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#fred andrieu
fredandrieu · 3 years
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Monsieur Pabo au Far West et Panique à l'île aux crânes
Fred Andrieu et Pierre Druilhe, 1997 et 1993
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INTERVIEW - FRED SKITTY (Made in Avignon )
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Fred Skitty, de son vrai nom Blandine Andrieu est une auteur/compositrice/interprète française. 
À mi chemin entre la chanson pop et l’electronic dance music, c’est en tant que DJ qu’elle fait ses premières scènes. Très vite, à force de passer la musique des autres, il lui vient l’envie de faire la sienne. Séduite par la liberté de création qu’offre la musique électronique, elle commence à sortir ses premières maquettes en 2013.  En 2016, ses études l’amènent jusqu’à Londres. L’occasion pour elle de tester sa musique dans la capitale Britannique. La même année, elle finit sa licence et décide de se consacrer pleinement à son projet artistique. Son premier single, Insane, sorti en 2017 est disponible sur toutes les plateformes de streaming. Actuellement, elle prépare la sortie de son premier EP pour 2019. 
Fred a répondu  à notre interview Girl Gang :
Peux-tu nous raconter ton parcours et tes activités artistiques?
Bonjour tout le monde! :) Je m’appelle Fred Skitty , j’ai 24 ans et je suis ce qu’on appelle une auteure/compositrice/interprète, c’est-à-dire que j’écris, que je produis et que je chante mes morceaux. Je fais de la musique électronique. J’aime bien dire que je suis à mi-chemin entre la house et la chanson pop. J’essaie de reprendre certains codes de la musique electro et de l’associer à de vraies parties chantées. À l’âge de 17 ans j’ai appris à mixer et après quelques soirées de dj sets, à force de passer la musique des autres, il m’est venu l’envie de faire la mienne. C’est grâce au mix que je suis là. Je me suis jamais considérée comme une excellente dj mais je souviens d’une soirée où les gens avaient été particulièrement réceptifs à ce que je faisais; ça m’a fait un petit choc. Je me suis dit que j’avais peut-être un truc à faire dans la musique. Quelques mois après ça, j’ai composé ce qui est aujourd’hui mon premier single. Énorme révélation pour moi, ça a vraiment été le grand frisson. Comme un point de non-retour, je me suis dit que plus rien ne serait comme avant. J’avais 18 ans.
Aujourd’hui j’ai toujours mon activité de DJ/animatrices de soirées, mais artistiquement, je privilégie le live pour présenter mes compos.
 Quand es-tu tombée dans la musique? Tu te souviens de tes premiers disques?
J’ai commencé la musique avec des cours d’éveil musical vers l’âge de 5 ans puis des cours de piano, de 6 à 8/9 ans. Après ça j’ai laissé la pratique de côté pour faire du sport et du théâtre pendant quelques années. Ensuite j’ai commencé la batterie à l’âge de 14 ans et environ deux ans après, au lycée, j’ai découvert la guitare et le chant avec une de mes meilleures amie. Je pense que le début de mon parcours musical commence ici. Pour moi les années qui ont suivi n’ont été que la suite logique de ce que je vivais à cette époque-là.
Je me souviens que le tout premier disque que j’avais acheté avec mon argent de poche c’était le single de Murder On The Dancefloor de Sophie Ellis-Bextor. J’ai grandi en écoutant de la pop. Je suis fan de Madonna. Ma grande soeur avait acheté l’album « Ray Of Light » sorti en 1998, ce qui fait qu’aussi lointain que je m’en souvienne, j’ai toujours su qui elle était. J’ai découvert la notion de « musique electro » avec les Daft Punk et certains morceaux de house des années 90 mais surtout avec Moby. Je me souviens qu’à l’époque je comprenais pas trop ce qu’électro voulait dire. Ma famille m’a offert l’album « Moby Hotel » en 2005. La même année est sorti « Confessions On A Dancefloor », l’album disco-pop de Madonna. Ce CD là je l’ai tellement écouté et trimballé partout que je l’ai en 3 exemplaires. Le premier disque que j’ai eu étant tout rayé. Ça a été une claque énorme. Tous ces sons de synthétiseurs qui ne ressemblaient à aucun instrument que je connaissais, ces chansons mixées entre elles sans interruption, j’ai trouvé ça génial. Si je devais choisir qu’un seul disque, ce serait celui-là, il m’a marquée à vie. Avec le recul, je me dis aussi que c’est ce disque là qui m’a emmenée malgré moi, là où je suis aujourd’hui. Enfin, je me le dis en toute modestie. Il y a aussi plein d’artistes et surtout plein de morceaux qui ont compté aussi, notamment certains morceaux de Kylie Minogue. Des morceaux intemporels comme Slow par exemple. Ça aussi ça fait très cliché mais tant pis hahahaha! C’est peut-être pas les meilleures références, mais ce sont les miennes et je les assume.
Quand j’ai appris à mixer, je me suis mise à écouter des artistes tels que Deadmau5, PNAU, Wolfgang Gartner, Claptone, Vitalic, The Hacker et Miss Kittin, sans oublier les grands classiques du style.
J’écoute de tout ceci dit, de la musique classique au metal en passant par le rap.
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Y a-t-il des artistes qui ont compté dans ta carrière?
J’ai envie de dire tous les artistes dont je viens de parler ont fait office de base musicale. Après il y en a eu d’autres qui ont été et sont toujours des inspirations. Au lycée je me suis intéressée à des groupes comme Hurts, mais aussi à Depeche Mode et ce côté dark new-wave classe que j’adore. J’ai vraiment plongé dans la musique électronique en fin d’adolescence et c’est aussi pour cela que j’ai voulu apprendre à mixer. J’ai eu beaucoup de révélations et j’en ai toujours. Moi qui avais toujours été assez mainstream, j’ai découvert des morceaux de 6, 7, 8 voire 9 minutes et plus. Autant vous dire que ce n’était pas vraiment taillé pour les radios.
Il y a 5/6 ans j’ai découvert le groupe Disclosure et je sais que ça m’a très fortement influencée. Je suis méga fan. Leur electro est classe, super bien produite, chaleureuse, solennelle, sensuelle. Ils chantent aussi. Ils font beaucoup de featurings mais il y a des morceaux qu’ils interprètent eux-mêmes. J’aime bien cette ambivalence. En live ils ont toutes leurs machines disposées autour d’eux, le tout sur des racks. J’adhère complètement. Autant visuellement que musicalement, j’essaie de m’inspirer d’eux sans tomber dans l’imitation.
J’ai aussi découvert The XX il y a quelques années. J’aime beaucoup ces 3 là aussi. En 2015 j’ai découvert par hasard le groupe Paradis et j’avoue que j’ai été complètement chamboulée. L’association musique électronique / chanson française fonctionne à merveille. Ils ont prouvé à tout le monde que l’on pouvait faire de la belle musique electro en français et perso je trouve le résultat sublime. À ce jour je sais que je peux les compter comme un de mes groupes et artistes préférés.  
Je ne peux pas répondre à cette question sans parler de Royksopp et surtout, de Robyn. Je l’ai vraiment découverte à 13 ans, après avoir vaguement entendu parler d’elle en 2002, quand elle était encore dans ses années Pop /Rnb. Robyn c’est vraiment la preuve que la musique électronique peut être pleine de sentiments, n’en déplaise à ceux et celles qui pensent qu’on ne peut pas être dans le vrai quand on fait une musique avec des synthés et des boîtes à rythmes. Cette femme là, elle te retourne les tripes. J’ai une très grande admiration pour elle, tant pour sa musique que pour ses actions, et je sais que je donnerais beaucoup pour lui ressembler, ne serait-ce qu’un petit peu. Pour moi c’est un modèle. Je vais la voir bientôt d’ailleurs, je tiens plus en place!).
Les morceaux qu’elle a fait avec Royskopp sont géniaux aussi, je pense à Do It Again, leur EP commun ou à des morceaux comme The Girl And The Robot par exemple.
J’admire aussi Stromae et Chris (tine And The Queens) qui sont pour moi les exemples parfaits de ces artistes qui commencé dans leur chambre et qui se sont fait tout.e seul.e.s.
On parle souvent de la misogynie dans la musique. Te sens tu investie d’un rôle par rapport à ça?
Effectivement, comme dans beaucoup de milieux, la misogynie s’est aussi invitée dans l’industrie musicale et il faudrait être sacrément de mauvaise foi pour ne pas le voir. Investie d’un rôle j’ai envie de dire, oui, absolument! 
Je ne sais pas si je peux me considérer comme une artiste engagée, je ne sais pas si c'est à moi de le dire, mais on voit tellement d'horreurs tous les jours que je me dis qu'on ne peut plus rester là sans rien faire. En tant que femme en solo, les problèmes de sexisme me touchent, je le vois aussi avec mes amies managers, agents etc.,je suis toujours horrifiée de voir tant de condescendance, de mépris et de remarques dégradantes de la part de personnes soi-disant professionnelles. 
Ce n’est pas se victimiser que de dire qu’il y a un sérieux problème; c’est malheureusement une réalité, personnellement, je me suis toujours sentie privilégiée, écoutée et si je suis écartée, je pense que c’est pour d’autres raisons mais ça ne veut pas dire que tout se passe toujours bien. 
Le fait d’être une petite meuf en solo c’est partir avec un désavantage, quand vous devez entrer en contact avec une boite de production et que vous vous confrontez à toute une bande de potes qui tiennent les rênes, vous vous dites que ça va être compliqué. Il y a des fois où je me sens démunie, c’est sûr, mais les choses changent c’est indéniable. Aujourd’hui j’ai la chance d’être épaulée par 2 super manageuses. Je pense qu’elles aussi elles ont de quoi dire sur le sujet…
J’ai toujours plus ou moins pratiqué des activités dites « de garçon » et parfois, j’étais la seule fille. Je me suis régalée et de ça je n’ai jamais souffert, mais je crois qu’inconsciemment, j’ai vite intégré le fait qu’il fallait que je fasse mes preuves pour que je sois perçue comme légitime. Je ne voulais pas de traitement de faveur et je supportais pas qu’on puisse considérer les filles comme des petites choses fragiles. Je pense qu’avoir cet état d’esprit m’a aidée en musique aussi. J’ai toujours vu le fait de faire partie d’une « minorité » comme une force. Très honnêtement, je n’ai pas à me plaindre. Cependant s’il faut aider, j’ai envie d’être là. Je me suis jamais considérée comme une « artiste engagée », mais je vois tellement d’horreurs tous les jours que je me dis qu’on ne peut plus rester là sans rien faire.
La scène féminine a bien évolué en quelques années. Comment perçois-tu cette nouvelle vague qui secoue un peu les choses?
Je ne peux qu’applaudir. Je suis très optimiste pour le futur. La société a été secouée dernièrement par beaucoup de choses. Il y a des avancées qui sont en train de faire la différence. Il me semble qu’il y a de plus en plus de femmes derrière les platines, à l’écriture/composition et à la technique aussi. Elles s’assument et elles s’imposent. Après tout, elles en ont le droit. J’ai l’impression, je l’espère en tout cas, que le mouvement Me Too et la libéralisation de la parole y est aussi pour quelque chose, enfin c’est une continuité. Tout ça a commencé à faire tomber certains murs et engendré beaucoup de choses. On assiste aussi à une émergence de collectifs féminins qui entendent bien renverser la tendance et c’est génial. Ça fait trop longtemps que les femmes ont à s’excuser et/ou à justifier leur succès. De mon point de vue j’interprète ça comme une sorte de ras-le-bol, mais un ras-le-bol productif, qui fait avancer les choses. Les meufs créent leurs propres structures parce qu’elles ont très bien compris qu’il n’y a que comme ça que les choses avanceront. Elles en ont marre qu’on leur mette des bâtons dans les roues à coups d’infantilisation et d’intimidation. Elles veulent quelque chose, elles vont le chercher elles-mêmes, et ça marche. Elles ont tout compris. Comme on dit, on est jamais aussi bien servi que par soi-même.
C’est marrant parce que je me rends compte que depuis l’an dernier, toutes les personnes que je connais et qui me donnent des coups de main niveau visibilité (managers, bookers, blogs musicaux, agents, collectifs etc) sont des femmes.. Ça n’est même pas voulu, ça s’est vraiment fait comme ça. J’ai jamais autant eu l’impression d’avoir une « vraie carrière » depuis qu’elles sont là.
Heureusement qu’on dit que les femmes entre elles ne peuvent pas se saquer…
Bon blague à part, je sais que comme ça je peux paraître hargneuse alors que pas du tout. Le féminisme n’est pas un gros mot et il n’a jamais été question de monter les femmes contre les hommes comme on peut lire parfois. Au contraire, le but est de vivre ensemble. L’union fait la force. Surtout que le féminisme entend bien libérer les femmes, mais aussi les hommes, ça il ne faut pas l’oublier. C’est l’affaire de toutes et de tous. Moi j’y crois et je sais que je suis pas la seule.
Tes artistes préféré.e.s du moment?
L’an dernier j’ai découvert le duo Sofi Tukker. Je les suis régulièrement depuis et j’adore. Dernièrement, j’ai découvert St.Vincent aussi. Enfin, je la connaissais un peu avant mais honteusement j’avais vraiment fait attention à elle. J’aime beaucoup certains morceaux de son album Masseduction. Je leur trouve des similitudes; j’aime comment Sophie de Sofi Tukker et St.Vincent mixent leur riffs de guitare avec des sonorités électro, je trouve ça très inspirant. De la badasserie concentrée!
J’aime beaucoup Jeanne Added aussi.
Avec quel autre artiste aimes-tu jouer le plus?
J’avoue que je n’ai fait que trop peu de collaborations.. Bien sûr j’ai joué en groupe, également avec des ami.es aussi chouettes que talentueux, mais pour ce qui est de mon projet, je suis très souvent seule devant mes claviers. Mais sinon, je dirais ma soeur. Elle est chanteuse lyrique. On a fait un morceau ensemble il y a 3 ans. J’ai fait le beat et elle a chanté dessus. J’aimerais bien recommencer un jour… à suivre.  
Avec quel artiste aimerais-tu jouer?  
Quel artiste genre, une situation crédible? Hahaha!
Il y a un morceau de Her qui s’appelle On & On. C’est un featuring avec AnnenMayKantereit et Roméo Elvis. J’adore le résultat de cette association d’artistes qui à priori n’avaient pas grand chose en commun. (Bon c’est un peu l’intérêt du feat tu me diras). J’aimerais bien faire la même chose un jour. Lors de mon stage à Londres il y a 3 ans j’ai découvert Shay D, une rappeuse aux textes justes et percutants. C’est assez basique comme idée mais j’avoue que j’aimerais bien m’essayer au featuring avec un rappeur ou une rappeuse un jour.
Un jour qui sait, j’aurai peut-être « mon On & On à moi », si je puis dire.
Ton artiste féminine préférée?
Madonna. Aussi cliché soit-il, Madonna! Je sais que ça peut faire rire mais bon j’assume totalement, c’est elle, entre autres, qui m’a donné envie de faire de la musique, beaucoup la considèrent comme le cliché de la blonde écervelée qui se pavane dénudée uniquement dans le but de provoquer, mais ce sont les mêmes qui oublient qu’elle a été une des premières à revendiquer la liberté des femmes, avec d’autres, bien sûr. À mon sens, elle a été la pionnière de beaucoup de choses, elle ne s’est pas excusée de s’émanciper et à ouvert la voie à d’autres artistes. Beaucoup s’accordent à dire que musicalement parlant, ça fait quelques années qu’elle est tombée dans la facilité et que ça se ressent dans ses derniers albums studio, je suis assez d’accord avec ça et comme beaucoup, je regrette « la Madonna d’avant », ceci dit, ses concerts sont grandioses, c’est une véritable bête de scène, je vous garantis qu’on s’en prend plein les yeux. Pour moi elle mérite totalement son statut d’icône. Et puis, c’est pas très original mais, comme beaucoup de gens, elle m'a aidée moi aussi, aidée à m’assumer notamment, pour ça je lui en suis reconnaissante. Un personnage public qui dit aux yeux de tous.tes que l’homosexualité n’est pas une maladie c’est hyper important, surtout quand on est jeune.
Une punchline / devise ?
Pour moi Queen et Freddie Mercury ont tout dit: « Don’t stop me now cause I’m having a good time, I don’t want to stop at all », ça fait peut-être prétentieux de dire ça comme ça mais bon quand je pense à tous ces gens qui ne nous prennent pas au sérieux et qui pensent que l’on devrait se « trouver un vrai métier », c’est tout ce que j’ai envie de leur répondre. Malheureusement, on est jamais à l’abri de la critique et de l’infantilisation venant de personnes qui pensent savoir tout mieux que tout le monde. 
Je sais qu’aujourd’hui c’est la galère, parfois je me sens complètement déconnectée de la réalité à être tout le temps le nez dans mes machines, mais si un jour les choses réussissent bien pour moi et que mon projet est à peu près viable, je me dis que j’aurai eu raison de ne pas avoir lâché.
Des endroits que tu recommanderais  pour faire la fête?
J’avoue que c’est un peu un comble mais je sors peu. En tout cas pour moi, avant l’endroit, le plus important c’est les gens avec qui on sort, où que vous soyez, allez-y avec les gens que vous aimez. 
J’ai le souvenir de soirées mémorables dans des endroits qui pourraient faire rire car considérés comme trop miteux, mais j’étais avec des gens que j’aime et en qui j’ai confiance alors on a bien rigolé, bien dansé et passé une très bonne soirée. Je suis un peu embêtée parce que le club qui a le plus illustré mes soirées étudiantes a brûlé… ! Cependant s’il faut donner donner quelques noms, je dirais le Pub Z, le Délirium et le club L’Esclave, pour ce qui est d’Avignon en tout cas,j’ai également entendu parler de soirées électro au théâtre du Rouge Gorge, j’aimerais bien voir ce que ça donne. 
Sinon j’ai envie de te dire qu’à Paris il y a la Mutinerie et les immanquables soirées Wet For Me, du collectif Barbi(e)turix, la programmation est toujours très très lourde et c’est un espace sûr, sinon pour ce qui est des festivals je dirais le Cabaret Aléatoire à Marseille, j’en garde un super souvenir. 
Il y a aussi le festival Résonance, encore une fois en Avignon et les Electros d’Uzès, dans le Gard, qui sont pour moi des incontournables. 
J’ai envie de finir avec un clin d’oeil: je n’ai pas encore pu aller à vos soirées Pimp My Queer mais j’espère pouvoir changer ça, je ne suis que très rarement à Montpellier mais j’y tiens, je ne dis pas ça uniquement pour vous faire plaisir. C’est toujours super de voir que ça bouge aussi en région car c’est malheureusement très facile de se sentir isolé.e.
Quel est ton spot à apéro?
Le Pub Z, en Avignon, c’’est une rhumerie à la base mais ils font de tout et le patron est très cool, c’’est là où j’ai commencé, là où on m’a donné ma chance. C’est un endroit spécial pour moi.
Tes prochaines dates?
Le 4 Avril au… Pub Z! J’imagine que ça va être une date particulière, surtout que la dernière fois que j’ai joué là-bas, je commençais à peine, ça va être du live + un petit dj set, j’ai hâte! 
Après j’ai une date au Pôle Culturel Jean Ferrat de Sauveterre (30) le 10 Mai, ensuite une date à Paris mais malheureusement, je ne pas en dire plus pour le moment. 
Je serai aussi à Istres le 21 Juin pour la fête de la musique. Je profite de cette interview pour faire une annonce: mon premier EP est bientôt fini et je ferai tout pour qu’il arrive très vite, la sortie de celui-ci est enclenchée. Suite à des soucis techniques et financiers, j’ai voulu prendre mon temps et j’ai décalé la sortie de pratiquement un an. Maintenant je peux le dire: il y aura bien un EP avant la deuxième moitié de 2019. D’ailleurs, je suis toujours à la recherche de nouvelles dates pour le défendre. Si jamais ça intéresse quelqu’un…
Que penses-tu de Support Your Local Girl Gang?
Je trouve ça super, bravo pour ce que vous faites ! 
Ça fait quelques temps que je vous suis maintenant et je ne peux qu’adhérer au concept, c’est hyper important de mettre en lumière des projets/artistes/alternatives qui donne à voir un monde plus inclusif. Donner de la visibilité à ces personnes là, c’est agir pour un monde plus juste, je me répète mais quand je parlais de l’émergence de collectifs féminins/féministes/LGBT+/inclusifs, je pense aussi à ce que vous faites. 
Il y a beaucoup d’invisibles dans notre société. Beaucoup trop de personnes sont condamnées à vivre dans l’ombre parce qu’elles ne correspondent pas aux normes établies par certains.es, sauf que, spoiler alert, ces personnes là existent et elles ont le droit d’exister tout autant que les autres. Elles ont passé trop de temps dans le noir à l’abri des regards. Tout ça doit changer et le changement passe aussi par des initiatives comme celle-ci. Merci!
Emeraldia Ayakashi - Support Your Local Girl Gang
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fredandrieu · 3 years
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Ricou et Bigou détectives
Fred Andrieu et Guillaume Bouzard
Ferraille n° 1
automne 1996
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fredandrieu · 3 years
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fredandrieu · 3 years
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Un cochon qui vaut de l'or
Fred Andrieu et Pierre Druilhe
Ferraille n° 6
septembre 1997
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fredandrieu · 3 years
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fredandrieu · 3 years
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Panique à l'île aux crânes
Fred Andrieu et Pierre Druilhe
janvier 1994
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fredandrieu · 3 years
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Aujourd'hui dans les Trésors de la Flibuste, monsieur Pabo et ses crétins d'amis font les cons sur les traces de Lovecraft et de John Carpenter et rencontrent par la même occasion la Marque Jaune, la Chose d'un autre monde et François Mitterrand !
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fredandrieu · 4 years
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Bouba et la Prêtresse
Fred Andrieu et Olivier Besseron
Ferraille n° 4
1997
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fredandrieu · 4 years
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1977
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fredandrieu · 3 years
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fredandrieu · 4 years
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fredandrieu · 4 years
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fredandrieu · 4 years
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Ego-trip devant la fresque de Jokolor à Decazeville le dimanche 18 mai 2020 à 18h30. Photo prise par Sylvie Pomarede.
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fredandrieu · 6 years
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Démarrage en trombe spontanéïdale Mattt Konture Le Jambon blindé n° 3 1996
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fredandrieu · 7 years
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Philippe Petit-Roulet 
Actes de Vengeance Spécial Onulf le Marin
1994
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