#fougère mâle
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philoursmars · 4 months ago
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Dans les Pyrénées béarnaises, le Cirque de Lescun, au fond de la Vallée d'Aspe. Christine et moi, nous nous y promenâmes il y a déjà une bonne quinzaine de jours...
Notre destination : le Plateau de Sanchèse, Côté nature, une belle fougère (peut-être une Fougère Mâle, Dryopteris ??), un Pavot jaue des Pyrénées (Meconopsis cambrica), une grande Astrance, des Blechnums (fougères) et une Campanule.
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thecryptandtheincubus · 8 months ago
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{{VENDU}}
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HERBARIUM : Fougère mâle (Dryopteris Filix-mas)
LAPIDARIUM : Marcassite, Jade
LIEU DE CUEILLETTE : forêt de la Planoise (Bourgogne)
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parfumieren · 1 year ago
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Le Mâle et Ma Dame
Here's the thing: I really dig Jean-Paul Gaultier. I first came to admire him for his retrofabulous costumes for Jean-Pierre Jeunet's La Cité des Enfants Perdus; my admiration continued upon seeing the superfuturistic Gaultier ensembles featured in Luc Besson's The Fifth Element. I only seemed to be able to tolerate Madonna when she wore one of his marvelous, witty structured corsets. And I really liked Le Mâle.
A sassy licorice-lavender fougère with a pronounced top note of cinnamon Red Hots that comes in a bottle shaped like the rough-trade version of Schiaparelli Shocking? Hell yes! Many find the cartoon aesthetic of the ad campaign tacky or questionable, but I confess to loving those Tom-of-Finland-style sailors in their signature Gaultier striped tank tops and kiss-me pouts. Betty Boop reincarnated as a boy? Yes, please!
But truth be told, I wasn't really all too keen on Gaultier's subsequent choice of muse. Damned if I can tell you why Agyness Deyn got my goat. Perhaps it was that perpetually smug look on her face, like a cat that's found a jewel-thief-level strategy to get into the cream. Perhaps it was that ludicrous commercial for Ma Dame, in which Ms. Deyn rebelled against the heavy penalties of being a grossly overpaid and pampered top model by slicing at her hair and clothing with a pair of shears. Yawn.
So there I was, expecting Ma Dame to rear up out of the tester like a roller derby queen and hip-check me straight into next Tuesday. Instead, what did I get? I got pied, that's what. As in a pie in the face. A lemon meringue pie, to be exact-- soft, sweet, creamy, and knee-slap hilarious. I actually laughed as I wiped lemon filling out of my eyes. Why you little… I thought. Ahhhh, Jean-Paul. I can't stay mad at you.
Once I got down off my high horse (or rather, was knocked off it by this marvelous confection) I had to admit I loved being wrong. Or more to the point: I loved this fragrance for taking the piss out of me. It wasn't high art, or one hundred percent original, or even remotely serious about itself. It was simply FUN-- a scent meant to make you giggle, wriggle, dance, and play. (Why did I think it would be so standoffish, so aggro? Had I misread Agyness Deyn completely? If this fragrance was inspired by her, then make no mistake-- she's Pippi Longstocking and that's final.)
Ma Dame starts off all in-your-face lemon, which sounds like it could hurt-- but if you don't tense up before it hits you, it turns out to be a gooey-pudding pleasure. The lemon-herb-cake accord of Balenciaga Paris may be a minor homage, but the major difference is in the surprise note-- the "prestige" we'd call it if perfume could be spoken of as a magic trick. In Balenciaga Paris, it's a stainless-steel note, coldly glimmering in the background. But Ma Dame wants to say one word to you, just one word.
Are you listening?
Plastics.
When my sisters and I were kids, we shared an adorable see-through vinyl bubble umbrella with a lemon-yellow stripe around the bottom. The umbrella fit right down over you like a space capsule, but its transparency allowed for unimpeded vision as you walked through the rain. The sensations it offered were oddly juxtaposed, even mutually exclusive-- exposure and protection, confidence and concealment. Skipping down the street, you could see exactly where you were going. And if you ran into someone, it could only be on purpose… with mischief in mind.
Ma Dame smelled exactly like my childhood umbrella. Is it strange to love it so much for that?
It smelled like other things, too. On my hair, it smelled strongly of roses and geraniums. In the air around me, it smelled like stretch latex and petroleum jelly, slick and cheerful and synthetic. After an hour or so, an interesting rosemary scent began to thread its way through the latex, as did a high-and-dry vanilla-and-eggwhite meringue note. But it's the lemon-pie part that proved so compulsively sniffable-- softer than soft with just the right amount of edgy, kicky, cheerful garçonne attitude.
(It's only when you look up the scent elements and realize there's no lemon in this thing that your eyes get wide with wonder. There's no vinyl in it either-- but your senses, like mine, may tell you the exact opposite.)
Ma Dame (like its big brother Le Mâle, and like Eau Noire for Dior) was composed by Francis Kurkdjian. I'm beginning to believe this man is the Willy Wonka of fragrance. He exudes freshness, flippancy, childlike fun, a touch of danger, a love of the absurd, and the anarchic trappings of a first-class surrealist. (In fact, I'm waiting for the perfume in which the snozzberries really DO taste like snozzberries.)
Scent Elements: Mint, artemisia, bergamot, cardamom, lavender, orange blossom, cinnamon, cumin, sandalwood, vanilla, cedar, tonka bean, amber (Le Mâle); rose, orange, grenadine, musk, cedar (Ma Dame)
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certainplaidpandallama · 3 years ago
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Spécificité de la garniture chromosomique
Denise ZICKLER : maître de recherche au C.N.R.S.
CLASSIFICATION
Sciences de la vie
» Génétique
» Biologie moléculaire, génétique moléculaire
Sciences de la vie
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» Génétique cellulaire et cytogénétique
Sciences de la vie
» Biologie cellulaire, cytologie
» Structure cellulaire
» Structure cellulaire eucaryote
VOIR AUSSI
ALTERNANCE DE PHASES •
AUTOSOMES •
BARR CORPUSCULE DE ou CORPUSCULE CHROMATINIEN
CARYOTYPE • CENTROMÈRE •
CHROMOMÈRE •
CHROMOSOMES HOMOLOGUES •
CHROMOSOMES POLYTÉNIQUES •
DIPLOÏDIE • DOSAGE GÉNIQUE •
FÉCONDATION • GÉNOME •
GONOSOMES ou CHROMOSOMES SEXUELS ou HÉTÉROCHROMOSOMES
HAPLOÏDIE •
INACTIVATION DU CHROMOSOME X •
NOMBRE CHROMOSOMIQUE SPÉCIFIQUE
NOYAU CELLULAIRE •
GLANDES SALIVAIRES •
DÉTERMINATION DU SEXE • ZYGOTE  Carte mentale
Élargissez votre recherche dans Universalis
Le cycle de reproduction de la plupart des espèces comporte une alternance régulière de deux phases. Durant la
phase haploïde, souvent réduite chez les organismes supérieurs aux seules cellules sexuelles ou gamètes , le noyau contient un lot de chromosomes : par exemple n = 4 chez la drosophile,
n = 13 chez le Coprin, n = 10 chez le maïs, n = 23 chez l'homme. Lors de la
fécondation, quelles que soient les modalités du processus, il y a formation d'une cellule diploïde , ou
zygote, dans laquelle les deux noyaux gamétiques fusionnent, réunissant ainsi dans un seul noyau les n chromosomes venant du gamète femelle et les n
chromosomes provenant du gamète mâle. La cellule diploïde contient donc chaque chromosome, et l' information génétique qu'il porte en double exemplaire (2 n = 8 chez la drosophile signifie 4 paires de chromosomes) et les chromosomes de même type sont appelés chromosomes homologues.
Toutes les cellules des organismes de la même espèce possèdent un nombre chromosomique identique. À cette règle de la constance spécifique il faut cependant apporter quelques réserves, par exemple, les différences chromosomiques entre cellules d'un même organisme (cf. infra : chromosomes polyténiques) et la présence chez plusieurs espèces de petits chromosomes hétérochromatiques ou chromosomes b , dont le nombre varie d'un organisme à l'autre sans modifications du phénotype (ensemble des propriétés observables d'un organisme) de l'individu porteur. Mais généralement le nombre chromosomique d'une espèce donnée est parfaitement constant. Par contre, ce nombre est variable d'une espèce à l'autre, les extrêmes étant n = 1 chez l'ascaris et n supérieur à 300 chez certaines fougères. La taille des chromosomes est elle aussi très variable : les 13 chromosomes du Coprin mis bout à bout ont une longueur inférieure à celle du plus petit des chromosomes humains. Dans un même organisme, on trouve généralement un mélange de petits et de grands chromosomes (de 1 à 8 μm chez l'homme). Des espèces voisines comme les ancolies et les renoncules ont soit de très petits soit de très grands chromosomes. On connaît quelques exemples (rares) de variation du nombre chromosomique d'un individu à l'autre d'une même espèce. Chez le mollusque Nucella lapillus , ce nombre varie de n = 13 à n = 18. La forme 13 possède 5 chromosomes à 2 bras égaux alors que la forme 18 a 10 chromosomes à centromère terminal. Tous ces individus sont interfertiles mais vivent dans des milieux différents. De telles fusions de centromères sont également invoquées dans les évolutions caryotypiques des espèces. La taille et le nombre des chromosomes ne semblent pas corrélés avec la complexité génétique des organismes : une espèce d'ascaris a 2 chromosomes alors qu'une autre espèce d'ascaris en possède 30.
De même, si le contenu en ADN des chromosomes est généralement proportionnel à leur longueur, on trouve des taux très variables parmi les différentes espèces du même genre. Une cellule diploïde humaine contient 5,6 picogrammes d'ADN (1 pg = 1 × 10
g), celle de la drosophile 0,18 pg, celle de l'oignon 55 pg et celle de la salamandre 100 pg. —12
La quantité d'ADN par lot haploïde, ou
valeur c , est tout aussi caractéristique de l'espèce que son nombre chromosomique. Elle pose la même question fondamentale d'organisation du génome que la variation numérique des chromosomes : pourquoi des espèces à évolution comparable ont-elles des taux d'ADN aussi différents ? Un élément de réponse est donné par la comparaison des quantités d'ADN satellite : c = 0,36 pg chez Drosophila virilis et 0,18 pg chez Drosophila melanogaster. Dans la première espèce, l'ADN satellite représente 40 p. 100 de l'ADN nucléaire alors qu'il ne représente que 18 p. 100 dans la seconde. Les masses de séquences uniques sont par contre identiques. Mais la corrélation établie chez ces deux espèces de drosophile entre des valeurs élevées de c et le nombre de séquences d'ADN satellite n'est pas valable pour toutes les espèces.
Aux critères de nombre et de taille des chromosomes définissant l'espèce on peut ajouter trois autres paramètres : la place du centromère, celle des constrictions secondaires et le nombre de bandes. Le centromère peut subdiviser le chromosome en deux bras égaux (métacentrique), en deux bras inégaux (submétacentrique) ou bien être te [...]
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eric-sauvat · 8 years ago
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Sylphe
Lavoûte-Chilhac, samedi 3 décembre 2016
Sylphe
Être surnaturel mâle, qui, selon la croyance des Celtes et des Germains, occupait, dans le monde invisible, un rang intermédiaire entre le lutin et la fée
Je suis une sylphide et viens de terminer ma croissance bien plantée au centre d'une clairière ensoleillée.
Pour répondre aux lois de la nature « croissez et multipliez ! » je dois me choisir un fiancé.
Vais-je le choisir animal ou végétal ? Tout m'est autorisé de l'escargot baveux au cerf plein de tiques, de l'orgueilleuse fougère arborescente au timide bleuet.
Tandis que je réfléchis, surgit un beau jeune homme avec un filet à papillons, mais je me souviens que m'a mère m'a dit d'eux qu'il n'avaient rien dans leur pantalon.
Aussi choisis-je le papillon, lui au moins aura connu le monde où il a papillonné allant d'une fleur à l'autre, du bleuet à la fougère, se reposant sur les cornes du cerf ou la coquille de l'escargot.
Je m'épanouis donc dans ma clairière et au prix de mille senteur l’attirais-je dans mes filets. 
Et papillon fut pris.
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leblogdevincent · 4 years ago
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Parce qu’un parfum est un objet
 Le parfum de la revue de parfum Sartorial du Gent moderne Penhaligon The Candy Perfume Boy
hommes modernes préférés des Candy Perfume Boy Archives. Sartorial est un parfum qui évoque non seulement l'odeur de l'atelier d'un tailleur, mais évoque également l'image d'un homme moderne bien soigné avec un mo incroyablement élégant. Prendre plaisir. J'ai choisi de ne pas écrire un article sur mes résolutions parfumées du nouvel an simplement parce que je n'en ai fait que trois. Elles sont; pour continuer à produire du contenu intéressant et informatif pour The Candy Perfume Boy, pour examiner plus de parfums du plus grand nombre de marques possible et enfin, pour examiner plus de parfums masculins. Ceux qui liront régulièrement ce blog sauront que je porte beaucoup de parfums féminins et mes critiques en témoignent. Je n'ai rien contre les hommes du tout, ils ont juste tendance à ne pas être dans ma fourchette de goût, alors que les parfums féminins et de niche «unisexe» (ou asexués) ont tendance à être dans ma rue. Donc, dans un souci d'équilibre, je ferai en sorte de passer en revue des parfums plus masculins et je commencerai par l'un de mes derniers favoris. Sartorial (2010) est la dernière version masculine de la maison de parfum über-britannique Penhaligon's et s'inspire de l'atelier d'un tailleur de Saville Row. Créé par le parfumeur Bertrand Duchaufour (qui est également responsable d'autres parfums de Penhaligon tels que Amaranthine et leur série d'anthologie) Sartorial est décrit comme une interprétation contemporaine d'un Fougère classique »1 Sartorial - Le parfum de l'atelier d'un tailleur L'illusion parfaite de l'atelier d'un tailleur… l'éclat huilé des ciseaux coupant le tissu, le frottement du tissu sous les doigts, les armoires teintées de tabac, les bouffées de craie dans l'air et les vieux patrons de papier vanille avec le temps. 2 Les notes Dessus: aldéhydes, effet ozonique, effet métallique, feuille de violette, néroli, cardamome, poivre noir et gingembre frais Coeur: cire d'abeille, cyclamen, fleur de tilleul, lavande et cuir Base: bois de gurgum, patchouli, myrrhe, bois de cèdre, fève tonka, mousse de chêne, musc blanc, effet miel, effet vieux bois, vanille et ambre 3 Comment sent-il? De tous les genres masculins, 'Fougère' est mon préféré absolu (j'aime particulièrement le style plus moderne des fougères comme Rive Gauche Pour Homme et Fleur du Mâle), je sais que cela peut sembler surprenant étant donné mon penchant pour les fleurs blanches massives , mais quand je porte un parfum masculin, parfum Paris je veux que ce soit gentleman et les fougères sont les parfums les plus gentleman. Sartorial joue sur ce style classique et gentleman de fougére mais est aussi un parfum pour l'homme moderne. Sartorial s'ouvre lumineux, propre et étincelant avec une lueur argentée et métallique. Un courant sous-jacent de lavande, frais et herbacé, cimente aussitôt Sartorial dans le genre fougère. Des feuilles de violette, avec des touches de poivre et de gingembre vif complètent cet accord d'ouverture de lavande métallique / ozonique avec une précision parfaite. La cire d'abeille est présentée comme l'une des notes les plus importantes (les tailleurs l'utilisent pour lubrifier les épingles et les aiguilles), et cette note étrange, amère et aigre est utilisée intelligemment au sein de Sartorial. La cire d'abeille ajoute une richesse sombre à la lueur aérienne initiale de Sartorial et pour moi, elle évoque quelque chose de vieux et de bien utilisé. La liste des notes donne l'impression que Sartorial est trop travaillé, mais ce n'est pas le cas, cela semble tout simplement très bien assemblé. Au fur et à mesure que Sartorial progresse vers le bas, la cire d'abeille est rejointe par la vanille et le musc. La vanille / tonka / coumarine fait partie intégrante de la fougére et malgré la douceur habituelle de ces notes, la base de Sartorial reste relativement sèche, grâce à l'ajout de patchouli, de bois et de mousse. Je trouve que Sartorial est un parfum plutôt complexe, mon expérience de ce que je sens varie à chaque fois que je le porte. Parfois, je trouve que l'accord métallique et ozonique est plus important et à d'autres moments, je trouve la qualité à base de plantes plus forte. Je ne trouve pas que ce soit un parfum lourd du tout, il a de la présence mais il est loin d'être oppressant, les éléments plus musqués de la base assurent que les notes plus lourdes donnent une sensation légèrement aérienne, intelligente et raffinée. Sartorial est une version contemporaine de ce genre classique, il se sent à la fois démodé et distinctement moderne en même temps, et c'est ce qui le rend si génial, il donne une nouvelle vie à un genre ancien et montre comment un bon masculin devrait être fait. Il est juste de dire que Sartorial n'est pas un essai littéral sur l'odeur d'une salle de travail au sein d'un Saville Row Tailor, mais il est aussi pointu, confortable et exceptionnellement ajusté qu'un costume sur mesure. Il est également juste de dire que je suis complètement amoureux d'elle et que cela va définitivement sur ma liste de souhaits!
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whileiamdying · 5 years ago
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NOA NOA
[ ... ]
PARAHI TÉ MARAË [Là réside le Temple]
   _Passant, l'âme divine anime jusqu'aux lieux    Où s'accomplirent les ineffables mystères.    Comme Hina est la lune et, Téfatou, la terre,    Passant! le Temple vit, passant! le Temple est Dieu.
   Or, plus d'un sage a vu s'ouvrir sur les hauts lieux    Des bouches que la soif de notre sang altère:    Garde-toi des sommets qu'on croirait solitaires,    Toute cime est un Temple et tout Temple est un Dieu.    O passant! garde-toi de marcher sur la terre    Où s'épancha le vin rouge et noir des mystères,—    Tu sentirais dans tes talons la dent d'un Dieu.
   Car, tandis qu'en nos coeurs le culte pur s'altère,    Un Temple indestructible habite les hauts lieux,    Et les Dieux éternels y rêvent, solitaires._
I
   _Sommet d'horreur de l'Ile Heureuse, là réside    Le Temple, lieu vivant, ouvert, sauvage, avide.    Là sont les pieds des Dieux qui supportent le poids    Des cieux, là vient mourir la richesse des bois,    Tout en haut de l'Aroraï, cimier des cimes,    Là s'égouttait le sang, autrefois, des victimes    Où les vivants communiaient pieusement,    Et ce rite était cher aux Atuas cléments    Qui, gouvernant selon leur sagesse profonde,    Autrefois! l'effroyable expansion des mondes,    Pardonnaient à la vie en faveur de la mort.    Alors l'Ile était riche, et le peuple était fort,    Et connaissait l'amour, et connaissait la joie.    Qui buvait, au sommet d'où le soleil flamboie    Et rayonne sur l'univers, le flux vital    De la douleur. Splendeur d'autrefois féodal!    Alors Otahiti riait dans la lumière.    Fille franche des eaux, délicieuse et fière.    Qu'illustraient de son sang les sacrificateurs,    Quand, de toute l'ardeur du ciel, sur les hauteurs    Sublimes, Taora, que sa gloire contemple,    Entretenait la flamme homicide du Temple    Où venaient les héros allumer leur vertu.
II
   Or, voici que le cri des victimes s'est tu,    Et voici que partout, dans les langueurs de l'Ile,    Coeurs de mâles et flancs de femmes sont stériles.    La prudence, la peur et l'épargne ont tari    Le sang dont le sommet sacré n'est plus fleuri    Et qui stagne aux longs bords des siestes énervantes.    Et la vieille Forêt, dont la sève fervente    Prodigue éperdument ses flots insoucieux—    Palmiers fins dont le front frémit au bord des cieux,    Tamaris, hibiscus, fougères gigantesques,    Lianes sinuant leurs souples arabesques.    L'arbre de rose et le manguier qui chargent l'air    D'un faste d'ombre et de parfum, l'arbre de fer,    Le santal odorant dont l'écorce étincelle,    Et toute la Forêt généreuse, où ruisselle    En nappes d'ombres par les lourdes frondaisons    Et s'évapore en amères exhalaisons    La puissante liqueur de l'éternelle vie,    La Forêt douloureuse et la Forêt ravie,    Où la nature naît, meurt et renaît sans fin,—    Dénonce et blâme avec le tumulte divin    De l'amour la folie et le crime de l'homme,    Qui, de ses pâles jours lâchement économe,    Et corrompu d'orgueils interdits aux mortels,    S'empoisonne du sang qu'il dérobe aux autels!
III
   _Vers la cime à jamais déserte et diffamée,    Où ne s'exhale plus la féconde fumée    Du sang, vers le lieu mort ou régnèrent les Dieux,    Où l'homme pria, seuls font les arbres pieux,    De leurs rameaux légers agités par la brise,    Un geste d'encensoir vaste qui s'éternise.
   Vers le rivage ému de frissons argentés    Rit et chante, aime et dort toute une humanité    Puérile, ingénue, oublieuse, frivole,    Rayonnante au soleil, comme les vagues molle.    Et jouissant du jour tant qu'il luit.—Iméné!    Glas de la vie! Echo du passé profané!    Chant immémorial de gaîté démentie    Par la menace de très haut appesantie!_
IV
   _Les Dieux sont mort, et Tahiti meurt de leur mort.    Le soleil autrefois qui l'enflammait l'endort    D'un sommeil désolé d'affreux sursauts de rêve,    Et l'effroi du futur emplit les yeux de l'Eve    Dorée: elle soupire en regardant son sein,    Or stérile scellé par les divins desseins.
Les Dieux sont morts.—Mais quand, sur son char de ténèbres,
   Le Soir, pourpre d'amours et de meurtres célèbres,    Apparaît, pourchassant le Soleil furieux.    Du fond de leur tombeau se relèvent les Dieux    Qui, sur la cime, en un formidable concile,    Durant toute la nuit demeurent, immobiles,    Les bras dardés vers la mer. Et, du haut du mont,    Par milliers vers la grève essaiment les démons,    Tupapaüs, esprits des morts, larves cruelles,—    Qui, dans l'étroite case, en repliant leurs ailes,    Vers la couchette où la peureuse ne dort pas,    Se glissent, froids frôleurs, et chuchotent tout bas:
   C'est l'heure des Dieux, c'est soir des Dieux, c'est Soir!    Viens: pour les servir c'est toi qu'ils ont élue.    C'est soir de la mort et de l'amour, c'est Soir!    Viens: pour les aimer c'est toi qu'ils ont voulue.
   Tu n'iras plus danser au bord de la mer,    Cueillir en chantant la fleur des lauriers-roses,    Baigner l'or de ton corps à l'or de la mer,    Fondre ton rêve au vague rêve des choses.
   Tu ne dormiras plus sous les pandanus,—    Nous allons te saisir entre nos mains creuses:    Les vivants qui t'aimaient sous les pandanus    Ont-ils su féconder ta chair amoureuse?
   Ton sang est condamné! Le temps est venu    Où l'homme doit mourir pour ne pas revivre!    Il a trahi ses Dieux: le temps est venu    Où dans la nuit de la mort il doit les suivre—    Afin que le Roi, le seul Roi, Taora,    Couve à nouveau l'oeuf de l'éternel mystère,    Afin que le Roi, le seul Roi, Taora,    Partage à de plus grands que l'homme la terre.
   Et comme une femme était, au premier jour,    De qui procéda la vie et l'espérance,    Qu'une femme aussi se lève, au dernier jour.    De qui vienne la mort et la délivrance.
   Tu n'échapperas pas à l'amour des Dieux!    Ils te possèderont dans ta juste joie,    Téhura, glorieuse amante des Dieux,    Ou tu seras dans ton désespoir leur proie!
   C'est l'heure des Dieux, c'est soir des Dieux, c'est Soir!    Viens: pour les servir c'est toi qu'ils ont élue.    C'est soir de la mort et de l'amour, c'est Soir!    Viens: pour les aimer c'est toi qu'ils ont voulue.
   Et l'enfant voit dans sa terreur le sanctuaire    Antique, l'appareil des rites mortuaires,    L'autel, le prêtre rouge, et l'oeil phosphorescent    Des démons, et les Dieux au geste menaçant,    Et sa race au grand coeur d'autrefois, qui succombe    Et gravit humblement les rampes de la tombe    Où l'appellent les Dieux qu'elle a mis en oubli:    Sommet d'horreur de l'Île Heureuse, là réside    Le Temple, lieu toujours vivant, toujours avide._
V
   L'enfant voit—et déjà les temps sont accomplis.    L'homme est mort. Il est mort pour ne jamais renaître.    Les Îles et les Eaux servent un autre maître,    Meilleur, et dont les yeux sont des foyers d'amour    Et de joie,—et l'enfant, qui s'étonne du jour    Nouveau, songe qu'elle est morte,—et la mort est douce    Comme la sieste, au bord de la mer, sur la mousse.
* * * * *
   _L'Aroaï tonnait dans la nuit du déluge,    Inaccessible et seul, phare, temple, refuge,    Parmi l'horreur de l'épouvantable marée,    Et, lui dédiant leurs âmes désespérées,    Quelques uns, les meilleurs de tes fils, race impie,    Race oublieuse du vrai chemin de la vie,    Atteignirent la Cime et purent voir encore    Sur l'abîme des eaux se lever les aurores.
   Bientôt recommença la coutumière extase:    Lumière! Amour! Bientôt le seuil fleuri des cases    Sonna du rire clair des enfants. L'Ile Heureuse    Respirait à nouveau la lumière amoureuse,    Et du sommet sacré les Dieux veillaient sur elle.    Car elle fut durant de longs âges fidèle,    Et, gravissant aux jours marqués la cime rude,    Aux Invisibles de la haute solitude    Les générations longtemps, selon le rite,    Versèrent le flots des libations prescrites.    Vint le crime et vint la peine.
       Ceux qu'on oublie,    Les Dieux se sont vengés sur ta gloire, abolie,    Race défaite, race réduite et captive,    Et tu ne mires sur l'enchantement des rives    Que l'indolence d'un sourire nostalgique    Où le ressouvenir de ta grandeur tragique,    Écrit en traits d'inaltérable orgueil, demeure.
   Qu'attends-tu, sachant la fatalité de l'heure    Et que les Dieux trahis ignorent l'indulgence?
   Ah! reconquiers ton vieil honneur dans leur vengeance!    Hors du temps lâche qui lentement te décime,    Bondis jusque vers l'éternité de la Cime    Qui tonne encore comme en la nuit de l'antique    Désespoir, et plus haut que le flux méphitique    De l'injure, de l'esclavage, de la honte,    Retourne à tes Dieux, race expirante: remonte!_
Ces derniers vers, hier l'actualité, aujourd'hui l'Histoire les souligne d'une singulièrement émouvante coïncidence.
La fière race maorie n'a pas attendu nos conseils pour se résoudre à l'héroïsme du suicide, et si elle ne remonte pas, littéralement, à la Montagne du Sacrifice, si elle accepte le mode, plus moderne, de la fusillade, c'est tout de même à la mort qu'elle va, pour l'amour de son propre et national idéal, et c'est donc à ses Dieux qu'elle retourne.
Tel, du moins, l'exemple de grandeur que donna au monde—mais la presse là-dessus soigneusement fit le silence—la population de Raïatéa, l'une des Iles-sous-le-vent.
Les spécialistes qui dirigent notre "expansion coloniale", ayant décidé d'annexer à nos possessions océaniennes ce petit groupe d'îles, usèrent d'abord, humainement, des moyens diplomatiques. Mais ils commirent une lourde faute en confiant ce soin au nègre qui gouvernait Tahiti, Lacascade.
Celui-ci envoya à Raïatéa un messager, qui réussit, par la ruse, à amener sur la plage le chef de l'île, accompagné de chefs subalternes. A peine étaient-ils en vue que, du navire de guerre qui attendait à distance le résultat de cette première tentative, on dépêchait à terre des embarcations armées, tandis que, sur le navire-même, on braquait en sourdine les canons.
Les indigènes, qui ont la vue très perçante, conçurent de ces manoeuvres quelque défiance, et se retirèrent en bon ordre. Les troupes de débarquement furent reçues à coups de fusil et obligées de retourner à bord au plus vite. Plusieurs matelots et un enseigne expièrent la maladresse de Lacascade et de son messager.
A quelque temps de là, un des spécialistes dont nous parlions, M. Chessé, s'étant fait fort de venir à bout des révoltés par la simple persuasion, le gouvernement l'en crut. Cela coûta une centaine de milliers de francs à la Colonie, capital dépensé en de nombreux envois de messagers aux différents chefs insoumis et en une infinité de petits cadeaux aux femmes indigènes: ballons rouges, boites à musique, etc.
Ces moyens de séduction n'ayant produit aucun résultat, il fallut recourir aux armes.
Le feu commença le 1er janvier 1897.
Il devait durer, les montagnes pouvant cacher les Maories pendant longtemps.
—Pourquoi ne voulez-vous pas être, comme ceux de Tahiti, gouvernés par les lois françaises?—demandait-on à un indigène quelques jours avant l'action.
—Parce que nous ne sommes pas à vendre, parce que nous nous trouvons très bien comme nous sommes, et parce que nous voulons rester nos maîtres. Nous savons, du reste, par l'exemple de Tahiti précisément, en quoi consistent les bienfaits de votre civilisation. A peine installés, vous prenez tout, la terre et les femmes, et sous prétexte d'ivrognerie, de vol, vous nous envoyez en prison pour nous donner, sans doute, le goût des vertus dont vous parlez beaucoup et que vous ne pratiquez pas. Et les amendes! et les papiers timbrés! et les impôts! et les gendarmes! et les fonctionnaires!….
—Mais qu'espérez-vous?
—Rien. Nous savons que nous serons vaincus. Qu'importe! Si nous nous rendions, les principaux de nos chefs seraient envoyés à Nouméa, au bagne, et comme, pour un Maorie, la mort loin de la terre natale est ignominieuse, nous préférons mourir chez nous. Ce n'est pas nous qui avons provoqué les troubles, mais il n'y aura pas de repos durable tant que Maories et Français seront côte à côte. Il faut donc nous tuer tous. Vous n'aurez plus alors à vous disputer qu'entre vous. Pour nous, nous n'avons d'autre recours que la fuite quotidienne dans la montagne.
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damedragonvole · 5 years ago
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Première descente à terre.
 Petit oubli pour hier : le hasard a fait qu’au déjeuner, nous avons eu le plaisir le manger de la croziflette … enfin, pas moi, puisque je m’appelle « Sans lactose ». La loose ! J’avais pourtant retiré mon étiquette pour pouvoir en manger ! Heureusement j’ai des co-hivernantes vraiment gentilles qui m’ont donné quelques bouchées … et la croziflette préparée par des malgaches dans l’Archipel de Crozet est vraiment très bonne !
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L’île de l’Est au petit matin.
En me levant ce matin, je ne pensais pas trouver mon nom sur le tableau des personnes descendant à terre. Et pourtant si ! Je suis descendue, seulement pour la demie-journée. J’ai donc fait mon baptême d’hélicoptère, à l’île de la Possession, dans l’hémisphère Sud, avec le meilleur pilote qui soit. Tout va bien ^^
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Photos prises par Anthony, notre ornitho.
A l’arrivée sur la base, nous avons été acceuilli.es par Pierre, hivernant de la réserve naturelle de la mission 56. La manchotière n’étant pas accessible pour cause de maintenance (les réserves de fioul sont sur la plage), l’accès aux humains était encore restreint. Nous avons donc empreinté le chemin du Bolard (ou chemin des Albatros) au-dessus de la Baie du Marin.
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Nous marchons sur des caillebotis pour ne pas trop piétiner la végétation.
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Vue sur la plage de la Baie du Marin.
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A défaut de les approcher et de les sentir, nous avons très bien entendu les manchots ! Quelques éléphantes de mer étaient encore là, deux semaines après que les mâles aient constitué leurs harems de 10 à 15 femelles.
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On a pu observer l’azorelle entourée de fougère, toutes deux endémiques des terres australes.
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L’archipel de Crozet s’est formé il y a 8 millions d’années, et les plantes qui s’y trouvent ont été apportées par les oiseaux. Toutes les îles de l’Océan austral sont donc assez homogènes. Mais sur l’île de la Possession, c’est le pissenlit qui recouvre tout, surtout autour de la base. Introduite par les humains, of course. L’azorelle croît couche par couche, les anciennes couches servent à nourrir la suivante. Elle croît en épaisseur et en surface. Ce n’est pas une mousse ! J’ai été très surprise, sur Crozet il pleut en moyenne 2 400 mm par an (360 jours par an, aujourd’hui était un jour sans ^^), mais avec le vent, les plantes sont plutôt adaptées au désert !
Comme le nom du chemin l’indique, nous nous sommes approché.es des nids des Albatros. Les parents ont presque fini de venir nourrir leur « petit » (parce qu’il est déjà grand !).
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Vue sur le Marion, vous avez vu le « petit » albatros dans son nid ?
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Le manque de nourriture va le pousser à se muscler les ailes à terre, à faire quelques vols d’essais puis à partir en mer pour se nourrir exclusivement de calamar mort (qui flotte). Il va y rester pendant quatre ans, avant de revenir sur l’île de la Possession, là où il est né pour se reproduire. Comme beaucoup d’oiseaux de mer, le couple est fidèle à vie et pond un œuf tous les deux ans. La population d’Albatros hurleur (les plus grands, 3,5 m d’envergure) était en déclin à cause des méthodes de pêche. Celles-ci ont été changées et le nombre d’individus est entrain de remonter. Il y a environ 400 nids sur l’île de la Possession et tous sont suivis, mois par mois par les ornithologues de la base.
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Jeune albatros hurleur entrain de se muscler les ailes.
Quand un parent vient nourrir son petit, il ne revient pas directement au nid. Il se pose d’abord à quelques mètres, puis finit le chemin à pieds/pattes. Il régurgite ensuite une mixture que le jeune vient faire dans son bec. Comme les  manchots !
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Au loin, nous apercevions également une espèce rare de piégeur de rat en formation … mais ce sont Samuel et Geoffroy, nos dératiseurs amsterdamois de l’extrême !
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Nous avons fini la visite par la base : le Biomar où travaillent les VSC de l’Institut polaire, le réfectoire et le Cronibar, la serre avec l’unique arbre de l’île. C’est un pommier. Il ne fait pas de fleur, donc pas de fruit, ne connaît pas les saisons (puisqu’il est sous serre) et grandit très vite ! Je dirai que c’est un pommier tropical.
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L’intérieur de la serre.
J’ai été assez surprise par l’ambiance chaleureuse des locaux, je m’attendais à une ambiance plus « labo » ou « préfabriqués » mais il y a beaucoup de bois dans le décor, ce qui donne un aspect plus « chalet ». Les chambres des VSC donnent sur l’île de l’Est. Le pied.
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Bureau de la Discro, cheffe de district de Crozet.
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Vue sur l’île de l’Est depuis la base.
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Un chaudron datant de la période de la chasse à l’éléphant de mer pour sa graisse. Ces chaudrons servaient à la faire fondre.
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Bâtiment d’habitation des VSC, l’Albatros.
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Une des traditions des TAAF, ces poteaux garnis de panneaux indiquant les distances et les directions des différentes provenances des hivernant.es. Aujourd’hui il est interdit d’en ajouter, à la longue, ça pourrait défigurer le paysage !
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Décorations.
J’ai croisé Raphaël entrain d’installer l’antenne de Doris, un programme du CNES avec d’autres membres de la logistique IPEV. Toujours en short/T-shirt … il est arrivé habillé ainsi hier et il a fait sensation ! Je sens que sa réputation est déjà faite …
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Vue depuis les shelter scientifiques, au-dessus de la base. C’est vraiment lunaire !
La cabane de la Pérouse a été ravitaillée ce matin et celle de la Baie Américaine (ou BUS) cet après-midi, tout s’est bien passé. Les cabanes sont opérationnelles ! Je suis rentrée sur le bateau pour le déjeuner, il était temps ! Je commençais déjà à avoir le mal de terre =/ Après ma sieste de trois heures, il était déjà temps d’aller dîner … et me voilà entrain d’écrire cet article.
J’ai l’impression d’être partie depuis au moins un mois ! J’ai contemplé d’incroyables paysages, éprouvé des sensations tellement nouvelles ! Alors que ça ne fait que dix jours … est-ce que dans un an, j’aurais l’impression d’être partie depuis dix ? Pierre et Florian (informaticien CRO56) étaient vraiment heureux de voir de nouvelles têtes et enthousiastes à nous montrer leur lieu de vie (la base fait un hectare). Je n’ai pas eu le temps de leur poser plus de questions mais j’aurais bien aimé savoir comment ils appréhendaient le retour.
Il reste encore 15 jours de voyage avant d’arriver à Amsterdam, autant dire une éternité !
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Merci à Emilie pour la photo !
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gallinagomedia · 7 years ago
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Les fougères sont plus solides qu’il n’y paraît. Depuis la préhistoire, elles ont traversé le temps grâce à des stratégies d’adaptation qui leur ont même permis de résister aux extinctions de masse. 
Sadleria cyatheoides est une fougère arborescente qui est parvenue à s’implanter sur les anciennes coulées de lave de la célèbre Big Island. Championne dans son genre, elle a réussi à coloniser chacune des îles hostiles de l’archipel. 
Elle doit en grande partie son succès à son cycle de vie particulier, en deux stades : le 1er, dit “sporophyte” au cours duquel elle produit des spores, qui entreront en phase gamétophyte dès qu’ils trouveront un terrain fertile pour germer. 
En présence d’eau, les gamètes mâle relâchent des spermatozoïdes, pourvu de deux cils vibratiles leur permettant de nager jusqu’à un gamète femelle pour le féconder. Des embryons sont alors produits, qui donneront naissance à de nouvelles fougères. 
Ce qui distingue cette espèce de ses plus rares cousines est sa double aptitude à la fécondation croisée et à l’auto-fécondation. Rappelons que l’intérêt de la première siège dans la diversité génétique alors que la seconde assure une descendance à partir d’un seul spore. C’est cette capacité qui lui a permis d’élargir son périmètre d’implantation, alors que les autres fougères se cantonnent à des aires plus restreintes. 
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thecryptandtheincubus · 9 months ago
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HERBARIUM : Fougère mâle (Dryopteris Filix-mas)
LIEU DE CUEILLETTE : forêt de la Planoise (Bourgogne)
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coopapiloire · 7 years ago
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Le févier d’Amérique ( Gleditsia triacanthos = Gleditschia triacanthos ) de la famille des fabacées.
Synonymes : Févier épineux, carouge à miel, acacia de Gleditsch, épine du Christ… Le nom vernaculaire de certaines espèces donne une assez bonne indication sur leurs qualités apicoles. Le févier épineux, originaire de la partie est de l’Amérique du Nord et de quelques endroits du sud du Canada est un bon exemple d’un arbre exotique très mellifère. On peut par conséquent le recommander pour des plantations en ville. En évitera cependant d’utiliser l’espèce type car ses épines très longues qui recouvrent le tronc et les branches sont relativement dangereuses. Parmi les nombreux cultivars, ‘Inermis’ et ’Sunburst’ sont particulièrement intéressants. Le premier est, comme son nom l’indique, dépourvu d’épines et donc ne possède plus le caractère dangereux du type. Le deuxième, également inerme, est remarquable par son feuillage doré lumineux au moment du débourrement. Tous les deux conviennent pour des plantations en alignement.
Etymologie
Le nom générique est donné en hommage à J.G Gleditsch, botaniste allemand, directeur du  jardin botanique de Berlin et ami de Linné. Le nom spécifique est l’association de deux racines grecques tri qui signifie trois et acanthos qui signifie épine. Il s’agit d’une référence au caractère généralement tripartite des épines.
Description
Le févier d’Amérique est un arbre à port élancé et à croissance très rapide. Avec l’âge il a tendance à s’étaler et ses branches se courbent plus ou moins vers le sol. Les feuilles caduques présentent deux aspects différents sur la même branche. Les unes sont composées pennées les autres bipennées et évoquent la fronde de certaines fougères. Les folioles très nombreuses sont petites et elliptiques. Elles prennent une belle teinte jaune d’or dès la fin du mois de septembre. Les fleurs uni sexuées sur deux plantes différentes (espèce dioïque) apparaissent en mai juin. Les fleurs mâles brun verdâtre sont disposées en petites grappes pendantes. Elles sont très visitées par les abeilles qui y récoltent du nectar et du pollen. Les fleurs femelles nettement plus discrètes, engendrent de grandes gousses pendantes, décoratives et de couleur variable selon les sujets. Les graines rappellent celles des lentilles
Le cultivar ‘Sunburst’ est particulièrement remarquable au débourrement courant avril.
Les gousses de certains types sont particulièrement décoratives.
Le saviez-vous ?
Dans son pays d’origine, le bois du févier d’Amérique est utilisé en menuiserie pour divers usages et aussi pour faire des traverses de chemin de fer. Le feuillage et les gousses sont appréciés du bétail et peuvent être ensilés. Les graines ont été utilisées comme succédané du café.
Cultiver des plantes mellifères en ville et au jardin Paru en janvier 2016
Qui est Jacques Piquée
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Jacques Piquée : Le févier d’Amérique Le févier d’Amérique ( Gleditsia triacanthos = Gleditschia triacanthos ) de la famille des fabacées. Synonymes :
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fontaine51 · 5 years ago
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Bains aphrodisiaques et massage
#aphrodisiaque Bains aphrodisiaques et massage
A prendre seul ou à deux…
si vous allez chez l’herboriste pour lui demander des roses de Mara (voir thé à la rose) demandez-lui de vous préparer un mélange de coquelicots, pervenches , valérianes, bleuets, fougères mâles et pensées sauvages.
Dans un litre d’eau froide, mettez 6 cuillerées à soupe du mélange. Portez à ébullition et faites une décoction pendant 5 minutes. Laissez reposer 1/4…
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Ce sont des plantes de toute beauté plutôt mâles que femelles et souvent les deux à la fois. Elles ont tendance à s’enrouler bien des fois avant de s’éteindre fougères. Les plus charmantes se donnent la peine de nous calmer avec des mains de sucre et le printemps arrive... . . . #
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Parc national de la Guadeloupe
Parc national de la Guadeloupe
Le parc national de la Guadeloupe est un parc national situé dans le département de la Guadeloupe (971).
Histoire
La forêt tropicale et le massif montagneux de la Basse-Terre constituent une zone de biodiversité exceptionnelle en France, et dans les années1970 le Conseil général de la Guadeloupe a décidé de mettre ce patrimoine naturel en valeur sous le nom de « Parc Naturel de Guadeloupe », géré par l'ONF, en y aménageant des sentiers de randonnée et en y créant des équipements d'accueil. En 1977 a été émise l'idée de mettre ce territoire à l'abri de risques de dégradations en le classant Parc national et c'est le 20 février 1989 que fut officiellement créé le Parc national de la Guadeloupe. En 1990, la gestion de la Réserve Naturelle du Grand Cul-de-sac marin créée en 1987 a été confiée au Parc national. En 1992, l'existence du Parc national et de la Réserve naturelle du Grand-Cul-de-Sac marin ont permis à la Guadeloupe d'être désignée Réserve de biosphère par l'UNESCO sous le nom d'"Archipel de la Guadeloupe", lui concédant une reconnaissance internationale.
Géographie
Périmètre du parc national.
Chemin des bains jaunes, Massif de la Soufrière
La détermination de nombreux acteurs locaux avait abouti à la création en 1989 du premier Parc national français d'outre-mer. Durant 20 années, le parc s'est ainsi attaché à protéger une grande partie de la forêt tropicale (17 300 hectares) ainsi que 3 700 hectares de milieux humides littoraux et marins (la Réserve naturelle du Grand Cul-de-sac marin). En périphérie de la zone protégée, le parc a mené durant ces vingt années, des actions de développement durable sur les communes de Pointe-Noire, Bouillante, et Vieux-Habitants.
Depuis le décret du 3 juin 2009, l'espace parc national se compose désormais de zones "cœurs" autour desquelles les communes concernées forment une vaste zone d'adhésion. Le nouveau périmètre intègre aussi dans les cœurs du parc les zones anciennement classées « réserve naturelle » dans le Grand Cul-de-sac marin, les îlets Kahouanne et Tête à l'Anglais, ainsi que les fonds marins autour des îlets Pigeon. Il définit une vaste zone de solidarité écologique terrestre et maritime. Coïncidant avec ces nouvelles limites, la Réserve de biosphère de l'archipel de la Guadeloupe se trouve ainsi renforcée.
Organisation
L'établissement public Parc national de la Guadeloupe qui gère le territoire du même nom a pour mission de connaître et de protéger les espaces qui lui sont confiés. Il doit mettre ce patrimoine à la disposition du public et conduit une politique d'éducation à l'environnement. Enfin, il agit en faveur de l'amélioration du cadre de vie et du développement durable.
Comme le prévoit la loi de 2006 sur les Parc nationaux de France, le Parc national de la Guadeloupe élabore avec ses partenaires sa première charte. Ce document constitue un engagement contractuel destiné à faciliter la mise en œuvre de projets de développement durable avec l'ensemble des acteurs locaux : collectivités territoriales, associations, socioprofessionnels… Cette démarche environnementale forte devra dépasser les limites de chaque commune pour dessiner un projet commun, solidaire et ambitieux avec l'appui des équipes du Parc national de la Guadeloupe. C'est dans ce cadre qu'un partenariat EDF Archipel Guadeloupe avec le Parc national de la Guadeloupe a vu le jour en 2012 avec comme objectif la protection de l'environnement sur des opérations de restauration écologique de sites remarquables,choisis pour leur intérêt écologique, économique et culturel au sein d’un périmètre géographique. Rattaché au ministère chargé de l'environnement, le Parc national est administré par un Conseil d'administration composé d'environ 60 personnes (élus, administratifs, et personnalités qualifiées), un Conseil scientifique composé d'une vingtaine de chercheurs, et 50 personnalités qui composent un Conseil Économique, Social, et Culturel.
L'équipe chargée de gérer le fonctionnement technique de l'établissement compte environ 30 agents de terrain, auxquels s'ajoutent une quarantaine de personnels administratifs.
Ancienne zone centrale : 17 300 hectares Cœur du parc : 21 850 hectares Ancienne zone périphérique : 16 200 hectares (3 communes) Aire optimale d'adhésion : 94 065 hectares (21 communes) Aire maritime adjacente : 130 800 hectares Habitants permanents : 272 000 dans le périmètre optimal
En 2014, le Parc est labellisé dans une « liste verte » des aires protégées, lors du Congrès mondial des parcs nationaux de Sydney.
Attraits touristiques
Les sites les plus intéressants à visiter du Parc national de la Guadeloupe sont :
le volcan de la Soufrière, 1 467 mètres, point culminant des Petites Antilles ; le Grand Sans Toucher et le Petit Sans Toucher
les chutes du Carbet ; le saut de la Lézarde ; la cascade aux Écrevisses ; le Grand Étang ;
les « Deux Mamelles » et la route de la Traversée ;
la Réserve naturelle du Grand-Cul-de-Sac marin ;
les différents sentiers et traces qui jalonnent le parc.
Faune
Du fait de la pratique intensive de la chasse au début de la colonisation et de l'occupation humaine précoce d'une grande partie de l'île, la faune de la Guadeloupe peut sembler relativement pauvre. Elle présente néanmoins de nombreuses richesses, et offre surtout, en raison de l'insularité, un endémisme très fort. Le Parc national, avec d'autres structures, contribue à préserver cette faune sauvage particulièrement fragile, notamment au sein du Zoo de Guadeloupe au Parc des Mamelles.
Les mammifères
Les plus caractéristiques de la faune du Parc sont le racoon, petit raton-laveur importé des États-Unis au XIXe siècle, les chauve-souris (treize espèces dont au moins deux uniques au monde), la mangouste (importée d'Inde) et l'agouti (espèce protégée en voie de disparition). Plus vu en Guadeloupe depuis le début du XXe siècle, le Lamantin est réintroduit en 2016 dans la réserve naturelle du Grand Cul-de-sac Marin. Deux mâles (Kal et Junior) provenant de Singapour sont installés dans un bassin à Blachon, dans la commune de Lamentin. Junior meurt peu de temps après. À terme, dix femelles et cinq mâles permettront d'assurer la reproduction, avant qu'une centaine d'animaux puissent être relâchés.
Les oiseaux
Ils sont nombreux. Sur terre : le Pic de Guadeloupe, aussi appelé tapeur, seul pic sédentaire des Petites Antilles, oiseaux-mouches, plusieurs espèces de grives, des perdrix, des ramiers, le moucherolles, la paruline, . En mer et sur le littoral : la frégate, le pélican brun, plusieurs espèces de sternes…
Les reptiles
Iguanes, anolis, et en mer, cinq espèces de tortues marines…
Les crustacés
Les animaux de mer, et dans les cours d'eau et étangs : les crevettes d'eau douce (ouassous), les crabes,
Les insectes
Ce sont les animaux les plus représentés bien sûr, d'une diversité et d'une originalité exceptionnelles. Certains peuvent atteindre des tailles très élevées comme le scieur de long, un des plus gros coléoptères du monde, le papillon deuil, les phasmes (cheval à diable).
Flore
Le parc national regroupe trois types de milieux naturels.
La forêt tropicale
Elle présente plusieurs niveaux de végétation :
La forêt dense humide recouvre 80 % de la zone cœur du Parc, entre 300 et 1 000 m d'altitude. C'est une forêt dense et luxuriante de montagne. On y retrouve de très grands arbres (30 à 35 m): gommier blanc, acomat-boucan, châtaignier ; des arbres moyens (6 à 10 m) : marbri, laurier rose ; des arbustes et herbacées (0 à 10 m): palmiste montagne, balisier, fougère ; de nombreuses plantes suspendues: broméliacées, philodendrons, aile-à-mouche, orchidée; des lianes.
Au-dessus de 1 000 m, se développe une forêt d'altitude, beaucoup plus basse et rabougrie en raison de la forte humidité et de la présence quasi constante de nuages. Il s'agit d'une végétation faite de savanes humides royaumes des mousses, des lichens, des sphaignes, de plantes plus vigoureuses : mangles-montagnes, ananas-montagne… au milieu desquelles se développent aussi certaines plantes à fleurs : violettes des hauts, fuchsias-montagne, thym-montagne…
Le littoral
La végétation s'y développe beaucoup plus difficilement à cause de la salinité de l'air et du sol, l'ensoleillement et la sécheresse, ainsi que la force du vent. Les espèces les plus courantes sont le raisinier bord de mer et le poirier.
La mangrove
C'est une forêt littorale inondée en permanence ou ponctuellement par de l'eau douce ou salée. très développée en Guadeloupe en raison de l'importance des récifs coralliens qui protègent une grande partie du littoral de la houle du grand large.
Quelque 3 700 ha sur les 8 000 ha de mangrove de la Guadeloupe ont été intégrés aux cœurs du Parc national en juin 2009.
Les plantes de cette végétation sont essentiellement des palétuviers.
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thecryptandtheincubus · 10 months ago
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HERBARIUM : Fougère mâle (Dryopteris Filix-mas)
LAPIDARIUM : Améthyste
LIEU DE CUEILLETTE : forêt de la Planoise (Bourgogne)
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thecryptandtheincubus · 7 months ago
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HERBARIUM : Fougère "mâle" (Dryopteris Filix-mas)
LIEU DE CUEILLETTE : forêt de la Planoise (Bourgogne)
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