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CHEMIN DE FER - Fission nucléaire
(février 2024)
Planche format raisin, feutre et stylo fin.
Chemin de fer pour un fanzine de 24 pages sur le thème de la fission nucléaire.
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Parlons de Nucléaire
Qu’est-ce que la fission nucléaire ? Avant de vous expliquer le fonctionnement d’un réacteur nucléaire, je dois vous expliquer le principe de la “fission nucléaire”, l’uranium contient plusieurs éléments, de l’Uranium 238, et de l’Uranium 235
L’Uranium 235 est le seul élement fissible, malheuresement l’Uranium naturel ne contient pas suffisamment d’Uranium 235 pour produire une fission nucléaire, c’est pour cela qu’on enrichi l’uranium de U235
Un élément composé d’uranium 235 est bombardé par des neutrons, le résultat produit une division en deux parties et libèrent en même temps 2–3 neutrons, détruisant d’autres noyaux, etc.
Le résultat est une réaction en chaîne, la fission nucléaire. La fission nucléaire crée une énergie phénoménale sous forme de chaleur
Comment fonctionnent les réacteurs nucléaires ?
Il y a plusieurs technologie différentes, ici on va parler de la technologie la plus répandue, les réacteur à eau pressurisé (REP) car les REP représentent 70% du parc mondial et 100% du parc FR
Les réacteurs nucléaires fonctionnent avec 3 circuits différents. : circuit primaire, circuit secondaire, et enfin le circuit de refroidissement. Nous avons d’abord le circuit primaire, qui est le cœur d’un réacteur nucléaire, où la fission nucléaire a lieu dans un tube appelé crayon, qui contient de l’uranium.
Le crayon est submergé dans le circuit d’eau primaire, l’Uranium est ensuite bombardé de neutrons pour créer une réaction en chaîne de l’uranium 235, dont le résultat est une grande quantité d’énergie sous forme de chaleur.
Cette génération de chaleur ne libère pas de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, elle n’a qu’un seul et unique résultat d’augmenter significativement la température du réacteur nucléaire. l’eau sous pression évacue la chaleur produite en créant de la vapeur qui active une turbine entraînant un alternateur produisant, au final, du courant électrique. Les crayons et l’eau du circuit primaire sont radioactifs, mais certainement pas rejetés dans la nature. Vous l’avez deviné, ce circuit produit le plus de déchets radioactifs, il est donc à ce stade très étroitement surveillé et réglementé
Le deuxième circuit prend alors le relais, ce circuit d’eau fonctionne indépendamment du premier circuit primaire, l’eau bouillante produit par le circuit primaire est utilisée pour alimenter le fonctionnement d’un générateur de vapeur qui transforme l’eau du circuit secondaire en vapeur d’eau. L’eau (radioactive) du circuit primaire n’est pas transformé en vapeur et ne rentre pas en contact avec l’eau du circuit secondaire, La vapeur d’eau est dirigé vers des turbines et des alternateurs qui génèrent de l’électricité par le mouvement de rotation créé par la vapeur d’eau, exactement comme peut le faire à petite échelle une dynamo de vélo.. la vapeur d’eau ainsi obtenue est ensuite transformée en eau liquide par un condenseur, qui est ensuite réinjectée dans un circuit d’eau secondaire dédié à la production d’électricité.
Intervient enfin le circuit de refroidissement. Ce troisième et dernier circuit d’eau est prélevée de sources telles que les rivières ou les océans et rejetée vers une source proche du point de prélèvement, mais à une température légèrement plus chaude, ou rejetée sous forme de vapeur d’eau dans de grandes tours de refroidissement.. Il sert uniquement à refroidir la centrale et n’entre pas en contact avec l’eau du circuit primaire qui reçoit les tubes de crayon contenant de l’uranium ou l’eau du circuit secondaire qui fait tourner la turbine dans un circuit fermé. L’eau du circuit de refroidissement n’est pas dangereuse, mais elle est quand même contrôlée et surveillée comme tout dans une centrale nucléaire, d’ailleurs. la vapeur d’eau évacuée par la tour de refroidissement présente l’avantage d’évacuer l’eau à température ambiante.
Le nucléaire, la meilleure énergie décarbonée ?
Une fois que je vous aurai expliqué le fonctionnement d’un réacteur nucléaire, vous comprenez mieux pourquoi les centrales nucléaires ne provoquent aucun rejet de gaz à effet de serre dans la nature. Tout comme les éoliennes qui produisent de l’électricité à partir du vent, les panneaux photovoltaïques qui produisent de l’électricité à partir du soleil, les centrales nucléaires produisent de l’électricité à partir de la vapeur d’eau. Les centrales nucléaires émettent quand même des polluants, mais ils ne contribuent pas au changement climatique. Une centrale rejette notamment de faibles quantités de tritium. Rien de grave pour l’environnement et pour les hommes, mais c’est quand même surveillé.
Pour calculer l’empreinte carbone des centrales nucléaires, des panneaux photovoltaïques, des éoliennes, des barrages hydraulique etc…on évalue la production de gaz à effet de serre lors de leur construction, de leur production, et des déchets éventuels. Durant toutes ces étapes, des gaz à effet de serre sont émis et le bilan carbone permet de calculer la quantité d’émissions de carbone produites par kilowattheure. L’éolien, le nucléaire, le solaire et l’hydraulique sont les modes de production les moins émetteurs de gaz à effet de serre. Par rapport aux centrales fossiles, les centrales nucléaires ont le moins d’impact sur l’environnement. En moyenne, une centrale nucléaire a une empreinte carbone de 6 à 12 gCO2eq/kWh… alors qu’une centrale au charbon ou au gaz naturel a une empreinte carbone comprise entre 490 et 820 gCO2eq/kWh.
Ce graphique vous montre que l’éolien, le solaire, l’hydraulique et le nucléaire sont les énergies qui émettent le moins de gaz à effet de serre, mais il ne faut pas oublier que le solaire et l’éolien sont des sources d’énergies intermittentes et qu’elles ont besoin de vent et de soleil pour produire de l’électricité. Il n’est donc pas réaliste d’envisager une production 100 % éolien ou solaire et l’histoire nous a montré l’effet inverse. Lorsque les éoliennes ne tournent pas ou qu’il n’y a pas de soleil, le réseau électrique doit compenser le manque de vent ou de soleil par la production nécessaire d’électricité, et les centrales nucléaires ne produisent pas à la demande comme le font les centrales thermiques. Les centrales nucléaires ne peuvent pas être arrêtées et redémarrées « à la demande » sur une période de plusieurs heures.
La politique d’installation d’éoliennes en Bretagne a conduit à la nécessité d’ouvrir une centrale à gaz à Landivisiau en Bretagne, pour pallier l’intermittence des éoliennes
Vouloir fermer les centrales nucléaires qui produisent de l’électricité décarbonée pour les remplacer par des éoliennes intermittentes et des turbines à gaz est totalement contre-productif et erroné. Arrêter les centrales nucléaires et les remplacer par des éoliennes ou des panneaux photovoltaïques pour lutter contre le climat aurait exactement le résultat inverse. Mais il ne faut pas jeter les énergies renouvelables à la poubelle, celà à du sens si l’objectif est de réduire les gaz à effet de serre produits par les centrales fossiles françaises encore en activité. En effet, dans cette configuration, construire du solaire et de l’éolien en remplacement des centrales fossiles aurai le potentiel d’améliorer encore notre bilan carbone.
Mais il existe une autre énergie qui est aussi neutre en termes d’empreinte carbone que le nucléaire et qui n’est pas intermittente ; L’hydraulique. Malgré les avantages indéniables de l’hydraulique en terme d’empreinte carbone..il y a un énorme problème, l’hydraulique ne peut être installée partout.
Effectivement, l’hydraulique nécessite d’avoir beaucoup de fleuves et de rivières, des débits d’eau importants, et beaucoup de place également..en France seulement 20% de l’énergie produite vient de l’hydraulique en raison du manque de sites disponibles pour installer les barrages.
Par exemple, la Norvège a non seulement une géographie favorable, mais aussi une grande surface de zones montagneuses pour une petite population, ce qui fait que l’énergie hydraulique est majoritairement utilisée dans tout le pays, la Norvège est le pays qui émet le moins de gaz à effet de serre pour produite de l’électricité
Alors est-ce que le nucléaire est la meilleure énergie ? Le nucléaire est l’énergie à bas-carbone reste le meilleur compromis pour les besoins de consommation domestique et industrielle actuelle de la France..Mais ce ne sera probablement pas le cas partout dans le monde, comme on l’a vu plus haut, la Norvège se débrouille très bien avec une énergie majoritairement hydraulique couplé à de l’intermittence éolien.
Les déchets nucléaires
Absolument tout ce qui nous entoure est radioactif. L’écran que vous regardez, la souris que vous tenez, la chaise sur laquelle vous êtes assis. Mais la plupart des objets sont très, très peu radioactifs. Nos corps eux-mêmes sont très légèrement radioactifs. Les déchets nucléaires sont classés comme cela
Cela dépend de plusieurs facteurs :
leur niveau de radioactivité
Le temps qu’il leur faut pour perdre cette radioactivité
Donc d’un coté on a des déchets très radioactifs à vie longue, de l’autre des déchets peu radioactifs à vie courte, et au milieu des déchets très radioactifs mais à vie courte, et des déchets à vie longue mais peu radioactifs.
La classification est en réalité un peu plus complexe mais l’idée générale est la même
Ceux qui sont qualifiés de HA dans le graphique ci-dessus émettent à eux seuls 94,9% de la radioactivité des déchets alors qu’ils ne représentent que 0,2% du volume…ceux qui sont qualifiés de MA-VL en émettent 4,9% et représentent 2,9% du volume et le reste des déchets émet les 0,2% restants, alors qu’ils représentent quasiment 97% en volume du total.
C’est à dire qu’en fait l’essentiel des déchets “radioactifs” sont très peu radioactifs. Tellement peu radioactifs qu’en Allemagne (pays très craintif sur le nucléaire) et dans pleins d’autres pays ils ne sont même pas considérés comme des déchets nucléaires. Et en France, on les stocke dans des sacs en tissus (des bigs bags similaires à ceux utilisés en construction), dans des bâtiments qui n’ont rien de bien particulier.
Ces déchets, c’est le gants, les outils, le gobelet de café du technicien de la centrale.. c’est aussi les matériaux de construction issus du démantèlement.
vous produisez tous les jours des déchets toxiques. Des déchets qui ne durent pas seulement des siècles, des déchets qui durent pour toujours. Par exemple: chaque fois que vous utilisez dans votre vie quelque chose en métal, quelque part dans le monde il y a une quantité de déchets toxiques qui représente entre 1 et 1 000 000 fois le poids de ce métal.Les déchets nucléaires c’est pareil. Ils ne sont pas tous radioactifs de la même façon. Certains le sont très peu, d’autres le sont beaucoup. Et ceux qui le sont beaucoup, avec un temps plus ou moins long, le deviendront de moins en moins.
Oui mais il reste les déchets à vie longue ?
Les éléments constitutifs du réacteurs sont de véritables déchets nucléaires. Mais, comme il s’agit de déchets peu volumineux, on peut les stocker en profondeur, dans des formations géologiques stables (on parle de formations qui n’ont pas bougé et ne bougeront pas pendant des centaines de millions d’années donc plusieurs ordres de grandeurs au-delà de la durée de vie des déchets). La totalité des déchets hautement radioactifs à vie longue générés par l’industrie française c’est cela :
Bon en vrai ca prend plus de place car ils sont enrobés dans des matrices mais on reste sur des volumes faibles.
De plus, des solutions de retraitement ou réutilisation des combustibles usées existent. Elles ne sont pas parfaites, mais permettent de réduire encore la masse de déchets réellement problématiques. Le plutonium, dont la durée de vie est effectivement de 300000 ans, est recyclable. La durée de vie des déchets issus de notre industrie tourne donc plutôt autour de quelques dizaines de milliers d’années, durée largement inférieure à ce que permet le stockage en profondeur Donc d’un côté on a des déchets à vie longue très radioactifs, et de l’autre on a des déchets à vie courte peu radioactifs, au milieu on a des déchets très radioactifs mais à vie courte, et des déchets à vie longue mais peu radioactifs . La classification est en fait un peu compliquée, mais l’idée générale est la même.
Voici un dépot de déchets nucléaires, les déchets datent de 2 milliards d’années. Le réacteur naturel d’Oklo.
En 1972, un travailleur d’une usine de traitement d’uranium a remarqué quelque chose de suspect lors d’une analyse de routine de l’uranium provenant d’une source minérale commune en Afrique.
Comme pour tout Uranium naturel, le matériau étudié comprenait trois isotopes, trois formes de masses atomiques différentes : l’uranium 238, la variété la plus abondante ; l’uranium 234, la plus rare ; et l’uranium 235, utilisé comme on l’a vu plus haut pour créer des réactions nucléaire en chaîne. Ces atomes d’uranium 235 avaient étrangement des quantités très en dessous ce qu’on trouve normalement. Effectivement, l”uranium 235 doit normalement représenter 0,720 % de la masse totale de l’Uranium naturel…Mais ici, dans la mine d’Oklo au Gabon, il ne contenait que 0,717 % d’Uranium-235, cette petite différence à intrigué les scientifiques..
Les chercheurs ont découvert que c’est un ancien réacteur nucléaire de 1,8 milliards d’années qui fonctionnait encore il y a 500 000 ans..ils ont trouvé des traces de résultats de fission ainsi que des déchets de combustible nucléaire à divers endroits de la mine. cet ancien réacteur nucléaire mesure plusieurs kilomètres de long. L’impact thermique sur l’environnement est limité à 40 mètres autour de la mine. on a découvert aussi que les déchets radioactifs ne bougeaient toujours pas et qu’ils étaient contenus dans des réservoirs naturels dans la roche.
La principale conclusion est que les déchets à vie longue se lient chimiquement aux roches et restent entièrement immobiles.
C’est la raison pour laquelle les dépôts géologiques fonctionnent bien. La nature nous l’a montré. Et c’est pourquoi nous construisons des dépôts de cette façon.
Donc, quiconque dit qu’il n’y a pas de plan, de méthode ou de site pour s’occuper des déchets nucléaires, dit n’importe quoi.
Tchernobyl
La tristement célèbre catastrophe nucléaire de Tchernobyl était un accident nucléaire majeur survenu en 1986 dans une centrale nucléaire de la République socialiste soviétique d’Ukraine (l’équivalent actuel de l’Ukraine). Ce fut la pire catastrophe nucléaire du 20e siècle et elle est classée au niveau 7 (le niveau le plus élevé possible) sur l’échelle internationale des événements nucléaires. En termes d’impact environnemental direct, il a même dépassé l’accident nucléaire de Fukushima en 2011. Cependant, cette catastrophe n’était pas un accident. En fait, le réacteur a explosé après plusieurs erreurs humaines aux ordres d’Anatoli Diatlov, qui a délibérément violé plusieurs protocoles de sécurité lors des tests prévus du réacteur 4. Il a également demandé à son équipe d’ignorer les avertissements de sécurité qui apparaissaient à l’écran.
Ainsi, en 1987, il est condamné à dix ans de prison pour “gestion criminelle d’activités potentiellement explosives”. Il a ensuite publié un livre, “Tchernobyl. Comment c’était”dans lequel il dénonce la mauvaise conception des réacteurs nucléaires. Enfin, dans sa dernière interview avant sa mort, il a dénoncé les autorités soviétiques responsables du nucléaire, déclarant même que le réacteur 4 n’aurait pas dû être mis en service faute de documentation sur le dernier réacteur. Par conséquent, selon lui, l’explosion est inévitable. Donc la catastrophe de Tchernobyl était en fait prévisible et donc pas vraiment un accident, mais qui (était) le vrai responsable ? Les autorités soviétiques ou Anatoly Diatlov et son équipe ?
Les conséquences de Tchernobyl ont été soigneusement surveillées par les scientifiques.
Environ 50 personnes du groupe d’intervention sont décédées du syndrome d’irradiation aiguë.
20 personnes sur 7 000 atteintes d’un cancer de la thyroïde, principalement des enfants, sont décédées
5 millions d’habitants vivent dans des zones « contaminées », dont 100 000 ont reçu des doses supérieures à celles acceptées par le public (mais inférieures à celles reçues dans de nombreuses zones « naturelles ») ; 350 000 personnes évacuées
Quoi qu’ll en soit, cette catastrophe à permis de se rendre compte des problématiques en terme de sureté des réacteurs nucléaires.
Et c’est alors qu’on a perfectionner les réacteurs nucléaires, désormais, toutes les centrales nucléaires fabriquées aprés la catastrophe de Tchernobyl sont plus sûr et soumis à des critéres trés stricte.
Fukushima
Il y a dix ans, un séisme d’une ampleur inédite secoue le Japon et provoque un énorme tsunami qui va toucher la centrale de Fukushima Daiichi.
Une catastrophe qui a complètement détruit une grande centrale électrique, trois noyaux ont fondu, et…absolument personne n’est mort.
18 000 personnes sont mortes à cause du tsunami. 50 travailleurs sont restés sur place lorsque la centrale a été évacuée. 20 d’entre eux ont été blessés (quatre par les radiations), et deux ont été tués par le tsunami, mais le nombre de personnes tuées par la catastrophe nucléaire ? Zéro.
Depuis lors, des études menées par l’université de Tokyo et d’autres menées par l’Association mondiale de la santé n’ont montré aucune augmentation du nombre de cancers.
2317 décès étaient liés à la catastrophe. Tous étaient des évacués qui sont morts pendant l’évacuation (d’accidents, de déshydratation ou de maladies sous-jacentes) ou à la suite de l’évacuation (déshydratation et hypothermie).(Selon le rapport UNSCEAR)
Le rayonnement radioactif dû à l’accident dans la zone d’exclusion de Fukushima est inférieur au rayonnement naturel dans les endroits où les gens vivent et travaillent.
Conclusion
Le nucléaire n’est clairement pas la solution miracle pour lutter contre le changement climatique, le nucléaire à beau être sûr, nous ne sommes jamais à l’abri d’erreur humaine de la taille de Tchernobyl, cependant tout est une question de balance bénéfice-risque. La norvège grâce à sa situation géographique bien particulière arrive à produire suffisament d’hydroélectricité pour alimenter tout le pays en gardant un bilan carbone excellent, parmi les plus bas du monde, En France, grâce au nucléaire nous avons aussi un bon bilan carbone. Le nucléaire est pointé du doigt aujourd’hui pour sa dangerosité, mais on ne parles pas des morts causées par les autres énergies.
On peut voir notamment que dans cette étude que le nucléaire en terme d’accident et de pollution est l”énérgie que engendre le moins de morts.
Tout n’est donc pas si simple, mais la stratégie qui consiste à se passer de l’hydraulique et du nucléaire amène à un scénario mortifère, beaucoup plus que Tchernobyl.
Suite à la désinformation autour de Fukushima, l’Allemagne a pris la populiste décision de “sortir du nucléaire” pour des énergies renouvelables..c’est une des pires décisions environnementale et sanitaire qu’un pays n’a jamais pris. En Allemagne, le remplacement du nucléaire par des éoliennes est responsable de 800 morts par an.
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Fusion nucléaire et fission nucléaire : quelles différences ?
Quelles sont les différences entre la fusion nucléaire et la fission nucléaire ? La fusion sera-t-elle bientôt disponible pour tous ? C’est notre question de lecteur de la semaine.
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52 - Nucléaire | Une énergie qui fait débat
Une vingtaine de pays ont appelé à tripler la production d’énergie nucléaire d’ici 2050 par rapport à 2020, dans le cadre de la 28e Conférence des Nations unies pour le climat organisée aux Émirats arabes unis début décembre 2023. Cette énergie représente les deux tiers de l’alimentation en électricité de la France. Les partisans du nucléaire, parmi lesquels Emmanuel Macron, estiment qu’il permet de garantir l’indépendance énergétique du pays et le jugent indispensable pour parvenir à temps aux objectifs de lutte contre le réchauffement climatique. Le nucléaire fait aussi depuis plusieurs décennies l’objet de nombreuses critiques, en raison des risques qu’il implique pour la santé humaine et l’environnement.
POURQUOI ÇA COMPTE ?
■ Le fonctionnement de l’énergie nucléaire
L’énergie nucléaire est obtenue par la fission des atomes d’uranium, un minerai contenu dans le sous-sol de la Terre. Ce phénomène a été découvert par des scientifiques allemands en 1938. Après son utilisation militaire durant la Seconde Guerre mondiale, le nucléaire a fait l’objet de recherches scientifiques dans plusieurs pays, dont la France, afin d’être utilisé pour produire de l’électricité. La première centrale nucléaire de l’histoire a été mise en service en 1954 en URSS. De nombreux pays, dont la France, se sont emparés de cette énergie dans les années 1950 et 1960, attirés par la possibilité de produire de manière continue une grande quantité d’énergie. Les partisans du nucléaire mettent aussi en avant le fait que cette énergie soit peu émettrice de CO2. L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), un établissement public, estime dans sa « base carbone » actualisée en septembre 2023 que le nucléaire est responsable d’émissions de CO2 équivalentes à près de 4 g/kWh – en incluant l’extraction de l’uranium et la construction des centrales – contre 6 g/kWh pour l’énergie hydraulique par exemple.
■ Une énergie controversée
Les premiers mouvements de protestation contre le nucléaire ont émergé dans les années 1960 en France. « Il y a au départ une sorte de “nébuleuse” antinucléaire » constituée de militants écologistes et anticapitalistes et de riverains opposés à ce qu’ils considèrent être une destruction des paysages par les centrales, explique à Brief.me Yves Bouvier, professeur d’histoire à l’université Rouen Normandie. L’accident de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, en 1986, a alimenté cette opposition, en illustrant la dangerosité de la radioactivité sur la santé humaine. L’activité des centrales nucléaires engendre par ailleurs des déchets radioactifs, qui présentent des risques pour l’humain et l’environnement. La gestion de ces déchets, mais aussi les futurs démantèlements de centrales en fin de vie et les investissements de maintenance sont également mis en cause par les opposants au nucléaire en raison de leur coût élevé.
■ Une concentration de la production dans l’hémisphère nord
32 pays dans le monde étaient dotés d’un ou plusieurs réacteurs nucléaires en service en 2022, selon l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), liée à l’ONU. L’immense majorité se situe dans l’hémisphère nord. Les pays comptant le plus de réacteurs en activité étaient les États-Unis (92), la France (56), la Chine (54) et la Russie (37). Le continent africain n’en compte que deux, en Afrique du Sud. En Europe, hormis la France, une dizaine de pays sont également producteurs d’énergie nucléaire, comme la Belgique et la Finlande. Le nucléaire représentait 63 % de la production d’électricité de la France en 2022, selon les données de RTE, le gestionnaire de réseau de transport d’électricité en France. Cette proportion a nettement baissé par rapport aux années précédentes, en raison de la moindre disponibilité du parc nucléaire français : plusieurs centrales ont été fermées pour des travaux visant à allonger leur durée de vie et d’autres ont été mises à l’arrêt après la découverte d’anomalies de « corrosion sous contrainte », soit des fissures, sur des tuyauteries.
LES DATES À RETENIR
* 1974
La France accélère le développement du nucléaire
En mars 1974, le Premier ministre Pierre Messmer annonce ce qui sera surnommé par la suite le « plan Messmer », soit le lancement de la construction de 13 centrales nucléaires pour produire de l’électricité. « Le gouvernement français avait démarré plus tôt le programme nucléaire de la France, partant du constat que le pays était déficitaire en énergie », mais c’est le premier choc pétrolier de 1973 qui a « entraîné l’accélération de ce programme », précise Yves Bouvier. Le « pic » du développement du nucléaire en France est atteint dans la première moitié des années 1980, selon l’historien, lorsque la plupart des centrales nucléaires du plan Messmer ont été construites et mises en service. Dans les années 1990, la part du nucléaire dans la production d’électricité française dépasse 75 %.
* 1991
La Chine entre en jeu
Le premier réacteur nucléaire chinois entre en service en 1991. Le programme nucléaire du pays sera particulièrement développé dans les années 2000 sous « l’impulsion du président Hu Jintao et de son Premier ministre Wen Jiabao », explique Mathilde Teissonnière, adjointe au conseiller nucléaire de l’ambassade de France en Chine, dans une publication de 2021. Contrairement à la France, cependant, « la Chine n’a pas choisi d’en faire sa ressource principale », le pays « ayant un important accès au charbon », pointe-t-elle. Elle explique que les objectifs de lutte contre le changement climatique annoncés ces dernières années par l’exécutif chinois poussent aujourd’hui la Chine à « entamer sa transition en diversifiant son mix énergétique », à la fois via les énergies renouvelables et le nucléaire. La Chine est le pays qui compte le plus de réacteurs en construction (20) dans le monde en 2022, devant l’Inde (8), selon l’AIEA.
* 2011
Le choc de Fukushima
Le 11 mars 2011, un séisme au large du Japon provoque un tsunami qui touche la centrale nucléaire de Fukushima. Ce cataclysme a pour effet de couper l’alimentation électrique nécessaire au refroidissement des réacteurs de la centrale. Trois d’entre eux explosent, libérant des matières radioactives dans l’environnement. À la suite de cet accident, certains dirigeants, comme la chancelière allemande, Angela Merkel, décident de sortir du nucléaire ou d’accélérer cette sortie. En Italie, un référendum est organisé en juin 2011 : la quasi-totalité des votants s’opposent au plan de relance du nucléaire voulu par le Premier ministre Silvio Berlusconi. La catastrophe de Fukushima pousse d’autres pays, comme la France, à relever les normes de sécurité dans les centrales nucléaires. Des moteurs diesel « d’ultime secours » seront par exemple installés dans toutes les centrales françaises pour faire face à d’éventuelles coupures de courant.
* 2022
La relance du nucléaire
Alors que la France vise la neutralité carbone en 2050, soit l’équilibre entre les émissions de CO2 et leur élimination de l’atmosphère, Emmanuel Macron déclare en février 2022 que le pays n’a pas « d’autre choix que de miser en même temps » sur le nucléaire et les énergies renouvelables. Il annonce la construction de six réacteurs nucléaires de troisième génération et souhaite prolonger la durée de vie des réacteurs nucléaires existants, si possible au-delà de 50 ans. Il revient ainsi sur une promesse faite en 2018 de fermer 14 réacteurs d’ici 2035, dont les deux de Fessenheim (Haut-Rhin) définitivement arrêtés en 2020. La crise énergétique liée à la guerre en Ukraine – qui a débuté en février 2022 avec l’invasion par la Russie, l’un des plus grands producteurs de gaz et de pétrole – pousse plusieurs pays à reconsidérer leur sortie du nucléaire, afin d’accroître leur indépendance énergétique. En mars 2022, la Belgique repousse ainsi de 10 ans sa sortie du nucléaire, initialement prévue en 2025.
CHIFFRES À L’APPUI
1 760 000 m3 de déchets
Fin 2021, la France comptait un volume de 1,76 million de mètres cubes de déchets radioactifs, selon l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), un établissement public. 90 % d’entre eux sont des déchets de très faible activité ou de faible et moyenne activité à vie courte, c’est-à-dire que leur radioactivité équivaut à celle de sources naturelles, comme par exemple le granite. Ces déchets sont envoyés dans un des deux centres de stockage en surface du pays, situés dans la Manche et dans l’Aube. Un projet, baptisé Cigéo, situé à Bure, dans la Meuse, vise à stocker à 500 mètres sous terre les 10 % restants, soit les déchets les plus radioactifs, à partir de 2035. Ces déchets sont pour l’instant entreposés en surface, en majorité à La Hague (Manche) ou sur leur lieu de production.
6,7 % de l’emploi industriel
L’industrie nucléaire représente environ 6,7 % de l’emploi industriel français, avec près de 220 000 employés, selon un dossier publié en mai 2022 par le Groupement des industriels français de l’énergie nucléaire, un syndicat professionnel. Le secteur regroupe 3 200 entreprises, dont 85 % sont des TPE (moins de 10 salariés) et des PME. Le syndicat estime que l’industrie nucléaire française génère 47,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel.
44,2 % d’énergie importée
Le taux de dépendance énergétique, c’est-à-dire la part de l’énergie qu’un pays doit importer pour sa consommation, s’élevait à 44,2 % en France en 2021, selon l’institut européen de statistiques Eurostat. En comparaison, celui de l’Allemagne était de 63,5 % et celui des pays de l’Union européenne de 55,5 % en moyenne.
QU’EST-CE QUE ÇA VEUT DIRE ?
EPR
Les réacteurs nucléaires sont classés en générations, en fonction des technologies utilisées et de leur date de mise en service. L’essentiel de ceux en fonctionnement aujourd’hui appartiennent à la deuxième génération. La troisième est celle de l’European Pressurized Reactor (EPR). Ce projet de nouveau réacteur a été lancé à la fin des années 1980 par les entreprises française Framatome et allemande KWU. Les promoteurs de l’EPR lui prêtent trois avantages : plus de sécurité, une meilleure utilisation des combustibles et une plus grande efficacité économique. L’ONG de défense de l’environnement Greenpeace dénonce un projet « trop lent face à l’urgence climatique, trop cher et trop peu résilient face aux catastrophes naturelles ». Il existe actuellement trois EPR en service dans le monde, deux en Chine et un en Finlande. Tous ont été livrés avec plusieurs années de retard. Les autres actuellement en construction, au Royaume-Uni et en France (Flamanville 3, dans la Manche), accumulent également des retards et des surcoûts substantiels.
SMR
Les « Small Modular Reactors » (SMR) sont de petits réacteurs nucléaires. Ils ont une puissance comprise entre 50 et 500 mégawatts électriques (MWe) contre 900 à 1 450 MWe pour les réacteurs français actuellement en service, explique sur son site le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA). Les différentes parties de ces réacteurs sont conçues pour être fabriquées en série, puis assemblées sur les sites de production d’électricité. Le CEA ajoute qu’ils représentent un coût d’investissement moindre par rapport aux grandes centrales nucléaires. Ils peuvent notamment permettre « à de nouveaux pays d’investir dans le nucléaire pour décarboner leur énergie », affirme l’organisme public. « Cette technologie, sa sécurité et sa compétitivité doivent être démontrées avant que les SMR puissent être plus largement déployés », écrivait l’AIEA sur son site en 2022.
Iter
Iter est un grand réacteur à fusion expérimental actuellement en construction dans le sud de la France. La fusion nucléaire fonctionne sur un principe différent de la fission nucléaire, qu’utilisent actuellement les centrales nucléaires en service [lire un dossier de Brief.science]. Les scientifiques cherchent un moyen d’exploiter la fusion, car elle libère des quantités d’énergie importante et n’a pas d’impact sur l’environnement. 35 pays, dont la Chine, les États-Unis et la Russie, participent à la mise au point et à la construction d’Iter. Cette machine mesurera 30 mètres de haut et pesera environ 23 000 tonnes. De nombreux défis technologiques restent à résoudre pour développer une centrale à fusion capable de produire plus d’énergie qu’elle n’en consomme.
POUR ALLER PLUS LOIN
La gestion des déchets radioactifs
Les déchets nucléaires posent des risques pour la santé humaine et l’environnement. Dans un dossier publié en novembre 2023, Brief.science, notre média consacré à l’actualité scientifique, explique la différence entre les types de déchets radioactifs et présente les solutions utilisées pour les stocker, en France et à l’étranger.
L’économie des centrales nucléaires
Les centrales nucléaires françaises, pour la plupart vieillissantes, nécessitent des travaux de maintenance et de mise aux normes coûteux. Dans un dossier publié en 2021, Brief.eco, notre hebdomadaire consacré à l’économie, explique comment ces investissements réduisent la compétitivité du nucléaire.
Brief.me
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On appelle aujourd'hui « crise » ce moment où médecins, diplomates, banquiers et ingénieurs sociaux de tous bords prennent la situation en main et où des libertés sont supprimées. Les nations, comme les malades, connaissent des crises. Le terme grec krisis, signifiant « choix, moment décisif », a été repris par toutes les langues modernes pour signifier : « chauffeur, appuyez sur le champignon… » Le mot « crise » évoque aujourd'hui une menace sinistre, mais en-rayable moyennant un surcoût d'argent, de main-d'œuvre ou d'organisation. La thérapeutique intensive pour les mourants, la prise en charge bureaucratique des victimes de discrimination et la fission nucléaire pour les dévorateurs d'énergie sont, sous ce rapport, des parades typiques. Comprise ainsi, la crise est toujours bénéfique aux administrateurs et aux commissaires, comme aux récupérateurs qui se nourrissent des effets secondaires indésirables de la croissance d'hier : les éducateurs qui vivent de l'aliénation de la société, les médecins qui prospèrent parce que le travail et les loisirs ont détruit la santé, les politiciens qui s'engraissent de la distribution des fonds d'aide sociale, constitués précisément par ceux-là même qui sont à présent assistés. La crise comprise comme une nécessité de se procurer plus d'essence ne se limite pas à confier au conducteur une puissance accrue, tout en resserrant d'un cran la ceinture de sécurité des passagers; elle justifie également la dégradation de l'espace, du temps, et des ressources au bénéfice des véhicules motorisés et au détriment des gens qui veulent se servir de leurs jambes. Mais le mot « crise » n'a pas forcément ce sens. Il n'implique pas nécessairement une ruée forcenée vers l'escalade de la gestion. Il peut au contraire signifier l'instant du choix, ce moment merveilleux où les gens deviennent brusquement conscients de la cage où ils se sont enfermés eux-mêmes, et de la possibilité de vivre autrement. Et cela, c'est la crise à laquelle sont confrontés aujourd'hui les États-Unis, mais aussi le monde entier - c'est l'instant du choix
Le chômage créateur
Ivan ILLICH
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Les 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire. Des scientifiques connus, des scientifiques d'hier et de toujours, ou encore, des femmes scientifiques célèbres de l'histoire qui ont su faire élever l'étendard de la science, en l'occurrence, Hypatie d'Alexandrie, Sophie Germain, Agusta Ada Byron, Marie Curie, Lise Meitner, Emmy Noether, Barbara McClintock, Rosalind Franklin, Margarita Salas, Elizabeth Blackburn, feront justement l'objet de notre article d'aujourd'hui. 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Célébration Journée internationale des femmes 2022 Reconnaissons, les jeunes générations sont de plus en plus nombreuses à s'intéresser à la science et à la technologie. Cependant, beaucoup ignorent terriblement que certaines des grandes découvertes et avancées de l'histoire dans ces domaines ont été réalisées par des femmes. Dans cette logique, c'est avec honneur que le pionnier de l'information et de la formation, Kafunel, vous présente les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire, des femmes qui ont laissé un grand héritage et que nous devons remercier pour avoir apporté leur grain de sable dans le monde de la science. Continuez plutôt votre lecture pour découvrir quelques-unes des femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire de notre chère humanité. →Cela pourrait aussi vous intéresser Pourquoi le Jeudi de l'Ascension est un jour ferié Quelles sont les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire ? 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Voici la liste des 10 femmes scientifiques les plus célèbres et leurs découvertes: 1. Hypatie d'Alexandrie (370-416), philosophe et enseignante, sur l'héliocentrisme 2. Sophie Germain (1776-1831), physicienne et mathématicienne autodidacte, sur les nombres 3. Agusta Ada Byron (1815-1852), première programmeuse 4. Marie Curie (1867-1934), physicienne et chimiste, sur le radium 5. Lise Meitner (1878-1968), physicienne, sur la fission nucléaire 6. Emmy Noether (1882-1935), mathématicienne spécialiste d'algèbre abstraite et de physique théorique 7. Barbara McClintock (1902-1992), généticienne, sur les gènes sauteurs 8. Rosalind Franklin (1920-1958), physico-chimiste, sur la structure à double hélices de l'ADN 9. Margarita Salas (1938-2019), biochimiste et généticienne moléculaire, sur l'ADN polymérase 10. Elizabeth Blackburn (1948), biologiste moléculaire, sur la télomérase Hypatie d'Alexandrie (370-416) Hypatie d'Alexandrie (370-416) Une scientifique connue et respectée dans l'Antiquité, Hypatie d'Alexandrie, philosophe et enseignante, qui a su faire asseoir sa doctrine dans l'école néoplatonicienne d'Alexandrie du Ve siècle, où elle excellait dans les domaines des mathématiques et de l'astronomie. Nous soulignons le fait qu'elle était scientifique connue de son époque, justement parce qu'Hypatie a promu l'héliocentrisme dans le domaine de la cosmologie, doctrine avec laquelle elle a "déplacé" la Terre du centre de l'univers, osant ainsi entrer en contradiction avec les courants de pensée de son époque. On connaît, elle périt au nom de la science par le christianisme pour avoir défendu des idées supposées contradictoires, mais qui, aujourd'hui, font briller et vibrer les quatre coins du globe : nous mentionnons toujours l'héliocentrisme, et sur ce, Galileo Galilée nous en saura dire plus, peut-être sur la base des travaux de l'astronaute Nicolas Copernic, ou mieux, de notre aïeul Hypatie d'Alexandrie, la première femme scientifique célèbre sur notre liste des femmes scientifiques connus de ce globe terrestre qui ne cesse de tourner, laissant son centre généreusement au soleil du midi ! Sophie Germain (1776-1831) La Française Sophie Germain est également une scientifique célèbre de l'histoire, spécialement connue pour sa théorie des nombres. Physicienne et mathématicienne autodidacte, elle a réalisé de nombreuses avancées dans la théorie de l'élasticité, dont elle fut l'une des pionnières, apportant ainsi une grande contribution à la théorie des nombres.
Une scientifique connue, incontournable et respectée, ancrée soigneusement dans les mémoires de notre histoire. Dans ce qui nous reste comme mémoire, notre deuxième femme scientifique célèbre de l'histoire n'a pas pu signer d'un premier coup son travail dans un domaine de mathématiques qui était supposé réservé aux hommes. Elle se fit appeler, donc, Antoine Auguste Le Blanc, travaillant à bon escient les théories de Carl Friedrich et Adrien-Marie Legendre. Mais une légende ne peut pas se faire enterrer pour longtemps. Scientifique connue, Sophie Germain a su faire luire ses travaux. De cette manière, ses avancées ont fait une poussée fulgurante dans une histoire qui se veut humaine, et qui continue sa route jusqu'à nos jours ; le "nombre premier de Sophie Germain", ça vous dit ? C'est l'un de ses travaux qui a pris son nom. Agusta Ada Byron (1815-1852) Marie Curie (1867-1934) Les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire, avions-nous dit ! Nous connaissons Ada Byron sous le nom de comtesse Ada Lovelace, scientifique suprêmement célèbre, première programmeuse de l'histoire de cette humanité. De fait, Ada Lovelace a écrit le premier algorithme pour une machine qui avait été conçue par le mathématicien Charles Babbage, mais qu'il n'a jamais construite. Lovelace a découvert des symboles et des règles mathématiques qui lui ont permis de calculer une importante série de nombres et de prévoir que les capacités de ce type de machine avaient leur développement dans les calculs numériques. C'est grâce à Ada Byron et à sa découverte que nous connaissons aujourd'hui le fameux ordinateur. Ainsi, chaque fois que vous écrivez sur un ordinateur, rappelez-vous notre comtesse, cette scientifique connue qui a joué un rôle fondamental dans cet outil qui, aujourd'hui, occupe une place prépondérante dans l'avancée de la planète. Marie Curie (1867-1934) Marie Curie (1867-1934) Qui ne saura nommer Marie Curie lorsque nous évoquons avec honneur les scientifiques les plus connus de l'histoire d'une humanité, la nôtre, bien évidemment ? En réalité, Curie a reçu deux prix Nobel (en physique en 1903 et en chimie en 1911), grâce à ses recherches et à ses découvertes sur la radioactivité, qui ont changé l'histoire de la physique et de la chimie à partir de ce moment-là. Grâce à ses études, nous connaissons aujourd'hui deux éléments : le polonium et le radium. Il convient également de noter que Marie Curie a été la première femme à recevoir un prix Nobel, ce qui a marqué un tournant dans ce type de récompense, et dans cette espèce d'humanité. Lise Meitner (1878-1968) Lise Meitner (1878-1968) Un autre des grands noms féminins de l'histoire des sciences est Lise Meitner, une femme qui a mené sa carrière scientifique autour de la radioactivité et de la physique nucléaire. Meitner a fait partie de l'équipe de scientifiques qui a découvert la fission nucléaire, bien qu'à l'époque elle n'ait pas été reconnue, mais plutôt l'un de ses collègues. Cependant, des années plus tard, afin de lui donner la place qui lui revient, l'élément chimique d'une valeur atomique de 109 a été baptisé "meitnerium". Meitner, Lise, femme, scientifique connue et honorée d'aujourd'hui, sur le sol terrestre. Emmy Noether (1882-1935) Lise Meitner (1878-1968) Emmy Noether est l'une des femmes les plus importantes de l'histoire des mathématiques. Et nous ne sommes pas les seuls à le dire : Einstein lui-même l'a reconnu. Grâce à ses nombreuses études, l'allemande a réalisé de grandes avancées en physique théorique et en algèbre abstraite, notamment avec ses théories sur les anneaux, les groupes et les champs. Noether a développé un théorème qui est aujourd'hui la clé de la compréhension de la physique des particules élémentaires et de la théorie quantique des champs, et sa contribution est reconnue dans le monde entier, faisant d'elle l'une des femmes scientifiques connues et célèbres, entièrement gravées dans la mémoire de l'intelligence. Barbara McClintock (1902-1992)
Barbara McClintock (1902-1992) La figure de la femme scientifique se dessine également dans le domaine de la génétique. Barbara McClintock, scientifique célèbre, dont les recherches ont été ignorées pendant longtemps, ont enfin retrouvé leur place judicieuse, 30 ans plus tard, dans la sacrée mémoire des humains, qui se veulent des êtres. Nous avons couronné Barbara McClintock d'un prix Nobel bien mérité pour sa théorie des gènes sauteurs, une étude qui a révélé la capacité des gènes à passer d'un chromosome à l'autre. Ce concept est au cœur du développement de la génétique aujourd'hui, et la science n'en saura que dire merci à ses vaillants pionniers, scientifiques connus, hommes ou femmes scientifiques de l'histoire, et de l'humanité. Rosalind Franklin (1920-1958) Barbara McClintock (1902-1992) Nous continuons notre chemin à la découverte des femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire pour vous parler d'une figure on ne peut plus notoire dans ce domaine de connaissance. Le 25 juillet 1920, en réalité, naquit sur le sol britannique celle qui, grâce à son travail dans le célèbre laboratoire du King's College à Londres, a réussi à photographier la double hélice d'ADN. Nous parlons de Rosalind Franklin, dont les recherches furent publiées dans la revue Nature, avec un prix Nobel bien mérité à l'appui, un prix que Franklin n'a jamais obtenu, puisqu'elle est décédée quatre ans avant d'être récompensée. Nous aimerions souligné que dès son plus jeune âge, Rosalind Franklin a su que la science était faite pour elle. Bien que son père ait d'abord rejeté l'idée que sa fille devienne scientifique, Rosalind a finalement réussi à obtenir un doctorat en chimie à l'université de Cambridge, un signe bien évident qui fait d'elle une scientifique connue, mais également l'une des plus célèbres que la terre ait pu avoir l'honneur de compter dans ses mémoires. Margarita Salas (1938-2019) Margarita Salas (1938-2019) La science espagnole peut compter sur une figure scientifique connue : Margarita Salas. Titulaire d'un doctorat en biologie de l'université Complutense de Madrid, Margarita a travaillé pendant trois ans avec Severo Ochoa à l'université de New York, où elle a concentré ses recherches sur le domaine de la biologie moléculaire. Margarita Salas a ainsi apporté une contribution non négligeable à la science grâce à la découverte de l'ADN polymérase, responsable de la réplication de l'ADN. Depuis la Péninsule ibérique, le savoir a été honoré par les travaux de cette scientifique célèbre ! Elizabeth Blackburn (1948) Margarita Salas (1938-2019) Et bien qu'il y ait beaucoup d'autres scientifiques connus qui ont donné une voix à notre histoire, nous aimerions terminer avec Elizabeth Blackburn. Cette scientifique australienne, titulaire d'un doctorat en biologie moléculaire, a reçu le prix Nobel de médecine en 2009 après avoir découvert la télomérase, une enzyme qui allonge les télomères, c'est-à-dire les extrémités des chromosomes. C'est pourquoi la découverte de Blakburn a contribué à la recherche et aux études sur les thérapies anticancéreuses. Il s'agit d'une avancée majeure pour la société contemporaine, une société qui veut toujours avancer, sans oublier ses honorables scientifiques, connus ou non, hommes ou femmes, de tous les temps ! Femmes scientifiques célèbres - Scientifiques connus.es 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Sur Kafunel, nous sommes arrivés à la fin de l'article intitulé "Les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire" ! L'objectif a été clair, mettre en évidence, en particulier, les figures féminines qui ont su promouvoir la science par leurs recherches soutenues, et de façon générale, reconnaître les prouesses de la science qui, depuis l'Antiquité, ne cesse de hausser notre humanité à un rang plus noble, plus avancé, bien évolué dans l'univers, mais aussi, et comme cela devrait l'être, plus sain, plus sûr, avec l'humain ! Continuez d’apprendre, chères lectrices et chers lecteurs, en lisant nos articles sur les thèmes :
Les grandes inventions qui ont changé le monde Qu'est-ce que la vérité en philosophie ? Qu'est-ce que la conscience ? Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables à Les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire, nous vous recommandons de consulter la catégorie Culture et Société.
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Les 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire. Des scientifiques connus, des scientifiques d'hier et de toujours, ou encore, des femmes scientifiques célèbres de l'histoire qui ont su faire élever l'étendard de la science, en l'occurrence, Hypatie d'Alexandrie, Sophie Germain, Agusta Ada Byron, Marie Curie, Lise Meitner, Emmy Noether, Barbara McClintock, Rosalind Franklin, Margarita Salas, Elizabeth Blackburn, feront justement l'objet de notre article d'aujourd'hui. 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Célébration Journée internationale des femmes 2022 Reconnaissons, les jeunes générations sont de plus en plus nombreuses à s'intéresser à la science et à la technologie. Cependant, beaucoup ignorent terriblement que certaines des grandes découvertes et avancées de l'histoire dans ces domaines ont été réalisées par des femmes. Dans cette logique, c'est avec honneur que le pionnier de l'information et de la formation, Kafunel, vous présente les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire, des femmes qui ont laissé un grand héritage et que nous devons remercier pour avoir apporté leur grain de sable dans le monde de la science. Continuez plutôt votre lecture pour découvrir quelques-unes des femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire de notre chère humanité. →Cela pourrait aussi vous intéresser Pourquoi le Jeudi de l'Ascension est un jour ferié Quelles sont les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire ? 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Voici la liste des 10 femmes scientifiques les plus célèbres et leurs découvertes: 1. Hypatie d'Alexandrie (370-416), philosophe et enseignante, sur l'héliocentrisme 2. Sophie Germain (1776-1831), physicienne et mathématicienne autodidacte, sur les nombres 3. Agusta Ada Byron (1815-1852), première programmeuse 4. Marie Curie (1867-1934), physicienne et chimiste, sur le radium 5. Lise Meitner (1878-1968), physicienne, sur la fission nucléaire 6. Emmy Noether (1882-1935), mathématicienne spécialiste d'algèbre abstraite et de physique théorique 7. Barbara McClintock (1902-1992), généticienne, sur les gènes sauteurs 8. Rosalind Franklin (1920-1958), physico-chimiste, sur la structure à double hélices de l'ADN 9. Margarita Salas (1938-2019), biochimiste et généticienne moléculaire, sur l'ADN polymérase 10. Elizabeth Blackburn (1948), biologiste moléculaire, sur la télomérase Hypatie d'Alexandrie (370-416) Hypatie d'Alexandrie (370-416) Une scientifique connue et respectée dans l'Antiquité, Hypatie d'Alexandrie, philosophe et enseignante, qui a su faire asseoir sa doctrine dans l'école néoplatonicienne d'Alexandrie du Ve siècle, où elle excellait dans les domaines des mathématiques et de l'astronomie. Nous soulignons le fait qu'elle était scientifique connue de son époque, justement parce qu'Hypatie a promu l'héliocentrisme dans le domaine de la cosmologie, doctrine avec laquelle elle a "déplacé" la Terre du centre de l'univers, osant ainsi entrer en contradiction avec les courants de pensée de son époque. On connaît, elle périt au nom de la science par le christianisme pour avoir défendu des idées supposées contradictoires, mais qui, aujourd'hui, font briller et vibrer les quatre coins du globe : nous mentionnons toujours l'héliocentrisme, et sur ce, Galileo Galilée nous en saura dire plus, peut-être sur la base des travaux de l'astronaute Nicolas Copernic, ou mieux, de notre aïeul Hypatie d'Alexandrie, la première femme scientifique célèbre sur notre liste des femmes scientifiques connus de ce globe terrestre qui ne cesse de tourner, laissant son centre généreusement au soleil du midi ! Sophie Germain (1776-1831) La Française Sophie Germain est également une scientifique célèbre de l'histoire, spécialement connue pour sa théorie des nombres. Physicienne et mathématicienne autodidacte, elle a réalisé de nombreuses avancées dans la théorie de l'élasticité, dont elle fut l'une des pionnières, apportant ainsi une grande contribution à la théorie des nombres.
Une scientifique connue, incontournable et respectée, ancrée soigneusement dans les mémoires de notre histoire. Dans ce qui nous reste comme mémoire, notre deuxième femme scientifique célèbre de l'histoire n'a pas pu signer d'un premier coup son travail dans un domaine de mathématiques qui était supposé réservé aux hommes. Elle se fit appeler, donc, Antoine Auguste Le Blanc, travaillant à bon escient les théories de Carl Friedrich et Adrien-Marie Legendre. Mais une légende ne peut pas se faire enterrer pour longtemps. Scientifique connue, Sophie Germain a su faire luire ses travaux. De cette manière, ses avancées ont fait une poussée fulgurante dans une histoire qui se veut humaine, et qui continue sa route jusqu'à nos jours ; le "nombre premier de Sophie Germain", ça vous dit ? C'est l'un de ses travaux qui a pris son nom. Agusta Ada Byron (1815-1852) Marie Curie (1867-1934) Les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire, avions-nous dit ! Nous connaissons Ada Byron sous le nom de comtesse Ada Lovelace, scientifique suprêmement célèbre, première programmeuse de l'histoire de cette humanité. De fait, Ada Lovelace a écrit le premier algorithme pour une machine qui avait été conçue par le mathématicien Charles Babbage, mais qu'il n'a jamais construite. Lovelace a découvert des symboles et des règles mathématiques qui lui ont permis de calculer une importante série de nombres et de prévoir que les capacités de ce type de machine avaient leur développement dans les calculs numériques. C'est grâce à Ada Byron et à sa découverte que nous connaissons aujourd'hui le fameux ordinateur. Ainsi, chaque fois que vous écrivez sur un ordinateur, rappelez-vous notre comtesse, cette scientifique connue qui a joué un rôle fondamental dans cet outil qui, aujourd'hui, occupe une place prépondérante dans l'avancée de la planète. Marie Curie (1867-1934) Marie Curie (1867-1934) Qui ne saura nommer Marie Curie lorsque nous évoquons avec honneur les scientifiques les plus connus de l'histoire d'une humanité, la nôtre, bien évidemment ? En réalité, Curie a reçu deux prix Nobel (en physique en 1903 et en chimie en 1911), grâce à ses recherches et à ses découvertes sur la radioactivité, qui ont changé l'histoire de la physique et de la chimie à partir de ce moment-là. Grâce à ses études, nous connaissons aujourd'hui deux éléments : le polonium et le radium. Il convient également de noter que Marie Curie a été la première femme à recevoir un prix Nobel, ce qui a marqué un tournant dans ce type de récompense, et dans cette espèce d'humanité. Lise Meitner (1878-1968) Lise Meitner (1878-1968) Un autre des grands noms féminins de l'histoire des sciences est Lise Meitner, une femme qui a mené sa carrière scientifique autour de la radioactivité et de la physique nucléaire. Meitner a fait partie de l'équipe de scientifiques qui a découvert la fission nucléaire, bien qu'à l'époque elle n'ait pas été reconnue, mais plutôt l'un de ses collègues. Cependant, des années plus tard, afin de lui donner la place qui lui revient, l'élément chimique d'une valeur atomique de 109 a été baptisé "meitnerium". Meitner, Lise, femme, scientifique connue et honorée d'aujourd'hui, sur le sol terrestre. Emmy Noether (1882-1935) Lise Meitner (1878-1968) Emmy Noether est l'une des femmes les plus importantes de l'histoire des mathématiques. Et nous ne sommes pas les seuls à le dire : Einstein lui-même l'a reconnu. Grâce à ses nombreuses études, l'allemande a réalisé de grandes avancées en physique théorique et en algèbre abstraite, notamment avec ses théories sur les anneaux, les groupes et les champs. Noether a développé un théorème qui est aujourd'hui la clé de la compréhension de la physique des particules élémentaires et de la théorie quantique des champs, et sa contribution est reconnue dans le monde entier, faisant d'elle l'une des femmes scientifiques connues et célèbres, entièrement gravées dans la mémoire de l'intelligence. Barbara McClintock (1902-1992)
Barbara McClintock (1902-1992) La figure de la femme scientifique se dessine également dans le domaine de la génétique. Barbara McClintock, scientifique célèbre, dont les recherches ont été ignorées pendant longtemps, ont enfin retrouvé leur place judicieuse, 30 ans plus tard, dans la sacrée mémoire des humains, qui se veulent des êtres. Nous avons couronné Barbara McClintock d'un prix Nobel bien mérité pour sa théorie des gènes sauteurs, une étude qui a révélé la capacité des gènes à passer d'un chromosome à l'autre. Ce concept est au cœur du développement de la génétique aujourd'hui, et la science n'en saura que dire merci à ses vaillants pionniers, scientifiques connus, hommes ou femmes scientifiques de l'histoire, et de l'humanité. Rosalind Franklin (1920-1958) Barbara McClintock (1902-1992) Nous continuons notre chemin à la découverte des femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire pour vous parler d'une figure on ne peut plus notoire dans ce domaine de connaissance. Le 25 juillet 1920, en réalité, naquit sur le sol britannique celle qui, grâce à son travail dans le célèbre laboratoire du King's College à Londres, a réussi à photographier la double hélice d'ADN. Nous parlons de Rosalind Franklin, dont les recherches furent publiées dans la revue Nature, avec un prix Nobel bien mérité à l'appui, un prix que Franklin n'a jamais obtenu, puisqu'elle est décédée quatre ans avant d'être récompensée. Nous aimerions souligné que dès son plus jeune âge, Rosalind Franklin a su que la science était faite pour elle. Bien que son père ait d'abord rejeté l'idée que sa fille devienne scientifique, Rosalind a finalement réussi à obtenir un doctorat en chimie à l'université de Cambridge, un signe bien évident qui fait d'elle une scientifique connue, mais également l'une des plus célèbres que la terre ait pu avoir l'honneur de compter dans ses mémoires. Margarita Salas (1938-2019) Margarita Salas (1938-2019) La science espagnole peut compter sur une figure scientifique connue : Margarita Salas. Titulaire d'un doctorat en biologie de l'université Complutense de Madrid, Margarita a travaillé pendant trois ans avec Severo Ochoa à l'université de New York, où elle a concentré ses recherches sur le domaine de la biologie moléculaire. Margarita Salas a ainsi apporté une contribution non négligeable à la science grâce à la découverte de l'ADN polymérase, responsable de la réplication de l'ADN. Depuis la Péninsule ibérique, le savoir a été honoré par les travaux de cette scientifique célèbre ! Elizabeth Blackburn (1948) Margarita Salas (1938-2019) Et bien qu'il y ait beaucoup d'autres scientifiques connus qui ont donné une voix à notre histoire, nous aimerions terminer avec Elizabeth Blackburn. Cette scientifique australienne, titulaire d'un doctorat en biologie moléculaire, a reçu le prix Nobel de médecine en 2009 après avoir découvert la télomérase, une enzyme qui allonge les télomères, c'est-à-dire les extrémités des chromosomes. C'est pourquoi la découverte de Blakburn a contribué à la recherche et aux études sur les thérapies anticancéreuses. Il s'agit d'une avancée majeure pour la société contemporaine, une société qui veut toujours avancer, sans oublier ses honorables scientifiques, connus ou non, hommes ou femmes, de tous les temps ! Femmes scientifiques célèbres - Scientifiques connus.es 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Sur Kafunel, nous sommes arrivés à la fin de l'article intitulé "Les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire" ! L'objectif a été clair, mettre en évidence, en particulier, les figures féminines qui ont su promouvoir la science par leurs recherches soutenues, et de façon générale, reconnaître les prouesses de la science qui, depuis l'Antiquité, ne cesse de hausser notre humanité à un rang plus noble, plus avancé, bien évolué dans l'univers, mais aussi, et comme cela devrait l'être, plus sain, plus sûr, avec l'humain ! Continuez d’apprendre, chères lectrices et chers lecteurs, en lisant nos articles sur les thèmes :
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Les 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire. Des scientifiques connus, des scientifiques d'hier et de toujours, ou encore, des femmes scientifiques célèbres de l'histoire qui ont su faire élever l'étendard de la science, en l'occurrence, Hypatie d'Alexandrie, Sophie Germain, Agusta Ada Byron, Marie Curie, Lise Meitner, Emmy Noether, Barbara McClintock, Rosalind Franklin, Margarita Salas, Elizabeth Blackburn, feront justement l'objet de notre article d'aujourd'hui. 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Célébration Journée internationale des femmes 2022 Reconnaissons, les jeunes générations sont de plus en plus nombreuses à s'intéresser à la science et à la technologie. Cependant, beaucoup ignorent terriblement que certaines des grandes découvertes et avancées de l'histoire dans ces domaines ont été réalisées par des femmes. Dans cette logique, c'est avec honneur que le pionnier de l'information et de la formation, Kafunel, vous présente les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire, des femmes qui ont laissé un grand héritage et que nous devons remercier pour avoir apporté leur grain de sable dans le monde de la science. Continuez plutôt votre lecture pour découvrir quelques-unes des femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire de notre chère humanité. →Cela pourrait aussi vous intéresser Pourquoi le Jeudi de l'Ascension est un jour ferié Quelles sont les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire ? 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Voici la liste des 10 femmes scientifiques les plus célèbres et leurs découvertes: 1. Hypatie d'Alexandrie (370-416), philosophe et enseignante, sur l'héliocentrisme 2. Sophie Germain (1776-1831), physicienne et mathématicienne autodidacte, sur les nombres 3. Agusta Ada Byron (1815-1852), première programmeuse 4. Marie Curie (1867-1934), physicienne et chimiste, sur le radium 5. Lise Meitner (1878-1968), physicienne, sur la fission nucléaire 6. Emmy Noether (1882-1935), mathématicienne spécialiste d'algèbre abstraite et de physique théorique 7. Barbara McClintock (1902-1992), généticienne, sur les gènes sauteurs 8. Rosalind Franklin (1920-1958), physico-chimiste, sur la structure à double hélices de l'ADN 9. Margarita Salas (1938-2019), biochimiste et généticienne moléculaire, sur l'ADN polymérase 10. Elizabeth Blackburn (1948), biologiste moléculaire, sur la télomérase Hypatie d'Alexandrie (370-416) Hypatie d'Alexandrie (370-416) Une scientifique connue et respectée dans l'Antiquité, Hypatie d'Alexandrie, philosophe et enseignante, qui a su faire asseoir sa doctrine dans l'école néoplatonicienne d'Alexandrie du Ve siècle, où elle excellait dans les domaines des mathématiques et de l'astronomie. Nous soulignons le fait qu'elle était scientifique connue de son époque, justement parce qu'Hypatie a promu l'héliocentrisme dans le domaine de la cosmologie, doctrine avec laquelle elle a "déplacé" la Terre du centre de l'univers, osant ainsi entrer en contradiction avec les courants de pensée de son époque. On connaît, elle périt au nom de la science par le christianisme pour avoir défendu des idées supposées contradictoires, mais qui, aujourd'hui, font briller et vibrer les quatre coins du globe : nous mentionnons toujours l'héliocentrisme, et sur ce, Galileo Galilée nous en saura dire plus, peut-être sur la base des travaux de l'astronaute Nicolas Copernic, ou mieux, de notre aïeul Hypatie d'Alexandrie, la première femme scientifique célèbre sur notre liste des femmes scientifiques connus de ce globe terrestre qui ne cesse de tourner, laissant son centre généreusement au soleil du midi ! Sophie Germain (1776-1831) La Française Sophie Germain est également une scientifique célèbre de l'histoire, spécialement connue pour sa théorie des nombres. Physicienne et mathématicienne autodidacte, elle a réalisé de nombreuses avancées dans la théorie de l'élasticité, dont elle fut l'une des pionnières, apportant ainsi une grande contribution à la théorie des nombres.
Une scientifique connue, incontournable et respectée, ancrée soigneusement dans les mémoires de notre histoire. Dans ce qui nous reste comme mémoire, notre deuxième femme scientifique célèbre de l'histoire n'a pas pu signer d'un premier coup son travail dans un domaine de mathématiques qui était supposé réservé aux hommes. Elle se fit appeler, donc, Antoine Auguste Le Blanc, travaillant à bon escient les théories de Carl Friedrich et Adrien-Marie Legendre. Mais une légende ne peut pas se faire enterrer pour longtemps. Scientifique connue, Sophie Germain a su faire luire ses travaux. De cette manière, ses avancées ont fait une poussée fulgurante dans une histoire qui se veut humaine, et qui continue sa route jusqu'à nos jours ; le "nombre premier de Sophie Germain", ça vous dit ? C'est l'un de ses travaux qui a pris son nom. Agusta Ada Byron (1815-1852) Marie Curie (1867-1934) Les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire, avions-nous dit ! Nous connaissons Ada Byron sous le nom de comtesse Ada Lovelace, scientifique suprêmement célèbre, première programmeuse de l'histoire de cette humanité. De fait, Ada Lovelace a écrit le premier algorithme pour une machine qui avait été conçue par le mathématicien Charles Babbage, mais qu'il n'a jamais construite. Lovelace a découvert des symboles et des règles mathématiques qui lui ont permis de calculer une importante série de nombres et de prévoir que les capacités de ce type de machine avaient leur développement dans les calculs numériques. C'est grâce à Ada Byron et à sa découverte que nous connaissons aujourd'hui le fameux ordinateur. Ainsi, chaque fois que vous écrivez sur un ordinateur, rappelez-vous notre comtesse, cette scientifique connue qui a joué un rôle fondamental dans cet outil qui, aujourd'hui, occupe une place prépondérante dans l'avancée de la planète. Marie Curie (1867-1934) Marie Curie (1867-1934) Qui ne saura nommer Marie Curie lorsque nous évoquons avec honneur les scientifiques les plus connus de l'histoire d'une humanité, la nôtre, bien évidemment ? En réalité, Curie a reçu deux prix Nobel (en physique en 1903 et en chimie en 1911), grâce à ses recherches et à ses découvertes sur la radioactivité, qui ont changé l'histoire de la physique et de la chimie à partir de ce moment-là. Grâce à ses études, nous connaissons aujourd'hui deux éléments : le polonium et le radium. Il convient également de noter que Marie Curie a été la première femme à recevoir un prix Nobel, ce qui a marqué un tournant dans ce type de récompense, et dans cette espèce d'humanité. Lise Meitner (1878-1968) Lise Meitner (1878-1968) Un autre des grands noms féminins de l'histoire des sciences est Lise Meitner, une femme qui a mené sa carrière scientifique autour de la radioactivité et de la physique nucléaire. Meitner a fait partie de l'équipe de scientifiques qui a découvert la fission nucléaire, bien qu'à l'époque elle n'ait pas été reconnue, mais plutôt l'un de ses collègues. Cependant, des années plus tard, afin de lui donner la place qui lui revient, l'élément chimique d'une valeur atomique de 109 a été baptisé "meitnerium". Meitner, Lise, femme, scientifique connue et honorée d'aujourd'hui, sur le sol terrestre. Emmy Noether (1882-1935) Lise Meitner (1878-1968) Emmy Noether est l'une des femmes les plus importantes de l'histoire des mathématiques. Et nous ne sommes pas les seuls à le dire : Einstein lui-même l'a reconnu. Grâce à ses nombreuses études, l'allemande a réalisé de grandes avancées en physique théorique et en algèbre abstraite, notamment avec ses théories sur les anneaux, les groupes et les champs. Noether a développé un théorème qui est aujourd'hui la clé de la compréhension de la physique des particules élémentaires et de la théorie quantique des champs, et sa contribution est reconnue dans le monde entier, faisant d'elle l'une des femmes scientifiques connues et célèbres, entièrement gravées dans la mémoire de l'intelligence. Barbara McClintock (1902-1992)
Barbara McClintock (1902-1992) La figure de la femme scientifique se dessine également dans le domaine de la génétique. Barbara McClintock, scientifique célèbre, dont les recherches ont été ignorées pendant longtemps, ont enfin retrouvé leur place judicieuse, 30 ans plus tard, dans la sacrée mémoire des humains, qui se veulent des êtres. Nous avons couronné Barbara McClintock d'un prix Nobel bien mérité pour sa théorie des gènes sauteurs, une étude qui a révélé la capacité des gènes à passer d'un chromosome à l'autre. Ce concept est au cœur du développement de la génétique aujourd'hui, et la science n'en saura que dire merci à ses vaillants pionniers, scientifiques connus, hommes ou femmes scientifiques de l'histoire, et de l'humanité. Rosalind Franklin (1920-1958) Barbara McClintock (1902-1992) Nous continuons notre chemin à la découverte des femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire pour vous parler d'une figure on ne peut plus notoire dans ce domaine de connaissance. Le 25 juillet 1920, en réalité, naquit sur le sol britannique celle qui, grâce à son travail dans le célèbre laboratoire du King's College à Londres, a réussi à photographier la double hélice d'ADN. Nous parlons de Rosalind Franklin, dont les recherches furent publiées dans la revue Nature, avec un prix Nobel bien mérité à l'appui, un prix que Franklin n'a jamais obtenu, puisqu'elle est décédée quatre ans avant d'être récompensée. Nous aimerions souligné que dès son plus jeune âge, Rosalind Franklin a su que la science était faite pour elle. Bien que son père ait d'abord rejeté l'idée que sa fille devienne scientifique, Rosalind a finalement réussi à obtenir un doctorat en chimie à l'université de Cambridge, un signe bien évident qui fait d'elle une scientifique connue, mais également l'une des plus célèbres que la terre ait pu avoir l'honneur de compter dans ses mémoires. Margarita Salas (1938-2019) Margarita Salas (1938-2019) La science espagnole peut compter sur une figure scientifique connue : Margarita Salas. Titulaire d'un doctorat en biologie de l'université Complutense de Madrid, Margarita a travaillé pendant trois ans avec Severo Ochoa à l'université de New York, où elle a concentré ses recherches sur le domaine de la biologie moléculaire. Margarita Salas a ainsi apporté une contribution non négligeable à la science grâce à la découverte de l'ADN polymérase, responsable de la réplication de l'ADN. Depuis la Péninsule ibérique, le savoir a été honoré par les travaux de cette scientifique célèbre ! Elizabeth Blackburn (1948) Margarita Salas (1938-2019) Et bien qu'il y ait beaucoup d'autres scientifiques connus qui ont donné une voix à notre histoire, nous aimerions terminer avec Elizabeth Blackburn. Cette scientifique australienne, titulaire d'un doctorat en biologie moléculaire, a reçu le prix Nobel de médecine en 2009 après avoir découvert la télomérase, une enzyme qui allonge les télomères, c'est-à-dire les extrémités des chromosomes. C'est pourquoi la découverte de Blakburn a contribué à la recherche et aux études sur les thérapies anticancéreuses. Il s'agit d'une avancée majeure pour la société contemporaine, une société qui veut toujours avancer, sans oublier ses honorables scientifiques, connus ou non, hommes ou femmes, de tous les temps ! Femmes scientifiques célèbres - Scientifiques connus.es 10 femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire Sur Kafunel, nous sommes arrivés à la fin de l'article intitulé "Les femmes scientifiques les plus célèbres de l'histoire" ! L'objectif a été clair, mettre en évidence, en particulier, les figures féminines qui ont su promouvoir la science par leurs recherches soutenues, et de façon générale, reconnaître les prouesses de la science qui, depuis l'Antiquité, ne cesse de hausser notre humanité à un rang plus noble, plus avancé, bien évolué dans l'univers, mais aussi, et comme cela devrait l'être, plus sain, plus sûr, avec l'humain ! Continuez d’apprendre, chères lectrices et chers lecteurs, en lisant nos articles sur les thèmes :
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En 1942, les États-Unis lancent le “projet Manhattan”, une opération secrète visant à fabriquer la première arme nucléaire. Ce projet est approuvé avant même que le pays n’entre en guerre contre le Japon ; il bénéficie d’un financement colossal de deux milliards de dollars. Robert Oppenheimer est nommé à la tête du projet en 1943. Il rassemble une équipe de physiciens américains et britanniques dans la ville de Los Alamos (Nouveau-Mexique). C’est là que sont conçues les trois premières bombes atomiques de l’histoire. Hiroshima et Nagasaki, les villes martyres En août 1945, les Américains larguent deux bombes atomiques sur les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki. Les explosions provoquent des dégâts considérables et font des centaines de milliers de morts. Certaines des victimes et des objets qui se trouvaient sur place au moment du drame ont laissé leur empreinte dans le sol et les murs. Ces ombres, semblables à des fantômes figés dans la pierre, sont le résultat des rayonnements thermiques émis par les bombes. Ces rayonnements étaient si intenses qu’ils ont brûlé toute la surface exposée. Les personnes et les objets qui faisaient obstacle entre cette énergie et une surface parallèle ont “imprimé” leur silhouette, avant de disparaître en cendres. La couleur de ces ombres correspond à celle du mur ou du trottoir avant l’explosion nucléaire. La fission nucléaire, une réaction en chaîne dévastatrice L’énergie colossale qui a été libérée lors de l’explosion atomique est due à la fission nucléaire. Selon l’Atomic Heritage Foundation, une organisation non gouvernementale basée à Washington, cette fission se produit quand un neutron heurte le noyau d’un atome lourd, comme le plutonium 239 ou l’uranium 235. Lors du choc, le noyau de l’atome se scinde. Une énorme quantité d’énergie est alors libérée. Une réaction en chaîne, provoquée par le choc, va se propager jusqu’à ce que tout le matériau initial soit consommé. “La réaction en chaîne suit un modèle de croissance exponentielle qui dure environ une milliseconde”, a expliqué au site Live Science le professeur Alex Wellerstein, du Stevens Institute of Technology du New Jersey. Les armes nucléaires utilisées lors des attaques sur le Japon en 1945 étaient alimentées par de l’uranium 235 et du plutonium 239. Elles ont émis une quantité phénoménale de chaleur et de rayonnement gamma à ondes très courtes. Le Dr Michael Hartshorne, professeur de radiologie à l’université du Nouveau-Mexique, a estimé qu’il y avait probablement beaucoup plus d’ombres au début. Mais “la plupart [d’entre elles] ont été détruites par les ondes de choc et la chaleur qui ont suivi”.
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Harponner les vies - Daroca Mikael
La France a la croyance nucléaire Elle adore les énergies de fission Des réacteurs un jeu d ’ enfants La saine précaution n ’ existe plus. Ondes radioactives devenues durables Transition écologique des annulations La criée des passivités organiques Beau héritage des futures générations. Gravissime Le mercure sommeille Libére autre atmosphère Zones inorganiques livrent Des sols de carburation. Gelées seront ionisantes Belles verdures jouissives Les êtres de la gloire Effacent de belles vies. Read the full article
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Glossaire
Compte rendu : Ce que sait la main.
• Continuum. Nom masculin. Désignant un ensemble, espace ou séquence dont les éléments adjacents n’ont pas de différences saillantes et qui est uniquement divisible de manière arbitraire. On peut citer des concepts comme « Le Continuum des violences » élaboré par Liz Kelly en 1987 pour parler de la discrimination envers les femmes.
• Renaissance. Nom féminin (Histoire). Mouvement qui, du XIVe au XVe siècle, en Italie puis dans le reste de l’Europe, permit, en se distinguant de la culture monastique et théologique du moyen-âge, d’étendre aux laïcs les études philosophiques, les lettres, les arts et les sciences et de les renouveler par l’étude des textes grecs et latins redécouverts ou rétablis dans leur texte original ou par l’imitation des chefs-d’œuvre.
• Transdisciplinarité. Nom féminin. Désignant une posture scientifique et intellectuelle ayant pour objectif la compréhension de la complexité du monde moderne et du présent.
• Bombe atomique. Nom propre (Histoire). La bombe A, communément appelée bombe atomique, bombe à fission ou bombe nucléaire, est un engin explosif où l’énergie est obtenue par la fission nucléaire d’une masse critique d’éléments fissiles comme l’uranium 235 ou le plutonium 239. Son procédé a été couvert par le brevet français 971-324 de 1939 à 1959. La largage d’une bombe atomique par un avion américain B-29 sur la ville japonaise de Hiroshima, le 6 août 1945, puis d’une autre sur Nagasaki, trois jours plus tard, contribue, avec d’autres, à la capitulation du Japon et à la fin de la 2e guerre mondiale.
• Animal laborans. Selon Hannah Arendt, est une figure de l’homme sans monde, sans horizon, sans transcendance, voire même qui détruit son propre monde ( d’ailleurs, si le monde moderne est né scientifiquement lors des lumières, sa naissance politique remonte aux premières explosions atomiques).
• Think tank. Nom masculin. Groupe de réflexion privé qui produit des études sur des thèmes de société au service des décideurs. Ils produisent des études et mettent en avant des idées en lien avec les valeurs qu’ils veulent défendre ; les think tanks liés aux partis politiques, ils tentent de garder une certaine autonomie de façon à préserver la qualité des recherches.
• Capitalisme moderne. Si Adam Smith, philosophe écossais du XVIIIe siècle, considéré comme le « père du capitalisme », croyait aux lois naturelles de l’économie t à l’inclination des hommes au commerce, le capitalisme ne résulte pas d’un concept, mais bien d’un processus historique, amorcé avec la découverte de l’Amérique, la colonisation et le commerce triangulaire. Le capitalisme moderne, qui se caractérise par un partage du capital de l’entreprise entre plusieurs, voire une multitude, de propriétaires, les actionnaires, recherche d’avantage de sécurité et une certaine puissance visant à influencer les décisions politiques.
• Démystifier. Verbe transitif. Détromper quelqu’un alors qu’il est l’objet d’une mystification. Enlever à quelque chose son caractère mystérieux qui lui donnait un certain pouvoir, une certaine force.
• Prologue. Nom masculin. Avant-propos, bref avertissement dont on fait précéder un ouvrage. Scène lyrique, souvent allégorique, située au début d’un ouvrage dramatique. (Dans la tragédie lyrique française des XVII et XVIIIe siècle, il constitue un hommage au roi.).
• Luc Boltanski. Sociologue français né le 4 janvier 1940. Il a initié avec Laurent Thévenot un courant pragmatique, appelé aussi « économie de la grandeur » ou « Sociologie des régimes d’action ». Il est directeur d’études à l’E.H.E.S.S.
• Ève Chiapello. Sociologue française née le 2 avril 1965. Elle a pour principaux domaines d’expertise la critique du capitalisme, l’histoire du management, la sociologie des instruments politiques et de gestion ainsi que l’étude critique des catégories économiques et comptables.
• Le nouvel esprit du capitalisme. Un ouvrage de Luc Boltanski et Ève Chiapello. La 4e couverture indique : « Le capitalisme prospère ; la société se dégrade ». La croissance du profit s’accompagne de celle de l’exclusion. La véritable crise n’est pas celle du capitalisme, mais celle de la critique du capitalisme. Trop souvent attachée à des anciens schémas d’analyse, la critique conduit nombre de protestataires à se replier sur des modalités de défense efficaces dans le passé mais désormais largement inadaptées aux nouvelles formes du capitalisme redéployé.
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On en apprend de belles dans "Le Canard enchaîné" de la semaine dernière (7/12/2022) ! L'indépendance énergétique procurée par notre filière nucléaire est un mythe. Certes on savait que l'uranium que nous brulons vient en totalité de l'étranger (on a cessé de saloper le Limousin) mais on croyait que ce n'était pas grave vue la diversité de nos fournisseurs. Or, quand nos centrales françaises tournent toutes, elles ont déjà besoin de 13% de la production mondiale d'uranium naturel (on voit bien que la fission ne pourra jamais être une source d'électricité majeure). Mais cet uranium doit être enrichi et notre belle usine Orano du Tricastin ne peut fournir que 40% des besoins tricolores. Le reste vient surtout du leader russe Rosatom... fournissant de belles sommes au dictateur du Kremlin. D'autant que le "retraitement" du combustible usagé est de moins en moins effectué à la Hague, et de plus en plus en Sibérie (une effroyable poubelle nucléaire). Si on arrêtait de se raconter des histoires ? #gazrusse #russiangas https://www.instagram.com/p/CmF1n5sKfzK/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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L’État débloque 100 millions d’euros pour les petits réacteurs nucléaires
Le gouvernement a mis près de 100 millions d’euros sur la table pour le développement de petits réacteurs nucléaires innovants, a-t-il annoncé lundi 27 novembre. 77,2 millions d’euros ont été accordés à six projets de réacteurs SMR (small modular reactors, petits réacteurs modulaires) et AMR (advanced modular reactors, réacteurs modulaires avancés), aux technologies et aux niveaux de maturité variés : réacteur de fission au sodium, à haute température ou réacteur à fusion, visant à produire de l’électricité, (...)
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Je remets ici les arguments en faveur dans Gideon la neuvieme:
- leur planète est un amas de gravats stérile et les gens ont des maladies de la thyroïde
- plusieurs des necromanciens invités présentent des difformités ou des maladies. On ne dit pas que ce sont des tumeurs et des cancers mais ça peut être des tumeurs et des cancers. Peut-être que c'est explicitement une leucémie dans le cas de Dulcia ? Je me souviens plus
- leur "palais" c'est clairement un hôpital abandonné. Une des épreuves se passe dans le service de radiologie. Précisément dans la salle d'imagerie médicale. Ils le lisent sur le mur, et le système de portes étanches décrit par Harrow c'est clairement le système pour éviter la propagation des rayons hors de la chambre
- une autre épreuve consiste à traverser un couloir qui, inexplicablement, vous fait bouillir de l'intérieur.
- par ailleurs la technique utilisée pour vaincre le boss de fin c'est d'employer la nécromancie pour speedrun des métastases sur son corps
- l'intello de service prononce les mots "fission thanergique" quand il utilise sa magie pour tuer la cancéreuse
- Harrow dit qu'il y a bien une femme morte dans le tombeau scellé et que c’est bien un cercueil, mais un tombeau scellé, enfoui sous plusieurs étages de souterrains et qu'il est si formellement interdit d'ouvrir ou d'approcher qu'ils ont un ordre religieux entièrement dédié à sa protection, je vois pas pourquoi ça serait pas aussi un sarcophage de centrale nucléaire. Y entrer est supposer vous tuer sur le coup, et son contenu est censé pouvoir tuer l'empire. J'ai raison ok
Il est temps de lire Harrow la neuvième et de continuer à s'arracher les cheveux en se demandant si la thanergie est un euphémisme pour la radioactivité
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De la littérature comme un art nucléaire : #1-Protocole Gerboises
De la littérature comme un art nucléaire : #1-Protocole Gerboises
Mis en ligne le 15 mai 2022 sur D-FICTION Voici le premier texte d’un projet au long cours, accueilli par Caroline Hoctan sur la plateforme D-FICTION. En voici la note d’intention : Le Projet K ∞ vise à explorer des imaginaires littéraires et iconiques nucléaires, sur le modèle d’un réacteur à fission nucléaire. Au sein d’une plateforme numérique dédiée à la fiction, D-Fiction, il s’agit de…
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#Caroline Hoctan#crayons radioactifs#D-Fiction#fission#imaginaires nucléaires#internet#Projet K infini#tableau périodique
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