#feu de cheminée
Explore tagged Tumblr posts
myelicia · 1 year ago
Text
Tumblr media
Naoko Stoop
351 notes · View notes
praline1968 · 11 months ago
Text
Bonjour 🍀
Heureux week-end à vous tous 🌲
Have a nice weekend to all of you ☀️
Source : Facebook
165 notes · View notes
jeanfrancoisrey · 1 year ago
Text
Tumblr media
Ambiance feu de cheminée dans l’avenue Montaigne…
14 notes · View notes
elladeco-blog · 1 year ago
Text
Tumblr media
L’une des meilleures sensations. Un bon feu de cheminée, un plaid, une bonne lecture et un chocolat chaud pour une petite bulle de douceur 🫧
0 notes
uneviesimplealacampagne · 18 days ago
Text
Tumblr media
Novembre s’en va. En Normandie, il fut gris, blanc et froid. Mais il tire sa révérence avec un soleil qui réchauffe, comme s’il voulait nous dire : « Sans rancune ! » Demain, décembre sera là, avec son cortège de décorations, d’achats, de repas entre amis ou en famille. Mais aussi ses lumières partout, cette envie de croire au miracle et de partager l’esprit de Noël.
1 note · View note
coovieilledentelle · 3 months ago
Text
Tumblr media
Les jours semblent plus frais… les feuilles tombent des arbres comme des anges dorés… elles craquent sous nos pieds et crépitent comme un feu dans la cheminée.. c'est ça l'automne... Beau dimanche chers amis
86 notes · View notes
sabinerondissime · 2 months ago
Text
Tumblr media
Quelle est la plus envoûtante ? L’arôme boisé du feu qui crépite dans la cheminée, chaleureux et rassurant ? Le parfum sucré du gâteau tout juste sorti du four, plein de gourmandise ? Ou bien le parfum familier du café, à la fois réconfortant et intime ? Peu importe, lorsque ces trois effluves se mêlent, on frôle le paradis.
27 notes · View notes
vhscorp · 11 months ago
Text
J’aime l’hiver parce que c’est la saison des bons bouquins, du thé brulant et de la galette, du feu qui danse dans la cheminée, et des câlins bien au chaud sous la couette…
V. H. SCORP
63 notes · View notes
fidjiefidjie · 25 days ago
Text
Tumblr media
Tea Time ! 🫖 🍵 Coffee Time ! ☕️ 🍪 🔥
Gif de Maëlys Chay
36 notes · View notes
coolvieilledentelle · 1 year ago
Text
Vite rentrons à la maison ... un bon feu de cheminée nous attends... pour réchauffer nos corps et un petit vin chaud de Noël aux épices pour nos coeurs...
Tumblr media
57 notes · View notes
au-jardin-de-mon-coeur · 2 months ago
Text
Tumblr media
Qui ne rêve pas d'un lundi cocooning, drapé par la chaleur d'un feu de cheminée, d'un café crémeux aux arômes du bonheur, et d'un roman d'amour à la fin heureuse ? Que celles et ceux qui qui le désirent se lèvent, comme pour Danette ! Oh lala...que de monde il y a pour rêver ! C'est tant mieux et tans pis pour le boss !😅😂
Bonne dégustation à toutes et tous, belle journée et soyez toujours heureux ! ☕️🤗
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
15 notes · View notes
sofya-fanfics · 17 days ago
Text
Les marshmallows grillés
Tumblr media
Fandom : Bridgerton
Relationship : Anthony x Kate
Voici ma participation pour le Fluffcember 2024 pour le prompt : marshmallows grillés.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Anthony s’approcha d’elle avec cette lueur dans le regard que Kate connaissait. Il avait préparé quelque chose et il était impatient de lui montrer.
« J’ai une surprise pour toi, dit-il en l’embrassant.
-Une surprise ? Demanda-t-elle, en ne pouvant s’empêcher de sourire. »
Il lui prit délicatement la main et l’emmena jusqu’à la cheminée.
« Ce soir, se sera un dîner spécial. »
Disclaimer : La Chronique des Bridgerton appartient à Julia Quinn.
@fluff-cember
AO3 / FF.NET
Kate entra dans la maison et sentit immédiatement la douce chaleur qui y régnait. C'était un véritable contraste par rapport au froid de l'hiver.
Elle avait passé la journée avec sa mère et sa sœur. Elles étaient en train de prendre le thé lorsque Kate avait remarqué la neige tomber en regardant par la fenêtre. Heureusement, elle n'était pas abondante, ce qui fait qu'elle avait pu rentrer chez elle.
Newton était là pour l'accueillir joyeusement. Il aboyait en remuant vigoureusement la queue. Kate sourit et le caressa affectueusement. Elle se dirigea ensuite vers le salon. Elle pouvait entendre le feu de cheminée crépiter lorsqu'elle ouvrit la porte. Elle entra dans la pièce et vit Anthony ajouter une bûche dans la cheminée. Il se redressa et se tourna vers elle. Un immense sourire illumina son visage.
« Te voilà ! S'exclama-t-il. »
Il s’approcha d’elle avec cette lueur dans le regard que Kate connaissait. Il avait préparé quelque chose et il était impatient de lui montrer.
« J’ai une surprise pour toi, dit-il en l’embrassant.
-Une surprise ? Demanda-t-elle, en ne pouvant s’empêcher de sourire. »
Il lui prit délicatement la main et l’emmena jusqu’à la cheminée.
« Ce soir, se sera un dîner spécial. »
Une couverture avait été installée devant la cheminée. Dessus se trouvait un saladier rempli de marshmallows et deux fines piques en métal.
« Je n’appellerai pas ça un dîner, dit Kate.
-Mais je t’ai dit qu’il était spécial. »
Il la fit s’asseoir sur la couverture et se plaça à côté d’elle. Il prit le saladier et les piques.
« Aujourd’hui, c’est la première neige de l’hiver. »
Il mit trois marshmallows sur chaque pique en métal.
« Lorsque j’étais enfant, mon père mettait une grande couverture devant la cheminée et plaçait les marshmallows comme ceci. »
Il tendit la pique en métal à Kate, qui le prit.
« Et on les faisait griller dans la cheminée. »
Il approcha les marshmallows des flammes et Kate l’imita. Elle regarda son mari du coin de l’œil et vit soudain un voile de tristesse dans son regard.
« À la première neige de l’hiver, après la mort de mon père, ma mère a voulu maintenir cette tradition. Alors, je l’ai aidé à tout préparer. Depuis, à chaque première neige, toute la famille se réunie devant le feu de cheminée pour manger des marshmallows. »
Il se tût quelques secondes et tourna la tête vers Kate. Son regard était rempli d’amour.
« Je voulais partager cette tradition avec toi et la continuer avec nos futurs enfants. »
Kate ne put s’empêcher de rougir. Souvent, elle imaginait à quoi ressemblerait leur vie lorsqu’ils auront des enfants. Savoir qu’Anthony l’imaginait aussi lui réchauffait le cœur. Elle fut sortie de ses pensées lorsqu’il sortit les marshmallows du feu. Kate en fit de même.
« C’est prêt. »
Il souffla dessus avant de mordre à pleines dents dans le marshmallow grillé. Kate prit un morceau. C’était chaud, presque au point de lui brûler la langue. Mais ce goût sucré la réchauffait et lui donnait une agréable sensation. Elle regarda Anthony qui avait englouti ses trois marshmallows et elle rit légèrement.
« Merci de m’avoir fait découvrir cette tradition. »
Anthony sourit et l’embrassa. Ses lèvres avait un goût de sucre. Il s’éloigna de Kate et planta trois autres marshmallows qu’il plaça près des flammes. Elle posa sa tête sur son épaule. Elle était impatiente de pouvoir partager cette tradition avec leurs futurs enfants.
Fin
6 notes · View notes
camisoledadparis · 27 days ago
Text
saga: Soumission & Domination 328
Sosthène 2
J'appelle Sosthène. Il n'est pas venu mardi au sport. Il me dit qu'il avait cru devoir travailler avant. Je l'engueule et le convoque pour la 2ème séance hebdomadaire.
Quand il arrive j'ai déjà la moitié de l'équipe au travail. Sosthène passe dire bonjour à tous. Ça me va comme comportement. Il ne fait pas le fier. Quand je le récupère, il me dit qu'il a vu que c'était ceux du mur. Il me faut quelques secondes pour comprendre qu'il parle de la frise de mon bureau.
Jona arrive. Je lui présente Sosthène qui est encore en " civil ". C'est limite si je me fais pas engueuler de ne pas l'avoir déjà mis en jock ! Il le prend en charge. Je reste à leurs côtés. Une fois Sosthène en " tenue ", Jona tourne autour de lui. Il l'examine sous toutes les coutures. Puis il se tourne vers moi et me dit que cette fois ci je l'ai pas gâté. Je lui dis que je ne pouvais pas lui trouver à chaque fois des mecs qui font déjà des sports de combats ! Là au moins, il va pouvoir nous montrer l'étendue de ses compétences. Il rit jaune mais commence à discuter avec Sosthène pour savoir si ce dernier est prêt à s'investir un minimum. Comme il obtient son accord, il déroule un programme de test. Il passe sur les différents postes et Jona note les poids qu'il arrive à soulever. Sans être du niveau de la bande, il n'est pas ridicule non plus. Ses 60Kg au développé couché, sans entrainement particulier sont honorables. Quand il voit l'entrainement de François avec Morgan au combat, il voit ce qui l'attend. Si j'ai eu peur un moment que ça l'effraie j'en suis lourdement trompé. Il semble passionné. Quand je lui demande ce qui le rend si intéressé, il me dit que Justin est méchamment tanké et qu'à coté, même s'il lui prend 3cm en taille, il en rend au moins 10 de large !
Jona qui l'entend nous demande qui est ce Justin si motivant. Quand je lui parle du garage, il voit tout de suite qui c'est. Puis tout fort il annonce à la salle que c'est Sosthène qui s'est dégoté notre garagiste. Je suis autant surpris que Sosthène. Jona nous dit que tous, ils se demandaient si Justin était intéressé par eux mais qu'aucun n'avait osé lui demander bien qu'ils aient eu tous envie de se le faire à chaque fois qu'ils amenaient leurs voitures au garage.
Sosthène est un peu interloqué par la façon que mes escorts ont de parler aussi franchement de leurs envies. Je le vois et lui dit de ne pas s'en faire, ce n'est pas parce qu'ils sont tous plus ou moins et même plus que moins en couple qu'ils ne s'autorisent pas à baiser avec qui leur plait. Probablement un effet collatéral de leur " métier " d'escort.
François dégage du tatami central et Jona peut commencer l'initiation de Sosthène. Comme dans beaucoup de sport, il faut commencer par apprendre à tomber. Et ça, il le fait bien.
Pour fêter son arrivée, j'invite tout le monde à diner au 4ème (c'était prévu avec Samir).
Les douches sont un peu longues et les premiers attendent les autres en trempant dans la piscine à 30°.  Pour éviter que ça finisse en partouze et même comme ça ce n'est pas garanti quand même, on se rhabille avant de monter. Le monte-charge tenant 2 tonnes, nous nous engouffrons tous dedans. A l'arrivée, les garçons s'égaillent sur tout le plateau. Certains vont en cuisine aider mes deux hommes. Sosthène regarde partout comme tous ceux qui entrent pour la première fois chez nous.
Quand il passe devant le feu de cheminée projeté sur le mur, il fait un saut de côté surpris par la chaleur qui s'en dégage. PH, qu'il questionne, lui explique qu'un radiateur est intégré dans le mur juste à cet endroit et que sa puissance est coordonnée à l'image projetée.  Il continue à scruter chaque m² de mes murs. Il apprécie la copie revisité du déjeuner sur l'herbe et trouve très drôle les versions vidéo qui sont projetées à ses côtés. Il me fait remarquer qu'il n'y a aucun escort parmi les acteurs. Je lui explique qu'à l'époque (comme si ça datait du siècle dernier !) je maintenais une barrière entre mes amis et mon équipe. Et tapant sur ma jambe zébrée, lui dit que c'était avant ça !
Quand nous arrivons à la cuisine, je lui présente mes deux hommes de maison avant qu'il ne me fasse remarquer que les deux cariatides ressemblaient furieusement à un des mecs projetés sur le mur. Je lui explique que le sculpteur s'est entiché de notre ami Ric et que, comme nous aimons beaucoup ce dernier et que physiquement il est top, nous lui avions commandé ces deux sculptures pour casser l'effet " station de métro " du plateau ouvert. Il est d'accord avec nous et me dit qu'il aurait envisagé lui aussi de couper la longueur de la salle.
Nous nous installons tous autour de la table basse, assis sur les canapés ou par terre. Sosthène est étonné de la part des protéines. Jona lui explique l'intérêt de cet apport supplémentaire. Il s'est vite mis au jus et discute avec tous indifféremment. Il explique un peu d'où il vient et quel est son parcours actuel. Evidement il y en a pour lui demander si Justin (concession auto) est aussi bon qu'ils avaient phantasmé dessus. Emporté par l'ambiance, mais sans entrer dans les détails, il nous dit que c'est un super recto/verso. Bien qu'il soit super baraqué, il est assez doux mais très efficace. Quand on lui demande la taille de son engin, il nous répond que la quantité est plus que le nécessaire pour se donner du plaisir. Bien tourné pour éviter de répondre. Il me confiera à moi plus tard que Justin est équipé d'une bite de 23x6 comme la sienne à lui mais très blanche, un véritable négatif. Quand un des escort sort que sa RCZ va être souvent en panne bien qu'elle soit neuve, c'est l'éclat de rire général.
C'est Blond1 (un escort hétéro, 7ème année de médecine) qui lui demande comment ça se passe avec ses parents rapport à son nouveau taf. Sosthène lui dit qu'ils le savent homo et que le travail de représentation qu'il a décroché ne les inquiète pas. Pour eux, il a toujours été très mature et ils lui font confiance pour qu'il ne fasse pas de bêtises. Même la voiture il a réussi à la faire accepter comme normale pour ce travail. En plus ça le met indépendant financièrement ce qui les arrange. Sa soeur ainée qui est à Paris à l'école des Chartes leur coute un max et en plus ils sont 4. Son " petit " frère qui passe son bac S cette année veut, lui faire vétérinaire et vise Maison Alfort, il n'y a que sa petite soeur qui vient de rentrer dans le secondaire qui ne leur coute pas trop cher.
Si ses parents ne sont pas curieux, ce n'est pas le cas de son petit frère. A 18 ans, il a essayé par tous les moyens de lui extorquer des renseignements sur la boite pour laquelle il bosse. Plusieurs fois il lui a demandé s'il pourrait se faire embaucher comme extra avant qu'il ne parte. Comme il n'est pas majeur, je ne veux/peux pas le faire travailler. Sosthène me dit qu'avec ce qu'il gagnera, ce n'est pas nécessaire, il aidera ses parents. 
Je vire tout le monde à minuit. Nous sommes en semaine et demain nous avons tous cours !
Le WE arrive vite. Ce vendredi soir nous allons chercher Marc à l'avion. Les retrouvailles sont toujours pleines de joie et de bisous. Nous commençons à être connus des instances aéroportuaires. Les gardes nous saluent et certains même s'arrête pour discuter 5mn. Les serveurs du bar XX nous connaissent bien. Certains nous draguent même sans vergogne ! Mais là, même si je m'en ferais bien quelques-uns en temps normal, nous attendons mon premier amour et pas question de batifoler de droite à gauche.
Les retrouvailles sont toujours bruyantes, que voulez-vous, nous sommes trois à lui faire la fête ! On se partage ses bagages et nous retournons au blockhaus. La première soirée ne concerne que nous. Après un diner " plus " concocté par Samir et Ammed, nous passons le reste de la soirée à nous faire des câlins et à faire l'amour comme des bêtes ! Ce n'est pas le fait d'avoir baisé toute la semaine chacun de notre côté qui va mettre nos batteries à plat. C'est toujours très tard ou plutôt très tôt le matin que nous nous endormons, emmêlés. Je suis toujours le premier à me réveiller. J'aime ces moments où je regarde mes partenaires endormis. Ils sont détendus, alanguis, trop beaux tout simplement ! Je pense déjà à la soirée à venir. Sosthène doit nous rejoindre pour l'apéritif et rester avec nous jusqu'au dimanche matin. Ça va changer Marc des petits formats asiatiques ! Pour la couleur aussi. Il va kiffer les belles lèvres de mon dernier escort, sa rondelle aussi.
Nous passons un samedi calme. Je l'accompagne juste renouveler son stock de chemises. Il en profite pour m'en offrir une dizaine pour boutons de manchettes. Je n'en n'avais que pour mes smokings et il trouve que c'est pas mal non plus tous les jours. J'en choisis avec des cols droits hauts et cassés, ouvert ça donne un style que j'aime bien. Entre chic et détendu !! Pour ses boxers et slips, il tape toujours dans mon stock !
Quand nous rentrons, Sosthène est déjà là à discuter avec PH et Ludovic. Comme j'en avais parlé à Marc, il n'est pas surpris par l'animal. Ce dernier s'est quand même apprêté. Un t-shirt blanc moulant, des jeans slim qui collent ses jambes et son paquet plutôt proéminent, rentrant dans des CAT beige à peine lacées plus une légère appréhension visible, il est craquant !
Marc le mate et quand je le regarde, je sais que ça va le faire. Comme si j'avais jamais eu un doute ! Jeune, beau mec et beau cul, ça toujours fait fondre mon mec !
Sosthène est quand même un peu gêné. C'est la première fois qu'il rencontre quelqu'un pour une baise tarifée, en plus beaucoup plus âgé que lui. Mais mon homme sait le mettre à l'aise. Il suffit de quelques minutes pour que Sosthène lui fasse part de ses désirs d'avenir. Il le fait parler aussi sur sa situation actuelle. Sosthène nous surprend par son analyse hyper lucide. C'est au point que Marc se fait confirmer son âge. Ammed nous sert l'apéritif. J'ai opté pour du champagne. J'aime utiliser le moindre prétexte pour en sortir et ça tape moins que des alcools forts quand on veut faire des trucs sexuels après ! On enchaine avec un diner léger. A la fin du repas, je sens Sosthène très naturel. Sans se taper sur le ventre, pas son genre ni le nôtre, le tutoiement avec Mac est plus fluide et vient immédiatement. Du coup quand on zappe le café pour passer directement au sexe, cela ne provoque pas de recul chez lui.
Pour faciliter les choses, Samir et Ammed se sont éclipsés rapidement. Je crois d'ailleurs qu'ils avaient un plan avec Amaury dans notre sous-sol ! Seuls, Marc fait assoir Sosthène à ses côtés et il suffit qu'il pose sa main sur sa cuisse pour que ce dernier s'y mette. Pour éviter que l'on soit 3 à les mater, j'ai lancé un strip avec PH et Ludovic. Quand nous sommes enfin à poil, hé oui ça prend un peu de temps quand on veut faire ça bien et de façon excitante, Sosthène est torse nu, à genoux entre les pieds de Marc. Il le pompe et manifestement bien si j'en crois le sourire du pompé. Avec mes deux comparses, on réquisitionnent la table basse et en triangle (elle fait 3m de diamètre) nous nous suçons mutuellement. Quand mon regard se pose à nouveau sur ma trouvaille, elle est nue, tout comme mon mec et, en 69 (genoux sur le dossier du canapé, de chaque côté de la tête de mon mec), il se fait bouffer l'oignon comme je vois sa petite gueule engloutir les 22cm de mon mec jusqu'à l'os. Je replonge sur Ludovic et tête voracement son gland. Je m'acharne dessus jusqu'à le sentir au porte de l'éjaculation. Là, je tente d'avaler entier son sexe et en récompense il me tapisse l'oesophage de son sperme laiteux : Sasha 1 Ludovic 0 ! Je le libère pour passer à sa rondelle. PH alterne léchage et pompage de ma bite. De temps à autre, il alterne avec un malaxage de mes couilles dans sa bouche. Je relève la tête pour voir ou en est ma recrue. A cheval sur les cuisses de Marc il est au stade " enculage ". Si la course à pied est sont sport de prédilection, j'ai bien l'impression que l'équitation ne lui est pas étrangère. Il maintient son assiette malgré les soubresauts de sa monture. L'axe qui lui passe dans l'anus est aussi un facteur de stabilisation ! Les genoux posés sur le canapé de chaque côté de Marc, les mains accrochées aux épaules de Marc, il pompe littéralement sa bite avec sa rondelle.
Je reprends mon taf où je l'avais laissé. Quelques minutes de plus et la rondelle de Ludovic est bien assouplie et je me dégage de PH et après avoir mis Ludovic en levrette, je m'enfonce dans la chaleur moite de son cul. Trop bon ! Je glisse dans son cul même s'il resserre son oignon de temps à autre pour me bloquer. Le coup que ça nous transmet dans ces moments-là participe à la montée de notre plaisir mutuel.
PH se glisse sous Ludovic en 69 pour profiter aussi du moment. Du côté du duo, les choses ont l'air de se passer pour le mieux. Sosthène est sur le dos les jambes relevées contre Marc qui lui laboure les fesses. Si j'en crois les soupirs qui lui échappent, il prend son pied lui aussi. Marc qui me voit les regarder, me dit que j'ai encore tiré un bon numéro avec celui-là. Je lui explique que je suis en train de diversifier " ethniquement " mon offre. Comme je lui dis que j'ai aussi deux asiatiques en vue, il me dit qu'il est un spécialiste de leurs " pratiques " avec ses voyages professionnels. PH se dégage le temps de l'approuver vu les selfis qu'il nous envoie. Puis il replonge sur la bite de Ludovic. On cesse de discuter pour finir de prendre notre plaisir et de nous appliquer à en donner un correct.
C'est ce qui arrive à Sosthène qui n'en peut plus de se retenir et explose sous les sollicitations répétées de sa prostate martyrisée par les passages du gland de Marc. Il s'en met partout de son nombril jusqu'à ses lèvres. Son sperme très blanc tranche sur sa peau chocolat au lait. J'ai le temps de voir Marc se vider au fond de Sosthène (dans la kpote bien sûr) et de le voir récupérer ave les doigts le sperme fraichement expulsé pour aller en nourrir Sosthène. Avec une petite hésitation il se met à lécher les doigts. Puis je suis moi-même pris par mon plaisir. J'accélère mon va et vient et je tapisse le boyau de Ludovic quand il me comprime la bite par saccades dues à ses propres éjaculations. En dessous, PH garde un peu de la production de Ludovic qui en fait autant de la sienne car quand je les vois se rouler une pelle, un peu de sperme coule aux commissures de leurs lèvres. J'approche ma tête et lèche les débordements. Miammm qu'il est bon leur mélange de sperme !
Nous nous relaxons. Je vois que Sosthène craint de bouger de peur de faire tomber  son sperme sur le canapé. Je lui passe une serviette, il y en a toujours un stock dans un des tiroirs de la table basse, comme d'ailleurs des kpotes, du gel et du poppers !!
Il me dit qu'il a pris un pied terrible et se tourne vers Marc pour le remercier. Mon mec lui retourne la politesse et me dit qu'il a un coup de langue dévastateur et qu'il faut se retenir pour ne pas lui engluer les dents ! Je demande à Sosthène comment il a trouvé de baiser avec un " vieux ". Il rougit, enfin ses joues prennent une teinte plus foncée. Et avoue qu'il ne pensait pas que ce serait si bon. Je tempère un peu et lui dit que tous mes clients ne seront pas aussi bons !! Mon Marc est quand même un vrai " top ".
Il rit et nous dit que même à moitié aussi bon, ça le fera bien. Il se contentera de Justin pour le plaisir partagé. Marc m'interroge du regard. C'est vrai que je ne lui ai pas parlé du fils de mon concessionnaire !! En quelques mots je résume et il rit bien de la réaction de mes autres Escorts. Il se tourne vers Sosthène et le félicite de ce coup. Ce dernier s'en défend et nous dit qu'il n'avait rien prémédité. C'est même Justin qui l'a entrepris et dragué quand il était venu chercher sa voiture avec moi.
Marc parles alors de ses parents, il le questionne sur comment ils ont pris le fait qu'il fasse ce travail et s'ils n'étaient quand même pas étonnés pour la voiture et ses absences. Après tout il n'a que 18ans et vit chez eux.
Sosthène nous explique que depuis qu'il est en fac, ses parents le laisse gérer lui-même sa vie tant que les résultats sont là. Et comme ils sont bons (les résultats) alors ça va. Il a juste à les prévenir quand il s'absente de la maison pour qu'ils ne l'attendent pas et ne s'inquiètent pas.
Vu l'heure avancée de la nuit et comme c'était prévu, nous passons la nuit tous les 5 ensemble. Le lendemain matin, pour une fois ce n'est aps moi qui suis le premier réveillé mais Sosthène qui en profite pour pomper ma rigidité matinale. Une fois bien réveillé, je le repousse et l'accompagne pour oeuvrer sur Ludovic et PH. Nous laissons Marc dormir. Il a besoin de récupérer de ses voyages !
Il nous quittera (Sosthène) en fin de matinée, un déjeuner de famille prévu depuis longtemps !
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
6 notes · View notes
cmanse · 2 months ago
Text
LA BALADE DES OUBLIÉES [house of the dragon x oc] • MELEGDIE TARGARYEN I
Tumblr media
LA BALLADE DES OUBLIÉES • HOUSE OF THE DRAGON X OCs • CHAPITRE I
✩ synopsis : La princesse Melegdie Targaryen premiere enfant du prince Deamon Targaryen, unique enfant de Lady Rhea Royce est de feu et de sang.
☆ relations : oc!femvelaryon x aegon targaryen; oc!femstark x jacaerys velaryon; oc!femhightower x aemond targaryen; oc!femtargaryen x oscar tully; oc!fembaratheon x lucerysvelaryon
✧ warnings : violence, mort, sexisme typique médiéval, mention d’accouchement
☆ mots : 5 785 mots ⭐︎ note de l’auteur : /!\ Je suis dyslexique, j’ai fais de mon mieux pour corriger les fautes. Désolé s’il y reste quelques fautes d’orthographe ! /!\
✧ chapitres : MASTERLIST • I II III
……………………………..……………………………..…………………….
L’hiver avait été court cette année là, mais le froid, lui, avait été sans pitié. Même les nobles n’ont pas été épargnés dans leur château, la brise glacé se faufilant entre les pierres et éteignant les grands feus dans les cheminées.
C’est lors de ce mois de juillet des plus rude que la princesse Melegdie Targaryen première de son nom est née.
Les sages femmes racontaient que la première fille du prince Deamon Targaryen été née sous un couché de soleil flamboyant, la couleur du feu du dragon. Les meastres en étaient certain, la princesse était une vrai Targaryen tout comme son père.
Mais malgré son sang, ses cheveux argentés et ses yeux violets, l’œuf de dragon déposé sous son berceau n’a jamais éclôt. Des rumeurs ont commencé à se répandre à la court. Dans les jardins du Donjon Rouge on pouvait entendre des dames dirent que la princesse n’était pas la fille légitime du prince Deamon, la connaissance de l’animosité entre ce dernier et Lady Rhea était trop bien connue dans les Royaumes et beaucoup doutaient que leur mariage avait été consumé. D’autres disaient que c’était l’absence du prince rogue, fraîchement partit ce battre au Degrés de Pierres avec Lord Corlys Velaryon qui avait empêché l’éclosion de l’œuf de la princesse Melegdie. La Targaryen était si loin de Peyredragon à Roches-au-Rhunes, l’absence du sang du dragon avait peut être interféré la naissance d’un nouveau dragon ? Ce n’était que des ragots, ils furent bientôt tus par un nouveau drama de la court.
La princesse Targaryen vécut les trois premières années de sa vie auprès de Lady Rhea, sa mère de qui elle héritera du titre de chef de la Maison de Royce. Elle apprit avant même de marcher à monter à cheval, accompagnant sa mère à la chasse. Dès son plus jeune âge, Melegdie voit la cruauté de la nature, le sang des animaux morts par la main de l'homme. Peut-être qu'est-ce qui le rendait si peu dérangeant que la violence et la cruauté humaine ? Certaines servantes murmurent cette idée à l'oreille de leurs dames. À chaque fois qu’un Targaryen naît, les dieux lance une piece et le monde retient son souffle se demandant de quelle côté elle va bien tomber. Pour Melegdie, tout ce qui avait observé la princesse le savait : la face de l’écu était parfaitement visible, tout comme sa folie.
Lorsque le prince Rogue gagna la guerre des Degrés de Pierres, sa fille avait déjà trois ans. Il ne l'avait vu que pour ses anniversaires, trois fois depuis sa naissance. Ce n’était que des visites courtes, ne laissant pas le prince et la princesse se forger un lien père fille. Deamon Targaryen voulait épouser sa tendre et chère nièce, la princesse héritière Rhaenyra Targaryen. Ainsi après avoir couronné son frère roi Viserys Ier de la couronne des Degrés de Pierre, lui rendant ainsi le territoire autrefois menacé, le prince dragon retourna à Runes-aux-Roches, à la recherche de son épouse. Il n’avait jamais aimé Lady Rhea.
Si Melegdie était née, se n’était que grâce à son oncle le roi Viserys qui a fortement suggérer à Deamon d’essayer de concevoir un hériter et aux Dieux qui on permit à la maîtresse de la maison Royce d’être avec un enfant des la première et unique tentative. L’acte avait été aussi désagréable pour le Targaryen comme pour elle. Alors le prince n’a jamais eut de remords à tromper sa femme et ne lui en voudrait pas si c’était réciproque. Lady Rhea était partie à sa chasse matinale, laissant sa fille encore endormie aux servantes.
Ce fut la dernière fois que la princesse Melegdie vit sa mère, assassinée par son père Deamon Tagaryen d'une pierre sur le crâne après qu’il l’ai paralysé.
Avec ses manches légèrement tachées de sang, le prince rogue rentra dans Roche-au-Rhunes à la recherche de sa fille. La princesse de trois ans jouait entourée de ses nourisses. Ses cheveux argentés étaient détachés et elle portait une simple robe brune-rougeatre. Une tenue simple, pas digne d'une princesse selon Deamon. Les yeux du prince rogue se remplirent d'une curiosité froide et distante alors qu'il contemplait sa fille unique jouant avec ses jouets en bois en forme de soldats et de chevaliers. Il n'y avait aucun sentiment paternel tendre en lui, aucun sentiment d'affection pour l'enfant qu'il avait engendré.
Non pas qu'il n'y était pas habitué à présent, bien sûr. Depuis des années, il sait enfouir la petite voix dans sa tête qui lui rappelait ses propres échecs en tant que parent, se concentrant plutôt sur d'autres plaisirs avec d'autres femmes.
L'enfant potelée continua à jouer malgré l'entrée de son père dans la pièce. Elle était occupée avec ses chevaliers et soldats de bois, ses petites mains délicates déplaçant les petits morceaux de bois sur son champ de bataille imaginaire créé sur le sol de la pièce. Elle semblait complètement inconsciente de l'importance de la présence de son père. Pour elle, il était fondamentalement un étranger.
Le prince Deamon émit un petit ricanement en regardant la scène devant lui. L'enfant était tellement absorbée par son propre petit monde, tellement détachée de la présence de son père. C'était presque pathétique, vraiment.
Et pourtant, il y avait quelque chose dans son innocence, son attitude insouciante qui lui faisait ressentir une lueur de quelque chose, une petite étincelle d'affection paternelle qu'il parvenait généralement à enfouir au plus profond de lui-même. Mais il l'écarta rapidement, refusant de se laisser attendrir maintenant.
Il avança, ses bottes claquant contre le sol poli, mais le bruit ne semblait pas déranger l'enfant le moins du monde.
Elle continua à jouer avec ses jouets en bois, sa tête se balançant d'un côté à l'autre avec un cri de guerre inventé.
« Melegdie », dit Deamon, sa voix mêlant détachement froid et intrigue calculée. Il voulait voir comment elle réagirait à sa voix, si elle le reconnaîtrait ou continuerait simplement son jeu.
La princesse arrêta son mouvement, relevant sa tête vers la voix qui l’avait appeler. C’était toujours "princesse" que les serviteurs ou les chevaliers du château l’appelait, seul sa mère l’interpellait avec son prénom. Si le frère du roi avait trouvé sa fille innocente lorsqu’elle s’amusait, cette idée disparut en voyant les yeux violet claire froidement braqué sur lui.
De l’agacement. Il discernait de l’agacement dans le regard froide de sa fille de trois ans. Melegdie n’avait pas aimé qu’un inconnue l’appelle par son prénom, chose qui était réserver seulement à sa noble mère. Ses iris ont observé attentivement le prince Deamon. La princesse fronça les sourcils en voyant les taches de sang sur les bords de la chemise du Targaryen.
« Vous êtes allez chasser ? » Sa voix semblait trop ferme et autoritaire pour une enfant de son âge. Son père fut quelque peu surpris par sa réponse. Il s'attendait à une réaction plus enthousiaste ou même craintive, étant donné la rareté avec laquelle il la voyait. Mais au lieu de cela, il obtint un ton plutôt froid et détaché qui reflétait étrangement le sien. Il laissa échapper un petit ricanement, une petite lueur d'amusement apparaissant dans ses yeux glacés.
« En effet, j'étais à la chasse », répondit Deamon, sa voix calme et mesurée. Ses yeux se plissèrent, observant chaque mouvement de l'enfant. « Un succès, je dirais même. »
« Quel genre d’animaux ? » Melegdie a demandé, ignorante de l’horrible vérité. C’était le sang de Rhea Royce sur cette chemise, le sang de sa mère qu’elle chérissait plus que tout. Comment pouvait elle le savoir ? Ce n’était qu’une enfant, une enfant excité par la chasse, ignorant que la cible lui était si chère. Et puis, le sang humain et animal se ressemblent non ?
« Une belle biche que j'ai trouvée dans les bois » le prince lui répliqua, son propre ton correspondant à la froideur de l'enfant. « Un coup parfait dans le cœur » Il aurait dut se sentir coupable, peut être qu’au fond de lui c’était le cas, d’avoir assassine la mère de son seul enfant, son héritière. Mais il pensa à Rhaenyra, sa nièce, le délice du royaume, elle sera une excellente mère pour Melegdie qui, de toute façon, ne se souviendra pas de sa mère de sang.
« Maman vise toujours le cœur » dit-elle avec une fierté enfantine, comme tout enfant de trois ans à propos de sa mère. Le visage de Deamon se durcit à ses mots. Sa propre fille, mentionnant sa mère avec un sentiment de fierté, et si inconsciente du sort qui lui était arrivé. La haine qui vouait pour son épouse, sa défunte épouse surpassait sa culpabilité. Il laissa échapper un moqueur froid, masquant ses émotions sous un extérieur indifférent.
« Est-ce vrai ? » Il dit de sa voix stable et mesurée. « Il semble que ta mère ait toujours été douée pour ça. » Il y avait une lourde amertume sous-jacente dans ces mots.
« Elle est la meilleure » Melegdie répondu avec un sourire, le seul sourire qu'elle ait offert à son père depuis le début de leur discussion. Elle l’avait observer, cet homme qui lui était inconnue. Elle avait remarquée ses cheveux d’un blanc argenté et ses yeux violet légèrement plus foncé que les siens. Elle c’était fait la remarque que la couleur lui allait mieux qu’à lui mais n’était pas plus perturbée par la ressemblance frappante entre elle et lui. Dans son voyage d’observation, ses yeux violet clair tombèrent sur l'épée de Deamon, Black Sister. Melegdie a toujours voulu en posséder une comme Rhaenys Targaryen, l’épouse d’Aegon le conquérant dont sa mère et ses nourisses lui racontaient ses histoires. Le prince Rogue avait remarquée le regard observateur presque jugeur de sa fille. Il suivit le regard de la princesse jusqu’à la poigne de Black Sister.
Elle était bien trop jeune pour manier une telle lame, du moins actuellement. Pourtant, d'une manière ou d'une autre, il pouvait déjà voir le soupçon d'ambition dans ses yeux, peut-être la première lueur de quelque chose qui ressemblait à sa propre nature.
Potentiel.
Mais pour l'instant, elle n'était qu'une enfant. Une petite enfant avec un sourire qu'il n'avait jamais vu sur son visage auparavant, un sourire qui n'était pas donné à lui, mais au souvenir de sa mère. La mâchoire de Deamon se tendit légèrement.
« Un jour, toi aussi tu posséderas ta propre épée », dit il, sa voix mêlant ambition froide et fierté paternelle. Oui, il était peut-être un père distant et absent, mais il avait toujours une petite lueur d'espoir que son enfant suivrait ses traces. Il s'avança, ses bottes claquant en même temps. Il la regarda, ses yeux violets froids et calculateurs, mesurant chacun de ses mouvements. « Mais d'abord, tu dois apprendre l'art de la guerre. Comment manier une épée, comment monter à cheval... comment commander des troupes. »
Les servantes échangèrent un regard. Elles s'étaient levées depuis l'arrivée du prince, comme demande la politesse devant un membre de la famille royale. On demande à une princesse d'être douce, délicate et de prendre soin de sa famille et de son seigneur mari, pas de partir à la guerre. Pourtant, le visage de la princesse Melegdie, la fille aînée et unique de Deamon Targaryen, semblait s'illuminer en entendant les paroles de son père. Elle voulait être une chasseuse comme sa mère et une guerrière comme la reine Rhaenys.
« Vraiment ? » demanda-t-elle avec des espoirs enfantins, « comme la reine Rhaenys Targaryen ? »
Les lèvres de Deamon se courbèrent en un sourire froid, presque sinistre. Elle rêvait déjà de gloire, de bataille, de partir à la guerre. Peut-être était-ce une étincelle de sa propre ambition, la même qui brûlait en lui.
« Oui, comme la reine Rhaenys », confirma-t-il, sa voix teintée d'une pointe de sombre satisfaction. « Mais en mieux. Parce que tu es ma fille. » Ses yeux scintillèrent d'un soupçon de détermination et... oui, c'était peut-être presque de la fierté.
La princesse Melegdie comprit pour la première fois que cet homme était son père. Elle qui ne l'avait jamais connu, elle partageait la même raison pour laquelle son cœur battait. L'ambition. Elle hocha la tête, ses yeux violet clair dans ceux de son père.
Deamon hocha la tête en retour, son regard glacial se fixa sur ses yeux violets avec une pointe d'intrigue. Elle était intelligente, pour son âge. Déjà conscient de l'importance du pouvoir et de l'ambition, rêvant déjà de gloire et de bataille.Pendant un instant, il vit une lueur de lui-même en elle, une étincelle de leur sang commun. Il laissa échapper un petit ricanement, ses lèvres se courbant en un petit sourire narquois.
« Tu as du potentiel, Melegdie », dit-il, sa voix portant un soupçon d'ambition sombre. « Voyons jusqu'où tu peux aller. »
La princesse Melegdie commença à vivre avec son père, le prince Deamon, à partir de ce moment fatidique. Le prince Rogue emmena sa fille unique au mariage de sa nièce Rhaenyra Tagaryen et du fils de sa cousine Rhaenys, Leanor Velaryon. La petite Targaryen regarda depuis la table du banquet Sir Joffrey être violemment assassiné par Sir Criston Cole. Les muscles de l’amant de Leanor se faisait broyer sous les poings du chevaliers de la garde royale, le sang épais se répandant sur le sol de la salle du trône comme celui des biches dans l’herbe de la forêt.
Ses yeux violets et froids observaient la scène se dérouler sans que son visage ne paraisse choqué. Elle avait vu sa mère tant de fois achever un cerf ou un sanglier avec encore plus de cruauté. Quelle était la différence entre un animal et un homme ?
Le prince Deamon épousa Lady Leana Velaryon l'année des quatre ans de Melegdie. Cet dernier lui offrit le plus beau cadeau dont sa fille unique pouvait rêver, l'épée du conquérant : BlackFire.
Cela avait provoqué un scandale au Donjon Rouge. Une femme, pas n'importe quelle femme, une princesse ! Avait hérité d'une arme aussi précieuse que celle d'Aegon le conquérant.
Mais il s'en fichait, pas le moins du monde. Il était trop heureux d'énerver quiconque osait sous-estimer son unique enfant, son héritier. Le prince Deamon regardait sa fille, la princesse Melegdie, tenir l'épée du conquérant avec de grands yeux. Bien que l'arme soit bien trop grande pour sa petite silhouette, l'enfant semblait hypnotisée par elle, comme si elle pouvait ressentir le pouvoir qu'elle incarnait.
L'année du huitième anniversaire de la princesse Melegdie, Leana Velaryon donna naissance à deux jumelles, la princesse Baela et Rhaena Targaryen. La femme qu'elle avait prise pour mère se trouvait dans une chambre chaude du château de Pentos où logeaient Deamon Targaryen et sa famille, cette dernière détestant toujours le Donjon Rouge. Melegdie attendait devant la grande porte en bois où elle avait entendu sa belle-mère hurler de douleur pendant des heures et des heures. Elle avait déjà vu un cheval mettre à bas, cela ne l'avait pas dérangée. C'était l'ordre naturel, la cruauté de la nature.
Mais cela lui fit comprendre que c'était ce qu'on attendait d'elle dans quelques années.
Et Melegdie refusait ce sort.
Elle était une princesse Targaryen, pas une simple reproductrice. Elle ne deviendrait jamais l'épouse de ou la mère de. Jamais.
La nièce du roi attendait assise, vêtue d'une robe rouge et noire, ses cheveux blancs parfaitement tressés comme le veut la tradition Targaryen. Elle était musclée depuis qu'elle avait commencé son entraînement à l'épée avec son père. Son visage était dur, froid.
L'attente lui semblait une éternité, encore plus pour un jeune enfant, les heures s'éternisaient.
Mais la princesse était patiente, ses yeux froids fixés sur les portes des chambres où sa belle-mère essayait tant bien que mal d’accouché. Finalement, la porte en bois s'ouvrit, révélant la vue de son père. Deamon regarda sa fille avec une expression froide, presque désintéressée, ses yeux ne laissant apparaître aucune trace d'inquiétude ou d'inquiétude.
« Tes petites sœurs sont nés », dit-il, sa voix calme et pragmatique. « tu peux entrer. »
La princesse se leva rapidement, se dirigeant vers la pièce chaude dont l'odeur de sang et de sueur emplissait la pièce. Leana était au lit entourée des sages femmes, ses cheveux blancs et son visage pâle trempés de sueur. Deux bébés aux cheveux blancs et à la peau métisse étaient dans ses bras. La femme de Deamon sourit en voyant sa belle-fille s'approcher en regardant ses petites sœurs.
« Elles sont très jolies » dit la fille aîné du prince Rogue en souriant, ce qui était rare
« Merci, chérie », dit Leana ses yeux fatigués regardant discrètement son époux se mettre à l'écart. Le frère du roi avait les yeux rivés sur sa fille. Il vit le rare indice d'un sourire sur son visage, une petite lueur de douceur sous son extérieur froid.
« Elles sont bien plus jolis que ceux de la Reine Alicent » dit Melegdie avec un sourire moqueur. Ce n’était un secret pour aucun de ses parents, la petite targaryenne n'aimait pas ses cousins ​​Aegon, Heleana, Aemond et Dearon. Le peu de fois qu’elle a passer ensemble, quand son père était forcer de venir à la court de KingsLanding, la princesse réussissait toujours à se disputer avec eux, surtout Aegon, le fils aîné du roi. Et elle a toujours trouver ses cousins, laids, même elle ne le dit jamais devant eux. Mais ses iris le disaient pour elle. « Et ils n'ont rien à envier aux enfants aux cheveux bruns de cousine Rhaenyra »
L'année dernière, son autre cousine, la princesse Rhaenyra Targaryen a donné naissance à des jumelles, Jacaerys et Shaerea Velaryon, mais, comparées à leurs parents, aucune d'entre elles n'a les cheveux argentés et les yeux violets. Deux bébés nées avec d’épais cheveux bruns boucler et des yeux presque noir. Cela fit scandale car, même si Rhaenyra et son père le démentaient, le jeune prince et la jeune princesse sont des bâtards.
Les lèvres de Deamon se retroussèrent en un petit sourire narquois aux paroles de Melegdie, les coins de sa bouche trahissant l'amusement. Il ne put s'empêcher de trouver sa franchise adorable, un trait qui la rendait encore plus fascinante à ses yeux.Il ne prit pas la peine d'intervenir, laissant sa fille exprimer ses opinions à sa guise.Leana, fatiguée comme elle l'était, secoua simplement la tête en soupirant d’agacement au comportement de sa belle-fille, mais un soupçon de sourire tira ses lèvres.
« Melegdie, tu sais qu'il ne faut pas faire de tels commentaires », dit-elle, sa voix mêlant réprimande et affection.
La princesse se pince les lèvres en regardant sa belle-mère. « Aegon est moche » Dit-elle avec dégoût avant de se rapprocher un peu pour mieux voir les jumelles. « Mais mes sœurs sont très jolies. Elles tiennent beaucoup de toi »
Lady Leana laissa échapper un petit rire doux, ses yeux fatigués se plissant d'amusement alors que le prince Deamon continuait à regarder la scène en silence, son sourire narquois s'élargissant légèrement. Il appréciait la façon dont Melegdie était honnête avec ses pensées, aussi tranchantes ou mordantes soient-elles. Même au milieu de l'épuisement, Léana Velaryon trouvait amusante la franchise de sa belle-fille. Elle baissa les yeux sur les jumelles, ses traits s'illuminant d'une fierté maternelle. « Oui, c'est vrai », acquiesça-t-elle. « Elles ont les plus beaux traits de leur mère. »
« Est-ce que leurs œufs vont éclore ? » demanda Melegdie avec un peu d'excitation en se tournant vers son père. Depuis qu'elle vivait avec son père, elle voulait tellement avoir un dragon. Elle avait supplier ce dernier de lui laisser réclamer ceux qui étaient disponibles parce que son œuf n'avait jamais éclos, mais le prince rogue ne lui a jamais permit. C’était trop dangereux pour une enfant, elle pourrait se faire tuer. Alors elle a essayer d’elle même, dans le dos de ses parents. Lors de leur dernière venu à KingLanding, elle est aller à Fausse Dragon et a essayer de clamer Dreamfire. Cela a mal fini et une grande partit de son dos est brûlé à vie. Les meastres ont mit des semaines a essayer de limiter les dégâts mais n’ont pas put enlever l’inévitable cicatrice.
L'expression de Deamon changea, son sourire narquois disparut et ses yeux froids se firent calculateurs et distants. Il comprenait le désir de sa fille d'avoir un dragon, comment cela semblait être un besoin pour elle autant que l'air ou la nourriture. Et pourtant, il savait aussi que la compagnie d'un dragon n'était pas quelque chose qui venait si facilement.
« Seul le temps nous le dira », répondit simplement Deamon, sa voix mesurée et égale. « La naissance d'un dragon est une chose imprevisible, et tout le monde n'aura pas le privilège d'en chevaucher un »
« Je sais », dit Melegdie avec une légère agacement. Elle regarda ses deux petites sœurs, Baela et Rheana dormir dans les bras de leur mère. « J'espère qu'elles le pourront. C'est nul de ne pas avoir de dragon quand on est un Targaryen »
Les lèvres du prince Targaryen se contractèrent en un petit sourire à peine perceptible face à la déception de sa fille. Il comprenait ses sentiments peut-être mieux que quiconque. Après tout, il avait vu de ses propres yeux ce que signifiait être un Targaryen sans dragon.  « Oui, cela peut être... décevant », répondit-il, sa voix teintée d'un soupçon d'amusement sombre.
Lady Leana observa l'échange entre le père et la fille avec un mélange de curiosité et d'épuisement, ses yeux fatigués mais son esprit toujours fort. « Un jour, toi aussi tu auras un dragon », dit-elle, sa voix douce et réconfortante.
Melegdie la regarda, peu convaincue. Comme pour lui rappeler son échec, sa brûlure au dos lui picota désagréablement. Deamon posa ses mains sur les épaules de sa fille aînée.
"Laisse Leana se reposer, tu la verras elle et tes sœurs demain" La princesse Targaryen ne c’est pas fait prier et se congédia après avoir souri à sa belle-mère.
Leana échangea un regard inquiet avec Deamon, son épuisement oublié un instant. Une fois que la petite Targaryen quitta la pièce, Leana posa sa tête sur l'oreiller et ferma les yeux, le cœur chargé de pensées pour sa belle-fille. Il y avait quelque chose de différent chez Melegdie, quelque chose qu'elle n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Mais les soucis de Leana allaient devoir attendre pour le moment, elle était bien trop fatiguée pour penser à quoi que ce soit et s'endormit presque instantanément.
Le son des pas de Melegdie résonnaient dans les couloirs vides du château d’Essos. Elle y vivait depuis plus de trois ans depuis que son père a décidé de s’éloigner de la court. Elle devait regagner sa chambre, c’est ce que son père désirait. Elle allait le faire, oui, mais avant la princesse Targaryen se permit de faire un détour dans les allés décorer de marbre jaune avec de magnifiques mosaïques colorés sur les murs et le sol. La fillette se faufila dans les passages sombres, essayant de ne pas se faire voir par les quelques soldats présent. De toute façon, la sécurité était placée près de Lady Leana et de ses nouveaux nées, elle pouvait papillonner avec moins de vigilance habituelle.
« … c’est vrai, ma tante et mes cousins, ils me l’ont tous dit, ils l’ont vu! Il est toujours près des falaises ! Ils l’ont vu ! » Melegdie c’est arrêtée, ses oreilles percevant une conversation animée entre deux jeunes servantes qui s’occupaient du bois de la grande cheminée. La curiosité l’a piqua. C’était plus fort qu’elle, elle devait être au courant de tout. La princesse ne supportait pas être laisser dans l’ignorance, même à son tendre âge. Un générale a besoin du plus d´information possible pour gagner la guerre, n’est ce pas ? Alors avait apprit a écouter les servantes et les soldats d’Essos de ces lieux, parfois même les ragots pouvaient être interessant.
« C’est sûrement la naissance des deux nouvelles Targaryens qui l’a attiré. Tu t’inquiète pour rien, comme d’habitude. » La plus âgé réprimanda sa collègue avec agacement.
La mention de ses deux nouvelles sœurs interpella la fille aîné du prince rogue. Elle ne savait pas vraiment l’expliquer mais Melegdie se sentait de devoir protéger ses deux bébés sœurs. Elle ne devrait pas, après tout, les princesses Baela et Rheana n’avaient que quelque heures, elle ne les connaissaient pas, elle n’avait aucune raison de s‘inquiéter pour elles, ni même de penser à elles.
 « Mais non! Ils ont dit que ce n’était pas un de la maison du dragon! Celui là est sauvage, la prêtresse rouge l’a confirmé! Celui là n’a jamais été monté elle a dit! Et tu sais que la prêtresse a toujours raison… » Alors que la plus jeunes des deux femmes insistait, le cœur de la princesse Melegdie a loupé un battements.
Un dragon sauvage ? Et il n’a jamais eut de cavalier ? Ici à Essos ?!
Elle ne pouvait pas manquer une opportunité comme celle là ! Son père, le prince Deamon, ne laissera jamais sa famille rentre à Westeros, peut importe combien sa femme le lui suppliera. Melegdie ignorait combien d’années elle devrait attendre avant de pouvoir essayer d’essayer clamer un dragon de PeyreDragon.
C’était une Targaryen, la fille du prince Rogue, la détentrice de l’épée du conquérant BlackFire, elle revendiquerait ce qui lui revient de droit.
Elle revendiquerait ce dragon sauvage et deviendrait sa première cavalière.
Elle marquera l’histoire et ne sera pas un Targaryen sans dragon oublié.
La princesse Melegdie Targaryen première de son nom n’était pas destinée à un tel sort.
La petite Targaryen se précipita dans sa chambre aussi vite que sa robe volumineuse lui permettait. La course à pied était plus simple quand elle s’entraînait avec le prince Deamon, ces moments où elle pouvait s’habiller de vêtement de garçon. Elle comprenait que son statue l’obligeait à porter des habits de son rang, elle aimait même certaines des robes que sa belle-mère lui achetait. Mais si elle avait le choix, elle se vêtirait de l’armure de la Reine Rhaenys Targaryen. Melegdie était une guerrière comme son père et une chasseuse comme sa mère Lady Rhea. La porte massive en bois de sa chambre se claqua derrière la petite princesse. Elle n’attendu pas plus pour se déshabiller, retirant les tissues épais et les bijoux d’or et de saphirs, les laissant traîner sur le sol et ses meubles. Sa septa serait furieuse de voir sa pièce aussi déranger. Mais osera t elle lui crier dessus si Melegdie l’a menacé avec un dragon ? Les chèvres se font bien dévorer par les dragons, quel est la différence avec les hommes ?
Une fois son bas et sa cote de maille enfiler, la princesse Tagaryen prit son épée BlackFire. Elle était trop lourde pour son corps d’enfant de huit ans, trop longue pour pouvoir la porter à la ceinture, ses jambes étant trop courtes. Peu importe combien Melegdie s'était entraînée pendant 4ans, la seule façon pour elle de la porter sur son dos. « Puis je savoir où vous allez à cette heure ci princesse? » Avant qu’elle ai eut le temps de courir hors du château sans autorisation, Sir Gelwick l’avait attrapé par la cote de maille. Le chevalier était un homme âgé d’une cinquantaine d’année aux épaules larges et aux cheveux blanc, autrefois brun. Il était au service du prince Deamon Targaryen depuis des années. Depuis que la petite Targaryen vivait avec son père, Sir Gelwick était chargée de sa sécurité.
Melegdie lui a lancer un regard froid, faisant un mouvement pour se libérer de son emprise. « Je vais clamer le dragon sauvage » Sa voix était froide, aussi froide que l’hiver de sa naissance. Le visage de Sir Gelwick se durcit. Il connaissait la princesse et sa perception du monde ainsi que de à quelle point elle était têtu. Il savait d’avance qu’il ne pourrait pas lui faire changer d’avis, pour autant, il essaya. « Un dragon sauvage ? » Répéta le chevalier avec pointe de surprise. Elle était trop intelligente et observatrice pour son propre bien. « Vous n’y songez pas sérieusement princesse? Une telle bête pourrait être extrêmement dangereuse. Les dragons sauvages sont connus pour être beaucoup plus volatils et imprévisibles que les dragons apprivoisés. Je vous conseille de rester à l'écart. »
La princesse Melegdie se remit à marcher à travers le château, le chevalier sur ses talons. Si l’homme n’arrivait pas à la convaincre alors il l’accompagnerait, quoi qu’il était toujours décidé à faire rebrousser chemin à l’enfant. A l’avertissement de Sir Gelwick, la fille du prince Deamon ne lui jeta qu’un regard agacé. « Un dragon reste un dragon, sauvage ou domestiqué. » Dit elle avec certitude. « Et c’est un dragon qui n’a jamais été clamer, je veux et je serais sa première cavalière. »
L'expression de Sir Gelwick resta sérieuse, ses lèvres pressées en une fine ligne devant sa détermination. Il était assez vieux pour connaître les risques d'essayer d'apprivoiser un dragon sauvage, pour connaître les dangers que cela représentait pour une fille aussi jeune.
« Princesse, je dois insister ! » Il la suivit rapidement à travers les longs couloirs sombres du château, ses yeux fixés sur sa petite silhouette alors qu'elle entrait dans ses appartements avec impatience. « Vous ne pouvez pas essayer de revendiquer un dragon sauvage ! »
« Je suis une Targaryen ! C'est mon droit de naissance! » dit la princesse Targaryen d'une voix aiguë de fillette de huit années. Sa cote de maille cliquetaient à chacun de ses pas et le vent soufflait à travers son pantalon en soie large. Il faisait froid quand la princesse Melegdie a ouvert la porte des domestiques qui donnait accès au chemin des falaises. Pourtant ni l’enfant ni le chevalier n’a flancher fasse à la fraîcheur de la nuit.
Sir Gelwick regarda la princesse avec un sentiment croissant de terreur. Son ambition, sa détermination, c'était presque troublant de voir une si jeune fille si motivée, si intrépide. Il secoua la tête, son expression se durcissant. L’herbe haute arrivait pratiquement à la taille de la petite princesse, alors qu’elle se déplaçait avec difficulté dans le noir, la pleine lune comme seule lumière pour l’aider. « C'est de la folie », déclara-t-il fermement, ses mots résonnant dans l'air.
« Je m'en fiche », dit-elle obstinément en continuant de se déplacer dans le champs d’herbes hautes, près des falaises, devant le chevalier, la tête haute et fière. « Je vais clamer ce dragon. Je ne serais pas une Targaryen sans dragon. Non, ça jamais. »
Sir Gelwick la regardait avec impuissante. Il ne pouvait pas l'arrêter, mais il pouvait très bien essayer de la raisonner dans une énième tentative. « Princesse, il ne s'agit pas seulement d'être une Targaryen. Il s'agit de survivre ! Et si cette bête vous tue ? » Sa voix semblait presque suppliante alors qu'il suivait ses pas, sa cape jaune bruissant à chaque pas.
« Alors je mourrai d’une mort honorable », répondit la princesse d’un ton catégorique, la voix pleine de détermination. « En véritable Tagaryen. »
Le vent sifflait à travers les arbres, apportant une odeur de sel et d’air marin alors qu’elle se dirigeait vers les falaises. Sir Gelwick passa une main sur son visage, frustré. Que pouvait il répondra fasse à la fillette ? La princesse Melegdie était loin d’être la petite fille qu’il avait autrefois bercée sur ses genoux. Même si au fond il savait qu’elle avait toujours été ainsi : têtue et désireuse de revendiquer un dragon confinait à l’obsession. La fille du prince Rogue était de feu et de sang et il l’a vu plus que jamais cette nuit la.
Le ciel étoilé c’est assombrit et l’air devint glacé.
Melegdie releva sa petite tête argenté, un sourire sur ses lèvres. Un monstre ailé gigantesque bloquait la lumière de la lune. Il était grand, énorme, plus que la princesse Melegdie n’aurait put l’imaginer. Ses ailes d’un bleu aussi froid que celui du Mur du Nord, étaient déchirée à plusieurs endroit. Meme depuis le sol, ses griffes étaient nettement visibles : longues, tranchantes, meurtrières, capable d’achever n’importe quel être vivant d’un simple coup. Et sa gueule, énorme comme le reste de son corps imposant, était remplit de dents acérés semblable à des stalactites. Au fond de sa gorge large, capable d’avaler deux cavaliers et leur montures sans difficulté, le feu dragon bouillonnait, se lançant dans une danse avec la glace dont semblait être fait les crocs de la bête.
Le dragon volait au dessus de le princesse Melegdie et du chevalier Sir Gelwick comme un rapace encerclant sa proie. Elle était émerveillée par la beauté terrifiante de l’animal. Ses yeux violets claire étaient écarquillés, incapables de se détourner du dragon. Jamais de sa vie elle avait assister à un tel spectacle. Caraxes le dragon de son père ou une biche blanche tachée de sang, achevée par l’arc de sa mère Lady Rhea semblaient d’un banal désolant.
Hypnotisée pour l’animal de l’ancienne Valeria, la princesse ne bougea pas un muscle alors que le dragon se mit à charger en leur direction. Prise d’une terreur sans présidant, le chevalier prit le bras de la jeune princesse, la tirant avec force. Mais c’était trop tard pour fuir.
Le dragon c’est posé en fasse de Melegdie, la terre tremblant sous son poids. Ses yeux étaient deux orbes rouges sangs, fixant avec froideur la princesse Targaryen. Iris contre Iris, les deux se regardèrent. La nature semblait figée, silencieuse fasse a la scène.
« Melegdie ! » A crier avec panique le vieux chevalier en essayant de garder sa main tremblante autour du bras de la fillette de huit ans. Sans même lui accorder un regard, elle le frappa avec toute sa force, se libérant de son emprise. Tétanisé, Sir Gelwick n’a rien put faire d’autre qu’observer, la bouche ouverte de choc et son visage pâle.
Doucement, un pas après l’autre, la princesse Melegdie Targaryen s’approcha du dragon sauvage qui grognait. L’épée du conquérant était lourde sur son dos, mais pas autant que le fils qui semblait l’attirer à l’animal mystique.
« Dohaeragon issa! Obéikos issa zaldrīzes! » sers moi! Obéis moi dragon! La voix de l’enfant Targaryen était ferme, ne laissant pas de place à la peur. Le dragon a rugit, sa tête imposante s’approchant de la princesse. Sa petite main se leva en direction de la gueule de la bête. Si celle ci le désirait, la fillette pourrait se faire avaler rond sans même avoir le temps d’en prendre conscience. Elle avait vu son père faire ce geste des centaines de fois avec son dragon, tout comme sa belle mère avec Vaghar. Et bientôt, elle le ferait aussi des centaines fois avec son dragon. « Lickīri, Dohaeragon Issa » Calme, sers moi
La paume froide de la princesse rencontra les écailles chaudes du dragon.
Elle regardait le dragon droit dans les yeux, son cœur battant dans ses tempes, l’assourdissant du rythme irrégulier. Chaque fibres de son corps était concentré sur lui, comme si elles essayaient du fusionner avec la bête, ne faisant plus qu’un. Le moment sembla durer une éternité, le temps s’arrêtant pendant un instant de pur bonheur et de paix.
La princesse Melegdie Targaryen, première de son nom, fille aîné du prince Deamon Targaryen et enfant unique de Lady Royce l’avait fait.
Elle venait de se lié avec un dragon.
……………………………..……………………………..…………………….
2 notes · View notes
coovieilledentelle · 5 days ago
Text
La journée tire à sa fin… moment de détente, de câlins…de complicité …devant un bon feu de cheminée... Bonne soirée
40 notes · View notes
leparfumdesreves · 2 months ago
Text
LUEURS D'AUTOMNE
Derrière la vitre embuée, il est entré sans frapper.
L'Automne est arrivé comme après une longue balade en forêt.
Laisser son charme opérer...🍂🍁🍂
Tumblr media
FEU DE BOIS
Le feu brûle dans la cheminée. Cette bougie parfumée nous raconte les notes denses, fumées, des bûches qui se consument lentement.
Dans un jeu d’ombre et de lumière, la flamme s’agite et éclaire la pièce. Par instants, on croit entendre le bois crépiter dans la cheminée.
Cette bougie parfumée nous raconte les notes denses, fumées, des bûches qui se consument lentement...
Tumblr media
NOISETIER
La fraîcheur des feuilles vertes rencontre les notes à peine croquantes et pralinées des noisettes qui commencent à mûrir.
La bougie parfumée "Noisetier" décrit l’instant précis où les fruits sont encore sur l’arbre, leur coque nichée dans leur péricarpe. Instant éphémère que la cire invite à retrouver...
Tumblr media
CHÊNE
L’odeur dense et réconfortante des grands hênes. Ceux avec lesquels on fabriquait de beaux meubles massifs, de solides poutres et des coques de navires.
Dans cette bougie parfumée "Chêne", c’est toute la puissance du tronc et le tanin de l'écorce aux accents secs et résineux qui s'expriment...
Tumblr media
MOUSSES
Tous les parfums de la Forêt, humidité de la terre des sous-bois, profondeur boisée des arbres séculaires, accents végétaux des champignons qui poussent dans l’humus.
Un grand bol d'air chez soi...
🍁🍄‍🟫🍂🌰🍁🍂🍄‍🟫🍁
Depuis très longtemps je suis tombée sous le charme olfactif de cette marque. Luxueuse par excellence, les bougies se consument lentement et nous emmènent loin dans les souvenirs de notre enfance...
3 notes · View notes