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PJ Harvey
Fort de Saint-Père, St. Malo, France (1998-08-16)
© Laurent Orseau
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron.
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir.
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration.
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat.
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route.
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père.
#thank you so much for the ask#i enjoyed it a lot#my writing#fanfic#charles leclerc#mick schumacher#ask
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The imperial family attends mass at Saint-Louis Cathedral
On the occasion of the dynastic anniversary, the imperial family invites its relatives to a religious celebration at the Hôtel des Invalides, a major venue for Simpartist gatherings.
The Emperor poses with Prince Murat, descendant of King Joachim Murat and main supporter of the imperial family.
The mass took place at 10 a.m., after the visit to the Tomb of the Emperor Napoléon I. His Majesty Emperor Napoléon IV is also descended from King Louis XIV through his father, but also from King Léopold I of Belgium and from the Austrian imperial family through his paternal great-grandmother. His Majesty's father, currently living in Belgium, has not attended the celebrations since the beginning of his son's reign due to a family dispute.
The Children of Francesim are also present on this dynastic day
The heir, the Imperial Prince Louis, descends the steps of the Invalides with his mother the Empress Marie-Joséphine.
The Tuileries Palace has been publishing the daily life of Louis and Hortense at the university for several months. Today, their Imperial Highnesses have momentarily left the premises of the Ecole Polytechnique to attend the ceremony. Their presence at the events is highly anticipated, especially as they are the favourite personalities of the French.
Princess Hortense leaves the Invalides accompanied by the Duke Oliver de Rothsay.
Duke Oliver de Rothsey is staying in Francesim for the duration of his military training at the Polytechnic School. According to the Tuileries Palace, the Duke seems to have developed a strong friendship with the Children of Francesim in recent months. Some rumours and celebrity magazines suspect that Oliver and Hortense have started a romance, but to date the Tuileries Palace has denied this.
Collaboration with @officalroyalsofpierreland
La famille impériale assite à la messe à la cathédrale Saint-Louis
À l'occasion de l'anniversaire dynastique, la famille impériale invite ses proches à une célébration religieuse au cœur de l'Hôtel des Invalides, haut lieu des rassemblements Simpartistes.
L'Empereur pose avec le prince Murat, descendant du roi Joachim Murat et principal soutien de la famille impériale.
La messe a eu lieu à 10 heures, après la visite au Tombeau de l'Empereur Napoléon Ier. Sa Majesté l'Empereur Napoléon IV descend également du roi Louis XIV par son père, mais également du roi Léopold I de Belgique et de la famille impériale d'Autriche par son arrière grand-mère paternelle. Le père de Sa Majesté, vivant actuellement en Belgique, n'a pas assisté aux célébrations depuis le début du règne de son fils suite à un différend familial.
Les Enfants de Francesim sont également présents en ce jour dynastique
L'héritier, le prince impérial Louis, descend les marches des Invalides avec sa mère l'Impératrice Marie-Joséphine.
Le palais des Tuileries publie depuis quelques mois la vie quotidienne de Louis et Hortense à l'université. Aujourd'hui, leurs Altesses Impériales ont momentanément quitté les locaux de l'Ecole Polytechnique pour assister à la cérémonie. Leur présence aux événements est très attendue, d'autant plus qu'ils sont les personnalités préférées des français.
La princesse Hortense sort des Invalides accompagnée du duc Oliver de Rothsay.
Le duc Oliver de Rothsey réside en Francesim le temps d'une formation militaire à l'Ecole Polyechnique. Selon le palais des Tuileries, le duc semble avoir noué une forte amitié avec les Enfants de Francesim durant ces derniers mois. Certaines rumeurs et magazines people soupçonnent un début d'idylle entre Oliver et Hortense, mais jusqu'à ce jour, le palais des Tuileries a démenti ces propos.
#simparte#gen 1#ts4#ts4 royal legacy#ts4 royal#royal simblr#sims 4 royalty#sims royalty#sim : charles#sim : marie joséphine#sim : hortense#sim : oliver#sim : louis#sims 4 fr#invalides#paris
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Gustave Courbet (1819 - 1877)Bourgeois et socialiste - dans la revue Hérodote
Gustave Courbet cultive une technique de peinture conventionnelle mais se veut révolutionnaire et provocateur par le choix des sujets, ce qui lui vaut d'être désigné comme le chef de file de l'école réaliste sous le règne de Napoléon III, aux côtés d'Honoré Daumier et Jean-François Millet.
Un autre regard
Gustave Courbet passe les années heureuses de l'enfance dans la ferme familiale de Flagey. À 14 ans, il entre pour cinq ans au petit séminaire d'Ornans. Il perd complètement la foi mais découvre la peinture sous la direction d'un professeur attentionné, le père Beau.
Il poursuit sa formation à l'Académie de Besançon et «monte» enfin à Paris.
À grand renfort de cours privés et de travail personnel, avec le soutien aussi du marchand néerlandais Hendrik Jan Van Wisselingh, il se fait enfin remarquer au Salon de 1850-1851 avec trois toiles monumentales : Une après-dîner à Ornans, Les casseurs de pierre et surtout Un enterrement à Ornans. Cette toile est une forme de parodie du Sacre de Napoléon par David. Les personnages sont montrés à taille réelle mais dans toute leur crudité et leur médiocrité.
Ces toiles sont le reflet de la nouvelle esthétique réaliste dont Courbet s'affirme le chef de file, en rupture avec la peinture académique et les sujets mythologiques ou historiques.
Foin de convenances
Bourgeois voltairien et anticlérical, convaincu de son génie («Je peins comme un Dieu», dit-il), Gustave Courbet ne s'embarrasse pas de convenances, aidé en cela par la bienveillance du pouvoir impérial. Si conservateur soit-il, celui-ci traite ses artistes avec l'indulgence d'un père pour ses garnements.
L'artiste se rapproche en 1863 du penseur anarchiste Joseph Proudhon (il peindra à sa mort un célèbre portrait du penseur entouré de ses filles).
Conséquent avec lui-même, il refuse en 1870 la Légion d'honneur proposée par le gouvernement de Napoléon III. Après que celui-ci eut été renversé par les républicains, il participe à la Commune de Paris comme conseiller municipal du 6e arrondissement et président d'une Commission pour la protection des beaux-arts. Un décret inspiré par ladite commission ordonne d’abattre la colonne Vendôme, témoin honni de l'ère napoléonienne. Il semble toutefois que Courbet était absent lorsque la décision a été prise et que lui-même préconisait simplement qu’elle soit déplacée.
Arrêté le 7 juin 1871 et interné à Sainte-Pélagie, le peintre est condamné à six mois de prison et à une forte amende en raison de sa participation à la Commune.
Après quoi, il reprend son atelier à Ornans et s’entoure de plusieurs élèves. Mais cette trêve ne dure pas. Il est poursuivi en justice sous l’accusation d’avoir fait abattre la colonne Vendôme pendant la Commune. Ses biens sont saisis et il doit s’exiler en Suisse.
C'est là, à La Tour-de-Peilz, près du lac Léman, qu'il finit ses jours le 31 décembre 1877, à 58 ans.
Via Bernadette Lambotte Philippe Jamart
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Un cousin DENAES, pensionnaire à l’hôtel des Invalides
Pierre Joseph DENAES est un petit-cousin de mon arrière-arrière-arrière-grand-père Jean François DENAES.
Il a vu le jour le 13 mai 1776 à Hazebrouck.
Son père Jacques DENAES était marchand. Beaucoup de ses frères et sœurs sont décédés en bas-âge. Du premier mariage de son père avec Rose ELIAS, en plus de Pierre Joseph, ont vécu jusqu’à l’âge adulte : Marie Angélique qui a épousé sur le tard, un veuf qui était tisserand à Zermezeele, Marie Françoise qui s’est mariée à un boucher de Cassel, Jacques WYON et Pierre Jean Baptiste qui était journalier à Hondeghem et qui a eu beaucoup d’enfants.
Pierre Joseph DENAES s’est probablement engagé dans l’armée vers l’âge de vingt ans. Il était fusilier dans la treizième demi-brigade. Il a vraisemblablement combattu en Italie puis en Egypte.
La vie de Pierre Joseph DENAES
A son retour de l’armée, Pierre Joseph DENAES qui avait perdu l’usage du bras droit a repris les activités de marchand de son père. Son père est mort le 29 mai 1802 et la deuxième épouse de son père, Marie Françoise PLOCKYN, le 4 novembre de la même année.
Pierre Joseph DENAES a épousé le 12 vendémiaire an XII (5 octobre 1803) une jeune-fille de son âge qu’il avait mis enceinte. Il connaissait bien Marie Jeanne Cécile CLEP car le père de celle-ci, Guillaume CLEP (1716-1800) avait épousé en premières noces Marie Joseph CLEP (1719-1765) dont la nièce était Marie Françoise PLOCKYN (1748-1802), la deuxième épouse de Jacques DENAES.
Caroline Sophie DENAES, la fille de Pierre Joseph et de Marie Cécile CLEP est née le 3 ventôse an XII (23 février 1804) à Hazebrouck. Il est à noter que son père était absent à sa naissance, sans doute pris par ses activités de marchand. Caroline n’a vécu que dix-neuf jours. Elle est décédée le 22 ventôse an XII (14 mars 1804) à Hazebrouck.
L’activité de marchand n’était sans doute pas assez florissante ou trop fatigante pour un homme handicapé ou encore l’épouse de Pierre Joseph DENAES aspirait-elle à ce que son mari ait une vie plus sédentaire comme l’un de leurs beaux-frères ? Toujours est-il qu’on retrouve Pierre Joseph DENAES, cabaretier à Morbecque, à la naissance de son fils Louis Alexandre Joseph, le 26 mars 1806.
Dans l’acte de mariage de ce fils, le 2 avril 1834, à Lille, celui-ci affirme qu’il réside à Lille, rue du Sec Arembault, depuis seize ans, soit depuis 1818. Des problèmes financiers ont sans doute conduit Pierre Joseph DENAES et sa famille à prendre le large à Lille.
Mais, dans une grande ville, la misère était encore plus rude, au XIX° siècle. Marie Cécile CLEP est décédée à l’âge de cinquante et un ans mais il est indiqué dans son acte de décès qu’elle en avait cinquante-cinq. Elle est morte le 29 août 1828, à l’hôpital Saint Sauveur de Lille. Ce sont deux infirmiers de l’hôpital qui ne savaient ni lire ni écrire qui ont déclaré son décès ! Le secrétaire de mairie a écrit le nom DENAES comme ça se prononçait, c’est-à-dire DENASSE et il a même déclaré que l’époux de Marie Cécile portait les prénoms d’Alexandre Joseph (ce sont ceux de son fils) au lieu de Pierre Joseph. Il y a fort à parier que son corps a été jeté dans la fosse commune.
Un an avant la mort de son épouse, le 1° juin 1827, Pierre Joseph DENAES qui ne devait pas être bien vaillant non plus, était admis à l’Hôtel des Invalides. Il avait alors cinquante et un ans. Le registre d’entrée, consulté au Service Historique de la Défense, à Vincennes, nous indique que Pierre Joseph DENAES a été pensionné à partir du 6 février 1830 mais le montant de la pension n’est pas indiqué. Il est également fait mention d’une réadmission à l’hôtel des Invalides, le 22 août 1832. On peut donc penser que Pierre Joseph DENAES est retourné vivre à Lille pendant quelques temps ou qu’il s’est trouvé un petit logement à louer à Paris.
source: SHD/GR/2XY272
Pierre Joseph DENAES est décédé le 9 février 1833 à l’hôtel des Invalides. Il avait cinquante-sept ans. Il a été inhumé le 12 février suivant, au cimetière du Montparnasse, dans la fosse commune.
information donnée par Filae
A cette époque, de très nombreux soldats étaient admis à entrer à l’hôtel des Invalides. J’ai dénombré deux cent soixante-six entrées pour l’année 1827. La moyenne d’âge des entrants était d’un peu plus de cinquante ans, certains n’avaient qu’une vingtaine d’années et d’autres plus de soixante-dix ans.
La descendance de Pierre Joseph DENAES
Le fils de Pierre Joseph DENAES, Louis Alexandre Joseph qui était fileur de coton a donc épousé, en 1834, Florimonde Sophie Joseph BERNARD, couturière et de six ans sa cadette. Ce jeune-homme qui avait perdu ses deux parents allait donc se créer une nouvelle famille.
Ils ont eu un fils, Louis Romain DENAES, né le 23 mars 1836 à Lille mais la vie de ce pauvre enfant fut brève. Il est décédé à Lille, le 22 juin 1838.
J’ai remarqué que Louis Alexandre Joseph DENAES changeait souvent d’adresse. En 1828, il demeurait avec sa mère, 27 rue du Priez, en 1834, son adresse était rue du Sec Arembault, en 1836, il partageait avec sa femme un domicile au 23 rue Saint Nicaise et en 1838, ils étaient au 18 rue du Priez. Il est probable que lorsqu’ils ne pouvaient plus payer le loyer, ils étaient expulsés de leur modeste masure ou ils partaient à la cloche de bois et allaient s’installer un peu plus loin.
Je me demande si Louis Alexandre Joseph DENAES était encore à Lille, à la mort de son fils car ce sont deux voisins qui ont déclaré le décès. Louis Alexandre Joseph est mort le 30 juillet 1842 à l’asile d’aliénés d’Armentières, à seulement trente-quatre ans. Etait-il un trouble à l’ordre public, était-il trop souvent pris de boisson qu’il a dû être enfermé ?
Ainsi s’éteint la descendance de Pierre Joseph DENAES.
Du côté de Marie Cécile CLEP
Alexandrine Bonaventure CLEP, une sœur de Marie Cécile CLEP avait épousé, en 1797, le chef du bureau des impositions à Hazebrouck, Pierre MERVAILLIE dont elle a eu un fils, Louis MERVAILLIE qui fut marchand d’épices. Celui-ci n’avait pas encore un an et demi lorsque son père est mort. Sa mère épousa, ensuite, en 1802, un cabaretier de Morbecque, Dominique HUBERT.
Il se trouve que l’un des arrière-petits-fils de Louis MERVAILLIE était un ami de mon père. Pierre MERVAILLIE était né le même jour que lui, le 5 mai 1914, mais à Hazebrouck. Ils se sont peut-être connus au collège Saint Jacques à Hazebrouck ou plus tard, lors de leur service militaire, au 91ème régiment d’infanterie. Avec un autre ami, André VANNOBEL, né aussi le même jour mais à Wormhout comme mon père, ils formaient un trio. André VANNOBEL organisait des excursions d’une dizaine de jours, chaque année au mois de juin, dans les années 70 et 80. J’ai eu l’occasion de les rencontrer, à Paris, place des Ternes, en 1991, et je peux dire que l’ambiance était joyeuse.
PS: Je remercie vivement mon cousin Arnaud DENAES qui m'a permis de finaliser cet article en me fournissant l'acte du mariage à Lille du fils de Pierre Joseph DENAES.
Je remercie également les bénévoles de la base de données HOTEL DES INVALIDES (https://www.hoteldesinvalides.org/) et tout particulièrement Denise RAY qui m'a bien guidée dans mes recherches au SHD.
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Apocalypse 14 ; Revelation 14
Louis Segond Bible
1Je regardai, et voici, l'agneau se tenait sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante-quatre mille personnes, qui avaient son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts. 2Et j'entendis du ciel une voix, comme un bruit de grosses eaux, comme le bruit d'un grand tonnerre; et la voix que j'entendis était comme celle de joueurs de harpes jouant de leurs harpes. 3Et ils chantent un cantique nouveau devant le trône, et devant les quatre êtres vivants et les vieillards. Et personne ne pouvait apprendre le cantique, si ce n'est les cent quarante-quatre mille, qui avaient été rachetés de la terre. 4Ce sont ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes, car ils sont vierges; ils suivent l'agneau partout où il va. Ils ont été rachetés d'entre les hommes, comme des prémices pour Dieu et pour l'agneau; 5et dans leur bouche il ne s'est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles. 6Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Evangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. 7Il disait d'une voix forte: Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. 8Et un autre, un second ange suivit, en disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité! 9Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte: Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, 10il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. 11Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom. 12C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. 13Et j'entendis du ciel une voix qui disait: Ecris: Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs oeuvres les suivent. 14Je regardai, et voici, il y avait une nuée blanche, et sur la nuée était assis quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, ayant sur sa tête une couronne d'or, et dans sa main une faucille tranchante. 15Et un autre ange sortit du temple, criant d'une voix forte à celui qui était assis sur la nuée: Lance ta faucille, et moissonne; car l'heure de moissonner est venue, car la moisson de la terre est mûre. 16Et celui qui était assis sur la nuée jeta sa faucille sur la terre. Et la terre fut moissonnée. 17Et un autre ange sortit du temple qui est dans le ciel, ayant, lui aussi, une faucille tranchante. 18Et un autre ange, qui avait autorité sur le feu, sortit de l'autel, et s'adressa d'une voix forte à celui qui avait la faucille tranchante, disant: Lance ta faucille tranchante, et vendange les grappes de la vigne de la terre; car les raisins de la terre sont mûrs. 19Et l'ange jeta sa faucille sur la terre. Et il vendangea la vigne de la terre, et jeta la vendange dans la grande cuve de la colère de Dieu. 20Et la cuve fut foulée hors de la ville; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades.
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Je pense que Lauren Groff a vraiment réalisé avec ce roman une œuvre incroyable, un délire personnel complètement fou.
Adorant l’œuvre de Marie de France, poétesse du XIIe siècle, et profitant d’un flou très artistique sur sa réelle biographie, elle s’est engouffrée dans la brèche et a inventé librement une vie et une existence très charnelle de cette figure littéraire énigmatique.
Elle est partie de l’hypothèse qu’elle était fille naturelle de Georges V d’Anjou, père de Henri II, mari d’Aliénor d’Aquitaine, et qu’elle aurait été écartée de la cour à dix-sept ans pour être « enterrée vivante » dans un monastère anglais. A partir de là, Lauren Groff part en vrille.
Elle lui invente un physique hors norme (c’est une géante hideuse), des passions folles (elle aime avec ferveur Aliénor, connaît le plaisir charnel avec sa servante, et lutte toute sa vie contre cette attirance pour les femmes qui est doublement répréhensible puisqu’elle est bientôt nonne), un mental de leader (elle a des visions qui lui dictent comment relever l’abbaye moribonde et lui apporter prospérité), et un courage digne des plus grands chevaliers de légende.
A un moment de ma lecture, j’ai eu un doute. Face aux événement du récit (Marie a une vision, un projet, elle et son aura magnétique soulèvent des montagnes, entraîne les moniales et les amène à réaliser le projet qui apporte toujours plus de puissance à l’abbaye et aux sœurs, et cela se répète), je me suis arrêtée, perplexe, en me demandant si ce récit (aux accents épiques devant de tels exploits) n’était pas totalement naïf et agaçant. Mon adhésion a vacillé. Puis, je me suis faite à nouveau emporter.
Je crois que le roman a vaincu mes réticences par la seule force de son style et par l’enthousiasme, l’élan, la ferveur de l’écrivaine à édifier un tombeau si plein de rêves féministes. Car le style est tout bonnement éblouissant. Lauren Groff a créé quelque chose, qui mêle habilement langue ancienne, vieillie, pleine de latinismes, de mots désuets, et un lyrisme à la fois austère et débridé. Je ne saurais l’expliquer. Le choix des mots, certaines tournures de phrases, le rythme, amènent dans le texte une crudité très brute (le moyen âge est ainsi, cru et brut, maladie, famine, violences n’épargnent personne), et une poésie incroyable. Certains passages sont vraiment sublimes, à couper le souffle. On est vraiment transporté dans un autre monde. Un monde hostile, qui meurtrit le corps (la famine, le froid), et un monde enchanté, transfiguré par l’esprit et la beauté des choses. L’écriture nous transmet la beauté austère du quotidien de ces femmes courageuses, en même temps que la grandeur de leurs sensations et sentiments, de leurs rêves, de leurs particularités.
La foi de Marie reste étrange, suspecte. A-t-elle des visions divines ou bien a-t-elle une ambition qui lui donne ce pouvoir visionnaire ? Sa bonté n’est en tous cas jamais mise en doute, et son désir de créer cette communauté de femmes fortes et protégées est plus puissant que le reste. On se met alors à admirer l’œuvre accomplie, qui ne manque pas d’audace : Marie va même jusqu’à célébrer la messe à la place d’un prêtre ! Dans ce récit utopique, sublimé, halluciné, Marie devient Matrix, l’abbesse en chef, aussi puissante qu’une sainte, et sa communauté de sœurs une véritable ode à la sororité. Même si le résumé peut sembler naïf, limité, la lecture transfigure le propos, comme si on lisait un texte mystique, un texte destiné à la foi. Comme s’il suffisait d’y croire. C’est en soi un tour de force, me semble-t-il, que Lauren Groff a ici réussi.
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Peut-on encore espérer ?
Même si elle professe une forte préférence pour le pire, notre époque est, aussi, capable du meilleur, ce qui maintient en vie les optimistes. Un des problèmes les plus graves du moment, c'est que la Presse, néfaste et mortifère au delà de ses propres espérances, ne vante jamais que ce qui est à rejeter, à condamner, à refuser... mais que, par un biais inexplicable (mais permanent), elle présente comme le ''nec plus ultra'' d'une pensée qu'elle prétend bonne sur des critères --connus d'elle-seule– qui sont tous mauvais : plus c'est désespérant et plus elle le dit salvifique... ce qui explique pourquoi nos contemporains (car cette pathologie est mondiale) croient que ce ''pire'' pourrait être une solution. C’est un mensonge !
Or il n'en est rien : à côté de ce qui constitue la trame sombre de notre (sur)-vie quotidienne revue et corrigée dans le sens du ''pas d'espoir'' (la ''no hope Society'' des 'ricains)-- il existe une vie, ''la vraie vie'', à l'extrême opposé de tout ce que nous racontent politiciens et journalistes, une fois de plus unis dans une entreprise inexplicable de destruction de toute société organisée –et plus particulièrement de notre civilisation judéo-chrétienne, dont toutes les valeurs –vraies, celles-là-- sont le contraire des anti-valeurs qui nous sont sans cesse présentés comme la nouvelle base d'idées qui devraient construire un monde nouveau. C'est un autre mensonge.
On a du mal à croire que quelques milliers de ''mal-pensants'' arrivent à maintenir 8 milliards d'humains la tête sous l'eau... biberonnés à l'eau du Léthé, pour oublier qu'il existe une ou des alternative(s)... Et pourtant, le 24 novembre dernier, a eu lieu, rue Saint-Guillaume, juste en face du cloaque contre-intellectuel, dé-politique et a-moral qu'est devenu ce qui fut Science-Po (devenu Science-Pipeau, affirment les ''anciens''), en plein cœur de ce quartier latin qui fut le lieu géométrique et le rendez-vous de notre belle jeunesse, l’ouverture d’ un ''Centre Saint Thomas d'Aquin'' (en abrégé : ''le CST''). Dans un beau discours inaugural, Eléonore de Noüel, sa Directrice, a déclaré que cette ouverture répondait à un authentique scandale : Thomas d'Aquin, un des plus grands penseurs de l'humanité, est quasi inconnu en France. Ce mystère fait partie des préoccupations contre-civilisatrices qui font fonctionner –de plus en plus mal-- le moteur (arrêté !) de nos intellectuels en manque total de cerveau, de culture, de jugeote... et de solutions qui en soient.
Et pourtant Dieu sait (si j'ose !) si l'intention des pères de la scolastique était de tout faire pour réconcilier la philosophie grecque (et particulièrement l'aristotélisme), avec la théologie chrétienne : la théologie et la philosophie, pour eux, ne sauraient conduire à des vérités opposées. ''Vaste programme'', aurait dit qui nous savons... d'autant plus que, pour en arriver à cet ambitieux projet, ils en appelaient à la médiation de Dieu, ce qui, évidemment, ne peut mener, aujourd'hui, qu'à accélérer la danse de Saint Guy des ''Wokistes'' qui ont fait de cet ex-haut lieu de la pensée française un bas-fond de la bêtise humaine, soumis à des aberrations sans queue ni tête... ni lendemains possibles. Et ces idées, contre toute intelligence et toute sagesse, sont reprises par nos gouvernants, vraiment pas à la hauteur de leur boulot et des défis qu'ils sont censés redresser. et qu’ils ne voient même pas
Pour Thomas (bien loin d'être Saint, in illo tempore), ''gouverner, c'est administrer la Cité d'après la vertu de Justice, en vue du bien commun''... notion qui ne saurait en aucun cas se confondre avec les concepts, aussi vagues que flous, ''d'intérêt général'' ou –pire encore, puisque impossible-- de leur ''vivre ensemble''. Mais notre personnel politique ne sait plus compter au delà de ''49.3'', et notre Assemblée Nationale se déshonore dans de fausses querelles et de stupides invectives (car même leurs fausses indignations sonnent ''toc' … et le sont : on les sent fabriquées de toutes pièces, sans aucun fondement, mais exclusivement destinées à faire du ou le ''buzz'' (en français : ''des bruits incongrus'' ?). Nous vivons un temps où les ministres sont... les nuls que nous subissons, où les députés sont... les ravageurs de l'ex-LREM ou de la ''NUPES'', et où la vie intellectuelle... tourne autour de la sottise vulgaire d'un Cyril Hannouna, ce faux faiseur de faux rois d'une heure ! Dans des clashes d'une bêtise crasse, l'arène politique et la politique elle-même ne sont plus que des lieux où se déchaînent de fausses passions sordides, inutiles, et tout... sauf dignes du plus petit intérêt !
La dérive des idées-du-jour vers tout ce qui est ''franchement mauvais'' pour l'Homme, et celle de la construction européenne (un beau rêve assassiné par des idéologues sans foi ni loi) ont accéléré l'étiolement du principe d'identité nationale, voire, plus grave encore, de la Nation proprement dite, et ont invisiblement conduit trois générations de politiciens à ne plus faire reposer l'ordre dans la Cité que sur des ''droits de l'Homme'' (mal définis !)–ratatinés en ''droits humains'' sous la pression de harpies haineuses--, en supprimant l'ordre établi, les principes qui le régissent et tous les ''corps intermédiaires'' (famille, école, église, syndicats, partis, etc). Or s'il n'y a plus d'intermédiaire entre l'individu et l'universel, l'idée-même que puisse exister un ''ordre collectif commun'' disparaît... et il ne reste, sur la table de négociations devenues impossibles, que des litanies de revendications venant le plus souvent de minorités qui se sentent exacerbées et qui se croient exaspérées.... ou qui veulent s'offrir la plus grande part possible du gâteau.
L'excellent Pierre Manent, dans son propos inaugural du ''Centre Thomas d'Aquin'' cité plus haut, a posé la question : ''L'ordre politique est-il rationnel ?'', et a répondu : ''Notre monde est devenu un monde de monades'' (NDLR : du grec μονoς, monos = un, l'unité. En métaphysique, on définit une ‘’monade’’ soit comme une Unité suprême – exemple : l’Un, Dieu, le Principe des nombres--, soit comme un élément spirituel minimal –exemple : le signe, le logo, le schéma. Pour simplifier, traduisons-le, ici, par ''Unité'')... ''un monde d'Unités, donc, où chaque Unité a le droit absolu de voir son désir satisfait ou son rêve réalisé... où chacun a le droit d'être un enfant infiniment capricieux''. Je ne sais pas si cette analyse dresse devant vous, comme elle le fait devant moi, le mur en construction de notre échec actuel et le spectacle de notre longue descente vers l'enfer, chacun croyant qu'il a raison contre la raison, l'intelligence, la réflexion… et l'Histoire de l'humanité. N'oublions pas Ezéchiel : ''Malheur à la Cité dont le roi est un enfant ''… un ''roi'' qui condamne, sans pardon possible, tous ceux qui, soignants ou pas, ne se plient pas à ses caprices puérils, pourtant scientifiquement et autrement démontrés injustifiables. Le prophète aurait été bienvenu d’ajouter un membre utile à sa phrase : ''Et malheur, aussi, au pays dont tous les sujets se comportent comme des enfants...''.
Il se confirme chaque jour (et plusieurs fois par jour, hélas!) que notre monde a perdu la raison. La seule existence d'un ''Centre Thomas d'Aquin'', le ''Docteur Commun'' devenu Saint entre temps, sera-t-elle suffisante pour redresser tout ce qui a glissé ''de traviole'' ? En période de disettes (et Dieu sait s'il nous en manque, des choses, dans l'enchevêtrement ''indé-chosable'' des crises que nous subissons !), ''mieux vaut quelque chose que rien...''. Quant à nous... tout ce que nous pouvons faire, à titre individuel, c'est l'espérer, et prier, pour ceux qui savent encore : en ce temps d'Avent plus encore que d'habitude, ça ne peut pas faire de mal !
H-Cl.
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Cette histoire mette en scène se qui se serai passer selon moi si Shiva et Aphrodite avait eu une aventure et que de cette même histoire d'amour est née une jolie petite fille qui s'avère être la plus puissante parmi tout les dieux du monde ( oui même plus forte que Zeus et tout les autre ) mais aussi que même les humains les plus fort ne pourrais pas rivaliser avec elle .
Aller générique choisi par mes soins
Pdv ???
C'était une journée comme les autres à part qu'aujourd'hui aura lieu l'assemblée du Valhalla .
Bref moi c'est Raïssa,je suis la fille de Shiva et Aphrodite donc vous vous doutez bien que je suis très puissante au passage j'ai 17 ans .
J'ai toujours vécu avec mon père et ne voyais ma mère que quand papa où quelqu'un du Panthéon indou vener sur l'Olympe .
Mais bon les choses on étaient décider ainsi . Mais moi qui m'attendait à la destruction de l'humanité une personne que je n'ai jamais vraiment apprécié est venu nous interrompre .
???: Attendait !
C'était Brunehilde l'aîné des 13 soeur valkyrie . Et comme sa m'a soulé je lui ai dit 2 mots .
Moi:Non mais ho Brunehilde pour qui te te prend pour venir interrompre les dieux en plein débat !?
Brunehilde:C'est juste que...j'aimerai juste mette une autre proposition sur la table .
???:Ah bon ? Et quel est-ce donc que cette proposition ?
La personne qui venait de parler n'était autre que Midori la fille de Thor et de dame Yukari .
Midori:Non parce-que t'as du cran quand même ma petite pour agir comme tu viens de le faire .
Je connais Midori depuis le berceau et nos mère était coéquipière l'or de la guerre sainte et ont combattu ensemble avec d'autre guerrière aux côté des seven deadly sins .
Brunehilde:Je propose de laisser le Ragnarok .
À se moment j'ai senti un frisson à la mention du Ragnarok .
???:Mais t'es folle !?
Là c'était Marie la fille d'Héraclès et de dame Yayoi qui elle aussi a pris les armes l'or de cette guerre sans merci .
Elle aussi était très puissante elle aurai même pue être au même niveau que moi .
Mais bref,passons : cette situation était asser gênante comme sa j'ai décider d'intervenir .
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I Am Anointed with fresh oil | Prophetic Worship Instrumental by Kyle Lovett Music (1 hour)
Beautiful, sweet and anointed music.
Version 8 hours
Période de pressurage plus fort afin de faire couler une huile nouvelle pour intensifier notre relation avec Père Céleste au travers de Yahshua, Notre Epoux et par le Ruah Ha Kodesh.
♥ ♥ ♥
“ Samuel prit la corne d'huile, et l'oignit au milieu de ses frères. L'esprit de l'Eternel saisit David, à partir de ce jour et dans la suite. Samuel se leva, et s'en alla à Rama. “ (1 Samuel 16:13)
“ Tu prendras l'huile d'onction, tu en répandras sur sa tête (à Aaron), et tu l'oindras. “ (Exode 29:7)
“ Tu feras avec cela une huile pour l'onction sainte, composition de parfums selon l'art du parfumeur; ce sera l'huile pour l'onction sainte. “ (Exode 30:25)
“ Tu oindras Aaron et ses fils, et tu les sanctifieras, pour qu'ils soient à mon service dans le sacerdoce. “ (Exode 30:30)
“ Il répandit de l'huile d'onction sur la tête d'Aaron, et l'oignit, afin de la sanctifier. “ (Lévitique 8:12)
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Tenez ferme ce que vous avez jusqu’à mon retour.
À celui qui remporte la victoire, qui persévère jusqu’à la fin dans l’accomplissement de ma volonté, je donnerai l’empire des nations : il sera leur berger et les mènera avec une houlette de fer ; il les brisera comme des poteries d’argile.
J’ai reçu moi-même ce pouvoir de mon Père.
Je lui donnerai aussi l’éclat du jour naissant.
Que celui qui est capable d’écouter prête attention à ce que l’Esprit dit aux Églises. Apocalypse 2: 25-29 POV
Il y avait un ciel nouveau et une nouvelle terre, car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’existait plus.
Je vis la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, descendre du ciel, d’auprès de Dieu, belle comme une mariée qui s’est parée pour son époux.
En même temps, j’entendis une forte voix, issue du trône, qui disait : voyez : à présent Dieu a dressé sa tente parmi les hommes et il la partage avec eux.
Il habitera désormais au milieu d’eux ; ils seront son peuple et lui, Dieu, sera personnellement avec eux.
Il essuiera toute larme de leurs yeux. Il n’y aura plus ni mort, ni tristesse, ni souffrance.
On n’entendra plus de plainte ni de cri de douleur. Plus de peine ni de dur labeur ! Car l’ancien monde a disparu et tout ce qui fut autrefois a passé pour toujours.
Alors, celui qui siégeait sur le trône déclara : voici que je crée un univers nouveau.
Cette fois, je renouvelle toutes choses.Il ajouta : écris que ces paroles sont vraies et entièrement dignes de confiance.
Puis il me dit : désormais, tout est accompli ! Je suis le premier et le dernier, l’origine et le but.
Et voici mon cadeau pour celui qui a soif : je lui donnerai à boire de l’eau des sources de la vie gratuitement.
Le vainqueur héritera toutes ces choses. Je serai son Dieu et il sera mon fils.
Quant aux lâches, aux infidèles et inconstants, aux dépravés, assassins, noceurs et adultères, aux idolâtres et adeptes des pratiques occultes, bref à tous ceux qui s’écartent de la vérité, leur part sera l’étang ardent de feu et de soufre, la seconde mort.
Alors, l’un des sept anges qui tenaient les sept coupes pleines des sept ultimes fléaux vint me parler : viens, me dit-il, je te montrerai la mariée, l’épouse de l’Agneau.
Il m’emmena en esprit sur une grande et haute montagne, d’où il me fit voir la ville sainte, Jérusalem qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu.
Elle rayonnait de la gloire divine. Son éclat rappelait celui des pierres les plus précieuses, elle resplendissait comme un jaspe qui aurait la transparence du cristal.
La muraille reposait sur douze assises portant les noms des douze apôtres de l’Agneau.
La ville n’a besoin ni du soleil ni de la lune pour l’éclairer, la gloire de Dieu l’illumine et l’Agneau lui tient lieu de lampe.
Rien d’impur n’y pourra pénétrer. Nul homme commettant le mal ou servant le mensonge n’y entrera. Seuls y auront accès ceux qui sont inscrits dans le livre de vie de l’Agneau. Apocalypse 21: 1-11,14,23,27 POV
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"Si à présent tu soupires de savoir comment cela peut advenir (la communion mystique avec Dieu), interroge la grâce, non la doctrine; le désir, non l'intellect; le murmure de la prière, non l'étude des lettres; l'époux, non le maître; Dieu, non l'homme; le brouillard, non la clarté; non la lumière, mais le feu qui tout enflamme et transporte en Dieu avec les fortes onctions et les très ardentes affections... Entrons donc dans le brouillard, étouffons les angoisses, les passions et les fantômes; passons avec le Christ crucifié de ce monde au Père, afin qu'après l'avoir vu, nous disions avec Philippe: cela me suffit" saint Bonaventure
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In Memoriam : le gros con d’extrême-gauche David Perchirin, refroidi par le Califat.
11 ans déjà.
David Perchirin
C’est bien gentil, les commémorations, mais c’est mieux d’en retenir quelque chose.
Le Monde :
Quand son deuxième enfant naît, il y a sept ans, il songe à l’appeler Abd El-Kader, du nom de l’un des pères de l’identité nationale algérienne, avant de lui choisir un prénom plus sage, Niels. Ainsi était David Perchirin, selon ses proches, un esprit libre qui goûtait la révolte et la rébellion jusque dans ses icônes. Né en 1973, originaire de la pointe Bretagne, dans le Finistère, ce journaliste indépendant, récemment reconverti en professeur des écoles, à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), grandit à Gouesnou, une petite commune pavillonnaire située près de Brest. Puis il part faire ses études à Rennes, où il intègre, en 1991, la première promotion de l’IEP. De ces années de jeunesse où il forge de solides amitiés, reste le souvenir, fort et vivant chez ses proches, de fêtes mémorables dans la colocation qu’il partageait avec Sophie Cheval et Cédric Mauduit, tombé avec lui au Bataclan sous les balles des terroristes. « C’est vite devenu le quartier général de la promo, où se déroulaient les fêtes les plus folles et des discussions politiques jusqu’au bout de la nuit… Des débats infinis sur la montée du nazisme ou la meilleure période des Stones », raconte une de ses camarades, Carine Rolland, devenue première adjointe au maire du 18e arrondissement de Paris. « David était quelqu’un d’à part. D’une agilité intellectuelle rare. D’une curiosité sans fin envers les choses et les êtres. Il aimait les joutes oratoires et la confrontation des idées, parfois jusqu’au conflit, ajoute-t-elle. Il était érudit, mais ce n’était pas un sachant universitaire. Il y avait dans sa culture quelque chose de très personnel et singulier. Il aimait décoder, traquer les préjugés, le moindre signe de xénophobie… »
David était ce que l’on appelle un sale gauchiste, sectaire et paranoïaque.
Vivant, il serait aujourd’hui un militant LFI.
« J’étais l’archétype de la bonne élève. Lui, libertaire, passionné par la politique et le rock, qui était chez lui une manière de vivre libre, m’a appris qu’on pouvait vivre pleinement en accord avec ses valeurs, confie Sophie Cheval, amie fidèle et marraine de sa fille de 13 ans, Siloé, aujourd’hui psychologue. J’étais fascinée par ses allers-retours permanents entre vie et pensée. On se réveillait au son des Ramones. On s’endormait au son des Cramps. La musique ne s’arrêtait jamais. » Cette passion pour le rock, de Nick Cave à Joy Division, du punk au garage, était le fil de sa vie. Un fil qui passait par les festivals, les concerts et les nuits parisiennes. « Il en aimait l’énergie et le caractère expérimental et provocateur », dit Owen Beuchet, professeur de français au Danemark. S’il n’avait pas renoncé au plaisir
d’aller boire une bière à un concert avec ses amis, sa paternité et sa volonté de s’impliquer dans l’éducation de ses enfants aux côtés de sa femme Claire, journaliste, de réfléchir à la transmission, l’avaient conduit à devenir enseignant, en 2013.
« Journaliste indépendant », c’est bien, mais ça paie moins que prof de gauche dans le 93.
C’est peu dire si le 13 novembre 2015, la survenue d’un commando islamique venu massacrer du gaouri a pris par surprise notre « enseignant » anarcho-communiste breton, militant pathologiquement pro-bougnoules.
Bing !
Le racisme n’est pas une idée, mais un moyen de maximaliser ses chances de survie dans un monde où la lutte des races est permanente.
Ne devenez pas comme David Perchirin.
Mieux vaut être raciste que mort.
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Démocratie Participative
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La prière
La prière du contrebandier1 05/11/2024
Les Syriens descendirent vers Élisée. Il adressa alors cette prière à l’Éternel : « Veuille frapper cette nation d’aveuglement ! » Et l’Éternel les frappa d’aveuglement, conformément à la parole d’Élisée. 2 Rois 6.18
Frère André est décédé le 22 septembre 2022. Originaire des Pays-Bas, il s’est mis au service des chrétiens persécutés dans le monde. Notamment dans les pays où la Parole de Dieu n’était pas disponible, voire interdite à la lecture sous peine de sanction. Il leur fournissait des Bibles en les camouflant dans sa voiture. Lors de son premier voyage de ce genre en 1958, il avait demandé à Dieu : « Seigneur Jésus, lorsque tu étais sur la terre, tu rendais la vue à tant d’yeux aveugles. Maintenant je te prie de rendre aveugles les yeux de ceux qui voient, mais fais-le tout de suite. Et si tu ne le fais pas, c’est la fin pour moi. » Et le miracle s’est produit, au point qu’il n’a pas perdu une seule Bible durant les 20 ans de voyages qu’il a faits !
Découvrir le prix payé par des croyants pour obtenir une Bible, et la confiance en Dieu de ce serviteur de Dieu, ont marqué mon cheminement de découverte de la foi en Jésus-Christ d’une manière stimulante. Aiguisant ma curiosité pour en savoir davantage sur ce Dieu révélé dans les Saintes Écritures. Puisse-t-il en être de même de la part des lecteurs de ce feuillet !
Guy Gentizon
1 Le contrebandier, Frère André, Éditions L’Eau Vive Genève, 1971
__________________ Lecture proposée : 2ème livre des Rois, chapitre 6, versets 8 à 23.
8 Le roi de Syrie était en guerre avec Israël, et, dans un conseil qu'il tint avec ses serviteurs, il dit: Mon camp sera dans un tel lieu.
9 Mais l'homme de Dieu fit dire au roi d'Israël: Garde-toi de passer dans ce lieu, car les Syriens y descendent.
10 Et le roi d'Israël envoya des gens, pour s'y tenir en observation, vers le lieu que lui avait mentionné et signalé l'homme de Dieu. Cela arriva non pas une fois ni deux fois.
11 Le roi de Syrie en eut le coeur agité; il appela ses serviteurs, et leur dit: Ne voulez-vous pas me déclarer lequel de nous est pour le roi d'Israël?
12 L'un de ses serviteurs répondit: Personne! ô roi mon seigneur; mais Élisée, le prophète, qui est en Israël, rapporte au roi d'Israël les paroles que tu prononces dans ta chambre à coucher.
13 Et le roi dit: Allez et voyez où il est, et je le ferai prendre. On vint lui dire: Voici, il est à Dothan.
14 Il y envoya des chevaux, des chars et une forte troupe, qui arrivèrent de nuit et qui enveloppèrent la ville.
15 Le serviteur de l'homme de Dieu se leva de bon matin et sortit; et voici, une troupe entourait la ville, avec des chevaux et des chars. Et le serviteur dit à l'homme de Dieu: Ah! mon seigneur, comment ferons-nous?
16 Il répondit: Ne crains point, car ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.
17 Élisée pria, et dit: Éternel, ouvre ses yeux, pour qu'il voie. Et l'Éternel ouvrit les yeux du serviteur, qui vit la montagne pleine de chevaux et de chars de feu autour d'Élisée.
18 Les Syriens descendirent vers Élisée. Il adressa alors cette prière à l'Éternel: Daigne frapper d'aveuglement cette nation! Et l'Éternel les frappa d'aveuglement, selon la parole d'Élisée.
19 Élisée leur dit: Ce n'est pas ici le chemin, et ce n'est pas ici la ville; suivez-moi, et je vous conduirai vers l'homme que vous cherchez. Et il les conduisit à Samarie.
20 Lorsqu'ils furent entrés dans Samarie, Élisée dit: Éternel, ouvre les yeux de ces gens, pour qu'ils voient! Et l'Éternel ouvrit leurs yeux, et ils virent qu'ils étaient au milieu de Samarie.
21 Le roi d'Israël, en les voyant, dit à Élisée: Frapperai-je, frapperai-je, mon père?
22 Tu ne frapperas point, répondit Élisée; est-ce que tu frappes ceux que tu fais prisonniers avec ton épée et avec ton arc? Donne-leur du pain et de l'eau, afin qu'ils mangent et boivent; et qu'ils s'en aillent ensuite vers leur maître.
23 Le roi d'Israël leur fit servir un grand repas, et ils mangèrent et burent; puis il les renvoya, et ils s'en allèrent vers leur maître. Et les troupes des Syriens ne revinrent plus sur le territoire d'Israël.
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Évangile de Jésus-Christ selon Saint Marc 12,28b-34
« En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus
28 pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? »
29 Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur.
30 Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force.
31 Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »
32 Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui.
33 L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »
34 Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interroger. »
Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Mc 12,34
« Tu n'es pas loin du Royaume de Dieu. » (Mc 12,34) C’est la réponse de Jésus au scribe qui lui pose une question sur un sujet de conversation courante : « Quel est le premier de tous les commandements ? On dénombrait six cent-treize commandements : des problèmes de choix de priorité se posaient inévitablement. D’où la question. Comme toujours, Jésus répond en se référant à I‘Écriture elle-même ; et comme tout bon scribe, il sait rapprocher les textes entre eux. Ici, il en cite deux, extrêmement connus : « Voici le premier : Écoute, Israël : le SEIGNEUR notre Dieu est l’unique SEIGNEUR. Tu aimeras le SEIGNEUR ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. Voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là » Le premier n’est autre que le fameux « Shema Israël », le Credo juif en quelque sorte (Dt 6) ; le second est un passage du livre du Lévitique, bien connu des autorités religieuses (Lv 19,18). Ces deux commandements sont des commandements d’aimer et Jésus ne leur ajoute rien pour l’instant. Le « Shema Israël » prescrivait d’aimer Dieu, et lui seul : c’était un thème très habituel dans l’Ancien Testament, aimer Dieu au sens de « s’attacher » à lui, à l’exclusion de tout autre dieu, c’est-à-dire en clair refuser toute idolâtrie. Cet amour dû à Dieu n’est d’ailleurs qu’une réponse à l’amour de Dieu, au choix qu’il a fait de ce peuple : « Si le SEIGNEUR s’est attaché à vous et s’il vous a choisis, ce n’est pas que vous soyez le plus nombreux de tous les peuples, car vous êtes le moindre de tous les peuples. Mais si le SEIGNEUR, d’une main forte, vous a fait sortir et vous a rachetés de la maison de servitude, de la main du Pharaon, roi d’Égypte, c’est que le SEIGNEUR vous aime et tient le serment fait à vos pères. » (Dt 7,7-8)... Mais l’amour peut-il se commander ? L’élan, non, mais la fidélité, oui et c’est de cela qu’il est question ici : faire de l’amour une loi, c’est relativiser toute autre loi : désormais, la loi, quelle qu’elle soit, est au service de l’amour de Dieu, elle ne peut le remplacer ; or les palabres interminables sur l’ordre de priorité des commandements peuvent détourner du principal, l’amour lui-même. Quant au deuxième commandement cité par Jésus, « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », il figure au livre du Lévitique, dans ce que l’on appelle la « Loi de sainteté » qui commence par ces mots : « Soyez saints, car je suis saint, moi le SEIGNEUR votre Dieu » (Lv 19,2). Bien avant Jésus-Christ, dans l’idéal d’Israël, les deux amours de Dieu et du prochain ne faisaient qu’un. Les tables de la Loi traduisaient bien la même exigence puisque les commandements concernant la relation à Dieu précédaient tout juste les commandements concernant le prochain. Les prophètes avaient énormément développé les exigences concernant l’amour du prochain (et les scribes du temps de Jésus, à la différence des Sadducéens, lisaient couramment les textes prophétiques). Pour n’en citer qu’un, fort célèbre du temps de Jésus, retenons cette phrase du prophète Osée : « C’est la miséricorde que je veux, non les sacrifices, la connaissance de Dieu, non les holocaustes. » (Osée 6,6). Notre scribe est visiblement dans cette ligne de pensée ; Marc note « Le scribe reprit : Fort bien, Maître, tu as raison de dire que Dieu est l’Unique et qu’il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toutes les offrandes et tous les sacrifices. » Jésus conclut par une formule d’encouragement, comme une « béatitude » : « Tu n’es pas loin du Royaume de Dieu » (sous-entendu « heureux es-tu »). Jésus vient de donner au scribe la plus belle définition du Royaume : c’est là où l’amour est roi, l’amour de Dieu nourrissant l’amour des autres. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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Culture / Iran, le jour et la nuit
"Les Nuits de Mashhad". © Metropolitan FilmExport
NORBERT CREUTZ Édition du 9 septembre 2022
Le cinéma iranien se porte bien, à en croire l'arrivée de deux nouveau films sur nos écrans, «The Apple Day» de Mahmoud Ghaffari et «Les Nuits de Mashhad» d'Ali Abbasi. A y regarder de plus près pourtant, la réalité est bien plus complexe, entre censure d'Etat renforcée et contestation venue de l'étranger.
On avait quitté le cinéma iranien l'an dernier en apparent regain de forme avec Le Diable n'existe pas/There Is No Evil, puissant réquisitoire contre la peine de mort de Mohammad Rasoulof et Un héros, le dernier «thriller moral» d'Asghar Farhadi. Depuis est arrivé Hit the Road, premier essai relativement prometteur de Panah Panahi, et surtout, est tombée en juillet la nouvelle d'un nouveau tour de vis du pouvoir islamique, qui a renvoyé ses bêtes noires Rasoulof et Jafar Panahi (père de Panah) à la case prison. Ceci alors même que ce dernier a son dernier opus, No Bears, présenté à la Mostra de Venise... Mais que se passe-t-il donc dans ce pays placé sur la carte du cinéma mondial dans les années 1990 par les films d'Abbas Kiarostami et de Mohsen Makhmalbaf? Les deux films iraniens qui sortent ces jours, à une semaine d'intervalle, apportent un éclairage, à défaut de réponse claire.
Néo-réalisme dépassé
Premier arrivé, sous la bannière Trigon-Film, The Apple Day de Mahmoud Ghaffari est strictement du menu fretin. Un petit film de style néo-réaliste – le cinquième d'un auteur ayant milité en compétition au Festival de Fribourg – qui nous renvoie trente ans en arrière, lorsqu'il suffisait de montrer un gamin courant après des pommes pour attirer l'attention d'une critique mondiale prête à lire du sous-texte partout. Entendons-nous: ce style a eu son heure et ce nouvel exemple n'a rien de honteux. C'est juste qu'on n'y croit plus aussi facilement et qu'on a aujourd'hui plutôt l'impression de deviner un immense hors-champ.
L'histoire est donc celle d'un modeste vendeur de pommes en bordure de route qui se fait voler sa camionnette et de son fils aîné qui essaie de l'aider tout en rassemblant le panier de pommes (hebdomadaire?) que la maîtresse a demandé en guise de paiement. Cela se passe en banlieue pauvre de Téhéran et les seules échappées sont des souvenirs du père, gagné par la nostalgie de la campagne. On suit tout ceci d'un œil un peu distrait, en guettant quelque propos plus ciblé. En vain. Tout le monde reste désespérément lisse et gentil dans cette chronique dont les maladresses finissent par agacer. Entre la déploration d'un nouveau quartier de tours où la famille n'habite même pas, une course-poursuite entre garçons jamais crédible, un retour à la ferme inexpliqué et des scènes de classe lénifiantes, sans oublier ce deus ex machinafinal qui résoud tout (Madame, qui lavait du linge, a apparemment été promue entretemps), on ne voit pas vraiment l'intérêt. Plutôt l'œuvre d'un cinéaste excessivement prudent, qui se plie à tous les interdits en appliquant sagement une vieille recette.
Une nouvelle frontalité
Les Nuits de Mashhad (alias Holy Spider) d'Ali Abbasi est l'exact contraire: un véritable brûlot, qui attaque l'hypocrisie de la société iranienne avec une frontalité inédite. L'explication de ce «miracle» est que son auteur est un Iranien émigré en Suède à l'âge de vingt ans (révélé en 2018 par Border, fable sur la différence à base de trolls), qui a pu financer son film en Europe avant de le tourner en Jordanie. Le résultat était en compétition au dernier Festival de Cannes, où son actrice Zar Amir-Ebrahimi, une autre exilée, a remporté un Prix d'interprétation féminine très politique. Il faut reconnaître qu'à partir de l'histoire vraie d'un serial killer qui a sévi au début des années 2000 dans la ville sainte de Mashhad, le quadragénaire Abbasi en dit plus long et plus fort sur l'asservissement des femmes au pays des mollahs que tous les films iraniens vus à ce jour.
Ici, après avoir assisté avant le générique à l'assassinat sordide d'une prostituée, on suit une journaliste, Rahimi, qui débarque dans la ville pour enquêter sur cette quinzaine de féminicides qui laisse la police apparemment perplexe. Son seul soutien est un collègue local. En parallèle, le cinéaste nous fait suivre le quotidien du tueur, un vétéran de la guerre contre l'Irak devenu maçon, pilier de mosquée et brave père de famille. Frustré d'un destin plus glorieux, il s'est mis en tête de «purifier» la ville de ses péchés en la nettoyant de ses «femmes de mauvaise vie». Après avoir mesuré l'absence totale de soutien envers ces pauvres filles tombées dans la misère, Rahimi ne voit plus d'autre solution que de servir elle-même d'appât pour provoquer l'arrestation du criminel. Elle s'en tirera de justesse, mais le film ne se termine pas là, Ali Abbasi embrayant ensuite sur la réaction effarante de la famille et de toute une société complice à l'occasion du procès, véritable parodie de justice. Une hypocrisie instituée en système va même jusqu'à se retourner contre celui qui est salué par la foule comme un héros...
Vers un autre cinéma iranien
Des deux films, celui-ci est incontestablement le plus important. Mais il ne satisfait pas pleinement pour autant, tant sa forme donne à mesurer un écart culturel. Ici, c'est adieu la finesse de la tradition persane, bonjour le sensationnalisme à l'occidentale! Réalisé comme un thriller doublé d'un pamphlet, le film est certes prenant et efficace, mais la complaisance dans le glauque (plus Abel Ferrara à ses débuts que Brian De Palma), le manque de précision dans les plans (déjà une limite de Border) et le montage à la truelle des scènes de tribunal gâchent l'expérience. D'accord, c'est pour la bonne cause; et les comédiens, eux, sont au moins excellents. Reste à savoir si un tel film pourra être vu, même sous le manteau, dans «son» pays ou s'il ne servira in fine qu'à renforcer nos préjugés contre une nation qui mérite forcément mieux...
Peut-être est-ce d'ailleurs l'ensemble du cinéma iranien qui se trouve aujourd'hui à un tournant. Bien sûr, comme dans tout art sous contrôle, l'immense majorité de la production actuelle est insignifiante. Mais pour le haut du panier qui nous concerne, derrière le minimaliste Panahi et l'habile Farhadi se profilent déjà les noms de Vahid Jalilvand (Beyond the Wall, un troisième opus en compétition à Venise) et surtout de Saeed Roustayi (Life and a Day, La Loi de Téhéran, Leila et ses frères). Des jeunes auteurs apparemment audacieux, qu'il nous tarde de découvrir. A moins bien sûr que nos distributeurs, de plus en plus frileux devant la nouveauté venue d'ailleurs, aient déjà laissé tomber?
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« The Apple Day », de Mahmoud Ghaffari (Iran, 2022), avec Arian Rastkar, Mahdi Pourmoosa. 1h18
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« Les Nuits de Mashhad (Holy Spider) » d'Ali Abbasi (Danemark-Allemagne-Suède-France, 2022), avec Zar Amir-Ebrahimi, Mehdi Bajestani. 1h56
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