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plumedepoete · 1 year
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L'été de sa plus belle eau - David Frenkel
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Lorsque l’été leur étale Ses terrasses monumentales Se dressant au bord de l’eau Ils goûtent à ces îlots * Synonymes de repos Et qui servent de dépôts A maintes tracasseries Les hommes pleins d’euphorie * Se voyant bercer par les vagues Admirablement divaguent Maintes idées chimériques Aux apparences féeriques * Enthousiasment les esprits De l’été ils sont épris Se promenant au travers Des bois d’été peints en vert * Les gens se sentent des ailes Pour aller faire du zèle Et marcher jusqu’à point d’heure Le long des champs de verdeur * Où les vertes plantations Les mets en ébullition L’été de sa plus belle eau Y coule l’extase à flot * Sous le soleil vermillon Les déclinantes rayons Bourgeonne la nuit d’été Elle étendra sa clarté * Sur l’atmosphère endormie Ornée d’étoiles amies Tant ont hâte d’admirer La nuit qui fait chavirer * Les esprits émerveillés Par la paix faisant briller Les astres du firmament Éloignés d’humains tourments * David Frenkel Read the full article
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sciencesolutions · 1 year
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cheaphousespending · 1 year
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Reimagining Luxury: The Stunning Designs of Sara and Nirit Frenkel
In the world of architecture and interior design, Sara and Nirit Frenkel have established themselves as true visionaries. Their ability to seamlessly blend natural warmth with modern elegance has garnered them international acclaim. With a portfolio that showcases their creativity and attention to detail, the mother-daughter duo continues to redefine luxury living. This article dives into the…
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sexy-black-nylons · 10 months
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Alexandra Frenkel
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Alexandra Frenkel
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nylon-squat · 1 year
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Alexandra Frenkel
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elevator-tights · 8 months
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Alexandra Frenkel
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crossover-pantyhose · 8 months
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Alexandra Frenkel
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mrkimmy-101 · 11 months
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plumedepoete · 1 year
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Une certaine fille - David Frenkel
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Noémie, petite Montreusienne (habitante de Montreux en Suisse) aux yeux couleur bleu ciel, étincelait de ce charme enfantin qui amène à la chérir. Toutefois, aux yeux de sa mère, Claudine, elle n’était qu’une enfant dont elle devait s’occuper, devoir maternel oblige. Très souvent harassée par la fatigue que lui procurait son travail d’infirmière, elle ne prodiguait à sa progéniture que le minimum vital d’affection. Son père, Paul, directeur d’une grande entreprise spécialisée dans l’innovation informatique, était le plus souvent aux petits soins des clients à l’étranger que de s’occuper avec attention d’un foyer où l’amour paternel aurait pu s’engranger. Les deux géniteurs, eux-même souffrant aussi d’avoir été durant leur enfance en proie à une certaine indifférence affective, succombaient inconsciemment à la chape de plomb de l’indifférence de l’amour parental. En manque de câlins parentaux et engoncée dans son mal-être, Noémie n’avait pas tête à la camaraderie avec les autres enfants de son âge. Elle ne trouvait diversion à sa souffrante existence qu’en s’empiffrant de sucreries. Des bonbons aux biscuits, en passant par les chocolats, tout était bon pour qu’elle oubliât sa faim de tendresse parentale. Cependant, à mesure que Noémie grandissait, la solitude filiale dévorant goulûment les friandises l’engageait dans un cul-de sac qui n’en finissait pas de rimer avec dépression ; et dans les abîmes de la déprime, elle entrevoyait le suicide comme ultime secours. C’était un crépuscule d’été, le soleil dardait se derniers rayons sur la cour de l’immeuble. Croyant sa fille endormie, Claudine entra doucement dans la chambre afin de récupérer la serpillière qu’elle y avait laissée. Elle fut prise d’épouvante lorsqu’elle vit sa fille debout sur le large rebord de la fenêtre oscillo-battante ; ils habitaient au septième étage de l’immeuble. « Que fais-tu, Noémie, descends de là, tout de suite ! Lui hurla-t-elle. – Je veux me suicider ! répondit-elle en s’apprêtant à tourner machinalement la poignée. » Heureusement, la fenêtre se bloqua. Noémie avait oublié que la poignée de cette vieille fenêtre s’ouvrait après avoir pressé sur la languette d’acier. « Mais qu’est ce qui t’arrive, es-tu devenue folle ? – Personne ne m’aime dans cette maison ! Se lamenta-elle en pleurs. – Mais qu’est-ce que tu me racontes ? Papa et moi, nous trimons afin que rien ne te manque, et toi tu nous fais un coup pareil . Allez, descends de là tout de suite. » Noémie se résigna, et descendit de là, non s’en avoir lancé à l’adresse de sa mère : « Sors maintenant de ma chambre.  – Non, je ne te laisserai plus toute seule. lui cria la mère » Reculant sur le seuil de la porte, Claudine appela la cuisinière. Elle lui ordonna de garder sa fille, le temps qu’elle cherchât à contacter le médecin de famille. Celui-ci vint rapidement. Quand il rentra dans la chambre de Noémie, sa mère qui s’y trouvait fut en proie aux sanglots. Après lui avoir balbutié en quelques mots le geste de sa fille, le médecin mit la main sur l’épaule de la maman en disant : « Calmez vous Madame, on va appeler l’ambulance pour amener votre fille aux urgences, dit-il en composant le numéro. » En entendant ces mots, Noémie eut une convulsion de révolte qui se manifesta par des cris inhumains et des gestes d’épouvante. « Non, non, non, pas l’hôpital.  – On t’enlèvera là-bas, tes angoisses, lui dit sa mère. – Je ne veux pas, je veux qu’on m’aime, vociféra-t-elle. – Mais, on t’aime, ma fille, et tu verras, à l’hôpital aussi, tout le monde t’aimera » Loin de la calmer, Noémie tomba en légère épilepsie. Le médecin l’allongea et la mis sur le côté en position latérale de sécurité. Les ambulanciers ne tardèrent pas d’arriver et l’embarquèrent au grand dam de celle-ci. A l’hôpital, on fit à Noémie une injection de la dernière génération. Au cours du mois que dura son hospitalisation, un traitement médicamenteux fut associé à des séances de psychothérapie. Ces séances mirent en évidence le manque d’amour parental dont elle était victime. Avant que Noémie retourna chez elle, le psychothérapeute convoqua les parents et leur en fit part. Si dans un premier temps les parents s’efforcèrent de satisfaire les besoins d’amour de leur fille, leurs efforts avaient pour elle un goût qui refuse de se satisfaire des affections mises en scène, tant cela puait l’artificiel. Aussi tomba-t-elle dans une dépression se manifestant de manière différente. Refusant de se lever le matin, elle resta cloîtrée dans son lit jusqu’à point d’heures. Désemparés, abandonnant toute perspective de guérison psychothérapique, et craignant un second geste suicidaire de leur fille, ils prirent la décision de l’interner à l’asile des aliénés. En plus de leur médecin de famille, ils firent appel à un de ses confrères afin que les deux certificats médicaux nécessaires pour justifier leur demande furent établis. Après avoir obtenu l’autorisation de l’autorité compétente, et devant son refus de se faire interner, on administra à Noémie un sédatif par inhalation qui la plongeait dans un profond sommeil. Internée contre son gré dans une maison d’aliénés, Noémie se réveilla dans une chambre vide de tout mobilier, mais pleine de fantômes imaginatifs. Sa profonde dépression l’amenait à s’imaginer qu’en dehors de la chambre une créature se tenait derrière la porte et attendait qu’elle sorte pour lui planter un couteau, car ses parents désiraient se débarrasser d’elle. Désirant mourir, elle voulu sortir de la chambre, mais la porte était fermée à clé. Elle se recroquevilla alors sous sa couverture, comme elle le faisait à la maison lorsqu’elle avait l’impression d’être une pestiférée. Peu de temps après, un infirmier entra et s’adressa à Noémie : « Venez je vous amène chez le médecin chef qui va vous examiner ». En entendant cette voix qui lui semblait parvenir de la froide maison de ses géniteurs, Noémie eut alors des spasmes de révolte ponctués par des cris. L’infirmier, un homme solidement bâtit, la prit alors dans ses bras et l’emmena dans la salle des douches de l’asile. Le jet d’eau sur la peau la calma. Toutefois, elle continuait de gémir continuellement : « Personne ne m’aime, mes parents m’ont abandonné ici ». L’infirmier devant sa détresse, la remit au lit et appela le médecin qui s’empressa auprès de Noémie. « Tu dis que personne ne t’aime, raconte-moi  donc. – Papa et maman ne m’aiment pas vraiment, hoqueta-t-elle en sanglotant.  – J’arrangerai ça, allez, lui dit le médecin d’une voix douce, allez au réfectoire prendre votre déjeuner. » Accompagnée d’un infirmier, Noémie pénétra dans une salle où étaient installées de grandes tables. Elle s’y attabla, comme les autres malades, seule. Comme c’était le jour où le médecin voyait les familles, il convoqua d’urgence Claudine et Paul. Alors que l’on avait emmenée Noémie à l’atelier d’ergothérapie, les parents se présentèrent devant le médecin. « Je vous ai convoqué d’urgence, car votre fille n’a pas sa place ici, dit-il d’un ton péremptoire. – Pour-pour qu-quoi ? bégaya Paul, le père. – Elle est juste en manque d’amour. – Pourtant, mon épouse et moi, efforçons-nous lui donner. – Vous avez lâchez le mot, la racine de son mal, leur répondit-il avec un sourire narquois. Donner de l’amour à la chair de sa chair, devrait se faire sans aucun effort, cela doit être inné en vous. » Le couple demeurant interloqué, le médecin ordonna ; « Allez, reprenez votre fille, elle n’a rien à faire ici. » Claudine et Paul se rendirent tout penaud à l’atelier d’ergothérapie pour prendre possession de leur fille. Dans cette univers froid et étranger, Noémie en les voyant arriver eu un élan naturel vers ses parents. Les enlaçant affectueusement, elle eu ses mots : « je vous en prie, emmenez-moi d’ici. » Les parents, eux, mus par le sempiternel ressort insensible, l’embrassèrent à peine sur le front. On aurait dit que les paroles du médecin gisaient dans les limbes de leur ego. Comment avait-il osé stigmatiser leur conduite, alors que leur entourage professionnel les portât aux nues ? Claudine était adulée pour son savoir-faire avec les malades, et Paul était grandement apprécié par ses subalternes, tant sa psychologie envers eux était empreinte de sympathie. Les trois s’en allèrent récupérer les affaires. Durant tout le trajet du retour, aucune marque d’affection ne fut adressée à l’enfant ; évitant de la tenir par la main, le papa l’empoignait par le haut du bras comme un simple machin. Inconsciemment, les géniteurs ne pardonnaient pas à leur fille d’avoir enclenché l’appréciation peu flatteuse du médecin sur eux. Arrivés à la maison, Les parents mirent sèchement au pas leur progéniture lorsqu’elle fit la fofolle en chantant à tue-tête. Accablée par tant de carence affective, Noémie, leur hurla : «vous ne voulez pas de moi, alors, je vais me jeter sous une voiture». Puis, elle ouvrit la porte palière, et s’échappa. En dévalant les escaliers, elle loupa la dernière marche, et s’affala de tout son long sur le sol juste au moment où une voisine sorti de l’ascenseur appela les parents. Heureusement la chute fut sans gravité. Après cet incident, les parents changèrent d’attitude et accordèrent à leur fille un tant soit peu d’affection. «Ô notre chérie, s’exclamèrent-ils en chœur, sache que tu es notre bien le plus précieux, même si nous te le monteront pas toujours». Se forçant à être rassérénée, Noémie tenta de reprendre le cours du quotidien. Cependant, la résolution parentale s’effilochant au fil des jours, Noémie ne tarda pas à retomber dans les travers de la dépression, au grand désarroi des parents. Ils finirent par admettre que c’était plus fort qu’eux, ils n’arriveront jamais à donner à leur fille cette sollicitude qui vient du cœur. Aussi se dirent-ils puisse leur fille trouver, à défaut d’amour parental, au moins une amitié sans fard. Un mois après la tentative de suicide, les parents emmenèrent Noémie qui fêtait ses quinze ans dans un des restaurants les plus huppés de la place. Avant qu’on leur eût servi le désert, le papa prit la parole : «Écoute, Noémie, tu es malheureuse chez nous, ne vaudrait-il pas mieux pour toi que l’on t’inscrive dans un internat ou tu pourrais, en plus des études, te faire des camarades, voire des amis ? – Çà marche, répondit-elle.» De ne plus être confrontée à une relation avec les parents se réduisant au nécessaire lui permettrait de lâcher prise à la frustration de ne pas être aimée. Aussitôt décidé, aussitôt fait, deux semaines avant la rentrée scolaire, Noémie fut inscrite dans un internat lyonnais situé non loin du collège qu’elle fréquentait. Toutefois, elle ne pouvait s’y adapter. Sevré d’affection parentale, elle s’était confinée dans une tour de solitude où s’appesantir sur soi-même était sa seule marque d’affection. Son esprit ne concevait pas qu’une relation avec des camarades de classe pouvait lui apporter une satisfaction affective. Aussi, la vie en commun avec les pensionnaires se nourrissait de communications et d’échanges réduites au strict minimum. Déjà en difficultés avec les résultats scolaires à l’école et au collège, Noémie, à l’internat, était toujours en proie avec ceux-ci. A la maison, le manque d’amour parental, la réfugiait en elle-même  Elle, l’enfant rejetée, n’avait que faire des résultats scolaires qui iraient enfler l’égo de ses parents. Ce n’était pas les relations stéréotypées avec les internes qui allait la pousser à sortir de son cocon individuel et avoir des ambitions d’études. Elle rata donc son diplôme de fin de scolarité obligatoire et quitta l’internat une année après qu’elle y fut entrée. Âgée de seize ans, les parents s’inquiétèrent du devenir de leur fille. Ils entretenaient des relations de bonne entente avec le maire de la commune, aussi, Paul, le père saisit-il l’occasion de l’installation d’un ordinateur dans l’appartement du dignitaire pour lui faire part de sa préoccupation. Celui-ci lui proposa d’engager Noémie comme fille à tout faire, car sa bonne de service allait le quitter dans trois mois. Il fut convenu qu’après cette période de mise au courant la fille sera rémunérée selon un salaire fixé après entente entre les parents et le maire. Noémie, devenue femme, ne resplendissait pas d’un éclat particulier. Maigrichonne, fluette, petite tête rondelette, aux yeux verts pâle et à la bouche rétrécie, seul son front plissé sous l’effet de certaines paroles lui donnaient une certaine identité. Assignée aux basses besognes du ménage, et le maire et sa famille la considérant comme un outil à son service, Noémie se raccrochait à sa bouée de solitude qui lui servait si souvent de lâcher prise. Toutefois, lors des rares fois où au hasard des rencontres les gens la gratifiaient de paroles aimables son front se marquait de plis, tant elle fut joyeusement surprise. Chaque mercredi, son jour de congé hebdomadaire, avant de rendre visite à ses parents, elle s’arrêtait en chemin pour s’immerger dans l’ambiance d’un marché qui se tenait non loin d’où ils habitaient. Y déambulant régulièrement, certains habitués la saluaient et lui demandaient comment elle allait. Cette bienséance convenue lui faisaient chaud au cœur et s’extériorisait sur son front, peu habituée qu’elle était à ce qu’on s’intéressât à elle en dehors d’instructions esclavagistes. Huit ans après être entrée au service du Maire, le père de Noémie, Paul, mourut subitement d’une crise cardiaque. Pour son épouse se fut le coup de massue. Leur bonne entente conjugale émerveillait plus d’un. La mort du conjoint déchira comme un poignard la musique amoureuse émanant de deux âmes sœurs. Claudine ne s’en releva pas et tomba dans une grave dépression l’entraînant dans un état grabataire qui se prolongea dans le temps. La magnanimité jaillit alors des profondeurs intimes de Noémie ; elle avait beau avoir gros contre sa génitrice, mais la magnanimité portée par la force du cœur la conduisit auprès d’elle. Ce qui ne l’empêcha guère d’être agitée par des pensées hostiles. Ainsi, bien des disputes et réconciliations nourrissaient leurs relations. Quelques temps passèrent ainsi entre l’occupation de Noémie au service du Maire et le cœur au service de la maman, cela jusqu’au jour où les capacités psychiques de cette dernière se détériorèrent jusqu’à tomber dans une sénilité précoce. De condition modeste, et devant se contenter d’une assistance sociale minimale, la maman devint dépendante de l’aide que lui apportait sa fille. Celle-ci faisait de son mieux. Cependant, les altercations provenant de malentendus dus à la perte de mémoire empoisonnaient de plus leurs relations. La mer de souffrance prenait un goût de rance. Un jour de grande désespérance, la mère et la fille entrèrent en transe ; la mère s’époumona : « Ciel atroce », la fille cria : « Nature féroce » ; les deux éclatèrent en longs sanglots coulant à flots. Epuisées, elles gisaient inertes, et, quand par leur fenêtre ouverte, une musique émouvante, envoûtante, magnifia ces deux existences éprouvantes, le Requiem du divin Mozart, passa par là comme par hasard. Claudine mourut sur le champ prise d’une crise d’épilepsie. Quant à Noémie, elle succomba d’une crise cardiaque. Sainte Noémie, tu t’es sacrifiée pour ta mère ; attachée à son esprit, tu fleuris la terre.                                                             F I N David Frenkel Read the full article
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Alexandra Frenkel
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sexy-black-nylons · 11 months
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Snow White, otherwise known as Alexandra Frenkel
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