#gâteau à la crème
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Gâteau à la crème
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Projet 52-2023 semaine 15 : c'est bon !
Ce thème me fait penser à la chanson : “C’est si bon !”. Côté plaisirs de la vie, les intérêts varient d’un individu à l’autre : certains aiment les sports automobiles, d’autres les sensations fortes, manèges, saut dans le vide… Moi, c’est ce que mon assiette contient qui m’emporte au nirvana. Hier, je suis allée chez une productrice locale et je suis revenue avec une barquette de fraises, bio……
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#bio#Bretagne#c&039;est bon#chou à la crème#Du côté de chez Ma#fraises#gâteau#gourmandise#Lannion#lifestyle#pâtisserie#producteur#production#Projet 52#Tourisme
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Mes désert aujourd'hui
Et crème glacée à la vanille
Mon gâteau chocolat
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Recette du meilleur Cheesecake New-yorkais aux fraises ultra crémeux et onctueux avec une base croustillante de biscuits, un succulent gâteau au fromage made in USA savoureux, frais et soyeux, ultra facile et simple à préparer.
Pour la base aux biscuits :
200 gr de biscuit type sablés breton petit beurre ou spéculos
80 gr de beurre fondu
Pour l’appareil à cheesecake au cream cheese :
600 gr de fromage à la crème Philadelphia ou St-Moret
175 gr de sucre
300 gr de crème fraiche
200 ml de crème liquide entière
3 oeufs
3 cuillères à soupe de fécule de maïs
1/2 cuillère à café de vanille en poudre ou 1 cuillère à soupe liquide
2 cuillères à soupe de jus de citron
Pour le coulis de fraises :
250 gr de fraises
55 gr de sucre
8 gr de sucre vanillé
2 cuillères à soupe d’eau
1 cuillère à soupe de jus de citron
Des fraises fraiches pour garnir
INSTRUCTIONS
Dans un saladier, mélanger les biscuits (réduits en poudre dans un robot hachoir) avec le beurre fondu et refroidi.
Verser ce mélange dans un moule à charnière de 20 centimètre de diamètre (beurré et chemisé de papier cuisson) et tasser les miettes en appuyant avec la base d’un verre ou le dos d’une cuillère afin de former une couche assez compacte. Réserver le moule dans le réfrigérateur.
Fouetter le fromage à la crème (le sortir 30 minutes du réfrigérateur avant la préparation)avec le sucre puis ajouter la crème fraiche et continuer à fouetter. Ajouter la crème liquide et mélanger encore à vitesse moyenne jusqu’à obtention d’une consistance lisse et homogène.
Incorporer les oeufs un par un tout en continuant à fouetter puis ajouter la fécule de maïs, le jus de citron et la vanille et mélanger jusqu’à complète incorporation.
Verser la crème sur la base de biscuits préalablement préparée puis la lisser à l’aide d’une spatule. Couvrir la base du moule de papier aluminium puis le déposer dans un plat allant au four en y ajoutant un fond d’eau (cuisson bain-marie).
Enfourner dans un four préchauffer à 180° C pendant 30 minutes, puis réduire la température du four à 150 ° C et continuer la cuisson pendant 40 à 50 minutes.
Une fois cuit, éteindre le four et laisser le Cheesecake à l’intérieur pendant environ une heure.
Sortir le Cheesecake du four, laisser refroidir un peu, puis le mettre au réfrigérateur pendant toute une nuit jusqu’à ce que la garniture soit bien ferme et froide.
Préparer le coulis de fraises; dans une casserole, mettre les fraises fraîches ou surgelées, le sucre, le sucre vanillé, le jus de citron et l’eau laisser cuire à feu doux pour environ 10 à 15 minutes tout en remuant régulièrement, écraser les fraises à la fourchette puis ou mixer les (la consistance obtenue doit être nappante).
Servir le cheese cake accompagné de coulis de fraises bien froid et des fraises fraiches découpées en deux .
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Happy birthday to my little baby ꒰♡ˊ͈ ु꒳ ूˋ͈꒱.⑅*♡
It's a bit short, but there's no angst, miracle. One day I'll publish some stuff about him ♪♪(o*゜∇゜)o~♪♪
Aim and Post Dark Cream belong to @zu-is-here
⊰✧⊱
Les deux enfants rentrèrent dans la boulangerie, accompagnés de Killer et saluant le vendeur, une tortue plutôt âgé. Ils se dirigèrent vers les vitrines, regardant les nombreuses tapisseries et viennoiseries disposés : des forêt noires, des gâteaux fruités remplis de crème, des milles-feuilles, des chou à la crème, des tartes au citron meringuée, des macarons, des éclairs au chocolat et au café, des pains au chocolat et des croissants.
— Ça a l'air trop bon, s'extasia Aim devant la vitrine, les étoiles dans les yeux.
Après avoir choisi deux gâteaux, une forêt noire et un gâteau au fruit, Killer demanda le plus naturellement du monde :
— Lequel vous voulez ?
— Mais Papa a dit que on devait juste chercher deux gâteaux, et qu'on devait pas prendre autre chose au sinon on allait pas finir de manger.
Nuisance avait dit ça en regardant le plus grand, comme s'il essayait de déceler si cela était un simple test ou oubli de sa part. En voyant son sourire confiant, il comprit qu'il n'avait pas oublier ça ou quoi que se soit d'autre, il n'avait juste pas envi d'écouter cet ordre qui lui avait initialement été donné.
— Night sais bien que quand on rentre dans une boulangerie avec des enfants il faut aussi prendre une petite pâtisserie pour le gouter. Et si on les mange sur le chemin du retour, il n'en saura rien. Alors, vous voulez quoi ?
— Celui au chocolat là-bas, répondit rapidement le plus petit.
— On appelle ça un éclair au chocolat... Mais j'aurais pensé que tu aurais pris le chou à la crème.
Tout en disant cela, il désigna la fameuse pâtisserie, sachant que Aim ne pouvait pas lire les petites pancartes devant la nourriture.
— C'est vrai que ça a l'air bon, mais il n'y a pas de chocolat.
Le plus grand sourit avant de demander la fameuse pâtisserie, ainsi qu'un mille-feuille au vendeur. Pendant que ce dernier commencer à prendre la nourriture pour les mettre dans une des petites boites en carton fins, il redemanda la même question à l'enfant aux yeux vairons, ne voulant pas qu'il soit le seul à ne rien avoir. Ce dernier regarda de nouveau le plus grand dans les yeux, avant de retourner son attention sur son cousin qui lui souriait comme pour l'encourager à prendre quelque chose. Finalement il bredouilla d'une petite voix :
— Des macarons.
Le squelette à l'âme bicolore lui frotta la tête, pas surpris le moins du monde par ce choix. Puis lorsqu'ils partirent de la boulangerie, remerciant la tortue, il donna les petits gâteaux aux deux enfants, qui s'empressèrent d'en prendre un morceau. Nuisance tendit un macaron marron à Aim avant de rajouter :
— C'est au chocolat si tu veux gouter... Kills, Papa va être en colère contre nous s'il découvre qu'on lui a désobéit.
— Ne t'inquiète pas, il ne saura pas. Et puis, s'il le découvre, ce ne sera pas contre vous qu'il sera en colère, mais contre moi.
⊰✧⊱
The two children entered the bakery, accompanied by Killer and greeting the shop assistant, a rather elderly turtle. They walked towards the shop windows, looking at the many tapestries and pastries on display: black forest, fruity cakes filled with cream, mille-feuilles, cream puffs, lemon meringue tarts, macaroons, chocolate and coffee eclairs, pains au chocolat and croissants.
"It looks so good", Aim exclaimed in front of the window with stars in his eyes.
After choosing two cakes, a black forest and a fruit cake, Killer asked most naturally:
"Which one do you want?"
"But Papa said we should just get two cakes, and that we shouldn't get anything else or we wouldn't finish eating."
Nuisance had said this while looking at the taller boy, as if trying to detect whether this was a simple test or an oversight on his part. Seeing his confident smile, he knew he hadn't forgotten that or anything else, he just didn't feel like listening to the order that had originally been given to him.
"Night knows that when you go into a bakery with children you have to take a little pastry for a snack. And if you eat them on the way home, he won't know. So what do you want?"
"The chocolate one over there," the little one answered quickly.
"It's called a chocolate eclair... But I would have thought you would have taken the cream puff."
As he said this, he pointed to the famous pastry, knowing that Aim couldn't read the little signs in front of the food.
"It does look good, but there's no chocolate."
The taller boy smiled before asking the vendor for the famous pastry and a mille-feuille. As the latter started to take the food and put it in one of the small thin cardboard boxes, he asked the same question to the child with the minnow eyes, not wanting him to be the only one without anything. The latter looked the taller boy in the eye again, before returning his attention to his cousin who was smiling at him as if to encourage him to take something. Finally he stammered in a small voice:
"Macaroons."
The skeleton with the two-tone soul rubbed his head, not surprised in the least by this choice. Then as they left the bakery, thanking the turtle, he gave the little cakes to the two children, who hurried to take a piece. Nuisance handed Aim a brown macaroon before adding:
"It's chocolate if you want a taste... Kills, Dad will be angry with us if he finds out we disobeyed him."
"Don't worry, he won't find out. Besides, if he does find out, he won't be mad at you, he'll be mad at me."
#undertale#au#ua#killer#aim sans#nuisance#nuisance sans#killer sans#birthday#and I only realize after 2 days that I forgot to make tags ('•w • )#of course Nightmare will know... probably
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C’est sûr, L'Hôtel de la Poste c'est pas la Villa Florentine. Au zinc, y'a Robert, le taulier. Un gars pas méchant, mais une gueule toujours bougonne, comme s'il avait mâché du gravier au petit-déj. Un matin, alors que Lyon s’éveille sous le crachin, une dame débarque. Elle est sapée comme pour un bal, mais sa binette dit qu'elle n'est pas là pour danser. C’est le genre de fille qui n'a pas mordu dans le gâteau de la vie du côté de la crème. « Bonjour beau brun, je cherche la chambre 12. Paraît qu'elle a vue sur le grand théâtre du monde », lance-t-elle avec un regard qui claque comme un coup de feu dans une ruelle sombre. Robert la zieute avec des mirettes qui ont l'air de fouiller jusqu’au fond de son âme et lui répond sur un ton grimaçant : « La 12, ma belle, c'est tout un poème. Fais gaffe, par contre, y'a des souvenirs accrochés aux rideaux qui pourraient te filer le cafard. C'est pas Versailles, hein, faut pas rêver. Les araignées sont les seules locataires qui râlent pas sur le loyer. La dernière fois qu'on a vu de l'espoir ici, c'était dans les yeux d'un poivrot qui avait réussi à remonter dans sa chambre sans trébucher. » Elle esquisse un sourire qui dit qu'elle en a vu d'autres. Le bonhomme ajuste ses binocles comme s’il allait plonger dans le grand bain des mots croisés et ajoute : « Au deuxième, ma p'tite dame. Mais je te préviens, les murs ont parfois des oreilles et la moquette capte les confidences mieux qu'une appli d'espionnage installée sur un smartphone. » Un sourire malicieux aux lèvres, elle rétorque : « T’en fais pas, la discrétion, c’est mon fonds de commerce. » Puis elle grimpe l'escalier en colimaçon. Ses jambes dessinent des ombres qui dansent sur les marches usées. Le bois grince sous ses pas. Ça sonne comme la mélodie d'une chanson que personne n'écrira jamais. Robert lâche un soupir et se remet à compter les miettes de son existence en se disant que si les chambres de ce rafiot pouvaient parler, elles feraient la nique aux meilleures pipelettes du quartier.
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Petite escapade du côté de l'Ardèche...✈️
L'Ardèche est un département magnifique situé en région Auvergne-Rhône-Alpes, au sud-est de la France. Aux portes de la Provence, des Cévennes et du Massif Central, l'Ardèche jouit d'un climat ensoleillé tout au long de l'année et vous émerveille par la beauté de ses sites naturels.
Mais l'Ardèche ne se raconte pas, elle se vit. Vivez l'Ardèche en descendant les Gorges de l'Ardèche en canoë-kayak, en canyoning dans ses cours d'eau ou plus simplement en suivant un des nombreux chemins de randonnée en pleine nature.
Vibrez l'Ardèche à travers la via ferrata ou en escaladant ses montagnes. Sortez en Ardèche grâce à l'actualité touristique mise à disposition : idées de sorties, de balades ou encore les manifestations locales.
S'asseoir ici et se dire qu'on a tellement de chance d'avoir toute cette beauté sous les yeux...
Au détour d'un sentier, une oasis à l'eau turquoise. (Moulin du Tiourre à Vallon Pont d'Arc)
Ardèche, terre d'aventure...Le pilier d'Autridge, 160 m de descente en rappel et un point de vue exceptionnel sur les Gorges de l'Ardèche.
Petite chèvre sauvage des Gorges de l'Ardèche
"Servez-vous, et mettez l'argent dans la boîte aux lettres."
Voici in distributeur automatique made in Ardèche. Ici, pas besoin d'intelligence artificielle, juste de la confiance naturelle !
Comme le dit si bien un grand penseur : "il en faut peu pour être heureux..."
Caverne du Pont d'Arc, copie de la grotte Chauvet. Une visite unique au monde !
Petits plaisirs de l'Ardèche...la cueillette des marrons.
C'est l'heure du goûter ! Dégustation d'un gâteau à la crème de marron qui dit mieux ?
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" Boyfriend "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Philip Graves
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Malgré les efforts de sa femme, sa discrétion digne des plus grands espions et la clé du cadenas donnant accès à ses lèvres jetée, Graves finit par apprendre que sa fille a un petit ami, et il n'est pas du tout ravi par cette nouvelle. Son épouse s'occupe alors d'apaiser son coeur.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : très soft, rien à signaler
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟓𝟒𝟎
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Dans l'immense maison, grandement éclairée par les splendides rayons solaires, un joli boucan symphonique retentissait. Entre les aboiements du chien à l'étage, les bruitages provenant de la télévision dans le salon, le remue-ménage dans la cuisine et les exclamations d'enfants au bout de la rue. C'était parfait. Un cliché parfait.
Dans la cuisine, la mère de famille s'affairait à la création de quelques pâtisseries. En ce début d'après-midi, elle n'avait pu résister à l'envie de faire plaisir à sa famille, alors, elle s'était mise aux fourneaux. Elle remuait avec énergie la pâte à gâteau, à l'aide d'une spatule en plastique, les yeux brillants et un fin sourire aux coins des lèvres. Depuis la cuisine, elle entendait son mari jouer aux jeux vidéos dans le salon. Elle entendait des personnages hurler, se blesser, tirer et courir à en perdre haleine. Quelques fois, lorsque Philip perdait, il se mettait à grogner ou à proférer des vulgarités. Elle l'écoutait d'ici, surprise et à la fois embarrassée. Elle s'arrêtait alors de mélanger sa pâte et regardait de manière ébahie la sortie de la pièce. Le salon était visible de là, on n'en voyait que la partie de gauche ᅳcomprenant une plante verte, de une baie vitrée, un fauteuil crème y compris un épais tapis.
C'était une agréable après-midi, l'air était bon, quoique un peu chaud. Tous les membres de la famille Graves en profitaient. Y compris le chien qui, depuis cinq minutes, n'avait pas cessé d'aboyer. L'attention de la mère de famille ne fut détournée que lorsqu'elle l'entendit galoper dans les escaliers à vive allure. Le golden retriever fit son entrée dans la cuisine avec enthousiasme. Il s'approcha de sa gamelle et happa deux grosses bouchées de croquettes. La jeune femme sourit et stoppa son activité.
« Eh bien Maurice, qu'est-ce qui t'arrive ? »
Le chien fit volte-face à l'entente du terrible nom que, quelques années plus tôt, l'on lui avait attribué. Avec plaisir, il s'approcha de la jeune femme et vint lui lécher le visage. Avant qu'il ne la touche, la mère de famille se recula de justesse.
« Pas de bisous pendant que je cuisine. Désolé, mon petit. »
Le chien éternua, à sa plus grande surprise. Elle arqua un sourire et s'accroupit devant lui.
« Tu es malade ? Curieux, ce n'est pas la saison. » se questionna-t-elle. « Philip ! Je crois que Maurice est tombé malade. Qu'est-ce qu'on fait ? »
Son cri résonna dans toute la maison, y compris l'étage. La mère de famille entendait néanmoins le bruit du jeu vidéo persister. Philip ne s'arrêtait pas de jouer, sûrement ne l'avait-il pas entendue. Le chien, quant à lui, aboya. Il s'attira le regard attendri de sa maîtresse, celle-ci lui fit signe de le suivre. Ce qu'il fit, jusqu'à entrer dans le salon. Il trottina joyeusement derrière elle jusqu'à apercevoir son maître sur le canapé.
« Phillip, mon amour. »
Le soldat zieutait son épouse.
« Je peux t'aider ? » il demandait, les yeux déjà de retour sur la télévision.
« Je crois que Maurice a attrapé froid. On l'emmène chez le vétérinaire ? »
Phillip zieuta le chien.
« Il a pas l'air malade. » répliqua-t-il.
« Philip. »
Le père de famille mit en pause son jeu et, leva rapidement les mains en l'air, effrayé face à l'expression sévère de sa femme. La mère de famille sourit, heureuse d'avoir enfin réussi à capter l'attention de son mari. Sa manette reposait sur sa cuisse. Philip l'ignora, ses pupilles rivées en direction de l'amour de sa vie.
« Ma chérie, je suis sûr que ça devait être à cause de la poussière. Il fait trop chaud pour tomber malade. » déclara le soldat. « Maurice va bien, regarde le. »
Le dit Maurice était assis. Fièrement posté contre la jambe de sa maîtresse, l'air idiot mais surtout heureux. La jeune femme soupira à cette vue. Soudainement, le poids qui s'était incrusté dans son cœur disparu, laissant place à un sentiment de soulagement très exagéré.
« Je ne veux pas d'un animal malade avec nos enfants. Si je l'entends recommencer on l'emmènera chez le vétérinaire, d'accord ? »
« Oui, m'dame. » sourit Phillip.
La jeune femme caressa gentiment le sommet de la tête du golden retriever, le faisant soupirer d'aise, ainsi qu'aboyer, peu après. Le chien se frotta gentiment à elle, sa queue balancée dans les airs, signe de son d'épanouissement.
« Je peux retourner à ma partie, maintenant ? »
« Oui, mon amour, tu peux. Merci de ton attention. » pouffa la mère.
« Tout le plaisir est pour moi, ma chérie. » répondit son époux.
De retour dans la cuisine, la mère de famille ne parvint point à effacer le sourire dessiné sur ses lèvres. Suivie de près par son chien, elle le sentit s'installer entre ses jambes lorsqu'elle ouvrit le robinet et commença à se laver les mains. Elle baissait de temps à autre la tête dans sa direction. Apercevoir son adorable petit minois suffit à la faire glousser. Toute cette attention dirigée vers elle la fit fondre de bonheur, elle ne put résister à l'envie de chouchouter son animal de compagnie. Lui offrant une petite confiserie, elle le laissa tranquillement s'occuper avec, elle en profita pour retourner à la préparation de ses pâtisseries.
Une fois la mixture enfournée, elle s'affaira à nettoyer la cuisine. Elle récura la planche à pain, l'îlot central et prépara un immense plateau afin de pouvoir parfaitement disposer les gâteaux à leur sortie. Lorsqu'elle entendit sa fille descendre des escaliers, elle était en train d'essuyer le bord de l'îlot avec un joli torchon à carreau. Torchon qui, tomba au sol, sous l'expression hébétée de la mère.
« Maman, chut, ne dis rien ! »
L'adolescente se précipita sur les lèvres de sa mère, elle les camoufla de ses doigts. Ses yeux écarquillés avaient un côté comique. Sa mâchoire s'en était presque décrochée. Le ton suppliant de sa voix cherchait à adoucir l'état de choc dans lequel elle se trouvait. Le silence dans lequel elle s'était réfugiée était inquiétant, mais la fille se sentait déjà chanceuse qu'elle n'eût pas hurlé d'horreur plus tôt. La mère de famille déglutit. Elle observa la tenue de son enfant, prise par surprise par l'attention avec laquelle elle s'était pouponnée.
« Si papa me voit il va piquer un crise, alors ne dis rien. Je t'en prie, maman. »
L'adolescente s'assura que sa mère fut effectivement calmée au moment où elle retira ses mains. Elle la sentait inspirer grandement. Cela fit augmenter les battements de son cœur. Elle tourna alors sur elle-même et offrit un sourire timide à sa mère.
« Qu'est-ce que tu en penses ? »
« J'en pense que Maurice est allergique à ton parfum, ma chérie. »
« Oh, vraiment ? » s'étonna la demoiselle.
La mère hocha la tête, au même moment, le golden retriever éternuait. Cela prit par surprise l'adolescente qui, immédiatement, sentit ses yeux s'écarquiller. Elle zieuta le pauvre animal. Et fit la moue.
« Je l'ai gardé enfermé avec moi dans ma chambre. » avoua-t-elle. « Je suis désolée maman, je savais pas. »
La mère de famille déposa une main rassurante sur son épaule.
« Maintenant tu le sais. » elle répondit.
Replaçant une de ses mèches de cheveux sur son front, elle s'approcha de son visage et lui sourit chaleureusement. Cela valut au cœur de l'adolescente de s'emballer. Sa mère sentait bon, elle avait la peau chaude. C'était quelque chose qu'elle avait toujours trouvé agréable. Lorsqu'elle la touchait, son épiderme s'emballait et elle se sentait automatiquement en sécurité. Sa mère avait les yeux doux. Ses pupilles brillaient constamment, même lorsqu'elle était triste et en colère. C'était hypnotisant.
« Tu es très jolie, ma chérie. » murmura la jeune femme. « Je suis sûre que Samuel va adorer. »
Elle déposa un tendre baiser sur son front en bonus. Sa fille rougit à ses propos, cela fut imperceptible, à cause de la touche de maquillage qu'elle avait précédent appliqué sur son épiderme. Mais avec la façon dont elle regardait sa mère ᅳavec émerveillement, cela importait peu. Sa mère se recula d'elle et zieuta avec attention l'entrée de la cuisine.
« Quand est-ce que tu t'en vas ? »
Sa fille jeta un coup d'œil à son portable.
« Dans deux minutes. »
« Reste dans la cuisine. Ton père joue, il ne viendra pas ici. »
L'adolescente enlaça sa mère.
« Merci maman. »
Elle la serrait gentiment dans ses bras, le cœur battant à vive allure et des papillons dans l'estomac. Plus que deux minutes. Plus que deux petites minutes et elle serait réunie avec son petit ami. Cette pensée suffisait à la rendre toute fébrile. Ses mains en étaient toutes tremblantes. Elle se sépara de sa mère et prit place sur l'un des tabourets de l'îlot, laissant tout le temps à sa mère de ramasser le torchon par terre et de le jeter dans la machine à laver. En se redressant, elle croisa le regard larmoyant du golden retriever. Sa vue était brouillée, il était incapable de manger le reste de sa friandise. Cela lui brisa cœur. L'adolescente était bien trop occupée à être sur son portable pour le remarquer, la jeune femme décida alors de s'en occuper. Elle caressa gentiment le poil soyeux de l'animal et lui fit signe de se redresser.
Une fois arrivée dans le salon, elle fit signe au golden retriever de s'installer aux côtés de Philip. Le chien obéit sans rechigner.
« Mon amour, je te le laisse. »
Surpris à la sensation de son chien collé contre son bras, Philip sursauta. Son personnage mourut en réponse.
« Merde ! Hein, quoi ? »
Son épouse roula des yeux.
Elle replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille et fit un rapide signe de tête en direction de leur animal de compagnie. Le soldat passait la pulpe de ses doigts sur le crâne du golden retriever, tendrement, il lui offrir une flopée de papouilles. Sa femme le regarda faire. Elle croisa ses bras autour de sa poitrine et esquissa un petit rictus.
« Il m'embête dans la cuisine, je peux te le laisser ? »
« Comment ça il t'embête ? » s'étonna Graves. « Je l'ai même pas entendu aboyer. »
La jeune femme zieuta le pauvre animal. Elle se sentait mal de l'accuser ainsi, mais, sachant pertinemment comment Graves réagirait à la vue de sa petite fille d'amour maquillée et joliment vêtue, tout ça pour un garçon, elle sut que cela valait la peine. Alors, elle prit elle aussi place sur le canapé et apporta sa main sur le dos du chien. Graves la regardait faire avec attention, surpris par son comportement des plus hors du commun. Il lui suffisait de discuter quelques minutes avec lui le temps que sa fille sorte. Graves n'entendrait sûrement pas la porte d'entrée se refermer. Sûrement.
« Qu'est-ce que t'as ? »
La mère de famille croisa son regard.
« Mhh ? »
Le soldat retira sa main de son chien et alla la déposer sur la nuque de son épouse. Se perdant dans son regard pétillant, il glissa son pouce sur sa mâchoire et se pencha en sa direction. Il la dévisageait avec intensité.
« Phillip. » s'exclama la jeune femme avec embarras.
« Tu manques d'attention, c'est ça ? » demanda-t-il. « Ça t'ennuie que je te touche pas ? Ne t'en fais pas, ma belle, je vaisᅳ »
Frustrée, la jeune femme coupa son mari. Elle déposa la paume de sa main ᅳcelle qui caressait leur chienᅳ sur ses jolies lèvres. Cela prit le soldat de court. Il fit alors les gros yeux. La mère de famille, elle, roula des yeux et déglutit. Son cœur battait vite.
« Est-ce que tu peux arrêter de me parler comme si j'étais une enfant ? » murmura-t-elle avec embarras. « Je voulais juste voir comment tu allais. » elle avoua. « Tu es scotché à ton jeu depuis que tu as quitté la table. »
Graves fit la moue.
« C'est tout ? » il la questionna en saisissant son poignet.
C'était évident que Graves désirait plus. Il adorait taquiner son épouse, il adorait la noyer sous un flot d'attention et de blagues de mauvais goût. C'était tout de dont il avait toujours rêvé. Alors, lorsqu'elle le lui refusait, il se renfrognait immédiatement, tel un enfant. L'expression sur son visage se creusait de rides et l'éclat dans son regard si éblouissant se fana. Raffermissant sa prise sur son poignet, il y déposa un baiser et la força à se rapprocher de lui. Le chien ne fut en aucun cas touché, toujours sandwiché entre ses deux maîtres, observant la cheminée de marbre juste en dessous de l'immense télévision écran plat.
« Phillip, chéri, tuᅳ »
« Attends. »
Graves relevait son regard en direction de la sortie du salon menant à la porte d'entrée ᅳainsi que le couloir menant à la cuisine ainsi qu'à l'escalier. C'était très fin, à peine perceptible, mais le soldat avait entendu une paire de clé bouger. Une clef avait été remuée dans la serrure. Il en était certain. Il appela immédiatement leur fille. D'une voix ferme et stricte, il lui fit tourner la tête dans sa direction. La demoiselle se trouvait dans l'encadrement, sa nuque à peine perceptive, mais son maquillage, lui, très visible. Cela manquait de donner une crise cardiaque à son pauvre père. Père qui, l'instant suivant, chercha à se lever du canapé. Il bondit de celui-ci, rapidement retenu par sa femme qui venait d'attraper son avant-bras.
« Je peux savoir où tu vas, maquillée comme ça ? » demanda Graves.
L'adolescente offrait un regard suppliant à sa mère, sachant que toutes les excuses du monde n'auraient su calmer l'état de colère dans lequel se trouvait son père.
« Va, ma chérie. Je le retiens. »
Graves arborait un sourire narquois.
« Tu me quoi, mon ange ? »
« File, file ! Vite. » s'exclama la mère.
L'adolescente envoyait un baiser volant en direction de la jeune femme, dévoilant au passage un bout de sa tenue à Graves. Le pauvre soldat manquait d'en mourir. De près, son cœur avait arrêté de battre. Il tenta de partir à la poursuite de sa fille, mais sa femme la retint et le temps qu'il se tourne vers elle afin de la réprimander, la porte d'entrée se refermait sur leur enfant.
« Eh, j'ai pas fini ! Reviens aussi ! Merde. »
Graves toisait sévèrement son épouse.
« Où est-ce qu'elle va dans cette tenue ? Et avec qui ? » s'inquiéta-t-il.
« Il s'appelle Samuel. Je l'ai rencontré il y a peu, il est très gentil. »
Graves manquait de s'étrangler avec sa propre salive. Il fut gentiment ramené sur le canapé, cette fois ci près de sa femme ᅳleur chien ayant bougé à l'autre bout du meuble à cause des cris. Son épouse admira son expression terrifiée et passa sa main libre dans sa chevelure.
« Il ?! » répéta-t-il, ébahi.
« Avec une fille aussi mignonne, tu aurais dû t'y attendre, chéri. »
Graves grimaçait.
« Mais.. Elle est encore jeune ? Trop jeune ! »
Il se leva brusquement.
« Je peux encore la rattraper, la raisonner. » s'exclama-t-il.
« Non, tu restes ici. » lui ordonna sa femme. « Tu ne bouges pas d'un centimètres sinon tu dors sur le canapé ce soir. »
Graves la dévisageait avec surprise.
« Et qu'est-ce qui se passe si il lui brise le cœur ? Qu'est-ce qui se passe si je peux pas la protéger ? »
Son épouse gloussa tout en se levant. Rapidement, elle glissa sa main le long de son avant-bras pour entremêler ses doigts aux siens.
« Alors on paiera à ce Samuel une petite visite. Ça te va ? Parfait. Maintenant assieds toi, mhh ? »
Le soldat ne répondit pas. Il cligna des yeux à répétition, encore surpris par la tournure qu'avait pris son après-midi si paisible. Son cœur battait vite dans sa poitrine, il en avait mal au crâne. C'était impensable. C'était inadmissible. Sa petite fille, amoureuse ? Avec quelqu'un ? C'était intolérable ! Il ne désirait qu'une chose, lui courir après et la forcer à redevenir sa petite fille de cinq ans qui ne réclamait que son père, qui n'aimait que son père, et qui avait juré de n'aimer aucun autre homme que son père. C'était pour lui qu'elle avait ri et pleuré ! Elle ne pouvait pas le trahir ainsi, c'était inconcevable ! Cependant, le regard de sa compagne indiquait tout le contraire. Sa femme se sentait fière, joyeuse. Leur enfant avait grandi, sa vie débutait, petit par petit, et cela la rendit folle d'excitation, au plus grand regret de son mari. Graves soupira alors, le cœur brisé.
« C'est pas juste. »
Sa femme riait.
« Pauvre de toi, vraiment. C'est terrible ce qui t'arrive, que le monde est cruel ! »
Graves roulait des yeux.
« Pas la peine de te moquer. C'est bon, j'ai compris. »
Graves fronçait les sourcils à la sensation des doigts de sa femme raffermissant leur prise sur les siens. Gentiment, elle attira son regard défaitiste sur elle. Sa femme lui sourit et se pencha dans sa direction, un fin sourire taquin sur les lèvres et ses yeux toujours aussi pétillant. C'était à se demander si elle n'était pas sur le point de pleurer, si une galaxie ne déployait pas ses ailes à l'intérieur de son regard.
« Tu veux des gâteaux pour te remonter le moral ? » lui proposa-t-elle.
« Est-ce que j'aurais un verre de lait avec ? »
« Bien évidemment, mon chéri. Toujours. »
« Et des bisous ? »
Son épouse sentait ses joues chauffer. Elle se racla la gorge et se pinça joliment les lèvres, sous le regard attentif de l'homme de sa vie.
« Mhh, je crois que ça peut s'arranger ! »
Sa femme le traîna en direction de la cuisine. Tournée vers lui, de manière à lui faire face, elle marcha à reculons, tout sourire. Graves la laissa faire, toute son attention soudainement dirigée droit sur elle. Elle et seulement elle. Il la laissa le plaquer contre le plan de travail en face du four et se pencha dans sa direction lorsqu'elle approcha ses lèvres de sa joue afin de l'embrasser. Elle gloussa. Joyeusement, elle le contempla et saisit rapidement son visage en coupe dans le but de déposer un baiser sur ses lèvres. Graves grognait à la sensation de sa jolie bouche pulpeuse contre la sienne. Cela fit bondir son cœur dans sa poitrine, il en grimaçait.
« Tu es adorable quand tu veux jouer au père protecteur. » déclara la jeune femme.
« Adorable ? C'est tout ? » s'étonna Graves en arquant un sourire.
« Ridicule aussi. » elle rit. « Mais adorable avant tout. »
Cette petite moquerie lui valait de rapidement se retrouver attaquée par une paire de lèvres. Une flopée de baisers fut projetée sur les quatre coins de son visage. Graves la coinça contre son torse à l'aide de ses deux bras musclés. Elle en gloussa. Cherchant à se défaire de son emprise, elle ne réussit qu'à renverser sa tête en arrière et à se mettre à rire à gorge déployée. Son rire cristallin résonna jusque dans les oreilles de Graves. Il en rougit faiblement, le cœur battant à vive allure et les yeux palpitant de tendresse. Son épouse était splendide. Elle lui coupait le souffle. Pleine de vie et de passion, elle le rendait fou.
Pas étonnant qu'on lui vole sa petite et adorable jeune fille. Elle était le portrait craché de sa mère. Il avait déjà tant bataillé dans le passé pour s'attirer l'attention toute entière de son épouse. Il avait travaillé dur pour en impressionner plus d'un, mais surtout elle. Et même après avoir dépassé la concurrence, hommes et femmes avaient tenté de la lui voler. Désormais, c'était aussi au tour de sa pauvre petite et innocente fille.
« Tu crois qu'il va la forcer à fumer ? » demanda soudainement Graves.
Sa femme pouffa. Elle lui frappa gentiment l'avant-bras.
« Ne dis pas de bêtises. C'est une gentille fille et Samuel est très gentil lui aussi. Tout se passera bien. »
Pressant ses deux mains sur ses avants-bras, elle força Graves à se pencher droit sur elle. Elle l'embrassa une fois à sa hauteur. Elle glissa la paume d'une de ses mains sur sa joue, et dévora amoureusement sa paire de lèvres de la sienne. Graves grogna. Il s'accrocha à sa taille et répondit avec ardeur à son baiser, immédiatement enivré par la façon dont elle le caressait et l'embrassait, cela lui fit perdre toute notion ᅳespace, temps, cela importait peu. Il sentait la chaleur de son épiderme même à travers sa jolie robe à carreau et la sentait se coller contre son torse alors qu'elle pliait une de ses jambes en l'air. Le soldat raffermissait sa prise sur sa taille, haletant à travers les narines et fonçant les sourcils. Il finissait rapidement à bout de souffle mais ne s'en préoccupa point. Ce ne fut que lorsque sa femme se recula, complètement déstabilisée, qu'il se permettait d'ouvrir les yeux et d'inspirer.
« BᅳBon, où est ce fichu lait ? » balbutia-t-elle en se faisant un peu d'air à l'aide de sa main. « Un verre. Et, euh, un verre, aussi. »
Rapidement, la jeune femme se tourna en direction d'un cabinet de la cuisine. Elle en extirpa une tasse, sur le dessus inscrit "Best Dad #1" et allait rapidement la remplir depuis une brique de lait dans le frigo. Graves la regardait faire. Il l'admirait, bouche bée. Accoudé contre l'îlot central de la cuisine, il se figea dans l'instant présent et la laissait lui servir un généreux verre de lait. Sa femme accompagna ensuite le tout de biscuits qu'elle avait préalablement cuisiné ᅳoutre ceux cuisant actuellement.
Déposant le tout à côté de lui, sur l'îlot, la jeune femme peinait à croiser le regard de son époux. Comme au premier jour, elle se sentait embarrassée. Graves la rendait toute chose. C'était une ébullition, dans le creux de son estomac. C'était une explosion, dans le centre de son cœur. Graves la força cependant à relever ses yeux, il le fit en apportant ses doigts à son menton et en lui faisant relever le visage. Ce doux geste fit s'envoler une flopée de papillons dans l'estomac de la jeune femme. Elle battit fortement des yeux, soudainement prise par surprise. Graves la contempla avec amour. Il la regardait se mettre à rire nerveusement et cacher son splendide sourire derrière sa main libre.
« Qu'est-ce qui te prends, tout d'un coup ? » elle s'étonna.
« Rien. » murmura le soldat. « Je me disais juste quelle chance j'avais de t'avoir. » avoua-t-il.
« Oh, Phillip.. »
La jeune femme retira sa main de son visage pour enrouler ses doigts autour de son avant-bras. Graves frissonna au contact de sa peau. Il battait des cils, surpris. Elle, s'approcha de lui et embrassa la pulpe de ses doigts pressés contre son menton. Graves résista à l'envie de la saisir par la gorge et de sauvagement lui faire l'amour sur le plan de travail. Elle avait l'air irrésistible, si frêle et si féminine. Il n'avait qu'une envie : succomber, pour la briser et la détruire. Il ne voulait qu'il ne reste rien d'elle, rien qu'il n'ait goûté.
« C'est vrai, regarde toi. Tu es la parfaite épouse. Je n'aurais pas pu espérer mieux. »
La jeune femme esquissait un rictus charmeur. Elle déplaça ses baisers sur le creux de sa paume de main et se mettait à battre des cils de manière séduisante ce qui fit, immédiatement, rire son époux.
« Vos flatteries ne vous mèneront nul part, commandant Graves. »
Graves esquiva un autre de ses baisers pour attraper son visage en coupe et délicatement embrasser le sommet de son nez.
« Ça, permettez moi d'en douter, mademoiselle Graves. »
La main avec laquelle elle s'était accrochée à son avant-bras scintillait. Graves admira son annulaire, orné d'une bague excessivement grosse. La jeune femme gloussa à son insinuation. Elle frissonna d'inconfort. Graves était proche. Mais il restait à la fois si loin. Elle désirait faire plus que l'embrasser. Elle voulait qu'il la consume, qu'il la dévore, qu'il renverse tout ce qui se trouvait sur l'îlot de la cuisine pour qu'il lui fasse de la place pour leur troisième enfant. Elle voulait le sentir, elle voulait fusionner. Elle voulait ne faire qu'un. Ce désir lui fit perdre la tête. Elle en haleta et vit flou. Et Graves admira le tout, complètement captivé par sa détresse. Il plaça une firme prise sur ses hanches de son bras libre et approcha son visage du sien.
« Embrasse moi. » demanda-t-il.
Son épouse pouffa. Elle s'approcha de lui et se mit rapidement sur la pointe des pieds. Lorsqu'elle posa ses lèvres sur les siennes, Graves expira par les narines. Ce fut profond, comme s'il s'était soudainement senti soulagé. Comme si le poids sur ses épaules venait de s'envoler. Les yeux fermés et les sourcils froncés, il se mettait immédiatement à l'embrasser langoureusement. La jeune femme hoqueta face à la ferme prise que Graves exerçait sur sa taille ainsi que sa mâchoire. Puis, sensuellement, elle gémit dans sa bouche.
Le baiser dura. Il dura longtemps. Le soldat ne la laissa pas partir, il la garda pressée contre lui, torturée par le manque d'oxygène et le désir d'être toujours plus touchée. La jeune femme fondait contre son torse. Le baiser était sans arrêt coupé par ses gémissements plaintif et ses soupirs d'aise. Elle se tortillait contre lui, s'accrochait à son avant-bras et son épaule, complètement enivrée par sa force brute et envoûtée par la forte de son eau de Cologne.
Lorsque Graves mit fin à son supplice, la jeune femme retomba fébrilement contre son torse. Graves la contempla avec tendresse. Il se désaltéra tranquillement à l'aide de son verre de lait alors qu'il la zieutait à répétition. Durant tout le long, ses yeux restèrent rivés sur elle. Il ne la quitta point du regard. Elle, s'était s'accrochée à sa taille, la bouche entrouverte, les yeux écarquillés et les jambes compressées l'une contre l'autre. Graves sentait la friction de son bassin se répercuter sur son entrejambe, ce qui ne tardait pas à le faire grogner. Il fermait les yeux, prit par surprise par la vague de plaisir qui le submergea.
« Du calme. » il lui ordonna.
Graves embrassa la joue de son épouse. Une fois les yeux rouverts, il lui tendit un morceau de gâteau qu'elle saisit avec appréhension. Graves, lui, croqua une énorme bouchée dès qu'il eût attrapé sa propre part. Il la gardait contre elle tout en prenant son goûter de bonne heure. Déposant de temps à autre des baisers sur sa joue, sa nuque, sa clavicule, il zieuta aussi à répétition la fenêtre menant à l'allée de leur demeure. Graves cherchait à se changer les idées, l'image de sa fille si jolie et apprêtée pour un autre homme, le hantant toujours autant. La présence de sa femme l'aidait. Il la sentait se coller contre son torse et appeler doucement son nom tel un chant divin.
Lorsque Graves termina de manger, il fit la vaisselle. Rapidement, il nettoya son assiette ainsi que son verre, sous le regard déshabillant de son épouse. Il fit ensuite volte-face dans sa direction et passait son bras autour de son épaule.
« C'était délicieux. » commenta-t-il en déposant un baiser sur sa tempe.
« C'était un peu trop sucré, non ? »
Le soldat secoua la tête.
« Jamais. »
Elle sourit en réponse.
Le couple quitta rapidement la cuisine pour retourner dans le salon. Graves éteignit sa console pour remettre la télévision dans son état originel, pendant ce temps, sa femme prit place à ses côtés. Elle se recroquevillait dans un plaid, rapidement rejoint par leur golden retriever et finalement son mari. Graves passait son bras autour de sa nuque et enclencha un site de Streaming au hasard.
« Tu lui as dit quelle heure ? » il demanda.
Sa femme ne quittait pas l'écran plat du regard.
« Dix neuf heure. Pourquoi ? »
Graves embrassa le coin de ses lèvres tout en démarrant un film. Il se mettait à l'aise, enlaçant la femme de sa vie, jetant à la fois aussi un petit coup d'œil à leur chien qui se mettait à l'aise contre le corps de son épouse. Graves raffermit sa prise puis, avec toute l'indifférence du monde, déclara :
« Pour savoir quand charger mon fusil, évidement. »
#phillip graves#cod mw2#mw2#modern warfare ii#modern warfare 2#philip graves#phillip graves x reader#phillip graves x you
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#SolsticeHiver #SolsticioDeInvierno #WinterSolstice #Celte #Celtique #Celta #Celtic ☸️🌳À chaque instant,un signal. À chaque signal,une réaction de ta part. C'est là alors VIVRE POUR DE VRAI ! Manuscrit des Paroles du Duir-Weid sans nom et sans visage🌳☸️. 👋Madainn mhath!Bonjour tout le monde!👋 🎄🌿🌿🌿🌿🎄 Le Solstice d’Hiver est demain, Mercredi 21 Décembre 2022. 🎄❄️🍎🎁 Les maisons sont décorées de gui, de houx, de pommes de pin, de pommes, de noix, de lierre, de bûches, de petites bougies, d’une Couronne de branches de sapin et de fougères avec du gui et du houx accroché sur la porte, d’un bougeoir de terre cuite en forme de tour à côté de l’Arbre Sacré, craobh an beatha, un petit Chêne Vert en forme de cône, dans un gros pot en terre cuite. Nous le décorons de petits cristaux de roche, de pommes de pin, de petits rondins de bois gravés d’animaux, de guirlandes de lierre et de houx, de petits objets en métal doré, d’autres en terre cuite et peints. Il est replanter en terre 3 jours après les festivités. Dans la cheminée brûle une grosse bûche en chêne. Nous mangeons du porc, chou, carottes, poireaux, endives, purée de pommes de terre à la crème avec ail et persil, pain au levain au seigle et petit épeautre, compote de pomme, en buvant de l’eau, du jus de pomme, du cidre et de la bière. Après le repas, La Veillée, nous buvons le Lait d’or chaud (lait, pâte de curcuma, miel) devant la cheminée en mangeant du gâteau aux pommes et noix et des agrumes, dons nous jetons les écorces dans la cheminée à côté du feu, pour aromatiser la veillée. Nous échangeons des petits cadeaux fait-main en bois, en laine, coton ou lin tissé, en fer, et nous racontons alors histoires et légendes. Un bouquet de gui, de houx, d’olivier et de fougère, cueillis par le Duir-Weid est accroché au-dessus des portes d'entrée, comme protection. Les jours celtes commençant le soir au coucher du Soleil, les festivités commenceront ce soir🎁🍎❄️🎄 👋Grian-Stad Gheamhradh sona a h-uile duine ! Heureux Solstice d'Hiver tout le monde !👋 🎄🌿🌿🌿🌿🎄 https://www.instagram.com/p/CmY__4wNg6N/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Gâteau de naissance par Cakes Kuchen Welt
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Avec chef 👩🍳 @cris.patisse.montreal Tu vas chercher ta cuillère 🥄? On passe à la dégustation de l’arc-en-ciel. On va retrouver à l’intérieur: 🥄un chiffon cake au cacao, très léger et moelleux; 🥄 une ganache montée au chocolat au lait qui fond dans la bouche; 🥄 une crème vanillée pour encore plus douceur 🍬 plein de smarties qui vont apporter une belle dose de croquant. Les petits ont dévoré avec joie l’arc-en-ciel🌈. Et vous savez ce que les enfants ont voulu comme boisson pour accompagner ce gâteau? Du lait 🥛🤣 !C’était vraiment leur moment 😋. Vive les anniversaires et les yeux qui brillent de nos enfants 🤩. Chocolat @cacaobarryofficial . 🌈🌈🎂🎂🌈🌈🎂🎂🌈🌈🎂🎂 #rainbowcakes #rainbow #rainbowcake #rainbowchild #rainbows #smarties #smartiescake #arcenciel #gateau #anniversaire #birthday #birthdaycake #mtl #mtlmoments #mtlcakes #patisseriemontreal #mtlfood #mtldesserts #pastry #patisserie #cakeoftheday #cakemontreal #mtlblog #chocolate #chocolatecake #mtlblog ´ #montreal 💥your photo was shared by: @bakelikeapro #bakelikeaproyoutube 👍 votre photo était partagé par #bakelikeapro https://instagr.am/p/Cstg89muJE3/
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Mon petit gâteau crème à la fraises 🍓🧁🍓🧁
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A table !
ETn dessert une tarte au poires et au caramel
L’automne est une saison magique, où les feuilles changent de couleur et où les fruits d’automne, comme les poires, commencent à faire leur apparition. Le gâteau d’automne à la poire, à la cannelle et au caramel est un dessert parfait pour célébrer cette saison
Avec ses arômes réconfortants de cannelle et sa douceur naturelle des poires, ce gâteau saura réchauffer vos cœurs lors des journées fraîches.
Pour le gâteau :
Poires : 3 à 4 poires bien mûres (comme la poire Williams ou la Comice), pelées, épépinées et coupées en dés.
Farine : 250 g de farine de blé pour un gâteau léger et aéré.
Sucre : 150 g de sucre semoule pour la douceur, et un peu plus pour caraméliser les poires.
Beurre : 100 g de beurre doux, ramolli à température ambiante.
Œufs : 3 œufs, qui aideront à lier les ingrédients et à donner de la structure au gâteau.
Lait : 120 ml de lait entier pour ajouter de l’humidité.
Levure chimique : 1 sachet (environ 10 g) pour faire lever le gâteau.
Cannelle : 2 cuillères à café de cannelle en poudre, qui apportera une chaleur épicée au gâteau.
Sel : Une pincée pour rehausser les saveurs.
Pour le caramel :
Sucre : 150 g de sucre pour réaliser un caramel maison.
Crème liquide : 100 ml de crème entière pour donner une texture crémeuse au caramel.
Beurre : 30 g de beurre pour enrichir le caramel.
Garniture (facultatif) :
Noix ou amandes : 50 g de noix ou d’amandes concassées pour un peu de croquant.
Poudre de cannelle : Pour saupoudrer sur le dessus avant de servir.
Préparation de Gâteau d’automne à la poire
Étape 1 : Préparer les poires
Commencez par préchauffer votre four à 180°C (thermostat 6). Pendant que le four chauffe, préparez les poires. Épluchez les poires et retirez le cœur. Ensuite, coupez-les en dés. Pour éviter qu’elles ne noircissent, vous pouvez les arroser d’un peu de jus de citron. Si vous souhaitez un goût encore plus riche, vous pouvez faire caraméliser légèrement les poires dans une poêle avec un peu de sucre et de beurre pendant 5 à 7 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient dorées
Etape 2 ; le caramel
Dans une casserole à feu moyen, ajoutez 150 g de sucre et laissez-le fondre sans remuer jusqu’à obtenir une couleur dorée. Retirez du feu et ajoutez délicatement la crème liquide chaude (attention aux éclaboussures). Remettez sur le feu doux et incorporez le beurre. Mélangez bien jusqu’à ce que le caramel soit lisse. Mettez de côté pour qu’il refroidisse légèrement.
Étape 3 : Mélanger les ingrédients secs
Dans un grand bol, tamisez la farine, la levure chimique, la cannelle et le sel. Cela permet d’éviter les grumeaux et d’assurer une répartition homogène de la levure et des épices.
Étape 4 : Crème de beurre et sucre
Dans un autre bol, battez le beurre ramolli avec le sucre jusqu’à obtenir un mélange crémeux et léger. Ajoutez les œufs un par un en continuant de battre. Incorporez ensuite le lait et mélangez jusqu’à ce que tout soit bien homogène.
Étape 5 : Incorporer les ingrédients
Incorporez progressivement le mélange de farine aux ingrédients humides, en mélangeant délicatement à l’aide d’une spatule. Une fois que la pâte est homogène, ajoutez les dés de poires et mélangez délicatement pour les enrober. Vous pouvez également ajouter des noix ou des amandes concassées à ce stade si vous le souhaitez.
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To Die For
"Help me, Sebastian," Wolf grunts, dropping his recipe book back onto the counter with a frustrated exhale. "The- stupid book has no page for the cake with chocolate that Fraulein wants for dinner."
Leaning over, Sebastian flips through the pages, coming to a stop at a recipe entitled Gâteau Au Chocolat Fourré à la Crème Pâtissière. "It's just here, Wolf, look. It is in French, though- I can see where the confusion happened."
"Why?! This book is for English baking!"
"The word of the day, mein Wolf, is 'cultural appropriation'. ...no, never mind. Why don't we use my own recipe?" A purr enters Sebastian's voice. "I can work from memory and I assure you, this particular confection is to die for."
Wolf considers for a moment, then shakes his head. "Fraulein would be sad if the guests died at the table."
"...let's just make a Schwarzwälder Kirschtorte, shall we?"
#kuroshitsuji#black butler#sebastian michaelis#wolfram gelzer#baking#chocolate cake!#ainsi parle la reine
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Lorsqu'il ouvrit les yeux, il était complétement désorienté, quelle heure était-il ? Combien de temps avait-il dormi ? Il poussa un petit soupir en bougeant sa main contre son oreiller, papillonnant des yeux en essayant de chasser la brume qui l'enveloppait. Heureusement qu'il n'avait pas cours aujourd'hui. Les jours qui précédaient une pleine lune étaient toujours compliqués et celle qui avait eu lieu le 7 mars ne faisait pas exception. Il poussa un nouveau et long soupir en nichant son nez dans son oreiller avant de se figer, il y avait l'odeur de Sirius dans la pièce... Est-ce qu'il était venu pendant qu'il dormait ? Il se redressa un peu en grimaçant, son regard se posa alors sur le magnifique cupcake qui se trouvait juste à côté de son lit sur sa commode. Oh Merlin... Est-ce qu'il s'était souvenu de son anniversaire ? Remus poussa un petit couinement joyeux, bien sûr, si on l'avait entendu faire, il aurait probablement nié les faits ! Il se laissa retomber sur son lit, affichant un sourire d'imbécile heureux. Il inspira et tendit la main pour attraper le gâteau, avant de se redresser. Il porta la pâtisserie à son nez et fredonna doucement, appréciant l'odeur du chocolat noir qui vient caresser ses narines. Même après toutes ces années, son ami se souvenait combien il aimait le chocolat.
Remus admira la décoration, la couleur de la crème était tellement belle, deux bleues, clair et foncé qui s'enlaçait sous la lune jaune et l'étoile argentée. Son esprit lui traduisait que la lune s'était lui et l'étoile ne pouvait être que Sirius. Moony était satisfait, grattant la paroi de son esprit dans l'espoir de s'échapper, il savait combien le loup-garou en lui voulait marquer chaque partie de la peau de son ami comme sienne, le revendiqué comme son compagnon. Néanmoins, la vie n'était pas aussi simple, il ne suffisait pas d'aller voir Sirius et lui dire qu'il l'aimait pour qu'il y ait quoi que ce soit entre eux. Il avait vu tant de fois celui-ci flirté avec des filles, qu'il avait fini par se résiner à garder le silence. Et puis... Lupin avait du mal à imaginer comment quelqu'un d'aussi parfait que le plus vieux pourrait s'intéresser à lui. Son visage et son corps étaient ravagés par les nuits de pleine lune, par ce qu'une blessure, fait d'un loup-garou, ne guérissait pas vraiment. Il était laid et gardait au fond de lui ce monstre incontrôlable.
- Joyeux anniversaire... Moony. Souffla-t-il pour lui-même.
Il prit son temps pour manger la délicieuse sucrerie, poussant un soupiré de plaisir, Merlin... Si c'était Sirius qui avait cuisiné ça, il allait l'épouser sur-le-champ ! En fait, que ce soit lui ou non, il était touché par l'attention qu'il lui avait offert, ce petit gâteau était délicieux. Même s'il se demandait comment il s'était introduit dans sa chambre sans qu'il ne s'en rende compte, il devait réellement être épuisé...
Une fois qu'il eut terminé de manger la pâtisserie, il fila sous la douche, se lavant rapidement avant de s'essuyer et de s'habiller. Il ne savait pas ce qu'il voulait faire de sa journée, mais il faisait beau, alors il enfila une petite écharpe qu'il avait lui-même tricoté, par ce que oui, Remus était très doué avec les aiguilles. Il avait fini par se faire également un pull, c'était un passe-temps qu'il avait développé pour essayer de faire travailler ses doigts. Il enfila une veste bien chaude et agrippa son sac, ainsi qu'un livre. Le temps était suffisamment bon pour qu'il se rende au parc pour un peu de lecture. En vérité, il avait tellement eu envie de contact James et Lily pour passer du temps avec eux, mais il avait peur de les déranger et ils ne se souvenaient sans doute pas de son anniversaire. À cette heure-ci, Sirius devait probablement être épuisé de sa soirée de travail, alors il ne voulait pas aller l'embêter. Il poussa un petit soupir en se laissant tomber sur un banc, non sans une grimace de douleur, ses os étaient encore douloureux, même deux jours après la pleine lune, c'était toujours autant épuisant pour lui. Il ferma les yeux, savourant la chaleur du soleil sur sa peau. C'était décidé, il devait dire à Padfoot ce qu'il ressentait, il lui fallait juste trouver le courage et espérait qu'une fois encore la peur ne le paralyserait pas.
- Hmmm...
Il ouvrit les yeux, prenant son livre dans son sac pour lire un peu. Est-ce qu'il devait organiser quelque chose ? Demander à ses amis de manger ensemble ? Où juste faire comme il faisait si souvent, le voir comme un jour banal, mais... Il avait 18 ans. Il avait le droit de faire des tas de choses comme... Boire de l'alcool, bon okay, ça ne l'intéressait pas ! Mais il y avait pleins d'autre truc qu'il pouvait faire à présent. Il pouvait rejoindre Sirius à son travail et lui tenir compagnie ! Il pouvait embrasser Sirius... Ah... Ce qu'il en rêvait !
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Fête du manioc
Une vraie richesse gastronomique
C'est sous le thème « lutte contre l’insécurité alimentaire par la promotion du manioc la valorisation de son potentiel économique et la préservation de sa richesse gastronomique » que s'est tenu ce 11 novembre à la maison du parti de Bonanjo, le tout premier festival international du manioc dans la ville de Douala, organisé par l’ONG FADEC (Femme Action et Développement du Cameroun) sur la supervision de sa présidente Madame Yvette Doume Epse Banlog
Le manioc est aujourd'hui l'un des aliments incontestés de nos papilles gastronomiques. L'événement qui se déroule dans la cité économique, dont l'objectif est de mettre en lumière tous les produits dérivés de la transformation du manioc, a tout de même permis aux uns et aux autres d'acquérir de nouvelles connaissances en ce qui concerne cette filière agricole. Ses différentes variétés de transformation montrent à suffisance combien il est agréable d'investir dans cette culture car rien ne se perd de la racine aux feuilles, tout est valablement exploitable pour des fins inimaginables. Alors, pour cela le manioc mérite d'être fêté. Pour célébrer le festival baptisé All kassava, parrainé par le Ministre de l'Agriculture et du Développement Rural. Les exposants et agriculteurs en grande majorité des femmes sont venus des quatre coins du Cameroun et même d'ailleurs, notamment le Gabon, le Congo Kinshasa et la République Centrafricaine, présenter aux hautes personnalités et bien d'autres curieux venus pour l'occasion, leur savoir-faire sur les différentes transformations du tubercule.
Savez-vous qu'il existe en réalité presque 30 manières d'exploitations du manioc ?
Le manioc avec toute sa richesse et surtout diététique peut-être utilisé dans le domaine cosmétique d'où on peut obtenir des gels, des savons et crèmes. Il est aussi sollicité dans la pharmacopée ou on peut se servir de ses feuilles pour une augmentation sanguine. À partir du manioc on peut aussi brasser du vin bio et naturel sans additifs chimiques. Et que dire de sa gastronomie, d'où son champ lexical à n'en point en finir : on peut disposer de la farine de manioc sans gluten, les bâtons de maniocs, les beignets de manioc, les crêpes, du pain, des cookies, De neems, les gâteau, les beignets soufflés, les mitumbas, le koki de manioc, le water fufu. Le manioc intervient également dans la lingerie via son savon liquide et son amidon, la liste est loin d'être exhaustive. Sur le plan local, le manioc est considéré comme cette culture qui contribue à la sécurité alimentaire. « Le manioc est un des rares aliments, cultivé dans les dix régions du Cameroun. Il contribue à la sécurité alimentaire dans le pays avec une production qui tourne autour six millions de tonnes par an et revient à deux cents kilogrammes de manioc par habitant » déclare Gabriel Mbairobe, Ministre de l'Agriculture et du Développement Rural. De toutes les filières de tubercules, le choix est porté sur le manioc de par sa diversité de transformations « le manioc a plus de matières sèches, peut produire sur un kilogramme 25% de farine et nous avons identifié le manioc, donc aujourd'hui si nous transformons les six millions de tonnes de manioc que nous avons en farine ça nous permet d'avoir un million cinq mille de tonne de farine à base de manioc. Nous importons un million de tonnes de blé, vous comprenez que le manioc est une filière importante pour réduire le déséquilibre de notre balance commerciale sans compter que nous dépensons chaque année deux cent soixante milliards pour importer la farine de blé » ajoute le Minader.
D'après Gabriel Mbairobe, la production du manioc relève des défis car son rendement s'élève à environ 5 à 7 tonnes en hectares. C'est la raison pour laquelle son ministère a mis sur pied une procédure pour porter le rendement à 15 tonnes à l'hectare à l'horizon 2025 et 20 tonnes à l'horizon 2030. En passant bien évidemment par l'amélioration des techniques agricoles, les itinéraires techniques afin que le manioc soit plus rentable. Cependant, il faut noter que les zones où est cultivée cette denrée sont pour la plupart des secteurs enclavés, le Ministre compte installer dans les dix régions du pays deux cent unités de transformation du manioc. Rappelons que la première usine a déjà vu le jour dans la région du Sud à Ngoulemakong le 12 janvier dernier. La culture du manioc qui emploie bon nombre de femmes et de jeunes, qui jusqu'ici nourrit son homme reste pour certain le bon choix et l'investissement du futur.
Lisa YOUMSSI
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