#faut s'imposer
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Vous savez quoi ? Y a pas assez de systèmes français sur tumblr. Vous êtes tous cachés derrière l'anglophonie (comme nous mdr)
Faut changer ça! Donc on va créer un tag pour nous, les systèmes francophones: sysfr.
#c'est bon faut se rebeller#y en a marre de parler anglais partout#faut s'imposer#ptdrr je sens que ça va flop mais osef#sysfr#actuallyplural#system stuff#comment je tag ça#j'ai pas envie d'utiliser les tags avec les termes médicaux parce que bon.#c'est un peu hors sujet de balancer une rébellion dans leurs tags mdr#systèmes français pspspspsps venez on va être potes#Frank ⟨🌹⟩#après que ça marche ou pas je vais continuer à utiliser ce tag#parce que flemme de parler anglais je suis une BILLE#bref#c'est tout pour moi allez ciao#original posts
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YESSS ! Les amis de mon fils sont rentrés chez eux. Retour à la vie normale ! Le calme et la paix, tout ce que j'aime ! Les 3 prochaines semaines seront un peu chargées entre la rentrée des classes et le mariage, même petit, qu'il faut tout de même gérer. J'essaie de ne pas stresser, de ne pas m'angoisser mais ce n'est pas si simple. Au final ce qui m'angoisse le plus, c'est que la femme de mon père vienne chez moi et constate que plus je vieillis et plus j'en ai rien à foutre du ménage et de l'état de mon appartement ! Mais bon, je suis comme ça, je dois l'assumer. Ce sera toujours plus facile que de remettre mon appartement aux normes sanitaires que ma belle-mère s'impose.
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«Le Discord estant en l’Homme par la contrariété envers l’Esprit et la Chair» (Marguerite de Navarre)
«Seuls les morts auront vu la fin du combat.» (Platon)
Et si le véritable combat se livrait toujours à l’intérieur de l’ordre symbolique lui-même ?
N’est-ce pas là que se déroulent de toute éternité les luttes entre les représentants d’une humanité toujours déjà effondrée, se trahissant elle-même, et l’homme qui s’efforce de tenir debout, combattant pour conserver sa tenue, se fortifiant dans le combat?
Les combats spirituels de l'humanité européenne peuvent être abordés comme des combats entre des "philosophies", et compte tenu de l'approche psychanalytique de la perversion qui peut être dite comme celle du "déni de la dimension subjective à proprement parler", une véritable lutte à mort de pur prestige oppose:
• aux philosophies "perverses" qui font l'apologie de l'individu compris comme un être naturel, corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un monde conçu comme le lieu "naturel" de son inscription, un "monde social" dans lequel il entretiendrait a priori des rapports avec ses semblables…
• la philosophie authentique, celle de l'hystérique, qui fut donc inaugurée par Socrate, et dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son manque-à-être, un sujet divisé par la question de savoir ce qu'il est pour le désir de l'Autre, ce que l'Autre attend de lui, un sujet qui ne peut se concevoir que dans le retrait, une radicale extériorité par rapport à la prétendue "réalité objective" qui apparaît dès lors comme une contradictio in adjecto.
L'écart entre les deux conceptions tient au statut de la "réalité": dans un cas, la réalité est donnée par avance: "il faut faire avec", alors que pour la philosophie authentique, celle qui prend son essor avec Socrate, la réalité est constituée par la manière dont le sujet se trouvant toujours déjà lui-même pris dans un certain rapport à ladite "réalité", il en questionne les coordonnées…
Le moment inaugural de sa liberté consistant en un refus radical de se trouver lui-même intégré dans la chaîne des causes et des effets.
La structure élémentaire de la subjectivité repose en effet sur un "pas tout" de la causalité.
Pour le psychanalyste, l'acte véritable, le seul acte digne de ce nom, est celui d'une suspension de la réalité constituée, donnée par avance. La théorie analytique rejoint ici l’acmé de la pensée de Hegel pour qui la réalité apparaît comme posée, constituée par le sujet, et non pas simplement quelque chose qui s'impose à lui de l'extérieur…
Ce que la pseudo-psychanalyse, la psychanalyse d’institutions, la psychanalyse "molle" qui ressortit du Discours Universitaire (psychologie) a perdu, c'est cette dimension cruciale d'une réalité posée par le sujet, la conduisant à différer du sens commun (comme du "discours scientifique"…) qui accepte la "réalité externe" comme un postulat donné par avance, une "objectivité", une "normalité" à quoi l'appareil psychique devrait se raccorder, se connecter, "s'adapter"...
Pour le psychanalyste authentique, il ne s'agit pas de "faire changer la réalité", mais de rectifier les rapports du sujet au réel, de telle sorte que le sujet puisse changer les coordonnées à partir desquelles se constitue, pour lui, ce qu'il appelle "réalité" qu’il distinguera du réel qui n’en est que la grimace.
En témoigne le cas de cet analysant inconsolable à qui fut posée la question: "si vous pouviez recréer exactement la même femme, votre femme qui est morte, seriez-vous capable aujourd'hui de l'aimer en lieu et place de votre femme?", la réponse fut décisive: "non, elle ne pourrait pas être la même!"
En énonçant ces mots, l'analysant mît un terme à son "état dépressif". Il avait réalisé que la place vide ne pouvait être remplie par aucun désir.
Il s'était tenu au bord de l'impossible, l'impossible de remonter le temps, l'impossible de retrouver le passé, l'impossible qui structure et conditionne l'ordre des possibles…
Réel est l’un des noms de cet impossible.
Entre nous et le Réel, il y a la vérité…
Pour Freud, la vérité de la souffrance est d’avoir la vérité comme cause.
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Dans l'« héroïsme tragique », dans ce sentiment de la vie tout à la fois sombre, déchaîné et sauvage, qui serait donc, selon certains, inhérent à l'âme nordique, il faut voir en fait des traces de tout ce qui a trait à l'écroulement d'une très ancienne civilisation. On sait combien certains, à partir de Wagner, ont divagué sur le « crépuscule des dieux ». Or, le vieux terme nordique ragna-rökkr doit en réalité être traduit – de façon moins romantique mais plus juste – par « obscurcissement du divin » (les « dieux » et le « crépuscule » ne sont que de simples images mythologisées). Il ne s'agit donc pas ici de se référer à la vision du monde spécifique d'une race ou d'une civilisation données, mais bien à des événements, à des faits qui rentrent dans le cadre historique et, en partie, dans le cadre cosmique, cadre envisagé par les anciens enseignements, que connut aussi l'Antiquité classique, relatifs aux quatre âges du monde (par exemple, l'âge du bronze et du fer chez Hésiode correspond à l'âge du « Loup » de la tradition nordique des Eddas). Mais il faut mettre en évidence ceci : au-delà de ces souvenirs, du caractère tragique et sauvage de ces faits, l'âme nordique, elle aussi, a connu une vérité plus haute.
Celui qui possède la préparation nécessaire reconnaît facilement que, dans la mythologie même des Eddas, l'essentiel ne correspond pas au pathos de l'apparition des forces élémentaires déchaînées et au combat contre elles, ni à certains détails des sagas qui se ressentent d'ailleurs de superstitions populaires et d'influences étrangères. L'essentiel, dans la tradition en question, se rapporte en revanche à des contenus fondamentalement « olympiens ». On rappellera, pour la démonstration, l'idée du Midgard, qui reflète la conception d'un centre suprême et d'un ordre profond du monde, et qu'on peut déjà considérer, d'une certaine manière, comme la base métaphysique de l'idée d'empire ; puis le symbolisme du Walhalla comme mont dont la cime glacée et brillante resplendit d'une éternelle clarté plus forte que toutes les nuées, sans oublier le thème de la Lumière du Nord sous ses nombreuses variantes.
On trouve en premier lieu le symbole du siège d'or de Gladsheim, « plus brillant que le soleil » ; le château royal d'Oegier, qui accueille les Ases et dans lequel l'or – symbole traditionnel de tout ce qui est incorruptible, royal et solaire – exprime la puissance d'une lumière ardente ; l'image de la demeure céleste de Gimlé, « plus belle que toute autre et plus resplendissante que le soleil », qui « subsistera même quand ciel et terre déclineront » – et ainsi de suite. Dans ces thèmes, et dans beaucoup d'autres, malgré leur caractère fragmentaire, un regard entraîné découvre obligatoirement le témoignage d'une dimension supérieure de la vieille mythologie nordique.
Et la conclusion suivante s'impose : tout comme l'homme de l'Antiquité classique, l'homme nordique et germanique a connu un ordre supérieur au monde du devenir et à une réalité tragique et élémentaire. Selon la Völuspá et le Gylfaginning, après le ragna-rökkr apparaissent un « nouveau soleil » et « une autre race » ; les « héros divins », les Ases, reviennent sur l'Idafels et retrouvent l'or qui symbolise la tradition primordiale de l'Asgard lumineux et l'état originel. Au-delà des brouillards de la �� Forêt », règne donc une lumière plus pure. Il y a quelque chose de plus fort que le devenir et la destruction, que la tragédie et le feu, que le gel et la mort. Rappelons-nous les mots de Nietzsche : « Au-delà de la glace, du nord, de la mort – notre vie, notre joie ». Ceci est vraiment l'extrême profession de foi de l'homme nordique, une profession de foi qu'on peut qualifier, en dernière analyse, d'olympienne et de classique.
Julius Evola, L'Arc et la Massue
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"Personne n'ignore que les cancres sont à leur affaire dans les classes turbulentes, où les élèves méritants se noient. Le jacassement distrait le groupe, le chahut le désintègre. Faute de silence, pas de réussite. Les monastères fondent la piété sur cette règle évidente : pour accueillir la parole divine, il faut se taire. Pareillement, le silence s'impose pour accueillir celle du maître. Impératif battu en brèche : les salles de cours sont des volières. Interdire aux élèves de téléphoner en classe semble à beaucoup un sacrilège. Enseigner, métier à risques : quelle meilleure preuve du discrédit qui fait du savoir une guenille et du silence un joug ? Les élèves transportent la société tout entière dans leurs cartables : ses gadgets, ses PlayStation, ses iPad, ses jeux en ligne, son tumulte. Il est certain que, dans un environnement bruyant, l'inspiration s'alourdit et que les méninges se traînent. Élaborer un plan complexe requiert une paix confiante. Même un questionnaire à réponses multiples en réclame. Ni l'attention ni la raison ne résistent aux ailes d'un moustique. Pascal, dans ses Pensées, à propos du philosophe: «Ne vous étonnez pas s'il ne raison ne pas bien à présent ; une mouche bourdonne à ses oreilles ; c'en est assez pour le rendre incapable de bon conseil. » Il faut vivre en live. La vitesse croissante de circulation des données, des informations, des transferts financiers, des échanges commerciaux nous dérobe le temps que pressure l'actionnaire. Les délais sont proscrits, la flânerie paresseuse, la syntaxe superflue. Les longues phrases, avec leurs entrelacements de propositions, rejoignent la langue châtiée au rayon du temps perdu. Proust qui, écrivant dans son lit, boulevard Haussmann, protégé des bruits de la rue par les plaques de liège qui couvraient les murs de sa chambre, parle dans Sodome et Gomorrhe de « la plénitude nourricière et charmante du silence », n'aurait plus même l'idée d'écrire La Recherche. Trop de subtilités, trop de détours. On le prendrait pour un esthète, pour un nuisible. Des phrases longues d'une page! Solution : en faire un téléfilm, de qualité si possible. Un loisir improductif est, d'un point de vue économique, un scandale. On a troqué la plume contre l'ordinateur et le plomb d'imprimerie contre l'électron : gain de te mps fabuleux. Mais au prix fort : la surface des écrans supplante les plis du papier, la vidéosphère la graphosphère, la vie immédiate la longue durée. Les experts succèdent aux savants, les bateleurs aux poètes, l'émotion réflexe à la pensée construite, l'usage du pidgin à la maîtrise de la langue, et l'apoplexie sonore aux méditations. Quant à ceux qui souhaitent encore lire, écrire, ou simplement converser comme des sages, qu'ils vivent sous cloche."
Jean-Michel Delacomptée
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Il y a des jours, comme ça....
Tout ce que le monde compte de faux visionnaires, de prophètes de malheur, d'oracles aveugles et de professionnels de la divination sans vision ni futur ni ''vista''... s'est, une fois de plus, ''planté-la-gueule'', lamentablement. Trump est élu glorieusement et le monde continue de tourner, et plutôt mieux, dès le lendemain. Devant la déroute --qui a tourné au fiasco ridicule-- de la totalité des opinions ''prêtes-à-penser'' de la soi-disant ''intelligentzia mondialisée'', on pourrait avoir honte pour eux. Il ne faut pas. D'ailleurs, aucun n'a demandé pardon pour nous avoir tant menti.
Je suis tout de même ''scotché'' devant l'aveuglement sans limite et persistant de tout notre personnel politique, devant la malhonnêteté intellectuelle de nos journalistes, devant la volonté ''d'avoir tout faux'' de notre fausse ''intelligentzia'' (corpus des philosophes, instituts de sondage, et autres groupuscules inutiles, trompeurs et menteurs) : pas un seul d'entre eux n'a entrevu le moindre petit coin de ce qui crevait les yeux.
il y a quelques mois, dans ''Un éléphant, ça Trump énormément'', j'avais écrit : ''En 2024, 46 % de la population mondiale va voter,et cela devait, selon toute logique, ''foutre pas mal de bordel''. Hélas, pour notre plus grand malheur, notre président, triste Sire, vient de jeter aux orties une unique chance pour le France de redevenir ce qu'elle est et ce qu'elle méritait d'être –et pour nous, d'être enfin heureux à nouveau : il suffisait de ne pas tripatouiller le vote des français.... Il ne nous reste qu'à pleurer sur cette chance perdue et à nous rabattre sur l'un des autres choix électoraux qui marqueront cette année; celui des USA : ''Se Trumper or ne pas se Trumper''... c'est ça, la question !''
Trump est le prototype de ce que le ''système en place'' doit détester, haïr et ''conchier'' –pour parler comme Aragon... Tout l'appareil médiatique a donc, par technique, pris l'habitude d'ajouter quelques mots dévalorisants à chaque fois qu'on parle de lui ! Au lieu d'un normal ''Trump a fait ou dit ceci ou cela'', on a droit, sans la moindre exception, à des périphrases dévalorisantes : ''Trump, ce trubion, a été jouer au golf... Trump, ce danger pour la paix du monde, a éternué … Trump, l'ennemi du progrès (ou de l'humanité...), a dit bonjour à une dame...''. C'est simple : on ne le cite que pour montrer le mal qu'on pense de lui ! Dans les ''dîners en ville'', il faut prendre l'air consterné pour révéler ce grand secret sans la moindre preuve : ''Trump... c'est le mal...''.
La profondeur de notre désinformation constitue une défaite de l'intelligence, de la liberté et de la démocratie. En France, comme ils le font pour tout ce qui touche au RN, les partisans du contrôle des espritsont réussi à faire prendre leurs mensonges pour ''LA'' vérité... ce qui nous ramène deux ans en arrière aux heures les plus noires de la vaccination anti-covid (vous souvenez-vous ? ''Tous vaccinés, tous protégés'' (sic ! Quel culot, quand même !)... avec la garantie présidentielle d'une contamination inévitable, en cas de non-vaccination. Deux ans plus tard, la vérité arrive enfin à s'imposer, sauf en France où le système est plus verrouillé que partout ailleurs : nos progressistes, vraiment vicelards, ont tout bloqué !
Eh ! Bien, ce sont ces mêmes techniques de répétition ''H 24'' qu'ils appliquent à propos de Poutine et de Trump... et de tout opposant à leur mal-pensance réputée bien-pensante. Nos progressistes-menteurs ont tort sur à peu près tout, et racontent n'importe quoi... mais ils osent tout et, jusqu'à l'acte de courage des américains, avant-hier, ça leur a plutôt réussi : ne pas être d'accord avec leurs énormes mensonges suffisait à déchaîner leur haine et leur violence, sans un seul argument ayant un lien avec le sujet .
Qu'on ne se méprenne pas : je n'ai jamais pensé que Trump puisse être … autre chose que ce qu'il est. Mais il n'est pas pire, non plus ! Pour les ''suivistes'' enrégimentés, le drame des drames ne serait ni les idées ravageuses de la Gauche, ni les mensonges des progressistes, ni l'islamisme, ni l'inflation, ni ''la crise'', ni ce qu'ils appellent le covid ou le climat… ni même le Poutine que ces ''myopes-par-système'' voudraient nous faire croire qu'il est... Non ! C'est le fait que Trump puisse être élu par quelque 70 ou 80 millions de citoyens américains, majeurs et vaccinés, libres, conscients, sachant lire et écrire... et même penser ! A contre-position, osons dire : le seul vœu qui puisse être fait, urbi et orbi, c'est ''Tout, sauf Kamala Harris... Tout sauf un progressiste de plus à la Maison Blanche : le tsunami Obama a déjà tout pulvérisé, sauvons le peu qui reste !''
''Et je concluais : quelles sont les chances de Trump de revenir à la Maison Blanche ? A ce jour, il est impossible de le dire : il ''pèse'' déjà dans les 75 millions de votes et il lui reste donc un bout de chemin à parcourir, ce qui explique la prudence des instituts de prévision.... Pour une fois, je suis bien incapable de prendre position franchement, et je préfère donc conclure ce billet par un ''Que sera, sera...'' teinté d'un grand espoir de victoire pour ce candidat si anti-système : ça compenserait (un peu) la terrible défaite récente de la France, incapable de se bâtir un vrai futur...''
Ce qui veut dire que même moi, avec mon mauvais caractère, j'ai plié devant les affirmations sans preuve du ''système'' : je n'ai pas osé dire que je voyais Trump gagner très largement. Mais maintenant que la foire aux mensonges est fermée (et il faut espérer : ''pour longtemps'') on peut enfin crier la vérité : l'humanité tout entière --bien au delà de ce pauvre Occident qui a subi tous les bobards des progressistes-- en a marre de toutes leurs balivernes, de tous leurs mensonges et de toutes leur inventions, toutes mortifères.
Nous, les hommes normaux --1,5 Mrd de Chrétiens, 1Mrd de musulmans, 1 Mrd d'hindouistes, etc... etc... contre quelques poignées de progressistes qui se sont frauduleusement emparés des manettes, à grands coups de mensonges-- nous n'avons qu'une envie globale : que les hommes redeviennent des hommes, les femmes des femmes, le couples de couples, les parents des parents et le monde... ce qu'il doit être. Toutes vos idées tordues qui ont sali nos esprits et pollué la planète nous sortent par les yeux, depuis vos fausses libertés anthropophages... jusqu'à vos fausses égalités ''sur le papier'', et depuis nos enfants dont il faudrait respecter un pseudo-désir ce changer de sexe à l'âge de 5 ou 6 ans... jusqu'à vos réécritures de l'histoire dont le seul but est de dresser la moitié de l"humanité contre l'autre... On ne veut plus de drag-queens dans nos écoles et on refuse d'être en permanence mis en accusation par des nuls au casier judiciaire trop fourni...
Vous vous êtes bien amusés, à nos dépens ? A nous de rire, maintenant. Pas pour se venger de vous : vous n'êtes rien que des boîtes crâniennes vides. Non : pour retrouver un vrai monde, conforme à sa vocation et à ce qu'il n'aurait jamais du cesser d'être. Vous avez imaginé que vous alliez réussir ? Mais il ne faut jamais douter du potentiel de l'Homme ! Une page vient de se tourner... et on ne peut que s'en réjouir... même si la France est un des pays les plus gravement atteints par le progressisme mortifère.
H-Cl.
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« Plus un poète est grand, plus sa vie propre - quel qu'en soit le contenu - s'impose à lui comme foyer d'une énigme universelle. En s'efforçant d'exprimer cette énigme, il l'approfondit, et son existence concrète avec elle, de façon littéralement déchirante. Sujet privilégié de contradiction, le poète est ainsi le témoin d'une souffrance irréductible qu'il cultive, jusque dans la maladie et la faute, comme l'instrument d'une connaissance cachée. »
Pierre Emmanuel - Baudelaire, la femme et Dieu
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Rencontre. Quelle place accordons-nous aux rencontres ? Au fait de pouvoir parler à de nouvelles personnes et de se donner le droit, l'autorisation, la possibilité de découvrir de nouveaux horizons. J'aime croiser de nouvelles personnes pour la richesse qu'elles renferment en elles. Cet inconnu qui se trouve sous mon nez renferme des mystères auxquels je ne peux actuellement pas accéder. Pour cela, je dois apprendre à le connaitre. C'est intrigant, non ? Je n'ai d'ailleurs aucune idée à quel point cet être me laissera explorer ce qu'il possède en lui. Chaque personne est un monde en soi. Chaque personne possède des connaissances, des compétences, des souvenirs, des histoires, des intérêts, des comportements qui lui sont propres. Bref, une vie. La joie d'une rencontre, c'est la satisfaction de découvrir ce nouveau monde. De l'effleurer, de pouvoir lui dire bonjour et par petit pas, voir à quel point la personne en face nous laisse entrer. Qu'est-ce qu'elle aime ? Comment voit-elle la vie ? A quoi pense-t-elle ? Il n'est pas question de briser l'intimité. Il n'est pas question de s'imposer non plus. Chaque personne est libre de laisser qui elle veut entrer dans son monde et de dévoiler ce que bon lui semble sur elle-même. Il ne faut jamais forcer. Je prends ce qu'on m'offre et j'ouvre au passage, si ça intéresse, une porte vers mon monde également. Ce n'est pas si simple une rencontre. Parfois, nous avons l'impression de n'avoir rien à partager. Après tout, la personne est un inconnu. Pourquoi faudrait-il lui dévoiler ce que nous sommes ? Quel intérêt ? Pour nous, comme pour elle ? Et puis il y a les instincts, les émotions. Parfois, cette personne, vous ne la sentez pas, elle ne vous inspire pas confiance. Elle vous fait peut-être même un peu peur. Faire une nouvelle rencontre dans ces conditions, c'est tout de suite moins agréable. Mais, ça fait partie aussi du jeu de la rencontre. De voir s'il est possible ou non de passer outre la carapace de l'inconnu et de chercher les trésors cachés dans cet individu que vous ne connaissez pas encore. Chaque rencontre est une aventure. Partirez-vous en exploration ?
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24/05 Étape 50 Triacastela - Ferreiros
J'appelle cette étape : la Galice paysanne. Parti pour une étape de 33km (réservation à Ferreiros) un choix s'impose au départ : soit prendre l'itinéraire via Samos (ce qui nous rajoute 7 km) soit poursuivre el camino Francès . Nous sommes sages et restons sur notre étape initiale.
Et je dois dire que ce côté-là n'est pas mal du tout, avec traversé de nombreuses fermes, chemins sous les arbres, que j'apprécie en fin de parcours car soleil commence à chauffer.
Nous aurons l'occasion de nous désaltérer à plusieurs reprises, dans des bars ou vente au milieu d'un village en Donativo. A midi ce sera assiette de charcuterie et fromage à Sarria.
Sarria, ville de début d'étape pour les cent derniers km. Il faut savoir que pour obtenir la compostela, il faut au minimum parcourir les cent derniers km avec 2 validations par jour (tampons sur la Crédencial). Donc on a vu débarquer des américaines, (mais pas que...) avec d'énormes valises, qui demain partiront vers Compostelle avec portage des bagages. "Chacun son chemin".
Nous avons choisi, justement d'aller plus loin que Sarria pour, au moins sur une journée, éviter la foule sur le chemin, je vous en dirai plus demain. Nous avons établi notre halte à Ferreiros à un peu moins d'un km de la borne cent km. Déjà presque arrivé...
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Je ne sais pas trop quel est le projet. Pourquoi j'écris aujourd'hui. Tellement de choses se sont produites dans la vie.
Agression, rechute mais j'ai de solides pros qui m'entourent, maladies, toujours présente pour les patients. La vie, ce tourbillon qui vient éprouver le calme apparent.
NG .. est toujours NG : tantôt calme la tête dans ses livres, tantôt un volcan d'émotions ambulant. J'essaye de lui donner des clés pour apprendre à s'apaiser surtout quand elle est frustrée. Ce n'est pas gagné et parfois je me demande ce que j'ai fait de travers. On se réajuste, on accueille les émotions, je lis beaucoup et je tente d'appliquer pour que ça aille. Arf. Pourtant, aussi éreintant que cela puisse être, j'aime la voir grandir et devenir une fille. J'aime quand elle me raconte ses histoires rocambolesques. J'aime quand elle reste dans sa bulle avec ses livres. J'aime quand elle nous fait un show dans la salon. J'aime quand elle arrive à laisser sa sœur faire de même sans l'interrompre. J'aime l'autonomie qu'elle acquiert mais j'apprécie quand elle a tout de même besoin de moi par moment. J'aime la voir élaborer des plans pour atteindre ce qu'elle souhaite et j'aime l'encourager quand selon elle, il n'y a pas d'espoir.
Bebe coccinelle devrait se rebaptiser en catcheuse pro : ce n'est pas du tout Ng. C'est normal, me direz-vous! Plutôt introvertie, il faut vraiment être proche d'elle pour espérer voir un demi sourire sur son visage. Elle est plutôt dans le style "action réaction". Grimpeuse pro, prise de risque à 400%, têtue, regarde dans le blanc des yeux pour faire ses expérimentations autrement bêtises ahahah ! Et puis sans comprendre vraiment, on a droit à de gros câlins et sa sœur aussi. C'est une boule d'amour qui s'impose. Elle est d'une patience impressionnante pour faire des choses qui peuvent être agaçante. Téméraire et déterminée mais aussi maligne. J'aime cette petite personne qui a su prendre sa place rapidement dans ce trio.
Les 2 forment un duo très comique. Entre chamaillerie et câlins, les mots doux, les blagues, les parties de cache cache. La construction d'une fusée avec 7382928392 km de scotch et des cartons. A quoi acheter des cadeaux si c'est pour qu'elles passent du temps dans des cartons ?
L'Homme ? L'Homme est toujours là après un gros passage à vide. C'était prévisible vu ce qu'on a vécu. Un passage aux enfers. Mais l'Homme reste l'Homme. On avance. On s'épaule. Dans les moments compliqués, on serre les dents ensemble même si ce n'est pas évident. Je le redécouvre et lui aussi. Il n'est pas parfait mais il est toujours celui qui me convient. On doit vieillir ensemble. C'est ça le plan.
Je poursuis ma thérapie avec une psy, une nutritionniste, mon médecin pour ma santé qui jn est pas au beau fixe.
Voilà. Un peu de moi dans un néant de post.
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Le règlement de TNM
Quelques opus du règlement à découvrir à l'ouverture.
Bien le bonjour en ces contrées noircies par les nuages de l'horizon. Un avant goût des prémices des règles d'Atalan, l'empire dans lequel une seule chose est vraiment importante : le respect de soi et des autres.
Nous privilégions ici au plus possible une forme d'auto-gestion. Nous sommes toustes des grandes personnes, des joueur.ses aguerri.es, qui sommes capables de savoir ce qu'il est bon ou non de faire en communauté.
Si le staff choisit de faire à 100% confiance à ses membres pour tout ce qui est de l'ordre des rps (vous êtes pleinement libres d'écrire à votre convenance, nous n'avons pas à vérifier votre prose), ou encore des comptes (doubles, triples, as you like), cela implique aussi une intransigeance quant à tout ce qui relève des interdits implicites comme explicites à toute vie en communauté : toute discrimination de toute sorte, raciale, sexuelle, liée au genre, à l'âge, à quoi que ce soit, en fait... donnera lieu à un bannissement.
Le respect de soi aussi est fondamentale. Vous passerez toujours avant le rpg, tout comme votre vie personnelle. Quelques petites conseils du comte Vicar, faites attention à ce que vous partagez sur la toile, faites attention à vous, ne vous excusez pas d'être qui vous êtes, ni de faire ce que vous aimez, ni de votre prose, demandez de l'aide dès que le besoin s'en fait ressentir, et si vous êtes amené.es à nous quitter, vous nous manquerez. C'est tout. Jamais nous ne vous culpabiliserons. Et ne laissez jamais les autres le faire. [...]
Afin de préserver la cohérence et le respect pour les célébrités, un maximum de cinq ans de différences entre l'avatar et le personnage sont exigés. Il est également fortement déconseillé de choisir un faceclaim ayant des démêlés avec la justice, renseignez vous un minimum, nous avons un choix tellement important qu'il est dommageable de se tourner vers quelqu'un.e de peu recommandable.
Attention là encore à la cohérence au niveau des origines (les Syràn étant une race réputée pour sa peau mâte, il serait logique et préférentiel de se tourner vers des faceclaim de couleur. A l'inverse pour les elfes, notamment, connu.es pour leur peau diaphane). Une explication de dilution génétique dans la fiche de présentation peut permettre quelques exceptions à ces règles.
L'avatar est réservé automatiquement au post de la fiche pour une durée de sept jours. Il n'y aura pas sur ce forum de compétition, hormis pour un scénario si lea joueur.se le souhaite. [...]
Votre aventure se poursuivra donc avec le rp. Peu de règles sur ce forum à ce propos : aucune ligne minimum, aucun minimum de rp par mois ou quoi que ce soit. Nous n'avons aucune légitimité à juger votre prose. Le rp doit être un plaisir, et non une pression.
[...] Nous accordons une grande importance aux triggers warnings. Premièrement, ils ne sont pas optionnels dans les profils et doivent être remplis pour que la validation ait lieu. Deuxièmement, nous vous encourageons à user et abuser de la balise tw pour indiquer vos triggers warnings.
Enfin, n'hésitez pas à discuter avec vos futur.es partenaires de rp de ses limites et des vôtres. Il est important que vos envies convergent.
Quelques règles d'écriture s'imposent concernant l'univers du forum : nous sommes sur un med-fan, de ce fait, il faut être vigilent.es sur la cohérence. On évite les appels téléphoniques, les Jeep Renegades, les iphones et les Airmax !
Nous achevons ce pavé par quelques informations concernant les gestions diverses sur ce forum. [...]
Au niveau des autres gestions, la seule demande est de prévenir le staff en cas de compte multiple, de changement divers (faceclaim, pseudo, informations sur vos personnages). Nous vous faisons également confiance concernant les objets gagnés dans vos inventaires, à vous de les modifier.
(icons par MEMORY CARD VIII)
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J’adore votre pfp de Castti, elle était ma protagoniste quand j’ai joué à Octopath 2!
Désolée si mon français est étrange, je suis pas native!
Bonjour ! Et ne vous en faites pas, votre français est super ! (honnêtement, sans la petite précision, je n'aurais pas deviné que vous n'étiez pas francophone ^^' )
Et contente que vous aimiez aussi Castti ! Elle était aussi ma première voyageuse dans ce jeu et un de mes personnages préférés des huit avec Hikari et Agnéa ! Et même si Oswald est le perso que j'aime le moins des 8 (sans le détester, c'est un très bon personnage aussi mais, je ne l'ai vraiment apprécié que lors de son dernier chapitre), elle a tout de même une bonne dynamique avec lui tout du long.
J'adore son histoire et sa personnalité ! C'est une adulte responsable (fanon / headcanon perso : c'est elle qui gère l'argent du groupe pendant leur voyage !), qui sait prendre des décisions au bon moment et quand il faut s'imposer pour le bien de tous ! Et le chapitre où on apprend son passé m'a vraiment fait pleurer tellement ça faisait mal pour elle... juste... elle en a bavé, a tout perdu et malgré tout, elle reste forte et garde son objectif de sauver le plus grand nombre malgré tous...
En plus, même en terme de gameplay, elle est très solide, peut empoisonner les ennemis (c'était très marrant de tuer Mugen sur les dégâts du poison pendant sa deuxième phase !), ses soins sont ultra efficace sur tout le monde, et elle frappe vraiment très fort tout le monde ! Elle casse vraiment des bouches et elle est à l'aise dans toutes les autres classes !
En tout cas, contente de rencontrer d'autres fans d'Octopath ! C'est un fandom assez calme et / ou silencieux alors, ça fait plaisir de croiser la route d'autres fans !
(j'espère que ce n'est pas indiscret mais, j'ai lu sur votre billet épinglé que vous n'aviez pas joué au premier Octopath et, si vous avez l'occasion, je vous le conseille, c'est aussi un bon jeu mais, c'est vraiment une version primitive du 2 avec tous les défauts d'un premier jeu d'une série alors, il est bien moins aboutit que le second, même si les personnages sont aussi très attachant)
#octopath traveler 2#avis de curieuse#civis hotcuppacocoa#réponse à des questions#et zut... encore des pavés... j'espère juste que je n'ai pas mis trop de formule alambiqué difficile à comprendre...#j'ai essayé de ne pas trop en mettre ou alors de mettre un équivalent plus simple à comprendre à côté ou dans le contexte#en tout cas bienvenu.e au club des fans d'Octopath Traveler 2 !#Et dans celui des fans de Castti !#Faudrait que je la dessine un jour... même si je fais plus dans le Fire Emblem 3 Houses...#en tout cas merci pour votre question !
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(Il y a deux ans jour pour jour)
Combats philosophiques, philosophie du combat
Et si le véritable lieu du combat etait l’ordre symbolique? N’est-ce pas là que se déroulent de toute éternité les luttes entre une humanité toujours déjà effondrée et une humanité qui se tient encore debout, et qui combat pour conserver cette tenue, et la fortifier dans le combat?
Les combats spirituels de l'humanité européenne peuvent être abordés comme des combats entre "philosophies", et compte tenu de la définition psychanalytique de la perversion qui est celle du "déni de la dimension subjective à proprement parler", le véritable combat oppose:
• aux philosophies "perverses" qui font l'apologie de l'individu compris comme un être naturel, corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un monde conçu comme le lieu "naturel" de son inscription, un "monde social" dans lequel il entretiendrait a priori des rapports avec d’autres…
• la philosophie authentique, celle de l'hystérique, qui fut inaugurée par Socrate, dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son manque-à-être, un sujet divisé par la question de savoir ce qu'il est pour le désir de l'Autre, ce que l'Autre attend de lui, un sujet qui ne peut se concevoir que dans le retrait, une radicale extériorité par rapport à la prétendue "réalité objective" qui apparaît dès lors comme une contradictio in adjecto.
L'écart entre les deux conceptions "philosophiques" tient au statut de la "réalité": dans un cas, la réalité est donnée par avance: "il faut faire avec", alors que pour la philosophie authentique, qui prend son essor avec Socrate, la réalité est constituée par la manière dont le sujet se trouve toujours déjà lui-même pris dans un certain rapport à ladite "réalité", il en questionne donc les coordonnées…
Pour le psychanalyste, l'acte véritable, le seul acte digne de ce nom, est celui d'une suspension de la réalité constituée, donnée par avance. La théorie analytique rejoint ici l’acmé de la pensée de Hegel pour qui la réalité apparaît comme posée, constituée par le sujet, et non pas simplement quelque chose qui s'impose à lui de l'extérieur…
Ce que la pseudo-psychanalyse, la psychanalyse d’institutions, la psychanalyse "molle" qui ressortit du Discours Universitaire (psychologie) a perdu, c'est cette dimension cruciale d'une réalité posée par le sujet, la conduisant à différer du sens commun (du "discours scientifique"…) qui accepte la "réalité externe" comme un postulat donné par avance, une "objectivité", une "normalité" à quoi l'appareil psychique devrait se raccorder, se connecter, "s'adapter"...
Pour le psychanalyste authentique, il ne s'agit pas bien entendu de "faire changer la réalité", mais que le sujet puisse changer les coordonnées à partir desquelles se constitue, pour lui, ce qu'il appelle une "réalité".
En témoigne le cas de cet analysant inconsolable à qui fut posée la question: "si vous pouviez recréer exactement la même femme, votre femme qui est morte, seriez-vous capable aujourd'hui de l'aimer en lieu et place de votre femme?", la réponse fut décisive: "non, elle ne pourrait pas être la même!"
En énonçant ces mots, l'analysant mît un terme à son "état dépressif". Il avait réalisé que la place vide ne pouvait être remplie par aucun désir.
Il s'était tenu au bord de l'impossible, l'impossible de remonter le temps, l'impossible de retrouver le passé, l'impossible qui structure et conditionne l'ordre des possibles…
Réel est l’un des noms de cet impossible.
Entre nous et le Réel, il y a la vérité.
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Écriture et dépression
Donna Tartt écrivait dans le Chardonneret : "Si la souffrance rend noble, alors lui c'est un prince"
La souffrance est une esthétique bien connue et popularisée dans le monde artistique et notamment la sphère littéraire. Les chansons d'amour triste, les tragédies antique dépeignant la tristesse et la difficulté de l'existence, les courants philosophiques...
Bref, souffrir c'est stylé.
Écrire sur cette souffrance, ça l'est encore plus. J'ai en tête de file Baudelaire et ses Fleurs du mal qui dépeint la beauté dans l'horreur.
Depuis la nuit des temps, les écrivains utilisent leur vécu et puisent en eux pour produire des textes géniaux ou juste horribles (dans le bon sens du terme). Qui n'a jamais rêvé de l'écrivain torturé qui écrit à la lueur de sa bougie sur son bureau tout en se lamentant sur son existence ?
Qui n'a jamais rêvé que son mal être serve son génie ?
Car il faut bien l'admettre, si l'écriture est un exutoire pour certains, la course à la productivité et la qualité devient presque une raison d'être pour d'autre. Le défouloir vient justifier une obsession, il devient un prétexte.
C'est pour ça qu'aujourd'hui je viens discuter de dépression et d'écriture en abordant l'angle de la romantisation de la souffrance.
Un jour, quelqu'un m'a dit "Si tu fais de l'art, alors tu es un artiste". Quand j'y repense, cette phrase parait si simple mais a réussi à désamorcer en moi les nombreuses heures et journées passées à douter de moi-même et de ma légitimité à être une autrice, une écrivaine, une artiste.
Parce que finalement, peut-être qu'il ne suffit que de produire et de faire pour être, n'est-ce pas ?
Ou peut-être que non.
Peut-être que pour être un artiste, se considérer comme tel, il faut pratiquer un art et le pratiquer bien. Et finalement, savoir si on écrit "bien" ou "mal" dépend de beaucoup de critères extérieurs aux notres.
Le piège, quand on fait de l'art et que l'on ne va pas bien, c'est que l'on essaye de maintenir cet état pour continuer à produire quelque chose que l'on considère comme "bon".
J'aime imaginer la dépression comme un monstre qui se nourrit toujours plus de nos idées noires, de nos insécurités, de notre mal-être. Plus cette bête grandit, plus elle est capable de partager avec nous ce qu'elle consomme pour grandir, nous obligeant à la nourrir toujours plus.
On va mal alors on ne sort pas, mais il faudrait sortir pour aller mieux mais on n'a pas la force de le faire alors... Le cycle continue.
Tout ce que je dis relève de la métaphore, je sais bien évidemment que la dépression est une maladie capable de revêtir bien des aspects selon les périodes et les personnes.
Quand on est plus bas que terre, que rien n'est capable de nous rendre heureux, que plus rien n'a de goût, l'écriture peut représenter un phare dans une mer de ténèbres. La seule lumière, le seul plaisir que cette maladie est capable de nous accorder.
Mais peut-être que écrire n'aide pas autant que ça.
Peut-être que oui, ça aide à se changer les idées, à faire quelque chose quand la seule action que tu peux effectuer dans tes pires jours c sortir de ton lit pour aller aux toilettes et effectivement mettre ses pensées sur papier permet de s'en décharger un peu mais écrire c'est aussi une discipline que l'on peut s'imposer pour produire quelque chose.
On parle souvent de l'impact et l'effet que certaines lectures peuvent avoir sur le lecteur mais pas assez de ce que les écrits peuvent faire à son auteur.
Quand les seules choses que l'on arrive à écrire est à l'image de notre état mental, on finit par se dire que c'est finalement la seule manière possible de pondre quelque chose de potable.
Quand on se dit que la beauté de nos mots ne réside que dans le mal-être que l'on décrit alors on se force à rester dedans pour écrire toujours plus de "belles choses", de bons textes.
J'imagine que le terme "se forcer" semble un petit peu fort mais pour moi, c'est l'un des seuls capable de décrire le plus fidèlement ce processus.
Je sais bien qu'il est plus facile de se replonger dans son mal être qui, en étant quotidien, ressemble presque à une couverture chaude dans laquelle on se blottit en hiver. Et ici, je ne parle pas de complaisance mais plus, une recherche de bien être dans le malheur.
Écrire fait du bien, on se sent enfin utile, on arrive enfin à faire quelque chose alors même si pour ça il faut maintenir un état psychologique difficile, c'est un petit prix à payer en comparaison à tout le reste que cela apporte.
Si on reprend la citation du Chardonneret, les écrivains sont des membres éminents d'une noblesse tourmentée.
Sans que l'on s'en rende compte, la dépression et ses idées sombres viennent teinter chaque parcelle de notre créativité, s'imprègne dans les détails de nos écrits. Et c'est beau, certains auteurs basent tout leur ouvrage dessus.
Mais est-ce réellement nécessaire ? Est-ce réellement sain ? Les écrivains sont-ils réellement des êtres voués à exposer leur souffrance d'une manière géniale ?
Doit-on produire ou être un génie pour être auteur ?
"Si tu fais de l'art, alors tu es un artiste"
Il ne s'agit que de ça. À bas la "qualité", à bas le mot, le pertinent, l'inédit. À bas la sécurité de produire quelque chose qui ne sort pas des sentiers battus par peur, à bas l'envie de produire quelque chose de triste parce que sinon, on n'écrit juste pas.
Mes adelphes écrivains, mes scribouillards préférés, mes artistes incompris. Soyez indulgent avec vous-même et autorisez vous l'échec, le moche, le rien. Car tout ceci fait partie de vous et vous êtes des artistes.
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J'ai raté le NaNo 2022 et c'est pas grave
Avant de papoter sur mon "échec", qu'est-ce que le NaNoWriMo ? C'est un défi d'écriture où il faut écrire 50k mots en un mois. Pour plus de détails sur ce challenge, plutôt que de copier/coller Wikipédia, je vous partage la page dédiée à ce sujet ici :
Ce défi d'écriture ne nécessite pas forcément d'écrire au moins 50k mots en seulement un mois. Les règles se sont assouplies, et il est possible de prévoir des objectifs à la hauteur de ce que l'on souhaite écrire. Le principe reste le même : atteindre un nombre de mots dans un temps déterminé.
Je voulais me lancer dans l'écriture d'une nouvelle qui me tient très à cœur, j'ai tout ce qu'il faut depuis longtemps pour la construire, la consolider et, enfin, écrire un énième jet (j'en avais écrit plusieurs auparavant). Sauf qu'au bout de quelques jours, je suis à peine parvenue à commencer à écrire. Les semaines sont passées, et je n'ai quasiment rien fait. Une fois le NaNo fini, j'ai pris une décision : ne plus me stresser pour l'écriture. Entre la période qui n'était pas optimale, le désir de relever plusieurs défis sans me ménager, ne pas prendre de plaisir au moment d'écrire, car j'avais d'autres impératifs, le manque d'organisation, tout cela a eu raison de moi, malheureusement. Mes ambitions dépassaient trop mes limites.
Au moment où je commençais à culpabiliser, quelque chose m'a un peu sauté aux yeux : je m'étais mis beaucoup de pression en plus de viser un challenge trop haut par rapport à mes capacités et aux conditions. Pour tenter de comprendre ce sentiment, je me suis demandée dans un premier temps pourquoi et comment faire pour que je cesse de me mettre dans des états pareils. Une fois présent, ce ressenti créait un cercle assez vicieux où j'avais la sensation d'être enfermée dans des tâches littéraires interminables. Comme on a pu le voir et/ou l'entendre dans différentes vidéos et contenus de la communauté littéraire, on se presse trop pour les défis d'écriture, d'autant plus, je trouve, pour des évènements comme le NaNoWriMo ainsi que ses dérivés. En plus des autres soucis que l'on peut rencontrer au quotidien, il était hors de question que je culpabilise davantage pour un challenge que j'aurai, je l'espère, l'occasion de retenter.
J'en suis arrivée à la conclusion que s'imposer un rythme qui ne correspond pas à nos besoins et nos limites crée un lien "malsain" avec l'écriture. Oui, je sais, "merci Captain Obvious", seulement, je n'imaginais pas à quel point ça pouvait me plonger dans un mal-être aussi profond. Cette activité, avec un tel état d'esprit, devient anxiogène et c'est pour cette raison que le blocage s'est installé. On angoisse plus qu'on ne crée, on se fixe des objectifs qui ne correspondent pas à nos envies, nos capacités, sans compter la déception derrière. Car bien sûr "si d'autres y arrivent, pourquoi pas moi ?". C'est là que je me suis demandée dans un deuxième temps : d'où vient cet état d'esprit justement ?
Nous n'avons pas cessé de se le répéter, de le répéter à d'autres : chacun-e a une plume différente, une expérience avec l'écriture qui est unique. Nos parcours sont tellement divers qu'il serait impossible de les lister, bien que des similitudes puissent être visibles au cours de nos échanges. Seulement, le monde littéraire n'échappe pas à la logique concurrentielle et compétitive de notre "merveilleuse" Société. Entre les discours sur la productivité (faire tout dans un temps limité assez court et de manière efficace) et ceux sur la légitimité ("tu n'es pas un-e vrai-e écrivain-e si tu ne fais point ceci ou cela"), nous avons vite fait de culpabiliser, la moindre erreur ou l'abandon deviennent un dans ce cas un "échec".
Bien sûr, ce billet est personnel, je ne prétends rien en l'écrivant, juste partager mon ressenti et l'évolution de ce dernier. On nous apprend tant à suivre une cadence exigeante, et il y a tellement de compétitivité en général, que ce soit dans l'éducation, la création ou même socialement, qu'il devient difficile de prendre du recul. On se compare à d'autres comme si nous avons les mêmes moyens et le même vécu pour écrire, comme s'il fallait suivre un modèle unique, idéalisé, pour enfin se considérer, se sentir légitime et fier-e quand on produit une création littéraire. Après plusieurs années à écrire où je n'ai pas arrêté de dénigrer ce que je faisais, où j'ai culpabilisé de ne pas parvenir au bout de projets ou de challenges, j'ai décidé de me dire qu'en fait, ce n'est pas grave. Tant pis. Certes, nous ne pouvons ni changer nos biais liés à nos conditions de vie, elles-mêmes construites dans un cadre compétitif et qui vend la productivité comme un signe de réussite (ce qui est faux, vous avez le droit de ne pas produire, pas merci le capitalisme...) mais peut-être que dire tout cela et voir que le problème ne vient pas de nous, qu'il s'agit d'un souci bien plus complexe et vaste que ce que l'on pouvait penser, c'est déjà faire un grand pas pour arrêter de culpabiliser en permanence. Le plus important, selon moi, en attendant, c'est de prendre soin de soi, de s'écouter et de ne pas considérer que tout "échec" relève que d'une responsabilité individuelle. Il n'y a pas vraiment d'échecs parfois, je pense, et la fumée idéaliste de la réussite sociale dans laquelle on étouffe ne nous donne pas la possibilité de nous épanouir. Ne pas en avoir conscience, c'est normal, nous grandissons dans ce cadre qui nous empêche de voir au-delà de tout cela. Alors, j'espère qu'avec ces modestes paragraphes, vous y repenserez. De mon côté, je ne vais plus me précipiter et juste apprécier chaque instant d'écriture, chaque étape, même si elles semblent longues quand d'autres publient déjà dans des maisons d'édition, je garde en mémoire que ce qui me donne envie d'écrire ce n'est pas la reconnaissance, bien que cela nous fasse rêver, ne nous mentons pas. Ce qui me donne envie d'écrire, ce sont toutes ces bonnes choses que l'écriture me procure. Vivre des aventures que je ne vivrai jamais, rencontrer des gens dans un univers que j'ai imaginé. M'amuser, encore et toujours, ressentir mille émotions lorsque je dégaine ma plume, et voir également tout le parcours que j'ai effectué. Le tout, en encourageant les autres à aller au bout de leurs rêves et projets. Je vous souhaite de tout cœur d'atteindre vos objectifs tout en vous épanouissant. J'ai raté le NaNo, et ce n'est pas grave. Parce que mes projets verront le jour, et si ce n'est pas tout de suite, alors ce sera pour une prochaine fois.
Merci pour ta lecture et à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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Gog et Magog, ou le combat final entre le Bien et le Mal...
En même temps que de la rue, la folie s'est emparée du pouvoir : les autorités ne reculent devant rien et mentent sur tout ce qui ne va pas dans leur bon sens si mauvais... Par exemple pour continuer à nous persuader que le Covid aurait été un dragon qui renaîtrait de ses cendres, ils ont déjà inventé la grippe aviaire et la variole du singe. A quand la la phtisie du poisson rouge, la coqueluche du chihuahua ou la fièvre violette du gnou ? Notre seul espoir : une bonne grippe des politicards—que nous avons déjà pris en grippe...
Tout se met en place (et... ''en douce''!) pour que nous soyons prêts à nous soumettre à toutes leurs folies pour, soi-disant, ''nous protéger'' de fausses pandémies ou de fausses menaces inexistantes (dont l'envahissement de l'Europe par Poutine ! Un sommet, dans la créativité !)... Il faut dire que ''ça'' a tellement bien marché avec leur satané covid, qu'ils auraient tort de se gêner! Préparons-nous à un ou des ''remake(s)'' de la grande peur de l'an Mil, inspirée par l'Apocalypse selon Saint Jean –ce qui peut paraître étrange, venant de ces chantres (ou chancres ?) de l'anti-christianisme le plus enragé.
Mais ils ne sont pas à ça près : le ridicule ne tue plus, de nos jours ! La preuve ? Leur manque de panache et d'élégance : ''notre'' Apocalypse avait une autre gueule et une autre ''classe'' que ''le Great Reset'' de Klaus Schwab (dit ''le Sars-Cov II de Davos''). Quant à notre président, son ''il n'est pas possible que Poutine gagne'' alors qu'il est en train de gagner –sauf à établir contre lui de nouvelles règles-- peut nous mener à la vitrification ! Il est dangereux !
Petit rappel historique : de l'an Mil à l'année 1033 (soit ''mille ans après la naissance et la mort du Christ''), les peuples d'Occident ont tremblé : il était écrit que ''Les mille ans accomplis, Satan sortira de sa prison pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre : leur nombre est comme le sable de la mer...''. (Apo 2-27). Il m'arrive (et je ne dois pas être le seul !) de me demander si nous ne vivons pas des jours aussi remplis de monstres, de démons, de dragons (revus à une sauce dite ARN mensonger), de guerres qui n'en sont pas, qui pourraient éclater ou pas, quoique, etc... et de disparition des populations : notre temps ayant inventé l'infanticide légal in utero et s'apprêtant à légaliser l'euthanasie... plus de bébés, en France ni en Europe et, partant, plus aucun français, à terme, hors de pseudo-français ''administratifs'', sur le papier. Le processus est très largement engagé : l'Europe ne se reproduit plus, déjà. Mais tout le monde s'en fout : on regarde ailleurs, en disant ''c'est pas grave'' !
Un retour sur image s'impose ici : une étrange prophétie d'Ezéchiel (Ez. XXXVIII) montre un prince du nom de Gog, au pays de Magog, se mettant à la tête d'une coalition des peuples du Nord (serait-ce le premier nom de l'Europe ?) contre Dieu. Les noms Gog et Magog apparaissent plusieurs fois dans la Bible et dans le Coran, toujours en lien avec une grande bataille qui annoncera le retour du Messie. Côté ''civilisation judéo-chrétienne'', on cite le livre d'Ezechiel (où les peuplades païennes de Magog représentent métaphoriquement les forces du Mal), et l'Apocalypse de Saint Jean, qui parle du combat final (dit : la bataille d'Armageddon) entre le Bien et le Mal, à la fin des temps, lors de la parousie de Jesus-Christ. Ces symboles forts mais troubles, sont souvent confondus avec les ''Quatre cavaliers de l'Apocalypse'', symboles du combat eschatologique entre le Bien et le Mal.
Du côté ''monde islamique'', on parle de ''la mère des batailles'' (Oum al-Harb), qui verra la victoire et l'avènement d'al-Mahdi, ''le douzième Imam'' qui engagera une lutte terrible, avec son armée de partisans fidèles prêts au sacrifice, en un temps où ''le monde sera plongé dans l'injustice et la tyrannie''. Pour l'islam en effet, l'histoire est une lutte constante entre, d'une part, les forces du bien, de la vertu et de l'amour d'Allah, de la justice, de la foi, de l'égalité, du sacrifice, de la pensée correcte, de la pureté et de la vérité, et d'autre part, celles du faux et du mal, de l'égoïsme, du matérialisme, de l'injustice, de l'incroyance, de la discrimination, de la corruption, de la violation des droits des autres.
La bataille finale, qu'annonce une prophétie confortée par un Hadith, aura lieu près de la ville actuellement syrienne de Dabiq où, menacée par une horde d'infidèles, l'armée des musulmans, commandée par le Christ ressuscité (Je n'y peux rien : je raconte ce qui est écrit), est décimée mais finit par triompher. Le polythéisme, les mythes, l'injustice et la corruption s'effondreront alors, et la croyance en Allah, la Vérité et la Justice triompheront. Une société islamique (?) idéale (?) sera établie sur la terre, sous l'égide d'un gouvernement idéal (re- ?) : ''Un gouvernement mondial caractérisé par la justice et la droiture sera instauré. Il s'étendra de l'Est à l'Ouest. Tous les hommes vivront sous ce gouvernement dans un climat de paix, de justice et de prospérité. Le Gouvernement Divin établi après la chute des autres systèmes, réalisera les objectifs désirés. Bien qu'il soit d'une durée limitée, il sera le dernier mot dans la justice et la droiture. Il sera la fin de l'histoire''.
La situation dans laquelle nous sommes, à cet instant ''T'', est tellement grave (dans absolument tous les domaines) que le temps serait peut-être venu de se demander si nous ne revivrions pas --mutatis mutandis-- un moment iso-apocalyptique : en cinq ou six toutes petites très longues années, tout est renversé, saccagé, cul par dessus tête : les ''Quatre cavaliers de l'Apocalypse'', qui symbolisent la guerre, la famine, la maladie et la mort (et pas Lemaire, Mélenchon, Darmanin et Macron, comme certains le prétendent), rôdent autour de nous, encouragés et soutenus par les instances officielles. Ce ne ne sont certes pas les seuls dangers qui guettent l'humanité, nous le répétons souvent (au grand dam de ceux qui n'aiment pas qu'on appelle ''chat'', un chat), mais peut-on honnêtement échapper à l'idée générale que ''rien n'est plus comme avant'', que ''tout est chamboulé'' ou que ''on ne sait plus où on va'' ?
N'oublions pas que l'immense ''bataille d'Armageddon'', cet ''épisode final de la guerre entre Dieu et les gouvernements humains'', est annoncée depuis la plus haute antiquité : le Prophète Daniel (VIIè siècle av. JC) avait eu l'intuition d'une rivalité (que nous croyons moderne et récente et que nous attribuons, un peu vite, aux ''Lumières'') entre Dieu et les plus orgueilleuses de ses créatures. Et le Psaume 2:2 ( VI è siècle av. JC) racontait déjà que les gouvernements et tous leurs partisans s’opposent à Dieu, à qui ils refusent de se soumettre...
Or dans un livre récent, ''Bio Essay'', deux chercheurs de l’Université de technologie de Singapour, Kang Hao Cheong et Michael Jones, voient aujourd'hui, quatre conditions facilement observables qui poussent notre civilisation vers une autodestruction maso-pathologique possible. Ces néo- ''cavaliers de l'Apocalypse'' qui menacent l’humanité seraient, disent ces chercheurs : la surpopulation, la mondialisation, l’hyperconnectivité, et l'attrition du nombre de chaînes d'approvisionnement (''qui faciliterait la transmission de maladies contagieuses, donc des crises sanitaires majeures'').La tragi-comédie du covid, ''qui a dévoilé de graves failles dans la dynamique mondiale, la gouvernance et la santé publique'' serait, selon ces chercheurs, un exemple des catastrophes qui pourraient frapper l’humanité, comme une ''Apocalypse 2.0''.
Car franchement, qui aurait pu penser que les rodomontades, dites ''sanctions'', déchaînées (contre nous, bien plus que contre la Russie !) par les Rambos de nos Palais nationaux allaient si vite foutre par terre nos économies, nos structures, nos systèmes et nos sauvegardes ? Ah ! les cons ! Un an plus tard... nous sommes coincés dans des engrenages de catastrophes imprévues... sans possibilité d'interruption ni ''de passer notre tour''.... et ayant perdu tout espoir de gagner cette guerre, malgré les torrents d'éloquence vide de toute raison de notre personnel –très nul !
La crise actuelle aurait, selon toute logique, dû amener une prise de conscience collective et une remise en question du système, afin d’empêcher que des catastrophes encore plus graves ne se produisent.... question qui nous ramène à notre sujet du jour : Que pourraient représenter de nos jours les symboles portés par Gog et Magog ? Devant l'urgence dramatique de ces questions angoissées, je reviens, comme rituellement, à ma vieille idée : ''La folie est sortie des asiles''... Et la réponse se précise, avec le temps qui passe : c'est ''Oui'' !
H-Cl.
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