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FLCL 📺 @prilaga #flcl #flclfanart #prilaga #animeinstagram #anime #flclanime #flclalternative #flclassic #flclprogressive (at Addison, Texas) https://www.instagram.com/p/BrsQdKohWmY/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=du5p6k0sgk5x
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Haruko from FLCL #MyFaveAnimeFeb #art #artwork #artist #artistsofinstagram #artoftheday #anime #animeart #animefanart #fanart #animedrawing #animeartwork #FLCL #harukoharuhara #harukoharuharafanart #harukoflcl #flclfanart #flclanime #artchallenge #febuaryartchallenge https://www.instagram.com/p/CacqkaLpdoT/?utm_medium=tumblr
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HORS-SÉRIE #12 - FLCL (2000) Association GAINAX/STUDIO I.G., FULICULI -comme ça se prononce- est une série de six OAV de Katsuya Tsurumaki, un nom célèbre de l’animation japonaise rattaché de près à la licence EVANGELION. Pourquoi cet animé plus qu’un autre? Tout simplement parce que FLCL inclut à lui seul une quantité de qualités incroyables: un amour évident pour l’animation, des références culturelles bien placées -parodies ou simples clins d’oeil-, un rythme effréné/frénétique des plus revigorants, bref, c’est une énergie de la passion sur-vitaminée. Parler du scénario serait déplacé, FLCL le construisant “entre les lignes”: le spectateur assiste à des séquences peu communes en comparaison des formats habituels, prenant le risque de nous perdre. Une difficulté factice si l’on s’immerge pleinement dans cet univers coloré ultra dynamique, soutenu par la bande-son pertinente de the pillows, un groupe punk/rock indissociable de FLCL car totalement adapté à son propos: plusieurs thématiques sérieuses se planquent derrière la folie constante de l’animé, dont notamment celle de grandir, du passage à l’âge adulte, les protagonistes mettant cette “problématique” toujours en avant malgré les improbables contextes dans lesquels il évoluent. Un parti pris qui ne séduira pas tout le monde, son accessibilité nécessitant une attention permanente du moindre détail, en plus de la tonne d’informations incluse dans chaque épisode. FLCL se fait compréhensible lorsqu’on laisse la contemplation -et surtout, la réflexion- faire effet: mais rasurez-vous, même sans cela, les OAV à la fluidité d’animation sublime vous convaincront sans mal, véritable expérience visuelle. L’humour des animateurs se transmet au spectateur, débordant de créativité: chaque générique de fin se présente sous la forme d’un court-métrage en stop-motion qui suit le parcours d’un scooter jaune -d’ailleurs étant l’un des véhicules-emblèmes de FLCL- à travers les rues japonaises, se faisant apprivoiser comme un gentil chien par une passante (WTF?). Plusieurs procédes d’animation seront employés, à l’exemple de vignettes fixes se succédant comme si le spectateur lisait un manga: toujours doublées, ces scènes contrastent avec la direction artistique générale de FLCL, brisant parfois le quatrième mur avec une certaine ingéniosité. Son traitement narratif différent, une fois encore, peut s’avérer être une “barrière”: ne répondant pas à toutes les questions soulevées ou énoncées, FLCL semble garder d’autres révélations pour la suite: une initiative cool, permettant d’extrapoler quant à ce que l’on doit deviner. Source riche de belles choses, FLCL force l’interprétation: son univers est un mélange de S-F, d’humour et d’action, indéfinissable de par sa vision presque expérimentale de l’histoire qu’il raconte, fascinant par palette graphique audacieuse et cohérente. Et encore, le background est tant foisonnant qu’il faudrait une dissection complète pour le décrire. Absurdement génial, entre le vague l’âme d’un slice of life et l’action tonitruante en mode “fan-service de l’otaku”, FLCL est un monde où tout est possible, où les antihéroïnes éclatent du mecha high-tech avec une basse électrique, où les héros sont des enfants plus touchés par le fait de grandir que d’être au centre d’une incroyable destinée, où un fer à repasser géant trône au sommet de la ville, où les munitions d’armes à feu sont infinies: on se délecte, le tout faisant passer le concept musical et visuel du groupe GORILLAZ pour un gribouillis d’enfant en bas-âge. Une finition exemplaire! Épique, frais, cet ouragan d’humour décalé réalisé par des doigts d’or est un chef-d’oeuvre de l’animation du 21ème siècle, ovation amoureuse d’un art intemporel prenant ici vie de la plus belle des façons. Impossible d’ignorer FLCL si vous êtes sur le parcours de la japanimation: puisque je te dis que c’est culte! FULI CULA /20
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