#faire le point sur son couple
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ce que je déteste sur les forums rps
vu que certain(e)s le font, autant que je m'y mette, non ?
Les forums ù y'a zéro diversité (des membres, principalement des nanas blanches), tu regardes dans les scénarios, tu voies que des mecs hétéros attendus, et blancs aussi de surcroit. un petit +1 quand le forum a la prétention de se sentir inclusif. m d r
les forums où el staff avait fixé une limite de 3 comptes. puis quand le staff a eu ses trois comptes, la règle change bizarrement à 6. et quand ils ont atteint les 6 comptes, la règle a changé à 9. tu cliques sur leur profil sur la PA et tu vois leurs 1872 dcs affichés. tu sais que si tu tentes un de leur scénarios, t'auras le droit à une réponse tous les deux mois car ils ont pas le temps (et d'autres rps avant toi).
les nanas qui se prônent comme des social justicières warriors, elles guettent toutes les ouvertures de forum dans l'unique but de placader un message bien salty dans la partie invité le jour de l'opening, histoire de bien afficher les méchants admins. (alors qu'un an avant, c'est elles qui faisaient ça en pire mais du jour au lendemain, elles ont décidé qu'elles seraient prétresses du rpg)
les gens qui vont dans les serveurs discords en attendant la pré-ouverture dudit foru. ça critique h24, remet en question sans arrêt les annexes, etc. ou demande la rédaction de 15 annexes en plus pour au final... ne pas s'inscrire sur le forum. cassez-vous sérieux.
les gens qui ont 4839886 triggers warnings (dont des tws qui sont homosexualité) mais l'homosexualité te trigger ? tu te rends compte de ce que tu dis ? et j'sais pas, le plaisir de la lecture, la rencontre avec l'inconnu. oui, on peut avoir des tws mais si ten as pour tout ou n'importe quoi, sorry not sorry, le rp n'est peut être pas fait pour toi.
les gens qui se jugent supérieurs (par ex. parce qu'ils font pas du smut) et qui adorent faire du slutshaming. bah écoute, chacun ses envies de rp. parfois, je fais du smut, parfois j'en fait pas, du dépend du perso et du contexte. et si t'évites un quelconque lien avec mon perso parce que ta grandeur te l'empêche, tant pis pour toi tho.
les gens avec qui t'as un rp. toutes les 3 semaines t'as une réponse, mais par contre, tu vois l'autre personne répondre 4893729 fois à la personne qui est son lien love interest. et quand tu te demandes où ça en est, elle te rep "beh le rp n'est plus d'actualité, il s'est passé 100 choses depuis". sans blague, j'ai bien vu quand j'attendais.
les gens qui se cachent derrière 10 troubles pour justifier leur mauvaise éducation. non, j'peux pas. bonus pour les personnes qui critiquent un comportement alors qu'une semaine avant/après, elles font la même chose.
les gens qui posent un scénario love en te disant qu'ils finiront endgame mais au bout de 76892 dramas et de 83 années. et donc, tu tentes de prendre et au bout de 5 rps, tu comprends qu'avec eux, ton perso n'évoluera jamais. fin, j'sais pas, des persos peuvent être en couple et avoir du drama, c'est pas incompatible. pourquoi les faire tourner autour pendant 150 ans ? la vie est trop courte.
les gens qui ne rpent et ne commentent les fiches que de leurs copaines. oui d'accord, restez entre vous (et faites vous un foru privé sérieux à ce point là)
bref, je critique, je critique mais heureusement y'a des chouettes forums, des choeuttes rpgistes, oui parfois y'a pas le feeling, oui, on peut pas tous s'entendre (et encore mon coté bisounours me fait dire qu'on est adultes et qu'avec un p'tit peu d'efforts de la part de chacun des cotés, y'aurait aucun soucis) mais bon, y'a encore et toujours de belles rencontres que je fais, même quinze ans après mon arrivée dans la sphère rpgique.
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Qui êtes vous, selon votre personnage préféré de Blue Lock ?
Le principe est simple, tous les personnages du manga/animé ont des fans. Comment ces fans sont (personnalité) par rapport à leur personnage préféré ?
⚠️🚨 Le post ci-dessous n'a qu'un seul but humoristique, toute critique est à prendre au second degré et n'est en aucun cas là pour vous blesser, si c'est le cas j'en suis désolée 🙏🏻
Isagi Yoichi : Ceux qui ont pas encore choisi
Ceux qui le préfère, c'est des gens biens, des gens bienveillant en qui tu peux avoir confiance. C'est vraiment eux qui ont commencé la série, ils ont pas encore choisi qui ils préfèrent donc ils restent dans leurs zones de confort et prennent le personnage principal pour pas faire de faute.
Ça fait plus de 100 chapitres qu'on nous parle d'Isagi et ils sont toujours là, du premier chapitre au dernier, ils sont toujours derrière lui. Que ce soit pour l'encourager ou pour le vanner derrière son dos. C'est des gens qui savent pas trop s'énerver, très humble, ils ont du mal à dire non et à crier sur quelqu'un parce qu'ils veulent pas blesser profondément. C'est des gens biens.
Je recommande.
Rin Itoshi : Gars sûrs
C'est ceux qui ont d'abord préféré Isagi et qui pour une raison que j'ignore, sont partis dans le camp de Rin. Soit pour suivre sa rivalité avec son frère, soit parce que Isagi n'était pas assez passionné par le football.
C'est vraiment des gens qui sont à fond sur Rin, ils l'aiment beaucoup pour tous ce qu'il apporte à la série. C'est quelqu'un qui est plus strict, plus froid que Isagi qui lui est plus ouvert au rencontre. Les fans de Rin préfère son foot plus calculateur, plus manipulateur et sa froideur au quotidien. C'est les fans introverti de Isagi qui ne se reconnaissent pas dans sa chaleur et sa lumière.
Après c'est vraiment des gens qui souhaite à Rin de réussir dans sa vie, ils sont très sympas avec la communauté mais un peu plus fermés aux avis des autres sur leur personnage préféré. Ils sont aussi très discret comparé à leur nombre.
Sae Itoshi : Les fumeurs de cigarettes
Contrairement à son frère, les fans de Sae c'est des fumeurs de cigarettes, ils savent que leurs préférés c'est pas le meilleur. Il est asocial, il parle à personne, il refuse de jouer avec les autres, il a même rejeté son propre frère. Mais. Mais...
Ils l'aiment quand même.
Parce que Sae est drôle. Quand il parle nonchalamment à des supérieurs hiérarchiques, en les insultant, c'est vraiment un personnage décalé qui ramène un peu de la légèreté dans un monde très sérieux.
C'est un connard, mais ils l'aiment quand même.
Ils aiment son foot mais ils le déteste parce que son foot est parfait, ils le déteste parce qu'il fait du mal aux autres mais en même temps il a raison. C'est vraiment l'antagoniste, le vilain que tu n'aimes pas mais qui a de bonne raison, que tu comprend pas sur le moment mais que quand tu finis par l'entendre, tu te rends compte que c'était pas une si mauvaise personne. Qu'il a un message à faire passer.
C'est je pense, la raison qui fait que les fans de Sae l'aiment.
Reo Mikage : Les masochistes
Eux ils aiment souffrir, ses fans savent tous à quel point le mental de Reo c'est comme le beau temps, ça va, ça vient, kousi kousa.
Ils savent qu'il va sombrer à un moment mais ils restent quand même avec lui sur le même navire.
Pourtant c'est de bonnes personnes, encore plus fidèle que ceux de Isagi. Leur perso sombre, et pourtant ils sont toujours là pour attendre qu'il se relève et le soutiennent toujours autant comme un seul homme.
J'éprouve beaucoup de respect pour eux et j'espère que vous pourrez en faire autant.
Shidou Ryusei : Les passionnés (un peu trop)
Ils ont rencontré Shidou ça a été le coup de foudre, vous êtes ce couple un peu étrange vu de loin mais en s'approchant en fait on arrive à comprendre la relation.
Je pourrais pas expliquer ce qu'il se passe avec lui, mais ses fans le résume vraiment à sa manière de parler un peu crue. À chaque fois que je vous vois parler ou interagir avec d'autres vous ne parlez que de ça, Shidou pourtant plus que ça, c'est un personnage qui est très solaire, il attire beaucoup l'attention et est très expressif, il est cru et n'hésite jamais à dire ce qu'il pense même à quelqu'un supérieur à lui. C'est un personnage un peu sauvage mais libre surtout. C'est ça que j'aime chez lui.
C'est pour ça que je suis un peu gêné avec vous, parce que tous ce que vous aimez chez lui semble être sa manière de parler. C'est juste un peu dérangeant. Vous pouvez l'aimer, je vous l'interdit pas, mais c'est juste... pourquoi aimer un personnage juste pour sa manière de parler ?
Et chez certains ce genre de caractère un peu fou, ça vous a touché, vous êtes passé outre sa manière de parler très limite. Même s'il parle mal de vous ou qu'il vous frappe, vous vous en foutez, vous l'aimez à la folie.
C'est comme avec Sae, vous êtes conscient de son caractère un peu débridé, mais vous le trouvez attachant tout de même.
Michael Kaiser : Les Stans
« Tu lances un jeu mais pas niveau difficile, niveau expert.»
« Il faut beaucoup d'endurance pour maîtriser les fans de Kaiser.»
Les fans de Kaiser sont les pires fans de persos que j'ai rencontré. Là-dedans il y a tout. Il y a ceux qui sont l'aiment à cause de son passé et qui le déteste à cause de son caractère présent, ceux qui l'aiment gentiment, qui le supporte parce que tous le monde à besoin d'amour.
Mais il y a une catégorie qui dépasse tout ça, quand est trop présente et qui rend pas service au personnage. J'ai jamais eu autant peur de fans, cette catégorie est vraiment la pire.
C'est eux qui ont commencé à se tatouer des trucs chelous sur le côté du cou en forme de rose, qui se sont teint les cheveux en bleu et en blond. Qui ont commencé à changer de personnalité juste parce que, c'est trop cool de ressembler à un personnage détesté de la communauté. Qui s'habille comme lui, qui parle comme lui, qui ont commencé l'allemand juste pour essayer de le comprendre, qui on réservé un vol à Berlin pour faire des selfies et parler de leur récente passion pour un certain joueur de foot allemand.
Qui savent exactement ce que Kaiser veut dire en allemand ou même son prénom, allons plus loin. Qui met de l'eye-liner en expliquant que "vous ne pouvez pas comprendre d'où ça vient, c'est trop compliqué à expliquer".
J'en ai croisé qui prenait des screenshots de page du manga où il apparaissait, qui les imprimait et les découpait pour le garder et faire un collage de lui avec des positions qui mettait en valeur ses cuisses.
Et il y a ceux qui pensent que Kaiser est la réincarnation de Jésus parce qu'il avait des cheveux longs blonds et qu'il sauve les match comme Jésus de la maladie.
Je parle pas des filles qui ont commencé à tomber de nouveau amoureuse des blonds aux yeux bleus, parce qu'ils sont trop beaux.
Je parle pas non plus des fans inconditionnels, capable de retracer la vie de Kaiser du moment où il était dans le ventre de sa mère jusqu'à ce qu'il meure alors qu'il est même pas mort. Ceux-là, il faut s'en méfier. Ils sont capables de venir te voir dans tes DM, et de dire "dans tel message de tel jour, troisième ligne du deuxième paragraphe, tu as théorisé sur le fait que Kaiser n'aimait pas les chocolats, je tiens à te préciser que selon le chapitre 234, douzième page, troisième bulle en partant de la gauche, Ness précise que c'était lui qui réceptionnait ses chocolats de saint Valentin et que il l'a vu en manger et que donc c'est faux".
Ou encore qui sont capables avec juste quelques images de lui, de déterminer la longueur de ses mains à partir du théorème de Pythagore, qui indique qu'en suivant les lignes de ses phalanges et en appliquant l'équation suivante √12 x 34 /(nombre de centimètres qui sépare les doigts du sol) puis en le multipliant par le nombre de centimètres de la main, arrive à trouver la longueur de sa main. Ou ceux qui essayait de calculer le volume de ses cuisses, en mode c'est un moteur cylindré.
Quand je vous dis que bientôt, il y en a qui vont créer un autel sacrificiel avec des photos de Kaiser accroché sur leur mur, un faux autographe signée sur un bout de papier, des bâtons d'encens et eux devant l'autel en train de faire des prières pour espérer qu'un jour Kaiser devienne réalité. Un jour vous penserez à moi et vous saurez que je l'ai pas inventé.
Il y en a déjà qui pense que si tu appelles trois fois Kaiser à 3 heure du matin devant ton miroir, il apparaît.
Le problème avec eux c'est qu'ils aiment tellement Kaiser qu'on peut plus discuter avec eux, après tout il est tellement parfait. Pour eux Kaiser est parfait c'est juste qu'il est pas respecté comme il devrait l'être. C'est des gens vraiment trop fans qui font peur, souriez au moins.
J'ai juré.
Kurona Ranze : Excessivement effrayant
Oui oui ils existent.
Contrairement aux fans excessif de Kaiser qui protège la mauvaise personne avec beaucoup d'acharnement, vous protégez Kurona mais un peu agressivement.
En fait le problème c'est que vous l'aimez trop, j'ai l'impression que vous voulez le protéger de tout et de n'importe qui et donc, dès que quelqu'un pense qu'il est pas assez fort au foot ou trop discret ou trop quelque chose, vous le défendez bec et ongle parfois en n'étant pas au courant d'être méchant .
C'est à dire au lieu d'être insultant et méchant vous allez vous expliquer pendant des heures sur pourquoi tu devrais aimer Kurona, presque on a pas le choix. Alors que tous le monde peut aimer qui il veut (sauf Kaiser).
Soyez comme les autres fans de Kurona, soyez pleins d'amour, de bienveillance et de paix. Propagez la bonne parole mais pas pendant des heures. Restez entre vous si vous n'aimez pas comment les gens parle de lui, mais ne harcelez pas les autres comme les témoins de Jéhovah.
Avez vous un peu de temps pour que je vous parle de Kurona ?
Alexis Ness : Les incompris
Ceux qui sont fans de Ness, ils sont courageux, c'est des leaders nées, parce que pour détendre et aimer un personnage qui est détesté, il faut de la force.
Généralement au début tous le monde l'a détesté, sauf les fans inconditionnels qui l'ont trouvé attachant juste parce qu'il ressemblait à un chien ou qu'il était mignon (je vous juge un peu).
Les autres ils ont commencé à l'aimer un peu après, soit par pitié soit par gentillesse parce que vous êtes de bonnes personnes qui aidez votre prochain.
Vous êtes vraiment des bonnes personnes, vous méritez vraiment qu'on vous écoute, qu'on écoute vos arguments au moins une fois et qu'on tranche comme dans un tribunal. Vous êtes des fourmis dans le poème, vous trimez mais personne ne vous calcule et après quand Ness aura son moment de gloire (j'en suis persuadé) vous pourrez danser devant les cigales qui pensait vous faire du mal en critiquant votre personnage principal.
Respectez les, ils sont pas méchant juste très incompris et ça les rend un peu nerveux. Écoutez les et vous verrez, ils ne vous veulent aucun mal.
Yo Hiori : Les sentimentaux
En vrai j'ai rien à dire, ils sont très sympas, il rigole bien et ont généralement le sens de l'humour.
La plupart de ses fans l'aiment parce que lui aussi apporte de la profondeur à la série, de par son caractère très simple qui résonne avec la plupart des gens un peu perdu qui ne savent pas comment faire dans la vie de tous les jours. Et aussi par son passé et son incapacité à savoir comment il aurait dû réagir.
C'est vraiment des gens qui sont pleins d'amour pour lui et qui vont le supporter et l'aider à travers des messages pleins de sens, de réalité. Ils sont très terre à terre et plein de sang froid, c'est des fans qui sont très adulte par rapport à certains. Si vous avez un problème ou besoin de conseils je pense c'est eux qu'il faut aller voir.
Par contre, je juge fort ceux qui pense qu'ils sont comme lui, des sadiques qui aime voir la souffrance des gens, leur détresse et les voir mourir sous vos pieds.
Bande de mini-Kaiser.
Et si je pousse le délire vous buvez de la monster juste parce que c'est cool, vous jouez à des gaming de 18 ans et + alors que vous avez 17 ans et vous vous sentez cool. Vous êtes déscolarisé, rien ne vous attire, vous êtes seul, solitaire, manipulateur et menteur.
Ouais vous des menteurs, à vous même.
Sinon les autres je vous adore 🩵.
Oliver Aiku : Les Menteurs et Menteuses
Vous êtes des menteurs et des menteuses, j'ai jamais vu ça de ma vie.
Vous pensez fort pour une raison X ou Y, j'ai pas envie de savoir, que vous seriez capable de sortir avec quelqu'un comme Aiku. Vous êtes des menteurs.
Qui est capable de sortir avec lui, tous ça parce qu'il des yeux dépareillés ? La seule chose que vous lui trouvez ça se compte sur les doigts d'un main :
Il est beau (yeux sont beau pas le reste)
Il est sexy quand il agit comme de la merde
Les arguments sont implacables, j'abandonne.
La plupart de ses fans c'est des meufs qui disent toutes une chose, "c'est le seul mec qui peut me marcher dessus sans que je dise quoi que ce soit", "Il a beau avoir trompé sa meuf, je suis capable de sortir avec lui".
Mais on sait tous que c'est faux, même vous vous savez que c'est faux.
A chaque fois, vous dites que les bases d'une relation saine c'est la communication et la fidélité. Comment tu veux tomber amoureuse et sortir avec un mec comme ça, quand tu sais que s'il sort dehors, c'est certainement pas pour aller taper dans un ballon de football ?
Et après vous allez vous plaindre que les mecs c'est tous des connards, après tu fais pas les bons choix.
« Juste la prochaine fois aimez un garçon pour ce qu'il fait, pas pour ce qu'il est.»
Meguru Bachira : Des monstres d'amour
« Vous êtes les seuls capable de me faire rougir.»
Vous êtes des anges et vous regardez tous le monde de haut, j'ai jamais connu un fan de Bachira malveillant ou sadique, peu importe si Bachira parle de son monstre intérieur.
Généralement on les reconnaît grâce au meme plein de coeur ou de blague idiote sur lui, c'est très bon enfant, c'est l'endroit où tu vas pour te reposer après avoir subi les fans de Kaiser. À eux seuls il sont capables de te faire aimer la communauté.
Plein de sincérité, plein de bons conseils, il y a pas un qui pense qu'il est meilleur que les autres, vous faites tout ensemble et c'est vraiment beau.
Les fans de Bachira ils te parlent en mettant des cœurs partout, comme si tu parlais à ton petit ami, je les trouve trop mignon et tellement attentionné. Ils sont capables de parler sans insulter, de remettre leur point de vue en question et d'entamer une conversation sans parler du passé de leur personnage.
« En fait ils ont complètement compris que ce qui fait un personnage c'est ce qu'il est maintenant et pas ce qu'il était avant.»
Charles Chevalier : Des Taquins
Dans la vraie ses fans ce sont des taquins, ils aiment rigoler et faire des blagues à tous le monde.
C'est des bons vivants, des personnes libres et rebelles qui n'écoute pas trop mais qui sont très attentionné envers les gens qu'ils estiment.
Ils ne sont pas un problème dans la communauté dans le sens où parler avec eux est simple, par contre ça arrive qu'ils vous lance dans piques parfois quand l'envie leur prend sans pour autant vouloir être méchant.
Bien sûr ils apprécient Charles pour son caractère vivant et joueur, moi je l'aime aussi parce qu'il est français et j'aime les français.
Niko Ikki / Kiyora / Nanase : Sur le banc de touche
Les fans de Niko ou même de Kiyora, vous êtes ceux qui sont assis sur le banc de touche. Ceux qui sont sur Twitter sans pour autant tweeter. Vous regardez les autres se battre pour leur personnage préféré sans vous immiscer dans leur débat puéril.
Soit par dépit, vous ne voulez pas communiquer avec des gens aussi expressif. Soit par volonté, vous savez que votre personnage est le meilleur est vous l'aimerez mieux que les autres.
Vous avez raison, restez entre vous est le meilleur moyen de ne pas s'énerver inutilement avec d'autres fans (entre autres ceux de Kaiser), et partager une même passion.
Mention spéciale au fans de Kiyora qui sont des petits malins, ne les engagez pas dans des batailles d'arguments vous perdrez rapidement.
Les fans de Niko et de Nanase sont des gens simples et pleins d'amour mais ils ne savent pas trop à qui le donner, restez sympa avec eux s'il vous plaît il mérite tous l'amour du monde.
« Il est difficile de se faire entendre dans une communauté avec tant de personnages préférés.»
Merci d'avoir lu ! N'hésitez pas à me faire savoir si un de vos personnages préférés n'est pas dans la liste !
Persos qui ont des communautés trop peu présente pour que j'en parle : Nagi Seishiro, Kunigami, Chigiri Hyoma, Raichi, Gagamari, Igarashi, Don Lorenzo
Perso en écriture : Sendo,
#blue lock#michael kaiser#isagi yoichi#bachira meguru#what are you character edition#writing humor#don't take it personally#don't take this too seriously#it's just for fun#itoshi sae#rin itoshi#oliver aiku#hiori yo#kurona ranze#alexis ness#reo mikage#shidou ryusei#french#🇨🇵 oui oui baguette 🥖#charles chevalier#niko ikki
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Nouveau récit de mon chemin vers le Candaulisme...
Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
toujours sur la route de l’Espagne...
Avant même de vous narrer la suite et la fin de la soirée avec Bob et ses amies, je voudrais devancer une étape qui n’est pas directement « mon Candaulisme » mais plutôt je pense, vous pourrez me dire ce que vous en pensez, celui des autres...
Il existe aussi et quand on est comme moi sensible et amoureux de cette pratique, de cette philosophie, on peut le voir partout et il est tout aussi important de le faire vivre, de le remarquer et d’être capable de le voir...
Aussi, nous avions prévu avec Ana, après cette nuit de folie passée avec Bob et ses amies, de faire une halte sur la route de nos vacances qui devaient nous mener en destination finale à Grenade en Espagne.
Mon amie, professeure d’Espagnol voulait absolument visiter l’Alhambra et mieux cerner les impacts de la culture Arabe en Espagne ainsi que connaître la culture Andalouse.
Moi, je suivais..., intéressé et curieux d’à peu près tout...et surtout si amoureux d’elle et de tout ce qu’elle me permettait de découvrir, avec elle, sur moi, sur les autres, sur le monde, sur le sexe...
Bref autant de choses que dans un couple « classique » il n’est peut-être pas possible d’appréhender tout autant... ?
Depuis notre Normandie natale, le chemin était long et les étapes nécessaires.
Ainsi, Toulouse, Perpignan, maintenant Tarragone, Madrid et enfin Grenade...
Cinq étapes, 1700 kilomètres environ, me semblaient tout à fait correct surtout que nous étions en vacances...
Aussi, après Perpignan, ce fut Tarragone.
Ana avait aussi choisi cet endroit car en bord de mer, nous aimions la mer elle comme moi, et avait-elle lu beaucoup d'articles intéressants concernant Tarragone. De nombreux vestiges Romains à voir, une culture de la fête (et même un Musée de la Fête) dont notamment la réalisation festive de ces pyramides humaines, plutôt des châteaux humains (tradition commune aussi avec l’Italie et essentiellement Catalane) nommé « Castelles ».
Elle voulait voir ce spectacle en réel et pourquoi pas tenter d’y participer... ?
La route fut tranquille et agréable même si la chaleur présente de ce milieu d’été nous rendait assez nonchalants l’un et l’autre et que les effets de la soirée de la veille dans cette cahute de la SNSM avec Bob et ses amies se faisaient manifestement sentir.
Ana, comme très souvent et presque toujours, surtout dès qu’il faisait plus de trente degrés, était vêtue d’une très légère et courte robe d’été qui lui allait à merveille et lui rendait moins pénible le voyage...
Nue en dessous ou plutôt sans dessous bien évidemment !
C’était notre code commun de l’été...Et , elle comme moi y veillions!!
Pieds nus et cheveux défaits, elle était superbe.
Souvent aussi, elle posait ses pieds sur le tableau de bord et je ne manquais pas d’admirer ces jambes oblongues et parfaites...
Quelques fois le tissu glissait aux confins de ses cuisses et c’était réellement un bonheur et un spectacle que de la voir ainsi...
La vitesse étant limitée à 120 kilomètres heures sur les autoroutes d’Espagne, je conduisais sans aucun stress tout en m’amusant du fait que lorsqu’Ana se positionnait comme cela et parfois même s’endormait, les camionneurs que je doublais, perchés dans leurs cabines, manquaient rarement de klaxonner, ravis de la vue que la situation pouvait leur offrir un instant en passant...
Cela réveillait immanquablement Ana, qui parfois râlait d’avoir été réveillée mais aussi me l’avoua-t-elle, parce qu’elle n’avait pas pu elle aussi profiter et jouer de l’instant et de ses incroyables et érotiques attraits.
Elle aimait réellement être le centre de l’attention et son côté exhibitionniste avéré et assumé la titillait souvent et ne me déplaisait nullement pour notre plus grand bonheur et notre complicité.
De la pointe de ses pieds au sommet de sa chevelure brune c’était une bombe sexuelle...
Un bouquet d’amour...
Une convocation perpétuelle aux agapes sensuelles et sexuelles...
Chaque parcelle de sa peau était une publicité érotique et une invitation aux pensées lubriques...Je n'avais jamais rencontré d'amis qui ne me l'ai avoué ou plus ou moins fait savoir: "Waaoooua , ta copine...!"
Pour les autres, leurs yeux et leurs comportements suffisaient à eux seuls...
À eux seuls, ses seins galbés et libres dans cette robe légère étaient une invitation à toutes les pensées diaboliques...
Alors, vous pensez, ses jambes bronzées et dénudées, sa chatte lisse juste surmontée d’un triangle soigneusement entretenu, sans parler de son cul rebondi à souhait qu’elle dévoilait parfois dans ces moments-là à ces camionneurs, stakhanovistes du bitume rarement bien considérés et rétribués, étaient un pur instant suspendu, un incroyable « butin », une chance impensable, un vrai ticket de loterie au regard des milliers d’autres personnes, femmes et hommes, que pouvaient croiser ces galériens de la route au quotidien si routinier et très certainement rengaine ...
Souvent quand je les doublais, elle faisait semblant de se pencher pour rechercher quelque chose sur la banquette arrière, assurant un flottement savant et pensé de sa robe jouant avec l’air des vitres ouvertes sur et dans sa raie marquée de son entre-fesses...
Cela n’en laissait, croyez-moi aucun indifférent!
Moi le premier... ! J'adorais tellement bander...Comme tout homme me direz-vous mais peut être encore plus depuis que je me savais Candauliste.
L’adresse de ses mains (parfois elle invitait également la mienne) titillant son écrin d’amour était réellement à voir et à admirer...
Bref , oui, elle savait jouer de ses charmes et de ses envies pour rendre fous les hommes (parfois les femmes...On venait réellement de le constater avec Clara et Laura , les amies de Bob le soir d’avant...Je vous raconterai...).
-« Le prochain routier qu’on dépasse, tu me dis et tu me réveille avant...Je vais le faire bander crois-moi...Il va payer pour les autres qui m’ont réveillée...Je vais le rendre fou...Tu resteras à sa hauteur, tant pis si ça râle derrière, et je lui ferais un striptease et le coup de la femme exhib...T’inquiète...Tu te régaleras aussi mon chéri... ! »
Je ne pouvais en douter un instant d’autant qu’on avait déjà joué à ce jeu un jour en Bretagne et que le conducteur du camion avait réellement faillit avoir un accident tant il ne faisait plus assez attention à la route, ce con !
-« Ok, promis , Bébé...! Promis dis-je en riant... »
Quelques hectomètres suffirent et j’avoue qu’elle sut y faire...
Le routier n’arrêta pas, une fois qu’on l’eut dépassé, lentement dépassé sur plusieurs kilomètres, de klaxonner, de faire des appels de phares, de mettre son clignotant pour nous indiquer qu’il voulait s’arrêter...
Mes doigts enserrés dans son con bien ouvert, humides et si délicieusement chaud, je ne pouvais de toutes manières pas m’arrêter...
Ce n’était d’ailleurs pas notre volonté ni celle d’Ana qui s’était doucement et tendrement repliée sur mes doigts encore enfouis en elle...J’étais au Anges...Elle se rendormit...
Il nous restait une centaine de kilomètres avant d’arriver à Tarragone...
Nous avions réservé un airbnb en centre-ville, il y avait un parking à proximité et c’est juste à côté de la Cathédrale, sur la place où avait lieu généralement les fêtes.
Notre hôtesse était une femme d’une soixantaine d’années magnifiquement conservée (elle devait réellement avoir été belle dans sa prime jeunesse).
Elle nous aida à nous installer, nous fit l’article des plus belles choses à voir, nous conseilla quelques restaurant situés juste à côté et d’aller regarder le spectacle de la lune sur les flots ou sur le port situé juste au bout des ramblas... :
- « Ce soir c’est pleine lune, la lune bleue, nous indiqua-t-elle dans un français quasi parfait...Elle avait été par le passé pendant quelques années conseillère économique au sein de l’Ambassade d’Espagne à Paris, ville qui me manque parfois, nous avoua-t-elle... ».
Elle avait hérité et investit dans sa ville natale de Tarragone et était revenue y vivre avec son mari la retraite arrivée depuis trois ans maintenant.
Son mari était un ancien agriculteur des environs, vivait encore à la campagne voisine le jour et venait la rejoindre chaque soir au coucher.
Elle était réellement charmante et nous indiqua de ne pas hésiter à l’appeler si on avait un quelconque besoin.
« Même dans la nuit..., ici on ne se couche pas très tôt, on aime la fête et les gens...Dommage, la fête des Castells n’a lieu qu’en octobre cette année, il faudra revenir...et il n’y a pas de répétition sur la place...La nuit sera tranquille...Vous pourrez vraiment vous reposer si vous partez demain pour Madrid. Bonne nuit ! »
Nous étions installés dans un appartement situé au deuxième étage d’un vieil immeuble du début du siècle avec une avancée sur colonne constituant en dessous un passage sous voute.
L’appartement avait été refait à neuf à l’arrivée de Consuella, c’était son prénom, et était parfait.
En face du large espace constituant la place de la Cathédrale, un petit immeuble de même taille que le notre mais de style différent semblait inoccupé ou du moins très tranquille et sans vis à vis...
Ce serait parfait, il faisait encore chaud en cette longue soirée d’été et l’air de la mer voisine pourrait sans nul doute nous apporter un peu de fraîcheur dans la nuit. Nous pourrions sans problème dormir les fenêtres ouvertes...
Ana se précipita sous la douche en rigolant, me jetant un « Prem’s » hilare...
Elle était déjà entièrement nue.
Sa vitesse à se dénuder et à être aussi à l’aise m’avaient toujours sidéré...Il faut dire qu’elle était tellement belle et naturelle. Son éducation, contrairement à la mienne y avait sûrement beaucoup participé : ses parents professeurs étaient depuis toujours naturistes convaincus et passaient leurs étés sur les plages et les camps naturistes d’alors...J’appris par eux qu’il y avait même des campings et autres installations naturistes certifiées au-dessus géographique de Montauban..., ce qui pour moi était une impossibilité physiologique tant je craignais le froid... !
Pour autant Ana et ses frères avaient été bercés par ce mode de vie et ce rapport au corps qui je l’avoue m’avait interpellé puis plutôt convaincu...
Il n’en reste pas moins que Montauban fut et est toujours pour moi, même en nos nouvelles périodes de réchauffement climatique, une limite géographique , du coup peut-être psychologique, infranchissable.
Je rangeais nos affaires et ouvrais la fenêtre de l’appartement.
J’avais également envie et besoin d’un bonne douche et je rejoignis rapidement Ana...
Quelques baisers humides plus tard, elle sortit et m’attendit assisse engoncée dans une grande serviette moelleuse sur le rebord de la fenêtre.
Elle me proposa de nous habiller rapidement et de descendre manger dans un des restaurants indiqués par Consuella :
« Une bonne nuit de repos ne nous fera pas de mal mon amour me dit-elle, j’ai envie d’être cool ce soir...Pas toi ? «
Ce qui en langage de Ana signifiait, on mange on se couche tôt, on se câline et on se repose...
Le programme m’allait bien, même si de la voir se préparer et s’habiller devant moi et me demander quelle robe lui allait le mieux après en avoir essayé quatre ou cinq, sans compter quelles chaussures, un bracelet de cheville ou pas, ... entrainait toujours pour moi et en moi un sentiment Candauliste émergent et irrépressible...
Je me serais bien jeté sur elle pour lui faire l’amour, là, maintenant, mais elle m’échappait déjà en se tournant et regagnant la salle de bain.
Elle opta pour une robe courte, droite et fendue sur le côté, style « Romaine » qui lui allait magnifiquement et ajouta ce coup-ci sans me demander, un bracelet manchette du plus bel effet sur sa beau bronzée et son bras si parfaitement dessiné.
Je pensais en l’admirant qu’elle aurait été parfaite pour une soirée Romaine et mon esprit plus que coquin se projeta même jusqu’à l’orgie...
Était-ce le passé de Tarragone, ancienne ville Romaine d’importance qui me jouait des tours ou était-ce seulement ma lubricité entretenue par notre après-midi routier et la chaleur de ce début de soirée qui emportait mon imagination ?
La conscience ou l’inconscience d’Ana de par ses jeux aussi imprévus que constants et mes propres tourments érotiques incessants devant son irradiante et sensuelle beauté me poussaient dans les retranchements du Candaulisme, je m’en apercevais de plus en plus : je l’admirais, j’étais fou d’elle, je voulais la partager, l’offrir, la montrer aux autres, à toutes et à tous combien elle était belle, désirée et désirable, ardente...
Secrètement et subitement je l’imaginais ici, jadis, Déesse ou Princesse dans son palais, offrant sa magnificence, sa présence et jusqu’à son corps à ses plus beaux serviteurs, soldats ou esclaves musclés et vainqueurs, choisis par elle et son Maître (moi ?) comme juste et inespérée récompense des exploits réalisés dans les Arènes, au quotidien à son service ou sur les champs héroïques des batailles...Peut-être même Candaule lui-même m'inspirait-il du lointain de son huitième siècle avant J-C...
Le tout serait de ne pas en mourir!
C’était aussi ma vision du Candaulisme et un bonheur que je ressentais que de la voir se préparer et s’habiller pour aller en soirée...
Plus tard, j’en fis même avec elle un rituel incontournable de nos pratiques Candaulistes, surtout et encore plus quand la soirée ou son rendez-vous devaient se tenir hors de ma présence...
J’avoue que ce sont des instants magiques permettant tellement la plongée vers l’imaginaire constituant la jouissance des protagonistes, en tout cas des Candaulistes avérés.
S’imaginer les émotions suscitées et ressenties par son élégance, sa beauté, sa prestance, ses vêtements, ses parfums, ses bijoux, ses onguents, sa lingerie... mais aussi l’instant où elle apparaîtrait aux yeux incrédules de son ou ses amants, se ferait désirer , admirer, défaire de ses parures choisies ou d’en être défaite par un ou des amants attentifs et rendus fous de désirs... ;
son retour près de moi, avec le pouvoir de me faire languir de ses récits et de son corps ;
me jeter aux yeux, aux mains, à l’esprit, la ou les différences, les effets sur sa libido, sur sa magnificence, sur son charisme, entre son départ et son retour au plus près de moi...;
être attentif aux « griffures », parfois aux "déchirures" sur ses habits ou en son âme de sa soirée.. ;
le bonheur de la voir belle et parfaite ; le plaisir de la voir revenir heureuse épanouie, comblée, confidente et partageuse dans l’attente et l’impatience de pouvoir tout aussi rapidement repartir... ;
être fier et si amoureux d’elle et de ce qu’elle m’ offre, a offert ou va offrir aux autres;
avoir ce délicieux pincement inarrêtable et si puissant dans le ventre en la voyant partir, exacerbé si puissamment tout au long de son absence avec cette impatience de la délivrance, cette inquiétude et cette douceur envahissant le corps et l’esprit quand elle vous revient...
Et pour elle la certitude d’être, si ce n’est la plus belle, la certitude de se sentir Reine et conquérante du monde...
Oui, tout cela me traversa en quelques secondes l’esprit et serait, maintenant je le savais depuis l’avoir rencontrée et parcouru ce chemin de quelques mois ensemble, à jamais en moi...
Le dîner en ville fut rapide et léger et visiblement Ana était impatiente de regagner notre gîte.
Je ne lui en tenais pas grief même si tout était propice en cette soirée à Tarragone à l’abandon sensuel des corps et des esprits, j'en étais à la fois convaincu et un peu "déçu"... Je le ressentais au plus profond de moi, comme si une « vie antérieur » me gagnait et énivrait mon esprit de souvenirs indéfinissables...
Etranges mais agréables instants même si j’aurais aimé en profiter plus longuement.
J’étais également fatigué et, rires, Ana savait toujours être convaincante...
Sa main dans la mienne quasi en permanence, ses baisers aussi soudains que fréquents, sa tendresse et ses sourires me faisaient toujours craquer ! Ils furent nombreux ce soir-là à me faire craquer...!
C’est néanmoins à la nuit que nous fûmes de retour à l’appartement de Consuela.
C’était un soir de pleine lune comme nous l'avait dit Consuela et même de lune exceptionnelle. L'éclairage de la cathédrale et des bâtiments l’entourant était magique...C’était réellement d’une beauté irréelle...Ce phénomène était appelé « lune bleue » et c’était magnifique.
Nous restâmes ainsi quelques instants à nous câliner avec Ana admirant ce phénomène et ses effets...
Ana était réellement fatiguée, m’embrassa longuement et langoureusement et parti se coucher dans le lit situé face à la fenêtre.
Je restais un peu, fasciné par le spectacle et les beautés de l’instant...
J’étais nu, nous nous étions déshabillés instinctivement comme nous aimions le faire aussi chez nous dès en rentrant.
Je pensais prendre une nouvelle douche et je croyais qu’Ana en ferait de même avant d’aller s’étendre de sa lascive beauté sur le grand lit de l’appartement loué pour la nuit.
Elle était réellement ivre de fatigue et s’était étendue en n’ayant pas la force d’aller jusqu’à la salle de bain pour me semblait-il, s’endormir rapidement...
Néanmoins, qu’elle ne fut pas ma surprise d’entendre sa douce voix quelques instants plus tard m’enjoignant à ne plus bouger d’où j’étais...
J’étais toujours devant la fenêtre, d’abord assis puis debout et légèrement de côté...
-« Waaaouaaou...Tu es trop beau chéri...Ne bouges plus , m’intima-t-elle...La lune derrière toi et en face de moi te dessines comme une ombre chinoise et rends ton corps incroyable...Hummm , j’aime tellement...Je peux voir les contours de ton corps et aussi ton sexe qui en devient incroyablement attirant...Tu sais que j’aime ton sexe chéri...Tu ne l’as jamais fait devant moi mais je pourrais te demander de te masturber...j’en ai souvent rêvé tu sais...mais trop souvent impatiente de te prendre en main et en bouche je n’en ai jamais eu l’occasion je crois...Non ?
Je l’ai fait avec quelques-uns de mes premiers amours de jeunesse, mais pas avec toi chéri...Tu pourrais le faire ? J’aimais trop les voir se toucher eux-mêmes et surtout quand ils partaient...Ce n’est pas toujours beau un homme qui se branle, rarement même, mais voir leur sexe quand il délivre sa puissance au travers sa jouissance est quelque chose d’assez unique...J’aime le ressentir dans ma main ou au fond de la gorge, mais j’aime aussi le voir...et là , toi, en ombre chinoise ...hummmm je me caresse en même temps si tu veux savoir...et tu m’excites tellement ! Chéri...S’il te plait...Fais-moi plaisir... »
Demandé comme ça, mes idées lubriques encore et toujours présentes, la situation particulière, ma libido, l’envie de faire plaisir à Ana...
Pourquoi lui refuser même si je préférais de loin le plaisir partagé au plaisir solitaire
Pour autant, le plaisir serait sans nul doute partagé ; même de loin et je connaissais les effets de sa propre masturbation dont elle m’avait, elle, offert maintes fois le si délicieux et sensuel spectacle ; chez Ana...
Ca la rendait généralement assez folle, humide et ouverte à bien d’autres aventures...
Aussi, commençais-je à me caresser...
Mon pieu se tendait rapidement comme assez souvent et j’abusais même en m’imprimant consciemment un rythme lent et appuyé...
Ma main restait ainsi assez longuement en bas de ma verge tendue à l’extrême accentuant généreusement sa dimension et son corps arqué...
Oui je bandais fort, très fort même de me "livrer" ainsi...!
C'est quelque part ce que je demandais à Ana , en tant que Candauliste, de s'offrir, de se livrer...Aussi le retour et le partage ne me semblaient anormal, loin de là...!
Ana visiblement m’accompagnait, je l’entendais au rythme de son souffle et ses commentaires m’encourageais réellement à lui donner un maximum bien qu’indirect plaisir....
Nous allions jouir ainsi...
Il en était certain... !
L’inarrêtable et inévitable arriva et nous partagions nos jouissances, tant cérébrales que physiques ...
Ce fut réellement agréable...
Je décidais d’aller enfin prendre ma douche.
Ana m’arrêta au passage pour me remercier tout en saisissant mon sexe encore durci par l’intensité de l’instant.
Je lui offris les derniers abandons de mes liqueurs...
C’était ça aussi le Candaulisme que ce partage, même à distance, du plaisir des demandes et des émotions...
Elle en imprégna délicatement ses doigts en m’assurant d’un : « Merci mon amour...Tu étais vraiment superbe...j’ai trop aimé...il faudra qu’on recommence un jour » ..., et portant ceux-ci à sa bouche pour en goûter toute la saveur qu’elle appréciait particulièrement puis me prit bouche, de sa bouche gourmande, chaude et sensuelle, venant ainsi me gratifier d’une incroyable et savante remise en condition...
Je durcis instantanément de nouveau... !
Oubliant la douche, je me jetais sur elle et en cuillère la pénétrais tout à la fois virilement et tendrement, m’installant au plus profond de son si douillet et accueillant cocon d’amour...
Nous nous endormîmes pleinement heureux et amoureux jusqu’au petit matin...
Elle fût la première à s’éveiller et se lova tendrement dans mes bras...
- « Mon chéri...Il ne nous faut pas trop traîner tu sais ce matin...On doit régler la dame pour la nuit. Je lui ai dis vers 10 heures. Et nous avons encore pas mal de route pour aller à Madrid. »
J’étais si bien et j’émergeais si doucement de mes rêves et des douces caresses d’Ana...
« Ok... Prems à la douche !" me « vengeant ainsi de notre arrivée hier soir...
Ajoutant tout aussitôt que comme ça j’aurais le temps de descendre acheter quelques « dulces » pour accompagner notre petit déjeuner...
« Ok, fit-elle, c’est toujours toi qui diriges tout de toute façon, osa-t-elle me dire tout en riant aux éclats... »
A cet instant précis, je suis sûr qu’elle devait se remémorer la fin de soirée d’hier cette « chienne » que j’aimais à la folie...
Le petit déjeuner avalé, le ménage refait, las draps ôtés et mis en boule sur le palier, c’est tout ce que Consuela nous avait demandé, nous descendîmes la voir pour la régler de la nuit passée en son bel appartement.
Son immeuble était situé juste en face de celui où nous avions passé la nuit. La Cathédrale était toujours aussi belle et majestueuse et il faisait déjà chaud...
Ana s’était paré d’une combi short en Jeans et à bretelle du plus bel effet...
J’adorais apercevoir, voir les courbes de ses seins si peu retenus, parfois même sortant, par ces bretelles larges mais capricieuses.
Comme elle ne portait pas de sous-vêtements, c’était adorable et vraiment sexy...
Surtout quant à l’aulne de la sortie d’un de ses seins de cet écrin, elle le remettait alors innocemment en place tout en le « grondant » affectueusement ...
C’était si incroyablement et redoutablement sexy et sexe pour ceux qui pouvaient en être témoins...
Rires, cela arrivait souvent !
Ana frappait à la porte...
Consuela apparut élégamment, belle et digne comme elle nous était apparue la veille en nous accueillant.
« Oh...mes amours...vous êtes déjà levés... ! Pas trop fatigués ? Pour moi aussi la nuit a été courte mais je n’ai pas la route comme vous à faire nous dit-elle. Tout s’est bien passé ? Merci beaucoup et infiniment ! »
Ana lui indiqua qu’on avait suivi ses consignes à la lettre et lui tendit l’argent qu’on lui devait.
-« Non, non...C’est gratuit, pas besoin, repoussant doucement la main d’Ana qui lui tendait l’argent dû »
-« Non fit Ana...Comment ça, on ne vous a pas payée en arrivant hier soir...On vous les doit... ! »
-« Non lui répondit Consuela, je vous offre la nuit, c’est gratuit pour vous... »
Ce faisant, en repoussant le bras d’Ana, elle fit involontairement sortir un sein de dessous la bretelle du combi short de ma compagne ...
-« Oh, pardon, je suis navrée...Quoique, vous êtes si beaux tous les deux...L’appartement est gratuit pour vous...Vous m’avez, vous nous avez tellement donné hier soir, mon mari vous embrasse et insiste pour ne pas vous faire payer la nuit...Oui, vous ne pouvez pas comprendre...Vous nous avez donné tellement sans réellement le savoir que le prix d’une nuit dans un appartement...Tellement plus, insista-t-elle ! »
-« Comment ça dit Ana ? Je ne comprends pas...On ne vous a rien donné...On ne vous a pas vus...Hein Chéri, qu’est-ce qu’on a donné à Consuela...dit-elle tout en saisissant délicatement son sein et en le replaçant.
-« Ca ? ça justement...Oui, ça, enfin pas tout à fait ça mais quelque chose de tout aussi beau et peut-être même plus encore que vous ne pouvez l’imaginer... »
J’avoue que le rouge commença à pourprer mon visage et que je commençais à comprendre
-« Euh...Dis-je...Vous pensez ce à quoi je pense.... ? » ayant compris avec retard ce qui avait pu se passer...Oh, pardon...Désolé si on vous a choqué... »
-« Choquée?...Consuela partit dans un rire très sonore qui enjoua Ana bien qu’elle ne comprenait pas la situation ...Non, vraiment pas choquée, ni mon mari d’ailleurs...Cela nous a rappelé bien des souvenirs...Je vous ai dit que j’étais restée en poste longtemps à Paris et que la vie y était réellement fascinante et , comment dire, plus légère à l’époque qu’ici en Espagne... Nous adorions aller avec mon mari au Moulin Rouge, au Crazy Horse, au Lido et fit-elle en baissant la voix et regardant tout autour d’elle, nous adorions fréquenter les clubs libertins qui commençaient à ouvrir à Pigalle d’abord puis un peu partout et même en banlieue... Oui, nous avons eu une riche, très riche vie sexuelle avec José mon mari et depuis notre retour ici, on en avait presque oublié toute la saveur...
Elle agitait si délicieusement et adroitement son éventail pour ne pas elle aussi rougir que cela en était touchant...
Votre spectacle à vous, très cher « Daniel ? » était de toute beauté...Merci, mille merci. Surtout que mon mari s’inquiétant que je ne sois pas couchée alors que j’admirais ce que vous offriez à mes yeux et à la place de la Cathédrale est venu me rejoindre sur le balcon d’où je vous voyais admirablement bien avec toute l’intensité de cette lune bleue, vous et votre engin dressé à merveille. Brutalement, il m’a sauvagement honorée pendant toute la durée de votre show...Ce fut délicieux...Je m’étais caressée avant seule, comme je l’imagine votre dame a dû le faire en vous regardant j'en suis sûre et j’étais prête à tous les assauts et à toutes les folies...Il y a bien longtemps que nous n’avions ainsi joui tous les deux ensembles. Confidence, je vous ai même mentalement sucé et dégusté pendant que mon mari me labourait. Oui, merci, mille merci...Aussi, non vous ne nous devez rien... Croyez-moi... On aurait payé des fortunes pour s’offrir la vue d’un tel spectacle à Paris et José ne pensait même plus pouvoir me faire l’amour sans cette pilule couleur de lune qu’on nomme le viagra... Là en quelques instants il a bandé comme à ses quarante ans et m’a défoncée contre la rambarde qui en gémissait même bien plus que moi...Oh, Dieu (elle tourna ses yeux vers la Cathédrale...) Dieu que c’était beau et bon... ! Merci...
Allez, partez maintenant, vous avez de la route »
Ana venait de comprendre tandis que Consuela déposait un doux et tendre baiser sur son front et en prenant, la coquine, à pleine mains les magnifiques seins de ma compagne pour les masser délicatement et en faire rugir la pointe...
-« Tu as tellement de charme...J’étais bisexuelle et j’ai eu une aventure torride avec une danseuse du Crazy pendant de longue années...Il y a si longtemps et c'était si bon...José nous accompagnait et regardait ... Il aimait le bougre...J’aimerais avoir vingt ans aujourd’hui, je serais parie avec toi, avec vous en disant à José que j’allais revenir et que je lui raconterai tout comme à l’époque...Je partais deux ou trois jours, deux ou trois nuits surtout et revenais toujours vers José qui était comblé...Je vois qu’a quelques années de différences vous vivez les mêmes délire et la même philosophie de la vie...Soyez heureux mes amours...Soyez heureux...Nous l’avons été et aujourd’hui, cette nuit, vous nous avez fait revivre l’espace d’un si délicieux instant tout ce bonheur...Mille merci ! Longue et belle vie à vous » ;
Nous nous mîmes en route assez incrédules mais tellement satisfaits, fiers et incrédules.
Ça aussi c’était du pur Candaulisme et quand je repense à ces instants j’en comprends encore mieux l’intensité du partage.
Même et surtout sans contact, sans parler, défiant même le temps , de Candaule en passant par Consuela et José jusqu'à nous...
Sans presque nous voir, nous connaitre, nous avions su partager notre amour et nos pratiques pour aller jusqu’à les faire renaître chez un couple qui nous avait lui aussi indirectement ouvert les chemins vers les plaisirs et l’amour tendre, gratuit et sincère du partage...
Dieu que c’était beau ! J'en ai encore aujourd'hui des frissons et des pensées émues...
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tw; manipulation, mensonges, menaces, harcèlement. (et autres sûrement)
bonjour à tous,
je n’ai jamais fait de post discussion sur mon tumblr, que je réserve uniquement au graphisme mais il me semble que c’est du devoir de tous de prévenir d’un potentiel danger pour protéger la communauté; c’est vraiment une première pour moi, et pour conserver l’anonymat des victimes, leurs prénoms seront remplacés.
en revanche, je n’ai aucun mal divulguer la véritable identité de cet homme, qui s’appelle benjamin (de pseudo sano/benji quand nous l’avons connu; individu dans la trentaine). il est fort probable qu’il se fasse appeler autrement maintenant, mais il a un mode opératoire repérable puisqu’il reproduit le même schéma. si vous remarquez des similitudes avec une personne de votre entourage, je laisse à votre discernement le soin de l’identifier.
pervers sans aucun doute, cet homme approche des femmes de tout âge, la plus jeune étant âgée de 20 ans. de même, il n’hésite pas à viser des femmes mariées, ou en relation depuis longtemps. mais il semblerait qu’il jette principalement son dévolu sur celles qui traversent des passes difficiles. celles qu’il imagine, à tort ou à raison, « vulnérables » (mais nous le sommes tous après tout, dans une mesure différente j’imagine)
ça commence avec une drague inoffensive, un jeu de séduction léger qui rapidement évolue vers des exigences plus malsaines. l’une de ses victimes, qu’on nommera mélissa, a subit une pression rapidement pour quitter son compagnon et venir emménager avec lui. ne répondant pas positivement à ses avances, il menace dès lors de contacter ses proches pour prétendre qu’elle est en relation avec lui depuis plusieurs mois, qu’elle lui a envoyé des sextos/nudes. à savoir qu’elle n’avait donné aucune information personnelle mais qu’il aura été capable de trouver sur internet son lieu de travail, des informations sur ses proches et son conjoint. de même, les nudes n’étaient pas les siens mais il semblerait que ce malade a compris que ce n'est pas nécessaire d’être dans le vrai pour faire du mal. et avant tout pour effrayer.
cette mélissa avait un très bon contact avec une joueuse que l’on nommera ici estelle. estelle fût elle aussi une victime de benjamin, qui prétendit à cette dernière que mélissa était très insistante avec lui mais qu’il refusait ses avances. entre temps mélissa a été effrayée par les menaces du joueur et a quitté le forum sans donner d’explications, puisqu’il lui faisait croire qu’elle serait très mal reçue et qu’elle était déjà détestée de ma communauté (faux, évidemment). après avoir gâché cette amitié, il a rapidement profité de l’état dépressif d’estelle qui se confiait sur son mal être. une vulnérabilité qui ressemble à une porte ouverte pour un malade comme lui j’imagine.
lui envoyant cadeaux par la poste et mots d’amours; prétextant qu’il voulait faire sa vie avec elle, qu’il voulait l’épouser. mais refusant toujours d’officialiser leur relation, fermement, au point où il se disputera avec elle quand elle me mettra dans la confidence de leur union. finalement la relation se termine après plusieurs semaines d’un commun accord à cause de la distance.
estelle, très bien entourée irl, finira par apprendre par ses amis qui ont fouillés facebook (que benjamin prétendait ne pas avoir), qu’il était en réalité en couple depuis dix ans avec une femme, et qu’ils avaient même une maison. elle le confronte, il nie, prétend qu’ils sont séparés mais que rien n’a été officialisé auprès de leurs parents respectifs et qu’il n’en parlait pas pour ne pas la faire fuir. si elle ne le croit pas, elle finira cependant par lui envoyer une lettre dans laquelle elle se confie sur ses sentiments et émotions suite à cette altercation.
la conjointe de benjamin tombera sur la lettre avant lui et contactera estelle pour avoir des explications; suite à une conversation téléphonique entre les deux femmes, benjamin se retrouvera célibataire, et évidemment il le prendra mal et réagira avec violence.
en parallèle, cet homme discutait avec une joueuse que l’on appellera julie. cette julie a été elle aussi, hélas, manipulée par ce pervers. qui lui aura prétendu qu’estelle se faisait des films sur eux, qu’elle voulait forcer une relation et que s’il ne lui donnait pas gain de cause, elle menaçait de se suicider. évidemment, pas besoin de préciser que ce mythomane a tout inventé. mais julie un matin me contacte en me disant qu’elle est très inquiète pour estelle parce qu’après cette lettre envoyée à sa compagne, il l’a perdu et qu’en représailles, il souhaite divulguer des photos compromettantes d’estelle sur la toile.
de là j’ai contacté des proches gendarmes pour savoir quelles mesures pouvaient être prises pour calmer ce grand malade. ils m’ont demandé de pousser estelle à porter plainte parce que je ne pouvais, hélas, à mon échelle, rien faire de plus. elle semblait déterminée à le faire, mais à ce jour je n’ai plus de nouvelles d’elle donc je ne sais pas ce qu’il en est.
j’apprends aujourd’hui par mélissa, que ce fou furieux prétend à mon sujet (malgré la situation j’ai pas mal gloussé) qu’il aurait refusé d’interpréter mes scénarios parce que je lui faisais des avances. alors que plusieurs pourront l’attester, je lui ai refusé les rôles moi-même. pour diverses raisons dont son instabilité sur le forum, donc vraiment aucun rapport. je précise que je n’ai jamais causé à ce type autrement que pour discuter de liens possibles. pas d’ambiguïté, encore moins de drague.
il faut savoir aussi, comme je l’ai dit plus tôt, qu’il s’est montré très insistant auprès d’une joueuse qui lui avait fait part de son jeune âge. il faut croire que rien ne l’arrête.
inutile d’ailleurs de préciser que des mesures ont été prises et qu’une sanction immédiate est tombée. bannissement définitif, évidemment.
je vous demanderai à tous, s’il vous plait, de rester vigilants sur internet. ce n’est pas parce que vous partagez un rp et des échanges discord avec un joueur que vous le connaissez. aussi, divulguez le moins d’informations possibles à votre sujet et surtout, je vous recommande fortement d’éviter d’envoyer des photos exposants votre nudité à de parfaits inconnus via internet. on ne sait jamais sur qui on tombe et ce qu’ils pourraient en faire. (d’une façon générale je ne peux que vous aviser de ne jamais le faire).
j’appelle aussi à votre courage, si vous ressentez une quelconque pression de la part d’un joueur (je parle au masculin mais ça concerne tout le monde hein), si vous trouvez ses requêtes déplacées, si vous trouvez qu’il va trop loin… parlez-en à un administrateur (ou au moins à d’autres joueurs qui pourront eux, remonter l’information). j’ai conscience que parfois c’est difficile, qu’on se dit qu’on sera mal reçus (et on peut l’être, c’est vrai) mais si jamais vous êtes sur un forum et que vous n’avez pas l’impression que vous pourrez être protégé par les fondateurs et modérateurs.. sans vous dire quoi faire, je vous conseille de remettre en question votre présence sur ce rpg.
je sais qu’en tant qu’admin, et pour l’être d’un très gros forum d’ailleurs depuis un moment, nous n’avons pas à vocation d’être juge ou flic. mais je (à titre personnel, donc, notez bien l’emploi de la première personne du singulier avant de monter sur vos grands chevaux) pars du principe que créer un forum vient avec son lot de responsabilités. je ne cherche pas à ouvrir un débat sur la nature de ces devoirs, j’imagine que chacun gère ça comme il veut. pour certains il s’agira juste de créer un univers et de laisser les joueurs se débrouiller entre eux. je ne dénonce aucun admin. ce n’est pas le but de ce post. et j’ai franchement la flemme d’ouvrir une discussion à ce sujet, vous faites bien comme vous voulez. mais je sais qu’il est important d’être entouré de personnes à qui on peut se confier si une histoire comme celle-ci nous arrive et je vous souhaite sincèrement d’être sur un forum avec une équipe qui saura être à l’écoute mais aussi, qui sera capable d’intervenir.
malheureusement je vous rappelle aussi qu’à part bannir (ou faire des posts de prévention comme celui-ci) l’individu nous ne pouvons pas faire grand chose de plus. dans des cas comme celui-ci, sachez, qu’il est fortement recommandé d’aller voir les autorités compétentes pour en discuter. pour connaître très bien le milieu de la gendarmerie notamment, je vous assure qu’à moins de tomber sur un abruti fini (et dans ce cas allez juste dans un autre poste) il vous aidera à gérer ce cas. si vous ne trouvez pas le courage en vous de le faire, ou que vous avez tendance à minimiser ce qui vous arrive : parlez-en à votre entourage, et à autant de personnes qu’il le faudra pour qu’elles vous montrent que la situation n’a rien de normal. et qu’elles vous encouragent à faire le nécessaire.
j’ajouterai que si vous avez besoin de me contacter par messagerie privée ou sur discord; je reste à votre disponibilité pour ce cas ou un cas similaire. on fait parti de la même humanité, de la même communauté. et malgré les différences et divergences d’opinions, je serais disponible et ouverte, même si vous ne faites pas partie de mon forum.
et enfin, je termine pour vous dire que ce post n’a aucun autre but que celui de dénoncer cet individu. j’ai pas la prétention de dire que je sais ce qui est bien/mieux, je suis personne pour vous dire ce qui l’est de ce qui ne l’est pas. j’ai ma morale, vous avez la votre. tout comme vous avez votre histoire et que j’ai la mienne. ici, je vous partage seulement un extrait de mon point de vu personnel (j’ai essayé d’être la plus neutre possible tho).
bonne journée à tous, et restez vigilants.
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Jean-Philippe (partie 2)
La journée suit son cours, je suis plus ou moins concentrée à la job. Mais ça, c’est juste parce que c’est le 4 à 6 du jeudi. Je suis toujours fébrile à l’idée de boire du vin. Je parle de la situation à mes ami·es.
« Est-ce que je lui réécris? », leur demande-je, sachant très bien que je vais pondre une belle petite phrase accrocheuse à Jean-Philippe dans deux verres de vin no matter what. Je ne fais qu’assurer mes arrières.
Mes ami·es me conseillent autant qu’iels me déconseillent de renchérir avec une phrase timidement coquine. OK, les chum·es. Je vais écouter mon petit cœur dans ce cas-là. C’est correct.
On est deux verres de vin plus tard. It’s time.
Je largue mon attaque en DM : « Si jamais ça te tente d’avoir une compagnonne d’écriture pour un de tes shows, on pourrait se motiver dans un café. SI JAMAIS! »
Ew, j’ai dit « compagnonne ». Moving on.
Il prend du temps à répondre.
Fuck. J’ai tout gâché.
Je vis mon 4 à 6 comme tous les jeudis: j’enchaîne les verres de blanc. J’embarque sur le rouge, je me sens un peu triste. Je commence à être fatiguée. C’est prenant, se mettre out there. Se rendre vulnérable. De laisser sa destinée amoureuse dans le cellulaire d’un autre. Pis y’est en couple, anyway. Qu’est-ce que je fais?
Je quitte le 4 à 6 pour me réfugier dans ma torpeur avec mon chat. J’ai faim. Je traverse le parc près de chez moi quand je reçois trois textos. Trois.
C’est Jean-Philippe.
« C’est pas tombé dans les mains d’un sourd » (le comique) « C’est sûr que j’écris rien si t’es là par contre J’ME CONNAIS! » « Mais sait-on JAMAIS. »
Attendez. Je pense que mon cœur m’a lâché. C’est ça, mourir? Est-ce qu’on peut mourir de bonheur? Enterrez-moi vite au parc Baldwin. J’ai besoin d’une pause pour reprendre mes esprits.
Je relis ses messages. J’écris rien si t’es là par contre. Si je suis là. Je vais être partout où tu veux, mon homme. Il est définitivement célibataire. Ou TRÈS ouvert. Ça, c’est clairement du flirt. Je ne peux plus le nier, moi qui ai tant espéré.
It’s on, bitches. Je sors l’artillerie lourde avec ma répartie et des flèches coquines, mais sans plus. Je dois le faire languir un peu. Macérer. Comme un bon vin, qui peine à être dégusté.
Je lui propose qu’on se jase ça ce soir, tant qu’à. Il est 19h et je suis juste assez alcoolisée pour être drôle, flirty. J’ai pas besoin d’alcool pour être comme ça, c’est juste que je me sentais particulièrement chatte. Meow.
« On dirait qu’on est dûs pour se jaser, hein? », me répond-t-il. Oui, Jean-Philippe. On est plus que dûs. Je te dirai pas que je regarde des shows dans lesquels tu figures pis je m’imagine toutes sortes de scénarios coquins. Dis-moi pas que je vais les réaliser? Me donnerais-tu cette chance-là?
Voyons, je suis complètement coucou. Je fan girl trop. Mais il me donne juste assez de jus pour que j’aie envie de finir le litre au complet. Je bois ses paroles.
On se dit qu’on va se reparler de nos disponibilités, parce que ce soir il est trop fatigué. Normal. Ben correct, c’était un peu précipité. Faut que je me calme. Faut QU’ON se calme. Je le veux en forme quand on va se voir parce que God knows que ce ne sera pas reposant.
Cue la nuit.
Ding de-ding de-ding.
Mon alarme du matin sonne, mais j’étais déjà réveillée. Beaucoup trop excitée à l’idée qu’on se réécrive. Je lui écris mes dispos. J’attends d’avoir les siennes.
« Maudit, y’a rien qui fonctionne pour moi! », m’a-t-il rédigé. Bon. Pas grave. On trouvera un moyen.
Il continue à écrire. Les trois petits points de suspension bondissent.
Ils arrêtent.
Ils bondissent.
Ils arrêtent.
J’ai un mauvais feeling.
Suis-je allée trop loin? J’ai les mains moites, les genoux mous, le cœur en guénille. Qu’est-ce qu’il veut me dire?
Vvvvz vvvz (un son de vibration).
« L’autre truc qui me chicotte, c’est que je suis terriblement en couple. Hier, je suis complètement tombé sous ton charme mais puisque ça devient flirty tout ça (en tout cas, complètement de mon bord je dois t’avouer) je suis plus prudent ce matin je dirais. On est un couple qui se permet quand même certaines libertés occasionnelles, mais on est plutôt dans un mode plus serré vu qu’on essaie de faire un bébé. »
Quoi.
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"La toute nécessité de l'espece humaine était qu'il y ait un Autre de l'Autre. C'est celui la qu'on appelle généralement Dieu, mais dont l'analyse dévoile que c'est tout simplement LA femme."
"LA femme n’existe pas.
Il y a des femmes, mais LA femme, c’est un rêve de l’homme."
Jacques Lacan
Dans l’enseignement lacanien, est appelé "canaille" celui qui ne veut jouer le jeu d'aucun discours, les salauds étant, eux, salopés par le discours qu'ils servent.
Que la canaille ne joue le jeu d’aucun discours, cela s’appelait autrefois: "vouloir bouffer à tous les râteliers".
La canaille se retrouve bête de vouloir dérober la jouissance sans jouer le jeu du discours dont elle s’ordonne (les canailles deviennent bêtes après qu’elles ont raté leur analyse, ce qui est tout de même un progrès, note Lacan...)
Du point de vue strictement logique, il est impossible de se dire "lacanien" ...et faire la promotion de la Gender Theory, son féminisme me-toomaniaque, son déni de la différence sexuelle... qui ne sont rien d’autre que des émanations du discours dominant, à savoir le Discours Capitaliste qui se soutient du Discours Universitaire, son projet d’effacer la différence entre hommes (masculin et féminin) et machines...
Dans "LA femme n'existe pas", il ne faut pas interpréter "exister" comme un synonyme de "être", il s’agit d’entendre cette proposition au sens de la logique (hegelienne) où "l'existence" ne fait pas couple avec "l'essence" (qui est corrélative de "l'apparence") mais avec "le fondement" (der Grund): l'existence se définissant du point de vue dialectique, comme l'effet, l'apparition d'un fondement, d'une raison, d'un principe essentiel et unique: l’existence est "l'être apparaissant en tant qu'il est posé et saisi comme l'effet d'un fondement".
C'est précisément en ce sens que "LA femme n'existe pas", elle n'a pas de fondement unique, elle n'est pas totalisable dans le cadre d'un principe unique dont elle serait l'expression.
Si "LA femme n'existe pas" c'est bien parce que "homme" est le nom de la femme qui prétend exister.
Le passage à l'universalité du genre humain introduit non seulement la différence sexuelle, mais aussi la différence entre les deux espèces, "homme" représentant le moment de la scission de la collection féminine non-différenciée, tout en incarnant, face à son opposé féminin particulier, le moment de l'universalité.
L'universel fonctionnant toujours comme une exception, selon un fonctionnement auto-référentiel où le GENRE universel se rencontre toujours lui-même parmi ses ESPÈCES.
En pure logique, la différence spécifique ne fonctionne plus — depuis la démonstration de Hegel— comme la différence entre les éléments sur l'arrière-fond neutre-universel de l'ensemble, qui est imaginaire, mais devenant la différence même entre l'ensemble universel et son élément particulier…
C'est de la force motrice de la dialectique hegelienne — que Lacan tire la logique du "pas-tout".
Pour faire d'une collection d'éléments particuliers une totalité, on doit y ajouter (ou bien soustraire ce qui revient ici au même - mettre en position d'exception) un élément paradoxal qui dans sa particularité même incarne l'universalité du genre, tout en fonctionnant comme sa négation…
Lorsque Lacan dit «LA femme n’existe pas», outre la considération logique inscrite dans cette proposition, il s’agit d’entendre que «le mystère ineffable», qui serait exclu de l’ordre symbolique, n’existe pas...
Chez Lacan, la vérité est toujours vérité de la contingence, raison pour laquelle la vérité ne peut que se mi-dire, car elle touche au Réel sans s’y confondre.
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Sachez que si vous êtes allé/s allée/s chercher des pancakes et/ou une boisson et que vous avez demandé un sticker de Éric, cette personne vous a "grave jugé" comme elle le dit elle-même
Vous avez fait un long trajet parce que vous venez de loin? Vous avez attendu longtemps? Peut-être même dans le froid et la pluie? Vous étiez content/e/s d'être là? Vous avez dit tout souriant "bonjour, merci, au revoir"? Peut-être même prit des photos pour les partager et par la même occasion leur faire de la publicité? Et bien vous n'avez peut-être pas eu votre sticker mais tenez cette belle récompense de la personne qui vous a servit! 😀
Imaginez vouloir passer un bon moment et tomber sur cette remarque sur Twitter. À quel point cette remarque (visible par tout le monde) à pu avoir un impact sur la ou les personne/s qui sont allés voir cette personne pour lui demander un autocollant de leur personnage favori?
Je ne comprends pas, pourquoi juger les joueurs qui à aucun moment ont eu le choix de pouvoir rompre avec leur cdc AVANT de pouvoir se mettre en couple avec Éric? Pourquoi ne pas juger BEEMOOV qui a décidé des tenants et des aboutissants pour rendre la route ce qu'elle est?
Pourquoi pas mal de personnes qui n'aiment pas se personnage pensent que l'arrivée de la tromperie dans un couple est née avec Éric? Non je demande ça parce que j'ai vu BEAUCOUP TROP de fois des personnes faire des commentaires dans le genre "si tu as choisis Éric c'est que tu dois tromper aussi dans la vraie vie" ou encore "si t'aimes Éric je veux même pas savoir comment tu gère tes relations"
Les gens dans ce fandom ont pas attendu Éric pour tromper ou être trompé...
A quel moment les choix fait dans un jeu vidéo par d'autres joueurs ont eu un impact sur la vie de cette personne? Dans sa propre partie (si elle a joué)? Ou même dans celle des autres joueurs?
Du coup faudrait aussi juger toutes les personnes qui dans la saison 1 de Eldarya étaient avec Valkyon et que dans la deuxième saison ont prit Lance? Ou qui depuis le départ voulaient être avec lui? Toutes celles qui dans HSL ont tenté de séduire Leight? Celles qui ont choisit Ezarel? (Oui parce que lui aussi a fait des choses pas top top hein, comme tout les autres perso) ou Leiftan?
À quel moment insulter, juger, menacer, se moquer de vraies personnes est devenu moins grave que de protéger des personnages de fiction??
Sur ma réponse Twitter j'ai tag Beemoov, ici je me permet de tag @chinomiko et de redire encore une fois que cette personne manque de professionnalisme, que son travail est de donner ce que les clients demandent, ses remarques concernant les choix des joueurs n'ont RIEN à faire ici en publique, ils paient pour avoir des boissons et de la nourriture, non pas ce genre de commentaires
P.S. j'anticipe certains en vous disant que non je n'ai pas joué à LL, et que donc je n'ai jamais croisé directement Éric dans ma partie, je me suis arrêtée à l'épisode 14 de CL, que non je suis pas pour la tromperie et que je ne suis même pas à l'aise avec ce thème, que je me vois jamais dans la vie faire ça à mon partenaire, et que tout comme les CDC je ne pourrais moi aussi jamais réussir à pardonner tout simplement parce que je n'arriverais plus à avoir confiance envers la personne. Mais ici on parle d'un jeu vidéo, et même si les sentiments que j'ai envers ça ne changent pas, ce n'est pas une raison pour s'en prendre à d'autres joueurs qui juste décidé de s'amuser.
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saga: Soumission & Domination 314
Côme devient Bi et Ludovic me présente ses parents
Plusieurs semaines plus tard, alors que Côme est entré comme membre actif des Escorts hétéro, pour le plus grand plaisir de déjà deux de mes plus fidèles clientes et pour leur plus grand plaisir selon leurs retours, il demande à me voir.
Quand il arrive et que je le reçois au 4ème, il me demande si ça ne me dérange pas d'aller au bureau du 1er.
Je lui demande s'il a eu un problème avec la cliente. Sa réponse négative, si elle me rassure coté travail, m'inquiète plus coté personnel !
Je le fais assoir et lui demande si tout va bien. Je m'assure qu'il n'est pas mécontent de ce qu'il perçoit pour ses prestations et que notre relation avec son frère n'est pas en cause. Réponses négatives à tous ces points.
J'attends donc qu'il se décide à me dire ce qui ne va pas. En attendant qu'il se décide je fais 2 cafés et lui en tends un. Ce n'est que quand il l'a fini qu'il se lance.
Il commence par me remercier de l'avoir mis sur le coup et qu'il m'est très reconnaissant de ce qui lui arrive. Je lui dis que c'est réciproque et qu'il fait merveilles auprès des clientes.
Il me dit que justement il craint de me décevoir. Comme je ne vois pas en quoi et que je lui en fais la remarque, il se lance.
Il m'explique que faire du sport 2 fois par semaine avec mon groupe, ça l'avait méchamment travaillé et qu'il avait envie de céder à Jona et François mais que ce faisant, il allait rompre le contrat moral qu'il avait pris avec moi comme quoi il était hétéro car c'était pour ça que je l'avais embauché.
J'éclate de rire. Sans que ça le vexe, je vois bien qu'il ne comprend pas ma réaction.
Je le rassure et lui dis qu'il n'a de contrat que de " prestater " pour ma boite. Que ce qu'il fait par ailleurs, à condition que cela ne remette pas en cause sa santé et par ricochet celles de mes clients, cela ne regardait que lui. Il s'en défend et avance que je ne l'aurais probablement pas embauché sinon.
Là, je lui fais remarquer qu'il dit quand même une grosse connerie étant donné que mon secteur client gay est beaucoup plus développé ! Effectivement il prend conscience de l'énormité de sa réflexion. Je résume pour lui : il est en train de s'apercevoir que certains mecs ne le laissent pas indifférent et que ça le trouble étant donné qu'il était sûr d'être hétéro à 200%.
Il me dit que c'est tout à fait ça et qu'en plus c'est sur Jona et François qu'il flash ! Comme ils sont en couple, ça le gène de s'immiscer entre eux. Même si ces derniers l'ont assuré que cela n'aurait aucune incidence pour personne. Je contourne mon bureau et pose mes fesses contre le plateau alors qu'il est devant moi prostré dans le fauteuil. (Enfin, prostrer un corps comme le sien c'est pas évident !).
Je le lève et lui relève la tête afin d'avoir ses yeux dans les miens. Je lui demande où il a bien pu trouver que s'il allait baiser avec Jona et François, cela mettrait en péril nos relations professionnelles et même personnelles ?
Je l'avais prévenu qu'il allait subir un siège en règle de la part de mes escorts, il avait oublié cela ? Que si je m'en doutais, cela voulait dire aussi que ce n'était pas de mon ressort mais qu'il était libre de vivre comme il le souhaitait.
Il tombe dans mes bras et 85Kg, c'est pas rien ! Il me dit que Jona et François sont des mecs vraiment bien, ce dont je ne doutais pas une seule seconde, que ce sont les seuls qui le font bander grave mais que ça l'effraie aussi.
Quand je lui dis qu'il aurait pu demander conseil à son frère, il me fait aussitôt jurer de ne rien lui dire.
Je le vois encore tourner autour du pot. Je sens bien qu'il n'en a pas fini. Nouveau silence puis il se lance. Il me dit qu'il est vierge coté cul et qu'il n'a jamais fait de pipe de sa vie. Il craint que sa première fois se passe mal et qu'il ne déçoive Jona et François.
Sous ses dehors de " grosse brute ", se cache un véritable mec sensible et prévenant. Ce dont je ne doutais pas vu son comportement avec Ludovic.
Je lui conseille de leur dire que ce sera sa première relation homosexuelle et de les laisser gérer. Je connais mes hommes, ils sauront faire en sorte qu'il en redemande !
Du coup il accepte l'apéro avant de rentrer chez lui.
Il profite du moment et que Ludovic ne soit pas là pour me parler de ses parents. Ludovic leur a tout déballé l'autre matin au petit déjeuner familial. Comme quoi il est homo, qu'il a rencontré un garçon qui lui plait (il n'a pas eu l'inconscience de dire deux garçons, un c'est déjà pas évident à faire passer), qu'il passera plusieurs nuits par semaine avec lui. Et que c'est comme ça que leur second fils est heureux.
Il me dit que ç'avait coupé court à toutes les discussions en cours. Le premier à avoir réagi est leur petit frère de 16ans qui lui a demandé qui c'était son mec, s'il le connaissait. Puis ses parents l'ont questionné pour savoir s'il était sérieux en leur disant ça. Devant l'assurance de leur fils ils ont dû convenir qu'il leur disait la vérité. Leur mère lui a dit que pour elle, ça ne changeait pas le fait qu'il était et resterait leur fils quelques choix qu'il fasse dans la vie mais que s'il pouvait éviter de virer mauvais garçon, cela la rassurerait quand même. Leur père les a surpris par le fait qu'il s'est inquiété du fait que le chemin de vie qu'il s'était choisi n'était pas simple et qu'il se mettait d'emblée des bâtons dans les roues.
Une fois la conversation terminée, Ils ont dit à Ludovic qu'ils souhaitaient rencontrer le jeune homme qui a fait craquer leur fils.
PH est plié en deux de rire. Il me dit que j'ai du pot que cela ne me soit pas arrivé avant. Mais le milieu d'où sont issus mes autres escorts n'est pas le même aussi.
Je demande si c'est indispensable. Côme me répond que si je veux pouvoir continuer à voir son frère et à l'héberger quelques soirs par semaine, j'avais plutôt intérêt à pointer mes fesses chez eux. J'essaye de refiler la corvée à PH. Il se défile et me dit que c'est mon choix que d'avoir placé Ludovic comme plus qu'un de mes simples escorts dans notre vie et donc que c'était à moi de m'y coller.
Pour m'encourager, Côme me dit qu'il sera présent ce soir là pour nous soutenir tous les deux.
Quand il est parti, j'appelle Jona et lui fais part de notre conversation pour Côme bien sûr. Il me dit qu'il lui avait déjà dit tout cela mais que Côme ne les croyait pas. Je lui dis juste de faire attention que c'est un puceau avec les mecs. Quand il me répond de ne pas m'en faire et qu'ils s'en doutaient avec François, je sais que je peux avoir confiance, je leur laisse bien ma mère après tout !
Rencontre des parents de Ludovic et Côme.
Je suis invité à l'apéritif le vendredi soir qui suit notre conversation. Je me change au moins trois fois avant d'y aller. PH est plié de rire de voir mon comportement. Il me dit que je n'avais pas autant stressé quand j'avais rencontré les siens. Je lui dis que j'étais jeune et inconscient à l'époque (il y a 3 ans déjà).
Finalement je reste en Jeans (de marque) et passe un blazer par-dessus un polo à manches longues. Style détendu mais classe, ce que j'imagine devoir convenir dans le milieu rural évolué. Je prends la 300C moins m'as-tu vu que la SLS.
Quand j'arrive, Ludovic est dehors avant que je ne mette un pied sur le sol. Il m'embrasse sur la bouche et me dit qu'il avait négocié ça avec ses parents. Je le remercie, c'est moins brutal comme contact. Il ajoute de ne pas faire attention à son petit frère qui est d'une curiosité maladive envers moi et me dit que Côme est là.
Je le suis, pénètre dans une entrée où trône une tête de cerf impressionnante. Vaut mieux ne pas être WWF ici ! Je le suis jusqu'au salon. Ses parents se lèvent pour m'accueillir. Je prends la main de madame et me penche légèrement dessus. Celle de monsieur est ferme sans être conflictuelle. Côme me salut et le petit frère se permet de m'embrasser sur la joue pour la provoque je pense. Ce qui lui vaut un regard noir de son père.
Je n'en mène pas large et pourtant j'ai rencontré des personnes autrement plus importantes qu'eux, mais aucune dans ces circonstances. Intérieurement je maudis PH de ne pas avoir accepté la corvée. Le père me sert un Martini (faut garder les idées claires ce soir) alors qu'il prend un whisky bien tassé.
La conversation est neutre, études, famille. Madame me demande si je suis de la famille d'Emma X. Je confirme que c'est ma mère. Elle manque de s'étouffer vu notre différence d'âge (entre ma mère et moi). J'ajoute rapidement qu'elle m'a adopté quand mes propres parents sont décédés. Excuses de sa part, je minimise l'impact. Mais j'ai l'impression que ça me rends plus " sympathique ". Le père entre dans le vif du sujet. Il me dit qu'il me trouve gentil mais que nous sommes jeunes, surtout Ludovic. Ludo se récrie que ce n'est pas une raison pour ne pas savoir reconnaitre les sentiments quand ils se développent entre deux êtres. J'ajoute qu'effectivement nous le sommes mais que c'est aussi le moment des expériences, des essais pour savoir nos véritables natures. Que je suis conscient que Ludovic pourrait me quitter d'ici quelques temps même si ce n'est pas ce que je souhaite. J'accepte le défi. Il me répond que ce n'est pas un jeu. J'ai loupé !! J'argumente sur le fait que je suis là pour son fils parce qu'il me plait énormément, que j'ai de forts sentiments pour lui et que c'est réciproque. C'est pas évident de se dévoiler comme ça devant des inconnus !! Surtout quand le petit dernier sort " ils sont amoureux ". Ce qui lui vaut d'être éjecté de la salle.
Je rappelle que j'ai 25 ans et que je suis conscient du trouble que je provoque dans cette maison. J'ajoute que si cela n'avait pas été moi, cela aurait été un autre, la nature de leur fils n'étant pas de leur ramener une gentille jeune fille.
Côme entre dans la conversation. Il dit à son père qu'il connaissait les penchants de son frère depuis leurs apparitions et qu'il ne l'avait encore jamais vu aussi épanoui et heureux que depuis qu'il me connaissait. Il doit avoir l'oreille du père car cela clos la discussion. Elle repart sur des banalités jusqu'à ce que la mère m'invite à diner. Côme me fait un signe d'accepter et je m'excuse pour m'isoler et appeler PH. Bref résumé, il me dit qu'il dinera seul que ce n'est pas un souci qu'il a pas mal de travaille. Je l'aime ce mec !
Au diner le petit dernier est de retour mais il a dû être briefé car il se retient de sortir des vannes vaseuses. Dans la discussion, quand le père apprend que je suis déjà dans le conseil d'administration des sociétés de ma mère, cela me pose. Et du coup quand Ludovic demande plus de liberté quant au fait de découcher du nid familial, il obtient satisfaction sous conditions qu'il réussisse tous ses partiels. J'assure qu'étant moi-même encore en 4ème année d'école de commerce, je veillerai à ce qu'il ne les loupe pas.
Quand je les quitte, on ne se tape pas dans le dos (c'est pas le genre) mais il règne entre nous une entente cordiale. Malheureusement Ludovic ne me suis pas !!
Il sera avec nous le soir suivant. Racontant à sa façon le diner de la veille à PH. Là, je m'aperçois qu'il a beaucoup d'humour.
La rencontre avec Marc s'est passée idéalement. Mon mec a craqué devant son physique et Ludo s'est adapté avec un naturel suspect. Je saurais plus tard qu'il avait cuisiné PH pour ne pas faire d'impairs avec Marc.
Notre première nuit à 4 s'est terminée au matin, tous morts de fatigue et les couilles sèches. Heureusement qu'on était un vendredi soir ! Je crois bien que Ludovic s'est fait enculer par chacun d'entre nous et qu'il nous a tous pompé au moins une fois. Après sa prestation, les 22x6 de Marc ne lui ont pas posés de problème. Nous n'avons jamais été deux couples cote à cote mais un quatuor en train de faire l'amour. Je me suis surpris à penser que Marc était même beaucoup plus doux avec Ludovic qu'il ne l'avait jamais été avec nous autres (PH, Ernesto et moi). Une nuit de folie où les caresses ont succédé à des enculages de folie, me rappelant par bien des aspects les retours d'Ernesto à la maison, quelques cm en moins mais la douceur en plus. J'ai adoré mon 69 avec Ludovic alors que Marc m'enculait et que PH faisait de même à mon partenaire. Tout comme lorsque c'était moi qui l'enculait alors qu'il se faisait celui de PH pompant Marc. Je pense qu'on a dû tous juter au moins 4 fois dans la nuit. Ce qui est sûr c'est qu'on n'a pas débandé pendant des heures.
Au déjeuner du lendemain (petit, déjeuner sauté), Marc me dira combien notre choix l'avait ravi. Encore plus que tous ceux que je lui avais ramené exception faite de PH et Ernesto bien sûr.
Jardinier
workers team
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innocent crowd
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propaganda material
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Le FBI enquêterait sur les Kardashian pour avoir drogué des hommes importants afin d'obtenir des documents essentiels à des fins personnelles et de chantage. Sur des images obtenues lors de la descente de Diddy, Kim Kardashian aurait été prise en flagrant délit d'activités qui devraient provoquer une onde de choc dans le monde du spectacle. 18 septembre 2024
The FBI is reportedly investigating the Kardashians for drugging important men to obtain vital documents for personal gain and blackmail. In footage obtained during Diddy's raid, Kim Kardashian is allegedly caught red-handed in activities that are expected to send shockwaves through the entertainment world. September 18, 2024
Affaire Diddy en lien avec la famille Kardashian et Justin Bieber. Cela fait polémique depuis quelques jours de l'autre côté de l'Atlantique. Le FBI aurait récupéré des vidéos chez P Diddy qui incrimineraient Kim Kardashian. Cela a d'ailleurs valu récemment au compte américain @ShadowofEzra de recevoir une lettre de l'avocate de la famille K. qui commence certainement à paniquer que des vérités dérangeantes puissent prochainement sortir à leur sujet. Sur ces vidéos, on verrait Kim droguer des hommes pendant les soirées de Diddy afin qu'ils soient plus enclins à signer des contrats ou faire des choses contre leur gré pour les faire chanter. Diddy les aurait filmés à leur insu. Kim et Diddy sont également suspectés de s'être alliés pour faire tomber Kanye West, ex-mari de Kim et le faire enfermer en HP afin qu'il subisse un traitement au lithium pour le faire définitivement taire. On peut aussi parler de Lou Taylor, très proche de la famille K., qui aurait payé des victimes de Diddy pour qu'elles se taisent. Taylor a déjà été accusée d'avoir participé à la mise sous tutelle de Britney Spears et de lui avoir escroqué beaucoup d'argent. Selon le LA Times, l'un des employés de Taylor, Robin Greenhill, était cité comme le comptable de Sean Combs et aurait supervisé les paiements aux travailleuses du sexe. Parmi les clients de Taylor figurent Jennifer Lopez, Steven Tyler, Kris Jenner, Kim Kardashian, Kylie Jenner, Gwen Stefani, Reba McEntire, Priyanka Chopra, Mary J. Blige et Florida Georgia Line. La veille de l'arrestation de Diddy, les membres de la famille K. ont tous arrêté de le suivre sur les réseaux sociaux alors qu'ils ont toujours été proches. Corey Gamble, proche de Lou Taylor et accessoirement toy boy de Kris Jenner, est l'ancien directeur de tournées de Justin Bieber qui a également appris à Kris Jenner à être directrice de tournées afin qu'elle puisse assumer la responsabilité financière de tous les spectacles de Kanye West. Ce dernier avait qualifié Corey Gamble d'agent de la CIA, laissant supposé qu'il était le gestionnaire de Diddy et espion introduit dans la famille K. après le divorce de Kris avec Bruce. La relation entre Kris et Corey serait une fraude; lui assure avoir contribué à la richesse de la famille K. et Kris y trouve son avantage également... financier, toujours. Beaucoup savent désormais que Kris a vendu la sex-tape de Kim (après en avoir visionnées plusieurs pour savoir sur laquelle sa fille était la mieux) et a bâti toute la fortune de la famille sur la sexualisation de toutes ses filles, telle une mère maquerelle qui prostitue ses enfants. Mais en réalité, Kris serait aussi "mac" de pas mal de jeunes hommes de l'industrie de Hollywood. Et le nom qui circule beaucoup également serait Justin Bieber, qui a toujours été proche de cette famille, au point que des relations lui ont été attribuées avec plusieurs filles de Kris. On peut rappeler qu'aux US, beaucoup suspectent que Reign, fils officiel de Kourtney Kardashian et Scott Disick, aurait en réalité pour père biologique, Justin Bieber, qui ne cachait il fut un temps son attirance pour les femmes plus âgées. (Il a été par exemple en couple par le passé avec Adriana Lima et Miranda Kerr.) Les dates correspondent du temps où il était inséparable avec Kourtney et cette dernière a refusé en 2017 un test de paternité réclamé par Scott Disick... Petit rappel certaines chansons de Justin Bieber sont explicites
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Comme je n'ai que ça à faire Comme je procrastine, je fais un petit bilan du moment en mode level 10.
Vous vous souvenez du level 10, on définit 10 domaines de la vie, on y pense régulièrement pendant quelques jours pour n'être ni pessimiste ni trop optimiste, et on se met des points sur 10. Ensuite on choisit des domaines prioritaires pour lesquels on se demande comment monter d'un point d'ici le prochain bilan. On pose des objectifs et des façons d'agir. Je fais ça régulièrement depuis deeeees annééééées et ça m'a réellement fait évoluer. Le postulat est que lorsque l'on concentre son énergie dans quelque chose, cette chose évolue.
Bon alors.
1. Couple. 7/10 comme la dernière fois.
Ça va quoi. Tranquille.
2. Amitiés/famille. 8/10, -1 par rapport à la dernière fois mais on va entrer dans la période des anniversaires, ça va remonter.
Les amis fidèles sont toujours là, c'est agréable. J'aime bien les mettre au même niveau que la famille.
3. Santé : 8/10. +1 par rapport à l'année dernière
J'ai perdu 15 kg depuis le mois de mai et ça fait beaucoup de bien. Je suis au même poids qu'en 2016 quand je faisais 9h de sport par semaine. Alors je n'ai plus du tout le temps de faire 9h, mais le cirque reprend cette semaine (jonglerie , câble, échasses, corde lisse et trapèze) et pendant les vacances scolaires j'ai régulièrement bossé les bras et les abdos, j'ai assez bien marché aussi.
L'année dernière j'étais assez déçue de moi, j'étais fière de me lancer dans des trucs difficiles mais ils se sont vraiment avérés très difficiles, mon âge et mon corps agissaient comme des obstacles pour tout ce que je voulais faire au trapèze. En fait j'aimais bien ce corps avec des formes et il correspondait mieux à qui je suis, je trouve. Mais il ne correspondait pas du tout à ce que je voulais en faire. Du coup me revoilà fit, comme au bon vieux temps, mon corps comme un outil. Cardio peut mieux faire mais c'est pas mon truc, gainage de folie et bras encore un chouïa trop mous mais les pompes commencent à se fluidifier, c'est cool.
4. Environnement 7/10. Pareil que l'année dernière parce que rien n'a vraiment changé. Ça va changer, on commence des travaux en octobre dans la maison. L'appartement quant à lui se termine petit à petit mais on ne peut y aller que des petits moments du weekend, et c'est à 1h d'ici du coup ça limite fort. Bon allez peut-être un petit 8/10 alors, pour l'effort.
5. Don de soi. J'étais à flemme/10. Là je vais ajouter 1 point pcq justement hier j'ai fait du bénévolat pour avoir des subsides dans un projet d'intégration d'enfants handicapés dans des stages. Pour financer la présence d'éducateurices spécialisé.es et arriver plus facilement au quota de supervision nécessaire quand il y a des enfants handicapés dans le groupe.
Mais flemme quand même. Je donne beaucoup de moi, je fais du bénévolat avec les patients quand je sais qu'ils ne seront pas remboursés par la mutuelle par exemple. Je refuse qu'ils paient les manquements du système de soins de santé en Belgique. J'arrive pas à coter ça en fait, ça me semble naturel et en même temps je ne pourrais pas faire davantage parce bon il y a un moment où je paie des factures.
6. Loisirs 8/10. +1 par rapport à l'année dernière.
Je double ma présence au cirque cette année et ça commence demain et ça me terrorrise, et je suis en même temps impatiente de donner encore cette année des grands coups de pied dans ma zone de confort. Et je suis surtout impatiente de passer du temps avec le groupe du cirque. Ces gens sont remplis de talent, d'humour et de bienveillance, je n'ai pas envie de me passer d'eux.
7. Job 9/10 encore, même chose que l'année dernière.
J'ai beaucoup de boulot et j'aime ce que je fais. J'ai juste beaucoup trop de boulot par périodes, c'est mal réparti sur l'année. Là je viens de passer deux mois plutôt chill pendant les vacances scolaires parce qu'il y a beaucoup d'absents et d'un coup ils reviennent tous et beaucoup d'entre eux ont besoin de testing et de bilan. J'ai posé les bilans exprès à cette période parce qu'en général j'ai un.e stagiaire et c'est un bon apprentissage, mais là je n'ai pas de nouvelles de celle de cette année.
S'il devait y avoir un objectif ce serait arrêter de procrastiner mais bon, on le connaît bien ce petit cocktail "1/3 angoisse d'anticipation, 1/3 perfectionnisme, 1/3 syndrome de l'imposteur"
Cet objectif ne fonctionne pas, étant donné que j'écris tout ceci au lieu de faire mes factures.
Je devrais bosser sur mon rapport à l'argent. Des années que je bosse et je suis toujours déchirée à l'idée de donner une facture à un patient.
8. Finances 6/10.
+1 par rapport à l'année dernière parce que j'étais vraiment dans une grosse tuile avec des documents perdus par la mutuelle et donc l'impossibilité d'obtenir mes honoraires de plusieurs mois. Ça avait reculé pas mal de paiements importants qui avaient donc été majorés et c'est comme ça qu'on se retrouve dans le caca financièrement parce que ça décale les paiements faisables et donc ça ajoute des majorations sur le moindre truc.
J'ai aussi eu des problèmes dont j'aurais pu me passer, avec ma voiture, ça a été cher.
Du coup c'est un +1 d'encouragement pcq la galère continue mais j'ai trouvé une solution, et ça m'a demandé de prendre sur moi et téléphoner (😱) mais maintenant l'avenir me stresse un peu moins.
9. Philosophie. 0/10, pareil qu'avant.
J'ai même pas envie d'en parler,tiens. Je vais trouver un autre libellé.
10. Lecture 9/10. +2 par rapport à l'année dernière, LE gros progrès de l'année, avec la santé.
Je suis dans mon 18eme bouquin et j'ai même un petit résumé de chaque dans le billet épinglé. J'espère arriver à 20 avant décembre mais là je suis dans une grosse lecture assez technique sur la remédiation des troubles visuo-attentionnels.
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3H est un otome game ???? Alors là c'est la meilleure
La classe des Lions de Saphir c'est un peu ça lol
Plus sérieusement, avec l'introduction de l'avatar qui est censé représenter le jouer et la mise en avant des relations parasociales ("coucou moi c'est Linfan et je suis votre fils/fille!" osef) on a de plus en plus d'éléments qui poussent les jeux FE vers le fameux "dating sim", l'avatar va se marier avec qui? Le type ténébreux et mystérieux, le mec toujours optimiste, l'archétype de la princesse de glace qui ne se dégèle qu'aux cotés de son love interest, la tsundere, la hikikomori...
Bref, les personnages sont presque tous réduits à être de potentiels love interest et donc à entrer dans une case pour "plaire" au joueur...
Malgré tout, on ne va pas se mentir, FE n'est pas pensé/réalisé pour être un jeu qui vise un public féminin - si on peut tout autant faire son choix entre "waifus" et "husbandos", la cinématique d'introduction de Camilla est bien là pour rappeler que même si on joue Corrine, le public majoritairement visé reste... le public masculin qui est capable de jeter de l'argent non virtuel pour acheter des unités Gullveig sur FE Heroes.
"Oui mais random, les jeux peuvent aussi viser le public féminin qui trouve les femmes attrayantes!"
Certes, mais il ne faut pas se voiler la face - c'est quelle version de Billy que Dedel dessine dans le jeu?
Si certains (ou certaines?) on pu voir de l'inclusivité dans ce jeu, ben tant mieux pour eux, mais on ne m'enlèvera pas l'idée que les relations F/F dans ce jeu (et dans Nopes!) c'est juste pour titiller la nouille de joueur - surtout quand on les compare aux nombreuses (mais sous-entendues comme dans le reste de la franchise!) relations M/M.
Monica qui compte le nombre de fois où Dedel sourit ou parle ou mentionne le nom de Barney/Hubert/le chat gris du monastère c'est... absolument pas du même niveau que Rodrigue qui jure à Lambert de s'occuper de son fils et qui ne jure que par Lambert même des années après sa mort (et ce alors que Nopes nous révèle que Matthias aussi était censé faire partie de la bande, mais qui c'est qui nous parle sans arrêt de Lambert, Rodrigue ou Matthias? Est-ce qu'ils étaient juste "potes"?), ou Dimitri et Felix/Dedue...
Il y a Doro, qui a plus d'affinité avec certains personnages féminins, mais d'un point de vue "Doyliste" comme on dit, qui est le personnage féminin qui est attiré par les autres femmes? Bernie, Leonie ou Doro ?
Qui peut se marier avec Billie, Mercedes ou Annette?
J'entends que Billy ne peut pas non plus se marier avec Dimitri et Claude, donc niveau inclusivité M/M on est pas là non plus, mais justement.
FE Fodlan, pour la représentativité sur le volet "dating sim" est au ras des pâquerettes, en faisant du cru, l'avatar Billie aime les pastèques (sauf Dedel!) parce que Cuboon l'a bien dit en expliquant que deux femmes en maillot de bain c'est un "milk truck" - Billy lui finit avec des tokens pour faire progressiste mais rien de bien méchant qui permet de mettre en avant une relation M/M entre l'avatar du joueur et un personnage - Alois et Gilbert sont tellement ignorés par la fanbase et les devs qu'ils ont été retirés de Nopes, Yuri a vu le jour avec un DLC et Jeritza... n'est jouable que dans une route de FE16.
En gros, un jeu où les personnages féminins attirés par les femmes ont toutes de grosses poitrines, ça me fait d'avantage penser au mindset "milk truck" de Cuboon (avec les sous-entendus dégeulasses qui vont avec!) qu'à un effort d'IS de faire de l'inclusivité.
FE a toujours traité les relations homoerotiques avec assez de classe chez les hommes, alors voir la façon dont les couples entre femmes sont explorés... parfois ça passe (même si ça souffre toujours de la comparaison avec leur "alter ego" entre hommes!) et parfois, ça finit en alts de FEH où deux femmes sont "attirées" l'unes par l'autre par une sorte de magnétisme mammaire qui les forcent à presser leurs seins l'une contre l'autre.
Loin d'être un otome game, FE16 pour moi se rapproche d'un dating sim à destination d'un public spécifique, qui n'est absolument pas le public des otome games.
Heureusement que ça reste tout de même un jeu FE donc malgré tout appréciable, mais quand on se rend compte que le choix entre Fleur Vermeille et Neiges Argentées se résume à "et tu veux finir avec quelle waifu? Rhea - que tu dois avoir harcelé pour faire un soutien A pour obtenir toutes les réponses et sa conclusions pendant le début du jeu - ou Dedel?" je pense que je ne fais pas partie du public visé par FE16.
Et ça reste quand même une bonne chose que FE Fodlan ait réussi à toucher plus de joueurs que ceux qui étaient visés par les développeurs de Fodlan - si tout le monde a pu en tirer quelque chose de positif ou au moins passer un bon moment c'est tant mieux, même si je pense qu'il ne faut pas prêter trop d'intentions aux développeurs qui ont toujours eu l'arrière-pensée de faire une carte "Dedel en nuisette".
C'est un peu comme un anniversaire, tu prépares un gâteau pour l'enfant qui fête son anniversaire parce que c'est son préféré, mais ses copains le mangent aussi et le trouvent super bon : tant mieux pour tout le monde non?
Mais il ne faut tout de même pas oublier que le gâteau, au début, n'avait pas été fait pour leur faire plaisir à eux.
#anon#replies#french post#ce n'est pas que dans FE en fait#je crois qu'il y avait un article récemment#qui se demandait pourquoi on vois plus de couples entre femmes à la télé qu'entre hommes#parce que le male gaze existe#'deux femmes c'est joli'#'deux zigounettes c'est berk'#avec un mindset comme ça impossible d'en faire des otome games#et on en revient au postulat de départ#FE Fodlan a toujours été pensé pour un public masculin qui aime les femmes
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Te revoir une dernière fois
Fandom : Doctor Who
Relationship : Eleven x Rose
Voici ma participation pour le Aug-kissed 2024 pour le prompt : Un baiser sur la main.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : « Je suis fier de toi Rose Tyler. Je sais que tu feras des choses extraordinaires. -J’ai l’impression que vous êtes en train de me dire adieu. »
Il lui prit la main et la porta à ses lèvres.
« Tout ira bien Rose. Je te le promets. »
Il ferma les yeux, essayant de profiter de ces derniers instants avec elle.
Disclaimer : Doctor Who est une série de la BBC.
@aug-kissed
AO3 / FF.NET
Le docteur et Clara se dirigèrent vers le TARDIS. Ils venaient d'empêcher une invasion de Sontariens. Le docteur croyait bien qu'ils ne s'en sortiraient pas, mais heureusement le pire avait été évité et la Terre et ses habitants avaient été sauvés. Ils tournèrent au coin d'une rue, lorsque le Docteur entendit au loin :
« John ! »
Il se figea. Il reconnaissait cette voix. Même s’il ne l’avait pas entendu depuis des siècles, il savait qui venait de l’appeler. Alors que le nom de John Smith était le nom qu’il donnait lorsqu’il en avait besoin, une seule personne l’appelait ainsi sous cette forme. Clara se tourna vers lui et le regarda avec inqui��tude.
« Docteur ? Tout va bien ?
-Tout va bien. Je vous retrouve au TARDIS. »
Clara acquiesça. Elle voyait bien qu’il se passait quelque chose. Mais si le Docteur ne voulait rien lui dire, elle n’allait pas le forcer. Elle continua son chemin vers le TARDIS, laissant le Docteur seul. Celui-ci prit une profonde inspiration et se retourna. Il sourit jusqu’aux oreilles, mais il espérait que son regard n’exprime pas la tristesse qu’il pouvait ressentir à cet instant.
« Rose Tyler ! S’exprima-t-il joyeusement. Mon élève préférée ! »
Il y a bien longtemps, il était devenu professeur particulier et il aidait Rose à faire ses devoirs lorsqu’elle était entrée au lycée. Il avait essayé de passer le plus de temps possible avec elle, mais il savait que cela ne pouvait pas durer. Alors un jour, il lui avait dit qu’il devait partir à l’étranger pendant un long moment et il était sorti de sa vie. Pour lui, tout cela c’était passé il y a plusieurs siècles. Pour Rose, cela devait faire à peine deux ans.
« Depuis quand êtes-vous revenu ? Demanda-t-elle. »
Elle avait un immense sourire aux lèvres, heureuse de le revoir après tout ce temps.
« Depuis peu, répondit rapidement le Docteur. Je ne suis que de passage, je dois repartir. »
Rose avait l’air à la fois déçue et triste. Le Docteur avait toujours détesté la voir ainsi. Il changea de sujet. Il voulait savoir où il se trouvait dans sa ligne temporelle. Est-ce qu'elle l'avait déjà rencontré, où devrait-il dire, a-t-elle rencontré une de ses anciennes régénérations ?
« Dis-moi, que deviens-tu ? Je veux tout savoir. »
Elle détourna légèrement le regard, gênée.
« À vrai dire, peu de temps après votre départ, j’ai arrêté le lycée. »
Elle ne voulait pas voir la déception sur son visage. Il n'arrêtait pas de lui répéter à quel point elle était intelligente et la première chose qu'elle avait fait après son départ était de se mettre en couple avec Jimmy Stone et d'arrêter le lycée. Le docteur prit son visage entre ses mains et la regarda droit dans les yeux.
« Rose, n'oublie pas ce que je te disais. Tu es intelligente et fantastique. N’en doute jamais. »
Un immense sourire illumina le visage de Rose.
« Quoi ? Demanda le Docteur.
-C’est juste que lorsque vous avez dit que j’étais fantastique, ça m’a fait penser à mon nouvel ami.
-Vraiment ? Dit-il en souriant à son tour. »
Rose acquiesça.
« Je l’ai rencontré... »
Elle se tut quelques secondes, cherchant ses mots.
« Au travail, finit-elle par dire. Cela fait peu de temps que l’on voyage ensemble.
-Vraiment ? Répéta le Docteur, en souriant de plus en plus. »
Rose ne put s’empêcher de rire.
« Vraiment. »
Le Docteur savait où il se trouvait dans la ligne temporelle de Rose. Ils venaient de se rencontrer, alors qu’il avait de grandes oreilles et portait un blouson en cuir.
« Je suis fier de toi Rose Tyler. Je sais que tu feras des choses extraordinaires.
-J’ai l’impression que vous êtes en train de me dire adieu. »
Il lui prit la main et la porta à ses lèvres.
« Tout ira bien Rose. Je te le promets. »
Il ferma les yeux, essayant de profiter de ces derniers instants avec elle.
« Je vais devoir partir et je suis sûr que ton ami t’attend.
-Est-ce que l’on se reverra ?
-Peut-être. »
Il lui mentait. Il ne devait plus la revoir, sinon il risquerait de changer quelque chose. Pourtant, cela lui serait tellement facile de tout changer pour que Rose reste auprès de lui. Pour toujours. Mais il ne devait pas. Il lui embrassa une dernière fois la main et la lâcha. Il recula doucement.
« Au revoir Rose Tyler.
-Au revoir John. »
Le Docteur s’éloigna. Il se retint de toutes ses forces pour ne pas se retourner et demander à Rose de partir avec lui. Il regarda au loin et vie sa précédente régénération. Celui-ci le regardait, surpris. Il l’avait reconnu. Le Docteur se souvint de ce moment. Il lui fit un clin d’œil et continua son chemin vers le TARDIS. Il devait continuer à avancer sans jamais s’arrêter, comme il l’avait toujours fait. Et il avait un autre mystère à résoudre. Découvrir qui était Clara. Il entra dans le TARDIS et programma une nouvelle destination pour lui et la fille impossible.
Fin
#aug kissed#aug kissed 2024#doctor who#doctor x rose#eleven x rose#eleventh doctor#11th doctor#rose tyler#my writing
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J'ouvre les yeux à 8 heures pétantes. Je ne sais pas ce qui me prend, je tends mon bras et je saisis mon téléphone. Ça faisait quelques jours que je ne l'avais pas allumé. 8 appels en absence. Le même numéro. Un 03. Je rappelle sans écouter les messages. Je n'ai parlé à personne depuis que j'ai ouvert les yeux, alors pendant la tonalité, je teste ma voix :
-Oui, bonjour ! Oui, bonjour ! Oui, bonjour ! -Allô ? -Oui, bonjour ! Euh… je… c'est pour… c'est parce que vous m'appelez… vous m'avez appelée, je crois. -D'accord, vous êtes Madame... ?
L'échéance du garde-meuble tombe aujourd'hui. Le jeune gars qui gère ça m'avait appelée pour savoir si je voulais renouveler. Je voulais renouveler, mais je n'ai plus de quoi payer. Enfin, j'ai de quoi payer, mais je préfère manger.
Je me mets en chemin. J'y vais à pied. Je crois que je n'en ai plus rien à foutre. Ni de marcher 1h45, ni de mes affaires, ni de rien. Je me dis que les personnes qui fréquentent les garde-meubles sont dans le même état d'esprit que moi. Comme celles qui fréquentent les cyber-cafés.
Je traverse un petit vide-grenier de quartier. Il est encore tôt. Les stands sont en place, mais la fréquentation est éparse. L'idée me vient donc. Je demande à un des gars de lui emprunter sa camionnette en échange du plein. Je laisse ma pièce d'identité. S'il savait à quel point je tiens à mon identité, il n'aurait pas accepté.
Je finis donc le trajet en Peugeot Partner. J'embarque mes affaires. Je signe le papier que me tend le gars sorti d'école de commerce de seconde zone. Je passe faire le plein. Je décharge au vide-grenier, je rends les clés, et je pars. Je laisse derrière moi toutes mes affaires, et ma carte d'identité.
Je marche tout droit, donc à un moment, j'ai faim. Je m'arrête pour acheter des panini. Je n'aime pas déformer l'italien et utiliser le pluriel de sandwich (panini) pour commander un panino. Donc, je les commande par deux et je mange l'autre plus tard. Un homme étranger dit "bon appétit" quand le chef lui apporte son assiette de frites. Le chef ne relève pas. C'est très mignon. La vie est belle.
En sortant, je remarque dans le caniveau une souris d'ordinateur éventrée. Là où j'ai grandi, ce sont des hérissons qui sont aplatis sur la route. La ville est si artificielle que même ce qu'on trouve écrasé contre le bitume n'est pas organique.
Je marche encore tout droit. On est maintenant au cœur de l'été. J'essaie de parier qui dans cette ville est d'ici, et qui est touriste. J'arrête vite car c'est trop facile. J'arrive au parc. Des vélos sont posés. Pas attachés. Je reconnais le logo du magasin de location Dingo Vélos. Je n'ai pas réfléchi et je suis maintenant sur le vélo. Je suis en train de le voler et l'adrénaline me pousse à pédaler de plus en plus vite. Je retrouve le chemin de Dingo Vélos et vais le rendre. Je récupère 50€ de caution et la carte d'identité d'une certaine Clothilde. Elle ne me ressemble pas vraiment. Elle doit avoir 10 ans de moins que moi. Mais elle a les mêmes cheveux. Pour une personne polie, ça peut faire illusion.
Le soleil se couche enfin. Je suis déjà dans mon lit. Cet appartement est une chance pour moi. Une chance que ma mère l'ai laissé libre avant de ne plus m'adresser la parole. Je n'ai bientôt plus d'argent. Aujourd'hui, je n'ai pas été au jardin botanique et je ressens un manque. Aujourd'hui, d'autres gens ont été au jardin botanique, on parlé de leurs soucis de couple devant la bambouseraie. Aujourd'hui, des gens ont mangé un baba au rhum, d'autres ont acheté un chihuahua, commencé des balnéothérapies, pris des actions dans une start-up, acheté des fleurs, loué une Porsche, pris l'avion pour le weekend, se sont marié·es.
Aujourd'hui, j'ai changé d'identité. Demain, je mangerai un panino froid.
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« Grâce » au covid, j’ai eu le temps de dévorer goulûment ce copieux roman. A cause du covid, en partie, je me sens un peu défaillante pour écrire une chronique à la hauteur. Car c’est un livre incroyable selon moi, un livre que je ne suis pas près d’oublier.
Dès le début j’ai été frappée par une foule de similitudes entre le destin des deux protagonistes et le mien. Je suppose que c’est parce que j’ai bientôt 50 ans, et que leur histoire, vu de loin est banale, ordinaire, comme la mienne. C’est un peu une auscultation du couple. Alors, à quelques années près, ils sont plus jeunes que moi/nous mais le roman s’arrête en 2014, et leur histoire démarre en 1992 ; grosso modo, on est raccord.
Même si c’est à Chicago.
Mais le livre ne parle pas que des mutations du couple, de l’érosion des sentiments, des mythologies qui sous-tendent les amours, loin de là. Même si c’est le point de départ et le point d’arrivée. La construction du roman d’ailleurs est assez incroyable, totalement maîtrisée, complexe mais fluide, astucieuse (elle donne envie de tourner les pages car un suspense psychologique s’installe). Le romancier a expliqué qu’ayant vécu jeune à Chicago puis y étant revenu plus tard, il avait constaté une gentrification de la ville, notamment des quartiers si excitants, bohèmes et anticonformistes, ceux où nos deux héros, Jack et Elizabeth, vont se rencontrer et s’aimer, jeunes, naïfs et pleins d’espoirs. L’auteur raconte que ce qui arrive à ces grosses villes arrive parfois aussi aux gens. Parce qu’on change. Obligatoirement. Le temps passe. L’amour mute ou s’émousse, c’est bien la question, en tous cas une des questions posées par la vie et ce récit. En plus, ils font un enfant, petit être complexe et pas facile, et se mettent à vivre en banlieue… ils deviennent ce qu’ils ont moqué en leur âge d’or. Leur/Notre temps en plus leur/nous a lancé dans les jambes internet et ses vertiges. Le monde a changé, ses habitants occidentaux aussi.
Il mêle alors à l’observation psychologique très très fine de ses personnages, l’observation des autres changements : le rapport à l’art, peinture et photographie, le rapport au roman comparé aux liens hypertextes offerts par internet, la théorie puissante de l’effet placebo qui fonctionne au point d’interroger l’importance de la croyance, l’avènement de Facebook, son fonctionnement par algorithmes qui transforme les liens sociaux (surtout pour les gens seuls), l’accès à l’information et à la désinformation et peut aussi donc mener aux théories du complot, au désir de trouver des voies autres pour tenir debout (médecine parallèle, croyances, ésotérisme flou), l’éducation, nourrie de préceptes aussi précis qu’angoissants. Il est autant romancier qu’ethnologue, sociologue, psychologue, vulgarisateur numérique. Son livre est volontiers historique et extrêmement documenté (dans le chapitre « Craquage », les références ostensibles ont un effet comique imparable). A cela, il ajoute le désir humain d’accéder au bien-être qui parait si proche dans nos sociétés occidentales pourvu qu’on ne soit pas dans la misère (Jack et Elizabeth se débrouillent correctement sur le plan financier), et qui pourtant semble inaccessible (elle fait le constat de n’être jamais détendue, libre, confiante), ce qui s’explique par des problèmes non résolus venant de son enfance tout autant que par le bombardement d’informations stressantes que nous apporte la technologie, ainsi que les contraintes modernes.
J’ai appris énormément de choses sur tous les domaines cités ci-dessus et j’ai été éblouie par l’intelligence qui les analysait, les liait, les confrontait, avec humour et parfois cruauté. Je me suis retrouvée un nombre incalculable de fois dans toutes ces problématiques, jusqu’à des détails troublants, bref.
C’est impossible de résumer l’intrigue, les enjeux. Il faut lire ce livre, faire l’expérience de la lecture de ce livre. C’est un vrai voyage intime, stimulant et drôle, bouleversant par moments, qui en plus permet de mieux comprendre le monde dans lequel on vit. Je suis époustouflée par le talent de ce gars. (Je n’avais pas lu son premier roman apparemment très remarqué pourtant.)
A mes yeux c’est un grand livre, qui va compter. En tous cas, pour moi, c’est un choc.
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Marcel (partie 2)
Il arrive devant chez moi. Il est venu à pied, me dit-il. Il n’habite pas loin. J’aime la proximité. On se regarde longtemps. On éclate de rire. Qu’est-ce qu’il se passe? Qu’est-ce qui nous prend? On est des enfants au service de garde sans surveillance.
On s’assoit sur mon balcon avant. Il fait froid, me dis-je. Pas grave, on risque de se réchauffer. J’ai apporté ma poutine et je vais lui manger ça dans’ face.
On parle de nos vies. Je lui dis que j’ai trois sœurs, il est impressionné.
« Wow, ton père devait capoter un peu! », s’exclame-t-il.
Ce commentaire. On me le sort tout le temps. Ça ouvre surtout la porte à un tout autre genre de conversation. Je me lance, je me sens en confiance.
« Ouais, mais mon père aimait tellement ses quatre filles. », lui répond-t-il. Je me demande s’il va comprendre.
« Aimait? À l’imparfait? »
Il a compris.
« Oui, malheureusement. Mon père est décédé il y a trois ans. », lui confie-t-il.
« Oh my god, je suis désolé. »
Je lui dis que c’est correct. On parle de deuil en finissant ma poutine froide. Ça me fait du bien, ce n’est pas tout le monde qui est à l’aise avec le sujet. Encore moins avec des frites pas chaudes. La vision de la mort est changeante d’une personne à l’autre, d’une expérience à l’autre. Je détecte chez lui une sensibilité et une empathie qui me consolent. C’est vraiment un nounours.
« Et toi! Ta vie? Y’a tu des morts dans ta famille? », lui dit-il, en riant.
« Haha, non! Mais j’ai une situation un peu particulière. »
Ah non. C’était trop beau pour être vrai. Il doit être père de 5 enfants, tous et toutes dans des pays différents. Il a de l’argent caché chez lui pour protéger son père dans les Hell’s. Il a un micropénis.
Je spin.
Il renchérit en me disant qu’il habite encore avec sa blonde, mais que leur statut est… nébuleux.
« Nébuleux? », lui demande-t-il.
Il me dit qu’elle repart vivre en Suède vers la fin de l’année. Elle était seulement en stage ici. Je déchante complètement. Mon prince charmant mélomane a une blonde.
« Et vous comptez entretenir une relation à distance? » lui relance-t-il, pour qu’il comprenne que hey, là, moi, je suis investie.
« Non. », me répond-t-il aussitôt.
Tiens, tiens. Mais bye, bye.
En ce moment, tu as une blonde, Marcel. Moi je ne touche pas à ça. Je lui dis que j’ai soudainement un coup de fatigue et que je dois absolument allonger mon pauvre petit corps sur mon lit.
Je suis déçue. Une blonde. Of course. Y’a toujours une blonde dans le portrait.
Il quitte mon balcon dubitatif, comme s’il avait fait quelque chose de mal. C’est mal, être en couple et jaser à une fille jusqu’à 4 heures du matin sur son balcon en mangeant de la poutine frette.
Très mal. Une fin de semaine passe.
On se croise souvent au bureau par la suite, évidemment. Il vient faire son tour à mon étage, le 21ème, alors qu’il est assigné à celui du 13ème. Tiens donc. Je le salue à chaque fois, mais on reste distants. En revenant d’un meeting, je vois qu’il m’a écrit. Il m’a envoyé une chanson sur Google Chat.
C’est Is This It de The Strokes. Je comprends ce qu’il veut me dire. J’embarque dans son jeu mélodique. Je réponds Don’t Know Why de Norah Jones.
Il me renvoie Do I Wanna Know des Arctic Monkeys.
Je lui réplique avec une toune de Yes McCan. Il comprend. Il me partage la chanson Jaser jaser de Fanny Bloom avec un point d’interrogation après.
Je lui envoie Le Pyromane de Karkwa. Il rit. Je dis que je suis libre ce soir. Il l’est aussi.
J’espère que sa blonde ne l’attend pas pour souper.
On se donne rendez-vous au parc Lafontaine pour marcher… avec des bières. Activité de date très COVIDienne, ce qu’on ignorait à l’époque. L’insouciance allait être le thème de la soirée.
On marche avec une bière à la main, et plusieurs autres dans un sac, comme si on était en Europe. Manque juste la clope. Pourquoi est-ce que je le vois? Il a une blonde? Ça peut être un ami. En ce moment, tout est très amical.
« Tu sais que, techniquement, c’est un peu comme si j’étais séparé en ce moment. », me lance Marcel. J’attrape la balle au bond. Je lui demande pourquoi.
« Ce que je voulais te dire l’autre soir, c’est qu’on ne couche plus ensemble, on ne s’embrasse même plus. C’est comme une amie. Une coloc, même, on ne se voit jamais. Elle travaille ou étudie tout le temps. »
Je me mets à avoir un peu pitié. C’est triste, ça. Je comprends qu’elle reste chez lui jusqu’à la fin de son stage au lieu de se chercher un autre appart. Drôle de configuration, mais des fois, la vie, hein.
« Qu’est-ce que tu veux faire Marcel? », riposte-je, visiblement tannée de tourner autour du pot.
« T’embrasser. J’y pense depuis- »
Je lui saute dans les bras. C’est fusionnel. On s’embrasse en plein milieu du parc Lafontaine, à la vue de toustes. J’ai des flammèches dans le ventre, mon cœur explose. Nos bières, bien shakées par la marche, pourraient faire office de feux d'artifice si elles explosaient. Je me sens appartenir à quelque chose de grandiose.
On s’embrasse avec tellement d’amour. On arrête. On se regarde. On sourit. On colle nos fronts. Puis on recommence. C’est d’une tendresse infinie.
Il fait froid. Nos corps réchauffés par la tension ne parviennent pas à chasser la fin de l’hiver Québécois. On tente de trouver refuge quelque part. On voit la grande bâtisse du parc, près des terrains de baseball et on décide de s’y aventurer. On cale une bière avant de rentrer.
Pourquoi? Pourquoi pas.
On trouve un placard de ménage au deuxième étage de cet étrange bâtiment. On entre. Il y a trois mopes, cinq balais, 8 rouleaux de papier de toilettes et une perdrix dans un poirier (joke de chanson de Noël, anyone?). Il m’accote sur les étagères en métal et on s’embrasse.
On s’embrasse bien. On se renvoie la balle comme des joueurs.euses professionnel.les de balle molle. Sauf que là, elle est dure, si vous voyez ce que je veux dire. On se colle. On rit. On se trouve ridicules, mais attachants. On construit un complot enfantin juste à nous.
Le concierge de la place ouvre la porte. Woupelaye. On se fait sacrer dehors, avec toutes les raisons valables du monde. On pue la bière en plus.
On sort du manoir de la tentation et des mopes, crampé.es. Faut qu’on se trouve une autre place. On pourrait aller chez moi, mais on perdrait notre momentum. C’est plus loin.
On marche sur De Brébeuf entre Marie-Anne et Rachel et on aperçoit le Château Brébeuf. Une soirée royale, rien de moins.
On sonne à un numéro d’appartement random pendant qu’on brainstorm sur ce qu’on sortirait ben comme raison. Une dame nous répond, un peu en beau ciboulot, il est maintenant 23h.
On dit à l’unisson: « oN a PeRdU nOs cLéS !!!! ». La dame nous croit semi. Elle nous ouvre la porte pareil. Merci madame. Vous êtes une reine.
On cherche un endroit où disposer nos corps et nos canettes de bière vides. On trouve la buanderie de l’immeuble. Parfait.
Marcel me fait asseoir sur une laveuse. J’aime comment il prend mes fesses, mes cuisses. Il est capable de me soulever. Il a l’air d’aimer ça. On s’embrasse alors que je suis de la même grandeur que lui. J’aime cette vue. Je lui caresse le visage, j’enlève sa casquette. Je lui donne un bec sur le front. Sur le nez. Sur la joue de gauche. Puis celle de droite. Je descends vers le cou, je le mordille. Il frissonne. Je le veux tout entier. Pas en garde partagée.
On a chaud. Et on est chauds. On enlève quelques vêtements pour sentir nos peaux se fondre dans l’autre.
Il descend sa main direction mon entrejambes. C’est bien humidifié, malgré le froid dehors. Il caresse mon pantalon avec vigueur. J’aime ça. Normalement ça brûle ce genre d'affaires-là. Pas en ce moment.
On cogne à la porte.
Joke. Aucune personne n’est venue faire son lavage, étonnement.
Je lui dis que j’aimerais qu’on attende avant de faire quoi que ce soit. Il est d’accord. Je l’embrasse encore plus fort parce que le respect des limites de l’autre, c’est mon plus grand turn on. On a parlé, rit et on s’est embrassés jusqu’à 3 heures du matin dans la buanderie.
On est reparti en se tenant la main. On s’est serré tellement fort dehors. Cette étreinte m’a réparée. J’ai versé une larme.
« Tu pleures? Je t’ai serré trop fort? », s’inquiète Marcel.
« Non, je suis juste heureuse. Et complètement saoule. », lui dis-je, en éclatant de rire.
*
La suite dans mon livre.
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Vent post sur la parentalité
Pour rester dans le thème.
Ça fait des semaines, voir des mois que j'y réfléchis.
Je ne pense toujours pas vouloir d'enfants. Et c'est toujours la crainte que ça puisse casser notre couple d'ici quelques années (mon compagnon n'y pense pas du tout pour le moment et ne sait pas s'il en veut)
Pour moi ça serait vraiment briser ma vie. Déjà que j'arrive pas à me "gérer" au quotidien (+ le fait que j'ai encore du mal à accepter que c'est aussi car je suis handicapée et que c'est une des raisons pour lesquelles que faire les tâches ménagères c'est compliquer).
Le manque d'intimité, avoir la tête prise 365j/24h par un être qui est totalement dépendant. Très probable que ce soit un point négatif pour mon bien être mental et crises d'hypersensibilité.
Je n'arrive pas à m'imaginer me faire appeler "maman" ni d'avoir le rôle de mère. Je pense que je DETESTERAI la partie grossesse/accouchement = je veux pas voir mon corps changer. C'est encore un parcours pour l'accepter. Et la dysphorie que je risque d'avoir ???
Je sais que mon compagnon serait un parent formidable. Je pense que sur le plan pratique/matériel je serais irréprochable, faire attention à sa sécurité/santé/bien être. Mais tout ce qui touche au plan émotionnel je n'arrive pas à m'imaginer avoir un lien avec, un affect, ou un rapport "classique" d'amour avec un enfant.
Déjà que j'arrive pas me dire que "j'aime" ma famille. Je sais que mes parents sont cools, je m'entend relativement bien avec ma sœur. Mais sans plus. Mes cousins/oncles et tantes sont drôles et sympas. Mais pareil, je ne sais pas si j'arrive à me dire que j'ai un affect avec. Si on n'avait pas été de la même famille, probable que jamais je n'aurais essayer de tisser des liens avec.
Je l'ai vu avec ma nièce. Je réagis, j'essaye de "jouer" mais comparer à tous ceux qui jouent avec elle, je suis le moins tactile possible, je garde mes distances, je force pas les bisous et n'en donne pas (pareil pour les câlins). Je sens que je ne sais pas comment me comporter.
Je l'ai aussi dit à mon compagnon. Si jamais on en vient au point d'accord d'avoir un enfant (naturellement). Je veux être le parent qui sort en premier du congé parentalité pour amener l'argent du foyer et "fuir" ma responsabilité. Et aussi que j'ai envie de m'investir un "minimum".
C'est hyper égoïste (ptdr l'argument qu'on donne aux personnes qui n'en veulent pas et qui en veulent aussi) mais vraiment le seul truc qui me motive à avoir un enfant, c'est que je sais que moi et mon compagnon, on lui inculquerait des bonnes valeurs et qu'il sera le mieux entourer pour son éducation (au sens large).
Donc je pense que je ne serais pas un bon parents d'un point de vue interne au bordel car je m'imagine pas être capable d'être impliquée émotionnellement, que cet enfant sera le malheur de mon futur mal être personnel. Mais que de l'extérieur, personne captera car je serais un minimum impliquée.
Les seuls points positif que je vois = au bout de quelques mois de grossesse le ventre sera un support PARFAIT pour reposer mes poignets quand je jouerais aux jeux vidéo. J'espère que j'aurais le vagin plus lâche/détendu. Ce qui me permettra de pas me sentir irritée après chaque rapport (pourtant j'utilise des lub hydratants, et j'ai même fait une cure pour améliorer ma flore. Ça n'a quasi rien fait). Et apparemment, le bordel hormonal fera que j'aurais peut être moins de troubles de l'humeur liés aux hormones car vraiment, c'est de plus en plus insupportable avec les années.
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