#fêtedelamusique2019
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thoms59 · 5 years ago
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🎶 Une très bonne fête de la musique à tous ! Qu'elle ne cesse de nous inspirer, de nous émouvoir et de nous rassembler au delà des frontières des langues, à travers les années... La musique est un langage universel, que les tempos nous emportent alors toujours plus fort et que vous puissiez y retrouver un peu de vous... 🎶 #FêteDeLaMusique2019 #Dorothée #BrunoPelletier #CélineDion #Amir https://www.instagram.com/p/By81qeto5HAw1-8I23w7wvhFrTGXtgRCA6YAHo0/?igshid=bpzsdmla8vb7
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association-righteous · 5 years ago
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Hip Hop Block Party 2019 © ACUPICTURE voir toutes les photos ici #FêtedeLaMusique2019  #HipHopBlockParty2019  21 Juin 2019 - Impasse Saint-Sébastien 75011 Photos par Acupicture
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marlenecollineau · 5 years ago
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Et pourquoi n’installe-t-on plus les sound systems dans le centre de Nantes ?
Évidemment, écrire sur le sujet alors même qu’un homme est toujours porté disparu, peut paraître décalé. Mais voilà, je vois bien combien la pente est glissante et comment on risque de solutionner le drame de la Fête de la musique 2019, à Nantes. Parce que, entre nous, je ne crois pas du tout en l’IGPN pour établir les responsabilités policières. Parce que, depuis des mois, des années, en réalité, on assiste à une démission du politique face aux stratégies du maintien de l’ordre en France. Et si les femmes et les hommes politiques n’ont plus d’avis sur le type de maintien de l’ordre qu’il est souhaitable de déployer, s’il n’existe pas de discussion sur la force déployable à l’égard des manifestations en France, si aucun compromis social n’est discuté à ce sujet, alors on a des flics qui ont plein pouvoir et qui n’ont aucune raison de faire que les choses changent. On a un ministre de l’Intérieur surnommé « premier flic » de France là où il devrait être, en réalité, être leur premier interlocuteur et contradicteur...
Mais voilà, moi, je m’interroge sur les suites qui vont être données à ce drame. Parce que si les suites ne sont pas une remise en cause profonde du système de maintien de l’ordre -et je n’y crois pas, donc-, les suites risquent d’être au mieux la pose de garde-corps sur l’île de Nantes, au pire l’interdiction des murs de son à Nantes. Youpi.
Et je m’interroge. Pas plus tard qu’il y a une dizaine d’années, il était possible de poser de la musique électro au cœur de la ville. Square Mercœur. On y laissait les copains·ines qui n’avaient pas envie de rentrer dès minuit passé et ça dansait avec un sac Eastpack vissé sur le dos en écoutant du son jusqu’à tard.
Et l’énorme chantier de réaménagement de l’île Beaulieu a démarré. Cette dernière est devenue île de Nantes. Et une des fonctions affectées à la partie ouest de l’île, c’est-à-dire à la zone Parc des Chantiers / Prairie-au-Duc / Quartier de la Création, a été la concentration de bars de nuit, événements festifs et bruyants. Pratique, dans un quartier qui devait être la vitrine de l’attractivité de la Ville. Une ville qui ne s’arrête jamais. Qui bosse jour et nuit. Qui foisonne 24h/24. Jeune et enivrée.
D’abord, cela pose la question de la vie entre les quartiers et du choix délibéré d’affecter à des quartiers des fonctions. Ne nous leurrons pas, ce type de choix induit de l’homogénéité sociale et générationnelle. (Même avec des palliatifs volontaristes -et utiles- sur la production de logements.)
Ensuite, ça a apaisé un centre-ville plus historique, lui octroyant une fonction de journée, plus tourné vers le tourisme et le commerce. Ce qui n’empêche pas à la nuit d’exister. Mais ce qui, d’une certaine manière, rend les habitant·e·s plus exigeant·e·s. Exemple : « j’ai choisi d’habiter place Royale, pas près du Hangar à Bananes donc j’ai le droit au calme ». Mais comment dire ? Pourquoi imagine-t-on aujourd’hui que vivre en hyper centre devrait préserver de la ferveur populaire « Champions du Mooooonde ! », des manifestations sociales « Macron, t’es foutu ! La jeunesse est dans la rue ! » ou des concerts d’électro ?
En fait, les Nantais·e·s habitent Nantes, l’investissent et lui reconnaissent un centre, un cœur de ville. Peu importe les opérations d’aménagement : île de Nantes hier, Bas-Chantenay demain, les Nantais·e·s savent où est la vie. Comparez-le à n’importe quelle commune de 1 000 habitant·e·s qui ouvre un foyer des jeunes en dehors du bourg. Bien sûr, quand il y aura des activités organisées, ils s’y rendront. Parce que le lieu est beau, bien agencé. L’acoustique intéressante, les équipements sympas. Mais dès qu’il n’y aura rien, vous retrouverez les jeunes du village sous l’abribus, face à la mairie. Et c’est ça qui est beau. Le vide de politiques publiques, c’est aussi la part belle à l’émotion, au spontané, à l’envie. Ce sont ces jeunes qui, quand ils s’ennuient, quand ils veulent montrer qu’ils existent, font le piquet face à la mairie, sous l’abribus.
Si je le compare avec notre mur du son de vendredi dernier, c’est aussi parce que la musique électro, les teufeurs, ce sont des oublié·e·s des politiques publiques. Ils ne demandent pas grand-chose si ce n’est la possibilité, parfois, d’exister, de se retrouver et donc de pouvoir investir des lieux. Qui soient adaptés à ces rencontres. Je ne dis pas que le quai Wilson ne l’est pas. (Je rappelle que c’est la charge policière qui a provoqué la chute des personnes, pas l’absence de garde-corps.) Je dis que l’éloignement géographique de la Ville des passionné·e·s de musique électro, c’est aussi leur marginalisation sociale. Parce qu’évidemment, les curieux·ses ne découvriront pas cette manifestation par hasard. Parce qu’évidemment, les décideurs·ses ne feront aucun bain de foule quai Wilson. Parce qu’évidemment, cela conforte les habitant·e·s du centre-ville de la gêne occasionnée par la pose d’un mur de son -un soir par an... !- et donc de la nécessaire rétrogradation de celles et ceux qui kiffent le son électro plus loin, au bout d’une île. Voyez le symbole.
Alors qu’en fait, on s’en fout du bruit une fois par an. Mais genre vraiment. Je n’écris pas que c’est supportable pour toutes et tous ni que cela ne crée aucune souffrance mais je suis persuadée que pour vivre bien ensemble, il faut aussi laisser parfois notre confort se faire bousculer : par un concert de klaxons lors d’une belle victoire sportive, par des tessons de verre jonchant le sol le lendemain d’un apéro géant sur les quais de l’Erdre, par une route bloquée par le service d’ordre de la CGT. Vivre ensemble, c’est aussi accepter que notre quotidien vienne à frotter avec celui d’autres qui ne vivent pas comme nous. Ça ne signifie pas qu’il ne faut rien organiser. Au contraire, ça signifie qu’il faut discuter les moments où l’on fait entrer cette gêne dans la ville, notamment en imaginant comment une majorité de personnes peut découvrir cette gêne sous une autre forme : celle d’une pratique, d’une passion, d’un mode de vie pour d’autres. D’un plaisir. Et je crois que c’est là toute la grandeur de la Fête de la musique. Se frotter à ce qui n’est pas notre quotidien, brasser les gens, les cultures, les imaginaires. Vivre ensemble dans un bruit continu assumé. Une fois par an.
Et j’en reviens là à mes jeunes de communes rurales. J’ignore si vous connaissez cette tradition du 1er mai (que j’avoue réac au possible !). Dans la nuit du 30 avril au 1er mai, les jeunes s’introduisent dans les jardins, dans les cours et ramassent tout ce qui traîne : vélos, pots de fleurs, brouettes, poubelles... tout ! Et ils trimballent cela jusque sur la place de la mairie. Le lendemain matin, tout le monde se retrouve sur la place de la mairie pour récupérer ses affaires, dans un fatras assumé. La seule manière de faire perdurer cette tradition sans que les habitant·e·s ne se plaignent -ou qu’un chasseur amateur ne tire sur un jeune au milieu de la nuit-, c’est évidemment que cela se passe sur la place de la mairie. Au cœur de la vitalité démocratique. Au cœur de la vie. C’est évidemment que ce soit une manifestation qui brasse joyeusement les gens et les générations. C’est évidemment que le ou la Maire salue tout ce petit monde et qu’on rigole ensemble.
La seule manière de comprendre la musique électro, c’est de la mettre au cœur de la vie. C’est de ne pas marginaliser ces jeunes qui doivent se sentir franchement ignoré·e·s par le monde qui les entoure. C’est d’assumer qu’un mur de son est compatible avec la vie autour, comme la fête foraine est compatible avec la vie autour. C’est d’assumer qu’il n’est pas nécessaire d’éloigner les événements festifs des immeubles haussmanniens nantais. Pire, d’arrêter de trier les événements musicaux et de les distribuer géographiquement le soir où, justement, on est sensé être ensemble. Sans quoi on entendra toujours ci-et-là : « Ces jeunes sont tombés dans la Loire. Oui mais... ». Il n’y a pas de « Oui mais ». Il faut organiser la défense des manifestations populaires au cœur de la vie. Il faut proposer en cœur de ville, qu’il est à la mode de nommer « centralité » la rencontre du grand public, des gens, avec des sous-cultures, qui n’en sont pas, mais qui sont des cultures minoritaires, souterraines. Il faut se souvenir qu’il y a quinze ans le square Mercœur devenait le temps d’une soirée un lieu de rassemblement électro. Et que ce serait possible et souhaitable encore aujourd’hui, comme à Rennes où les sound systems sont installés plein centre, esplanade Charles de Gaulle et place des Lices -vous regarderez sur une carte. Il faut brasser les habitudes et que chacun·e prenne bien conscience que sans cela, demain, c’est sa propre pratique, sa passion, son mode de vie, qui pourrait être réprimé sévèrement et violemment par une police dont plus personne ne discute des contours d’intervention. Il faut favoriser la solidarité et l’empathie entre nous. À Nantes, tout le monde devrait être vent debout contre la charge policière de la nuit de vendredi à samedi. Tout le monde devrait soutenir avec évidence celles et ceux qui en ont été victimes. Et ça s’appellerait le vivre ensemble.
Une dernière chose. Vous vous dîtes « Elle exagère. Ce n’est pas parce qu’on éloigne géographiquement la musique électro qu’on la déconsidère socialement. » Alors pourquoi mettre la programmation musicale programmée la plus tard sur un site qu’un paquet de gens estime dangereux ?
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bfrss · 5 years ago
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RT @Canope_25: La #FêteDeLaMusique2019 🎶 a commencé à l'Atelier avec la partition-objets Makey Makey ! 🍌🔧 🍴 https://t.co/v45PjJJUHf
La #FêteDeLaMusique2019 🎶 a commencé à l'Atelier avec la partition-objets Makey Makey ! 🍌🔧 🍴 pic.twitter.com/v45PjJJUHf
— Atelier Canopé 25 (@Canope_25) June 19, 2019
bertrandformetJune 19, 2019 at 01:53PM
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aulargebiblique · 5 years ago
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Bonne fête de la musique 🎼... y compris biblique 📖 à toutes et à tous 😎🎶🎷🎻🎺🎸🥁🎵🎤🕯️🙏😁 . Et aussi à 🤪🚮🙉🔊😵⚡😭 . . #podcast 🎙️ Au large, lien en bio 🔝 . . Déjà 4 épisodes à écouter ou réécouter 🎧 . . #fetedelamusique #fetedelamusique2019 #fêtedelamusique #fêtedelamusique2019 #musique #bible #David #שיר #מוסיקה #music #musicà #musica #biblia #biblical . 🎨 Ernst Josephson, David jouant pour Saül, 1877 https://www.instagram.com/p/By-1j4yo7ep/?igshid=1nmlne0fyr77z
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association-righteous · 5 years ago
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Hip Hop Block Party 2019 © Mathieu Duaux voir toutes les photos ici  #FêteDeLaMusique2019 - #HipHopBlockParty2019 Impasse Saint Sébastien 75011  Photos par Mathieu Duaux
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association-righteous · 5 years ago
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Hip Hop Block Party 2019 © Sophie Garcia voir toutes les photos ici  #FêtedeLaMusique2019  #HipHopBlockParty2019 Impasse Saint Sébastien 75011 Photos de Sophie Garcia
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