 du code de l’urbanisme. Par suite, le moyen, qui manque en fait, tirĂ© de la mĂ©connaissance de ces dispositions doit ĂȘtre Ă©cartĂ©. 13. Aux termes de l’article L. 442-1 du code de l’urbanisme :  » Constitue un lotissement la division en propriĂ©tĂ© ou en jouissance d’une unitĂ© fonciĂšre ou de plusieurs unitĂ©s fonciĂšres contiguĂ«s ayant pour objet de crĂ©er un ou plusieurs lots destinĂ©s Ă  ĂȘtre bĂątis. « . Une opĂ©ration d’amĂ©nagement ayant pour effet la division d’une propriĂ©tĂ© fonciĂšre en plusieurs lots constitue un lotissement, au sens de l’article L. 442-1 du code de l’urbanisme, s’il est prĂ©vu d’implanter des bĂątiments sur l’un au moins de ces lots. 14. Aux termes de l’article L. 442-2 du code de l’urbanisme :  » Un dĂ©cret en Conseil d’Etat prĂ©cise, en fonction de la localisation de l’opĂ©ration ou du fait que l’opĂ©ration comprend ou non la crĂ©ation de voies, d’espaces ou d’équipements communs, les cas dans lesquels la rĂ©alisation d’un lotissement doit ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ©e d’un permis d’amĂ©nager. « . Selon l’article L. 442-3 de ce code :  » Les lotissements qui ne sont pas soumis Ă  la dĂ©livrance d’un permis d’amĂ©nager doivent faire l’objet d’une dĂ©claration prĂ©alable. « . 15. Aux termes de l’article R. 421-19 du code de l’urbanisme :  » Doivent ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ©s de la dĂ©livrance d’un permis d’amĂ©nager : / a) Les lotissements : / – qui prĂ©voient la crĂ©ation ou l’amĂ©nagement de voies, d’espaces ou d’équipements communs Ă  plusieurs lots destinĂ©s Ă  ĂȘtre bĂątis et propres au lotissement. Les Ă©quipements pris en compte sont les Ă©quipements dont la rĂ©alisation est Ă  la charge du lotisseur ; / (
) « . L’article R. 421-23 de ce code Ă©nonce que :  » Doivent ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ©s d’une dĂ©claration prĂ©alable les travaux, installations et amĂ©nagements suivants : / a) Les lotissements autres que ceux mentionnĂ©s au a de l’article R. 421-19 ; / (
) « . L’article R. 442-2 dispose que :  » Lorsqu’une construction est Ă©difiĂ©e sur une partie d’une unitĂ© fonciĂšre qui a fait l’objet d’une division, la demande de permis de construire tient lieu de dĂ©claration prĂ©alable de lotissement dĂšs lors que la demande indique que le terrain est issu d’une division. « . 16. Il ressort des piĂšces du dossier que la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 195, terrain d’assiette du projet, que M. C
 a acquise auprĂšs de la commune des Ecorces le 24 juillet 2017, est issue de la division en trois parcelles, cadastrĂ©es section AD n°s 193, 194 et 195, de la parcelle anciennement cadastrĂ©e section AD n° 10, qui Ă©tait d’une contenance de 2 660 m2. La commune a, par un acte authentique, consenti au GAEC intimĂ© une servitude de passage sur la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 193, permettant l’accĂšs de la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 10 au chemin communal du PrĂ© Louvet. Contrairement Ă  ce qui est soutenu, cet accĂšs est propre Ă  cette parcelle, sans ĂȘtre commun Ă  cette derniĂšre et aux deux autres parcelles issues de l’ancienne parcelle cadastrĂ©e section AD n° 10. Il ne se confond pas davantage avec l’accĂšs que la parcelle voisine cadastrĂ©e section AD n° 7, dont M. et Mme D
 sont propriĂ©taires et qui est mise Ă  disposition du GAEC C
 du PrĂ© Louvet par M. et Mme C
 en qualitĂ© de preneur Ă  bail, possĂšde sur ce chemin communal. En outre, les parcelles cadastrĂ©es section AD n°s 193 et 194 ne sont pas destinĂ©es Ă  ĂȘtre bĂąties. DĂšs lors, le lotissement rĂ©sultant du dĂ©tachement de la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 195, seule destinĂ©e Ă  ĂȘtre bĂątie, ne comporte pas la crĂ©ation ou l’amĂ©nagement de voies, d’espaces ou d’équipements communs Ă  plusieurs lots destinĂ©s Ă  ĂȘtre bĂątis. Il en rĂ©sulte que ce lotissement nĂ©cessitait la dĂ©claration prĂ©alable prĂ©vue au a) de l’article R. 421-23 du code de l’urbanisme, mais un permis d’amĂ©nager. La demande de permis de construire modificatif dĂ©posĂ©e le 25 aoĂ»t 2020 indiquant que le terrain est issu d’une division, le permis de construire dĂ©livrĂ© le 10 juillet 2018 s’est trouvĂ© rĂ©gularisĂ© sur ce point. Par suite, les requĂ©rants ne sont pas fondĂ©s Ă  soutenir que le projet nĂ©cessitait un permis d’amĂ©nager et que l’arrĂȘtĂ© du 10 juillet 2018 n’a pas Ă©tĂ© rĂ©gularisĂ© Ă  ce titre. En ce qui concerne les moyens tirĂ©s de la mĂ©connaissance des dispositions relatives aux conditions d’utilisation et de protection de l’espace montagnard : 17. La commune des Ecorces est au nombre des communes mentionnĂ©es Ă  l’article 3 de la loi du 9 janvier 1985 relative au dĂ©veloppement et Ă  la protection de la montagne. 18. Aux termes de l’article L. 122-5 du code de l’urbanisme :  » L’urbanisation est rĂ©alisĂ©e en continuitĂ© avec les bourgs, villages, hameaux, groupes de constructions traditionnelles ou d’habitations existants, sous rĂ©serve de l’adaptation, du changement de destination, de la rĂ©fection ou de l’extension limitĂ©e des constructions existantes, ainsi que de la construction d’annexes, de taille limitĂ©e, Ă  ces constructions, et de la rĂ©alisation d’installations ou d’équipements publics incompatibles avec le voisinage des zones habitĂ©es. « . Aux termes de l’article L. 122-10 du mĂȘme code :  » Les terres nĂ©cessaires au maintien et au dĂ©veloppement des activitĂ©s agricoles, pastorales et forestiĂšres, en particulier les terres qui se situent dans les fonds de vallĂ©es, sont prĂ©servĂ©es. La nĂ©cessitĂ© de prĂ©server ces terres s’apprĂ©cie au regard de leur rĂŽle et de leur place dans les systĂšmes d’exploitation locaux. Sont Ă©galement pris en compte leur situation par rapport au siĂšge de l’exploitation, leur relief, leur pente et leur exposition « . Aux termes de l’article L. 122-11 du mĂȘme code :  » Peuvent ĂȘtre autorisĂ©s dans les espaces dĂ©finis Ă  l’article L. 122-10 : / 1° Les constructions nĂ©cessaires aux activitĂ©s agricoles, pastorales et forestiĂšres ; / (
) « . 19. Il ressort des piĂšces du dossier que le GAEC C
 du PrĂ© Louvet, dont le siĂšge de l’exploitation est au lieudit le PrĂ© Louvet, aux Ecorces, et qui Ă©lĂšve des vaches laitiĂšres, exerce une activitĂ© agricole. Une construction destinĂ©e Ă  abriter du matĂ©riel agricole est nĂ©cessaire Ă  une telle activitĂ© agricole. Si les requĂ©rants soutiennent que ce GAEC disposerait d’autres possibilitĂ©s pour entreposer du matĂ©riel agricole, telles que le recours Ă  une coopĂ©rative d’utilisation des matĂ©riels agricoles, l’utilisation, sur une parcelle voisine, d’une construction appartenant Ă  l’indivision D
 et occupĂ©e par ce GAEC ou la construction d’un nouveau bĂątiment sur un autre terrain que celui achetĂ© Ă  la commune en 2017, le choix de gestion fait par ce GAEC entre les diverses possibilitĂ©s qui se seraient prĂ©sentĂ©es Ă  lui n’est pas de nature Ă  priver la construction autorisĂ©e, qui n’est pas une annexe Ă  une autre construction, de la qualitĂ© de construction nĂ©cessaire Ă  l’activitĂ© agricole de ce GAEC. En outre, il ne ressort pas des piĂšces du dossier que la taille de cette construction serait hors de proportion avec l’importance de l’activitĂ©, actuelle ou future prĂ©visible, de ce groupement agricole d’exploitation en commun. Enfin, le mauvais Ă©tat de la remise Ă  usage de rangement de matĂ©riel louĂ©e par M. et Mme C
 Ă  l’indivision D
 rend nĂ©cessaire que le GAEC C
 du PrĂ© Louvet puisse disposer d’une autre construction pour y ranger et abriter son matĂ©riel. Cette construction Ă©tant ainsi nĂ©cessaire aux activitĂ©s agricoles, au sens du 1° de l’article L. 122-11 du code de l’urbanisme, le permis de la construire a pu en ĂȘtre valablement dĂ©livrĂ© bien que le projet ne soit pas en continuitĂ© avec un espace dĂ©jĂ  urbanisĂ©. Il en rĂ©sulte que le moyen tirĂ© de la mĂ©connaissance de l’article L. 122-5 de ce code doit ĂȘtre Ă©cartĂ©. 20. Il rĂ©sulte des termes mĂȘmes du 1° de l’article L. 122-11 du code de l’urbanisme que les constructions nĂ©cessaires aux activitĂ©s agricoles peuvent ĂȘtre autorisĂ©es dans les terres mentionnĂ©es Ă  l’article L. 122-10 de ce code. DĂšs lors que la construction autorisĂ©e par le permis de construire du 10 juillet 2018 modifiĂ© est nĂ©cessaire aux activitĂ©s agricoles du GAEC C
 du PrĂ© Louvet, ce permis ne mĂ©connaĂźt pas cet article L. 122-10. Le permis de construire Ă©tant dĂ©livrĂ© sous rĂ©serve des droits de tiers, les requĂ©rants ne peuvent utilement se prĂ©valoir de la circonstance que la construction qu’il autorise remettrait en cause, selon eux, une possibilitĂ© que leur aurait antĂ©rieurement reconnue la commune d’utiliser le terrain correspondant Ă  la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 195, ni de la circonstance que la prĂ©sence de cette construction pourrait reprĂ©senter une gĂȘne pour l’exploitation forestiĂšre, au nord-ouest, de terrains boisĂ©s sur la parcelle cadastrĂ©e section D n° 4. Ils ne peuvent davantage utilement se prĂ©valoir de ce qu’il serait portĂ© atteinte au droit de propriĂ©tĂ© de l’indivision D
. La circonstance que M. et Mme C
, qui ont mis Ă  la disposition du GAEC du C
 du PrĂ© Louvet les locaux d’exploitation qu’ils louent Ă  l’indivision C
, n’auraient pas Ă©tĂ© autorisĂ©s par leur bailleur Ă  consentir cette mise Ă  disposition n’est pas au nombre des circonstances au regard desquelles s’apprĂ©cie la lĂ©galitĂ© d’un permis de construire et, par suite, est sans influence sur l’apprĂ©ciation de la lĂ©galitĂ© de l’arrĂȘtĂ© du 10 juillet 2018 modifiĂ©. En ce qui concerne les moyens tirĂ©s de la mĂ©connaissance d’autres rĂšgles nationales d’urbanisme : 21. Aux termes de l’article L. 111-3 du code rural et de la pĂȘche maritime :  » Lorsque des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires soumettent Ă  des conditions de distance l’implantation ou l’extension de bĂątiments agricoles vis-Ă -vis des habitations et immeubles habituellement occupĂ©s par des tiers, la mĂȘme exigence d’éloignement doit ĂȘtre imposĂ©e Ă  ces derniers Ă  toute nouvelle construction et Ă  tout changement de destination prĂ©citĂ©s Ă  usage non agricole nĂ©cessitant un permis de construire, Ă  l’exception des extensions de constructions existantes. / (
) « . 22. D’une part, il ne ressort pas des piĂšces du dossier, ni ne rĂ©sulte de l’instruction, que des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires, notamment celles du rĂšglement sanitaire dĂ©partemental du Doubs, soumettraient Ă  des conditions de distance l’implantation d’un bĂątiment agricole tel que celui autorisĂ© par le permis de construire en litige, qui n’est pas un bĂątiment d’élevage de bĂ©tail, vis-Ă -vis des habitations et immeubles occupĂ©s par des tiers. D’autre part, le bĂątiment Ă  usage d’élevage de bĂ©tail implantĂ© sur les parcelles voisines cadastrĂ©es section AD n°s 5 et 7 est habituellement occupĂ© et utilisĂ© par le GAEC C
 du PrĂ© Louvet et ce, alors mĂȘme il n’est pas le preneur Ă  bail de ce bĂątiment dont le bailleur est l’indivision D
. Il en rĂ©sulte que ce GAEC n’est pas un tiers au bĂątiment agricole autorisĂ©e par le permis de construire en litige dont il est le titulaire. Enfin, la construction autorisĂ©e par ce permis est Ă  usage agricole. Il en rĂ©sulte que les dispositions de l’article L. 111-3 du code rural ne sont pas applicables Ă  cette construction. Le moyen tirĂ© de leur mĂ©connaissance est, dĂšs lors, inopĂ©rant. 23. Aux termes de l’article R. 111-2 du code de l’urbanisme :  » Le projet peut ĂȘtre refusĂ© ou n’ĂȘtre acceptĂ© que sous rĂ©serve de l’observation de prescriptions spĂ©ciales s’il est de nature Ă  porter atteinte Ă  la salubritĂ© ou Ă  la sĂ©curitĂ© publique du fait de sa situation, de ses caractĂ©ristiques, de son importance ou de son implantation Ă  proximitĂ© d’autres installations. « . Les risques d’atteinte Ă  la sĂ©curitĂ© publique visĂ©s par ce texte sont aussi bien les risques auxquels peuvent ĂȘtre exposĂ©s les occupants de la construction pour laquelle le permis est sollicitĂ© que ceux que l’opĂ©ration projetĂ©e peut engendrer pour des tiers. Lorsqu’un projet de construction est de nature Ă  porter atteinte Ă  la salubritĂ© ou Ă  la sĂ©curitĂ© publique, le permis de construire ne peut ĂȘtre refusĂ© que si l’autoritĂ© compĂ©tente estime, sous le contrĂŽle du juge, qu’il n’est pas lĂ©galement possible, au vu du dossier et de l’instruction de la demande de permis, d’accorder le permis en l’assortissant de prescriptions spĂ©ciales qui, sans apporter au projet de modifications substantielles nĂ©cessitant la prĂ©sentation d’une nouvelle demande, permettraient d’assurer la conformitĂ© de la construction aux dispositions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires dont l’administration est chargĂ©e d’assurer le respect. 24. Il ressort des piĂšces du dossier qu’une borne d’incendie, permettant un dĂ©bit horaire de 76 m3, est situĂ©e Ă  moins de cent mĂštres de la construction autorisĂ©e et que deux citernes, l’une de 20 m3 et l’autre de 40 m3, sont localisĂ©es Ă  proximitĂ© immĂ©diate, sur les parcelles voisines cadastrĂ©es section AD n°s 7 et 194. Cette borne d’incendie et ces citernes permettent d’assurer, Ă  moins de 400 mĂštres du bĂątiment, un dĂ©bit horaire de 60 m3 d’eau pendant deux heures, qui est celui qui doit ĂȘtre disponible pour la dĂ©fense contre l’incendie de cette construction, compte tenu de ses dimensions et de sa destination. Le GAEC C
 du PrĂ© Louvet, occupant des lieux, a la disposition de ces citernes et, contrairement Ă  ce que font valoir les requĂ©rants, ces citernes ne sont pas utilisĂ©es pour abreuver le bĂ©tail. En outre, l’article 2 de l’arrĂȘtĂ© du 10 juillet 2018 impose le respect des prescriptions que le service dĂ©partemental d’incendie et de secours avait, dans un avis, favorable, du 30 mai 2017 Ă©mis Ă  l’occasion de l’instruction d’une prĂ©cĂ©dente demande de permis de construire prĂ©sentĂ©e par ce GAEC pour un projet identique, prĂ©conisĂ©es. Compte tenu de ces Ă©lĂ©ments, il ne ressort pas du dossier que le maire des Ecorces aurait, en dĂ©livrant le permis de construire sollicitĂ©, commis une erreur manifeste d’apprĂ©ciation en raison d’un risque particulier d’incendie que prĂ©senterait la construction autorisĂ©e ou de propagation d’un incendie Ă  la construction voisine que possĂšde l’indivision D
 et qu’occupe le GAEC C
 du PrĂ© Louvet. 25. Aux termes de l’article R. 111-5 du code de l’urbanisme :  » Le projet peut ĂȘtre refusĂ© sur des terrains qui ne seraient pas desservis par des voies publiques ou privĂ©es dans des conditions rĂ©pondant Ă  son importance ou Ă  la destination des constructions ou des amĂ©nagements envisagĂ©s, et notamment si les caractĂ©ristiques de ces voies rendent difficile la circulation ou l’utilisation des engins de lutte contre l’incendie. / Il peut Ă©galement ĂȘtre refusĂ© ou n’ĂȘtre acceptĂ© que sous rĂ©serve de prescriptions spĂ©ciales si les accĂšs prĂ©sentent un risque pour la sĂ©curitĂ© des usagers des voies publiques ou pour celle des personnes utilisant ces accĂšs. Cette sĂ©curitĂ© doit ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e compte tenu, notamment, de la position des accĂšs, de leur configuration ainsi que de la nature et de l’intensitĂ© du trafic. « . L’article R. 111-6 du mĂȘme code dispose que  » Le permis ou la dĂ©cision prise sur la dĂ©claration prĂ©alable peut imposer la rĂ©alisation de voies privĂ©es ou de tous autres amĂ©nagements particuliers nĂ©cessaires au respect des conditions de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©es au deuxiĂšme alinĂ©a de l’article R. 111-5. / Le nombre des accĂšs sur les voies publiques peut ĂȘtre limitĂ© dans l’intĂ©rĂȘt de la sĂ©curitĂ©. En particulier, lorsque le terrain est desservi par plusieurs voies, le projet peut n’ĂȘtre autorisĂ© que sous rĂ©serve que l’accĂšs soit Ă©tabli sur la voie oĂč la gĂȘne pour la circulation sera la moindre. « . 26. Il ressort des piĂšces du dossier qu’au moyen d’une servitude de passage consentie au GAEC C
 du PrĂ© Louvet par la commune des Ecorces sur la parcelle cadastrĂ©e section AD n° 193, le projet autorisĂ© par le permis de construire contestĂ© est desservi par la rue du PrĂ© Louvet, qui prĂ©sente, au niveau du terrain d’assiette du projet, de bonnes conditions de visibilitĂ©, dont les caractĂ©ristiques sont appropriĂ©es Ă  la desserte de la construction autorisĂ©e par ce permis, comme Ă  celle de la construction voisine appartenant Ă  M. et Mme D
 et occupĂ©e par ce GAEC, qui n’accueille pas un trafic dense ou intense et qui permet de gagner, Ă  proximitĂ© au sud, la route dĂ©partementale D 201. Par suite, le moyen pris de la mĂ©connaissance des articles R. 111-5 et R. 111-6 du code de l’urbanisme doit ĂȘtre Ă©cartĂ©. 27. Aux termes de l’article R. 111-14 du code de l’urbanisme :  » En dehors des parties urbanisĂ©es des communes, le projet peut ĂȘtre refusĂ© ou n’ĂȘtre acceptĂ© que sous rĂ©serve de l’observation de prescriptions spĂ©ciales s’il est de nature, par sa localisation ou sa destination : / 1° A favoriser une urbanisation dispersĂ©e incompatible avec la vocation des espaces naturels environnants, en particulier lorsque ceux-ci sont peu Ă©quipĂ©s ; / 2° A compromettre les activitĂ©s agricoles ou forestiĂšres, notamment en raison de la valeur agronomique des sols, des structures agricoles, de l’existence de terrains faisant l’objet d’une dĂ©limitation au titre d’une appellation d’origine contrĂŽlĂ©e ou d’une indication gĂ©ographique protĂ©gĂ©e ou comportant des Ă©quipements spĂ©ciaux importants, ainsi que de pĂ©rimĂštres d’amĂ©nagements fonciers et hydrauliques ; / 3° A compromettre la mise en valeur des substances mentionnĂ©es Ă  l’article L. 111-1 du code minier ou des matĂ©riaux de carriĂšres inclus dans les zones dĂ©finies Ă  l’article L. 321-1 du mĂȘme code. « . 28. Le projet autorisĂ© par le permis de construire du 10 juillet 2018 porte sur la construction d’un bĂątiment destinĂ© Ă  ranger et abriter du matĂ©riel agricole et il est immĂ©diatement voisin d’une construction utilisĂ©e par le GAEC C
 du PrĂ© Louvet, qui y exploite une activitĂ© d’élevage. Cette nouvelle construction, qui fait ainsi partie de l’exploitation de ce groupement, n’est, compte tenu tant de sa destination que de sa localisation, pas de nature Ă  favoriser une urbanisation dispersĂ©e incompatible avec la vocation des espaces naturels environnants, lesquels sont des espaces agricoles ou boisĂ©s. Elle n’est pas non plus de nature Ă  compromettre les activitĂ©s agricoles ou forestiĂšres. DĂšs lors, les requĂ©rants ne sont pas fondĂ©s Ă  soutenir que ce permis est entachĂ© d’une erreur manifeste d’apprĂ©ciation au regard de l’article R. 111-14 du code de l’urbanisme. En ce qui concerne le moyen tirĂ© de la mĂ©connaissance de la carte communale : 29. Aux termes de l’article L. 161-4 du code de l’urbanisme, dans sa rĂ©daction en vigueur au 10 juillet 2018 :  » La carte communale dĂ©limite les secteurs oĂč les constructions sont autorisĂ©es et les secteurs oĂč les constructions ne sont pas admises, Ă  l’exception de l’adaptation, du changement de destination, de la rĂ©fection ou de l’extension des constructions existantes ou des constructions et installations nĂ©cessaires Ă  des Ă©quipements collectifs dĂšs lors qu’elles ne sont pas incompatibles avec l’exercice d’une activitĂ© agricole, pastorale ou forestiĂšre sur le terrain sur lequel elles sont implantĂ©es et qu’elles ne portent pas atteinte Ă  la sauvegarde des espaces naturels et des paysages, Ă  l’exploitation agricole ou forestiĂšre et Ă  la mise en valeur des ressources naturelles. « . Aux termes de l’article R. 161-4 du mĂȘme code, dans sa rĂ©daction Ă  la mĂȘme date :  » Le ou les documents graphiques dĂ©limitent les secteurs oĂč les constructions sont autorisĂ©es et ceux oĂč les constructions ne peuvent pas ĂȘtre autorisĂ©es, Ă  l’exception : / (
) / 2° Des constructions et installations nĂ©cessaires : / (
) / b) A l’exploitation agricole ou forestiĂšre ; / (
) « . 30. Si la construction autorisĂ©e par le permis de construire du 10 juillet 2018 est localisĂ©e dans un secteur de la carte communale des Ecorces, approuvĂ©e en 2012, oĂč les constructions ne sont pas admises, cette construction est, toutefois et ainsi que dĂ©jĂ  dit au point 19 du prĂ©sent arrĂȘt, nĂ©cessaire Ă  l’exploitation agricole du GAEC C
 du PrĂ© Louvet et, par suite, au nombre des exceptions admises par l’article R. 161-4 dans ce secteur de cette carte communale. Il suit de lĂ  que le moyen tirĂ© de la mĂ©connaissance de cette derniĂšre doit ĂȘtre Ă©cartĂ©. 31. Il rĂ©sulte de tout ce qui prĂ©cĂšde que, sans qu’il soit besoin de se prononcer sur la fin de non-recevoir opposĂ©e par la commune des Ecorces, les requĂ©rants ne sont pas fondĂ©s Ă  soutenir que c’est Ă  tort qu’aprĂšs avoir sursis Ă  statuer par le jugement du 9 juillet 2020, le tribunal administratif de Besançon a, par le jugement du 12 novembre 2020, rejetĂ© leur demande. Sur les frais liĂ©s au litige : 32. Les dispositions de l’article L. 761-1 du code de justice administrative font obstacle Ă  ce que soit mis Ă  la charge de la commune des Ecorces, qui n’a pas dans la prĂ©sente instance la qualitĂ© de partie perdante, le versement d’une somme Ă  ce titre. Dans les circonstances de l’espĂšce, il y a lieu de faire application de ces dispositions et de mettre Ă  la charge des requĂ©rants le versement Ă  ce titre Ă  cette commune de la somme de 1 500 euros. D E C I D E : Article 1 : La requĂȘte de M. D
 et autres est rejetĂ©e. Article 2 : M. D
 et les autres requĂ©rants verseront solidairement Ă  la commune des Ecorces la somme de 1 500 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. Article 3 : Le prĂ©sent arrĂȘt sera notifiĂ© Ă  M. B
 D
, reprĂ©sentant unique des requĂ©rants, Ă  la commune des Ecorces et au GAEC C
 du PrĂ© Louvet. DĂ©libĂ©rĂ© aprĂšs l’audience du 12 novembre 2024 Ă  laquelle siĂ©geaient : – M. Durup de Baleine, prĂ©sident de chambre, – M. Axel Barlerin, premier conseiller, – Mme Nolwenn Peton, premiĂšre conseillĂšre. Rendu public par mise Ă  disposition au greffe, le 3 dĂ©cembre 2024. Le prĂ©sident-rapporteur, SignĂ© : A. Durup de BaleineL’assesseur le plus ancien, dans l’ordre du tableau, SignĂ© : A. Barlerin Le greffier, SignĂ© : A. BettiLa RĂ©publique mande et ordonne au prĂ©fet du Doubs ce qui le concerne ou Ă  tous commissaires de justice Ă  ce requis en ce qui concerne les voies de droit commun contre les parties privĂ©es, de pourvoir Ă  l’exĂ©cution de la prĂ©sente dĂ©cision. Pour expĂ©dition conforme, Le greffier, A. Betti 2 N° 21NC00073 Source link JUSTIFIABLE : Indexation des Jurisprudences depuis le 1er novembre 2024 JUSTIFIABLE enrichit son offre en indexant dĂ©sormais les diffĂ©rentes jurisprudences publiĂ©es depuis le 1er novembre 2024. Cette nouvelle fonctionnalitĂ© couvre les dĂ©cisions rendues par les juridictions françaises, offrant un accĂšs rapide et structurĂ© Ă  une base de donnĂ©es constamment mise Ă  jour. Ce service vise Ă  faciliter la recherche juridique et Ă  garantir aux professionnels du droit, Ă©tudiants, et particuliers un accĂšs clair et prĂ©cis Ă  l’évolution des dĂ©cisions judiciaires en France. Explorez dĂšs maintenant cette catĂ©gorie et restez informĂ©s des derniers dĂ©veloppements juridiques.
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ocombatenterondonia · 20 days ago
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Programa Integridade: MP apresentarĂĄ resultados em seminĂĄrio no mĂȘs de dezembro
O MinistĂ©rio PĂșblico do Estado de RondĂŽnia (MPRO), por meio do Grupo de Atuação Especial de Defesa do PatrimĂŽnio PĂșblico e Combate Ă  Corrupção (GAEC), realizarĂĄ no dia 9 de dezembro seminĂĄrio para apresentar os resultados do Programa de Integridade. O evento ocorrerĂĄ em Porto Velho e contarĂĄ com uma palestra sobre o Dia Internacional de Combate Ă  Corrupção. O seminĂĄrio tem como objetivo mostrar

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toutmontbeliard-com · 5 months ago
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Impact des intempéries sur les cultures et accompagnement des agriculteurs dans leurs modifications de déclaration à la PAC
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La campagne culturale 2023-2024 a Ă©tĂ© particuliĂšrement humide avec des prĂ©cipitations abondantes Ă  l’automne 2023 mais Ă©galement au printemps et en dĂ©but d’étĂ© 2024, et un ensoleillement dĂ©ficitaire de plus de 40h. En raison des intempĂ©ries de ces derniers mois, certains agriculteurs n’ont pas pu semer leur culture Ă  l’automne, ou des cultures semĂ©es n’ont pas levĂ©. Certains ont tentĂ© avec plus ou moins de rĂ©ussite de rĂ©implanter une culture de printemps, modifiant ainsi l’assolement initialement prĂ©vu. Ces modifications font craindre aux agriculteurs de ne plus respecter certaines exigences de la PAC (respect des critĂšres de rotation des cultures) pouvant conduire Ă  une perte d’admissibilitĂ© de leur surface Ă  la PAC ou la perte de certaines aides (non atteinte du niveau supĂ©rieur de l’écorĂ©gime si leur assolement n’est pas assez diversifiĂ©). Le PrĂ©fet du Doubs, RĂ©mi Bastille, accompagnĂ© des services de la DDT, a pu rĂ©pondre Ă  ces interrogations lors d’une visite terrain organisĂ©e par la FDSEA 25, ce 1er aoĂ»t, sur l’exploitation du GAEC de Rosiers – Curty qui a Ă©tĂ© particuliĂšrement touchĂ©e par les excĂšs de prĂ©cipitations. Cette visite a rĂ©uni plus d’une vingtaine d’exploitants agricoles. Le PrĂ©fet a rappelĂ© que le ministĂšre en charge de l’agriculture a offert des modalitĂ©s de dĂ©rogations au titre de la conditionnalitĂ© des aides PAC concernant les critĂšres de rotation des cultures, et au titre de l’écorĂ©gime en invoquant la force majeure en raison du caractĂšre exceptionnel de l’alĂ©a climatique. La reconnaissance de la force majeure permettra de considĂ©rer la culture comme admissible (en cas de non-semis) pour les aides dĂ©couplĂ©es (DPB, paiement redistributif, 
) et de prendre en compte la culture de printemps que voulait initialement implanter l’exploitant dans le calcul de l’écorĂ©gime. Elle ne permettra pas en revanche de conserver les aides couplĂ©es vĂ©gĂ©tales. Comme indiquĂ© par le PrĂ©fet, la DDT a informĂ© ce jour, par mail, les organisations professionnelles agricoles et les agriculteurs du dĂ©partement des dĂ©marches Ă  effectuer par les agriculteurs concernĂ©s par des problĂšmes d’implantation pour pouvoir bĂ©nĂ©ficier de cette dĂ©rogation. Les agriculteurs devront se manifester auprĂšs de la DDT avant le 14 aoĂ»t 2024, qu’ils peuvent contacter par le biais d’un numĂ©ro unique qui leur a Ă©tĂ© communiquĂ©. Le service d’économie agricole de la DDT reste pleinement mobilisĂ© pour rĂ©pondre aux attentes des exploitants agricoles du dĂ©partement. Read the full article
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panneautheque · 7 months ago
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Panneau de promotion pour une aire accueillant les pÚlerins (Mélange texte imprimé et texte manuel, assemblé sur une planche de bois)
📍Fontans
Typographies Texte imprimé : Times new roman Texte fait à la main
Techniques utilisées Texte à la main fait avec du marqueur et du feutre Assemblage fait avec des punaises et des vis (ainsi que de la colle pour l'ajout de la promotion en haut a gauche)
Analyse Ce panneau utilise différentes solutions pour survivre au temps et aux intempéries. On peut voir qu'il est construit avec deux planches. La principale, verticale permet d'assembler les différents éléments mis en avant par le panneau et la seconde horizontal permet d'abriter le contenu du panneau. Sur cette planche, une plaque en plexiglas permet de protéger le texte des dégradations et des intempéries et des feuilles plastiques permettent de protéger le texte imprimée. On note que probablement lavé par les intempéries, le T final de "ouvert", qui tomberai hors de la plaque de plexiglasse à disparu, preuve de l'efficacité du dispositif. Ce panneau s'articule en différents blocs
Le bloc de titre "Amis pÚlerins" qui indique aux marcheurs que ce panneau s'adresse à eux. L'usage d'un marqueur permet ici de dépasser les limites de la feuille A4, tout en faisant ressortir l'accroche. A coté de ce titre, on peut lire un message promotionnel pour une application sans rapport avec le lieu d'accueil. Ce parasitage du message principale du panneau contribue à l'impression de construction hétéroclite du panneau et fait ressortir par contraste les autres couleurs de la composition.
Le bloc de message, oĂč on peut voir une image dĂ©lavĂ©e du lieu mis en avant avec par dessus une autre feuille imprimĂ©e dans un effet proche des parallaxes trĂšs Ă  la mode sur les sites WordPress des annĂ©es 2015. EncadrĂ© autour du message principal, Deux mots occupent l'espace visuel (Gratuit - Ouvert) pour achever de convaincre le randonneur de s'arrĂȘter.
Comme un "footer" (ces blocs qui contiennent généralement des informations légales qu'on trouve généralement au bas des sites internet) le morceau de plastique orange, partiellement arracher à la main, partiellement découpé au ciseau, vient terminer ce bloc de message en précisant l'existence d'un abri (ParticuliÚrement utile pour les marcheurs n'ayant pas trouvé de gites).
Dernier Ă©lĂ©ment, dans la mĂȘme matiĂšre, mais dans un bleu qui rappelle l'image dĂ©lavĂ©e du lieu, une cartouche prĂ©cise la disponibilitĂ© de "Fromage fermier" . Ce dernier Ă©lĂ©ment ajoute du dynamisme Ă  cet assemblage en cassant la rĂ©gularitĂ© du bloc et en invitant le lecteur Ă  s'attarder sur des dĂ©tails.
Texte de l'image
BONJOUR A TOUS, AMIS PELERINS !!!
Le GAEC DU PASTURAGOU vous accueille GRATUITEMENT sur la ferme à la sortie du village de Chabannes à cÎté de la Fontaine de la Vierge Noire.
AIRE DE REPOS À VOTRE DISPOSITION :
TABLES AVEC CHAISES À L'OMBRE (OUVERT) EAU POTABLE ET TOILETTES
VENTE DE SAVONS Fabriqués sur la ferme au lait biologique de nos vaches (saponification à froid).
N'hésitez pas à venir vous détendre sur notre aménagement.
Vous pouvez nous suivre sur notre page Facebook : (GAEC DU PASTURAGOU)
Vous pourrez voir notre fabrication de savons et la vie quotidienne de la ferme selon les saisons.
À bientît et bon chemin à vous tous !
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Si vous voyez une erreur ou que vous souhaitez contribuer à cette analyse, n'hésitez pas à me contacter.
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unarbreenflandres · 10 months ago
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Les Flandres au Salon de l’Agriculture à Paris
Cela faisait plusieurs annĂ©es que je n’étais pas allĂ©e au Salon International de l’Agriculture (SIA) Ă  Paris, sans doute avant le COVID. C’était peut-ĂȘtre en 2019.
Quand on pĂ©nĂštre dans le Hall 1 oĂč se trouvent traditionnellement les animaux, on est pris par une odeur tenace. Il s’agit d’une odeur de paille mĂȘlĂ©e Ă  celle du mouton. Cette odeur reflĂšte le propre, elle n’a en rien l’ñcretĂ© de l’urine ou la puanteur des dĂ©jections animales.
D’ailleurs les animaux sont bien prĂ©sentĂ©s. J’ai mĂȘme l’impression qu’ils sont moins tassĂ©s les uns sur les autres, ce qui n’était pas le cas, il y a quelques annĂ©es.
J’étais surtout intĂ©ressĂ©e par le gros bĂ©tail et qui, plus est, de race flamande. J’ai donc traversĂ© au pas de charge les diffĂ©rentes races d’ovins. J’ai entendu meugler des veaux, j’ai vu une truie noire affalĂ©e sur un tapis de paille, dans le ring, nourrissant ses porcelets. Mais il m’importait de voir des bovins flamands.
La rouge flamande et la blanc bleu
Mon intĂ©rĂȘt s’est portĂ© sur les races « rouge flamande » et « blanc bleu ». La premiĂšre est une bonne laitiĂšre, fournissant un lait riche en matiĂšres grasses et en protĂ©ines. Elle Ă©tait mĂȘme la meilleure race laitiĂšre dans les annĂ©es 30. J’ai pu voir et photographier Ortie qui est une vache nĂ©e en 2018, d’un poids de 612 kg dont la propriĂ©taire est Marie-Christine DUBOIS d’OxelaĂ«re. Je n’ai malheureusement pas vu les autres flamandes prĂ©nommĂ©es Piscine et Piole qui viennent de la SARL MACKE Ă  Cassel, Rapidos de la GAEC VAESKEN Ă  Saint-Sylvestre Cappel et Rubbie de la GAEC STOFFAES frĂšres de Merris.
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Ortie dans le Hall 1
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Les caractéristiques d'Ortie
Quand on voit la « blanc bleu », on a un choc. On s’aperçoit tout de suite qu’il s’agit d’une race Ă  viande. Il n’est qu’à voir les fesses de cet animal pour comprendre. La Flandre Ă©tait reprĂ©sentĂ©e par PĂȘche, nĂ©e en 2019 qui concourait dans la catĂ©gorie animaux de boucherie. Elle vient de l’EARL ADRIANSEN Ă  Brouckerque. Son poids est pratiquement d’une tonne !
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PĂȘche vue de cĂŽtĂ©
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PĂȘche vue de dos
Cette race « blanc bleu » est issue d’une modification gĂ©nĂ©tique de la Bleue du Nord pour en faire uniquement une race Ă  viande. Le gĂšne culard rend inactive la protĂ©ine myostatine qui rĂ©gule la prolifĂ©ration des fibres musculaires d’oĂč cette hypertrophie musculaire surtout visible au niveau des fesses. Cette race permet d’avoir un taux de rendement Ă  l’abattage le plus Ă©levĂ© de toutes les races bovines : 70% de rendement carcasse et 70% de morceaux nobles. Pour l'avoir dĂ©jĂ  goĂ»tĂ©e, je peux dire que la viande blanc bleu est excellente.
Ce sont nos voisins belges qui sont Ă  l’origine de la race blanc bleu depuis les annĂ©es 70. Elle est trĂšs prĂ©sente en Belgique, beaucoup moins en France. Et, dans l’Hexagone, on ne la trouve pas uniquement dans les Hauts de France mais dans vingt-cinq dĂ©partements.
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un stand du Nord avec ses petites vaches
Les races rouge flamande et bleue du Nord avaient pratiquement disparu dans les annĂ©es 60 parce que le MinistĂšre de l’Agriculture avait interdit les races rĂ©gionales. Je me demande quelle race de vaches avaient mes grands-parents Cyr DEQUIDT et Irma DENAES qui faisaient un beurre rĂ©putĂ©. Ils allaient le vendre au marchĂ© de Cassel Ă  des marchands qui venaient de Lille pour l’acheter. Je pencherai pour la rouge flamande car la Prim’Holstein qu’on a longtemps appelĂ©e hollandaise n’a Ă©tĂ© introduite en France qu’au dĂ©but du XX° siĂšcle.
J’ai trouvĂ© tous ces animaux incroyablement tranquilles alors qu’ils sont entourĂ©s de monde et qu’il y a beaucoup de bruit et de lumiĂšre.
Et les fromages ?
Outre rechercher de belles vaches flamandes, le but de ma visite Ă©tait aussi et surtout de ramener Ă  la maison des fromages Ă  peu prĂšs introuvables en rĂ©gion parisienne comme le boulet de Cassel ou le fromage de Bergues ou encore le P’tit Flamand dont je viens de dĂ©couvrir l’existence et que je n’ai pas encore dĂ©gustĂ©. Malheureusement, il n’y avait aucun fromage du Nord Ă  acheter, mis Ă  part le Maroilles.
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le P'tit Flamand, un nouveau fromage que je n'ai pas encore goûté.
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un stand de fromages du Nord bien mis en valeur
Il y avait bien un beau stand de fromages dans le Hall 7.1 mais renseignements pris, ces fromages étaient exposés pour une émission de télévision. Dans le Hall 1, tout prÚs des « rouges flamandes » et des « blancs bleus », il y avait également un stand des Hauts de France, mais là encore rien à vendre.
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Des produits du Nord Ă  vendre mais pas de fromages
Le Salon International de l’Agriculture est-il seulement destinĂ© Ă  montrer les savoir-faire de nos agriculteurs ? J’aurais aimĂ© que Les Hauts de France mettent en place des stands oĂč l’on puisse goĂ»ter et surtout acheter les produits rĂ©gionaux comme le faisaient certaines rĂ©gions.
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P.S. Ce n’est qu’en sortant du salon que nous avons vu une manifestation du dĂ©sarroi des agriculteurs avec ces panneaux de communes renversĂ©s.
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cuteciboulette · 2 months ago
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1/2 NaNo - update
(I like that it can both be read as "half" and as "Heero/Duo", lol.)
I'm off on a pretty, if inconsistent, start. One month is a long distance run and we're only 4 days in but it is pretty encouraging so far (what is disheartening is that I'm only half way through chapter 2 ^^; )
As expected, I already need to revise my early outline and will most likely have to split chapters 2 and 3 into 2 chapters each because everything moves more wordly than first anticipated...
So revised estimate is about 10 chapters (instead of 7) + 1 epilogue. No way half a NaNo will be enough, which is what worries me the most tbh, especially because I know I'll only feel confident to start publishing when the first full draft is be written down as I keep going back to chap 1 and change details about the first info Heero and Wufei collect about "the ghastly affair". I am expecting to realize right at the end that, wait, no, actually that doesn't make sense, I need to change that in the very beginning! v.v
I'm also considering asking for a second opinion early on because writing a mystery is *hard* (especially when it's not what interest me the most in the story! XD) and I just don't know if I'm super obvious with where I'm going or on the contrary subtle. I don't really care if the readers guess the plot but I am concerned that I'm making Heero and Wufei stupid in my fear of not having them to jump to conclusions out of fine air >.< My thought is that if I'm making them too dumb, I probably should work on it NOW rather than 6 chapters in...
Anyway, word count!
notes: 1. yes, I'm absolutely counting the words I wrote 1h prior to midnight on Oct 31st because I can 2. as I'm stopping the counts at midnight and as I'm mostly writing at night, the count is pretty confusing (even to me!) as every day I write both for "today" and "tomorrow". It's already 11 pm here so not sure I'll add words to today's count but I will probably for tomorrow (aka words written today after midnight)
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matsiro-be · 10 months ago
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[achat] Retour de marché à Montpellier-
1/2.
Marché paysan d'Antigone .
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RDV tous les dimanches matin avec une cinquantaine de producteurs. On y trouve :
Des légumes bios chez Damien Simon à l'entrée du marché cÎté rue de ThÚbes.
La fournĂ©e magique pour du pain au levain bio Ă  la coupe avec diffĂ©rents types de farine produit Ă  Ganges. Il propose du pain blanc, demi-complet, intĂ©gral, pur seigle, pur petit Ă©peautre, multi-cĂ©rĂ©ales
 Prix allant de 6 Ă  8€/kg ?
Les Canotiers, pour des fruits et légumes bio ou non traités. Beaucoup de légumes-feuilles d'autres contrées comme le chou noir de Toscana, le pak choï de Chine, le komatsuna du Japon, le mizuna du Japon

Les oeufs bios de Julien Lanave de Saint Jean de Fos.
Des fruits et lĂ©gumes en culture raisonnĂ©e produit par le GAEC Brechard, Ă  l'entrĂ©e cĂŽtĂ© Place Paul Bec. Salade reine des glaces Ă  1,20€ la piĂšce, chou vert Ă  2€ la piĂšce.
Des pommes reinette du Vigan et des pommes Dalinette proposĂ©es par le GAEC des CambiĂšres. 3€ le kg. 2,50€ les pommes de second choix. 8€ les 3kg. Il propose Ă©galement des jus de pommes et des oignons doux des CĂ©vennes.
Des légumes et plantes aromatiques en agriculture bio chez Terres paysannes.
Et Ă©galement viande, poisson, fromage, tofu, miel, etc...
A Antigone tous les dimanches de 8h Ă  13h30.
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minagri-marc-fesneau · 1 year ago
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Vendredi 29 septembre, Marc FESNEAU, ministre de l’Agriculture et de la SouverainetĂ© alimentaire et Sarah EL HAÏRY, secrĂ©taire d’État auprĂšs du ministre de la Transition Ă©cologique et de la CohĂ©sion des territoires, chargĂ©e de la BiodiversitĂ© sont allĂ©s dans le Morbihan afin de visiter le GAEC de Kerroch-Vihan et de prĂ©senter le « Plan en faveur de la Haie ».
Photos : Xavier Remongin/agriculture.gouv.fr
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ocombatente · 1 year ago
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Em recomendação, MP orienta à SEJUCEL que suspenda contratos e repasses de recursos financeiros à APERON
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Em recomendação expedida na Ășltima sexta-feira (8/9), o MinistĂ©rio PĂșblico de RondĂŽnia, por meio do Grupo de Atuação Especial de Defesa do PatrimĂŽnio PĂșblico e Combate Ă  Corrupção (GAEC), solicitou Ă  Secretaria de Estado da Juventude, Cultura, Esporte e Lazer (SEJUCEL) que suspenda os processos administrativos em trĂąmite para celebração de Termo de Fomento com a Associação dos Produtores de Evento do Estado de RondĂŽnia (APERON), abstendo-se de realizar qualquer repasse de recursos financeiros Ă  APERON, seja proveniente de orçamento prĂłprio da SEJUCEL ou decorrente de emenda parlamentar, bem como de firmar Termo de Fomento ou repasse de recursos financeiros Ă  Associação para a realização da 42ÂȘ EXPOJIPA. O documento, assinado pela coordenadora do GAEC, Promotora de Justiça TĂąmera Padoin Marques Marin, considerou o InquĂ©rito Civil PĂșblico e Ação Civil PĂșblica, instaurados para fiscalizar a realização da 12ÂȘ EXPOVEL, na capital. De acordo com a recomendação, estĂŁo sendo apuradas possĂ­veis irregularidadades no Termo de Fomento firmado entre a SEJUCEL e APERON para realização e execução da 12ÂȘ EXPOVEL, com documentos em desconformidade com os requisitos legais para realização de parcerias com as organizaçÔes da sociedade civil com entes estaduais, tal como o Termo de Fomento e falta de comprovação de desenvolvimento de atividades voltadas Ă  promoção de finalidades de relevĂąncia pĂșblica e social. Para evitar açÔes que causem danos ao erĂĄrio, bem como defender o interesse pĂșblico, a integrante do MP expediu a recomendação, tendo em vista que a APERON figura como requerente em pedidos de formalização de novos Termos de Fomento, como objetivo de realizar a 42ÂȘ EXPOJIPA e o 1Âș Rodeio Show de Cacoal. GerĂȘncia de Comunicação Integrada (GCI) Read the full article
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oenodyssee · 1 year ago
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Avant le mezcal
Chez la famille Pfifferling / Episode 2 / Domaine de l’Anglore / Tavel /20 hectares
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Il n’a pas Ă©chappĂ© aux lecteurs attentifs de ce blog que j’écrivais mes billets en diffĂ©rĂ©. Deux semaines peu ou prou que j’ai laissĂ© mon vĂ©lo Ă  la Gaec du Mazel, trois que j’ai repris mon itinĂ©rance lĂ  oĂč je l’avais arrĂȘtĂ©e au tout dĂ©but du mois de juillet : Ă  Tavel. C’était un jour de fort mistral et il y avait une fĂȘte Ă  l’école du village. Nous sommes dans l’avant-dernier jour du mois de septembre, il y a de nouveau une fĂȘte Ă  l’école et les mĂ»riers de la place sont fouaillĂ©s par le vent. Une nuit tatouĂ©e d’abeilles puis c’est le matin.
Cuve 26 : 1052 à21°C
D’abord le parfum. Rouge. Joyeux. Fruits et fleurs mĂȘlĂ©s. Enveloppant le grand chai dans lequel je viens d’entrer. J’accompagne trois Pfifferling. Eric, le pĂšre, famille d’apiculteurs d’un cĂŽtĂ©, famille vigneronne de l’autre, ancien coopĂ©rateur et militant de la confĂ©dĂ©ration paysanne a fait de l’Anglore une rĂ©fĂ©rence du vin nature. Joris et Thibault, ses fils, qui se partagent la direction du domaine depuis le dĂ©but de l’annĂ©e. Marie, Ă©pouse et mĂšre des prĂ©cĂ©dents est Ă  l’étage, dans son bureau. C’est l’heure du premier tour de cave. Un joli jus grenat clair mousse dans le seau que Thibault vient de soutirer Ă  la cuve 26. « Son contenu odorant a Ă©tĂ© pressĂ© hier et aussitĂŽt rĂ©assemblĂ© Ă  sa goutte comme nous le faisons ici pour prĂ©server l’intĂ©gritĂ© de chaque cuve ». Les trois hommes sont de bonne humeur. Le mildiou qui faisait rage lors de ma prĂ©cĂ©dente visite a pu ĂȘtre contenu, les flambĂ©es de chaleur qui ont suivi n’ont pas consumĂ© trop de grappes, la rĂ©colte est splendide, les deux fermentations s’enchainent comme jamais : ça promet.
Cuve 2 : 1008 à 18°C
Ensuite la couleur. « Tu as vu ce mĂ©tissage ? » me demande Eric alors que je redescends de l’échelle. Oui, j’ai vu les grappes entiĂšres, violette et jade, bien serrĂ©es les unes contre les autres, entrelacĂ©es dans un projet de rosĂ© en macĂ©ration carbonique et j’ai mĂȘme croquĂ© deux ou trois raisins vibrant de mĂ©tamorphose. « La rafle on n’en parle pas, ce qui compte c’est la grappe entiĂšre. Avec ce mode de vinification, m’explique Thibault, on conserve le maximum d’arĂŽmes locaux. C’est la voie du Shikimate. » Ancien Ă©tudiant en philosophie Ă  Paris – oĂč il a Ă©galement servi du vin dans un Ă©tablissement mythique de Belleville, le Baratin, – Thibault aime ouvrir sa conversation, convoquer des horizons scientifique, poĂ©tique ou politique. Rappeler, par exemple, qu’ « un village c’est des graines, des langues et des arĂŽmes. ».
Cuve 32 : 1006 à 27°
Enfin le son. Celui des cuves en fermentation. Leur bouillon ronronnant. Calme et fougue en mĂȘme temps. Il y a une semaine encore c’étaient les vendanges. Dans quelques jours ce sera le silence. « On devrait ne rien dire » dit Eric, « juste Ă©couter ». C’est d’ailleurs le chiffre silencieux d’une tempĂ©rature montĂ©e en flĂšche qui vient de sonner l’alarme. En quelques instants un drapeau rĂ©frigĂ©rant a Ă©tĂ© placĂ© dans la cuve pour calmer la bacchanale en cours : trop de chaleur risquerait de brĂ»ler les arĂŽmes. Le phĂ©nomĂšne Ă©tant revenu sous contrĂŽle on se remet Ă  goĂ»ter. La Cuve 12, cette fois. MourvĂšdre avec un peu de Bourboulenc : les visages se rallument aussitĂŽt. Un peu plus loin une voix d’enfant jouant avec l’écho du lieu vient rappeler qu’il est temps de se prĂ©parer pour la performance de midi qui aura lieu dans l’avant-chai. En prĂ©vision de quoi Joris, sportif et musicien de la fratrie, celui qui le premier a eu l’envie de poursuivre l’histoire du domaine, s’empare de quelques magnums. Un Tavel, histoire de faire le lien avec la cuve que je viens d’admirer. Et la cuvĂ©e Comeyre, parcelle de trĂšs vieux Carignan que j’irai visiter Ă  la tombĂ©e de la nuit avec Eric et Marie.
Cuve 12 : 1007 à 23°
« Chute dans le chiffre ». Quand, pendant la performance du matin j’ai rĂ©citĂ© cette phrase de Rhapsode Diego, le tout jeune fils de Thibault, qui semblait jusque-lĂ  plutĂŽt captivĂ© par un semoir d’entre-rangs, ses couleurs vives et ses aspects de jouet gĂ©ant, Diego a aussitĂŽt simulĂ© une chute. Je suis souvent surpris par la facilitĂ© avec laquelle les enfants s’emparent des langues travaillĂ©es par la poĂ©sie, lĂ  oĂč les adultes et les adolescents sont Ă  la peine, affolĂ©s. Les explications sont connues : plus grande plasticitĂ© du cerveau en formation, moindre intĂ©gration des normes. J’y vois pour ma part la trace d’une disposition naturelle au polyglottisme. Babel, Ă  mon avis, est une fable racontĂ©e Ă  l’envers. Plus tard, la nuit, alors que nous serons attablĂ©s Ă  la Courtille, restaurant ouvert dans une ancienne magnanerie, par Natalia, la compagne de Thibault, je lui demanderai s’il peut imaginer son fils en vigneron. RĂ©ponse : « Vu la rapiditĂ© du changement climatique, c’est peut-ĂȘtre plutĂŽt du Mezcal qu’il choisira de faire
 Avec mon frĂšre nous savons dĂ©jĂ  que nous devons nous adapter ». Inclure du maraĂźchage, intĂ©grer de nouvelles techniques issues de l’agroforesterie comme la coopĂ©ration avec les champignons font partie des pistes. Il est tard, Natalia nous a rejoint et comme une poignĂ©e d’habituĂ©s est encore lĂ , on allume quelques bougies : -tu nous refais Rhapsode ? J’accepte avec plaisir.  
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