#faux avis
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droughtofapathy · 7 months ago
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This is just Avis DeVoto in cat form.
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krakenmonsterlab · 1 year ago
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Lab Log: some of the specimen are known for making lots of friends and getting along well with others! 😏
(Our winged double sided suction cups with: Dahlia grinder & Delphinium - @faux-phallus
Zam - ToyBot
Avis - @fantasygrove )
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raisongardee · 28 days ago
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament  personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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brookie-writes · 2 months ago
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Indifference
Please, stop. Please, I'm begging you. Maybe you don't realize it, but make an effort, try, try to open your eyes. We often hear that looks hurt, but in my opinion there is worse, much worse. The whispers, your whispers when I enter the classroom. Whether you make fun of my outfit, my hair or my shoes, I don't care.
I don't care much about your opinion, whatever it may be, but I must admit that every day, listening to you putting me down, has ended up affecting me. I am convinced that deep inside you, there are very beautiful people hidden, but the mask that you wear every day will one day end up remaining attached, and it will be too late to go back.
It has been a long time since I gave up on pretending, left behind the young girl who kept on hiding, and became the person that I really am. The truth is, it hasn't always been easy, but I take it upon myself and persevere. So do the same.
Leave the crowd, to hell with the judgments made by society. Join me, and let them speak, these voices that only know how to put you down. When they give you bad looks, give them your best smile. Don't let them win, no, fight with the most powerful weapon there is, indifference.
French (original) version :
Par pitié, arrêtez. S'il vous plaît, je vous en prie. Peut être ne vous en rendez vous point compte, mais faites un effort, essayez, essayez d'ouvrir les yeux. On entend souvent dire que les regards blessent, mais à mon avis il y a pire, bien pire. Les murmures, vos murmures lorsque je rentre dans la classe. Que vous vous moquez de ma tenue, de mes cheveux ou de mes chaussures, peu m'importe.
Je ne m'intéresse peu à votre avis, quel qu'il soit, mais je dois vous avouer que chaque jour, vous écouter me rabaisser, à fini par me toucher. Je suis convaincue qu'au plus profond de vous même, se cachent de très belles personnes mais le masque que vous portez au quotidien, finira un jour par rester attaché, et il sera trop tard pour revenir en arrière. Il y a bien longtemps que j'ai abandonné les faux semblants, que j'ai laissé derrière moi la jeune fille qui ne faisait que se cacher, et que je suis devenue la personne que je suis réellement. Sans vous mentir, ce qui n'a pas toujours été facile mais je prends sur moi et persévère. Alors faites de même.
Quittez la foule, au diable les jugements émis par la société. Rejoignez moi, et laissez-les parler, ces voix qui ne savent que vous rabaisser. Lorsqu'ils vous jetteront de mauvais regards, faites leur votre plus beau sourire. Ne les laissez pas gagner, non, battez vous à l'aide de l'arme la plus puissante qui soit, l'indifférence
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getinthefuckingcarkitten · 9 months ago
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“...And then she got dragged out of the classroom, for like, the third time this week. I mean, mentioning condoms in the most religious teacher’s class is really… Hey, Avie, are you listening?” The girl leaned forward, her elbows sliding a bit on top of her crossed legs.
To be honest, Avery was only half-registering whatever she had been prattling on about for the last 30 minutes. She had only asked about school because she felt a little guilty for having “accidentally” pushed the smaller girl into the car’s door, hard enough to make her yelp like a little dog when you kick it. She wasn’t even really angry at the girl, but she took a bit too long saying goodbye to her friend outside school and Avery was a busy woman with places to be and networking to get done, so really, it was just a bit of an overreaction.
“...Yes.” Avery lied, nodding half-heartedly. “It was a real faux-pas of this girl, mhm.”
She seemed so clearly disinterested that the girl sighed and gave up, going quiet for a brief moment. Those were rare with this one, talkative as she was. At least she picked up on those little clues, and there was no need to tell her to shut up.
“Your bed is so comfortable!” The girl commented. Maybe Avery mentally praised her too soon, as she heard the bed creak while the girl swung her own body back and forth like a toddler on a sugar high.
Avery wouldn’t normally take anyone to her house, much less a girl like the one currently sitting on her bed, in her gaudy make-up and extremely short school skirt. As charming as she could be in parties, it turned out that the party girl persona was not only a persona, as Avery would have hoped. She was exactly as loud and hyperactive in her daily life.
Luckily for her, exactly as charming too, which was the reason Avery hadn’t dropped her yet, as there were benefits to having on her arm someone who could make grouchy executives laugh with bawdy jokes. And since she was in a bit of a rush, that little gremlin even got to see how nice Avery’s house was, too, as long as she remained within eyesight. Avery liked cats, but never owned one because of how prone they were to break stuff while jumping on counters. That girl was exactly like that, except bigger and less graceful.
Avery heard a thud, and breathed in deeply as she glanced to the side, seeing that the girl managed to fall off the bed due to her own clumsiness. She had picked her up by the school’s gate, no way that kid was already drunk... Avery pushed her chair back stiffly, feeling her head run hot with rage.
The click-clack of her heels made the girl look up, still dumbly steadying herself on her hands and knees on the floor. Such a position suited some kind of destitute orphan like her, of course, but it didn’t fit Avery’s companion for the evening at all.
“What are you doing still dressed like that?” Avery’s voice had a sharp edge to it. “Go wipe that clown shit off your face. We’re going to run late.”
Those new generation fashion fads always had Avery grinding her teeth from the sheer distaste, and that overdone, cartoonish sort of makeup that girls her age seemed to replicate in droves, shortening their skirts and lowering their socks to match was just one more ridiculous low-class idiocy. Avery had yet to beat it into that thick skull of hers. For now, she put up with it, but only until they went out together.
However, the girl simply looked up at her with a slight smirk.
“Can’t i go like this? I like it like this.” She said, all innocently. Avery gave her a cold look. “You just don’t get it.”
“What don’t i get?” Avery half-spat at her, clear disdain in her face and mockery in her voice. “I can see that you still paint your face like a child’s, yes. How endearing. Now go wash it off.”
The girl scowled a bit, but soon her annoying smile returned. She sat back, looking so relaxed that it’d make anyone just want to strangle her.
“Do you know why you don’t get it?” The girl asked, humming as she held back laughter.
“Why?” Avery asked through gritted teeth, her fists clenching.
“Because you’re such an old fucking hag.” The girl gave her a shit-eating grin, crooked little fangs on full display.
Avery heard the noise of impact, dry like fire crackling, slightly deafening, before she realized she had moved. As the girl’s head snapped back from the force of her punch, she looked down at her half-numb hand, scoffing. She could hear a low mewling, a pained gasp as the girl held her own face, her head having hit the bedframe hard enough to put her thoughts back into place.
When she looked back up at Avery, tears going down her face and making make-up run all over it, a little bit of blood coming out of her mouth, Avery felt a little bad.
And then the guilt went right out of the window as she heard the girl’s low chuckle as she rubbed her face, watching the white color transfer from her stained cheeks to her fingertips.
“Guess you got what you wanted.” The girl commented, knowing her makeup was ruined. Her usually high-pitched voice was hoarse, likely from the scare.
Avery watched the girl move and slowly stand, before sitting down on the bed. Her heavy breath and messy appearance should disgust anyone with half a mind to care about their expensive sheets getting stained by cheap makeup, but Avery was right past the point of caring when those puppy eyes, scared like cornered prey and yet oh so excited sent a shiver down her spine.
“Feeling a bit weak on the legs.” The girl’s voice, breathy and ragged, only made Avery lean in closer.
“Is that so?” Avery asked, her breath catching as she couldn’t stop herself from leering like a hungry wolf.
The girl took little time to close the distance left between them, and Avery had to remember she was really good at picking up on those subtle signs. Soft lips met hers, a receptive little mouth opening up for Avery to take what was hers, the taste of strawberry bubblegum overwhelmingly sweet mixing in with the tangy iron of spilled blood at the tip of that girl’s tongue making all traces of what could have been a fight dissipate like mist.
As they pulled away, a thin string of spit connecting them before Avery licked her lips, the girl came back and kissed her jaw.
“You know i didn’t mean it.” Sweet words coming from an even sweeter voice could go a long way even if it’s owner was such a deceptive little bitch. “Can i apologize?”
And Avery would never say no to such a sweet offering. She sat on the bed besides the girl, kissing her for a little more no matter how sloppy it got, giving her a little hum of approval before watching the little vixen slide down, leaving a kiss on Avery’s exposed shoulder as she went back to her knees. On second thought, that was the perfect position for her on all accounts.
The girl gently slid Avery’s panties off from under her cocktail dress, lifting her legs out of it one at a time, a kiss on her knees and another at her feet as the underwear came off before her kisses went up, first to the inside of Avery’s thighs, then up right in between them, eliciting an embarrassing moan that made Avery cover her mouth with her hand. Maybe she was more worked up than she previously thought, but work stress made it hard to get properly horny until she could have a hot young thing between her legs like this.
With far more care than Avery bothered to have when their positions were reversed, the girl used two fingers to push apart her folds before her tongue slid between them. Their eyes met as the girl sought approval to continue, as if she was fucking stupid or something. Avery’s hand grabbed a fistful of the girl’s hair and then she pulled her face in closer, and at least that was all she needed to do to have her right back at work, licking up and down her pussy with newfound vigor before focusing on her clit, her rhythmic movements making Avery’s hand tighten on her hair as the girl’s head bobbed, looking up at Avery like some lovesick puppy. The grip on her hair tightened as Avery’s hips buckled forward, as she threw one leg around the girl’s shoulder to ride her face better.
It didn’t take that long for Avery to come from the girl’s gentle caresses with one last forceful thrust, her leg briefly locking the girl’s head in place while Avery threw her head back and moaned one last, drawn-out mewl. As she recovered her bearings, her body relaxed and looked she down between her legs, that vixen looked a little too proud of herself, despite her disgustingly messy face and disheveled clothes.
And then she rose to her feet slowly, coming up to kiss Avery in a much tamer kiss, soft hands on their way to undo the zipper of the cocktail dress before Avery roughly grabbed one of the wandering hands.
“What are you doing?” Avery asked, her voice still icy despite not even being angry anymore. “We’re running late. Go take a shower, you look disgusting.”
The girl stilled for a moment, and Avery might have dreamt the spark of rebellion that crossed her face before she smiled pleasantly and nodded.
“Right… I’ll… Be back soon.” The girl replied, her voice a little less hoarse as she got off Avery and slowly walked to the suite’s spacious bathroom.
With her gone, Avery quickly pulled her panties up and went to check herself in the mirror. With a soft “Fuck,” she took some wet wipes to rub off the entire lower half of her face, having gotten careless enough to let her flawless foundation get stained with runny eyeliner and foundation that was twenty times darker than hers.
As she took her time to fix her appearance, she heard the soft pitter-patter of the girl’s bare feet behind her. Avery turned around to see her dressed in the pretty pink dress she had picked out especially for her, which indeed did compliment her hair quite well. And how much prettier she looked bare-faced, acting all coquettish as she approached Avery.
“What should i do?” The girl pointed to the bruise blooming on her cheek from Avery’s punch. “I can’t go out like this…”
“Sit down.” Avery got up from her vanity’s chair, and the girl promptly obeyed. Good, it seemed like she was no longer up to having an attitude, at least for now. “I’ll cover it up, so stay still.”
Avery pulled out a bunch of bottles and boxes from a few shopping bags, and laid them on the vanity before starting to apply some products to the girl’s face.
As the girl flinched and let out a soft gasp when the concealer brush made pressure against her cheek, Avery held her chin to keep her in place.
“Is it that sore?” Avery asked, halfway between concerned and finding it really funny. It wouldn’t be good if it was something serious, but the girl’s reactions, with her breathy little noises that sounded more naughty than really painful, were a bit amusing.
“N-No.” The girl lied, and repositioned her face to look straight ahead, playing tough. Whenever Avery pressed too hard on the bruise with a brush or sponge, the girl would bite her lips. It was hard not to laugh.
After a few minutes, the bruise was perfectly covered-up. Proud of herself, Avery showed it to the girl, who beamed at her reflection.
“Woah, so much better!” She said, amazed. “I’m glad. Can’t have people thinking you beat me.”
Avery only gave her a slap over the head for that one, before telling her to quiet down as she did the rest of her makeup, in a more professional and dignified style than her usual.
But as Avery drew on a winged cat liner that really complimented the girl’s sharp eyes, she spoke up again.
“Hey, Avie.” The girl started with that annoying nickname, making Avery sigh.
“I thought i had just told you to keep quiet.” Avery replied, disinterested in whatever she was about to say.
“I was just wondering how you knew my actual shade? I usually wear a darker one, so…” The girl trailed off as she realized how intensely Avery was glaring at her.
She didn’t even mean to glare. It was just a kneejerk reaction as she was expecting more bullshit.
“You hands.” Avery replied, simply. “I just looked at your hands.”
“...Ah.” The girl looked at her own hand, blushing a little. Avery hoped she wasn't getting any weird ideas-
A bruise like something like a hand had constrained the girl's wrist caught Avery’s attention, and she looked up to see another one blooming on the shoulder that hit the car as Avery pushed the girl. Suddenly, she was a bit more nervous.
“...I’ll wear gloves.” The girl spoke up, covering her bruised wrist with her other hand, making Avery snap out of it.
“...You know, good idea. I can… Cover up this one too, then.” Avery gently touched the girl’s bruised shoulder. “I can’t let people think i beat you.”
The girl giggled at this, looking cute now that she looked more like what Avery expected of her companions. Satisfied, she bent to start the shoulder cover up. To her surprise, the girl turned around and gave her a small peck on the lips.
As Avery pulled away, that infatuated look was back on the girl’s face. It gave her a small shudder, wondering how long would that little girl be satisfied with Avery’s sort of “affection.” Each day, it seemed like she wanted more and more of a reaction. Maybe this gamble was turning riskier than what was calculated-
But it was indeed so lovely, the way the girl turned her head away, averting her gaze as if the cover up of a bruise was some intimate affair, the way she sighed softly on Avery’s hand every now and then. Maybe keeping her around a while longer was okay, right?
++Love
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e642 · 4 months ago
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Ce qui est magnifique c'est que c'est toujours la faute des femmes. Il suffit de voir comment ont été défendus les deux actes affreux qui se sont déroulés en l'espace de 2 semaines en France. Je parle évidemment du père de famille qui jette ses deux gosses par la fenêtre avant de s'y jeter aussi et de la gamine enlevée et tuée par le père hier soir. C'est majoritairement des hommes qui perpètrent des actes immondes et surtout violents. En effet, les hommes agissent et réagissent avec la colère et la violence, en tout cas, bien plus que les femmes et pour différentes raisons. Si on l'avait déjà bien souligné au niveau des manières de mettre fin à leur jour, on le voit maintenant avec leur rapport à l'autre (et par autre j'entends bcp femmes). Je lisais certains avis sur ces deux histoires sordides au possible dont un qui mettait en lumière l'éducation des hommes. Ça commençait très bien, en effet, la manière dont tu traites toi, les autres et les femmes, ta perception de ça, ça vient beaucoup de ton éducation, du contexte familial dans lequel tu as vécu et de tes traumatismes aussi. Et donc la personne disait que ce manque d'éducation venait des femmes qui avaient élevé ces hommes détraqués et donc, au final, c'était plus de leur faute à elles, qu'à eux. C'est marrant ça, là on parle pas du rôle du père, pourtant bcp élèvent leur enfant à deux ou beaucoup d'enfants ont encore leur deux parents, on parle pas de cette non prise en charge de la charge mentale et des tâches diverses. En revanche, le rôle du père on va en parler quand yen a un qui va faire 5 misérables minutes de ménage de sa propre initiative au sein d'un foyer. Ah là, on va l'applaudir même parce qu'il est trop fort, attentionné et responsable. On parle bcp du rôle maternal en mal car c'est tjrs de leur faute si les gosses sont mal éduqués, si l'enfant pleure, si le repas n'est pas fait de heure fixe, par contre, le role paternel on a tendance à le mettre en avant que quand c'est positif. Et du faux positif qui plus est parce que sérieusement j'ai jamais eu envie d'être fière d'un homme parce qu'il avait plié 3 slips et remis la couette sur le lit hm. Donc ça m'a dérangée cet aspect oui on reconnaît que les hommes manquent cruellement de quelque chose (visiblement de l'éducation et du savoir vivre/être mais pas que) et que ça les mène à des actes terribles, par contre, c'est pas vraiment de leur faute. On les déresponsabilise. Comme le fait que la moitié de ces auteurs sont souvent atteint de troubles mentaux, allant de la dépression, à la personnalité narcissique, en passant par la bipolarité et j'en passe et des meilleurs. On se demande encore pourquoi ils ne sont pas pris en charge et bien ya 2 raisons majeures: la psychiatrie est un des parents pauvres de la santé (sachant que la santé est déjà dans un état minable en France) et que les hommes consultent peu. Ils consultent peu parce qu'on a beau dire qu'on est une génération plus libérée/mature et pleine de moyens, on reste sombrement archaïque sur beaucoup de notions notamment le c��té émotionnel chez les hommes. Et malgré tout ça, on a encore du mal à frontalement dire que c'est de leur faute, que la femme ne sera pas toujours là pour faire à sa place et lui dire quoi faire, qu'il est responsable de la même manière dans la parentalité, qu'il faut à un moment donné se déconstruire seul et faire les choses. Et ça m'attriste en fait. Je suis pas là pour dire que c'est aucunement la faute de aucune femme sur cette planète ni qu'aucune femme n'a jamais commis d'actes terribles, je dis seulement que les sondages et les excuses trouvées pour défendre des comportements indéfendables sont déjà explicites.
Et quand j'entends parmi ce ramassis nauséabonds d'excuses qu'il y en a à base de "c'est leurs hormones, les femmes n'ont pas les mêmes, "c'est l'éducation de la mère", "la femme a dû le pousser à bout pour en arriver là" (banalisant viol/violence/agression/meurtre + l'éducation n'est donnée que par les femmes etc) bah ca me heurte honnêtement. Ça me donne l'impression que ça ne changera jamais et que les personnes remises en cause seront toujours les mêmes mais pas souvent les bonnes.
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kilfeur · 11 months ago
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Kassis le dresseur toxique (Kieran the toxic trainer)
J'ai pas mal hésité à faire cette analyse vu que Kassis est un perso assez divisé dans le fandom. Et pour ma part, c'est l'un de mes perso préférés je dirais que c'est l'un des plus complexes qu'on a eu depuis la saga Pokémon. D'ailleurs pour cette analyse, j'utiliserai les screenshots de ma console. Et la qualité de certains sont pas terribles mais j'ai fait du mieux que je pouvais.
Au début je trouvais Kassis adorable, c'était un cinnamon roll qui me donnait envie de le protéger. Sans compter que j'aimais bien ces dialogues qui me faisait davantage attacher au personnage. Mais c'est justement en lisant ses dialogues que j'ai remarqué qu'il y avait quelque chose d'enfoui. Un ressenti enfoui qu'il n'osait pas montrer faut dire qu'avec le rabaissement constant de sa soeur et le fait qu'il soit pas un dresseur assez fort ne faisait que renforcer ses insécurités. Comparé à nous, il nous admirait pour notre force mais par la suite cette admiration s'est tourné en une obsession. Certes on aurait pas dû lui mentir mais Kassis a assumé le pire nous concernant, il croyait qu'on se moquait de lui et pensait qu'on était un faux ami. Tout ce ressenti enfoui tombe sur nous car on est un peu la cible idéal à ce moment là. Surtout qu'avec tout ce qui s'est passé, on a même pas pu s'expliquer avec Kassis.
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J'avais souligné que contrairement à Roseille qui évolue de manière positive en se rendant compte de ses erreurs. Kassis évolue de manière négative. Et on se rend compte que cette évolution négative n'affecte pas seulement lui mais aussi les autres ! Il est passé de cinnamon roll à hatefull roll vu comment il parlait à un des npc du jeu. De plus en parlant d'autres npc, je me rends compte que ces derniers n'apprécient pas que l'ambiance du club ait changé alors qu'avant elle était plus chill. D'ailleurs à la fin du jeu, on apprend de la part de Taro que Kassis avait imposé des règles strictes concernant le club. Ce qui ont fait dégoûté certains et dont d'autres ont fini par quitter le club. Surtout que vu ce qu'ont dit le conseil 4 à son sujet, Kassis n'est clairement pas qu'une victime dans cette histoire ! Après j'admets que même moi j'étais inquiète pour lui vu son comportement mais quand j'ai apprit ce qu'il a fait au club. Et que son comportement toxique causait des problèmes aux autres, là j'avais plus envie de lui botter le cul pour qu'il m'entende enfin !
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D'ailleurs même notre mc n'est pas indifférent à ce qui se passe, j'ai vu que certains n'aimaient pas le fait que notre mc sourit comme si de rien ne s'était passé lors de la scène de la cafétaria. Mais pour moi, notre mc avait plus un sourire gêné qu'autre chose. De plus j'étais plutôt surprise par la réaction de Kassis. Je m'attendais à ce qu'il s'énerve contre moi mais j'imagine qu'il voulait pas causer une scène à ce moment là. Et qu'il voulait plus qu'on règle nos différents dans un combat pokémon. De plus Kassis ne semblait vouloir écouter personne. Lors de notre inscription, Roseille le reprend sur la manière dont il nous parle. Et Kassis lui dit clairement de la fermer donc ouais même sa grande soeur n'arrive pas à l'atteindre malgré qu'elle soit inquiète pour lui. Et j'imagine que c'est pareil pour le conseil vu qu'eux aussi ont partagé leurs avis personnels concernant Kassis. Et la seule personne qui semblait vouloir entendre, c'était nous !
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(Dans le deuxième screenshot, on peut voir que notre mc est inquiète concernant Kassis.) ((In the second screenshot, we can see that our mc is worried about Kieran).
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Surtout que pendant notre progression à vaincre le conseil, Kassis vient nous voir pour vérifier si tout se passe bien. S'inquiétant qu'on ait perdu notre force depuis la dernière fois mais qu'au final il se faisait du souci pour rien. On peut aussi voir les cernes de ce dernier à un moment confirmant le fait qu'il ne dormait plus tellement il était obsédé à l'idée de nous affronter. Et je sais pas la manière dont il venait nous voir, j'ai l'impression de faire face à un prédateur qui attendait patiemment que sa proie vienne vers lui. Oui je sais c'est horrible mais en même temps qu'est ce que vous voulez que je vous dise moi ?!
D'ailleurs je suis étonnée que tout le monde retient le fait qu'Irido enfonce le couteau dans la plaie. Mais je vois personne parler de ce dialogue avec notre mc.
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Irido ne supporte plus son attitude ce qui est compréhensible vu ce qu'il a fait au club. Mais il reconnaît qu'avant Kassis avait un amour sincère pour les combats pokémon. Chose qu'il n'a plus quand il est devenu obsédé à l'idée de nous vaincre. D'une certaine manière on peut dire que son obsession a consumé son plaisir d'avoir un combat pokémon et quand on y pense c'est triste en soi. Il parle tellement du fait qu'il veut nous vaincre que j'avais l'impression qu'il nous voyait plus comme une personne. Mais plus comme un obstacle à vaincre pour prouver qu'il est plus fort que nous ! Et ça m'a fait un peu de la peine car moi je l'aimais bien et j'étais contente de voir que mon mc et lui étaient devenus amis avant que tout ne dérape !
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De plus le regard de notre mc, ce n'est pas le regard d'une personne désolée pour ce qui s'est passé. C'est un regard déterminé à affronter Kassis et régler leur histoire personnelle ! J'ai bien aimé le fait que ce combat est davantage personnelle surtout que Kassis veut nous prouver à quel point il a changé, qu'il n'est plus le même. Disant même que le Kassis d'avant était un minable ! Et là le fait qu'on gagne c'est inconcevable, tout cet entraînement et ces efforts ?! Tout ça c'était pour rien ! Il avait du mal à encaisser sa défaite contre nous bon après ça n'aide pas qu'Irido enfonce le couteau dans la plaie (Bien qu'il se rend compte par la suite qu'il n'aurait pas dû faire ça). Mais il fallait arrêter Kassis, il allait trop loin avec ses conneries et oui ça me fait de la peine de le voir dans cet état mais je pense que c'était nécessaire pour montrer que son obsession envers nous était destructeur !
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J'ai bien aimé que pendant l'expédition de la zone zéro, le Kassis qu'on a connu refait surface. J'étais tombée sur un post comme quoi le Kassis qu'on affrontait était qu'une façade mais je suis pas d'accord. Pour moi le Kassis qu'on affronte est le résultat de son fameux ressenti enfoui donnant un dresseur toxique envers lui même mais aussi envers les autres. Le fait qu'il finisse enfin par déballer ce qu'il avait dans le coeur montre au final ce qu'il ressentait envers nous, de la jalousie, il nous idéalisait car tout semblait nous réussir. Bien qu'au final ce qui est arrivé au mc est bien plus compliqué que ça. Surtout que même Roseille a finit par s'attacher à nous sauf que Kassis n'a rien et avait besoin de nous vaincre. Oui j'ai dit besoin car clairement c'est plus une envie de nous vaincre, c'est plus un besoin ! Il a besoin de prouver quelque chose, qu'il n'est pas rien !
Sauf qu'une fois la téracristallisation de Terapagos, il se rend compte qu'il a merdé. Et j'ai bien aimé la scène où Miraidon le sauve car ça montre à Kassis que justement les pokémons ne servent pas qu'à devenir plus fort mais aussi à protéger et veiller sur leurs dresseurs. Durant le combat contre Terapagos, Roseille ne peut plus nous assister et insiste que son frère nous aide. Au début, il ne se croit pas capable de nous aider alors que moi je galère à affronter Terapagos. Ce n'est qu'une fois qu'on dit qu'on a besoin de lui (Dans la version française on dit "J'ai besoin de toi" contrairement à la version anglaise où on dit "Faisons le ensemble !") Qu'il se ressaisit et qu'on vaincs Terapagos ensemble. Kassis s'en veut pour ce qui s'est passé, il voulait tellement devenir comme nous que ça a causé des problèmes aux autres. Maintenant il peut enfin passer à autre mais on lui dit que malgré tout ce qui s'est passé, qu'il est génial comme il est. J'avais bien aimé qu'on puisse lui dire ça car je pense que Kassis avait besoin d'entendre ça et que notre mc le voit tel qu'il est malgré ce qu'il s'est passé entre eux.
Dans l'institut Myrtille, il souhaite présenter ses excuses envers nous mais aussi vers les autres voulant se racheter. Et aimerait qu'on reparte à zéro et qu'on redevienne amis, j'ai bien aimé le fait que soleil se lève au moment où il parle de sa résolution. Montrant que Kassis va prendre un nouveau départ et qu'on a enfin pu se réconcilier avec lui.
La leçon que Kassis a apprit n'est pas qu'il pourra pas devenir meilleur que nous. Non la leçon qu'il a apprit c'est qu'au lieu de chercher à être quelqu'un d'autre, il devrait apprendre s'accepter lui même et comprendre qu'il est suffisant. Le fait qu'il soit au final sa propre personne est bien plus important que le fait de vouloir nous vaincre.
I hesitated quite a bit to make this analysis, given that Kassis is a rather divided character in the fandom. And for my part, he's one of my favorite characters, I'd say one of the most complex we've had since the Pokémon saga. In fact, for this analysis, I'll be using screenshots from my game console. And the quality of some of them isn't great, but I did the best I could.
At first I found Kieran adorable, he was a cinnamon roll who made me want to protect him. I also liked the dialogue, which made me feel more attached to the character. But it was while reading his dialogues that I noticed that there was something buried. A buried resentment that he didn't dare show, it must be said, because his sister's constant belittling and the fact that he's not a strong enough trainer only reinforced his insecurities. Compared to us, he admired us for our strength, but eventually this admiration turned into an obsession. Of course, we shouldn't have lied to him, but Kieran assumed the worst about us: he thought we were making fun of him and thought we were a fake friend. All this buried resentment falls on us because we're kind of the ideal target at this point. Especially since, with everything that's happened, we haven't even had a chance to explain ourselves to Kieran.
I had pointed out that unlike Carmine, who evolves in a positive way by realizing her mistakes, Kieran evolves in a negative way and we realize that this negative evolution doesn't just affect him, but others too! He's gone from cinnamon roll to hateful roll in the way he talks to one of the game's npcs. What's more, when talking to other npc, I realize that they don't appreciate the fact that the club's atmosphere has changed, whereas before it was more chill. Moreover, at the end of the game, we learn from Lacey that Kieran had imposed strict rules on the club. Some people were disgusted by this and others ended up leaving the club. Especially given what Council 4 said about him, Kieran is clearly not just a victim in this story! I admit that even I was worried about him, given his behavior, but when I learned what he had done to the club. And that his toxic behavior was causing problems for others, I felt more like kicking his ass so he'd finally hear me out!
In fact, even our mc is not indifferent to what's going on. I saw that some people didn't like the fact that our MC smiled as if nothing had happened during the cafeteria scene. But for me, our mc had more of an awkward smile than anything else. What's more, I was rather surprised by Kassis's reaction. I was expecting him to get angry with me, but I guess he didn't want to cause a scene at that moment. And he didn't want to settle our differences in a pokemon fight. Besides, Kassis didn't seem to want to listen to anyone. When we signed up, Roseille confronted him about the way he spoke to us. And Kassis clearly tells her to shut up, so yeah, even his big sister can't get through to him, even though she's worried about him. And I imagine it's the same for the council since they too have shared their personal opinions about Kassis. And the only person who seemed to want to listen was us!
Especially as we're making progress in defeating the Elite Four, Kassis comes over to check on us. Worrying that we'd lost our strength since last time, but that in the end he was worried about nothing. You can also see his dark circles at one point, confirming that he wasn't sleeping, so obsessed was he with the idea of facing us. And I don't know but the way he was coming to see us, I feel like I'm facing a predator who was patiently waiting for his prey to come to him. Yes, I know it's horrible, but what can I tell you?
By the way, I'm surprised that everyone is focusing on the fact that Irido is rubbing salt in the wound. But I don't see anyone talking about this dialogue with our mc. Drayton can't stand his attitude anymore, which is understandable given what he's done to the club. But he admits that Kieran used to have a genuine love of pokémon fighting. Something he lost when he became obsessed with the idea of defeating us. In a way, you could say that his obsession has consumed his enjoyment of pokémon fighting, and when you think about it, that's sad in itself. He talks so much about wanting to defeat us that I got the impression he saw us no longer as a person. But more as an obstacle to be overcome to prove that he's stronger than us! And that made me a bit sad because I liked him and I was happy to see that he and my mc had become friends before everything went wrong!
What's more, the look on our mc's face isn't that of someone sorry for what's happened. It's a look of determination to confront Kassis and settle their personal score! I liked the fact that this fight is more personal, especially as Kieran wants to prove to us how much he's changed, that he's not the same person. Even saying that the old Kieran was a loser! And now the fact that we're winning is inconceivable, all that training and effort? It was all for nothing ?! He was struggling to come to terms with his defeat by us, so it doesn't help that Drayton rubbed it in (although he later realized he shouldn't have done that). But Kieran had to be stopped, he was going too far with his crap and yes it hurts me to see him in that state but I think it was necessary to show that his obsession with us was destructive!
I liked the fact that during the Area Zero expedition, the Kieran we knew resurfaced. I'd come across a post saying that the Kieran we faced was just a facade, but I don't agree. For me, the Kieran we're facing is the result of his famous buried resentment giving a toxic trainer, both towards himself and towards others. The fact that he finally lets out what's in his heart shows what he felt towards us: jealousy, idealizing us because everything seemed to work out for us. But in the end, what happened to the mc was much more complicated than that. Even Carmine ended up getting attached to us, except that Kieran has nothing and needed to defeat us. Yes, I said need, because clearly it's not a desire to defeat us, it's more of a need! He needs to prove something, that he's not nothing!
Except that once Terapagos has been teracrystallized, he realizes he's screwed up. And I liked the scene where Miraidon saves him, because it shows Kassis that pokémons aren't just about getting stronger, but also about protecting and looking after their trainers. During the fight against Terapagos, Carmine can no longer assist us and insists that her brother help us. At first, he doesn't think he's capable of helping us, while I'm struggling to face Terapagos. It's only when we say we need him. (In the French version, we say "I need you", whereas in the English version, we say "Let's do it together !") That he pulls himself together and that we defeat Terapagos together. Kassis blames himself for what happened : he wanted so much to become like us that it caused problems for the others. Now he can finally move on, but we tell him that despite everything that's happened, he's great just the way he is. I liked the fact that we were able to tell him that, because I think Kassis needed to hear that and that our MC sees him as he is.
In the Blueberry Institute, he wants to apologize to us, but also to others wanting to make amends. And he'd like us to start all over again and become friends once more. I liked the fact that the sun rises just as he's talking about his resolution. Showing that Kieran is going to make a new start and that we've finally been able to reconcile with him.
The lesson Kieran has learned isn't that he can't become better than us. No, the lesson he's learned is that instead of trying to be someone else, he should learn to accept himself and understand that he's enough. The fact that he's his own person in the end is far more important than the fact that he wants to defeat us.
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bruleeparlalune · 1 year ago
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #2
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Comme prévu, nouvel update sur la traduction française de F&H2. Ça avance lentement mais sûrement, en espérant que je puisse la sortir avant la prochaine MAJ du jeu. Haha.
Traduction faite durant le mois :
Les objets : les noms et descriptions des objets, de la nourriture, des objets de soin, des livres et les morceaux de gens ou d'animaux ou d'autres bestioles pas protégées par la SPA.
Les noms des ennemis et de leurs membres.
L'extérieur du train. Comprends la discussion du début de jeu, ainsi que les discussions de hub.
Première rencontre avec Per'kele.
Maison de l'homme des bois. Avec le sous-sol.
Une partie de la vieille ville, qui correspond à la zone du soldat 1, de l'extérieur du manoir du maire et Karin à l'entrée de la maison.
Petit sneak peak juste en dessous !
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Il y a quelques points que je veux particulièrement remonter. Par justification de traduction, d'appel à l'aide, ou parce que c'est particulièrement intéressant.
Les ennemis
La majorité vont être traduit : Villageois/Villageoise, Fusilier, Homme-Pillier, Vieille aux rats, Dance Mécanique, Clébard Fétide, Cocon Imparfait, Lunette Chialeuse...
J'en profite du coup pour proposer la traduction de Moonscorch, qui serait du coup Flambelune. Cela donnera le cancer de la Flambelune, et un Flambeluné.
J'hésite grandement à traduire les nom Needles et Stitches, qui pourrait être traduit par Seringues et Soutures, mais ça ne sonne pas top. Mais ça fait flic de laisser des nom en anglais dans une trad française.
En parlant de flic, je comptais traduire Bobby par Flic/Flicaillon/Poulet, mais ça enlèverai le contexte du nom. En Angleterre, bobby est un mot familier pour désigner les policiers londoniens, avec leur casque bombé. Vu le design de l'ennemi dans le jeu, le nom restera.
Par contre, Bellend sera traduit par Gland. C'est très important.
Avis à la population, mais surtout aux experts : pour l’ennemi Sew Job, le mot existe bien en anglais, mais je ne trouve pas d'équivalent en français. Enfin si, ce serait Travaux de couture, mais ça sonne faux. Pour le moment, le nom placeholder pour cet ennemi serait Peau Rapiécée. Question pour les gentils messieurs et madames de mon PC qui font de la couture : est-ce que vous avez un mot pour Sew Jobs, dans votre domaine ?
2) Première rencontre avec Per'kele
Point général, car il concerne tout le texte, mais j'ai dû bidouiller un peu pour garder le texte le plus neutralement genré possible.
3. Extérieur du train
La manière dont est fait le jeu, chaque zone comprend tous les dialogues et textes possible dedans, que ce soit les Party Talk, les diagnostiques médicaux, les discussions avec les NPC, lorsqu'on fouille dans des objets... En même temps, des textes se répètent entre chaque zone, alors qu'ils devrait être dans l'onglet Common Events... Après, ce sont des textes que je ne traduit qu'une fois, puis je les recopie dans les autres zones. Je n'aurai pas à les retraduire et ça m'avancera le travail.
Cette partie là a été longue à traduire, car elle comprend à la fois la discussion du début de jeu (et les alternatives selon le personnage qu'incarne le joueur), mais aussi toutes les discussion de hub (Marcoh et Tanaka qui boxe, Olivia qui creuse la terre, Henryk qui fait sa popotte dehors, Daan qui clope). Il y a d'autres zones comme ça, qui sont pas mal chargée de texte, comme l'intérieur du train, le bar jazz, et l'intro des personnage.
Pas mal de dialogue sont des ref à d'autres média, comme par exemple la référence à Jimmy Buffet quand on demande un coup à boire à Daan au bar (je reviendrai sur celui-là plus tard). Là, lorsqu'on essaye de l'embrigader dans notre groupe alors qu'il est au complet, il refuse en disant qu'il sera juste un "party poison". Je n'ai pas réussi à trouver si c'était une expression idiomatique ou bien une référence. La seule référence que j'ai trouvé, c'est un titre de MCR (qui est nul à chier imo). Du coup, dans le contexte, je pense qu'il voulais dire "plombeur d'ambiance".
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Les "Bremen pigs" de Karin. On n'a pas l'air, en français, d'avoir un équivalent de l'insulte "pigs", sauf dans le cas de la police, où c'est poulet. Du coup, Karin dira dans la traduction "chiens de Bremen" ou "chiens brêmois", qui gardent le côté insultant et la comparaison aux animaux.
Je crois avoir bien passé en revu sur quoi j'ai taffé ce mois-ci. Avec les vacances de Noël, je devrais pouvoir mieux travailler dessus et bien avancer.
Prochaine update le mois prochain !
Joyeux Noël et bonnes vacances à tous !
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perduedansmatete · 10 months ago
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résumé de cette semaine lundi j’ai fait la morte pour cause d’urticaire, mardi je suis allée au restaurant avec mes meilleures amies pour avouer à l'une d'entre elles qu'on avait appris que son gars était le genre de facho qui avait voté zemmour aux présidentielles, on pensait que ça allait mettre fin à leur relation sachant qu'elle baigne dans le communisme depuis sa plus tendre enfance, qu'elle bosse dans un des seuls journaux qu'on peut encore qualifier de gauche et qu'elle avait dit que c'était un motif de rupture pour elle mais finalement non elle a estimé que c'était pas si grave qu'il lui ait caché ce gros détail pendant plus d'un an et demi et que pire que ça, apparemment il avait changé grâce à elle (il serait donc je cite « juste de droite avec quelques avis de gauche ») ce qui a l'air de beaucoup flatter son égo et c'est là que je me dis que la barre est vraiment très basse, le point positif de cette soirée étant qu'on s'est régalé et qu'on a rien payé car il y avait des problèmes de courant dans le restaurant, sinon je suis très peu allée en cours et j'ai beaucoup bu alors que j'aurais du être à la fac mais à partir de demain ça change (c'est faux les bières du lundi midi sont devenues une institution très rapidement) jeudi grève oblige 21 profs sur 27 absents dans mon collège alors qu'on est toujours en sous-effectif ce jour là et que cette fois-ci on était que deux surveillants, autant dire que c'était sportif mais la direction a quand même eu le temps de m'inviter à un « goûter » sur les coups de dix heures, ce qui m'a fait très peur car j'ai cru que c'était un piège et que j'avais fait une connerie mais non ils voulaient juste profiter d'un moment de calme pour manger de la brioche tous ensemble c'était vraiment très étrange j'espère ne plus jamais revivre ça puis vendredi je suis allée voir mon meilleur ami sur grand écran dans un petit cinéma car un de ses potes a monté un genre de documentaire sur l'amour et sur les nouvelles formes de relations blablabla c'était très marrant en vérité et je pensais rentrer directement après mais j'ai retrouvé des gens du passé et j'ai fini paumée au fin fond de ma banlieue dans le même genre de soirée que celles où j'allais à dix-sept ans c'était fatiguant, étonnant et plein de drogues auxquelles je n'ai pas du tout touché (trop forte) mais très bien en même temps même si j'ai appris qu'un ami de cette époque était un énorme violeur, c'est le point négatif mais à chaque fois qu'on m'apprend ce genre de nouvelle je suis jamais étonnée, sur une note plus positive hier j'ai enfin découvert l'appart d'une de mes meilleures amies après des mois à ne pas réussir à se voir autrement qu'au thé dansant d'anniversaire de ses parents... (la vie d'adulte apparemment) et je remercie infiniment son entorse car c'est son immobilisation qui nous a permis de passer enfin un moment ensemble à se raconter nos vies et à pas mal rire aussi, c'était super sympa et la suite l'était tout autant puisque j'ai rejoins tia avec mes meilleures amies pour leur faire découvrir notre bar préféré puis dimanche on a commencé notre exposé pour un cours trop chiant mais on a préféré discuter du fait que les sociologues étaient quand même d'énormes prouveurs à écrire des textes insupportables et illisibles simplement parce qu'ils sont tous moches (c'est notre théorie, vive la sociologie)
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wilk3officielle · 4 months ago
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Commentaire de La Confiance et la Clé à molette @halebop-s-art
Disclaimer : Tout d'abord, nous tenions à préciser que cette analyse a pour but de prouver qu'un chapitre de fanfiction peut être considéré comme un objet littéraire à part entière. Ainsi, les personnages présents dans notre extrait n'appartiennent ni à l'auteur, ni à moi-même, mais bien à leur créateur : François Descraques.
Ensuite, notre étude se concentrant sur un extrait de La Confiance et la Clé à molette, je vous conseille fortement d'aller lire l'histoire avant d'entreprendre celle de ce commentaire. Enfin, nous tenions à remercier @halebop-s-art de nous avoir autorisé à travailler sur sa matière littéraire. Bonne lecture !
Le Visiteur du Futur est, à l'origine, une websérie comique mettant en scène des personnages plus burlesques les uns que les autres dans des décors apocalyptiques. Si le protagoniste, Renard, a parfois le droit à des moments de gloire lorsqu'il parvient à sauver le monde, la plupart du temps, il reste l'objet de blagues loufoques. Dans notre extrait de La Confiance et la Clé à molette, le Visiteur nous est présenté d'une manière inédite qui contraste avec ce que nous avons l'habitude de voir ou de lire à propos de ce personnage. De cette tension est apparue une question : En quoi l'utilisation du point de vue du "faux" Henry Castafolte permet-il de montrer la descente aux enfers de Renard ? Tout d'abord, nous verrons que l'utilisation de ce point de vue permet un portrait ambivalent du Visiteur. Ensuite, nous parlerons du véritable professeur Castafolte et de son influence. Enfin, nous nous concentrerons sur la tension qui grimpe dans l'extrait et sur les façons de la faire redescendre.
Tout le temps que l'imposteur Henry passe auprès du Visiteur du Futur, lors de son infiltration dans le laboratoire, lui permet de se fabriquer une image de sa personnalité. Le lecteur découvre ainsi un être "hyperactif, énervé, soûlé, crevé, ennuyé, amusé" à travers une accumulation d'adjectifs qualificatifs. Tous ces éléments, formant ce portrait, sont récoltés avec minutie par l'imposteur, qui malgré les dires de "ses employeurs [qui] l'avaient décrit comme un homme prêt à éliminer tous les obstacles sur son chemin", semble souhaiter se faire son propre avis via ses observations scientifiques. Le verbe voir est conjugué au plus-que-parfait à plusieurs reprises : "avait vu", dans le but de mettre en valeur cette démarche scientifique du faux Henry. Et pour le moment, le portrait est plutôt positif.
Cependant, comme l'indique cette négation répétée à deux reprises : "Henry ne l'avait jamais vu calme". Le contraste entre le comportement jovial décrit plus tôt et ce calme inquiétant désormais observé par Henry, est marqué par la conjonction de coordination à valeur d'opposition "mais" qui introduit la négation la seconde fois. En plus de cette anomalie comportementale, le portrait physique de Renard transmet une sensation de danger. Un jeu sur les sonorités avec l'allitération en [s] : "Dans la courbe des sourcils, dans son sourire sans chaleur." évoque une sournoiserie du Visiteur. Tandis qu'un rythme binaire omniprésent lors de la description de Renard crée visuellement un piège oppressant autour du faux Henry : "ce sourire mauvais et froid" ; "ses yeux trop noirs et trop brillants" ; "un rire bref et sans joie".
Ce changement soudain du comportement de Renard perturbe beaucoup l'imposteur. Si ce trouble est exprimé très clairement dans la proposition "Ce changement de caractère faisait perdre ses repères à Henry.", il est également présent tout au long du récit sous la forme d'aposiopèses. Cela crée une sorte de bégaiement de sa pensée : "au lieu de… de garder" ; "il n'était pas… inquiet" ; "C'était… Il y avait quelque chose".
Henry Castafolte est un personnage multiple de par sa nature robotique même, il en existe alors beaucoup de version. Notre extrait nous en présente deux modèles : celui dont on connaît les pensées, l'imposteur, et un autre qui, s'il n'est pas présent dans la scène, n'en reste pas moins très important dans l'histoire. Comme nous l'indique la présence de l'adjectif possessif "mon" placé juste devant le prénom Henry lors d'une prise de parole au discours direct de Renard, ce second Castafolte est le vrai, ou en tout cas, le compagnon de route du Visiteur. Ce dernier possède une grande influence positive sur Renard notamment en ce qui concerne sa morale. Dans un discours élogieux, le Visiteur utilise jusqu'au verbe pronominal "m'inspire" ainsi que le lexème mélioratif "idéal".
Mais le faux Henry peine à comprendre ce discours, car une amitié avec un robot lui paraît futile. Le terme "machine" est inscrit en italique, ainsi que le terme "ami" entre guillemets, ces spécificités de mise en page témoigne de son animosité vis à vis de cette relation. Il trouve que la "situation [est] absurde".
Malheureusement, sans la présence de sa "boussole morale", métaphore qui compare le Henry du Visiteur à un objet capable de diriger et de canaliser les pulsions de son ami, une "aura de haine, de colère" émane de Renard. Notre extrait est, en effet, d'une extrême violence, puisqu'il s'agit d'une scène de torture, nous retrouvons notamment le champ lexical de la douleur ou du corps : "pommette" ; "grimace" ; "frappe"...
Le texte est donc rempli de violence et de tension. Dans la réplique "Bah BARRE-TOI !" l'utilisation d'une ponctuation exclamative, d'un langage familier ainsi que la surutilisation des majuscules trahissent la violence de Renard. Le même effet est recherché dans l'autre réplique très sèche "Non. Non, pas du tout.", cette fois à l'aide de deux phrases courtes et non verbal.
Heureusement, certains éléments permettent aux lecteurs de souffler un peu. Le personnage de Raph fait redescendre la tension, et fait rire malgré la dureté de la situation, grâce à sa maladresse et son côté enfantin. Ces caractéristiques sont énumérés en rythme ternaire : "un peu timide, un peu pataud, et incapable de le blesser". Chaque fois que l'on se reconcentre sur ce personnage, celui-ci semble éprouver de l'empathie pour le faux Henry malmené. Il est en désaccord avec Renard, et cela passe par des phrases courtes dans lesquelles se trouvent un verbe au passé simple décrivant les réactions du personnages : "Raph sursauta." ; "Raph détourna le regard" ; "Raph ferma les yeux" ; "Raph grimaça"... Le faux Henry est persuadé d'être "l'unique et l'humain". C'est la raison pour laquelle il se considère comme supérieur aux autres Castafolte. Or, le lecteur sait que c'est faux, et son insistance sur ce fait provoque le rire : c'est de l'ironie dramatique. On la retrouve notamment dans l'épanorthose "Henry, le vrai Henry". S'il a peur, il refuse de l'admettre, sa mauvaise foi permet de s'échapper de la scène de torture. Bien sûr qu'il "n'était pas inquiet... ou... quoi que ce soit..."
Pour conclure, nous pouvons dire que le point de vue du professeur Castafolte imposteur permet non seulement de présenter un portrait ambivalent de Renard, mais aussi de faire comprendre l'importance du vrai Henry pour le Visiteur. C'est un véritable cauchemar que notre extrait, dont la tension est parfois relâchée par des procédés tels que l'ironie dramatique ou la présence de personnage amusant.
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claudehenrion · 4 months ago
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Retour sur images...
Quelque trois semaines après l'absurde coup de Trafalgar qui a, tout à la fois, terrassé la France et rendu les français temporairement aveugles (en les incitant à voter pour le ''nouveau front populaire'', seule partie mortelle du faux syllogisme posé par nos inconscients –qui, à force de mettre le signe ''égal'' entre deux choses qui ne peuvent pas être comparées (la Droite et l'extrême gauche), tournent autour du mot ''criminels''. Nous y reviendrons), on peut commencer à voir clair et à tirer les premières conséquences de ce séisme, fabriqué de toutes pièces mais qui ne peut être que mortel, à la fin de la partie.
Plusieurs fois par jour, depuis ce drame épouvantable, je suis comme saisi d'effroi en écoutant notre président, seul responsable de tout le ''merdier'' ambiant, roucouler et plastronner dans toutes les enceintes où il croit qu'on l'écoute encore (en réalité, il est le comique de service, moqué par tous les ''grands'' du monde –aussi petits que lui, mais qui savent s'arrêter avant l'obstacle, eux, au moins !), et décrire avec complaisance –et, on dirait, une sorte de jouissance-- les fausses bonnes/vraies mauvaises raisons pour lesquelles il aurait accompli ce grand pas en avant vers la mort de ce qui fut la France, notre chère Patrie, si fort aimée par ceux qui, ayant été confrontés à l'ancienne école et à l'ancienne culture, savent pourquoi il faut l'aimer.
A longueur de journée, on peut l'entendre faire comme si de rien n'était, donnant des leçons à tous ceux qui n'en veulent à aucun prix, commentant l'actualité –à laquelle il se confirme, comme nous le répétons ici depuis 7 trop longues années, qu'il n'a rien compris... mais alors là... rien de rien ! Survolons plutôt les sujets : sa défaite ? ''c'est lui qui l'a voulue'' (sic ! Et il s'imagine qu'un seul français va le croire)... la nouvelle assemblée ? Elle serait, à l'entendre, le fruit inévitable de l'évolution de je ne sais quelle situation, inventée par lui seul pour les besoins de sa démonstration ''ab absurdo''... le choix funeste de dissoudre ? Une idée de génie de son intelligence (Le premier qui en trouve une lueur a une grosse récompense !)... la campagne névrotique où la raison a cédé le pas à toutes les émotions, surtout aux plus télé-commandées (au sens propre du terme) ? Un progrès... Et ainsi de suite.
Le nouveau vocabulaire au goût du jour est kafkaïen (rappel : = cauchemardesque, absurde, angoissant et oppressant), en ce qu'iln'a pas le moindre rapport avec quelque vérité que ce soit, bien au contraire : il permet d'ostraciser brutalement une 20 aine pour cent de la population (NB : officiellement, ce chiffre serait de 10,7 %, les électeurs du RN. Mais tout le monde sait que ce mensonge de plus est loin du compte, si on y ajoute les naïfs, les cocus, les ''baisés'', les ''roulés dans la farine'', et ceux qui ont compris juste un peu trop tard qu'ils s'étaient fait ''avoir comme des bleus''... D'ailleurs, après l'immense provocation à quoi se résume la cérémonie d'ouverture des Jeux 2024, ce chiffre va exploser. Il est évident que tous ces ''fascisme''... ''guerre civile''... ''nazisme''... ''ultra-droite'', et tant d'autres aussi absurdes et aussi peu mérités (si ce n'est pour définir ceux-là mêmes qui les utilisent contre ceux auxquels ils ne s'appliquent pas le moins du monde) sont dictés par les ennemis de la France... mais beaucoup trop de braves gens, loyalistes par habitude du gaullisme, ont suivi les consignes de vote et ont fait élire des ennemis de la république, des survivants du trotskysme le plus éculé –mais toujours mortel-- et des salopards de tout genre (mais tous situés à Gauche : les chiens chassent en meute !) jusqu'à ''bordéliser'' notre présent et notre futur.
[Petite parenthèse : Sans qu'il soit besoin que je donne un avis sur la délicieuse scène toute rose, pleine de bon goût et de délicatesse représentant Marie Antoinette chantant ''la Lanterne'' avec la tête posée sur son propre torse, façon ''Samuel Paty'', leur vision de ''leur France'' ne fut qu'une longue suite de provocations contre le catholicisme, apportant, sans aucun doute possible, son lot de coups de poignard à la partition en deux du peuple français... qui n'a vraiment pas besoin de ça, après un quinquennat et demi d’œuvre sécessionniste qui faisait partie depuis le début –on le sait, maintenant-- du programme d'actions non-dites de notre président, progressouillard dans la masse. L'énorme raté de cette ''ouverture'' ( vers le néant) est tellement typique de leur progressisme de combat (en ''novlangue'' : le wokisme) que nous lui consacrerons un edito exceptionnel, dans les jours qui viennent.]
''La France'', dites-vous ? Mais de qui, de quoi voulez-vous parler ? Ou plutôt : ''Qu'en reste-t-il après le passage ravageur du macronisme ?'' L'Elysée totalement hors sol, poursuivant, seul contre tous (sauf Mélenchon) son rêve progressiste de détruire la totalement la France et la civilisation judéo-chrétienne, coupé des français (sauf les habituels 17 à 19 % qui ne veulent rien voir, rien entendre, rien comprendre, depuis le début)... un gouvernement fichu à la porte avec armes et bagages mais qui se débat ''quoi qu'il en coûte''… une assemblée artificiellement rendue ingouvernable... ne hypra-gauche violentissime et menteuse qui (se) raconte qu'elle aurait gagné –par le biais tordu de ''combinazzioni'' contre nature qui vont exploser dès les maroquins distribués... un pays solidement scindé en deux camps dont l'un ,--et c'est une première-- refuse de serrer la main de l'autre... (au nom, sans doute, de la ''fraternité''?)... des pouvoirs (législatif et exécutif) qui se mêlent dans l'action perverse et se marchent sur les pieds au nom de l'égalité ou de toute autre faribole –... c'est cela qui reste, ''Macrone Consule'' de notre ex-fière triade ''Liberté – Egalité – Fraternité''. Montesquieu... Au secours !
Notre ''marqueur'' le plus visible ? Une présidence qui exclut sans vergogne quelque 10 millions d'électeurs (sans doute le double, en chiffres vrais) de tout droit à l'existence, le tout (et bien davantage) au nom de grands principes dont aucun n'a le moindre sens... qui refuse et interdit de parler de la dette (devenue ''macronienne'' à force d'être volontairement incontrôlée)... de l'immigration (qui a dépassé toutes les limites normalement admises et qui explose avec les encouragements des pouvoirs publics et d'une ''justice'' qui n'a plus rien de ''juste'')... de l'insécurité devenue folle, mais d'autant plus niée, relativisée et excusée par des idéocrates criminels... On savait que rien ne pouvait être plus nuisible que le progressisme. Je crois que personne n'avait pu prévoir à quel point...
H-Cl.
PS : un vrai ''gag'', pour conclure ce tableau : au terme du défilé nautique, aquatique et pluvieux des délégations, le drapeau olympique a été hissé en grande pompe au Trocadéro, en face de la Tour Eiffel, dans un décor sublime et des rangées de sièges... vides. Malheureusement, le drapeau a été hissé… à l’envers, les cinq anneaux représentant les cinq continents... la tête en bas. Je pense que rien ne peut donner une meilleure image de ce qu'est devenue la France : ''cul par dessus tête'', déjà à ce stade de sa destruction programmée et bien entamée... Ou allons-nous ?
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biblicallyaccuratefour · 5 months ago
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I have made Faux's voice claims- It took me a while to find the perfect voice claims for them- ;-;)
(Character voice: Raine Whispers from The Owl House | VA: Avi Roque)
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lifestyletheblog · 5 months ago
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Les cosmétiques thaïlandaises : ce qu’elles nous cachent réellement.
La cosmétique prend une place on ne peut plus importante dans nos vies. Ainsi, de nos jours, nous utilisons au quotidien des produits cosmétiques variés. Même si certains sont douteux, ils remplissent nos salles de bains. 
Cependant nous ne nous posons pas vraiment de questions sur leur composition (est-elle bonne ? moyenne ? ou médiocre ?), leur lieu de fabrication, s’ils ont- ils étés élaborés dans les normes et de la meilleure manière possible ? 
Pour répondre à nos besoins sur ce sujet, les marques de nombreux pays se battent pour se faire connaître et satisfaire leur clientèle du monde entier. L’un des plus grands exportateurs de cosmétiques du monde est la Thaïlande.  Ce pays connu pour ses plages, montagnes et îles tropicales nous cache en réalité bien des secrets en ce qui concerne ses cosmétiques.
Plongeons ensemble dans le monde des cosmétiques thaïlandaises, afin de découvrir ses secrets les mieux cachés en ce qui concerne notre beauté.
La Thaïlande, pays grandiose. Mais qu’en est-il réellement de ces produits ?
En 2022, la Thaïlande a  exporté 2,2 milliards d’euros de produits cosmétiques de beauté et d’hygiène aussi variés les uns que les autres à travers le monde tels que des produits capillaires, de maquillage, des parfums et bien d’autres.
Malgré tout le positif que nous pouvons entendre à propos de ces produits Thaïlandais, de nombreux problèmes ont cependant étés relevés. Parmi ceux-ci, des ingrédients non étiquetés sur l’emballage comme le mercure (substance toxique) que peuvent contenir les crèmes blanchissantes pour la peau. Ces crèmes  sont très recherchées notamment en Afrique alors qu’elles sont responsables de problèmes de peau, de développement de cancers ou de maladies cardiovasculaires. Mais le mercure n’est pas le seul ingrédient néfaste à noter. En effet, il y a également les conservateurs et additifs interdits dans de nombreux pays en raison de leurs effets néfastes sur la santé. De plus, des cas d’effets secondaires graves ont aussi été relevés (après usage de ces produits) tels que des réactions allergiques et de fortes irritations de la peau. 
Il ne faut pas oublier que les marchés locaux de la Thaïlande regorgent de produits cosmétiques contrefaits fabriqués par imitation de marques célèbres et sans respect des normes de sécurité pourtant obligatoire. 
De nombreux produits cosmétiques en Thaïlande sont commercialisés avec des promesses de résultats immédiats et miraculeux. Malheureusement ces promesses peuvent induire en erreur les consommateurs cherchant des produits particuliers qui deviennent donc inefficaces ou potentiellement dangereux. Ceux-ci peuvent également afficher de faux labels de certification prétendant avoir étés testés et approuvés par des agences de santé. Ils ont pour conséquence de tromper le consommateur sur la vraie qualité du produit et la sûreté de leur utilisation.
Pour pallier tous ces manquements, le gouvernement thaïlandais avait tenté de renforcer les contrôles. Cependant, la réglementation reste souvent moins stricte que dans d’autres pays ce qui permet à des produits de qualité inférieure de circuler librement. 
En ce qui concerne les plateformes de vente en ligne, celles-ci sont souvent inondées de faux avis positifs qui ont pour but d’induire en erreur le consommateur. Malheureusement, les acheteurs ne peuvent plus distinguer simplement les produits considérés comme de qualité.
Mais alors, pourquoi ces produits Thaïlandais attirent autant les consommateurs ?
En réalité, l'accès à ces produits est relativement simple, en un simple clic ou en se rendant directement en magasin, nous pouvons trouver une large gamme de produits pour tous types de requêtes. 
Ces produits sont souvent beaucoup moins chers que ceux des marques occidentales, japonaises ou même africaines. C’est cette accessibilité financière qui attire de nombreux consommateurs, en particulier ceux à la recherche de solutions moins chères pour leurs produits de beauté. Cependant les consommateurs sont également attirés par les emballages attrayants et colorés qu’utilisent les marques thaïlandaises. 
Concernant les produits cosmétiques, les consommatrices à la peau noire et métissée vivant en Afrique ou dans la diaspora ont une certaine image grandiose et exotique en tête de la Thaïlande et des pays d’Asie de manière générale. En effet, cette image contribue à l’attrait des produits cosmétiques Thaïlandais que les consommatrices associent à des remèdes traditionnels et efficaces.
Tout cela nous amène donc à comprendre l’importance d’une attention particulière envers les produits cosmétiques que nous utilisons qu’ils viennent de Thaïlande ou de n’importe quelle région du monde. Les nombreux risques existants de certains produits Thaïlandais ne veulent pas dire qu’il faut arrêter d’en acheter mais qu’il faut juste apprendre à dénicher les perles rares adaptées à notre peau et à nos besoins. Cela nous permettra de minimiser au maximum les risques tout en participant à l’économie de nos pays d’Afrique.
Emma THERON
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if-you-fan-a-fire · 1 year ago
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"Les voleurs ne demeurent pas inactifs," La Presse. May 31, 1933. Page 15. ---- Ils emploient maintenant toute une série de trucs pour faire des victimes. ----- AVIS DE LA POLICE ---- Les voleurs, par le temps qui court, ne restent pas inactifs. Ils emploient les trucs les plus ingénieux pour tromper leurs victimes. Maintes plaintes viennent d'être faites à la police depuis quelque temps sur la manière d'opérer des escrocs. Leur stratagème est en principe très moderne. On se présente dans un logement où on sait la femme seule et à qui l'on annonce que le mari vient d'être blessé. Le voleur s'offre de la conduire à l'hôpital. Chemin faisant, il s'aperçoit qu'il a oublié quelque chose. Il revient sur ses pas pour aller faire main basse dans la maison. Les faux vérificateurs de compteurs sont encore nombreux. Tout dernièrement, il s'en présenta un dans une famille. Pendant qu'il invitait la femme à suivre le mouvement des aiguilles, il se transportait dans une autre pièce pour s'emparer d'une sacoche et de bijoux.
Un autre truc est celui de la location de chambres. Un individu loue une chambre, présente un chèque et se fait remettre la différence en argent. D'ailleurs le chèque est sans provisions.
Une question d'héritage est toujours importante. Voici que l'individu se présente dans une maison. Il dit à la femme qu'un parent mort aux Etats-Unis lui laisse une petite fortune. Mais, pour faire vérifier les documents, il faut une somme de $14.00. Il disparait pour ne plus re- venir.
Le patron d'un établissement est absent. Un bandit remet à un des employés un colis payable sur livraison. L'employé paye et au retour du propriétaire, on constate que le colis ne contient qu'un morceau de bois.
La police demande aux citoyens d'être plus prudents à l'avenir et de rapporter immédiatement ces cas au poste le plus rapproché.
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thepeculiarbird · 10 months ago
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WIP Extract
Thanks @kaylinalexanderbooks for tagging me!
So I'm going to put the french version first and I'll translate in english as best as I can. I apologise in advance if the verb's tenses are wrong.
French:
-C'est juste un pont! s'exclame Dan quand elle aperçoit la structure en fer. Qu'est ce que les touristes lui trouvent de si attirant? Je suis pris d'un fou rire en voyant le visage des deux locatrices qui n'ont pas très bien pris la remarque de notre amie. -Danaé, je tiens à souligner que ces deux femmes faisaient autrefois parties d'une secte, si tu vois ce que j'insinue, répondit Madhi, étouffant un rire. La jeune fille fait une grimace et fouille dans le sac son copain pour y sortir l'appareil photo. Elle nous fait signe de nous regrouper derrière elle, une fois que tout le monde est dans le cadre, elle appuie sur le bouton. -Tu n'aurais pas pu le faire avec ton portable au lieu d'utiliser de la place sur ma carte mémoire? rétorque Madhi à la seconde où la photo est prise. -C'est plus joli et puis il faut bien qu'il serve à quelque chose, tu ne prends quasiment jamais de photos avec! -Vraiment? Je l'utilise si peu que ça? Il se tourne vers moi, voulant sûrement connaitre mon avis. Comme si j'étais la personne idéale pour répondre à cette question! -Disons qu'un vrai expert de la photographie aurait déjà terminé sa carte depuis le temps. Dan mets ses mains sur sa bouche, se retenant de rire tandis que l'intéressé ouvre dramatiquement la bouche et d'un faux air offensé, se rapproche et se penche, laissant entre nous que quelques centimètres. -Peut-être mais je reste le meilleur d'entre nous, se vanta-t-il. J'entends le rire bruyant de notre amie ainsi que deux plus petits, ceux des guides. [...]
English:
"It's just a bridge!" shouted Dan when she spotted the iron structure. What do the tourists find so appealing about it? I laughed out loud at the looks on the faces of the landlords, who didn't take our friend's remark very well. "Danae, I'd like to remind you that these two women were once part of a cult, if you know what I mean" replies Madhi, stifling a laugh. The girl makes a grimace and reaches into her boyfriend's bag to pull out the camera. She waves us to gather behind her, and once everyone is in the frame, she presses the button. "Couldn't you have done it with your mobile instead of taking up space on my memory card?" retorts Madhi the second the photo is taken. "It's nicer and it has to be used for something, you hardly ever take photos with it! "Really? I don't use it that much?" He turns to me, probably wanting my opinion. As if I was the ideal person to answer that question! "Let's just say that a real photography expert would have finished his card by now." Dan puts her hands over her mouth, holding back a laugh as the interested party dramatically opens his mouth and, with a false air of offence, moves closer and leans over, leaving only a few centimetres between us. "Maybe, but I'm still the best of us" he brags. I can hear the loud laughter of our friend and two smaller ones from the guides. [...]
Yea, that's my extract, I'll fix some things in draft 2 but it's a pretty good scene (Chapter 8)
Tagging: @sarandipitywrites @raiden-makoto @jaelink
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savoir-entreprendre · 10 months ago
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La réputation en ligne est précieuse, mais elle peut être vulnérable aux attaques des faux avis. Ces critiques trompeuses peuvent ternir votre image, influencer les décisions des clients et impacter votre entreprise. Cependant, il existe des moyens efficaces de protéger votre réputation en ligne contre ces faux commentaires. Voici six stratégies essentielles à mettre en œuvre dès maintenant. 1. Surveillez Votre Présence en Ligne La première étape pour contrer les faux avis est de surveiller attentivement votre présence en ligne. Utilisez des outils de surveillance et des alertes pour être informé dès qu'un avis suspect est publié sur vos plateformes. Cette vigilance proactive vous permettra de réagir rapidement et de limiter les dégâts. 2. Encouragez les Avis Authentiques Favorisez les avis authentiques en encourageant vos clients satisfaits à laisser des retours positifs. Offrez-leur des incitations pour partager leurs expériences réelles, ce qui renforcera la crédibilité de votre entreprise et diluera l'impact des faux avis. 3. Répondez aux Avis de Manière Professionnelle Qu'il s'agisse d'avis positifs ou négatifs, répondez toujours avec professionnalisme. Adressez-vous aux clients mécontents de manière calme et empathique, en leur offrant des solutions ou en demandant à discuter de leur expérience. Cela montre votre engagement envers la satisfaction client et atténue l'impact des faux avis. 4. Identifiez et Signalez les Faux Avis Apprenez à repérer les faux avis en examinant attentivement leur contenu. Cherchez des schémas récurrents ou des langages similaires. Si vous détectez un faux avis, signalez-le aux plateformes concernées pour qu'ils prennent les mesures nécessaires. 5. Privilégiez la Transparence La transparence est essentielle pour bâtir la confiance. Soyez transparent quant à votre entreprise, vos produits et services. Publiez des informations détaillées et authentiques pour dissiper les doutes suscités par les faux avis. 6. Engagez des Professionnels de la Gestion de Réputation Si la situation devient critique, envisagez de faire appel à des experts en gestion de réputation en ligne. Ces professionnels possèdent les compétences et les outils nécessaires pour évaluer, nettoyer et restaurer votre réputation en ligne de manière efficace. En conclusion, la protection de votre réputation en ligne contre les faux avis nécessite une approche proactive et stratégique. En surveillant de près votre présence en ligne, en favorisant les avis authentiques et en réagissant avec professionnalisme, vous pouvez contrer les effets néfastes des critiques trompeuses. Restez vigilant et prenez des mesures pour préserver l'intégrité de votre réputation en ligne.
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