#fermière russe
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Dimanche 6 août : Le jour où l'on relativise
Réveil presque à l'heure.
Le réveil a sonné. On s'est dit : "ouaiiiis laaaaarge" d'une voie traînante (ben oui on venait de se réveiller) et on s'est rendormies aussitôt. Enfin M. s'est réveillée et W. ne se souvient pas d'avoir bougé d'un cil même si "apparement" elle a parlé ! (M. : “She's alive !”).
Bref, on se lève un peu plus tard que prévu mais un peu moins tard que ce que ça aurait pu être si ça avait été pire. Ça va quoi. Z'êtes pas nos mère... Enfin si, ça dépend (ça dépasse) qui lit (Jean-Claude).
Ce matin, on décampe vite (sauf qu'on prend quand même le temps de petit-déjeuner). Au début, la route est la même (voir journée précédente).
Nous descendons jusqu'à Saint-Ouen Bay et nous nous rendons compte que ça aurait pu être bien pire hier. La descente est vertigineuse donc nous n'osons pas imaginer la montée (si nous étions aller trop loin).
Nous empruntons la Five Miles Road qui longe une plage magique et géante et déserte, luisante au soleil matinal.
Soudain (et tout à coup), nos narines frétilles, ça sent bon, c'est un des meilleurs moments de la journée : un petit snack au bord de la plage qui vend des rolls au bacon et aux œufs et même au fromage.
Nous dégustons tout cela face à la mer en nous disant que la vie, des fois, c'est drôlement chouette. Et sans chanter la chanson de Calogero (oups, vous l'avez dans la tête ?).
En continuant notre route vers le sud, nous sommes éblouies (littéralement) par tant de beauté.
Et puis ça monte mais finalement, nous ne souffrons pas autant qu'au début, on est devenues super fortes. (Ta dada daaaaa ta da da, ta dada daaaa, ta da da da daaaa... On vous laisse deviner la musique).
Après quoi nous descendons sur des kilomètres une petite piste dans les sous-bois super jolie et agréable même si ça sentait pas la noisette (y avait pas de noisetier).
La piste débouche dans le port de Saint-Aubin qui n'est pas spécialement joli mais ça fera l'affaire, c'est toujours mieux que Saint-Hélier.
M. part en quête du camping, pendant que W. a la lourde tâche de garder les vélos en plein soleil sans une pique d'ombre (devinez qui a ressemblé à une grosse écrevisse des genoux ?). M. se retrouve dans une ferme étrange où les employées parlent russes et le patron n'a jamais entendu parler d'un camping (sauf celui qui a fermé dans les années 50). Elle grimpe ensuite sur la colline au-dessus du port et se jète littéralement sous une voiture pour demander le chemin de l'hypothétique et fantomatique camping.
Pendant que W. lance de frénétiques appels vers la France pour tenter de trouver quelqu'un qui tentera de localiser le camping - sur Internet.
En vain.
Mention spéciale pour les personnes ayant répondu à tous nos cris, nos S.O.S : B et C.
On vous fait des bisous.
C’est à ce moment-là que nous nous rendons compte que nous avons eu beaucoup de chance, car :
1 - La veille, lorsqu’on s’est trompé, au lieu de faire demi-tour pour rejoindre le Daisy Cottage Camping, on aurait pu continuer jusqu’à Saint-Aubin ... se rendre compte que le camping n’existait plus et retourner au tout premier camping ... et faire les trois-quart de l’île en une seule journée.
2 - Le premier jour, sous la pluie, nous avons décidé de faire le tour de l’île dans le sens Saint-Hélier -> Beuvelande -> Daisy Cottage -> Saint-Aubin et non l’inverse. Et soyons sérieux : on aurait jamais fait demi-tour et il aurait fallu pédaler tous ces kilomètres, trempées, et on aurait fait la moitié de l’île sous la pluie !
De dépit, nous mangeons sur la plage. W. poursuit sa cuisson.
Du coup, manque de choix, nous rentrons au premier camping, celui qui nous a accueilli avec de la boue jusque là le premier jour (Caroline Bingley aurait désapprouvé).
W. s'enduit d'après-soleil à défaut d'autres produits plus efficaces et alors que le soir descend, l'énergie nous quitte.
Nous avons bouclé notre tour de l'île (pas voulu, on aurait du faire une boucle avec un trou mais le destin en a choisi autrement).
Après une bonne douche et un repas équilibré (mais non, on plaisante) : dodo.
#aout 2017#jersey#oups#camping fantome#la loose#fermière russe#on relativise#tour de l'île#à point pas saignant silvousplait
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LA FILLE AUX POMMES !
LA FILLE AUX POMMES !
S'il vous plaît lire cette histoire intéressante qui est sur le point d'être dans un film. La fille aux pommes. Une histoire vraie de survie de l'Holocauste et des voies mystérieuses de Dieu qui ont rassemblé les gens ici en Amérique après que leurs vies se soient touchées dans les jours sombres d'Hitler. Août 1942. Piotrkow, Pologne Le ciel était maussade ce matin-là alors que nous attendions anxieusement. Tous les hommes, femmes et enfants du ghetto juif de Piotrkow avaient été rassemblés sur une place. La rumeur s'était répandue que nous étions déplacés. Mon père n'était mort que récemment du typhus, qui sévissait dans le ghetto surpeuplé. Ma plus grande peur était que notre famille soit séparée. « Quoi que tu fasses, me murmura Isidore, mon frère aîné, ne leur dis pas ton âge. Dis que tu as seize ans. «J'étais grand pour un garçon de 11 ans, donc je pouvais réussir. De cette façon, je pourrais être considéré comme précieux en tant que travailleur. Un SS s'est approché de moi, ses bottes claquant sur les pavés. Il m'a regardé de haut en bas, puis m'a demandé mon âge. — Seize, dis-je. Il m'a dirigé vers la gauche, où mes trois frères et d'autres jeunes hommes en bonne santé se tenaient déjà. Ma mère a été déplacée vers la droite avec les autres femmes, enfants, malades et personnes âgées. J'ai chuchoté à Isidore : « Pourquoi ? Il n'a pas répondu. J'ai couru à côté de maman et j'ai dit que je voulais rester avec elle. — Non, dit-elle sévèrement. 'Partir. Ne soyez pas une nuisance. Allez avec vos frères. Elle n'avait jamais parlé aussi durement auparavant. Mais j'ai compris : elle me protégeait. Elle m'aimait tellement que, juste cette fois, elle a fait semblant de ne pas l'être. C'était la dernière fois que je la voyais. Mes frères et moi avons été transportés dans un wagon à bestiaux en Allemagne. Nous sommes arrivés au camp de concentration de Buchenwald une nuit plus tard et avons été conduits dans une caserne bondée. Le lendemain, on nous a remis des uniformes et des numéros d'identification. « Ne m'appelez plus Herman. dis-je à mes frères. 'Appelle-moi 94983.' J'ai été mis au travail dans le crématorium du camp, chargeant les morts dans un ascenseur à manivelle. Moi aussi, je me sentais mort. Endurci, j'étais devenu un numéro. Bientôt, mes frères et moi avons été envoyés à Schlieben, l'un des sous-camps de Buchenwald près de Berlin. Un matin, j'ai cru entendre la voix de ma mère. "Fils," dit-elle doucement mais clairement, je vais t'envoyer un ange.' Puis je me suis réveillé. Juste un rêve. Un beau rêve. Mais dans cet endroit, il ne pouvait y avoir d'anges. Il n'y avait que du travail. Et la faim. Et la peur. Quelques jours plus tard, je me promenais dans le camp, autour de la caserne, près de la clôture en fil de fer barbelé où les gardes ne pouvaient pas facilement voir. J'étais seul. De l'autre côté de la clôture, j'ai repéré quelqu'un : une petite fille aux boucles légères, presque lumineuses. Elle était à moitié cachée derrière un bouleau. Je jetai un coup d'œil autour de moi pour m'assurer que personne ne me voyait. Je l'appelai doucement en allemand. « Avez-vous quelque chose à manger ? » Elle ne comprenait pas. Je me suis rapproché de la clôture et j'ai répété la question en polonais. Elle s'avança. J'étais mince et maigre, avec des chiffons enroulés autour de mes pieds, mais la fille ne semblait pas effrayée. Dans ses yeux, j'ai vu la vie. Elle sortit une pomme de sa veste en laine et la jeta par-dessus la clôture. J'ai attrapé le fruit et, alors que je commençais à m'enfuir, je l'ai entendue dire faiblement : « Je te verrai demain. Je suis retourné au même endroit près de la clôture à la même heure tous les jours. Elle était toujours là avec quelque chose à manger pour moi - un morceau de pain ou, mieux encore, une pomme. Nous n'osions ni parler ni nous attarder. Se faire prendre signifierait la mort pour nous deux. Je ne savais rien d'elle, juste une gentille fermière, sauf qu'elle comprenait le polonais. Quel était son nom? Pourquoi risquait-elle sa vie pour moi ? L'espoir était si rare, et cette fille de l'autre côté de la clôture m'en a donné, aussi nourrissant à sa manière que le pain et les pommes. Près de sept mois plus tard, mes frères et moi étions entassés dans un wagon à charbon et expédiés au camp de Theresienstadt en Tchécoslovaquie. « Ne reviens pas », ai-je dit à la fille ce jour-là. 'Avaient quitté.' Je me suis tourné vers la caserne et je n'ai pas regardé en arrière, je n'ai même pas dit au revoir à la petite fille dont je n'avais jamais appris le nom, la fille aux pommes. Nous étions à Theresienstadt pendant trois mois. La guerre touchait à sa fin et les forces alliées se rapprochaient, mais mon sort semblait scellé. Le 10 mai 1945, je devais mourir dans la chambre à gaz à 10h00. Dans le calme de l'aube, j'ai essayé de me préparer. Tant de fois la mort semblait prête à me réclamer, mais d'une manière ou d'une autre j'avais survécu. Maintenant, c'était fini. J'ai pensé à mes parents. Au moins, pensais-je, nous serons réunis. Mais à 8 heures du matin, il y a eu une agitation. J'ai entendu des cris et j'ai vu des gens courir dans tous les sens à travers le camp. J'ai rattrapé mes frères. Les troupes russes avaient libéré le camp ! Les portes se sont ouvertes. Tout le monde courait, alors moi aussi. Étonnamment, tous mes frères avaient survécu ; Je ne sais pas comment. Mais je savais que la fille aux pommes avait été la clé de ma survie. Dans un endroit où le mal semblait triomphant, la bonté d'une personne m'avait sauvé la vie, m'avait donné de l'espoir dans un endroit où il n'y en avait pas. Ma mère avait promis de m'envoyer un ange, et l'ange était venu. Finalement, je me suis rendu en Angleterre où j'ai été parrainé par une organisation caritative juive, hébergé dans une auberge avec d'autres garçons qui avaient survécu à l'Holocauste et formés à l'électronique. Puis je suis venu en Amérique, où mon frère Sam avait déjà déménagé. J'ai servi dans l'armée américaine pendant la guerre de Corée et je suis retourné à New York après deux ans. En août 1957, j'avais ouvert mon propre atelier de réparation électronique. Je commençais à m'installer. Un jour, mon ami Sid que je connaissais d'Angleterre m'a appelé. 'J'ai un rendez-vous. Elle a une amie polonaise. Double rendez-vous.' Un rendez-vous à l'aveugle ? Nan, ce n'était pas pour moi. Mais Sid a continué à me harceler, et quelques jours plus tard, nous nous sommes dirigés vers le Bronx pour récupérer son rendez-vous et son amie Roma. Je devais admettre que pour un blind date ce n'était pas si mal. Roma était infirmière dans un hôpital du Bronx. Elle était gentille et intelligente. Belle aussi, avec des boucles brunes tourbillonnantes et des yeux verts en forme d'amande qui brillaient de vie. Nous sommes allés tous les quatre à Coney Island. Roma était facile à parler, facile d'être avec. Il s'est avéré qu'elle se méfiait aussi des rendez-vous à l'aveugle ! Nous étions tous les deux en train de rendre service à nos amis. Nous nous sommes promenés sur la promenade, profitant de la brise salée de l'Atlantique, puis avons dîné au bord du rivage. Je ne me souvenais pas d'avoir passé un meilleur moment. Nous nous sommes entassés dans la voiture de Sid, Roma et moi partageant la banquette arrière. En tant que Juifs européens ayant survécu à la guerre, nous savions que beaucoup de choses n'avaient pas été dites entre nous. Elle a abordé le sujet : « Où étiez-vous, demanda-t-elle doucement, pendant la guerre ? — Les camps, dis-je. Les terribles souvenirs encore vivaces, la perte irréparable. J'avais essayé d'oublier. Mais vous ne pouvez jamais oublier. Elle acquiesça. « Ma famille se cachait dans une ferme en Allemagne, non loin de Berlin », m'a-t-elle dit. — Mon père connaissait un prêtre et il nous a procuré des papiers aryens. J'imaginais à quel point elle avait dû souffrir elle aussi, la peur, une compagne constante. Et pourtant, nous étions ici tous les deux des survivants, dans un nouveau monde. « Il y avait un camp à côté de la ferme. Roma a continué. « J'ai vu un garçon là-bas et je lui jetais des pommes tous les jours. » Quelle coïncidence incroyable qu'elle ait aidé un autre garçon. 'A quoi ressemblait-il? J'ai demandé. «Il était grand, maigre et affamé. J'ai dû le voir tous les jours pendant six mois. Mon cœur battait la chamade. Je ne pouvais pas le croire. Cela ne pouvait pas être. — Vous a-t-il dit un jour de ne pas revenir parce qu'il quittait Schlieben ? Roma me regarda avec étonnement. 'Oui!' 'C'était moi!' J'étais prêt à éclater de joie et de crainte, inondé d'émotions. Je ne pouvais pas le croire ! Mon ange. 'Je ne te laisse pas partir.' J'ai dit à Roma. Et à l'arrière de la voiture à ce rendez-vous à l'aveugle, je lui ai proposé. Je ne voulais pas attendre. 'Tu es fou!' elle a dit. Mais elle m'a invité à rencontrer ses parents pour le dîner de Shabbat la semaine suivante. Il y avait tellement de choses que j'avais hâte d'apprendre sur Roma, mais les choses les plus importantes que j'ai toujours sues : sa ténacité, sa bonté. Pendant de nombreux mois, dans les pires circonstances, elle était venue à la clôture et m'avait redonné espoir. Maintenant que je l'avais retrouvée, je ne pouvais plus la laisser partir. Ce jour-là, elle a dit oui. Et j'ai tenu parole. Après près de 50 ans de mariage, deux enfants et trois petits-enfants, je ne l'ai jamais lâchée. Herman Rosenblat de Miami Beach , Floride Cette histoire est en train d'être adaptée dans un film intitulé The Fence. Cet e-mail est destiné à toucher 40 millions de personnes dans le monde. Rejoignez-nous et soyez un maillon de la chaîne commémorative et aidez-nous à la distribuer dans le monde entier. Veuillez envoyer cet e-mail à 10 personnes que vous connaissez et leur demander de continuer la chaîne commémorative. S'il vous plaît, ne le supprimez pas simplement. Cela ne vous prendra qu'une minute pour le transmettre.
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Bonne nouvelle demain le 26 juillet c'est notre 6 ème anniversaires et pour souligner notre fête nous avons des produits exclusifs, rare et limitée. Ont tien à remercier toutes les microbrasseries qui sont parmi nous et à toutes notre clientèle qui nous encouragent année après année on vous apprécie de tout coeur : Microbrasserie À la Fût -Golden Horseshoe Project Megablend Assemblage de bières de fermentations spontanées qui ont évolué dans le chai d’À la Fût. Chaque microbrasserie partenaire a récolté une flore locale avec son moût et les a ensuite expédiés au chai de St-Tite pour une mise en fût d’chêne et l’affinage. L’assemblage a été effectué par À la Fût. Ce brassin extraordinaire réunit les expertises d’À la Fût et de 3 brasseries ontariennes : Sawdust City Brewery, The Exchange Brewery et Block Three Brewing - Rouge JoJo Cette grande bière primée se veut un croisement entre deux styles de bières belges uniques : la « Vieille Kriek » et la « Rouge des Flandres ». Ayant vieilli 16 mois en fût de chêne, une série de levures sauvages ainsi qu’un lot important de griottes. - QV 10 Vous retrouverez encore des framboises et des griottes, mais cette fois-ci, nous y avons ajouté bleuets et fraises de saison. Que des fruits locaux et frais ont été ajoutés directement dans les fûts de chêne. - Fugitive Sureau Mélanges de levures sauvages barriquée 18 mois, dont 6 avec le fruit. Apporte une touche acidulée et une agréable astringeance. LTM - Les Trois Mousquetaires microbrasseurs - Weizenbock 2013 Saveurs: Fruits confits ,Banane mûre ,Érable - Doppelbock 2013 Saveurs: Mélasse ,Chocolat ,Biscuit ,Prune ,Orange - Porter Baltique 2017 Édition Spéciale Vieillie 5 mois en fûts de chêne ayant contenu du Bourbon et du Brandy. Microbrasserie Pit Caribou - Soleil Rouge Assemblage d’une rousse ayant maturé 1 ans avec des levures Brettanomyce Lambicus et d’un bière fermière infusée avec de la camomille. Microbrasserie Le Castor Brewing Co. - Wee Heavy Rhum Cette fois vieillie en fûts de rhum d’Amérique du Sud. Vous pouvez compter sur les mêmes arômes et saveurs bien maltés, mais cette fois-ci, elle est accompagnée d’une complexité sucrée et chaleureuse provenant d’une maturation en barils de vieux rhum. Lagabière - Balade en radeau - Août Cette NEIPA issue d’une fermentation lactique a été brassée avec une énorme quantité de houblon Mosaic. Le côté sure de la base mêlé au côté fruité du houblon a donné un résultat rappelant les fruits tropicaux, et comme si ce n’était pas suffisant, une énorme quantité de purée de papaye bien mûres a été ajouté à la fermentation, pour créer un tout complètement unique, fruité, rafraichissant, houblonné. Microbrasserie Lion Bleu - Courtepointe Whiskey Assemblage d'un milk stout vieilli 9 mois en barrique de Scotch d'Islay et de stout Impérial russe en garde 1 a en fût d'inox. Brasserie Dunham - Assemblage no.7 Un assemblage de Saison Rustique Drei et de No Tahoma élevée en barriques de vins de diverses origines pour une période de 6 mois, puis houblonnée à cru à la toute fin du processus afin de créer une bière aux accents funky et exotiques.
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“Vous devriez changer la photo de votre CV. Vous êtes jolie en vrai, mais là-dessus on dirait une fermière russe.”
Paris — Mon patron, lors de notre entretien de fin de stage. C'était mon premier stage dans la communication, j'avais 19 ans. Il me disait ça “pour m'aider dans mes futures embauches”.
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Phimosis
Lavoûte-Chilhac, Samedi 25 janvier 2020
Phimosis
Rétrécissement de l'orifice préputial rendant le décalottage du gland pénien impossible. Il convient d'intervenir chirurgicalement, en cas de phimosis serré, pour éviter l'étranglement éventuel du gland Duranteau, 1971
La commémoration de la découverte par les russes d’une centaine d’enfants juifs décharnés et agonisants au camp d’Auschwitz me remémore les affres de mon enfance à Lavoûte pour cause de phimosis.
A cette époque les allemands déculottaient les enfants dans les écoles de la France occupée pour y découvrir les enfants circoncis et traquer leurs parents supposés être juifs ; mon père avoué avait son étude à Bar-sur-Aube en zone occupée et il nous envoya ma sœur et moi à Lavôute en zone libre auprès de Maman Tika mon arrière-grand-mère qui y résidait chez sa sœur.
Celle-ci mariée à l’oncle Sapet, juge de paix aveugle comme se doit la justice y était en retraite après avoir longtemps tâté les paniers de ses justiciables avant de rendre son verdict puisqu'il n’y voyait goutte, nous accueillit Donat et moi.
Moi je fus expédié à La Rodde chez Yvonne Martin lointaine cousine fermière en montagne près d'Ally qui hébergeait déjà un cousin marseillais lui aussi circoncis, les écoliers d'Ally nous interdirent leur école avec leurs lance-pierres et Claude et moi gardâmes les vaches deux ans durant ; ce qui arrangea bien mes parents car les miliciens déculottaient eux aussi les enfants dans les écoles de la France libre.
Le phimosis ne doit pas être héréditaire puisque Patrick mon jeune frère né dix après l’armistice n’a pas été opéré comme nous le furent avant lui moi-même, papa et grand-père Élie ; étant donné que le chirurgien qui m’en opéra à Troyes en 1934 s’appelait Paris nom typiquement juif, j’ai toujours pensé que j’étais d’ascendance juive.
Ce que ne me dévoilèrent ni mon père, ni mon grand-père totalement irréligieux maintenant un flou artistique sur la question tant leurs générations furent traumatisés par ce que vécurent les juifs de nos générations.
Tout ça pour un petit bout de bite en plus ou en moins.
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La détérioration de la situation de la minorité blanche en Afrique du Sud ne susciterait aucune émotion chez les militants des droits de l'homme et les politiciens européens. Les requêtes envoyées au gouvernement allemand et au Parlement européen n'ont pas provoqué la réaction attendue, voire sont restées sans réponse.
Les Boers se disent prêts à s'installer définitivement en Russie.
© SPUTNIK . VITALY BELOUSOV
L’Afrique du Sud à deux pas de l’expropriation des fermiers blancs?
Début avril, le débuté allemand du parti Alternative pour l'Allemagne (AfD) Martin Hebner a envoyé une demande au cabinet d'Angela Merkel concernant l'«expropriation et la persécution des Boers en Afrique du Sud». Les médias ont passé sous silence cette requête. Ayant pris connaissance de ce communiqué sur le site Jouwatch, le quotidien russe Nezavissimaïa gazeta a demandé à son auteur les raisons qui l'avaient poussé à formuler une telle demande. Après tout, Martin Hebner souhaitait également savoir s'il était possible d'accorder aux Boers un asile en Allemagne. Son bureau a envoyé sa réponse au journal russe.
Le député est inquiet pour deux raisons. Tout d'abord, il rappelle que Berlin a accordé à l'Afrique du Sud une aide financière de plus de 300 millions d'euros en 2016-2017, sans savoir si les droits de l'homme étaient respectés dans ce pays. D'un autre côté, les Boers persécutés ne sont pas seulement des descendants des ressortissants des Pays-Bas mais également du nord de l'Allemagne — et le destin des émigrés allemands a toujours préoccupé les politiciens allemands. Tout en sachant que le gouvernement allemand est bien plus scrupuleux avec les migrants d'une autre couleur de peau.
D'après Martin Hebner, la réponse qu'il a reçue était plutôt bureaucratique et ne répondait pas aux questions hypothétiques du député (au moins cinq). Ce dernier voulait également savoir comment le gouvernement comptait réagir à l'arbitraire contre les Boers, quelle aide il comptait accorder aux descendants des émigrés allemands et, enfin, si les Boers avaient un droit d'asile en Allemagne.
Des requêtes identiques ont été envoyées au Parlement européen par Janice Atkinson, mais l'institution ne s'est pas encore prononcée à ce sujet.
© PHOTO. VLADIMIR POLUBOYARENKO
Témoignages de Boers souhaitant immigrer en Russie (photos)
Selon le site Jouwatch, le gouvernement sud-africain a l'intention de procéder à une réforme foncière qui entraînera la confiscation des terres appartenant aux Blancs sans la moindre indemnisation. Or ces derniers détiennent près de 70% de toutes les terres cultivées. Au Zimbabwe voisin, après l'arrivée au pouvoir des représentants de la population autochtone, les terres et les biens des Blancs avaient été saisis de force au début des années 1990. Le Zimbabwe, qui consommait jusqu'alors la nourriture qu'il produisait, est contraint depuis de l'acheter à l'étranger.
La situation en Afrique du Sud se complique d'autant plus que les radicaux de gauche parmi les représentants des peuples autochtones appellent ouvertement à tuer les Blancs. Cela entraîne l'intensification des attaques contre les Blancs, et l'organisation internationale Genocide Watch parle déjà d'un génocide des Blancs en Afrique du Sud.
Plus de 200 fermiers blancs sud-africains ont déjà envoyé une demande d'asile en Australie.
Des médias russes ont rapporté la visite d'une délégation de plusieurs dizaines de fermiers blancs d'Afrique du Sud dans la région de Stavropol, qui étudiaient la possibilité de faire migrer en Russie près de 15.000 descendants des Boers. Chaque famille fermière sud-africaine est prête à investir jusqu'à 100.000 dollars dans l'agriculture russe.
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur de l'article repris d'un média russe et traduit dans son intégralité en français.
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SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland, Gene Kelly, Gloria De Haven
Sortie aux États-Unis en août 1950, Summer Stock, la romance bucolique de Charles Walters a connu une genèse des plus tourmentées, due aux nombreux problèmes de son héroïne, Judy Garland.
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland, Gene Kelly
Fantaisie rurale
Dernière comédie musicale de Judy Garland à la MGM, Summer stock séduit aujourd’hui encore par sa fraîcheur. Certes, le film souffre un peu d’un scénario relativement prévisible, et de seconds rôles aussi envahissants que décalés par rapport à ses deux grandes stars. Mais il y a, justement, ces deux grandes stars, réunies à l’écran pour la troisième et dernière fois… Summer stock leur offre certains des meilleurs numéros de leur carrière, comme la joute chorégraphique de Portland Fancy (où l’on ne sait s’il faut regarder Judy Garland ou Gene Kelly tant ils sont tous deux impressionnants), la «danse au journal » de Kelly (moment de pure poésie), et, bien sûr, le légendaire Get Happy de Garland. Sans oublier un numéro moins spectaculaire que ces morceaux de bravoure, mais tout aussi admirable : la chanson Falling Star, qui permet à Charles Walters de montrer qu’il excelle aussi dans les moments intimistes. Dans cette séquence, comme dans tout le film, le cinéaste révèle d’ailleurs une facette inattendue de Gene Kelly, l’acteur apparaissant plus sobre et plus sensible que dans ses emplois habituels. Le duo qu’il forme avec Judy n’en est que plus émouvant…
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland, Gene Kelly
L’histoire : Jane Falbury est une fille toute simple. Sensée et travailleuse, elle a repris la ferme familiale, qu’elle tente de sauver malgré des difficultés financières. Mais quand ses deux ouvriers agricoles la quittent du jour au lendemain, la situation devient plus périlleuse encore. Sans compter qu’une bande d’hurluberlus venus de New York envahit bientôt sa grange, sans lui avoir demandé son avis…
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland, Gene Kelly
Le chant de la terre
Basé sur une idée du scénariste Sy Gomberg, Summer stock transpose dans un cadre champêtre le principe du « backstage musical » (comédie musicale de coulisse), qui raconte la préparation d’un spectacle. L’idée de jucher une Judy Garland en salopette sur un tracteur paraît excellente au producteur Joe Pasternak, le rival d’Arthur Freed au sein de la MGM pour ce qui est des comédies musicales. Pasternak est connu pour ses films « bon enfant », et Summer stock n’échappera pas à la règle (son titre anglais est toutefois moins mièvre que sa traduction française (La Jolie fermière) : l’expression désigne en fait une pièce de théâtre jouée lors de la saison estivale par une troupe composée d’amateurs ou de vedettes, une vieille tradition américaine… ). Le premier acteur pressenti pour chanter face à Judy Garland est Mickey Rooney, avec qui elle a déjà tourné de nombreux films. Mais celui-ci n’est plus très à la mode en cet automne 1949, aussi le rôle est-il confié à Gene Kelly, qui sort de deux grands succès, The Three Musketeers et On the Town.
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland, Gene Kelly
Turbulences
La MGM sait que l’alchimie entre les deux stars va opérer, car elles ont déjà partagé l’affiche de For Me and My Gal (1942) et du Pirate (1948). Et c’est d’ailleurs par gratitude pour celle qui l’a aidé à ses débuts que Kelly accepte ce projet qui ne l’enchante guère : il sait en effet que le film a été lancé pour permettre le retour à l’écran de Judy après une période difficile. L’actrice souffre à la fois d’épuisement et de dépendance aux médicaments, les médecins du studio lui en ayant prescrit dès l’adolescence pour lui permettre d’enchaîner les films… Ses absences sur le plateau d’Annie Get Your Gun lui ont valu d’être remplacée par Betty Hutton au mois de mai 1949. Mais Judy a ensuite été hospitalisée, et tout le monde espère que Summer stock va la remettre en selle. Hélas, le cinéaste Charles Walters qualifiera plus tard le tournage de « véritable cauchemar ».
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland – “Get Happy”, on set
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland – “Get Happy”, on set
Dernière chance
Complexée par des kilos superflus dus aux médicaments, Judy Garland se sent incapable de jouer, et ce, malgré le soutien du réalisateur, de Gene Kelly, et du costumier Walter Plunkett, qui fait son possible pour la faire paraître plus mince. Bien que le planning soit adapté pour qu’elle ne tourne que l’après-midi, Judy arrive en retard, ou pas du tout, ce qui finit par coûter des milliers de dollars au studio. Pourtant, quand Pasternak, désespéré, propose au grand patron Louis B. Mayer d’abandonner le projet, celui-ci répond : « Judy a rapporté une fortune au studio à une certaine époque, le moins que l’on puisse faire est de lui donner encore une chance. Si on arrête la production maintenant, ça va l’achever… ». L’équipe se montre donc patiente, et le tournage sera enfin bouclé au bout de six mois. Summer stock sort alors avec succès, mais le film sera le dernier tourné par Judy à la MGM : le studio, lassé de ses retards sur le plateau de Royal wedding, met définitivement fin à son contrat en juin 1950.
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland, Eddie Bracken
Get Happy
On doit à Saul Chaplin trois des chansons de Summer stock : All for You, Heavenly Music (qui donne lieu à un étonnant numéro canin, auquel Judy Garland devait prendre part, mais qui sera tourné sans elle du fait d’une nouvelle absence), et You, Wonderful You, qui accompagne dans sa version instrumentale la « danse au journal » de Gene Kelly. Mais c’est sur une chanson écrite en 1930 par Harold Harlen et Ted Koehler que repose en fait le numéro le plus fameux du film. Get Happy ne devait pas figurer initialement dans Summer stock, mais lors du montage, on se rend compte que son final manque de « peps », Joe Pasternak décide alors de faire revenir Judy Garland, trois mois après la fin des prises de vues, pour interpréter la célèbre chanson. L’actrice, qui a perdu du poids entre-temps, revêt pour l’occasion une étonnante tenue de vamp, déjà portée deux ans plus tôt dans un numéro coupé de Easter Parade. Chorégraphié par Charles Walters, le sexy Get Happy dénote franchement avec les autres chansons, mais peu importe : Judy y apparaît si rayonnante en veste noire et chapeau mou que cette séquence, devenue mythique, contribuera pour beaucoup au succès du film à sa sortie.
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland – “Get Happy”
Gloria De Haven : Fille de célèbres artistes de music-hall, l’actrice est née en 1925 à Los Angeles. Débutant par un petit rôle dans Modern Times (Les Temps modernes) alors qu’elle n’est qu’une enfant, Gloria est engagée à la MGM en 1940. Elle apparaît alors dans des films comme Susan and God (Suzanne et ses idées, 1940), The Thin Man Goes Home (L’Introuvable rentre chez lui, 1945), Three Little Words (Trois Petits Mots, 1950) – un biopic des musiciens Kalmar et Ruby où elle tient le rôle de sa propre mère -, Two Tickets to Broadway (Les Coulisses de Broadway, 1951), ou encore The Girl Rush (L’Héritière de Las Vegas, 1955). On la verra aussi à la télévision à partir des années 50.
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Judy Garland, Gene Kelly, Gloria De Haven, Marjorie Main
Phil Silvers : Né en 1911 à Brooklyn dans une famille d’immigrants russes, Philip Silver commence sa carrière au music-hall dès l’âge de onze ans. Ce sont ses rôles comiques qui le font connaître à Broadway, avant qu’il ne parte jouer les pitres à Hollywood à la fin des années 30. Ses seconds rôles dans My Gal Sal (Mon amie Sally, 1942), Cover girl (La Reine de Broadway, 1944) ou Top Banana (1954) le rendent extrêmement populaire, tout comme la sitcom “The Phil Silvers Show”, dont il tient le premier rôle de 1955 à 1959. L’acteur restera une figure du show business jusqu’à sa mort, en 1985.
SUMMER STOCK (La Jolie Fermière) – Charles Walters 1950 – Gene Kelly, Eddie Bracken, Phil Sivers
Programme musical :
“If You Feel Like Singing, Sing” – Judy Garland
“Happy Harvest” – Judy Garland
“Dig-Dig-Dig Dig For Your Dinner” – Gene Kelly et Phil Silvers
“Mem’ry Island” – Gloria DeHaven et Hans Conried (doublé par Pete Roberts)
“Portland Fancy” – Gene Kelly et Judy Garland
“You, Wonderful You” – Gene Kelly et Judy Garland
“Friendly Star” – Judy Garland
“La Danse au journal” – Gene Kelly
“All for You” – Gene Kelly et Judy Garland “You, Wonderful You” – Gene Kelly et Judy Garland “Heavenly Music” – Gene Kelly, Phil Silvers et les chiens
“Get Happy” (Harold Arlen (musique) and Ted Koehler (paroles)) – Judy Garland
Fiche technique du film
SUMMER STOCK – Charles Walters (1950) Sortie aux États-Unis en août 1950, Summer Stock, la romance bucolique de Charles Walters a connu une genèse des plus tourmentées, due aux nombreux problèmes de son héroïne, …
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