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De l’image à la musique : comment créer une bande-son originale - Mercredi 25 avril 2018

Première rencontre entre François Salès, hautboïste de l’EOC, et les élèves du dispositif ULIS du Lycée du Premier Film à Lyon. 

Ils vont travailler ensemble jusqu’à juin à la mise en musique d’un court-métrage muet, en noir et blanc, réalisé par les élèves, accompagnés par leur professeur. Le thème : une nuit d’horreur au lycée... 

Pour commencer cette séance, François Salès leur a présenté son instrument : le hautbois. Puis le travail s’est engagé autour du film : visionnage, première réflexion sur la musique d’un film (différences entre ambiances sonores et bruitages) et questionnement sur les sons qui pourront être utilisés à certains moments (le silence, une porte qui claque, des sons désagréables, déformer un son connu, ...). 

Les prochaines séances seront consacrées à de l’exploration sonore pour composer la bande-son de ce court-métrage qu’ils présenteront en fin de projet.

Prochaine répétition le mercredi 9 mai !

Projet réalisé dans le cadre du dispositif Passeurs de culture de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. 

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Transcription : l’invitation à l’action - Mardi 13 février 2018

François Salès, hautboïste de l’EOC a proposé aux adhérents de l’Université pour Tous de Saint-Etienne de questionner la notion de transcription. 

Pourquoi faire une transcription ? A quoi sert-elle ? 

Un moment d’échange pour aborder cette notion et comprendre l’intérêt que lui porte les compositeurs et les artistes, de Bach à Zender. 

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Tierkreis - Mercredi 17 et jeudi 18 janvier 2018

Après ces deux dernières répétitions, les élèves accompagnés de Claudio Bettinelli et François Salès sont fin prêts ! 

Ils vous proposent de venir découvrir leur propre interprétation de la pièce Tierkreis de Karlheinz Stockhausen en levée de rideau d’un concert de l’EOC ce dimanche 21 janvier à 17h à l’Auditorium de la Maison du Département de Bourgoin-Jallieu (18 avenue Frédéric Dard, Parc de lilattes)

Pour en savoir +, cliquez ici

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Tierkreis - Mercredi 22 et Jeudi 23 novembre 2017

Claudio Bettinelli et François Salès ont commencé à travailler avec les élèves amateurs du Conservatoire Hector Berlioz à Bourgoin-Jallieu sur la pièce Tierkreis du compositeur Karlheinz Stockhausen.

Par groupe, ils ont exploré des paysages sonores en lien avec chaque signe du zodiaque. L’exploration continue au cours des prochaines séances pour aboutir à une interprétation de la partition dans son ensemble.

>> Rendez-vous le dimanche 21 janvier 2017 à 16h à l’Auditorium de la Maison du Département de Bourgoin-Jallieu pour découvrir leur travail.

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Clés musicales - Maintenant Musiques ! - Lundi 13 novembre 2017

Les élèves de CM2 de l’école primaire J. Cousteau de Roche La Molière ont rencontré pour la première fois le hautboïste de l’EOC, François Salès. Avec lui, ils vont créer des pièces musicales autour de la thématique des quatre éléments.

Cette première séance fut l’occasion d’engager les premiers échanges et explorations sonores, de découvrir le hautbois et les haïkus rédigés par les élèves.

Ce projet prend pour point de départ l’oeuvre La Mer de Claude Debussy / arrangement Marlijn Helder qui sera interprétée par l’EOC dans le cadre de Maintenant Musiques !, le mercredi 29 novembre 2017 au Pôle culturel l’Opsis à Roche la Molière. 

>> Il reste encore des places disponibles pour la répétition publique scolaire autour de cette oeuvre le lundi 27 novembre 2017 de 14h30 à 15h30 au Pôle culturel l’Opsis à Roche la Molière. Entrée libre sur réservation auprès de Judicaëlle Pace (04 72 10 90 48 / pace@eoc.fr)

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Musique assistée par ordinateur et autres instruments insolites - Mardi 7 novembre 2017

Les adhérents de l’Université pour Tous de Sorbiers ont pu découvrir l’univers de la musique assistée par ordinateur, accompagnés de François Salès, hautboïste de l’EOC, dans le cadre des 10 ans de l’Espace culturel L’Echappé à Sorbiers. 

Au programme de cette conférence musicale : Pierre Schaeffer et ses objets musicaux ainsi que la présentation d’instruments insolites comme l’EWI (Electronic Wind Instrument), le theremin et une cage à oiseaux détournée pour découvrir toute la palette sonore permise par l’utilisation d’un ordinateur. 

Les adhérents ont également pu monter sur scène pour tester certains de ces instruments. 

Merci à l’Université pour Tous de Sorbiers / Sorbiers culture pour leur accueil !

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Tierkreis - Jeudi 19 octobre 2017

Claudio Bettinelli et François Salès ont rencontré les élèves de formation musicale du Conservatoire Hector Berlioz à Bourgoin-Jallieu. L’occasion pour les élèves de découvrir l’oeuvre Tierkreis de Karlheinz Stockhausen autour de laquelle ils vont travailler avec les musiciens. 

Ils présenteront leur propre interprétation de cette pièce le dimanche 21 janvier 2018 à 16h à l’Auditorium de la Maison du Département de Bourgoin-Jallieu, accompagnés par Claudio Bettinelli et François Salès. 

Prochaines répétitions les mercredi 22 et jeudi 23 novembre 2017 au Conservatoire. 

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“ Des cours de hautbois en ascenseur ”

Pour commencer l’année, nous vous proposons de rencontrer les musiciens qui accompagneront les projets sur cette saison au travers de plusieurs interviews.

Entretien avec François Salès, hautboïste de l’EOC

Peux-tu te présenter en quelques mots ? 

Volontiers ! Je m’appelle François, je suis né à Marseille où j’ai passé toute mon enfance et mon adolescence. Ce qui m’intéressait surtout c’était de construire des vaisseaux spatiaux en Lego, le plus gigantesque possible. Plus tard de lire du Dostoïevski et de faire de l’athlétisme. J’ai passé un bac scientifique et tout de suite après je suis parti à Lyon. Je suis arrivé à Lyon à 18 ans, lorsque je suis rentré au conservatoire supérieur, et depuis j’y suis resté !

Pourquoi as-tu choisi le hautbois ? 

Je n’étais pas très âgé et c’était je ne sais trop où, en tout cas dans un endroit où je n’avais rien à faire. Quelqu’un faisait souffler dans une trompette. J’ai soufflé et il a dit que c’était bien. Cela m’a flatté et à partir de ce jour, j’ai dit que je voulais faire de la flûte traversière. Or, dans mon immeuble vivait un hautboïste. Il habitait au troisième étage et moi au sixième. Il fut donc décidé que je ferais du hautbois et que j’irais prendre mes cours en ascenseur.

Depuis quand fais-tu parti de l’ensemble ? 

Je fais parti de l’EOC depuis si longtemps qu’il est indécent de l’écrire noir sur blanc. J’y suis depuis pratiquement les débuts de l’ensemble. Que ceux qui ont une âme de chercheur cherchent ! 

Pourquoi as-tu choisi la musique contemporaine ? 

Le virus de la musique contemporaine, je l’ai contracté assez tôt. Après mes premiers cours pris au troisième étage, je suis rentré au Conservatoire de Marseille. Mon professeur était ce qu’on peut appeler “un prof à l’ancienne” et la musique contemporaine ne l’intéressait guère. Pour autant il n’avait rien contre. Très tôt donc, elle fut pour mois le terrain de jeu où je me trouvais le plus libre. On m’y fichait la paix et je pouvais faire mes petites expériences à ma guise et, chose magique, la notion de bon et mauvais goût semblait ne pas y avoir cours ! C’était vraiment le pied ! Ensuite je n’ai jamais cessé de jouer des oeuvres de notre temps. En un mot je dirais que pour moi la musique contemporaine a toujours été celle dans laquelle le concept de tradition était le moins inhibant. 

Chaque année, tu mènes des projets de création musicale et de découverte auprès des publics. Peux-tu nous parler d’un projet en particulier ? 

C’est difficile de ressortir une action plutôt qu’une autre. Elles donnent toujours lieu à des rencontres émouvantes et j’y repense souvent plus tard. Je me souviens d’avoir passé une semaine dans un presbytère près de Noirétable. J’étais tout seul là-dedans et tous les matins dès 8h30 les terminales du lycée agricole voisin venaient me rejoindre et nous bossions jusqu’au soir pour réaliser un ciné-concert sur une vidéo de Beryl Korot. Tout cela était très joyeux et je voyais les jeunes s’ouvrir tellement rapidement à tout ce matériau au départ si étrange pour eux. Voilà : on “faisait quelque chose” ensemble et ça fonctionnait. Et puis il y a parfois l’improbable, ce qui n’était pas du tout attendu. Mon meilleur souvenir dans cette catégorie reste une rencontre au Musée d’Art Moderne et Contemporain de Saint-Etienne. Il était prévu que je fasse un concert déambulatoire pour des élèves primaires, mais en définitive ce sont des adolescents en situation de handicap mental qui se présentent. Il était impossible de faire stricto sensu ce que j’avais préparé. Alors s’est engagé entre eux et moi une longue discussion sur les oeuvres exposées, entrecoupée de moments musicaux. Ca, c’était vraiment étonnant comme moment. Très étonnant. J’y repense souvent. 

Pourquoi as-tu choisi de descendre de la scène pour transmettre ta passion de la musique au public ? 

Un projet de transmission me semble par définition en grand partie imprévisible car il dépend autant de celui qui l’apporte que de celui qui le reçoit. Or la routine est la chose qui m’effraie le plus au monde ! (Donc ça tombe bien.) Les projets proposés par l’EOC sont extraordinairement variés. Ils m’ont conduit à rencontrer des enfants, des adolescents, des personnes en situation de handicap, de fréquenter des couches sociales très diverses. C’est un moyen irremplaçable pour moi de sortir de mon microcosme. Si bien que je suis persuadé d’y être autant “apprenant” qu’appreneur”. Cela dit je suis quand même là pour donner et pas seulement recevoir ! Je dirais que ce qui compte le plus à mes yeux c’est de construire quelque chose collectivement. Quelle que soit cette chose d’ailleurs. Au fond oui, quelle que soit cette chose. Si je devais résumer cela au mieux je citerais volontiers Blaise Cendrars : “Il y a dans l’action le contentement de faire quelque chose, n’importe quoi, et le bonheur de se dépenser.”

Quand tu étais petit, quel métier souhaitais-tu faire ? 

Durant tout le primaire, je souhaitais ardemment être “pompier avec André”. André était mon meilleur ami, mais un jour des adultes sont venus dans la classe et ont dit à André qu’il devait changer d’école, à la suite de quoi ma vocation de pompier s’est effondrée. Lorsque je suis rentré en 6ème, nous devions remplir une petite fiche et à la case “Que veux-tu faire plus tard ?” j’ai écrit “hautboïste”. Le plus étonnant c’est qu’il ne faisait aucun doute dans mon esprit que c’est ce que je ferais. 

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Tierkreis

Retour en vidéo sur l’interprétation de la pièce Tierkreis par les élèves de 5ème du collège le Plan du Loup (Sainte-Foy-lès-Lyon) et de 2nde, 1ère et terminale du Lycée des Horizons (Chazelles-sur-Lyon), accompagnés par François Salès.

Présentation au public le mardi 23 mai 2017 à 14h30 au Théâtre de la Renaissance à Oullins.

>> Montage : François Salès

Partenariat EOC / Grame / Théâtre de la Renaissance

Avec le soutien de la DRAC Auvergne-Rhone-Alpes. 

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Clés musicales - Collège Jacques Prévert à Andrézieux-Bouthéon et Lycée Honoré d’Urfé à Saint-Etienne - Lundi 10 avril 2017

Au cours des répétitions, les élèves de 3ème du Collège Jacques Prévert à Andrézieux-Bouthéon et de 2nde option arts du son du Lycée Honoré d’Urfé à Saint-Etienne, découvriront les esthétiques musicales contemporaines afin d’en comprendre les enjeux musicaux, accompagnés par trois musiciens de l’EOC. 

Cette découverte prendra appui sur des poèmes : 

- Marine de Paul Verlaine

- La Musique de Charles Baudelaire

Cette première séance a réuni l’ensemble des élèves au lycée pour une présentation générale du projet. Les musiciens ont également présenté leur instrument (flûte, hautbois, basson) et ont interprété quelques oeuvres de Jonathan Harvey ou encore de Marcel Bitsch. 

L’occasion d’engager un premier dialogue autour de la musique contemporaine et ses différents registres (musique mixte, sons de synthèse, concert acousmatique...). 

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Tierkreis

Les dernières répétitions ont été l’occasion pour les élèves du Collège Le Plan du Loup à Sainte-Foy-Lès-Lyon et du Lycée Les Horizons à Chazelles-sur-Lyon de continuer leur recherche musicale autour de certains signes du zodiaque : Vierge, Lion, Balance, Cancer, Taureau, Poisson ou encore Bélier. 

Le tout avec différents instruments (piano, guitare, hautbois...), objets (tuyaux harmoniques, boîte à musique, tambour d’océan, cloche...) et leur voix. 

La création prend forme !

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Tierkreis - Jeudi 31 janvier 2017

François Salès s’est rendu au Lycée les Horizons pour continuer les répétitions autour de la pièce Tierkreis, que les élèves ont pu écouter au Théâtre de la Renaissance le mardi 24 janvier dernier. 

Au cours de cette répétition, il s’agissait d’explorer des pistes directement avec les instruments des élèves (piano, guitare, batterie, djembé) et la voix, accompagnés de leur professeure Marie-Laure à l’accordéon et de François Salès au hautbois : 

- Recherche d’une base d’accompagnement sur la mélodie du signe Gémeaux : comme l’accord de Stockhausen est toujours identique (si - ré - ré# - mi - la - do#) mais varié dans sa disposition, le travail s’est centré sur une improvisation sur la base de ces 6 notes à la guitare, qui servira de base à la mélodie ; 

- Recherche autour du signe du Lion pour créer un effet de procession lointaine  et annoncer l’approche de quelque chose de volumineux ; 

- Recherche autour du signe du Verseau : improvisation sur la ligne mélodique entre le piano et la hautbois, qui a donné musicalement quelque chose d’assez rituel, comme une cérémonie. Tout à fait ce que souhaitait Stockhausen dans son oeuvre Music im Bauch, pièce à l’origine du cycle Tierkreis ; 

- Recherche autour du signe de la Vierge : du chant et de l’accordéon autour des paroles en anglais de Stockhausen.

La création prend forme... RDV le mardi 23 mai 2017 au Théâtre de la Renaissance pour la découvrir !

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Tierkreis - Un nouveau projet qui débute !

Tierkreis, zodiaque en allemand, est le nom donné à un cycle de douze mélodies du compositeur Karlheinz Stockhausen, chacune représentant un signe du zodiaque. 

Depuis cette semaine, les élèves d’une classe du collège Le Plan du Loup à Sainte-Foy-lès-Lyon et d’une classe du Lycée Les Horizons à Chazelles sur Lyon, travaillent autour de cette partition avec François Salès, hautboïste de l’Ensemble Orchestral Contemporain. 

Cette première rencontre a été l’occasion pour eux de se familiariser avec le projet, cette oeuvre et les consignes d’interprétation du compositeur :  

- l’intrumentarium est laissé au libre choix des interprètes ; 

- le spectacle doit commencer avec la mélodie correspondant au signe du zodiaque du jour de la performance, se poursuivre à travers les douze mélodies du cycle et se terminer par un retour à la mélodie de départ ; 

- chaque mélodie doit être jouée plusieurs fois mais jamais de la même manière, des variations s’imposent. 

François Salès a également joué plusieurs signes de la pièce en donnant pour objectif aux élèves de retrouver le signe associé à chaque mélodie en argumentant leur réponse. Les élèves ont ainsi pu mettre en avant plusieurs caractéristiques liées à chaque signe : 

- Le signe du cancer : il y a beaucoup de silence dans la mélodie comme pour faire référence au crabe qui avance puis s’arrête ; 

- Le signe du poisson : au contraire du signe du cancer, pas de silence et des moments d’accélération dans la mélodie, comme le poisson qui ne s’arrête jamais vraiment dans l’eau et avance rapidement par moment ; 

- Le signe du verseau : un rythme à trois temps qui se dégage de la mélodie comme une mélodie de valse ; 

Pour les prochaines répétitions, le travail se tournera autour de la création de paysages sonores autour de ces signes qui permettra aux élèves de créer leur propre interprétation musicale de cette oeuvre qu’ils présenteront au public le mardi 23 mai 2017 au Théâtre de la Renaissance à Oullins. 

Ce projet se réalise en partenariat avec Grame, Centre National de Création Musicale, et le Th��âtre de la Renaissance à Oullins. 

!! : N’oubliez pas également le concert de l’Ensemble Orchestral Contemporain le mardi 24 janvier 2017 au Théâtre de la Renaissance à Oullins, dans le cadre de la Saison Grame, où sera interprétée cette pièce par un quatuor original !

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Rencontre musicale - Jeudi 5 avril 2018

Dans le cadre de la présence de l’EOC au Festival Printemps des Arts de Monte-Carlo avec la pièce Quatre Jeunes Filles d’Edison Denisov, François Salès est intervenu auprès de 4 classes de 6ème du Collège Bellevue à Beausoleil.

Un moment privilégié pour s’intéresser à l’instrument qu’est le hautbois et aux différentes modes de jeux contemporains. Pour cela, François Salès a interprété plusieurs pièces comme les Sequenze de Luciano Berio, Tierkreis de Karlheinz Stockhausen ou encore un extrait de Au plus haut des cieux d’Edison Denisov.