#faut s'imposer
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Vous savez quoi ? Y a pas assez de systèmes français sur tumblr. Vous êtes tous cachés derrière l'anglophonie (comme nous mdr)
Faut changer ça! Donc on va créer un tag pour nous, les systèmes francophones: sysfr.
#c'est bon faut se rebeller#y en a marre de parler anglais partout#faut s'imposer#ptdrr je sens que ça va flop mais osef#sysfr#actuallyplural#system stuff#comment je tag ça#j'ai pas envie d'utiliser les tags avec les termes médicaux parce que bon.#c'est un peu hors sujet de balancer une rébellion dans leurs tags mdr#systèmes français pspspspsps venez on va être potes#Frank ⟨🌹⟩#après que ça marche ou pas je vais continuer à utiliser ce tag#parce que flemme de parler anglais je suis une BILLE#bref#c'est tout pour moi allez ciao#original posts
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YESSS ! Les amis de mon fils sont rentrés chez eux. Retour à la vie normale ! Le calme et la paix, tout ce que j'aime ! Les 3 prochaines semaines seront un peu chargées entre la rentrée des classes et le mariage, même petit, qu'il faut tout de même gérer. J'essaie de ne pas stresser, de ne pas m'angoisser mais ce n'est pas si simple. Au final ce qui m'angoisse le plus, c'est que la femme de mon père vienne chez moi et constate que plus je vieillis et plus j'en ai rien à foutre du ménage et de l'état de mon appartement ! Mais bon, je suis comme ça, je dois l'assumer. Ce sera toujours plus facile que de remettre mon appartement aux normes sanitaires que ma belle-mère s'impose.
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saga: Soumission & Domination 348
Florian préparation 1er contrat
La mise aux enchères de la première prestation de Florian est encore plus disputée que celle de Romain. Les deux qui avaient loupé le premier se battent jusqu'à dépasser le montant de Ludovic. Un nouveau record chez moi !
Rien qu'avec cette prestation il peut assurer ses études d'ingénieur. Pour ne pas le stresser à l'instar de Romain, je ne lui donne pas le montant. Par contre je le préviens des caractéristiques du client.
Il est black 50ans dans les 1m80 pas bedonnant mais enrobé et surtout une bite de 26x7. Soit le même diamètre que sa queue mais 8cm plus longue.
C'est de lui-même que Florian me demande si je peux le réparer. Il sait, par mes autres escorts que je suis très attentionné à leur bien-être physique.
Nous prenons tout un WE pour cela. Il débarque dès le vendredi après ses cours. Au blockhaus, il y a PH, Ludovic, João et Romain (celui-là est en train de s'imposer souvent auprès de notre brésilien) et moi bien sûr.
Quand Florian arrive, on organise le WE. Il a du travail en plus de son " rodage " et du sport.
Vendredi :
Nous commençons tous ensemble par une heure de muscu. A la fin de la séance, avec Romain, il me guide dans les mouvements au sol. Il estime que ma carrure due à l'immobilisation de mes jambes, devrait sans problème me permettre ce travail. Sans être gauche, j'ai un peu de mal à trouver les équilibres de certaines positions.
La douche nous entraine directement au premier épisode de sexe. Florian nous excite et nous titille en argumentant qu'il doit s'y mettre tôt pour pouvoir être prêt à la fin du WE. Il entame par une série de pipes sur nos 5 bites dressées devant lui. Elles s'enfoncent dans sa gorge sans problème. Même la plus longue, celle de João et ses 22cm ! Évidement ça ne reste pas à ces préliminaire et rapidement on s'encule tous à tour de rôle. En paire ou même en trio, les bites remplissent les trous et nous finissons notre séance de muscu par une bonne heure de " cardio " ! Le final : PH encule Romain, Ludovic João et moi Florian. Cotes à cotes, nous les défonçons en levrettes. Ils jutent dans leurs mains pour ne pas saloper le tatami alors que nous remplissons nos kpotes. Nouveau passage aux douches puis nous montons diner.
C'est un première pour nos deux nouveaux de diner avec nous. Mais d'un autre côté, je ne vais pas obliger Florian à retourner à son internat et de toutes les manières João m'avait demandé de garder Romain avec lui. Je ne vais pas refuser alors que c'était une des raisons pour lesquelles j'ai embauché notre gymnaste !
Pour la nuit par contre c'est chambres séparées. Au moins au début de la nuit. João accueille Romain dans sa chambre et nous en donnons une autre pour Florian.
Sous vidéo surveillance, nous voyons arriver Florian. Après un instant de surprise João le laisse entrer. Florian leur explique que comme il n'a que deux jours pour se mettre à niveau, il ne faut pas qu'il perde son temps. Et sans attendre leurs réponses, il se coule sous la couette après avoir fait voler son slip.
Je ne vois plus d'hésitation quand les deux se coulent de chaque côté.
Au départ on ne voit (hé oui mes potes sont accrochés à l'écran eux aussi !) pas grand-chose que des mouvements sous la couette. Pui João la rejette au pied du lit et nous avons alors une vue complète.
Ils sont déjà dans un 69 triangulaire où Florian suce João qui suce Romain qui ferme le triangle en suçant la bite de Florian. En plus de l'image le son des succions nous parvient. Ils se donnent vraiment les trois jeunes ! Je change de caméra pour mieux voir. Celle du plafond nous montre qu'ils s'avalent jusqu'aux couilles tous.
Mais ce n'était qu'un hors d'oeuvre car les kpotes et le gel sortent des tables de nuit. Romain et João se couvrent et à deux alternent dans le trou de Florian. Quand c'est Romain qui l'encule, João ajoute deux puis bientôt trois de ses doigts dans le trou. Romain s'y met aussi quand c'est le tour de João de défoncer Florian. Il se graisse bien les doigts et les coulent progressivement le long de la queue de son mec pour augmenter le diamètre. Quand je vois qu'il arrive lui aussi à mettre trois doigts je sais que ce sera bon pour le client. Sous ces traitements c'est Flo qui part le premier. Romain avait prévu le coup et mis une serviette de toilette sur le matelas. Les deux compères lui jutent sur le dos tour à tour. Ils disparaissent quelques minutes sous la douche et se recouchent ensemble, là, pour dormir.
Samedi :
Réveils vers les 8h00. Petit déjeuner léger, passage à la piscine pour une bonne demi-heure de natation. Les gymnastes ne sont pas dans leur élément mais ils s'améliorent.
Ils enchainent sur du travail au sol puisque les barres parallèles et les anneaux sont en commande. Je fais mes premiers pas à leur côté. Moi aussi je m'améliore avec la pratique même si je suis très très loin d'arriver ne serait-ce qu'à leur cheville !
Retour au 4ème où nous complétons notre petit déjeuner par une bonne dose de protéines.
10h30 j'embarque tout le monde faire les boutiques. Les nouveaux ont de toutes les façons besoin d'étoffer leur garde-robe. Les tenues officielles sont déjà acquises donc c'est pour le " tous les jours ". Si les jocks, slips, boxers et autres shortys arrivent par commandes en lignes, ce n'est pas le cas du reste.
Avec PH et Ludovic on a un peu l'impression de jouer à la poupée (enfin vous me comprenez).
Passage à la boutique LEVI'S où les jeunes essayent des Skinny 510 en bleu et gris qui sont adoptés même si nos deux gymnastes ont les fesses un peu serrées. On en ressort avec 2 paires pour chacun plus un 513 et un 511 et les ceintures qui vont bien. On se fait encore quelques boutiques où nous trouvons des styles plus chics. Pantalons, pulls, chemises et polos remplissent les sacs. On les force à se trouver un blouson qui leur plait même s'ils commencent à me dire que ça suffit, qu'on a dépensé assez. Dernière étape les chaussures. Boots et Caters, nous entassons les 6 paires dans le coffre de la 300C.
Il est 13h et nous avons faim. Nous déjeunons en ville. On envahi un restaurant gay-friendly, au moins notre " tenue " ne choquera personne. On se fait plaisir même si nous devons forcer les jeunes à choisir en fonction de leur goût et non du prix. Retour au blockhaus pour un second café. Les trois jeunes sont excités et me disent que je les ai trop gâtés. Je les décomplexe en leur assurant que c'est un investissement que je fais sur eux. Romain et João ont déjà rapporté à ma société et Florian bientôt. Donc pas de soucis pour eux.
On ressort dans l'après-midi mais direction les boutiques d'articles de sport. Leurs joggings fatigués m'abiment les yeux. Ils choisissent Adidas ou Nike pour les survets. Je dois les forcer pour qu'ils ne prennent pas le bas de gamme. PH m'aide et Ludovic contrôle.
Retour au blockhaus pour un gouter. Faire les boutiques nous a creusés et nous faisons un sort à ce que Samir nous avait préparés.
Nous passons le reste de l'après-midi dans l'eau, plus à jouer au ballon qu'à aligner les longueurs. Evidement on se chauffe, s'attrape, se chatouille et ça dérape évidemment. Les maillots glissent de nos fesses même s'ils sont retenus par nos bites triomphantes. Les contacts se font plus chaud, les mains s'accrochent aux " aspérités "de nos corps respectifs (par là il faut entendre nos queues). Les trous sont aussi de bons points d'arrimage et les doigts trouvent parfois des anus accueillants. Avant que nous n'ajoutions nos secrétions à l'eau claire de la piscine, on sort pour s'étaler sur le tatami. Les serviettes servent quelques instants à immobiliser " l'adversaire " en plus de nous sécher. Une mêlée de type : footeux qui vient de marquer un but, ajoute à l'excitation de nos corps pleins d'hormones. Les bouches se cherchent et se trouvent ou tombent sur des glands appétissants. La place est grande et naturellement nous formons un cercle où chacun tête la bite d'un autre. Au moins dans un premier temps. Puis c'est bites et rondelles, avant de se fixer sur rondelles exclusivement. Pendant un moment on entend plus que des " slurp " des " laps " et autres bruits mouillés.
Le cercle se disloque et on passe aux choses sérieuses. Enculages, sodomie et pipe simultanées, sodomies en série, nous testons plein de positions. Nous profitons des spécificités de Romain et Florian pour des positions un peu acrobatiques qui entrainent des chutes heureusement sans gravité pour les bites qui les labourent à ce moment-là. J'aime bien les trous de mes nouveautés (même si j'adore aussi ceux ce PH et de Ludovic). Surtout le cul de João, ma bite blanche tranche entre ses deux fesses chocolat/cuivré. J'aime la voir s'enfoncer et disparaitre dans le noir. Et si ce que j'entends est sincère et je n'ai pas de raison d'en douter, elle fait du bien par où elle passe.
En final, après que João et Romain aient préparé Florian comme la veille au soir, je tente la double sodo avec Ludovic (PH est plus gros !). Nos 5 et 5 réunis et compressés n'en font que 7,5 à 8, mon 20x5 est légèrement ovale. Bien graissé et gazé par PH, il s'ouvre à la pressions de nos deux glands. Mes deux autres recrues aident. Entre félicitations, encouragement, pelles et caresses diverses, ils l'amènent à se détendre et à descendre sur nos queues. Et cm par cm puis mm par mm il nous prend entiers. Il s'en aperçoit quand ses fesses se posent sur nos cuisses. Il réalise alors et rugit de plaisir.
Couché sur le dos comme Ludovic et collés par nos périnées, nous n'avons pas la main pour imposer notre rythme. C'est donc Florian qui fait tout il se défonce la rondelle avec application et n'hésite pas à s'appuyer sur ses deux collègues pour faire l'ascenseur, ses bras sont plus forts que ses cuisses.
D'ailleurs on change assez rapidement pour une prise plus simple.
Je reste sur le dos et il vient s'enfoncer sur ma bite face à moi. Je le tire contre mon torse et Ludovic s'agenouille entre mes cuisses et ajoute sa bite à la mienne. Là c'est lui qui bosse et en plus de la compression de la rondelle de Florian, je profite du frottement de la queue de mon amour tout contre la mienne. Vu ma position, je ne mets qu'environ 15/16cm dans le cul de Florian et Ludo pousse comme cela son gland jusqu'au mien et même plus loin. Et cette percussion me fait un effet de décharge électrique à chacun de ses passages.
Ça fait aussi beaucoup d'effet à notre récipiendaire. Il hâlette quand il arrive à se dégager de la langue de João ou de Romain quand ce n'est pas des deux. J'en profite aussi, nos têtes étant voisines, je récupère quelques pelles collatérales.
PH ne peut se retenir et encule mon Ludovic. Je le ressens aussitôt dans la compression de ma bite. Ludo réagit à la défonce de sa rondelle par un surcroit de sang dans sa bite. Florian s'en rends compte aussi et un long gémissement ponctue le nouvel emboitement.
Florian est le premier à se lâcher et je sens son sperme se faufiler entre les différents packs de nos abdos compressés. Il contracte sa rondelle d'une telle force que j'explose à mon tour et que Ludovic me suit.
Dans la chronologie, PH termine pour ceux qui s'étaient enfilés.
Quelques minutes avant de se dégager tous. Là nous découvrons que les deux " laissés de côtés " se font plaisir avec un 69 vorace. Sous nos yeux, ils avalent la bite de leur partenaire jusqu'aux couilles. Les gorges profondes ressemblent à des concours d'apnées. C'est la première fois que je vois João ajouter les deux petites couilles lisses de Romain dans sa bouche. Les joues sont distendue quelques instants avant que la nécessité de survie vienne le faire recracher le tout.
Ludo ouvre des yeux et sa mâchoire tombe ! Il nous a surpris João. Ils se terminent vite et aux bruits mouillés succèdent ceux de déglutition quand ils s'échangent leurs spermes. Ils terminent par une pelle longue mais longue, c'est sûr que pas un spermatozoïde n'a eu de risque de s'échapper.
Avec une telle dépense d'énergie et après un passage douche, nous faisons honneur au diner de Samir et Ammed. Ils avaient, comme toujours, prévu le coup et nous avons notre dose de protéine avec en dessert des iles flottantes merveilleuses.
Nous passons la soirée enfoncés dans les canapés dans les bras des uns et des autres à regarder un dvd projeté en lieu et place des " déjeuners sur l'herbe ". La fatigue se fait sentir et nous piquons du nez avant la fin. Samir nous réveille avant qu'avec Ammed il parte de leur côté. On se traine dans les chambres et les trois petits ne se cachent pas pour entrer dans la même.
Dodo toute la nuit.
Jardinier
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Une étoile destructrice
Aaravos a vraiment eu son moment de gloire pour la saison finale. Même si on a rien eu de plus concernant l'ordre cosmique. Ce qu'on a eu, reste quand même intéressant. Déjà quand il parle à Claudia, il a toujours ce côté manipulateur envers elle. Parlant d'abord de sa reconnaissance puis à nouveau de son père sur le fait qu'il est possible qu'il soit dans l'entre deux. Seulement une fois qu'il prend sa forme humaine, on voit un côté sincère envers Claudia dont il voit Leola à travers elle. Quelqu'un qu'elle aurait pu être à son âge et c'est quelque chose que j'ai apprécié voir.
En revanche, ça ne l'empêche pas d'utiliser Terry pour les mener aux jardins des innocents. Là où ils utilisent le squelette d'une licorne sans que Terry le sache. Révélant la vérité à Terry sur leurs intentions, Terry a essayé de plus s'affirmer et d'éloigner d'Aaravos d'elle. Et même si il prend aucun plaisir à le faire souffrir, ça reste quand même assez délibéré pour pousser la rupture entre ces deux là. Il est un contraste avec le trio Runaan, Callum et Rayla. Là où il impose sa présence et utilise Terry avec Claudia pour parvenir à leurs fins ! Runaan est silencieux et les seuls moments où il s'impose est lors du bannissement de Rayla ou bien quand Callum répète plusieurs fois la même chose au bosquet d'argent.
Cependant une fois seule avec elle, Claudia sait qu'elle retrouvera pas son père. Toutefois, elle veut la vérité cette fois ci et lui raconte à nouveau son passé. Je me demandais pourquoi il le répétait à nouveau or je pense que c'est plus pour réaffirmer sa conviction. Quand ils ont terminé de créer la pierre de lune et que Claudia lui demande si ça valait le coup. On voit qu'Aaravos commence à douter donc de nouveau clamer sa raison, ses motivations n'est pas que pour Claudia mais aussi pour lui même pour faire taire ce doute naissant. Renforçant davantage l'influence qu'il a sur Claudia pour utiliser le Nexus de la Lune et confier à Ziard la mission de ramener Avizandum. Et même lors de sa confrontation avec les autres archidragons, le fait qu'il qualifie de Claudia sa lumière, c'est une lumière tordu et corrompu contrastant avec le moment de vérité de Callum.
Deux frères et un trompeur
Les scènes des deux frères face à Aaravos sont à la fois différentes et similaires. Quand il voit Callum, il lui parle de comment Sol Regem lui a prit sa fille et qu'ils lui ont tout pris. Mais dans sa tromperie, il en parle comme si c'était passé maintenant. Voulant tromper Callum avec sa fausse gratitude et sa pomme seulement Corvus l'empêche de se faire avoir. On sait pas exactement ce qu'aurait fait cette pomme mais ce n'est pas important en soit. C'est surtout l'acte qui est plus mis en valeur ! Quand à Ezran, il le voit sous sa vraie forme mais ça l'empêche pas de lui faire croire qu'il est son allié, qu'il a fait tout ça pour lui. Parlant d'évènements passés comme Laurelion ou bien la reine orpheline avec la lame de nova pour convaincre Ezran ! Seulement le roi voit certes clair dans son jeu, toutefois il se fait avoir tout comme son frère pour que celui ci trouve la lame de nova. Poussant Callum dans ses derniers retranchements avec Rayla qui doit décocher la flèche au lieu de Runaan.
C'est assez ironique que justement, il veut les deux frères (bien qu'il peut aussi avoir des semi vérités là dessous) mais pour Callum, il le voit comme "son préféré" "ayant une grande infinité" "comprenant qu'il faut faire des compromis". Mais de l'autre, il le voit aussi comme son pion, une possession et son réceptacle pour ses plans. Il y a certes une affinité mais aussi une objectification en même temps. Mais quand Callum affirme que c'est à lui d'écrire son destin et qu'il avait prévu un plan, il lui affirme qu'il sera jamais à lui ! Ça agace Aaravos car il n'aime pas se faire devancer !
Les deux frères voulaient l'arrêter mais au final c'est surtout Avizandum qui les empêchent d'aller jusqu'au bout. Celui qui avait prit leur mère, celui qui est l'une des raisons du début de l'histoire. Et le fait qu'il lui permet au moins à Claudia d'échapper contraste avec le sort de Leola qui n'a rien pu faire pour la sauver ! Et qu'il soit justement devant le soleil faisant rappel à la phrase "Les mensonges se cachent dans les ombres, mais les vérités les plus sombres se cachent dans la lumière". Ce qui correspond bien à Aaravos car malgré son final, il reste toujours des questions en suspens que ce soit lui, l'ordre cosmique voir même Leola.
Même si Aaravos est parti, ce n'est qu'une victoire pour une longue bataille. A ses yeux, ce n'est qu'un au revoir. Il reviendra avec Claudia pour leur faire face. En oubliant justement ce que Leola souhaitait, le fait que chaque enfant soit aimé. Quelque chose qu'il a eu avec Claudia mais qu'il a aussi oublié le sens pour sa vengeance.
A destructive star
Aaravos really had his shining moment in the final season. Even if we didn't get anything more concerning the cosmic order. What we did get was still interesting. Already when he talks to Claudia, he still has that manipulative side towards her. First he talks about his gratitude, then again about his father, about the possibility that he's in between. Only once he takes on his human form do we see a sincere side to Claudia that he sees Leola through. Someone she could have been at her age, and that's something I enjoyed seeing.
On the other hand, that doesn't stop him from using Terry to lead them to the gardens of the innocent. Where they use the skeleton of a unicorn without Terry knowing. Revealing the truth to Terry about their intentions, Terry tried to be more assertive and keep Aaravos away from her. And while he takes no pleasure in making him suffer, it's still deliberate enough to drive a rift between these two. He's a contrast to the trio of Runaan, Callum and Rayla. Where he imposes his presence and uses Terry with Claudia to achieve their ends! Runaan is silent and the only time he imposes himself is when Rayla is banished or when Callum repeats the same thing several times at the Silvergrove.
But once he's alone with her, Claudia knows she'll never find her father. However, this time she wants the truth and tells him again about his past. I wondered why he was repeating it again, but I think it's more to reaffirm his conviction. When they've finished creating the moonstone and Claudia asks him if it was worth it. We can see that Aaravos is beginning to have doubts, so once again he proclaims his reason, his motives not only for Claudia's sake, but also for his own, to silence this incipient doubt. Further strengthening his influence over Claudia, he uses the Moon Nexus to entrust Ziard with the mission of bringing back Avizandum. And even in his confrontation with the other archdragons, the fact that he refers to Claudia as his light is a twisted, corrupted light, contrasting with Callum's moment of truth.
Two brothers and a trickster
The two brothers' scenes with Aaravos are both different and similar. When he sees Callum, he tells him about how Sol Regem took his daughter from him and that they took everything from him. But in his deception, he talks about it as if it happened now. Wanting to fool Callum with his false gratitude and an apple, only Corvus prevents him from being fooled. We don't know exactly what the apple would have done, but that's not important in itself. It's the act that's more important! As for Ezran, he sees him in his true form, but that doesn't stop him from making him believe that he's his ally, that he's done all this for him. Talking about past events like Laurelion or the orphan queen with the nova blade to convince Ezran! Only the king sees right through it, but he's fooled just like his brother into finding the nova blade. Pushing Callum to the limit with Rayla having to shoot the arrow instead of Runaan.
It's ironic that he wants both brothers (although there may be some half-truths there), but for Callum, he sees him as “his favorite” “having great infinity” “understanding that compromise is necessary”. But on the other, he also sees him as his pawn, a possession and receptacle for his plans. There's certainly an affinity, but also an objectification at the same time. But when Callum says it's up to him to write his destiny and that he had a plan, he tells him it will never be his! This annoys Aaravos, as he doesn't like to be outsmarted!
The two brothers wanted to stop him, but in the end it was Avizandum who prevented them from going through with it. The one who took their mother, the one who is one of the reasons the story begins. And the fact that he at least allows Claudia to escape contrasts with the fate of Leola, who could do nothing to save her! And that it's right in front of the sun is a reminder of the phrase “Lies are hidden in the shadows, but the darkest truths are hidden in the light”. This fits in well with Aaravos, because despite his finale, there are still unanswered questions about him, the cosmic order and even Leola.
Even if Aaravos is gone, it's only a victory in a long battle. In his eyes, it's only goodbye. He'll be back with Claudia to face them. Forgetting precisely what Leola wished, that every child is loved. Something he had with Claudia but also forgot the meaning for his revenge.
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«Le Discord estant en l’Homme par la contrariété envers l’Esprit et la Chair» (Marguerite de Navarre)
«Seuls les morts auront vu la fin du combat.» (Platon)
Et si le véritable combat se livrait toujours à l’intérieur de l’ordre symbolique lui-même ?
N’est-ce pas là que se déroulent de toute éternité les luttes entre les représentants d’une humanité toujours déjà effondrée, se trahissant elle-même, et l’homme qui s’efforce de tenir debout, combattant pour conserver sa tenue, se fortifiant dans le combat?
Les combats spirituels de l'humanité européenne peuvent être abordés comme des combats entre des "philosophies", et compte tenu de l'approche psychanalytique de la perversion qui peut être dite comme celle du "déni de la dimension subjective à proprement parler", une véritable lutte à mort de pur prestige oppose:
• aux philosophies "perverses" qui font l'apologie de l'individu compris comme un être naturel, corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un monde conçu comme le lieu "naturel" de son inscription, un "monde social" dans lequel il entretiendrait a priori des rapports avec ses semblables…
• la philosophie authentique, celle de l'hystérique, qui fut donc inaugurée par Socrate, et dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son manque-à-être, un sujet divisé par la question de savoir ce qu'il est pour le désir de l'Autre, ce que l'Autre attend de lui, un sujet qui ne peut se concevoir que dans le retrait, une radicale extériorité par rapport à la prétendue "réalité objective" qui apparaît dès lors comme une contradictio in adjecto.
L'écart entre les deux conceptions tient au statut de la "réalité": dans un cas, la réalité est donnée par avance: "il faut faire avec", alors que pour la philosophie authentique, celle qui prend son essor avec Socrate, la réalité est constituée par la manière dont le sujet se trouvant toujours déjà lui-même pris dans un certain rapport à ladite "réalité", il en questionne les coordonnées…
Le moment inaugural de sa liberté consistant en un refus radical de se trouver lui-même intégré dans la chaîne des causes et des effets.
La structure élémentaire de la subjectivité repose en effet sur un "pas tout" de la causalité.
Pour le psychanalyste, l'acte véritable, le seul acte digne de ce nom, est celui d'une suspension de la réalité constituée, donnée par avance. La théorie analytique rejoint ici l’acmé de la pensée de Hegel pour qui la réalité apparaît comme posée, constituée par le sujet, et non pas simplement quelque chose qui s'impose à lui de l'extérieur…
Ce que la pseudo-psychanalyse, la psychanalyse d’institutions, la psychanalyse "molle" qui ressortit du Discours Universitaire (psychologie) a perdu, c'est cette dimension cruciale d'une réalité posée par le sujet, la conduisant à différer du sens commun (comme du "discours scientifique"…) qui accepte la "réalité externe" comme un postulat donné par avance, une "objectivité", une "normalité" à quoi l'appareil psychique devrait se raccorder, se connecter, "s'adapter"...
Pour le psychanalyste authentique, il ne s'agit pas de "faire changer la réalité", mais de rectifier les rapports du sujet au réel, de telle sorte que le sujet puisse changer les coordonnées à partir desquelles se constitue, pour lui, ce qu'il appelle "réalité" qu’il distinguera du réel qui n’en est que la grimace.
En témoigne le cas de cet analysant inconsolable à qui fut posée la question: "si vous pouviez recréer exactement la même femme, votre femme qui est morte, seriez-vous capable aujourd'hui de l'aimer en lieu et place de votre femme?", la réponse fut décisive: "non, elle ne pourrait pas être la même!"
En énonçant ces mots, l'analysant mît un terme à son "état dépressif". Il avait réalisé que la place vide ne pouvait être remplie par aucun désir.
Il s'était tenu au bord de l'impossible, l'impossible de remonter le temps, l'impossible de retrouver le passé, l'impossible qui structure et conditionne l'ordre des possibles…
Réel est l’un des noms de cet impossible.
Entre nous et le Réel, il y a la vérité…
Pour Freud, la vérité de la souffrance est d’avoir la vérité comme cause.
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Dans l'« héroïsme tragique », dans ce sentiment de la vie tout à la fois sombre, déchaîné et sauvage, qui serait donc, selon certains, inhérent à l'âme nordique, il faut voir en fait des traces de tout ce qui a trait à l'écroulement d'une très ancienne civilisation. On sait combien certains, à partir de Wagner, ont divagué sur le « crépuscule des dieux ». Or, le vieux terme nordique ragna-rökkr doit en réalité être traduit – de façon moins romantique mais plus juste – par « obscurcissement du divin » (les « dieux » et le « crépuscule » ne sont que de simples images mythologisées). Il ne s'agit donc pas ici de se référer à la vision du monde spécifique d'une race ou d'une civilisation données, mais bien à des événements, à des faits qui rentrent dans le cadre historique et, en partie, dans le cadre cosmique, cadre envisagé par les anciens enseignements, que connut aussi l'Antiquité classique, relatifs aux quatre âges du monde (par exemple, l'âge du bronze et du fer chez Hésiode correspond à l'âge du « Loup » de la tradition nordique des Eddas). Mais il faut mettre en évidence ceci : au-delà de ces souvenirs, du caractère tragique et sauvage de ces faits, l'âme nordique, elle aussi, a connu une vérité plus haute.
Celui qui possède la préparation nécessaire reconnaît facilement que, dans la mythologie même des Eddas, l'essentiel ne correspond pas au pathos de l'apparition des forces élémentaires déchaînées et au combat contre elles, ni à certains détails des sagas qui se ressentent d'ailleurs de superstitions populaires et d'influences étrangères. L'essentiel, dans la tradition en question, se rapporte en revanche à des contenus fondamentalement « olympiens ». On rappellera, pour la démonstration, l'idée du Midgard, qui reflète la conception d'un centre suprême et d'un ordre profond du monde, et qu'on peut déjà considérer, d'une certaine manière, comme la base métaphysique de l'idée d'empire ; puis le symbolisme du Walhalla comme mont dont la cime glacée et brillante resplendit d'une éternelle clarté plus forte que toutes les nuées, sans oublier le thème de la Lumière du Nord sous ses nombreuses variantes.
On trouve en premier lieu le symbole du siège d'or de Gladsheim, « plus brillant que le soleil » ; le château royal d'Oegier, qui accueille les Ases et dans lequel l'or – symbole traditionnel de tout ce qui est incorruptible, royal et solaire – exprime la puissance d'une lumière ardente ; l'image de la demeure céleste de Gimlé, « plus belle que toute autre et plus resplendissante que le soleil », qui « subsistera même quand ciel et terre déclineront » – et ainsi de suite. Dans ces thèmes, et dans beaucoup d'autres, malgré leur caractère fragmentaire, un regard entraîné découvre obligatoirement le témoignage d'une dimension supérieure de la vieille mythologie nordique.
Et la conclusion suivante s'impose : tout comme l'homme de l'Antiquité classique, l'homme nordique et germanique a connu un ordre supérieur au monde du devenir et à une réalité tragique et élémentaire. Selon la Völuspá et le Gylfaginning, après le ragna-rökkr apparaissent un « nouveau soleil » et « une autre race » ; les « héros divins », les Ases, reviennent sur l'Idafels et retrouvent l'or qui symbolise la tradition primordiale de l'Asgard lumineux et l'état originel. Au-delà des brouillards de la « Forêt », règne donc une lumière plus pure. Il y a quelque chose de plus fort que le devenir et la destruction, que la tragédie et le feu, que le gel et la mort. Rappelons-nous les mots de Nietzsche : « Au-delà de la glace, du nord, de la mort – notre vie, notre joie ». Ceci est vraiment l'extrême profession de foi de l'homme nordique, une profession de foi qu'on peut qualifier, en dernière analyse, d'olympienne et de classique.
Julius Evola, L'Arc et la Massue
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"Personne n'ignore que les cancres sont à leur affaire dans les classes turbulentes, où les élèves méritants se noient. Le jacassement distrait le groupe, le chahut le désintègre. Faute de silence, pas de réussite. Les monastères fondent la piété sur cette règle évidente : pour accueillir la parole divine, il faut se taire. Pareillement, le silence s'impose pour accueillir celle du maître. Impératif battu en brèche : les salles de cours sont des volières. Interdire aux élèves de téléphoner en classe semble à beaucoup un sacrilège. Enseigner, métier à risques : quelle meilleure preuve du discrédit qui fait du savoir une guenille et du silence un joug ? Les élèves transportent la société tout entière dans leurs cartables : ses gadgets, ses PlayStation, ses iPad, ses jeux en ligne, son tumulte. Il est certain que, dans un environnement bruyant, l'inspiration s'alourdit et que les méninges se traînent. Élaborer un plan complexe requiert une paix confiante. Même un questionnaire à réponses multiples en réclame. Ni l'attention ni la raison ne résistent aux ailes d'un moustique. Pascal, dans ses Pensées, à propos du philosophe: «Ne vous étonnez pas s'il ne raison ne pas bien à présent ; une mouche bourdonne à ses oreilles ; c'en est assez pour le rendre incapable de bon conseil. » Il faut vivre en live. La vitesse croissante de circulation des données, des informations, des transferts financiers, des échanges commerciaux nous dérobe le temps que pressure l'actionnaire. Les délais sont proscrits, la flânerie paresseuse, la syntaxe superflue. Les longues phrases, avec leurs entrelacements de propositions, rejoignent la langue châtiée au rayon du temps perdu. Proust qui, écrivant dans son lit, boulevard Haussmann, protégé des bruits de la rue par les plaques de liège qui couvraient les murs de sa chambre, parle dans Sodome et Gomorrhe de « la plénitude nourricière et charmante du silence », n'aurait plus même l'idée d'écrire La Recherche. Trop de subtilités, trop de détours. On le prendrait pour un esthète, pour un nuisible. Des phrases longues d'une page! Solution : en faire un téléfilm, de qualité si possible. Un loisir improductif est, d'un point de vue économique, un scandale. On a troqué la plume contre l'ordinateur et le plomb d'imprimerie contre l'électron : gain de te mps fabuleux. Mais au prix fort : la surface des écrans supplante les plis du papier, la vidéosphère la graphosphère, la vie immédiate la longue durée. Les experts succèdent aux savants, les bateleurs aux poètes, l'émotion réflexe à la pensée construite, l'usage du pidgin à la maîtrise de la langue, et l'apoplexie sonore aux méditations. Quant à ceux qui souhaitent encore lire, écrire, ou simplement converser comme des sages, qu'ils vivent sous cloche."
Jean-Michel Delacomptée
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Mais non... J'rigole !
L'heure est grave et, comme je le remarque souvent, tous nos cons ( --temporains et --patriotes) ne se rendent pas toujours compte de la taille des problèmes qui se posent... Se posent à qui ? A Michel Barnier, tout d'abord (mais c'est de sa faute : il n'avait qu'à pas être ''le recours ultime''), et à nous tous, ensuite, innocents mais qui-allons-donc-payer, même si ce gouvernement ne durera pas ''aussi longtemps que les impôts''... Alors... le monde est si moche, ces temps derniers, que s'en échapper un instant ne peut pas faire de mal.
Retour sur cauchemars : pour un mic-mac imbitable, ce qui s'est passé cet été et depuis est vraiment un mic-mac imbitable ! Pensez... Déjà, il a fallu attendre des plombes avant qu'Emmanuel Macron, suite à une dissolution contre-nature et au pire moment possible, se prenne pour un Shadok et pompe pour ne pas désigner de premier ministre (aux JO, il y a seulement 2 mois, il montait sur le podium, record du monde de la nomination la plus longue battu !) . Comme si ça ne suffisait pas, le-dit premier ministre nous a fait à son tour attendre au delà des délais permis (on devrait le menacer de saisie-arrêt, de fermer son compte, de lui déchirer sa carte de membre, comme à vous et moi au moindre retard... ou lui foutre ''+ 10 % de retard'', à la mode Bercy !) pour con-cocter --le trait dit ''d'union'' s'impose ici-- un gouvernement (record établi la veille et battu 2 fois en quelques jours ! La France, décidément, est en forme olympique !).
Et nous, dans tout ça, on fait quoi ? Ben... on est en récré ! Et on regarde les grands tout petits jouer à ''C'est moi, çui qu'a gagné...''. Car chacun, dans cette embrouille, a gagné... plus que celui qui a gagné moins, ti na ni... nanè-ère-eu. Mais maintenant qu'on est d'accord entre personne et que le chef semble avoir compris qu'il n'a jamais rien compris (NB : nous, ça fait un bon bout de temps qu'on le savait !), c'est pas tout, 'faut y aller ! Mais ''ils'' disent : ''On veut bien y aller si, avant qu'on dise ''Oui'', on tombe bien d'accord sur le fait que ceci (ou cela) doit être fait avant cela ou ceci, le tout au nom de la démocratie-à-laquelle etc, etc... Car vous comprenez bien que si ceci n'est pas fait avant cela, ça voudra dire que cela sera fait avant ceci, ce qui n'est pas conforme à l'entente dont nous parlons ici, et que nous n'avons pas eue puisque nous n'en avions pas parlé, ce qui nous permet de l'évoquer et de l'invoquer, à défaut de la con-voquer...''.
Parce que … pendant que la Droite-à-gauche se dispute sur l'épaisseur de chaque marocain à dépecer, la Gauche, elle, ratiocine et psittacise : ''C'est nous qu'on a gagné ! La preuve ? On vous le dit ! Faudrait pas l'oublier ! Notre programme de ''Tout foutre en l'air définitivement'' , 'faut lui donner sa chance, pour voir pourquoi ça n'aura pas marché, comme toujours, partout... ou jamais, nulle part !''. Du coup (?) tout le monde fait des réunions avec tout le monde (sauf avec le Rassemblement national qui se réunit ensemble, tout seul), pour pouvoir les annuler avant qu'elles ne commencent, puisque il n'y avait pas de raison de se réunir... Ah ! Vous voyez que c'est nous qu'a raison, comme disait Coluche !
Ah ! Si, pourtant... Maintenant que vous me le rappelez, j'me l'rappelle : on voulait parler de la dissolution d'après, celle qu'il faut programmer dès maintenant pour pas perdre de temps pour démontrer que c'est nous qu'on a gagné... Mais j'y pense ! Puisqu'on avait prévu que cette réunion ne devait pas avoir lieu, on pourrait la maintenir, car j'ai un sujet tout neuf dont auquel il est urgent qu'on en cause : c'est ''Et si on augmentait les impôts ?''. Ça, au moins, c'est nouveau, c'est progressiste, ça fait vachement ''arc républicain'', et ça a de la gueule, ça plaît à Méchencon, comme moyen de ne plus jamais redresser la France, non ? Et puis on pourrait inventer des trucs qui ont jamais été essayés par personne... Par exemple : n'augmenter que les impôts des seuls 44 % des français qui en paient déjà trop, au nom de l'égalité, ou de la démocratie, ou de la ''justice sociale''... ou des trois.... La Droite va adorer, elle qui se donne tant de mal pour être aussi con que la Gauche !
Ainsi va la France, abandonnée à ses maffias de françodoules et de francophages seulement intéressés par leurs fromages. Le peuple français, lui, a compris qu'il n'a rien à attendre de cette troupe de clowns tristes et se passionne pour des sujets qui en valent la peine, par défaut (car pour ce qui est des sujets vitaux --pouvoir d'achat, immigration, paix sociale, dette et sécurité-- il a compris que c'était foutu.. Mais tous les peuples n'ont pas la chance d'avoir un Donald Trump en réserve). Le dernier sujet-du-jour en date est relatif à la découverte de la tombe de Joachim du Bellay, sous Notre-Dame (si j'ose cette formulation pas très heureuse, mais qui n'est pas tirée d'un Kama-Soutra moderniste).
La controverse du jour, dans les salons germanopratins, est : faut-il prononcer Jo- ''akim'' (comme Akim, le héros de la BD, clone de Tarzan qui comprend le langage des animaux et qui nous a entraînés, plus jeunes, dans des mondes parfois aussi opaques que les intentions de la macronie soi-disant droitisée pour soi-disant sauver la France en la gauchisant, avec Barnier dans le rôle de Sainte Jehanne d'Arc !) ou Jo-''achin'', comme un machin ? Les familles se déchirent, les insultes volent... on se croirait revenus au bon temps du covid où plus c'était con, et plus les gens s'engueulaient les uns les autres !
(NB - Pour éviter d'en venir aux mains dans les repas de famille, j'ai décidé de me ranger à un moyen terme : je dis Jo-''akin'', dans un ''ni... ni...'' très macronien. Surprise : pour une fois, cette mauvaise invention diabolique semble marcher : personne ne m'insulte, ce qui est inhabituel ! Je vais finir par me con-vertir au macronisme ! Mais il faudrait que je vive encore 90 autres années, au moins, pour tomber si bas). On aura le temps d'en reparler, d'ici-là. A demain, pour redevenir sérieux.
H-Cl
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« Plus un poète est grand, plus sa vie propre - quel qu'en soit le contenu - s'impose à lui comme foyer d'une énigme universelle. En s'efforçant d'exprimer cette énigme, il l'approfondit, et son existence concrète avec elle, de façon littéralement déchirante. Sujet privilégié de contradiction, le poète est ainsi le témoin d'une souffrance irréductible qu'il cultive, jusque dans la maladie et la faute, comme l'instrument d'une connaissance cachée. »
Pierre Emmanuel - Baudelaire, la femme et Dieu
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Rencontre. Quelle place accordons-nous aux rencontres ? Au fait de pouvoir parler à de nouvelles personnes et de se donner le droit, l'autorisation, la possibilité de découvrir de nouveaux horizons. J'aime croiser de nouvelles personnes pour la richesse qu'elles renferment en elles. Cet inconnu qui se trouve sous mon nez renferme des mystères auxquels je ne peux actuellement pas accéder. Pour cela, je dois apprendre à le connaitre. C'est intrigant, non ? Je n'ai d'ailleurs aucune idée à quel point cet être me laissera explorer ce qu'il possède en lui. Chaque personne est un monde en soi. Chaque personne possède des connaissances, des compétences, des souvenirs, des histoires, des intérêts, des comportements qui lui sont propres. Bref, une vie. La joie d'une rencontre, c'est la satisfaction de découvrir ce nouveau monde. De l'effleurer, de pouvoir lui dire bonjour et par petit pas, voir à quel point la personne en face nous laisse entrer. Qu'est-ce qu'elle aime ? Comment voit-elle la vie ? A quoi pense-t-elle ? Il n'est pas question de briser l'intimité. Il n'est pas question de s'imposer non plus. Chaque personne est libre de laisser qui elle veut entrer dans son monde et de dévoiler ce que bon lui semble sur elle-même. Il ne faut jamais forcer. Je prends ce qu'on m'offre et j'ouvre au passage, si ça intéresse, une porte vers mon monde également. Ce n'est pas si simple une rencontre. Parfois, nous avons l'impression de n'avoir rien à partager. Après tout, la personne est un inconnu. Pourquoi faudrait-il lui dévoiler ce que nous sommes ? Quel intérêt ? Pour nous, comme pour elle ? Et puis il y a les instincts, les émotions. Parfois, cette personne, vous ne la sentez pas, elle ne vous inspire pas confiance. Elle vous fait peut-être même un peu peur. Faire une nouvelle rencontre dans ces conditions, c'est tout de suite moins agréable. Mais, ça fait partie aussi du jeu de la rencontre. De voir s'il est possible ou non de passer outre la carapace de l'inconnu et de chercher les trésors cachés dans cet individu que vous ne connaissez pas encore. Chaque rencontre est une aventure. Partirez-vous en exploration ?
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24/05 Étape 50 Triacastela - Ferreiros
J'appelle cette étape : la Galice paysanne. Parti pour une étape de 33km (réservation à Ferreiros) un choix s'impose au départ : soit prendre l'itinéraire via Samos (ce qui nous rajoute 7 km) soit poursuivre el camino Francès . Nous sommes sages et restons sur notre étape initiale.
Et je dois dire que ce côté-là n'est pas mal du tout, avec traversé de nombreuses fermes, chemins sous les arbres, que j'apprécie en fin de parcours car soleil commence à chauffer.
Nous aurons l'occasion de nous désaltérer à plusieurs reprises, dans des bars ou vente au milieu d'un village en Donativo. A midi ce sera assiette de charcuterie et fromage à Sarria.
Sarria, ville de début d'étape pour les cent derniers km. Il faut savoir que pour obtenir la compostela, il faut au minimum parcourir les cent derniers km avec 2 validations par jour (tampons sur la Crédencial). Donc on a vu débarquer des américaines, (mais pas que...) avec d'énormes valises, qui demain partiront vers Compostelle avec portage des bagages. "Chacun son chemin".
Nous avons choisi, justement d'aller plus loin que Sarria pour, au moins sur une journée, éviter la foule sur le chemin, je vous en dirai plus demain. Nous avons établi notre halte à Ferreiros à un peu moins d'un km de la borne cent km. Déjà presque arrivé...
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Je ne sais pas trop quel est le projet. Pourquoi j'écris aujourd'hui. Tellement de choses se sont produites dans la vie.
Agression, rechute mais j'ai de solides pros qui m'entourent, maladies, toujours présente pour les patients. La vie, ce tourbillon qui vient éprouver le calme apparent.
NG .. est toujours NG : tantôt calme la tête dans ses livres, tantôt un volcan d'émotions ambulant. J'essaye de lui donner des clés pour apprendre à s'apaiser surtout quand elle est frustrée. Ce n'est pas gagné et parfois je me demande ce que j'ai fait de travers. On se réajuste, on accueille les émotions, je lis beaucoup et je tente d'appliquer pour que ça aille. Arf. Pourtant, aussi éreintant que cela puisse être, j'aime la voir grandir et devenir une fille. J'aime quand elle me raconte ses histoires rocambolesques. J'aime quand elle reste dans sa bulle avec ses livres. J'aime quand elle nous fait un show dans la salon. J'aime quand elle arrive à laisser sa sœur faire de même sans l'interrompre. J'aime l'autonomie qu'elle acquiert mais j'apprécie quand elle a tout de même besoin de moi par moment. J'aime la voir élaborer des plans pour atteindre ce qu'elle souhaite et j'aime l'encourager quand selon elle, il n'y a pas d'espoir.
Bebe coccinelle devrait se rebaptiser en catcheuse pro : ce n'est pas du tout Ng. C'est normal, me direz-vous! Plutôt introvertie, il faut vraiment être proche d'elle pour espérer voir un demi sourire sur son visage. Elle est plutôt dans le style "action réaction". Grimpeuse pro, prise de risque à 400%, têtue, regarde dans le blanc des yeux pour faire ses expérimentations autrement bêtises ahahah ! Et puis sans comprendre vraiment, on a droit à de gros câlins et sa sœur aussi. C'est une boule d'amour qui s'impose. Elle est d'une patience impressionnante pour faire des choses qui peuvent être agaçante. Téméraire et déterminée mais aussi maligne. J'aime cette petite personne qui a su prendre sa place rapidement dans ce trio.
Les 2 forment un duo très comique. Entre chamaillerie et câlins, les mots doux, les blagues, les parties de cache cache. La construction d'une fusée avec 7382928392 km de scotch et des cartons. A quoi acheter des cadeaux si c'est pour qu'elles passent du temps dans des cartons ?
L'Homme ? L'Homme est toujours là après un gros passage à vide. C'était prévisible vu ce qu'on a vécu. Un passage aux enfers. Mais l'Homme reste l'Homme. On avance. On s'épaule. Dans les moments compliqués, on serre les dents ensemble même si ce n'est pas évident. Je le redécouvre et lui aussi. Il n'est pas parfait mais il est toujours celui qui me convient. On doit vieillir ensemble. C'est ça le plan.
Je poursuis ma thérapie avec une psy, une nutritionniste, mon médecin pour ma santé qui jn est pas au beau fixe.
Voilà. Un peu de moi dans un néant de post.
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Le règlement de TNM
Quelques opus du règlement à découvrir à l'ouverture.
Bien le bonjour en ces contrées noircies par les nuages de l'horizon. Un avant goût des prémices des règles d'Atalan, l'empire dans lequel une seule chose est vraiment importante : le respect de soi et des autres.
Nous privilégions ici au plus possible une forme d'auto-gestion. Nous sommes toustes des grandes personnes, des joueur.ses aguerri.es, qui sommes capables de savoir ce qu'il est bon ou non de faire en communauté.
Si le staff choisit de faire à 100% confiance à ses membres pour tout ce qui est de l'ordre des rps (vous êtes pleinement libres d'écrire à votre convenance, nous n'avons pas à vérifier votre prose), ou encore des comptes (doubles, triples, as you like), cela implique aussi une intransigeance quant à tout ce qui relève des interdits implicites comme explicites à toute vie en communauté : toute discrimination de toute sorte, raciale, sexuelle, liée au genre, à l'âge, à quoi que ce soit, en fait... donnera lieu à un bannissement.
Le respect de soi aussi est fondamentale. Vous passerez toujours avant le rpg, tout comme votre vie personnelle. Quelques petites conseils du comte Vicar, faites attention à ce que vous partagez sur la toile, faites attention à vous, ne vous excusez pas d'être qui vous êtes, ni de faire ce que vous aimez, ni de votre prose, demandez de l'aide dès que le besoin s'en fait ressentir, et si vous êtes amené.es à nous quitter, vous nous manquerez. C'est tout. Jamais nous ne vous culpabiliserons. Et ne laissez jamais les autres le faire. [...]
Afin de préserver la cohérence et le respect pour les célébrités, un maximum de cinq ans de différences entre l'avatar et le personnage sont exigés. Il est également fortement déconseillé de choisir un faceclaim ayant des démêlés avec la justice, renseignez vous un minimum, nous avons un choix tellement important qu'il est dommageable de se tourner vers quelqu'un.e de peu recommandable.
Attention là encore à la cohérence au niveau des origines (les Syràn étant une race réputée pour sa peau mâte, il serait logique et préférentiel de se tourner vers des faceclaim de couleur. A l'inverse pour les elfes, notamment, connu.es pour leur peau diaphane). Une explication de dilution génétique dans la fiche de présentation peut permettre quelques exceptions à ces règles.
L'avatar est réservé automatiquement au post de la fiche pour une durée de sept jours. Il n'y aura pas sur ce forum de compétition, hormis pour un scénario si lea joueur.se le souhaite. [...]
Votre aventure se poursuivra donc avec le rp. Peu de règles sur ce forum à ce propos : aucune ligne minimum, aucun minimum de rp par mois ou quoi que ce soit. Nous n'avons aucune légitimité à juger votre prose. Le rp doit être un plaisir, et non une pression.
[...] Nous accordons une grande importance aux triggers warnings. Premièrement, ils ne sont pas optionnels dans les profils et doivent être remplis pour que la validation ait lieu. Deuxièmement, nous vous encourageons à user et abuser de la balise tw pour indiquer vos triggers warnings.
Enfin, n'hésitez pas à discuter avec vos futur.es partenaires de rp de ses limites et des vôtres. Il est important que vos envies convergent.
Quelques règles d'écriture s'imposent concernant l'univers du forum : nous sommes sur un med-fan, de ce fait, il faut être vigilent.es sur la cohérence. On évite les appels téléphoniques, les Jeep Renegades, les iphones et les Airmax !
Nous achevons ce pavé par quelques informations concernant les gestions diverses sur ce forum. [...]
Au niveau des autres gestions, la seule demande est de prévenir le staff en cas de compte multiple, de changement divers (faceclaim, pseudo, informations sur vos personnages). Nous vous faisons également confiance concernant les objets gagnés dans vos inventaires, à vous de les modifier.
(icons par MEMORY CARD VIII)
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J’adore votre pfp de Castti, elle était ma protagoniste quand j’ai joué à Octopath 2!
Désolée si mon français est étrange, je suis pas native!
Bonjour ! Et ne vous en faites pas, votre français est super ! (honnêtement, sans la petite précision, je n'aurais pas deviné que vous n'étiez pas francophone ^^' )
Et contente que vous aimiez aussi Castti ! Elle était aussi ma première voyageuse dans ce jeu et un de mes personnages préférés des huit avec Hikari et Agnéa ! Et même si Oswald est le perso que j'aime le moins des 8 (sans le détester, c'est un très bon personnage aussi mais, je ne l'ai vraiment apprécié que lors de son dernier chapitre), elle a tout de même une bonne dynamique avec lui tout du long.
J'adore son histoire et sa personnalité ! C'est une adulte responsable (fanon / headcanon perso : c'est elle qui gère l'argent du groupe pendant leur voyage !), qui sait prendre des décisions au bon moment et quand il faut s'imposer pour le bien de tous ! Et le chapitre où on apprend son passé m'a vraiment fait pleurer tellement ça faisait mal pour elle... juste... elle en a bavé, a tout perdu et malgré tout, elle reste forte et garde son objectif de sauver le plus grand nombre malgré tous...
En plus, même en terme de gameplay, elle est très solide, peut empoisonner les ennemis (c'était très marrant de tuer Mugen sur les dégâts du poison pendant sa deuxième phase !), ses soins sont ultra efficace sur tout le monde, et elle frappe vraiment très fort tout le monde ! Elle casse vraiment des bouches et elle est à l'aise dans toutes les autres classes !
En tout cas, contente de rencontrer d'autres fans d'Octopath ! C'est un fandom assez calme et / ou silencieux alors, ça fait plaisir de croiser la route d'autres fans !
(j'espère que ce n'est pas indiscret mais, j'ai lu sur votre billet épinglé que vous n'aviez pas joué au premier Octopath et, si vous avez l'occasion, je vous le conseille, c'est aussi un bon jeu mais, c'est vraiment une version primitive du 2 avec tous les défauts d'un premier jeu d'une série alors, il est bien moins aboutit que le second, même si les personnages sont aussi très attachant)
#octopath traveler 2#avis de curieuse#civis hotcuppacocoa#réponse à des questions#et zut... encore des pavés... j'espère juste que je n'ai pas mis trop de formule alambiqué difficile à comprendre...#j'ai essayé de ne pas trop en mettre ou alors de mettre un équivalent plus simple à comprendre à côté ou dans le contexte#en tout cas bienvenu.e au club des fans d'Octopath Traveler 2 !#Et dans celui des fans de Castti !#Faudrait que je la dessine un jour... même si je fais plus dans le Fire Emblem 3 Houses...#en tout cas merci pour votre question !
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(Il y a deux ans jour pour jour)
Combats philosophiques, philosophie du combat
Et si le véritable lieu du combat etait l’ordre symbolique? N’est-ce pas là que se déroulent de toute éternité les luttes entre une humanité toujours déjà effondrée et une humanité qui se tient encore debout, et qui combat pour conserver cette tenue, et la fortifier dans le combat?
Les combats spirituels de l'humanité européenne peuvent être abordés comme des combats entre "philosophies", et compte tenu de la définition psychanalytique de la perversion qui est celle du "déni de la dimension subjective à proprement parler", le véritable combat oppose:
• aux philosophies "perverses" qui font l'apologie de l'individu compris comme un être naturel, corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un monde conçu comme le lieu "naturel" de son inscription, un "monde social" dans lequel il entretiendrait a priori des rapports avec d’autres…
• la philosophie authentique, celle de l'hystérique, qui fut inaugurée par Socrate, dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son manque-à-être, un sujet divisé par la question de savoir ce qu'il est pour le désir de l'Autre, ce que l'Autre attend de lui, un sujet qui ne peut se concevoir que dans le retrait, une radicale extériorité par rapport à la prétendue "réalité objective" qui apparaît dès lors comme une contradictio in adjecto.
L'écart entre les deux conceptions "philosophiques" tient au statut de la "réalité": dans un cas, la réalité est donnée par avance: "il faut faire avec", alors que pour la philosophie authentique, qui prend son essor avec Socrate, la réalité est constituée par la manière dont le sujet se trouve toujours déjà lui-même pris dans un certain rapport à ladite "réalité", il en questionne donc les coordonnées…
Pour le psychanalyste, l'acte véritable, le seul acte digne de ce nom, est celui d'une suspension de la réalité constituée, donnée par avance. La théorie analytique rejoint ici l’acmé de la pensée de Hegel pour qui la réalité apparaît comme posée, constituée par le sujet, et non pas simplement quelque chose qui s'impose à lui de l'extérieur…
Ce que la pseudo-psychanalyse, la psychanalyse d’institutions, la psychanalyse "molle" qui ressortit du Discours Universitaire (psychologie) a perdu, c'est cette dimension cruciale d'une réalité posée par le sujet, la conduisant à différer du sens commun (du "discours scientifique"…) qui accepte la "réalité externe" comme un postulat donné par avance, une "objectivité", une "normalité" à quoi l'appareil psychique devrait se raccorder, se connecter, "s'adapter"...
Pour le psychanalyste authentique, il ne s'agit pas bien entendu de "faire changer la réalité", mais que le sujet puisse changer les coordonnées à partir desquelles se constitue, pour lui, ce qu'il appelle une "réalité".
En témoigne le cas de cet analysant inconsolable à qui fut posée la question: "si vous pouviez recréer exactement la même femme, votre femme qui est morte, seriez-vous capable aujourd'hui de l'aimer en lieu et place de votre femme?", la réponse fut décisive: "non, elle ne pourrait pas être la même!"
En énonçant ces mots, l'analysant mît un terme à son "état dépressif". Il avait réalisé que la place vide ne pouvait être remplie par aucun désir.
Il s'était tenu au bord de l'impossible, l'impossible de remonter le temps, l'impossible de retrouver le passé, l'impossible qui structure et conditionne l'ordre des possibles…
Réel est l’un des noms de cet impossible.
Entre nous et le Réel, il y a la vérité.
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Écriture et dépression
Donna Tartt écrivait dans le Chardonneret : "Si la souffrance rend noble, alors lui c'est un prince"
La souffrance est une esthétique bien connue et popularisée dans le monde artistique et notamment la sphère littéraire. Les chansons d'amour triste, les tragédies antique dépeignant la tristesse et la difficulté de l'existence, les courants philosophiques...
Bref, souffrir c'est stylé.
Écrire sur cette souffrance, ça l'est encore plus. J'ai en tête de file Baudelaire et ses Fleurs du mal qui dépeint la beauté dans l'horreur.
Depuis la nuit des temps, les écrivains utilisent leur vécu et puisent en eux pour produire des textes géniaux ou juste horribles (dans le bon sens du terme). Qui n'a jamais rêvé de l'écrivain torturé qui écrit à la lueur de sa bougie sur son bureau tout en se lamentant sur son existence ?
Qui n'a jamais rêvé que son mal être serve son génie ?
Car il faut bien l'admettre, si l'écriture est un exutoire pour certains, la course à la productivité et la qualité devient presque une raison d'être pour d'autre. Le défouloir vient justifier une obsession, il devient un prétexte.
C'est pour ça qu'aujourd'hui je viens discuter de dépression et d'écriture en abordant l'angle de la romantisation de la souffrance.
Un jour, quelqu'un m'a dit "Si tu fais de l'art, alors tu es un artiste". Quand j'y repense, cette phrase parait si simple mais a réussi à désamorcer en moi les nombreuses heures et journées passées à douter de moi-même et de ma légitimité à être une autrice, une écrivaine, une artiste.
Parce que finalement, peut-être qu'il ne suffit que de produire et de faire pour être, n'est-ce pas ?
Ou peut-être que non.
Peut-être que pour être un artiste, se considérer comme tel, il faut pratiquer un art et le pratiquer bien. Et finalement, savoir si on écrit "bien" ou "mal" dépend de beaucoup de critères extérieurs aux notres.
Le piège, quand on fait de l'art et que l'on ne va pas bien, c'est que l'on essaye de maintenir cet état pour continuer à produire quelque chose que l'on considère comme "bon".
J'aime imaginer la dépression comme un monstre qui se nourrit toujours plus de nos idées noires, de nos insécurités, de notre mal-être. Plus cette bête grandit, plus elle est capable de partager avec nous ce qu'elle consomme pour grandir, nous obligeant à la nourrir toujours plus.
On va mal alors on ne sort pas, mais il faudrait sortir pour aller mieux mais on n'a pas la force de le faire alors... Le cycle continue.
Tout ce que je dis relève de la métaphore, je sais bien évidemment que la dépression est une maladie capable de revêtir bien des aspects selon les périodes et les personnes.
Quand on est plus bas que terre, que rien n'est capable de nous rendre heureux, que plus rien n'a de goût, l'écriture peut représenter un phare dans une mer de ténèbres. La seule lumière, le seul plaisir que cette maladie est capable de nous accorder.
Mais peut-être que écrire n'aide pas autant que ça.
Peut-être que oui, ça aide à se changer les idées, à faire quelque chose quand la seule action que tu peux effectuer dans tes pires jours c sortir de ton lit pour aller aux toilettes et effectivement mettre ses pensées sur papier permet de s'en décharger un peu mais écrire c'est aussi une discipline que l'on peut s'imposer pour produire quelque chose.
On parle souvent de l'impact et l'effet que certaines lectures peuvent avoir sur le lecteur mais pas assez de ce que les écrits peuvent faire à son auteur.
Quand les seules choses que l'on arrive à écrire est à l'image de notre état mental, on finit par se dire que c'est finalement la seule manière possible de pondre quelque chose de potable.
Quand on se dit que la beauté de nos mots ne réside que dans le mal-être que l'on décrit alors on se force à rester dedans pour écrire toujours plus de "belles choses", de bons textes.
J'imagine que le terme "se forcer" semble un petit peu fort mais pour moi, c'est l'un des seuls capable de décrire le plus fidèlement ce processus.
Je sais bien qu'il est plus facile de se replonger dans son mal être qui, en étant quotidien, ressemble presque à une couverture chaude dans laquelle on se blottit en hiver. Et ici, je ne parle pas de complaisance mais plus, une recherche de bien être dans le malheur.
Écrire fait du bien, on se sent enfin utile, on arrive enfin à faire quelque chose alors même si pour ça il faut maintenir un état psychologique difficile, c'est un petit prix à payer en comparaison à tout le reste que cela apporte.
Si on reprend la citation du Chardonneret, les écrivains sont des membres éminents d'une noblesse tourmentée.
Sans que l'on s'en rende compte, la dépression et ses idées sombres viennent teinter chaque parcelle de notre créativité, s'imprègne dans les détails de nos écrits. Et c'est beau, certains auteurs basent tout leur ouvrage dessus.
Mais est-ce réellement nécessaire ? Est-ce réellement sain ? Les écrivains sont-ils réellement des êtres voués à exposer leur souffrance d'une manière géniale ?
Doit-on produire ou être un génie pour être auteur ?
"Si tu fais de l'art, alors tu es un artiste"
Il ne s'agit que de ça. À bas la "qualité", à bas le mot, le pertinent, l'inédit. À bas la sécurité de produire quelque chose qui ne sort pas des sentiers battus par peur, à bas l'envie de produire quelque chose de triste parce que sinon, on n'écrit juste pas.
Mes adelphes écrivains, mes scribouillards préférés, mes artistes incompris. Soyez indulgent avec vous-même et autorisez vous l'échec, le moche, le rien. Car tout ceci fait partie de vous et vous êtes des artistes.
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