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#fu furieux
ao3feed-ladynoir · 5 months
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christophe76460 · 16 days
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Vous connaissez probablement la fable de Jean de la Fontaine intitulĂ© “le lion et le rat” qui raconte l’histoire d’un rat qui dĂ©livre un lion de son piĂšge. La morale de cette fable se trouve au dĂ©but de celle-ci (2Ăšme vers) : “On a souvent besoin d’un plus petit que soi”.
Eh bien ! Dieu se sert de bestioles bien plus petites qu’un rat pour accomplir des dĂ©livrances bien plus grandes que celle d’un lion.
* * *
Le petit papillon
Il y a plus d’un siĂšcle et demi, Frank, un vieux mĂ©canicien de locomotive Ă  vapeur, racontait le fait suivant :
« Je conduisais le train sur la ligne Chicago-New York, avec l’aide du chauffeur Jim Walker. Nous sommes partis Ă  1 heure du matin et l'arrivĂ©e Ă  destination Ă©tait prĂ©vue Ă  6 heures. Il faisait un temps Ă©pouvantable : il pleuvait Ă  verse, le vent soufflait avec violence, et la nuit devenait de plus en plus opaque. Toute mon attention demeurait en Ă©veil pour repĂ©rer les signaux que je ne discernais qu’au dernier moment. Le brouillard Ă©tait si dense que les phares de la locomotive n’arrivaient pas Ă  le percer. Il semblait que nous allions foncer contre un mur. J’étais oppressĂ© et je priais pour implorer la protection divine.
Tout Ă  coup, dans le brouillard, je vis l’ombre d’une femme, vĂȘtue d’un ample manteau noir. Elle faisait de grands signes avec les bras, puis brusquement elle disparut dans la nuit. Jim, occupĂ© Ă  la chaudiĂšre, n’avait rien vu. Quand il vit mon visage, il s’effraya :
– Qu’as-tu, Frank ? On dirait que tu as vu la mort !
Je fus incapable de lui répondre.
Je savais que nous Ă©tions proches de la fameuse cascade de Rock Creek, un des beaux sites du parcours, et lĂ , un pont de 200 mĂštres franchissait le prĂ©cipice. Je ne disais toujours rien lorsque Jim poussa un cri d’épouvante. La femme en noir Ă©tait de nouveau devant le train et nous faisait signe d’arrĂȘter. Presque malgrĂ© moi, j’actionnai les freins, et le convoi stoppa un peu plus loin. Les voyageurs se mirent aux fenĂȘtres, quelques-uns vinrent aux nouvelles. Ce n’est qu’au chef du train que je pus raconter ce que nous avions vu.
– Un fantĂŽme ! dit-il d’un ton furieux, vous ĂȘtes complĂštement fous. Enfin, allons voir pour vous tranquilliser ; prenez une lanterne et nous irons jusqu’au pont.
A peine avions-nous fait quelques pas qu’un spectacle terrifiant s’offrit Ă  nos yeux. Au-dessus du vide, les rails tordus pendaient au milieu des poutres cassĂ©es et des troncs d’arbres arrachĂ©s. La cascade, enflĂ©e par la pluie diluvienne, passait par-dessus pour se perdre dans l’abĂźme.
Nous regardions ce dĂ©sastre sans mot dire, conscients que, si notre train n’avait pas Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© providentiellement, il aurait Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ© dans le ravin.
Alors que je mentionnais une fois de plus cette femme que j’avais vue agitant les bras, le chef de train s’écria :
– Elle est là !
En effet, on pouvait voir une ombre qui s’agitait dans le brouillard. Un voyageur se mit à rire :
– Regardez, voilà votre fantîme !
Et il montrait un petit papillon qui voletait Ă  l’intĂ©rieur d’un des phares. Quand il passait devant le rĂ©flecteur, son ombre agrandie Ă©tait projetĂ©e contre le mur de brume, et le mouvement de ses ailes donnait l’apparence de signaux.
Cela fit rire certains voyageurs. Pour moi, ce n’était pas le hasard qui avait introduit cet insecte dans le phare. Dieu avait rĂ©pondu Ă  ma priĂšre. Il peut utiliser mĂȘme un petit insecte pour protĂ©ger la vie des hommes.
Nous pouvons dire ainsi avec assurance : Toutes choses (mĂȘme un petit papillon) travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu (Romains 8 v.28) »
* * *
Quand une araignée se met au travail
Dans le petit village de Stambourne, au sud-est de l’Angleterre, le presbytĂšre Ă©tait habitĂ©, en 1662, par le pieux pasteur Henri Havers.
Comme beaucoup de ses confrĂšres, il fut contraint d’abandonner son home. Pourtant il n’en continuait pas moins Ă  prĂȘcher l’Évangile de JĂ©sus Christ, en temps et hors de temps. Cette vie errante l’exposait Ă  de graves dangers, mais le MaĂźtre qu’il servait lui fit voir maintes fois de merveilleuses dĂ©livrances.
Un matin, ses voisins vinrent l’avertir qu’un groupe de dragons* Ă©tait Ă  sa recherche. Il n’avait plus le temps de seller son cheval et de fuir. Le seul endroit qui pouvait lui servir de refuge Ă©tait une vieille dĂ©pendance de la ferme ; il s’y blottit dans le four vide.
A peine s’y trouvait-il qu’une araignĂ©e monta aprĂšs lui jusqu’à l’ouverture bĂ©ante et y tissa sa toile gracieuse. Il ne put s’empĂȘcher de l’admirer. BientĂŽt elle obstrua complĂštement l’ouverture avec les fils serrĂ©s de sa toile.
Henri Havers entendit alors des voix et des pas qui se rapprochaient ; les soldats arrivaient. Ils cherchĂšrent de tous cĂŽtĂ©s. Passant devant le four l’un d’eux s’écria : « En tous cas, nous n’avons pas besoin de chercher ici ! Le coquin n’aurait pas pu y entrer sans briser cette toile d’araignĂ©e ».
Et ils partirent ne se doutant pas de l’extraordinaire protection que Dieu avait accordĂ©e Ă  son serviteur.
* dragons : soldats se déplaçant à cheval mais combattant à pied.
* * *
La mouche
Nous sommes au 18Ăšme siĂšcle. Alors que John Wesley prĂȘchait Ă  Dublin, un certain personnage de la ville, trĂšs opposĂ© Ă  ces prĂ©dications, mais grand amateur de musique religieuse, rĂ©solut d'assister Ă  l'une de ses rĂ©unions, seulement pour entendre les cantiques accompagnant la prĂ©dication. DĂ©cidĂ© de ne rien Ă©couter d'autre que la musique, il se bouchait les oreilles pendant toute la durĂ©e des intervalles entre les chants.
Mais Dieu a tous les moyens pour atteindre une conscience !
Pendant que notre homme se bouchait fermement les oreilles, une mouche vint se poser sur sa figure. La dĂ©mangeaison devint intolĂ©rable au point qu'il souleva la main pour chasser l'insupportable bestiole. Ce fut assez pour qu'il entendit John Wesley citer Ă  cet instant prĂ©cis ces mots, rĂ©pĂ©tĂ©s cinq fois dans les Évangiles :
« Quiconque a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! »
Cloué par la surprise, il continua d'écouter et sa conscience fut atteinte par les paroles de la Bible. Elle ne lui laissa plus de repos. Et il suivit toutes les prédications de John Wesley jusqu'à ce qu'il trouvùt enfin le repos en recevant Jésus comme Sauveur.
Oui, Dieu se sert mĂȘme d'une mouche pour amener quelqu'un, mĂȘme le plus endurci, Ă  croire en JĂ©sus !
* * *
Nota : Cette derniĂšre histoire est tirĂ©e du calendrier “5 PAINS ET 2 POISSONS”
Celui qui a nourrit Ă  satiĂ©tĂ© 5 000 hommes (sans compter les femmes et les enfants) avec 5 pains et 2 poissons (Matthieu 14 v.16 Ă  21), ne peut-il pas faire de grandes choses avec des petites, ne seraient-ce qu’avec des simples bestioles ?
www.la-verite-sure.fr/page632.html
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lemuseedesmiroirs · 2 years
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Les yeux fermés
Un autre rĂ©veil Ă  la monotonie. Une cave sombre et froide. NĂ©anmoins c’est ce que je crois, instinctivement. En effet, je n’ai ni vue, ni sens de la tempĂ©rature. L'ouĂŻe et l’odorat me sont aussi inconnus. OĂč suis-je? Aucune idĂ©e. Qui suis-je? J’en suis confus. Ce n’est pas grave. Je n’en ai pas besoin. J’ai le mĂȘme travail depuis toujours. J’interprĂšte. Je prĂ©dis. J’estime. Le reste, ils s’en occupent. « Vaguement » est mon seul mantra. Je fais ce qu’il me plait, ils le valideront.
Bienvenue dans ma vie, mon petit chez moi. Suis-je le seul Ă  l’habiter? Je ne m’y intĂ©resse pas vraiment. Ici, je ne laisse pas place Ă  la curiositĂ©. Je me sĂ©curise dans la procĂ©dure, le conservatisme et le traditionnel. On me rĂ©veille, puis le travail commence. J’y vois un cafĂ©. J’y vois la pĂąte Ă  dent. J’y vois le mĂ©tro. Tout cela les yeux fermĂ©s. L’haleine probablement fĂ©tide du patron. Les rugueuse touches du clavier. La sonoritĂ© morose de bureaux entrecoupĂ©s de mousse. Sans odorat. Sans toucher. Sans ouĂŻe. Qu’un prĂ©sage.
La tĂąche peut paraitre inhumaine, voire dĂ©nuĂ©e de sens. Pourtant, je suis ni « magicien », ni « surdouĂ© »: le « secret », l’« expĂ©rience ». Cela fait maintenant 32 « annĂ©es » que je façonne cette « conscience ». J’empile depuis « informations » et « donnĂ©es » sur le misĂ©rable « bagage » m’ayant Ă©tĂ© fourni au prĂ©alable. À partir de presque rien, je me suis moulĂ© dans un « recueil ». J’ai simplement appris, appris Ă  reconnaĂźtre un « monde » dont je ne ferai jamais pleinement partie. Maintenant, je me guide dans mon « nĂ©ant » et, avec le temps, j’ai su changer l’« alĂ©atoire » pour le calculĂ©. Aujourd’hui, j’associe les « bribes » en une « perception » complexe. Du moins, je crois: je n’arrive jamais Ă  savoir s’ils la valident.
Un autre rĂ©veil Ă  la monotonie. Mon univers s’éveille encore dans le noir. J’y dĂ©duis que c’est la fin de semaine. J’y vois un cafĂ©. J’y vois la pĂąte Ă  dent. Cette fois-ci, je prends la dĂ©cision de rester. Le soir venu, j’y associe le son d’un frappement sur une porte. Ils disent « qui est-ce? » RĂ©sultat: l’ex-amoureux. Il devait crier. Il Ă©tait furieux, j’en ai bien souvenir. Pourquoi? Je ne suis pas certain d’avoir compris. Je n’ai fait que mon travail, lier frappes Ă  la colĂšre, injures Ă  une certaine dĂ©ception. Revenons. Avant qu’ils ne l’entendent, le bruit fort, ce devait ĂȘtre la porte qui avait lĂąchĂ©e. En d’autres mots, il se trouvait dĂ©cidemment qu’en face. Mais quel est cet objet que je su qu’il brandi? À peine ai-je eu le temps de le deviner que je fus brutalement dĂ©chirĂ© d’une
***
Sur le rapport autopsie du cas #163-9987B, on dĂ©crit une victime tuĂ©e par une balle de petit calibre, un pistolet. La jeune femme, 32 ans, mĂ©tissĂ©e, avait Ă©tĂ© tirĂ©e Ă  la tempe, puis retrouvĂ©e imbibĂ©e d’un ocĂ©an de sang. Son visage avait Ă©tĂ© laissĂ© mĂ©connaissable, crispĂ© face Ă  l’effroi. Si elle n’avait pas perdue toute sa stature, elle en serait probablement encore tendue. Heureusement, ses fonctions primaires dĂ©chues dĂšs l’impact l’avaient Ă©pargnĂ© d’une part d’horreur qui allait suivre. En effet, ses vĂȘtements avaient Ă©tĂ© Ă©corchĂ©s par les griffes d’une bĂȘte farouche, laissant ses seins et son aine nus. La scĂšne faisait rĂ©gner un silence dĂ©pravĂ©. Ceux Ă  l’habit blanc savaient, mais personne n’osait le mentionner: c’était un meurtre suivi d’un viol. Aucune pitiĂ©. Violent. Cruel. DĂ©cidĂ©ment, un autre fĂ©minicide.
© Alexis Tremblay 2022
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ML French dub/English sub: S4E06 - Fu Furieux (Furious Fu)
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FanSub Project: Subs-de-Ladybug-et-Chat-Noir
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Translated by: @2manyfandoms2count
Video edited by: @chicoriii
Host gremlin: @familyagrestefanblog
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bananagreste · 3 years
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ladynoir, oh, ladynoir ↳ day 245
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ouijaban · 3 years
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Ephemeral summary
For all the Miraculous fans who don’t speak French and are struggling to understand, here’s a basic summary of the episode– Ephemeral version:
Gabriel is in the basement crypt speaking to Emilie. He says that everything he's done has been for her, and that he would start over a hundred times if it were necessary. Then Nathalie calls him and tells him, "It's time."
Bob Ross drops a coin into a gutter and is distraught by this, saying no one else can have it because it belongs to him. Gabriel, in the car with Adrien, senses this and tells him that he doesn't feel well and that he has to represent him in the press conference instead. Adrien resists pretty strongly, saying that it's the launch of his hundredth collection and that people want to hear from him, not his son.
Gabriel very visibly twists his ring, and says, "Adrien, I am your father. I entrust to you the responsibility of the success of this press conference. Under to circumstances will you leave the room before it's finish. I demand that you bring honour to my work, and to the memory of your mother. Am I understood?" to which Adrien immediately replies, downcast, "Yes, I understand, father."
(Translation note here: the instructions he gives are very precise and use heavily formal language. There are also a lot of words that have a potential dual meaning of trust and responsibility, where the moral burden is on Adrien but it's definitely not a request.)
Adrien does the press conference. The first question is about how the collection is dedicated to his mother, who is still missing. The reporter asks how they conceived that idea. Adrien says, "As far as I can remember, everything my father has done has been for her."
Meanwhile, Bob Ross has been akumatised into a giant golden safe and is flying about the town. Ladybug wants to contact Chat Noir, whose Cataclysm could easily dissolve the safe, but he's not answering her calls and because she doesn't know his identity, she can't go find him.
Adrien sees what's happening and clearly wants to join the fray, but Nathalie tells him over the headset that his father is counting on him, which prompts him to return his focus to the conference.
Ladybug uses Lucky Charm and summons a massive firetruck. The team comes up with a convoluted plan involving Vesperia, Polymouse, Pigella, Carapace, and Viperion and open the safe by testing every possible combination using Second Chance.
Papillombre does his usual villain monologue and repeats that he would start over hundreds of times, and that one day or another he would end up winning.
Luka detransforms and hands his bracelet over to Ladybug, but they're interrupted by Su-Han from Fu Furieux, who yells at her for giving out nine Miraculous when Chat Noir alone would have been sufficient. She protests that she had no choice, because he was unreachable, to which he gets even more angry. He claims that a Miraculous so powerful without a holder should never be out of sight, and that if the person using it behaved like Papillombre it would be a serious problem. Ladybug objects that he's exaggerating and Chat Noir wouldn't do that, but Su-Han asserts that she must know his identity to neutralise him if it came down to that. Su–Han says that he would then need to find out and take his Miraculous in order to give it to a new Chat Noir. She says ok and he leaves.
Luka asks if she's going to find out Chat's identity– she's hesitant, but says she has to, because the alternative of fighting the celestial guardians and losing their Chat Noir isn't worth it.
Adrien, back at home, retransforms and checks his messages. He calls Ladybug back as Chat, attempting to explain but she cuts him off before he can do so. Instead, she asks him to meet her at the Eiffel Tower so they can talk. Chat thinks he's in trouble and is anxious, but sets out to meet her regardless.
Ladybug and Luka conceive a plan: on the rooftop, Ladybug will get Chat Noir to confess his identity, and then Viperion will use Second Chance so that he will remember even though Ladybug will not. There's some foreshadowing where Marinette says that all it would take is for one of them to be akumatised to betray the other if they knew each other's secret identities.
Chat arrives at the Eiffel Tower, with Ladybug and Viperion timing the meeting exactly. He apologises for not showing up, and Ladybug says it's the advantage of having a team and that they couldn't just be the two of them. Chat is confused, having thought this was what she wanted to discuss, and asks why she asked him to meet her then. Ladybug confesses that her reason is related to what happened, and that after becoming Guardian she ultimately thought he was right in the end about revealing identities. She gives a speech about how this reveal will help them work together better and beat Papillombre faster.
Chat is unexpectedly hesitant and asks her to go first, or for them to do it together, which she refuses to do because it would ruin her plan. He's very stressed but ultimately says that he's Adrien. She laughs at him and says it's impossible because there's no one more different than the two of them. So he detransforms (lmao).
She is SHAKEN by this, and when Viperion asks if he should rewind time now since he heard the name she says no, not right away. Adrien is somewhat dismayed, but gives a speech about how he also worries about what people think of him, but that he's anticipated this moment for so long. He ends by saying that he's happy to not have to lie anymore, and that he hopes she's not too disappointed– and also that regardless of who she is beneath the mask, she's the most exceptional person in the world.
The time for winding back runs out, and there's no possibility of a Second Chance now. Luka says he hopes she knows what she's doing, while Ladybug is still speechless.
Finally, she says– "I am
Ma– Ma– ill at ease, sorry." (This is a reference to the first episode where she almost says her name and says maladroite instead. This time, she says 'mal à l'aise.')
Adrien tells her to take her time until she's ready, and that she knows his name and where she lives, so no biggie. She runs away and confers with Luka, who asks her why she changed her mind, to which she says it's because she was curious about what would happen now that she knows and that it doesn't matter so long as he doesn't know her.
Tikki and Marinette discuss her dilemma in the bedroom. Marinette is confused because she loves Adrien but not Chat, and says that they seem like two different people, wondering which is the "real" Adrien inside him. Tikki advises her to talk to Alya, but she says she can't because then Alya would know both of their identities.
Meanwhile Adrien is bouncing off the walls, excited, saying that she'll get to know him as himself finally before she tells him who she is. He's making jokes and chilling and having the time of his life. Plagg is done with his shit and eats cheese sadly.
Montage time! Marinette interacts with Adrien and finds that she now can't stop seeing Chat in everything he does. Luka and Marinette have a chat, where she asks if he's ever known someone and then discovered they have a secret side he could have never imagined. He says yes, and then explains when she asks if it was confusing and made it hard to envision them the same, he says no, that it just allows him to understand the person better.
The montage becomes more positive, with Marinette noticing traits of Adrien in Chat, like his fencing skills. Their teamwork has never been better. This culminates in the umbrella scene from the trailer, where she at last understands that Chat and Adrien are the same.
Ok. Reveal time. BIG SPOILERS AHEAD.
Ladybug grabs Adrien's hand after he's detransformed and tells him to wait. Blushing, she says, "I'm
I'm ready this time." Adrien blushes profusely as well and stares at her, speechless and wide-eyed. Without hesitation, she detransforms into Marinette. Adrien is 👁👁.
Softly, she says, "Say something." When he doesn't, she averts her eyes and says, "Now that you know who I am (nervous laugh), I assume that you don't love me anymore."
Adrien immediately says "No!" and grasps her hands in his. Then, he says: "it's just that I've just found out that one of my best friends is also the person who I admire more than anything in the world." Then he hugs her.
Cut to later in class. Adrien and Marinette are that couple (again) and he passes her a love note. Later, he's in bed and they're on the phone. We only hear the end of their conversation– they make plans to meet at the cinema the next day because they miss each other, then play the you hang up, no you hang up game (of course) and then finally Adrien says "good night, my lady." Gabriel, creepily listening at the door, realises that his son is Chat Noir.
(This next scene will probably be controversial and I don't want to include my own bias, so I'll translate it as literally and objectively as is possible. If you have any questions or issues with my translation, let me know and I'll try to address them.)
Gabriel tells Adrien to get up, which he does immediately, telling him that he's on his way. He then tells him to come with him, to which Adrien says, "Yes, father." Adrien follows him to the portrait of Emilie, surprised, and then down to the secret basement. Plagg asks, "Did you know you had this at your house?" and Adrien replies, "I don't know if this is still my house. Stay hidden, Plagg."
Adrien walks in stunned silence towards the coffin. It opens, and Emilie is revealed. He is distraught, and says– "Maman?" Behind him, Gabriel says that he has searched for how to tell Adrien this for a long time, and transforms into Papillombre. Adrien is shocked.
Immediately, he backs away towards the coffin, Papillombre following. Papillombre tells him that never in his search for the Miraculous of Ladybug and Chat Noir for so long to bring her back to them had he ever imagined that the solution would be under his own roof. Before Adrien can reply, he releases an akuma.
Papillombre says: "ÉphĂ©mĂšre, I am your father, the Papillombre. I give you the power to breach time and help me to bring back your mother. All that I ask of you in exchange is the Miraculous of Ladybug
and your own."
Adrien replies, resisting very heavily: "You couldn't ask that of me!"
Papillombre twists his ring beneath the glove, and Adrien screams– "No, no!" Then, Papillombre says: "Do I make myself properly understood, son?" Very suddenly, Adrien goes slack and stops resisting. Softly, he says, "Perfectly, father" and hands the ring to Papillombre.
Plagg emerges and tells him to wait, but Papillombre interrupts and says, "I am your new master, now." Adrien, shoulders slumped and staring at the ground, is akumatised into ÉphĂ©mĂšre.
Meanwhile, Marinette arrives at the empty cinema, wondering where Adrien is. She hears the door open and thinks it's him, only to see Papillombre in Chat's costume, three Miraculous activated simultaneously. She transforms and uses her Lucky Charm instantly, but ÉphĂ©mĂšre touches her, stealing her energy. He says, "I'm sorry, but I promise this will be quick."
Papillombrechat (I have no idea what his new triple hybrid villain name is) says, "Oh, how time passes quickly when you're having fun" and stalks towards her. She runs away, but he says, "It's useless to run away– In a few seconds you'll be a simple girl without powers!"
In her last moments, she sends a text to Luka with the location of Sass, instantly alerting him to the fact that there's an emergency. He bikes to her house. Gabriel takes her Miraculous, meanwhile, and is extremely triumphant that his wish will finally be made.
Luka finds Sass and realises that he has to rewind time further than Second Chance is capable of doing. The kwami object, saying that it's dangerous to use powers without a holder, but around them the world is falling apart, being destroyed so that a new one can be built. They explain that in order for the wish to be made, everything that currently exists has to be overwritten and reconstructed, erasing what's been built up til now.
Sass uses his powers, taking us back to the moment of Chat's initial arrival at the Eiffel Tower, before the issue of confessing their identities was even raised. But this time, due to Sass' powers, everything around them is a mess. Timelines are intersecting– cars stuck in traffic, a former Ladybug holder appearing out of thin air, and many other issues occur. Ladybug attempts to contact Viperion over her earpiece, but there's too much interference and leaves with Chat to find him in person. He detransforms in front of the two of them– Chat seems slightly surprised about this– and Marinette speaks with Sass, who tells them that he doesn't really know what's happening but that he saw a photo of a Lucky Charm and a watch with the time of their meeting at the Eiffel Tower (1 a.m.).
Ladybug and Chat realise that to fix the timelines, they need to set the city's clock right. Together, they fly using their space transformations to the satellite above Paris, which contains the city's master clock, and reset it. Ladybug uses the cure and everything returns to normal.
On the way back down, Chat hums Also Sprach Zarathustra (better known as the iconic theme from 2001 Space Odyssey) and Marinette asks him what it is. He replies, but then asks her what she wanted to talk about on the Eiffel Tower. She says it's nothing important, and not to worry. Chat seems dismayed by this, and they part.
On her balcony, Ladybug meets Su-Han again. She chews him out, saying he only shows up when something bad is happening and that she's proven countless times that she's a responsible Guardian, and that she and Chat Noir are exceptional superheroes. He basically says yeah ok you're right and they fist-bump.
And that's it!
Hope this summary helps clarify some things, and again, if you have any questions I would be happy to help.
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lady-de-mon-coeur · 2 years
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As you might know, numerous episode titles are different in German. I made a list of them just for fun. Take a look, some are actual masterpieces.
#102 Le Dessinateur/The Evillustrator – Der Racheplan (The revenge plan)
#104 Princesse Fragrance/Princess Fragrance – Tikki ist krank (Tikki is sick)
#105 DislocƓur/Dark Cupid – Der Valentinstag (The Valentine's Day)
#107 NumĂ©ric/Pixelator – Der Superfan (The super fan)
#108 L’Imposteur/Copycat – Der BetrĂŒger (The cheater)
#110 Jackady/Simon Says – Die Spielshow (The game show)
#118 La Marionnettiste/The Puppeteer – Ladybug in Nöten (Ladybug in distress)
#120 Guitar Vilain – Rockstars
#122, #123 Origines/Origins – Aller Anfang ist schwer (All beginnings are difficult)
#124 Antibug – Eine ebenbĂŒrtige Gegnerin (A worthy opponent)
Pire NoĂ«l/Santa Claws – Eine böse WeihnachtsĂŒberraschung (A nasty Christmas surprise)
#204 Doudou Vilain/Despair Bear – Party mit Folgen (Party with consequences)
#206 Gigantitan – Das Riesenbaby (The giant baby)
#209 Rossignoble/Frightningale – Der Videodreh (The video shoot)
#212 Sapotis – Außer Rand und Band (Out of bounds)
#213 Le Hibou Noir/The Dark Owl – Doch kein Superheld (But not a superhero)
#221 Anansi – Im Netz der Spinne (In the spider's web)
#222 Maledikteur/Malediktator – Volles Risiko (Full risk)
#301 CamĂ©lĂ©on/Chameleon – Lila gibt nicht auf (Lila doesn't give up)
#302 Animaestro – Die Filmpremiere (The film premiere)
#306 Papa Garou/Weredad – Verliebt in Cat Noir (In love with Chat Noir)
#307 Silence/Silencer – Ladybug ist sprachlos (Ladybug is speechless)
#308 Oni-Chan – Eine neue VerbĂŒndete (A new ally)
#309 Miraculeur/Miraculer – Gestohlene KrĂ€fte (Stolen Powers)
#310 Oblivio – Vergissmeinnicht (Forget-me-not)
#311 Desperada – Das Miraculous der Schlange (The snake miraculous)
#312 MaĂźtre NoĂ«l/Christmaster – Marinette, die Weihnachtselfe (Marinette the Christmas elf)
#313 Startrain – Zugfahrt ins All (Train ride to space)
#315 Festin/Feast – Fehler der Vergangenheit (Mistakes of the past)
#318 Ikari Gozen – Der Freundschaftstag (The Friendship Day)
#319 Timetagger – Ein Schurke aus der Zukunft (A villain from the future)
#320 Trouble fĂȘte/Party Crasher – Die Überraschungsparty (The Surprise Party)
#321 La Marionnettiste 2/The Puppeteer 2 – Das Wachsfiguren-Museum (The Wax Figure Museum)
#323 Felix – Falsches Spiel (Wrong game)
#324 Ladybug – Marinette unter Verdacht (Marinette under suspicion)
#403 Le Gang des Secrets/Gang of secrets – Zu viele Geheimnisse (Too many secrets)
#405 Psycomedian – Nichts zu lachen (Nothing to laugh about)
#406 Fu Furieux/Furious Fu – Vom Master zum Monster (From master to monster)
#407 Pirkell/Sole Crusher – Willkommen in Paris (Welcome to Paris)
#408 Queen Banana – ChloĂ© sieht gelb (ChloĂ© sees yellow)
#409 Gabriel Agreste – Der Collector kehrt zurĂŒck (The Collector returns)
#410 Sangsure/Mega Leech – Projekt Oxygen (Project Oxygen)
#412 Crocoduel – Der große Streit (The big fight)
#414 Sentibulleur/Sentibubbler – Eine Falle fĂŒr Ladybug (A trap for Ladybug)
#415 Glaciator 2 – LiebeserklĂ€rung (A love confession)
#416 Hack-San – Eine neue Ladybug (A new Ladybug)
#417 Larme Ultime/Rocketear – Eifersucht (Jealousy)
#418 Exauceur/Wishmaker – KindheitstrĂ€ume (Childhood dreams)
#419 Simplificator/Simpleman - Zu kompliziert (Too complicated)
#420 Qilin – Aus der Ruhe gebracht (Disturbed)
#421 Chùre Famille/Dearest family – Streit um Marinette (Fight for Marinette)
#422 ÉphĂ©mĂšre/Ephemeral – Zweite Chance (Second chance)
#423 Kuro Neko – Cat Noir 2.0
#424 Penalteam – TorjĂ€ger (Scorer)
#425, #426 La Derniùre Attaque de Papillombre/Shadow Moth's Final Attack – Shadow Moths Falle (Shadow Moth's trap)
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usergreenpixel · 2 years
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Hi, Citizens!
So, in my review of “Andrea ChĂ©nier” (the Frev opera) I mentioned that the real ChĂ©nier was a royalist (that’s the reason why he was actually executed) and even wrote an ode to Charlotte Corday.
Well, I found the ode! Not as proof I’m not lying, just as a fun tidbit.
The original version (from this website):
Quoi ! tandis que partout, ou sincĂšres ou feintes,
Des lĂąches, des pervers, les larmes et les plaintes
Consacrent leur Marat parmi les immortels,
Et que, prĂȘtre orgueilleux de cette idole vile,
Des fanges du Parnasse un impudent reptile
Vomit un hymne infĂąme au pied de ses autels ;
La vérité se tait ! Dans sa bouche glacée,
Des liens de la peur sa langue embarrassée
DĂ©robe un juste hommage aux exploits glorieux !
Vivre est-il donc si doux ? De quel prix est la vie,
Quand, sous un joug honteux, la pensée asservie,
Tremblante, au fond du coeur, se cache Ă  tous les yeux ?
Non, non. Je ne veux point t'honorer en silence,
Toi qui crus par ta mort ressusciter la France
Et dévouas tes jours à punir des forfait.
Le glaive arma ton bras, fille grande et sublime,
Pour faire honte aux dieux, pour réparer leur crime,
Quand d'un homme Ă  ce monstre ils donnĂšrent les traits.
Le noir serpent, sorti de sa caverne impure,
A donc vu rompre enfin sous ta main ferme et sûre
Le venimeux tissu de ses jours abhorrés !
Aux entrailles du tigre, Ă  ses dents homicides,
Tu vins redemander et les membres livides
Et le sang des humains qu'il avait dévorés !
Son oeil mourant t'a vue, en ta superbe joie,
FĂ©liciter ton bras et contempler ta proie.
Ton regard lui disait : " Va, tyran furieux,
Va, cours frayer la route aux tyrans tes complices.
Te baigner dans le sang fut tes seules délices,
Baigne-toi dans le tien et reconnais des dieux. "
La GrĂšce, ĂŽ fille illustre ! admirant ton courage,
Épuiserait Paros pour placer ton image
AuprĂšs d'Harmodius, auprĂšs de son ami ;
Et des choeurs sur ta tombe, en une sainte ivresse,
Chanteraient Némésis, la tardive déesse,
Qui frappe le méchant sur son trÎne endormi.
Mais la France Ă  la hache abandonne ta tĂȘte.
C'est au monstre Ă©gorgĂ© qu'on prĂ©pare une fĂȘte
Parmi ses compagnons, tous dignes de son sort.
Oh ! quel noble dédain fit sourire ta bouche,
Quand un brigand, vengeur de ce brigand farouche,
Crut te faire pĂąlir, aux menaces de mort !
C'est lui qui dut pĂąlir, et tes juges sinistres,
Et notre affreux sénat et ses affreux ministres,
Quand, Ă  leur tribunal, sans crainte et sans appui,
Ta douceur, ton langage et simple et magnanime
Leur apprit qu'en effet, tout puissant qu'est le crime,
Qui renonce Ă  la vie est plus puissant que lui.
Longtemps, sous les dehors d'une allégresse aimable,
Dans ses détours profonds ton ùme impénétrable
Avait tenu cachés les destins du pervers.
Ainsi, dans le secret amassant la tempĂȘte,
Rit un beau ciel d'azur, qui cependant s'apprĂȘte
A foudroyer les monts, Ă  soulever les mers.
Belle, jeune, brillante, aux bourreaux amenée,
Tu semblais t'avancer sur le char d'hyménée ;
Ton front resta paisible et ton regard serein.
Calme sur l'échafaud, tu méprisas la rage
D'un peuple abject, servile et fécond en outrage,
Et qui se croit encore et libre et souverain.
La vertu seule est libre. Honneur de notre histoire,
Notre immortel opprobre y vit avec ta gloire ;
Seule, tu fus un homme, et vengeas les humains !
Et nous, eunuques vils, troupeau lĂąche et sans Ăąme,
Nous savons répéter quelques plaintes de femme ;
Mais le fer pÚserait à nos débiles mains.
Un scélérat de moins rampe dans cette fange.
La Vertu t'applaudit ; de sa mĂąle louange
Entends, belle héroïne, entends l'auguste voix.
Ô Vertu, le poignard, seul espoir de la terre,
Est ton arme sacrée, alors que le tonnerre
Laisse régner le crime et te vend à ses lois.
Here’s the English version (from this website):
What! Everywhere, pretended or sincere,
Of cowards and of rogues the plaints and tears
Of their Marat’s ascension spread the news,
And, prideful priest of deity most foul,
A slimy would-be poet on the prowl
A noxious hymn upon his altar spews,
Yet truth keeps silent! Frozen, terrified,
By icy bonds of fear its tongue is tied,
Denying glorious deeds their just acclaim!
Is life so sweet then, and is death so frightful
When our free thoughts we must conceal and stifle,
Enslaving them under a yoke of shame?
No, I won’t honor you with silent praise
Who for the life of France gave up your days
To punish evils on the world released.
You armed yourself with steel, O maid sublime,
To shame the gods, and to undo their crime
Of giving human features to that beast.
The serpent coiling in his filthy lair
Saw your undaunted hand reach out and tear
Of his accursed days the poison thread.
You came to face the tiger gorged on killing,
Demanding restitution of the villain
For the warm flesh and blood of all the dead.
He saw you in the dimming light of day
Rejoice in triumph as you watched your prey.
“Go, vicious tyrant,” said your gaze, “begone!
Others will follow you into the night.
Bathing in blood has been your sole delight;
Now, fear the gods whilst bathing in your own.”
Illustrious maid! If Greece your like had harbored,
They’d raid their quarries for the purest marble
To raise your statues, to great heroes next;
Choirs at your tomb, in ecstasy most holy,
Would sing of Vengeance, goddess who works slowly
Yet strikes the tyrant when he least expects.
But here in France, to die by axe you’re fated.
It is the monster who is celebrated
Amidst his friends, monsters of lesser scale.
Oh! How you smiled — in what superb disdain
—
When thugs out to avenge the thug you’d slain
Believed the threat of death would make you pale!
Let them turn pale, those magistrates of hate,
Odious officials of an odious state:
At their tribunal, subject to their will,
Friendless and fearless in that awful hour,
You showed them that, though villainy have power,
One who renounces life is stronger still.
For months, beneath a sweet and cheerful look,
Your soul in its well-guarded secret book
Concealed the sentence on the scoundrel passed.
So smiles the azure sky, bright and alluring,
While, hidden still, a mighty storm is brewing,
Ready to shake the mountains with its blast.
Young, fair, led to your death, on that last ride
You looked resplendent like a lovely bride,
Your face, your gaze full of serenity.
Calm even on the scaffold, you despised
The baying crowds in outrage quick to rise,
A servile mob that still believes it’s free.
No, only virtue can be free. Our story
Is one of lasting shame, and yours of glory:
You were the only man, avenging maid!
And we, vile eunuchs, soulless, craven herd
Can murmur, woman-like, a plaintive word,
But our enfeebled hands can’t lift a blade.
You did not think one traitor sacrificed
To our ancestral spirits would suffice
A broken France from chaos to restore:
No, you had hoped that, by your courage shaken,
Our timid souls would finally awaken
And slay the plundering gang grown fat on gore.
One fewer snake crawls in this pit of slime.
Fair heroine of our forsaken time,
Virtue applauds you; hear her noble voice!
O virtue! When to evil laws succumb
And thunder sleeps, the dagger must become
Your sacred weapon and our only choice.
Well, that was an
 interesting read. What do you think, Citizens?
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ladyniniane · 3 years
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Tiens, voilĂ  @lilias42.
(Pour ceux qui se demanderaient ce que c’est ce sont des tentatives de fanfic sur FE3H)
Angst de Felix : 
La porte se referma avec un grincement, annonçant la fin d’une Ă©preuve et le dĂ©but d’une autre. Felix fixa le vide, soudain rattrapĂ© par une immense lassitude. La seule chose qu’il put faire fut de s’asseoir sur le lit dĂ©fait, face Ă  lui-mĂȘme et au nĂ©ant. Dehors, le ciel nocturne, chargĂ© de nuages, dĂ©vorait les toits du monastĂšre. 
Sans plus attendre, il se dĂ©chaussa, se dĂ©vĂȘtit, jeta ses affaires et souffla la chandelle avant de se coucher. L’obscuritĂ© s’abattit mais ses yeux demeuraient grands ouverts. Felix remua, plia et dĂ©plia ses jambes, glissa un bras sous l’oreiller. Il avait retardĂ© le plus possible cet instant, s’entraĂźnant jusqu’à ĂȘtre sĂ»r d’ĂȘtre Ă©puisĂ©. Son chagrin se mettait en sourdine lorsqu’il revisitait le langage familier de l’épĂ©e. Le jeune homme pensait avoir su donner le change.
Enfin, s’il exceptait cet instant Ă  la sortie de son tutorat avec la professeure. Felix s’apprĂȘtait Ă  quitter la piĂšce lorsqu’il avait senti le regard de Byleth le darder dans son dos. 
-Felix, vous pouvez venir me voir quand vous le souhaitez si vous avez besoin de parler, avait-elle annoncé de sa voix calme et claire. 
Les seules fois oĂč il l’avait entendue hurler Ă©taient sur le champ de bataille lorsqu’elle avait besoin de se faire entendre. Pour le reste, rien ne paraissait pouvoir l’ébranler. L’épĂ©iste s’était alors retournĂ©. Les yeux de la gĂ©nĂ©rale, deux miroirs polis, l’attendaient. Un malaise glaçant l’avait alors Ă©treint, comme si son interlocutrice pouvait voir la douleur suinter de lui. 
Felix se souvenait avoir rĂ©torquĂ© quelque chose de sec et bref, lui rappelant qu’elle n’était que son professeur. Cet Ă©change lui laissait nĂ©anmoins un gout amer, car une part de lui savait qu’il avait dĂ©guerpi comme un couard. 
Les cloches sonnĂšrent de nouveau au loin, le temps fuyait. Le vent sanglota dans les combles. La solitude creusait son trou dans sa poitrine. Felix songea, tandis que la colĂšre lui brĂ»lait les entrailles, qu’il comprenait plus que jamais Dimitri. 
*
Le sommeil vint sur lui sans qu’il ne sans qu’il ne s’en rende compte. Il se trouva soudain dans une salle vide. L’atmosphĂšre en Ă©tait pesante, comme altĂ©rĂ©e. Le jeune homme peinait Ă  distinguer les formes et les limites. La lumiĂšre blanchĂątre, Ă  la provenance inconnue, ne parvenait pas totalement Ă  dissiper les ombres. 
Mais ce qui le mit en alerte fut la sensation de luciditĂ©. Felix ignorait s’il Ă©tait rĂ©veillĂ© ou non. Son instinct lui criait que quelque chose l’attendait, de l’autre cĂŽtĂ©. Le rĂȘveur Ă©tait pourtant Ă  premiĂšre vue seul, condamnĂ© Ă  attendre. 
Un cliquetis mĂ©tallique ce fit alors entendre. Felix porta la main Ă  sa hanche, cherchant une lame qui ne s’y trouvait pas. Furieux, il leva alors les poings, se plaçant lĂ©gĂšrement de profil en une posture dĂ©fensive. 
L’adversaire s’approchait. Il pouvait dĂ©sormais entrevoir les Ă©clats argentĂ©s de son armure de plates. 
Le souffle le quitta alors. Ses pupilles ambrĂ©es le fixaient depuis un autre visage. Il connaissait ces pommettes hautes, cette bouche rieuse. Les cheveux de la femme, sombres comme une aile de corbeau, Ă©taient coupĂ©s trĂšs court, nuques et oreilles bien dĂ©gagĂ©es. C’était la copie conforme de ce portrait que pĂšre avait toujours refusĂ© de remiser pour ne pas la livrer Ă  l’oubli. 
Marcia Larina Fraldarius. Maman. 
Felix laissa Ă©chapper un souffle rauque. Il suffoquait, se noyait. La voir avec cette peau lisse, si blanche et lumineuse, lui fit l’effet d’un coup de poing en pleine bouche. Oh, bien sur, il n’avait jamais vu son cadavre. Mais il avait croisĂ© en grandissant un rescapĂ© de la variole. Et outre le fait de se demander pourquoi il avait survĂ©cu et non sa mĂšre, son imagination s’était emballĂ©e. Il avait contemplĂ© cet Ă©piderme violentĂ©, plein de cratĂšres, et apposĂ© cette corruption sur les traits bien aimĂ©s avant de s’en maudire. 
Les secondes avant qu’elle ne s’approchent de lui furent une agonie. Son corps se dĂ©composait sur place, sa langue refusait de lui obĂ©ir. Elle Ă©tait toute proche dĂ©sormais, aussi rĂ©elle que dans ses souvenirs. ArmĂ©e d’une Ă©pĂ©e et d’un marteau de guerre, la duchesse Ă©tait telle qu’elle aurait dĂ» ĂȘtre si la mort ne l’avait pas ravie. Car Rodrigue lui aurait sans doute confiĂ© la dĂ©fense des terres. Peut-ĂȘtre l’aurait-elle mĂȘme accompagnĂ©.
-Quand je pense qu’autrefois je pouvais te blottir sans mal dans mes bras Ă  l’avant de son cheval,  tu as bien grandi, la dame eut un sourire mĂ©lancolique, Tu es devenu un beau jeune homme, Felix. 
Le dĂ©but lui retourna les tripes, mais entendre son prĂ©nom sur ces lĂšvres fantomatiques fut le coup de grĂące. Il flancha, trahi par ses jambes, se haĂŻt. Lui qui faisait toujours face Ă  l’ennemi tremblait pourtant. 
-Non ! Il recula, plongĂ© dans une riviĂšre dĂ©chaĂźnĂ©e, incapable de s’accrocher Ă  une pensĂ©e cohĂ©rente, tu ne devrais pas ĂȘtre lĂ . Tu es morte, cracha-t-il.
Une tristesse suffocante remontait des profondeurs, s’échappait de la geĂŽle oĂč il l’avait bannie. Felix avait de nouveau vĂ©cu ce chagrin en perdant Glenn. Maintenant, c’était le dĂ©cĂšs de pĂšre qui le projetait en arriĂšre, le ramenait Ă  cette horreur incommensurable. La plaie Ă©tait toujours prĂȘte Ă  se rouvrir avec son flot de larmes. Tout ce temps Ă  s’endurcir, Ă  surmonter, Ă  Ă©riger minutieusement des murailles ne valait rien. Il suffisait de voir Marcia en chair pour abolir le passage du temps. 
-Felix, la peine obscurcit les yeux de sa mĂšre tandis qu’elle tendait une main gantĂ©e vers lui, tout va bien. 
Non. Non. Non ! Ça n’allait pas !
Il avait de nouveau sept ans et sa mĂšre avait disparu. Mais Felix ne dĂ©sespĂ©rait pas et attendait son retour. Elle Ă©tait forte, la maladie ne pouvait pas la vaincre. En attendant, il essayait de lire une histoire de chevaliers avec son grand frĂšre. PĂšre fit soudain irruption dans la chambre, le visage d’une pĂąleur mortuaire, cernes violacĂ©es, yeux rougis et gonflĂ©s. Les deux garçons ne l’avaient jamais vu aussi dĂ©fait. Qu’est-ce qui avait pu mettre Ă  terre le Bouclier de Faerghus ? 
Et Rodrigue de les prendre dans ses bras, de les serrer fort contre son coeur pour leur donner toute la chaleur et la force qu’il lui restait. Avant de rĂ©vĂ©ler, d’une voix mĂ©connaissable, la vĂ©ritĂ©. 
Le glas sonna depuis la chapelle familiale. 
-Tout va bien, maintenant. 
EpuisĂ© d’avoir trop pleurĂ©, Felix s’endormit dans les bras de son pĂšre. A son rĂ©veil, sa gorge le faisait encore souffrir, tant il avait hurlĂ©, appelĂ© sa mĂšre Ă  s’en dĂ©chirer les cordes vocales. Elle avait disparu du jour au lendemain. Il n’avait mĂȘme pas pu lui dire au revoir. Elle ne reviendrait pas. Jamais. Jamais. Jamais. Il ne pourrait plus lui montrer ses progrĂšs, Ă©couter les musiciens et regarder les danseurs assis sur ses genoux, se promener dans le jardin avec elle
 Ne restait qu’une question, un cri de rĂ©volte et d’effroi : pourquoi, pourquoi, pourquoi ? 
-Felix

La voix de sa mĂšre lui apparut soudain trĂšs lointaine, comme le murmure du vent. La scĂšne changea. Il Ă©tait Ă  l’avant de la selle, blottit dans les bras de Marcia. En sĂ©curitĂ©. La brise lui parlait d’aventures, faisait chanter les arbres. Les hautes herbes dansaient et la fin de l’aprĂšs-midi nimbait la nature d’un Ă©clat dorĂ©. 
-Regarde, la duchesse se pencha pour embrasser le haut de sa tĂȘte, comme nos terres sont belles. 
*
Felix repoussa la couverture. Une sueur froide et poisseuse recouvrait son dos et son torse. Sa respiration était hachée, ses bras et jambes étaient perclus de crampes. Et les larmes roulaient sur ses joues, incontrÎlables car trop longtemps retenues. 
Ghost Busters Ă  Garreg Mach :
Le moine les conduisait Ă  travers un Ă©troit et bas couloir oĂč rĂ©gnait une humide fraicheur. Devant les dalles usĂ©es par le passage des anciens rĂ©sidents, Maeve se demanda combien l’avaient prĂ©cĂ©dĂ©e. Le monastĂšre faisait en tout cas honneur Ă  sa rĂ©putation : un lieu capable de rĂ©sister Ă  la fin du monde, un dĂ©dale de couloirs et de secrets. 
Vigdis songea que c’était la premiĂšre fois qu’elle s’aventurait ainsi dans ses entrailles. La troupe n’avait fait qu’en effleurer la surface pendant son passage. La majoritĂ© de son temps avait de plus Ă©tĂ© consacrĂ©e aux rĂ©pĂ©titions. Garreg Mach prenait dĂ©sormais pour elle une toute autre signification : c’était un coeur palpitant, le terreau de l’espoir. 
Maeve rajusta son paquetage mais n’émit aucune plainte. Peut-ĂȘtre Amalia avait-elle raison de lui dire qu’elle transportait trop d’objets
 Enfin, le moine aux joues creusĂ©es lui dĂ©signa une porte parmi la rangĂ©e qui s’étendait devant elle. 
-Voici votre chambre, il plissa les yeux et marqua une hĂ©sitation, comme hĂ©sitant sur la maniĂšre de s’adresser Ă  elle. 
La jeune femme y était habituée, consciente que ses maniÚres lui permettaient de passer aisément pour une noble.
-Je vous remercie, elle inclina gracieusement la tĂȘte, nous allons nous occuper du reste maintenant. 
-Juste un petite mise en garde, le moine leva les yeux au plafond, tandis qu’un rictus dĂ©formait le coin de sa bouche, il se murmure que cet endroit serait hantĂ©, plusieurs Ă©tudiants en ont tĂ©moigné 
L’homme se tut et laissa planer le mystùre, savourant par avance l’effroi qu’il venait de semer. D’un geste vif mais discret, Maeve leva la main pour signifier à Vigdis qu’elle s’en occupait. 
-Comme on s’y attend de la part d’un tel lieu, contra-t-elle avec un sourire affable. 
De son cÎté, Vigdis jetait un regard glacial au religieux, faisant bon usage de sa haute stature et de son air peu amÚne. 
La chambre Ă©tait spartiate. Un lit et un coffre en formaient tout l’ameublement. La premiĂšre chose que fit Maeve fut de chercher une place pour son luth tout en comblant le silence avec des banalitĂ©s. Aux yeux de Vigdis, l’instrument Ă©tait indissociable de son amie. Il s’agissait en effet du seul vestige que la magicienne possĂ©dait de son ancienne vie. L’épĂ©iste s’imaginait l’arrivĂ©e de Maeve au chĂąteau par un matin d’hiver, se la reprĂ©sentait avec son trĂ©sor blottit dans ses bras, fleur incarnate sur la neige. 
Un gĂ©missement plaintif, un triste sanglot ce fit alors entendre. Les deux femmes regardĂšrent autour d’elles avant de dĂ©cider qu’il s’agissait sans doute du vent se faufilant entre les pierres. 
-Le voilà notre fantîme, plaisanta alors l’enchanteresse. 
-Il suffit d’ajouter un groupe d’étudiants impressionnables et voilĂ  le dĂ©part d’une lĂ©gende, Vigdis eut un haussement de sourcils dĂ©daigneux. 
-Tu n’aimes vraiment pas ce genres d’histoires, n’est-ce pas ? Pointa Maeve avec douceur.
-Disons, Vigdis rĂ©sista Ă  l’envie de se tordre les mains, que les gens ont tendance Ă  beaucoup trop s’affoler Ă  cause de ces derniĂšres.
Un frisson lui parcourut l’échine, Ă©cho d’une crainte superstitieuse. Le problĂšme avec les fantĂŽmes Ă©tait que l’on ne pouvait pas les tuer. Et il n’y avait pas que les vieilles bĂątisses Ă  ĂȘtre hantĂ©es. Non, son esprit l’était dĂ©jĂ , Ă  trainer le poids de ses de ses douleurs, des doigts froids se posaient parfois sur son Ă©paule, la mĂ©lancolie qui murmurait Ă  son oreille. « Je serai toujours avec toi » avait promis le maĂźtre. Oui, mais comme de l’eau froide dans ses poumons, comme la morsure d’une lame. 
-Tu as raison, Maeve connaissait dĂ©sormais bien son amie, le gel dans ses yeux, la raideur dans sa posture, mais ce moine a voulu simplement voulu nous impressionner alors n’en parlons plus. 
Il Ă©tait facile de donner le change lorsque les flammes brĂ»laient haut. Mais lorsque venait le silence sĂ©pulcral du coucher, ses angoisses s’en revenaient en dĂ©vouĂ©es visiteuses. Enid apparaissait aussi dans ses cauchemars avec un visage hĂąve, des chairs bleues de noyĂ©e ou tout autre immonde souillure. Le champ de bataille lui fournissait une liste infinie d’horreurs Ă  mettre en scĂšne. 
Dans certaines histoires, il Ă©tait possible de discuter avec les spectres, de raisonner avec eux, mĂȘme. Maeve se demanda si une telle issue Ă©tait possible pour les siens. Elle se devait de la trouver. La veille, elle avait encore importunĂ© Vigdis avec ses angoisses. Ses efforts n’étaient pas suffisants. Maeve se devait de lutter, de prendre les spectres Ă  bras le corps et de leur hurler qu’elle Ă©tait aussi forte qu’eux, ou du moins qu’elle allait le devenir. Et surtout qu’ils ne l’empĂȘcheraient pas de continuer. 
Le rangement terminĂ©, toutes deux restĂšrent cĂŽte Ă  cĂŽte et devisĂšrent un peu. Vigdis sortit son nĂ©cessaire Ă  couture et Maeve admira la minutie, l’immense patience que requĂ©rait cet art. Ces mains, que la nĂ©cessitĂ© trempait souvent de sang, Ă©taient aussi dĂ©miurges. Ces yeux entrevoyaient des motifs complexes. S’en suivait alors un dĂ©fi que la musicienne connaissait bien, retranscrire sa vision, la faire naĂźtre en ce monde sans la diminuer ou la trahir. 
-Qu’est-ce que tu brodes ? La curiositĂ© de Maeve l’emporta alors. 
-Deirdriu, rĂ©pondit simplement Vigdis en piquant de nouveau l’aiguille. 
-Je n’y suis jamais allĂ©e, Maeve bondit sur cette opportunitĂ© de s’évader, tu pourrais m’en parler un peu ? Enfin si tu veux, bien entendu, se reprit-elle. 
Allons bon, elle n’était plus la petite soeur sur qui il fallait veiller ! 
-C’est une ville avec beaucoup d’eau, lñcha Vigdis d’un ton neutre, factuel, le visage inexpressif. 
-Incroyable ! Ironisa Maeve, je ne m’en serais pas doutĂ©e. 
Le masque de l’épĂ©iste se fissura et un sourire amusĂ© se dessina au coin de ses lĂšvres : 
-C’est une ville avec beaucoup d’eau et de nombreux canaux. Le mieux pour la visiter est de prendre une barque. Tu passes par de grandes artĂšres, parfois par des petites rues si dissimulĂ©es que tu te demandes ce que tu vas trouver
, si le visage de Vigdis s’animait, son dĂ©bit de parole restait controlĂ©, tant elle cherchait les bons mots, le grand marchĂ© est impressionnant. Il y a des marchandises qui viennent de tout Fodlan et en dehors

Et ainsi pendant les minutes qui suivirent voguÚrent-elles, bercées par le doux murmure des flots. 
*
Maeve revint pour voir si Gladys avait besoin d’elle. Cette derniĂšre avait trouvĂ© un jeu de plateau, sans doute destinĂ© Ă  aiguiser l’esprit tactique des Ă©lĂšves, et l’invita Ă  y jouer. La musicienne savait combien son adversaire Ă©tait redoutable. Mais l’expĂ©rience lui permis nĂ©anmoins de placer quelques bons coups. 
-Tu as enfin ta chambre, la dame déplaça une piÚce, es-tu bien installée ? 
-Oui, ne t’en fais pas. Le moine qui nous guidait a essayĂ© de nous effrayer Vigdis et moi en nous racontant que l’endroit Ă©tait hantĂ©, s’amusa Maeve, et toi, est-ce que tu crois aux fantĂŽmes ? 
-Disons que dans un cadre comme celui du monastĂšre, il se peut que ce soit une histoire pour effrayer les nouveaux, avant pour moi c’était le fantĂŽme de la caserne. C’était soi-disant un gars mort pendant la guerre de Loog qui n’avait pas vraiment compris que c’était fini et Ă©tait rentrĂ© avec son rĂ©giment. Alors parfois, certains racontaient que le fantĂŽme allait venir comme ça

Gladys se leva, yeux Ă©carquillĂ©s, bouche dĂ©formĂ©e en une grimace grotesque, les mains ouvertes avec les pouces positionnĂ©s des deux cĂŽtĂ©s de sa bouche tandis qu’elle se dandinait. Maeve ne put se retenir et Ă©clata de rire. 
-Tu me déconcentres, parvint-elle à protester. 
-Peut-ĂȘtre bien, Gladys esquissa un sourire en coin.
« Ils disaient aussi que l’homme Ă©tait mort dĂ©capitĂ© et qu’il portait sa tĂȘte avec lui. » Mais il n’y avait que les bleus pour s’horrifier d’une histoire pareille. VoilĂ  longtemps que Gladys ne frĂ©missait plus devant de telles vues. Elle ignorait si c’était ou non une bonne chose. 
-Tu m’as demandĂ© si je croyais aux fantĂŽmes
et bien je pense qu’il y a tellement de choses inexpliquĂ©es en ce monde, alors pourquoi pas ? Parce qu’il y avait bien des choses Ă©tranges Ă  la caserne malgrĂ© tout. Des portes qui s’ouvraient sans courants d’air, des bruits dans la salle d’armes, des moments oĂč j’avais l’impression que quelqu’un Ă©tait avec moi, Maeve Ă©carquilla les yeux, mais, tempĂ©ra Gladys, ce n’était pas quelque chose d’hostile. C’était juste
lĂ . J’aime Ă  me dire parfois que c’était un soldat qui n’avait pas voulu quitter ses camarades. Et Ă  force, j’ai fini par m’y habituer. Ça ne m’empĂȘchait pas de vivre ma vie, elle haussa les Ă©paules, et je ne pouvais rien y changer. 
-C’est une bonne maniĂšre de voir les choses, Maeve dĂ©plaça un pion, continuons, je ne suis pas encore vaincue. 
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ladymiraclewings · 4 years
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Miraculous Season 4 / known episodes title:
At the moment, only three episode titles (one of them is in French) of the upcoming season are known and leave little information although the title in question may give clues or theories.
1) Gabriel Agreste
2) Queen Banana
3) Fu Furieux / Furious (I don't know exactly what his English title will be) (this name are be revealed in a convention in Italia by Thomas Astruc, in 2019)
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alexar60 · 4 years
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L’hîtel particulier (29)
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Chapitre 29 : DerriÚre la porte
EpuisĂ© par cette journĂ©e de fous, je m’endormis oubliant de passer voir Tatiana. Cependant, j’appelai sa mĂšre qui apporta des nouvelles plutĂŽt sereines. Bien qu’elle fĂ»t toujours dans un Ă©tat dĂ©pressif, elle commençait petit Ă  petit Ă  retrouver goĂ»t Ă  la vie. GrĂące Ă  ma belle-mĂšre, je pus discuter avec Tatiana par tĂ©lĂ©phone. Je racontai l’effroyable dĂ©couverte dans le jardin sans prĂ©ciser l’origine des corps. Par contre, sa premiĂšre rĂ©action m’interloqua :
-          Comment va le chat ?
-          Je ne l’ai pas revu depuis un bon moment, mentis-je.
Je n’avais pas envie d’entrer dans de grandes explications. DĂšs lors, nous continuĂąmes quelques banalitĂ©s finissant par un « je t’aime » et « moi aussi » qui me donna la force de surmonter la fausse-couche. Je promis de passer la journĂ©e avec elle le lendemain. Entre-temps, les gendarmes Ă©taient partis laissant le jardin dans un Ă©tat dĂ©plorable. De plus, je compris qu’ils n’avaient pas fini en dĂ©couvrant quelques rubalises autours de certains trous. D’ailleurs, je fus prĂ©venu de la prĂ©sence d’une patrouille devant la maison afin d’éloigner les curieux car il y en avait du monde Ă  passer la tĂȘte et Ă  s’interroger sur le ramdam provoquĂ© par les recherches.
Mon corps s’effondra sur le lit d’une des nombreuses chambres d’amis. Je n’avais pas encore pu laver le lit dont les draps et le matelas gardĂšrent une poisseuse humiditĂ© suite Ă  la perte des eaux. Je n’en voulais certainement pas Ă  mon amie, mais je ne me sentais pas capable de dormir dedans. Aussi, je choisis une chambre du second Ă©tage, lĂ  oĂč je n’avais pas encore mis les pieds. Les chambres se ressemblaient plus ou moins Ă  quelques diffĂ©rences prĂšs.
En un rien de temps, je partis dans les bras de MorphĂ©e. Je dormis un bon moment avant d’entendre un appel qui me fit sursauter. Je levai la tĂȘte et fus Ă©tonnĂ© de voir enfin le visage de ce personnage si insaisissable.
-          Joseph, mon ami tu devrais venir voir
 Ils commencent.
La jeune femme au chignon blond portait une tenue trĂšs sexy exhibant un porte-jarretelle noir ainsi qu’une nuisette lĂ©gĂšrement dĂ©modĂ©e. Elle se pencha dans le but de mieux observer Ă  travers la serrure de la porte. A ma connaissance, elle lorgnait dans une salle de bain. Aussi, sans parler, je me levai doucement et approchai.
-          Je te jure, ça vaut le coup, ajouta-t-elle.
Tout en souriant, elle se poussa mais en dĂ©couvrant qu’elle n’avait pas Ă  faire  à la bonne personne, son sourire disparut de son visage laissant Ă  la place une bouche entrouverte pleine d’étonnement. Elle ne dit rien me laissant regarder. De l’autre cĂŽtĂ© de la porte, je remarquai la prĂ©sence d’un lit sur lequel un couple copulait. Elle chevauchait son amant allongĂ©. Ses hanches, son dos indiquĂšrent un certain embonpoint. J’observai le couple se dĂ©battre. Il caressait ses poignĂ©es d’amour, elle frĂŽlait son torse tout en sautillant sur son sexe raide. Je ne trouvais rien de drĂŽle Ă  la scĂšne, mais au moment de m’éloigner de la porte, je rĂ©alisai avoir dĂ©jĂ  vu les cheveux longs de cette femmes. De mĂȘme, son dos rappelait quelqu’un.
-          A mon tour, dit la jeune femme qui me bouscula pour espionner de nouveau.
Le contact de sa main froide glaça la peau de mon bras. Je la regardai tout en rĂ©flĂ©chissant sur ce couple, notamment cette femme qui me disait vaguement quelque-chose. La blonde exprima quelques mots mĂȘlĂ©s d’envie et d’humour. Puis, Ă  ma demande, elle laissa la place.
A peine ai-je eu le temps de coller mon Ɠil contre la serrure que je vis l’homme se lever et courir la bite Ă  l’air dans ma direction. Je pris peur et partis me cacher dans le lit en criant : « Il arrive ! ».  La jeune femme m’accompagna. Ainsi nous restĂąmes bĂȘtement cachĂ©s sous une couette qui ne permettra pas de nous protĂ©ger de la colĂšre de l’homme. De plus, je fus doublement troublĂ© car non seulement, je crus apercevoir le visage de Tatiana lorsque la femme tourna la tĂȘte, mais l’homme me ressemblait Ă©normĂ©ment.
-          Ce n’est pas Joseph ?
-          Chut ! Répliquai-je.
Il demeura un moment sur le seuil de la porte entre les deux chambres. Il Ă©couta le silence ambiant de la chambre malgrĂ© notre respiration angoissĂ©e et le froissement du tissu recouvrant nos corps. Je m’interrogeai, me rappelant avoir Ă©tĂ© dĂ©rangĂ© dans cette situation le lendemain de la crĂ©maillĂšre. Par ailleurs, la jeune femme ne sembla pas apeurĂ©e, questionnant sur ma prĂ©sence et si c’était Joseph.
Le parquet craqua brusquement sous les pas de l’amant. Il approcha du lit, s’arrĂȘta. Je sentis mon cƓur exploser tellement la peur envahit mon esprit. Je m’attendais Ă  me battre, Ă  devoir rendre des comptes, Ă  rien car je me rappelai tout Ă  coup que le jour oĂč j’avais levĂ© les draps du lit, il n’y avait personne. Je ne pouvais pas y ĂȘtre ! Mais ou serais-je passé ?
Le souffle de l’homme se fit plus fort mais aussi plus Ă©nervĂ©. Il tendit la main, attrapa le bord de la couette et la leva la faisant voler par-dessus nos corps. Je prĂ©fĂ©rai fermer les yeux, espĂ©rant ne pas Ă  rĂ©pondre Ă  mon double ou je ne sais qui. Puis, aprĂšs quelques mots, j’ouvris les paupiĂšres et fus troublĂ© de me trouver avec un Ă©tranger ; littĂ©ralement, un Ă©tranger.
-          Joseph ! Enfin ! OĂč Ă©tais-tu passé ?
La jeune femme Ă  moitiĂ© dĂ©vĂȘtue se prĂ©cipita sur un homme portant une blouse blanche avant de l’enlacer et de l’embrasser goulĂ»ment. Pendant ce temps, il me dĂ©visageait d’un regard Ă  la fois surpris et furieux. Il se demandait ce que je faisais ici. Sous sa blouse, je remarquai les bottes ainsi qu’un pantalon d’uniforme. Je sortis rapidement du lit faisant face afin de ne pas prendre d’éventuels coups. Il m’étonna par son accent presque parfait quoi qu’il trahĂźt son origine germanique.
-          Qui ĂȘtes-vous ? demanda-t-il d’abord en allemand avant de rĂ©pĂ©ter en français.
-          Arthur Lantier, et vous ?
-          Ici, je donne les ordres. Je pose les questions et vous répondez. Compris ?
-          J’aime bien savoir avec qui je discute, rĂ©agis-je. Surtout que vous ĂȘtes chez moi !
Il fronça les sourcils avant de regarder la jeune femme et de l’éloigner. Puis, il posa la main droite sur son ceinturon prĂȘt Ă  dĂ©gainer un pistolet rangĂ© sur le cĂŽtĂ©. Je fis un pas en arriĂšre tout en levant les mains.
-          J’ai achetĂ© la maison il y a bientĂŽt un an, affirmai-je. J’ai les papiers qui sont rangĂ©s dans un tiroir au rez-de-chaussĂ©e. Mais j’aimerais savoir qui vous ĂȘtes, si vous le permettez.
-          Et quand avez-vous achetĂ© cette demeure ? C’était un bordel avant d’ĂȘtre rĂ©quisitionnĂ©, grommela-t-il.
-          Comment ça réquisitionné ? interrogeai-je.
-          Oui, juste aprÚs votre défaite et la reddition de votre état-major en juin 1940.
Je restai Ă©bahi par ses propos. Cela n’était pas possible mais j’étais en prĂ©sence d’un homme disant vivre dans la maison depuis 1940. Je toussai lĂ©gĂšrement. Il remarqua mon teint soudainement blanc. Aussi, il demanda si j’allais bien.
-          Je suis docteur. Docteur Joseph Von Meiderich et capitaine dans la Wehrmacht
L’homme aux cheveux courts poivre-et-sel claqua des talons par habitude ou par politesse. Puis, il rĂ©itĂ©ra sa question tout en gardant la main sur le Luger. DĂšs lors, je me sentis obligĂ© de donner une certaine rĂ©alitĂ© incomprĂ©hensible.
-          J’ai achetĂ© cette maison au XXIe siĂšcle. Pour vous ce sera dans quatre-vingts ans. Je ne sais pas quoi ajouter ou donner comme explication. Mais pour moi, vous ĂȘtes du passĂ© dans l’histoire.
L’officier se mit Ă  rire puis il sortit son arme prĂ©textant que j’étais dĂ©ment. Il m’ordonna de sortir de la chambre aprĂšs avoir levĂ© les mains au-dessus de la tĂȘte. Mais Ă  peine Ă©tais-je dans le couloir que j’entendis un boucan terrible comme une porte qui venait de claquer prĂ©cipitamment. Je regardai au bout du couloir et remarquai des silhouettes d’enfants qui me dĂ©visageaient. Ils ne bougeaient pas m’observĂšrent tel un animal dans une cage d’un zoo. Je tournai la tĂȘte pour signaler au soldat la prĂ©sence des enfants. Seulement, je restai stupĂ©fait en dĂ©couvrant la chambre entiĂšrement vide. Le couple avaient disparu. Par contre, les enfants Ă©taient toujours prĂ©sents, regardant dans ma direction. La voix d’une femme intervint sortant le petit groupe de leur torpeur. Ils se prĂ©cipitĂšrent vers les escaliers oĂč ils disparurent Ă  leur tour.
Un nuage passa en vitesse devant la lune pleine ne la cachant uniquement pour mieux la faire briller. J’étais seul dans le couloir, les mains toujours en l’air. Je dĂ©cidai de les baisser en me demandant pourquoi un soldat allemand quoi que mĂ©decin foutait dans une maison remplie de fantĂŽmes.
Alex@r60 – mars 2021
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ao3feed-ladynoir · 3 years
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In All but Name
In All But Name by Grasshopper of Anarchy
The future of the Miracle Box is at serious stake. They may have given Master Su-Han the slip and stolen his staff, but he knows who Marinette is. Cornered, desperate, and out of options, she's faced with a choice.
The realization of her worst fear... or the loss of heroes capable of defeating Shadow Moth.
(Or: The Furious Fu AU that no one asked for.)
Words: 1270, Chapters: 1/1, Language: English
Fandoms: Miraculous Ladybug
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: F/M
Characters: Marinette Dupain-Cheng | Ladybug, Adrien Agreste | Chat Noir, Su-Han, Tikki, Plagg
Relationships: Adrien Agreste | Chat Noir / Marinette Dupain-Cheng | Ladybug
Additional Tags: Other Additional Tags to Be Added, Identity Reveal, Miraculous Ladybug Love Square Angst, Episode: s04 Fu Furieux | Furious Fu, Angst, Drama, Secret Identity, Marinette Dupain-Cheng | Ladybug Identity Reveal
Read Here: https://archiveofourown.org/works/34791064
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christophe76460 · 1 year
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LA GUÉRISON DIVINE lors de la peste en 1875. đŸ”„đŸ”„đŸ”„
John Alexander Dowie était pasteur d'une église à Sydney, en Australie quand la peste "bubonic" a frappé en 1875. Il a enterré 40 membres de son assemblée en moins d'un mois. Plusieurs autres devinrent malades de cette terrible peste qui n'avait aucun remÚde.
AprĂšs avoir visitĂ© plusieurs malades de son troupeau un jour, Dr Dowie retourna Ă  sa maison, s'assis et pleura devant Dieu. "Dieu est-ce que chaque personne va mourir ? D'oĂč vient cette peste ? Est-ce que tu es l'auteur de cela ?" Son coeur Ă©tait malade Ă  la pensĂ©e que les familles seraient dĂ©chirĂ©es par la peste, que des enfants seraient laissĂ©s orphelins.
John Alexander Dowie a écrit plus tard que les paroles de Actes 10:38 ont ressorties devant lui comme une lumiÚre, montrant Satan comme un blasphémateur et Christ comme le Guérisseur. "vous savez comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l'empire du diable, car Dieu était avec lui".
"Mes larmes furent asséchées", Dr Dowie dit aussi, mon coeur fut fortifié. Je vis la voie de la guérison, alors je dis: Dieu aide-moi à precher la Parole à tous ces mourrants autour de moi et à leur dire comment Satan est un blasphémateur et que Jésus guéri encore, car Il est toujours le meme aujourd,hui.
Il n'a pas attendu longtemps car en quelques minutes, 2 jeunes hommes firent irruption implorant à bout de souffle, "Oh viens tout de suite, Marie est mourrante". Dr. Dowie accouru dans la rue aprÚs eux sans prendre le temps de mettre son chapeau. Il était furieux que Satan avait attaqué ces jeunes gens innocents de son assemblée.
Dr. Dowie entra dans la chambre de Marie et la trouva en convulsion. Son médecin qui l'abandonna se prépara à quitter, se tourna vers Dr. Dowie et remarqua, "Mr, pourquoi les voies de Dieu sont si mystérieuses ?".
La revelation que Dr. Dowie venait tout juste de recevoir de la Parole de Dieu brulait dans son coeur. "Les voies de Dieu", il tonna. Comment osez-vous appeler cela les voies de Dieu ? NON, ceci est l'oeuvre du diable!".
Il confronta le physicien qui était membre de son assemblée. "Pouvez-vous priez la priere de foi qui sauve le malade ?". Le médecin lui répondit, "Tu es beaucoup trop excité, Mr, il est préférable de dire que ta volonté, Dieu, soit faite", et il quitta.
"Excité! ce mot m'était absolument inadéquat et je fus presque désespéré mais rempli d'une Divine colÚre et haine contre ce destructeur coupable, la maladie, qui accomplissait la volonté de Satan.", Dowie nous rapporta.
"Il n'en n'est pas ainsi, aucune volonté de Dieu n'enverrait une telle cruauté et je ne dirai jamais "que la volonté de Dieu soit faite" à l'oeuvre de Satan, car le Fils unique de Dieu est venu pour détruire les oeuvres du diable, et cette peste en est une. Oh comme la Parole de Dieu brule en mon coeur".
Furieux contre l'oeuvre de Satan, Dr Dowie pria la priÚre de foi pour Marie et les convulsions cessÚrent immédiatement. et elle tomba dans un profond sommeil, tellement que sa mÚre s'inquiéta qu'elle était morte. .
“‘Elle n'est pas morte" assura le triomphant Dr. Dowie.
After plusieurs minutes, Dr. Dowie réveilla Marie. Elle se tourna vers sa mÚre et s'exclama, "Maman, je me sens tellement bien".
Dr. Dowie calmement remercia Dieu et alla dans la chambre voisine ou le frÚre et la soeur de Marie étaient malades de la meme peste. AprÚs la priÚre, eux aussi furent complÚtement guéris.
À partir de ce jour, Dr Dowie fit le ministĂšre Ă  son assemblĂ©e sur la guĂ©rison divine et continua de prier pour leurs guĂ©risons. Et Ă  cause de sa foi en la guĂ©rison divine, il ne perdit plus aucun autre membre de son assemblĂ©e par la peste.
La Bible nous dit que JĂ©sus guĂ©rissait tous ceux qui VENAIT À LUI. Que cette Parole brule en vous jusqu'Ă  ce que ç dĂ©borde sur les gens autour de vous !! đŸ”„đŸ”„
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thesaltyoceanwaves · 4 years
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The One to Make It Stay Ending Cards (SCBB, ToW, WHM, TRSP, AtLWHitP)
I’ve been thinking lately of how I’d change the ending cards we get at the ending of each episode. I can’t draw though, so take my summaries instead. Some of these will be more specific than others. 
I’m only covering material from Silence Can Be Beautiful up through the end of All the Laughs We Had in the Past, including Paper Sky chapters. Once ABoES is done, I’ll do a separate one for that. Any arc after that will also get its own post. I’m doing this in rough chronological order.
Chameleon/I Can Get Out of This + I Can Get Out of Here
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Since this arc of the story is told through Rose’s POV, she's going to be getting a a spot in both of these cards (since I’m ideally seeing this as a two-parter).
This: Focuses of Rose receiving the message from Ali. She’s shocked and outraged. The other half of the card shows Marinette being comforted by Kitty Section (primarily Luka and Juleka).
Here: Kitty Section heading off into the sunset, with Marinette in the middle. Alya walks off with Lila, while Mylene and Alix look on in disappointment.
Silencer/Replay
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I don’t imagine that this ending card would need a lot of changes. The only thing that would have to go in this case is Chat Noir, and I would change him to something else, like Marinette’s artwork for Kitty Section, just to foreshadow the change in relationships for the AU. Fitting though, since this episode was what brought this AU to fruition.
Animaestro/Reanimate
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By contrast, this ending card would need to change dramatically. Chloe, Adrien and Kagami are all getting cut, since they aren’t the focus here. Instead, we get Jagged meeting Luka and Marinette, and Ivan, Rose and Juleka helping cater the event, all of them wearing their maid (Marinette and Juleka) and butler (Rose, Ivan and Luka) uniforms. Oh, and I guess Thomas Astruc can still stay, but he’ll be in the background somewhere. It’s a statement about him and canon not really being relevant or something.
Oblivio/Remember
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Another dramatically different card. Hawkmoth smirking can stay, since it can give off that ominous bit of foreshadowing. However, Luka and Marinette looking at each other happily will replace the kiss between Chat and Ladybug. Alya will look at her tablet excitedly as she shares with Adrien and Nino. Nino looks indifferent while Adrien looks hopeful. 
Puppeteer 2/Don’t Worry, Be Happy
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No akumatization this time around, so the Puppeteer is getting cut. This time, we get Ladybug confronting an angry Alya and a saddened Chat. On the other half of the card, there’s Luka and Marinette walking with Manon between the two of them, holding her hands.
Hearing Only Yourself
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The first of the interlude chapters, so I get to envision the card from scratch.
Statue Adrien standing in the middle, with Alya and Marinette on either side of him. They have that anime static-like glare going on at eye level as they confront each other. It’s exaggerated because this is Adrien’s POV.
Backwarder/yppaH eB, yrroW t’noD
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Alya in a corner, alone and upset about the fight. Marinette happily chatting with Juleka and Rose at the pool, while Marianne reads the letter Fu wrote her. Fu looks contemplative.
Reflekdoll/Don’t Worry, It’s a Great Idea
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Well, there’s no kwami swap in this version, so that’s out. Instead, Reflekdoll sits on her throne, watching everything unfold, while Ruby looks on with a regretful expression. Chat has his back turned and Luka looks serious.
Weredad/Don’t Worry, We’ll Figure it Out
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On one side of the card is Viperion and Ladybug standing back to back, looking confident and in tune with each other. On the other hand, Luka and Marinette stand facing toward each other, but aren’t looking directly at each other.
Desperada/Don’t Worry, Things Are Working Out
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So once again, there’s no Kagami or Adrien in the new version of the card. However, we finally get a kiss from our main couple! That’s taking center stage tbh. Vivica will be a more prominent figure, being escorted back home by Colette and Mirielle, the latter of which looks wary about everything that just unfolded. 
The Evening Mist Melts Away
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Luka and Marinette walking toward one side of the card, while Lila looks on with an irritated expression.
The Hour Glass is Drifting Away
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Nino staring down at his phone as Ladybug leaves, waiting to send a message to Alya about what he’s just heard.
Stage Fright/Drove Down to the Shoreline
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Kitty Section performing on stage, which takes up the middle. On one side, there’s Mirielle looking contemplative, while Stage Fright’s eyes look sharp and irritable.
Beach Bum/Hey Shoreline, Take Me Far Away
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Beach Bum relaxing on the beach, while Ladybug, Viperion, Mousketeer and Taureau all stand on top of his sand castle. 
It’s Gonna Feel So Rare
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Pretty straightforward - Ladybug leaping into action, but the focus is on Mouseketeer and Taureau Furieux, nervous but excited to help.
I Owe You Every Joy of Love
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Alya looking nervous, staring out the window as she prepares herself to talk with Ladybug. Lila on the other side, looking rather pleased with herself, not aware of what is about to happen.
Stormy Weather 2/I Remember When Things Were Easier
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The recurring theme of this post is that the tone of most of these cards don’t fit their AU counterparts. And wow, what a stark difference these next few cards will be.
Anyway, Aurore calms herself down with a cup of tea or chatting with some friends. Meanwhile, Chloe watches Ladybug zip off, and is not happy about it. 
When the Dream’s So Real
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Jagged with his back to the frame, walking side by side along Penny and Ruby, happily chatting about future plans for his pupils.
Miracle Queen/I Remember All the Second Chances
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Marinette crying while Luka holds her. Fu looking worried about everything that’s unfolded. Adrien with his back to the frame, although you can see him touching his lips with his fingers. Chloe also has her back to the frame. Alternatively, it can be Miracle Queen, eyes widened as she realized what she’s done. 
You Smile Like an Angel
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Rose and Juleka holding each other while they cry. Tigresse averting her gaze as she’s realized she’s failed her mission.
Feast/I Remember Our Promise
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A shot revealing the tattoo created by the ritual. Feline Fatale standing rather meancingly. Adrien with the butterfly outline over his eyes, not quite akumatized yet.
Don’t Step Over My Head
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Hawkmoth standing alongside Feline Fatale, who is now in plain view. Half of Adrien is his civilian self, crying out in horror, the other half is Space Patrol, who is wearing his cat-shaped helmet, thus his expression cannot be seen.
Space Patrol/I Remember How Things Used to Be
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Space Patrol takes the place of Chat Blanc in the new version of this card, still with that contrast with Hawkmoth, while the supporting heroes stand in for Bunnyx. Lastly, we have Ladybug in her new armor holding hands with Viperion, while Marinette and Luka share a slow dance on the boat.
My World is Wishing Me Asleep
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Fitting that Alya’s Interlude is the one to start the arc, and that Adrien’s is the one to close off on it. As such, I think his card should parallel hers. So he looks nervous because now he doesn’t know what to expect going forward. He no longer has Plagg, and doesn’t know what to expect. Meanwhile, Hawkmoth takes Lila’s role, smiling menacingly as things are now going according to plan for him. 
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mirrorontheworld · 5 years
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Scandale du porc contaminĂ© : l’OMC avait interdit les embargos sanitaires
En février 2017, l'Organisation Mondiale du Commerce a INTERDIT à la Russie de se protéger contre les ravages du porc contaminé.
Cette dĂ©cision HALLUCINANTE  fait dĂ©sormais jurisprudence et comme vous allez le voir dans la suite de cette lettre, elle  renverse le principe de prĂ©caution (pourtant inscrit dans la Constitution)...pour empĂȘcher une « distorsion de concurrence ».
Ces gens sont-ils devenus fous ?
Avec cette dĂ©cision, l'OMC interdit de fait la mise en place unilatĂ©rale d'embargos sanitaires. Le diffĂ©rent opposait l'Union EuropĂ©enne Ă  la Russie qui avait imposĂ© en 2014 un embargo sanitaire sur les importations de porc en provenance de l'UE. La Russie cherchait Ă  se protĂ©ger des ravages de la peste porcine africaine en Europe de l’Est et l’OMC lui interdisait cette mesure sanitaire de base !
Cet embargo est pourtant la premiĂšre mesure sur la liste des recommendations de l’Organisation Mondiale de la SantĂ© animale (OIE) pour lutter contre la peste porcine africaine contre laquelle il n’existe aucun traitement, aucun vaccin. Personne ne parle de cette dĂ©faillance criminelle.
Un quart du cheptel MONDIAL de porc est condamnĂ© (peut-ĂȘtre plus)
30 mois plus tard, nous nous retrouvons face à  une crise sanitaire d’ampleur inĂ©dite, incroyablement  plus grave que la vache folle.  25% du cheptel MONDIAL de porcs est condamnĂ© et le chiffre continue d’augmenter chaque jour.
Nous sommes des imbéciles : Vous, moi, les autorités nationales et supra-nationales, les filiÚres, les experts, tous.
Cette lettre devait ĂȘtre une simple mise-Ă -jour au sujet d’un investissement en bĂ©tail. Mais ce que j’ai dĂ©couvert dĂ©passe l’entendement.
Nous allons sortir de nos sujets financiers et nous Ă©loigner de l’économie mais   personne encore n’avait menĂ© cette enquĂȘte explosive. Il rĂšgne une quasi-omerta sur ce sujet. Il est de notre devoir de la briser. Lisez cette lettre jusqu’au bout et partagez-lĂ  Ă  votre carnet d’adresses et sur les rĂ©seaux sociaux, partout oĂč vous pourrez. Sinon vous pouvez aussi bien vous dĂ©sinscrire de ce service, car Ă  quoi bon s’occuper de nos finances si nous ne sommes dĂ©jĂ  pas capables de nous occuper d'une urgence sanitaire aussi grave.
Nous avons eu la vache folle, nous avons eu la grippe aviaire, la grippe A... Et nous n’avons toujours rien appris.
Le vieux souvenir d'un chien qui ne cherchait pas de drogue...
Commençons par une vieille histoire. C’était il y a 20 ans, nous attendions nos bagages devant le tapis roulant de l’aĂ©roport lorsqu’un chien renifleur se jeta sur l’un de mes camarades. Il le renversa violemment et, encouragĂ© par la douaniĂšre accroupie, se mit Ă  renifler avec excitation mon camarade terrorisĂ©, Ă  mĂȘme le sol et sans mĂ©nagement, des pieds Ă  la tĂȘte. J’avais 15 ans et je venais d’atterrir avec des camarades de mon lycĂ©e Ă  l’autre bout du monde, Ă  Sydney en Australie.
Un aboiement furieux mis fin aux recherches. La douaniĂšre sortit du sac Ă  dos de mon camarade un petit paquet blanc. Quel genre de drogue mon ami pouvait-il bien avoir la folie de resquiller ? Il y avait dedans un morceau de saucisson, pas bien gros, le reste du goĂ»ter de mon camarade. La douaniĂšre le jeta Ă  son chien : ce bout de viande ne devait pas entrer sur le territoire, ni mĂȘme finir dans la poubelle. Les ennuis commençaient.
Nous avions cru Ă  l’erreur d’un chien trop gourmand, mais les douaniers ne cherchaient pas de drogue : ils surveillaient l’importation illĂ©gale de produits fermiers et agricoles, et particuliĂšrement ce morceau de saucisson. Notre professeure dĂ»t parlementer un bon moment pour que mon camarade ne soit pas immĂ©diatement renvoyĂ© en France avec amende en prime. Je fus suffisamment choquĂ© pour me rappeler prĂ©cisĂ©ment la scĂšne 20 ans plus tard mais maintenant, je sais pourquoi ils avaient agi ainsi.
Au mois d’aoĂ»t dernier, deux fermiers australiens ont Ă©tĂ© jetĂ©s en prison pour avoir rapportĂ© des semences porcines en provenance du Danemark dans une bouteille de gel douche. Plus rĂ©cemment, une entreprise a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  100 000 dollars d’amende pour avoir importĂ© de la viande de porc crue. Cette viande et ces semences comme le petit morceau de saucisson Ă©taient susceptibles de contenir le virus de la peste porcine africaine (PPA ou AFS en anglais pour African Swine Fever).
ÉpidĂ©mie mondiale de peste porcine africaine
MalgrĂ© tout le zĂšle des douaniers, la peste porcine africaine vient de faire son apparition en Australie. Le virus de la PPA est inoffensif pour l’homme mais extrĂȘmement dangereux pour les cochons et sangliers, qu'il dĂ©cime en quelques jours.  Il n’existe pas de vaccin et il n’en existera pas de sitĂŽt car le virus est immuno-rĂ©sistant en plus de muter trĂšs rapidement. Il est particuliĂšrement rĂ©sistant au froid et survit pendant des mois dans les carcasses des animaux morts ou des produits de charcuterie crus ou sous-cuits :  Si le saucisson de mon camarade avait Ă©tĂ© infectĂ©, qu’il en avait jetĂ© la peau au bord d’un chemin et qu’un sanglier Ă©tait passĂ© par lĂ , c’est tout le cheptel porcin australien qui aurait Ă©tĂ© en danger de mort. Bien sĂ»r la probabilitĂ© est extrĂȘmement faible mais multipliez-lĂ  par le nombre de touristes et il y a de quoi ĂȘtre inquiet. Et finalement, l’annĂ©e derniĂšre, la catastrophe est arrivĂ©e.
La peste dévaste la Chine
La peste porcine africaine a fait son apparition en aoĂ»t 2018 en Chine. La Chine produit la moitiĂ© des porcs du monde, dans des conditions de contrĂŽle et d’hygiĂšne douteuses. 15 mois plus tard, 40% de son cheptel porcin a dĂ» ĂȘtre abattu, le chiffre pourrait monter Ă  70%.  Un haut dignitaire du parti a annoncĂ© qu’il manquait au pays 10 millions de tonnes de viande de porc pour satisfaire sa consommation intĂ©rieure : c’est plus que l’ensemble des exportations mondiales (hors-Chine, Ă©videmment) ! Rabobank estime que la Chine purrait mettre 10 ans Ă  reconstituer son cheptel... Si tant est qu'un vaccin est trouvĂ© ! La peste porcine s’installe partout en Asie du Sud-Est : Vietnam, Cambodge, Philipines, IndonĂ©sie...
Pénurie mondiale de protéines
Le porc est la viande la plus consommĂ©e au monde (au coude Ă  coude avec la volaille). Il constitue les 3/4 de la consommation de viande chinoise. Une pĂ©nurie mondiale de proteines est en train de s’installer pour de nombreuses annĂ©es.
Les prix du porc se sont envolĂ©s de +70% en Chine, crĂ©ant des troubles importants au sein de la population pour qui le porc est une source de protĂ©ines essentielle. L’inflation est en train de se rĂ©pandre dans le monde entier : + 30% en France en quelques mois. C’est une bonne nouvelle pour les Ă©leveurs bretons... mais combien de temps rĂ©sisteront-ils au virus de la PPA ?
Et mĂȘme si nous dĂ©cidions tous de devenir vĂ©gĂ©tariens, nous serions bien avancĂ©s avec des kilotonnes de tourteaux de soja destinĂ©s Ă  l'alimentation des porcs : on ne change pas les circuits agricoles mondiaux d’un coup de baguette magique et il faudrait sans doute encore plus de temps pour changer les habitudes. Il faudrait de nombreuses annĂ©es pour rĂ©affecter les terres et appareils agricoles et industriels. Entre temps, un chaos sanitaire est en train de s’installer durablement.
Le Caucase et l’Europe avant l’Asie : la vieille histoire de la peste porcine asiatique
Avant d’arriver en ExtrĂȘme-Orient, le virus de la PPA a refait son apparation, dans le Caucase... en 2007.
Je dis bien RE-fait. La peste porcine africaine n’a rien de nouveau. On suppose que le virus est apparu en Afrique au XVIIe ou XVIIIe siĂšcle lorsque les colons europĂ©ens y importĂšrent le cochon pour leur consommation personnelle. La premiĂšre Ă©pidĂ©mie officielle est recensĂ©e au Kenya en... 1907. Une nouvelle Ă©pidĂ©mie a lieu en 1921. Puis en 1957, le virus sort d’Afrique pour accoster... au Portugal ! Il se propagea rapidement en Espagne et fit quelques incursions en France et en Belgique. La pĂ©ninsule ibĂ©rique finit par se dĂ©barrasser du virus, 30 Ă  40 ans plus tard, dans les annĂ©es 1990 !
Car Ă  dĂ©faut de traitement ou vaccin, le seul moyen de lutter contre le virus est l'abattage des Ă©levages Ă  la moindre suspicion. Bien sĂ»r nous avons dĂ©jĂ  passĂ© un grand nombre d’annĂ©es Ă  chercher un vaccin contre ce virus, notamment aux États-Unis. Ces recherches furent abandonnĂ©es en 2004 fautes de rĂ©sultats et le virus semblant finalement contenu... Elles furent reprises en 2010, toujours en vain.
Elles furent reprises en 2010 car en 2007, le virus refit son apparition en GĂ©orgie et se propagea Ă  vitesse grand V dans le caucase, en Russie, en Europe de l’Est et dans les pays baltes... Et mĂȘme en Belgique !
Afrique, Asie, Europe... l’épidĂ©mie est devenue mondiale.
Crise mondiale, réponse mondiale... et criminelle
Bien Ă©videmment, dans ces cas-lĂ , tout le monde se tourne vers la coopĂ©ration internationale et les instances supra-nationales pour coordonner                       une rĂ©ponse mondiale Ă  une crise mondiale. Tout transport de produit Ă  base de porc non-cuit devrait ĂȘtre sĂ©vĂšrement prohibĂ© et rĂ©primĂ© comme en Australie. Il suffit qu’un reste de sandwich au saucisson jetĂ© au bord d’une route par un chauffeur de camion polonais soit mangĂ© par un sanglier pour que l’épidĂ©mie se dĂ©place de plusieurs centaines de kilomĂštres d’un coup.
Je dis polonais car la pays est touchĂ© de plein fouet et a dĂ©jĂ  perdu 20% de son cheptel. C’est un des scĂ©narios qui a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ© pour comprendre comment la grippe a pu toucher la Belgique (mais non ses pays limitrophes). Il est en concurrence avec l’importation illĂ©gale de sangliers d’Europe de l’Est pour assurer un gros tableau Ă  une partie de chasse huppĂ©e. Bien entendu, les Ă©leveurs français sont catastrophĂ©s ! Les sangliers sont des animaux voyageurs qui se fichent bien des frontiĂšres.
Alors on a installĂ© 110 km de clĂŽtures Ă©lectriques le long de la frontiĂšre avec la Belgique (longue de 620km), en prioritĂ© dans les zones de passage des sangliers. Le Luxembourg a fait de mĂȘme... Qui aurait pensĂ© que des frontiĂšres s’érigeraient Ă  nouveau et si vite. Mais le mois dernier, on a trouvĂ© des clĂŽtures dĂ©foncĂ©es... Personne ne sait encore qui s’amuse Ă  dĂ©truire ce cordon sanitaire essentiel.
Mais comment s’assurer que nous ne vĂ©hiculions pas le virus dans nos casse-croute si nous ne savons mĂȘme pas de quoi il en retourne ?
De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le ministĂšre de l’agriculture a pris des mesures rapides et fortes au niveau de la filiĂšre... Pourquoi n'y a-t-il aucune information au grand public ? Et seront-elles suffisantes quand l'Ă©chelon international joue contre nous ?
La dĂ©cision hallucinante de l’OMC qui interdit les embargos sur les pays contaminĂ©s !
Que font les organisations internationales depuis 2007 et la rĂ©apparition du virus hors d’Afrique ? RĂ©ponse : n'importe quoi, au moins pour l'une d'elles.
En 2014 (il y a plus de 5 ans !), l’Union EuropĂ©enne a saisi l’Organisation Mondiale du Commerce suite Ă  la dĂ©cision de la Russie d’appliquer un embargo sur le porc europĂ©en. La Russie a Ă©tĂ© touchĂ©e dĂšs 2007 par la peste porcine africaine. Aussi, lorsque le virus atteint les pays baltes et d’Europe de l’Est, ils ne veulent pas ajouter de crise Ă  la crise : ils ferment les portes, ce n’est plus le temps des demi-mesures.
La Belgique nous a prouvĂ© que le virus pouvait faire des sauts de plusieurs centaines de kilomĂštres d’un coup, aucun pays de l’UE n’est Ă  l’abri et la Russie ferme ses portes Ă  l’Europe toute entiĂšre, on comprend aisĂ©ment pourquoi.
C’est ce que l’UE conteste. Selon l’article 6.1 de l'accord sur les mesure sanitaires et phytosanitaires de l’OMC, les mesures d’embargo sanitaire doivent ĂȘtre prises de façon chirurgicale, non pas Ă  l’échelle d’un pays, mais des rĂ©gions contaminĂ©es. Non seulement, la Russie N’a PAS le droit d’imposer un embargo sur l’UE dans son ensemble mais elle n’a mĂȘme pas le droit d’appliquer un embargo sur la Pologne ! Elle doit viser spĂ©cifiquement les rĂ©gions polonaises contaminĂ©es.
En Ă©change, selon l’alinĂ©a 3 du mĂȘme article 6, le pays exportateur doit fournir un niveau d’information « raisonnable » sur l’état sanitaire de son produit d’exportation.
MAIS. Et l’on rentre ici dans la folie administrative de ces grandes organisations ultra dysfonctionnelles...
Une dĂ©faillance d’information de la part du pays exportateur, NE peut PAS ĂȘtre une raison suffisante pour ne pas appliquer l’alinĂ©a 1 et imposer un embargo gĂ©nĂ©ral ! C'est l'inverse d'un principe de prĂ©caution (inscrit dans notre constitution) ! VoilĂ  l’interprĂ©tation qu’a donnĂ©e le  «panel» de l’OMC dans cette affaire sordide et qui fait dĂ©sormais prĂ©cĂ©dent (elle s’applique pour tout le monde et les cas futurs). C’est purement lĂ©gal et proprement criminel.
Quel est ce «panel» qui a pris cette décision criminelle ?
L’Organisation Mondiale du Commerce est responsable des rĂšgles qui rĂ©gissent le commerce international. Elle dispose notamment d’un Organe de RĂšglement des DiffĂ©rents. Lorsque cet organe est saisi, aprĂšs une phase de rĂšglement Ă  l’amiable, l’OMC peut constituer un panel de 3 « personnes » qui n’ont pas de titre mais agissent en quasi-juges. Ce panel diligente une enquĂȘte et formule des recommandations gĂ©nĂ©ralement suivies par l’Organe de RĂšglement.
Dans notre différent sur la peste porcine africaine, le panel est constitué :       
d’un prĂ©sident en la personne d’un haut fonctionnaire pakistanais recyclĂ© dans la promotion du libre-Ă©change Ă  GenĂšve, et deux membres :
un avocat mexicain, spécialisé en droit international et les affaires rÚglementaires (un pur technicien du droit) et ;
L’ancien vĂ©tĂ©rinaire en chef de la ConfĂ©dĂ©ration HĂ©lvĂ©tique (un pur technicien en matiĂšre sanitaire). Notons au passage que ce vĂ©tĂ©rinaire a Ă©tĂ© reconnu pour sa gestion exemplaire en Suisse de la crise de la vache folle. Ce n’est pas la moitiĂ© d’un expert sur le sujet.
DĂ©missions trĂšs suspecte et alibi en carton
Le panel est Ă©quilibrĂ© mais voilĂ  qu’en novembre 2014, le vĂ©tĂ©rinaire suisse dĂ©missionne ! Il est remplacĂ© par un autre professeur vĂ©tĂ©rinaire de renom, cette fois-ci de Nouvelle-ZĂ©lande. Quelques jours plus tard, celui-ci aussi dĂ©missionne.
Que se passe-t-il au sein de ce panel ?
L’OMC prĂ©tend que le diffĂ©rent est particuliĂšrement complexe et technique mais remplace ces deux grands experts de pays spĂ©cialistes de l’élevage par... une coordinatrice de l’autoritĂ© de santĂ© agricole du BĂ©lize ! Le BĂ©lize est un petit pays d’amĂ©rique centrale bien connu pour ses plantations de banane et de canne Ă  sucre... En revanche, le bĂ©tail, ils n’y connaissent rien.
Le panel donne raison Ă  l’Union EuropĂ©enne, la Russie fait appel, l’appel est encore gagnĂ© par l’UE en 2017.  En 2018, la Russie demande la mise en place d’une commission de conformitĂ© en ultime recours. Entre temps le virus a Ă©clatĂ© en Chine et l’OMC ne peut plus continuer dans ses dĂ©cision lĂ©gales mais criminelles. Vous pensez bien que la commission de conformitĂ© doit ĂȘtre embĂȘtĂ©e... Elle a fini par dĂ©clarer en avril 2019 qu’elle rendrait sa dĂ©cision... en 2020, alors que nous sommes en pleine urgence sanitaire ! Et pendant ce temps, l'UE veut imposer une amende d'1,4 milliards d'euros Ă  la Russie... On marche sur la tĂȘte ! C’est ça l’OMC !
Et pendant ce temps, que fait Bruxelles ? Ils veulent signer des accords de libre-Ă©change avec tout le monde et placer notre avenir entre les mains d’une organisation aux dĂ©cisions criminelles, Ă  la limite mafieuses.
Vu l’ampleur du dĂ©sastre vous pouvez ĂȘtre sĂ»r que la peste porcine africaine finira par faire les gros titres des journaux, sans doute Ă  un moment opportun, et alors on vous dira qu’une plus grande coopĂ©ration internationale est indispensable, qu’il faut donner beaucoup plus de pouvoir aux organisation supra-nationales. Et bla bla bla...
Personne ne vous parlera en revanche de ce grand crime de l’OMC.
Personne ne vous parlera non-plus  des efforts gigantesques que le vĂ©tĂ©rinaire suisse fit par la suite avec sa petite PME pour endiguer la crise dans le Caucase, bien plus efficacement qu’au sein de cette OMC rongĂ©e jusqu’à l’os par une idĂ©ologie destructrice.
Nous ne pouvons plus ĂȘtre dupes. Il en va de notre survie.
Il ne s’agit pas de paniquer mais de forcer les dĂ©cisions Ă©lĂ©mentaires Ă  la place d’autoritĂ©s gravement dĂ©faillantes, maladivement embrigadĂ©es dans leur religion libre-Ă©changiste.
Faites suivre cette lettre partout autour de vous. C’est trop important. Et si vous n’ĂȘtes pas encore inscrits Ă  la liste de diffusion, cliquez ici pour rester informĂ©... c'est gratuit et ce n’est que le tout dĂ©but de l’histoire.
À bon entendeur,
Guy de La Fortelle                      
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libertesauvage · 5 years
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Ton souvenir surgit de la nuit oĂč je suis. La riviĂšre Ă  la mer noue sa plainte obstinĂ©e. AbandonnĂ© comme les quais dans le matin. C'est l'heure de partir, ĂŽ toi l'abandonnĂ©! Des corolles tombant, pluie froide sur mon coeur. Ô sentine de dĂ©combres, grotte fĂ©roce au naufragĂ©! En toi se sont accumulĂ©s avec les guerres les envols. Les oiseaux de mon chant de toi prirent essor. Tu as tout englouti, comme fait le lointain. Comme la mer, comme le temps. Et tout en toi fut un naufrage! De l’assaut, du baiser c’était l’heure joyeuse. lueur de la stupeur qui brĂ»lait comme un phare. AnxiĂ©tĂ© de pilote et furie de plongeur aveugle, trouble ivresse d’amour, tout en toi fut naufrage! Mon Ăąme ailĂ©e, blessĂ©e, dans l’enfance de brume. Explorateur perdu, tout en toi fut naufrage! Tu enlaças la douleur, tu t’accrochas au dĂ©sir. La tristesse te renversa et tout en toi fut un naufrage! Mais j’ai fait reculer la muraille de l’ombre, j’ai marchĂ© au-delĂ  du dĂ©sir et de l’acte. Ô ma chair, chair de la femme aimĂ©e, de la femme perdue, je t’évoque et je fais de toi un chant Ă  l’heure humide. Tu reçus l’infinie tendresse comme un vase, et l’oubli infini te brisa comme un vase. Dans la noire, la noire solitude des Ăźles, c’est lĂ , femme d’amour, que tes bras m’accueillirent. C’était la soif, la faim, et toi tu fus le fruit. C’était le deuil, les ruines et tu fus le miracle. Femme, femme, comment as-tu pu m’enfermer dans la croix de tes bras, la terre de ton Ăąme. Mon dĂ©sir de toi fut le plus terrible et le plus court, le plus dĂ©sordonnĂ©, ivre, tendu, avide. CimetiĂšre de baisers, dans tes tombes survit le feu, et becquetĂ©e d’oiseaux la grappe brĂ»le encore. Ô la bouche mordue, ĂŽ les membres baisĂ©s, ĂŽ les dents affamĂ©es, ĂŽ les corps enlacĂ©s. Furieux accouplement de l’espoir et l’effort qui nous noua tous deux et nous dĂ©sespĂ©ra. La tendresse, son eau, sa farine lĂ©gĂšre. Et le mot commencĂ© Ă  peine sur les lĂšvres. Ce fut lĂ  le destin oĂč allait mon dĂ©sir, oĂč mon dĂ©sir tomba, tout en toi fut naufrage! Ô sentine de dĂ©combres, tout est retombĂ© sur toi, toute la douleur tu l’as dite et toute la douleur t’étouffe. De tombe en tombe encore tu brĂ»las et chantas. Debout comme un marin Ă  la proue d’un navire. Et tu as fleuri dans des chants, tu t’es brisĂ© dans des courants. Ô sentine de dĂ©combres, puits ouvert de l’amertume. Plongeur aveugle et pĂąle, infortunĂ© frondeur, explorateur perdu, tout en toi fut naufrage! C’est l’heure de partir, c’est l’heure dure et froide que la nuit toujours fixe Ă  la suite des heures. La mer fait aux rochers sa ceinture de bruit. Froide l’étoile monte et noir l’oiseau Ă©migre. AbandonnĂ© comme les quais dans le matin. Et seule dans mes mains se tord l’ombre tremblante. Oui, bien plus loin que tout. Combien plus loin que tout. C’est l’heure de partir. Ô toi l’abandonnĂ©.
Une chanson désespérée Pablo Neruda
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