#féodalité locale
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histoiresgenealogiques · 6 months ago
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Mon double généalogique - Sébastien Bulenger (1785-1785)
Lire un acte de décès à ses propres nom et prénom est toujours une expérience très perturbante. Heureusement, elle n’est pas courante car il est assez rare d’avoir un double généalogique. C’est cependant mon cas. D’autant plus surprenant que mon nom de famille, Bulenger, est très rare, surtout orthographié de cette manière, et que mon prénom, Sébastien, est aussi rare, mis à part entre 1969 et…
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whencyclopedfr · 2 years ago
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Féodalité
La féodalité était le système en vigueur dans les sociétés médiévales européennes des 10e-13e siècles où une hiérarchie sociale était établie sur la base d'un contrôle administratif local et de la répartition des terres en unités (fiefs). Un propriétaire terrien (seigneur) donnait un fief, ainsi qu'une promesse de protection militaire et juridique, en échange d'une forme de paiement de la part de la personne qui le recevait (vassal).
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vivantdanslevivant · 6 years ago
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DEEP GREEN RESISTANCE - Un Mouvement pour sauver la planète - Tome 1
« Quel est votre seuil de tolérance personnel en matière de deuil, de rage de désespoir ? Période d’extinction de masse. Les chiffres s’élèvent à 200 espèces qui disparaissent chaque jour, 73000 par an.» Considérant que la civilisation industrielle ne s’engagera pas volontairement vers un mode de vie soutenable, les auteurs appellent à un mouvement de résistance en mesure de la démanteler. Modes opératoires des luttes des siècles passés, différentes options stratégiques pour proposer un plan d’action concret.
Derrick Jensen affirme que « tout système social fondé sur l’utilisation de ressources non renouvelables est par définition insoutenable ». Le « durable » est devenu la profession de foi des « fiers-à-bras de l’écologie » et « correspond au calcul du marketing corporatiste pour l’engouement vert, et à l’implacable déni des privilégiés », alors que la planète doit passer avant tout. « Cette culture nous fait littéralement subir une expérience de Milgram mondialisée, sauf que les électrochocs ne sont pas simulés : ils tuent la planète et les êtres humains, et déciment les espèces les unes après les autres. » Avec Lierre Keith et Aric McBay, il propose de s’attaquer à la racine du problème, prévenant que le changement de mode de vie ne suffira pas.
C’est en produisant des conditions de pénurie et de privation que la civilisation se perpétue, nous condamnant « à trimer pour des sociopathes » après avoir détruit les communautés équitables ancrées dans le monde naturel, tout en prétendant nous avoir libérer de l’obligation de travailler dur pour subsister.
Les concentrations de méthane ont augmenté de 250% par rapport à leurs niveaux préindustriels, celles de CO2 sont en croissance exponentielle ; le ratio de rémunération entre un PDG et un travailleur américain moyen était de 42 contre 1 en 1992, de 525 contre 1 en 2000 ; les États-Unis consacrent 58 millions de dollars toutes les heures aux dépenses militaires ; la surpêche a décimé 90% des gros poissons des océans entre 1950 et 2003 ; la désertification, essentiellement due à la surexploitation agricole, à la déforestation, au surpâturage et au changement climatique, menace 30% de la surface terrestre du globe ; plus de la moitié des forêts tropicales matures ont été décimées...
« Les analystes ne remettent pas en cause la société industrielle et préconise, pour la plupart, des solutions « cosmétiques ».
Lierre Keith consacre un chapitre passionnant à l’histoire (américaine) des libéraux et des radicaux, depuis ses origines. À l’instar des barons anglais qui imposèrent le roi Jean sans Terre à signer la Grande Charte, en 1215, établissant l’habeas corpus et l’application équitable de la loi, y compris au roi et à l’Église, les barons-marchands se soulevèrent contre la féodalité de l’Angleterre afin que le monopole du pouvoir ne fût plus détenu pas Dieu mais par les propriétaires fonciers. Ils exigeaient que tous les hommes soient égaux : les hommes blancs possédant des biens. Les Noirs, les femmes blanches et la main d’œuvre en général faisaient partie de ces biens.
Selon John Locke, le père du libéralisme, l’individu constitue le socle de la société et non la communauté. Le gouvernement est nécessaire pour défendre la propriété. Les riches peuvent alors accumuler des biens en s’appropriant le travail des pauvres et en privatisant les communs.
Puis Adam Smith, avec son ouvrage La Richesse des nations (1776) fournit la justification éthique du capitalisme débridé avec la « main invisible » du marché qui subviendrait aux besoins de la société, rendant préjudiciable toute intervention gouvernementale. « La Déclaration des droits est essentiellement une liste de libertés négatives. En réalité, celles-ci impliquent que ceux qui sont au pouvoir le conserveront. » La liberté d’expression est la liberté de ceux qui possèdent la presse. Le libéralisme est « idéaliste », il conçoit la réalité comme résultant d’idées, la société reposant sur des opinions et non sur des systèmes de pouvoirs concrets. Il explique la subordination des groupes opprimés en invoquant des motifs biologiques. Les dominés supportent l’oppression grâce à 3 mécanismes psychologiques : le déni, l’adaptation et le consentement. La subordination est entretenue par la hiérarchie, l’objectivisation/réification, la soumission, la violence. « La moindre manifestation de résistance se heurte à un continuum qui débute par la dérision et s’achève dans la violence. »
Lierre Keith passe en revue 4 types de résistance : le recours juridique, l’action directe, la défection et le spiritualisme, employés par les libéraux & les radicaux, mais leur objectif final indique de quel type de stratégie ils participent. Elle propose de distinguer la violence hiérarchique dont use les puissants contre les dépossédés pour les maintenir dans un état de subordination, par opposition à la violence comme acte de légitime défense ; la violence contre les personnes par opposition à la violence contre les biens ; et la violence comme affirmation de soi par opposition à la violence comme résistance politique. Le pouvoir ne se sent concerné que lorsqu’il est menacé.
Elle remonte ensuite à l’origine de la « culture alternative contemporaine » qu’elle situe à la deuxième moitié du 18e, avec l’apparition du romantisme en Europe de l’Ouest, en partie en réaction contre le Siècle des Lumières qui valorisait la rationalité et les sciences. Ce mouvement artistique et culturel dont le centre névralgique sera l’Allemagne où survivaient des éléments d’une vieille culture populaire païenne, se construit autour de 3 grands thèmes : la nostalgie du passé, la défense d’une nature pure et authentique, et l’idéalisation de l’individu héroïque et aliéné. Jean-Jacques Rousseau développe une opposition, une séparation entre un « état de nature » dans lequel auraient vécu les êtres humains avant l’avénement de la société et un « état de culture » apparu alors.
Au 19e se développe en Allemagne la Lebensreform des Wandervogel, mouvement de jeunesse qui auront une influence directe sur la contre-culture des années 1960 aux États-Unis. Lierre Keith explique que s’il y a beaucoup à apprendre de cette histoire, un mouvement alternatif qui propose une expérience individuelle et intérieur et renonce à la transformation sociétal, ne peut pas aboutir à un mouvement de résistance. Elle considère que la culture alternative est un « produit de la biologie et de la psychologie adolescentes », rappelant que le cortex préfrontal, responsable de la gestion des états émotionnels, de la planification et de la prise en compte des conséquences, n’a pas terminé son processus de myélinisation avant l’âge de 21 ans. Elle attribue le rejet de l’autorité et de la hiérarchie de beaucoup de groupes radicaux comme une marque de l’adolescence qui détournerait une partie de la jeunesse de la construction d’un mouvement de résistance contre les vrais systèmes d’oppression, racisme, capitalisme et patriarcat. Au contraire, elle souligne que l’idéalisme inépuisable de la jeunesse aide à se protéger contre l’usure de la déception. Le rejet de toute structure et de toute responsabilité, héritage de la culture alternative des années 1960, produit « des individus atomisés, uniquement motivés par leurs propres intérêts et qui ressemblent exactement au légendaire Homo economicus du capitalisme ». « C’est un triomphe pour le capitalisme que la droite ait gagné la guerre culturelle états-unienne en attribuant le déclin de la famille et de la communauté à la gauche » , alors que « le coupable n’est pas Sodome ou Gomorrhe, mais le capitalisme industriel ». Elle explique comment, selon Antonio Gramsci, les oppresseurs inculquent leur idéologie aux opprimés en la rendant attractive grâce aux technologies induisant la passivité, l’addiction et l’isolement, comme la télévision et internet, ne pouvant nous menacer en permanence de manière militaire.
Elle propose une résistance sur une base simple : « le pouvoir, injuste et immoral, est affronté et démantelé. Les puissants sont privés de leur capacité à nuire aux moins puissants. La domination est remplacée par l’équité au travers d’une réorientation ou d’une substitution institutionnelle. Et cette réorientation finit par former de nouvelles relations humaines, à la fois personnelles et sociétales. » « La stratégie de Deep Green Resistance est plutôt une reconnaissance de l’étendue de ce qui est en jeu (la planète), une évaluation honnête du potentiel pour un mouvement de masse (aucun), et une compréhension du fait que la civilisation industrielle repose sur une infrastructure assez vulnérable. » Cesser l’utilisation de combustibles fossiles, toutes les activités qui détruisent les communautés vivantes, réduire la consommation et la population humaine. Elle met en garde contre les « fausses solutions » et appelle à les rejeter. Celles proposées par :
Les « donquichottistes », « techno-réparateurs qui n’ont rien contre l’industrialisation et le capitalisme » et se contenteraient de « remplacer les combustibles fossiles par de l’éolien, du solaire, de la géothermie et autres énergies supposément renouvelables ».
Les déclinistes qui se préparent à l’effondrement prochain du système dont ils sont convaincus, sans chercher à affronter les problèmes ni à les altérer.
Les déserteurs dont les créations d’infrastructures locales, des « transitionneurs », reposant sur des cultures de résistances pour la production de nourriture, l’éducation et les échanges économiques mais sans reconnaissance d’une nécessité de résistance politique présentant un intérêt certain. Les « permaculteurs » constituent la partie publique de la stratégie de Deep Green Resistance. Le mouvement de la Seconde République du Vermont, fondée en 2003 dans l’objectif de se retirer des États-Unis et de créer « une communauté morale, souveraine et soutenable » et d’abandonner la démocratie représentative en reprenant le modèle des assemblées municipales de la Nouvelle-Angleterre qui pratiquait une forme de démocratie directe.
Avant le 17e, l’usure était considérée comme immorale et la production, pour un usage local et immédiat, n’impliquait aucun gain financier. Désormais, la capitalisme ne vise pas à satisfaire les besoins fondamentaux. Il est fondé sur le principe de la croissance illimitée, détruit la démocratie et bafoue les droits humains. « Laisser le capitalisme en place ne produira jamais un monde soutenable et juste. »
« Les chasseurs-cueilleurs connaissaient le ratio qui doit être maintenu entre le nombre d’adultes productifs et celui des individus dépendants afin d’éviter la faim et la dégradation de la communauté biotique. » L’agriculture, en épuisant et détruisant des écosystèmes entiers, transforment des quantités énormes de ressources naturelles en de plus en plus d’êtres humains, devant désormais fertiliser les sols avec des combustibles fossiles. « Lorsque vous mangez des céréales, vous mangez du pétrole en grain. » « Aucune solution reposant sur l’agriculture n’est une véritable solution, puisque à terme le sol continue de se changer en poussière stérile. » Population mondiale soutenable : entre 300 et 600 millions d’êtres humains.
Aric Mc Bay propose une « taxonomie de l’action ». Pour mettre fin au dérèglement climatique et à « l’exploitation mondiale des pauvres », « pour que cette planète ne soit plus dévorée vivante » mais qu’elle « guérisse et se régénère », pour « faire tomber la civilisation », tactiques existantes, illustrées par des exemples historiques, afin d’envisager une stratégie efficace.
La grève ouvrière remonte à l’Égypte ancienne. En1880, le Capt Charles Boycott dut quitter l’Irlande pour ne pas finir ruiner. Les actes d’omission, s’ils peuvent s’avérer efficaces pour d’autres causes, ne feront pas tomber la civilisation. Pour l’emporter, il est nécessaire de se confronter directement au pouvoir. 3 options se présentent aux résistants face à une cible non humaine : la bloquer, la prendre ou la casser. Il justifie l’usage de la violence en tant qu’autodéfense, dans le but d’ « atrophier la capacité des puissants à recourir à davantage de violences ». Il souligne l’importance de déterminer quelle stratégie fonctionnera vraiment. Sans doute certains se sentiront-ils mis en cause par certaines déclarations mais n’est-ce pas l’intérêt d’une lecture que de passer ses certitudes au crible la contradiction ? Ceux qui partagent la lucidité des analyses des auteurs, apprécieront autant que les autres, l’étude proposée des moyens d’action qui offre un champ de réflexions vaste et complet. Cet ouvrage invite à une véritable introspection, un « audit » de nos engagements avant tout pour produire une véritable efficacité.
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recriweb · 7 years ago
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La nuit du 4 août 1789
L'ébranlement du régime, en juillet 1789, ne se limitait déjà plus à ses sommets de Paris et Versailles. Il gagnait la profondeur du royaume. Il y avait eu un bon nombre de révoltes de paysans au cours du printemps. Durant l'été, c'est à un phénomène général que l'on assista. Certains l'ont appelé la « Grande Peur » paysanne, car il eut, en effet, souvent pour point de départ la crainte des bandes de brigands qui sillonnaient les campagnes. Et il n'est que trop vrai que la faim réduisait nombre de paysans pauvres à errer en mendiant, sinon en volant. En fait de bandes de brigands, il s'agissait bien souvent de bandes d'affamés. Mais il faut croire que, pour les paysans, les pires brigands habitaient dans des châteaux, car ce à quoi on assista de façon générale, c'est à l'attaque des châteaux des seigneurs, et en particulier à leurs tours où étaient enfermés les antiques archives, les titres féodaux. On les détruisit, on y mit très souvent le feu, purement et simplement. C'étaient les Bastilles des paysans. La noblesse et le clergé furent saisis d'épouvante et la bourgeoisie prit peur également. Avant toute autre chose, parce que les paysans s'étaient armés. En fait, en cet été de 1789, une bonne partie du peuple s'arma. Dans bien des villes, on abattit des Bastilles locales. Les bourgeois levèrent des milices pour se protéger eux aussi contre des bandes de pillards affamés - c'était une réalité - mais aussi pour aider à protéger les châteaux contre les paysans. Manants et brigands, la différence n'était pas si grande à leurs yeux... Et on voit là, dès ces premiers mois de la révolution, que l'intrépidité des députés bourgeois, bien réelle à un certain niveau, eut très vite comme contrepartie la peur sociale devant la menace que la France habituellement écrasée et muette, la France des gueux, risquait de faire planer sur la propriété tout court. Parmi les députés, une grande crainte de « l'anarchie » et de la « canaille » s'exprimait tout naturellement. Comme l'a exprimé un député de Bar-le-Duc dans sa correspondance : « Il faut faire le bonheur du peuple, mais il ne faut pas qu'il y travaille » . Il y avait urgence, pour l'Assemblée discoureuse qu'on disait atteinte de « parlomanie », et où les députés des trois ordres se réunissaient ensemble depuis la fin juin. Or, on ne pouvait guère songer à recourir aux troupes du roi pour désarmer le peuple ! Il fallait donc se concilier celui-ci. Le soir du 4 août, ce furent deux nobles libéraux qui donnèrent le signal, car l'affaire avait été préparée la veille au club des députés bretons. Ces nobles seigneurs proposèrent noblement d'abandonner leurs droits seigneuriaux. Sur quoi la nuit se passa en une surenchère générale. Chacun voulut sacrifier quelque chose, et surtout les privilèges du voisin, sur l'autel de la patrie. On décréta l'admissibilité de tous les citoyens aux fonctions publiques. Les ecclésiastiques furent plus durs à la détente. La dîme ne fut abolie que ... dans l'avenir. Quand les défenseurs de la bourgeoise célèbrent aujourd'hui cette nuit du 4 août de l'abolition des privilèges, ils affectent d'y voir un magnifique élan de fraternité désintéressée, la communion de tous, riches et pauvres, dans une même nation. Ils passent sous silence le fait qu'elle fut dictée aux privilégiés par la peur. Et ils ne mettent guère en lumière non plus le fait que les détenteurs de redevances et droits féodaux ne perdaient pas grand'chose dans l'affaire ; ils faisaient la part du feu, au sens concret du terme, pour sauver l'essentiel. Car les paysans n'en étaient libérés qu'à condition de les racheter. La bourgeoisie ne cherchait pas à abolir les survivances de la féodalité sans indemnité. Et l'abolition réelle et générale de cette vieille iniquité, sans l'obligation du rachat qui eût ruiné la paysannerie, ne se fit que par à-coups au cours des années révolutionnaires, à chaque fois sous la poussée des masses ou quand on eut besoin d'elles pour la guerre. Déjà, dans l'immédiat, les décrets qui sortirent de la nuit du 4 août restèrent en suspens pendant plus d'un mois, car Louis XVI y opposa son veto. L'Assemblée mollit. Il fallait un second « accès » de révolution, comme l'a dit un journaliste de l'époque. Extrait de la conférence LO : "1789... La Révolution !" https://www.lutte-ouvriere.org/documents/archives/cercle-leon-trotsky/article/1789-la-revolution
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leonelhoussam · 7 years ago
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« Les entreprises qui ont des salariés ou des travailleurs « libéraux » à leur service sont des seigneuries, quelque-soit leur taille, elles sont des lieux anti-démocratiques voués à l’abus de pouvoir de Seigneurs locaux. C’est au bon vouloir ce ceux-ci que chacun doit se soumettre. S’il est un monarque local éclairé, il distribuera de l’empathie et des bons morceaux du banquet, s’il est un autocrate teigneux et con comme toute sa lignée, il roustera ses serfs à coups de menaces de licenciement, de « demander toujours plus pour toujours moins de salaire » et de harcèlements moraux divers et variés. Il n’y a rien à faire. La féodalité moderne est à ce prix… Ma République ne leur donne aucune chance. Ils ne m’auront pas… Il y a eux, il y a moi »
Il parvient tout juste à jaillir de la vulve terreuse qui fait office de sortie du tunnel. Nouveau-né couvert de merde, il étire son corps sur l’humus tiède du petit bois. Il fait encore nuit mais l’aube pointe déjà. Les balles crépitent au loin. Il est hors de portée de leur vue.
Extrait de « Notre République », nouvelle en cours d’écriture.
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hallsp · 7 years ago
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Now in earlier times the world’s history had consisted, so to speak, of a series of unrelated episodes, the origins and results of each being as widely separated as their localities, but from this point onwards history becomes an organic whole: the affairs of Italy and Africa are connected with those of Asia and of Greece, and all events bear a relationship and contribute to a single end.
This was Polybius, writing 150 years before Christ, on the rise of Rome from the fertilising ashes of previous civilisations. The history of the world would continue to converge inexorably for the next two millenia and more.
The eighteenth-century was witness to the zenith of the Enlightenment in England, the hohepunkt of the Aufklarung in Germany, and the culmine of the Illuminismo in Italy, but Paris, the city of Lights, was real the centre of the Enlightenment.
In France, the eighteenth-century became known as le siecle des lumieres, the century of lights, the peak of enlightenment luminescence. One need only cite Diderot’s Encyclopedie, Voltaire’s Dictionnaire Philosophique, Rousseau’s Du Contrat Social ou Principes du Droit Politique, or Montesquieu’s De l’Esprit des Lois. This was centred on France, of course, but the enlightenment tradition belongs to us all.
It began, of course, in Golden Age Greece, before passing to the Arabs and Persians, then to Renaissance Italy, and to wider Europe, but it includes major contributions from China, India, and elsewhere. The enlightenment is not a Western phenomenon. It is the greatest achievement of all mankind.
And even if it wasn’t a pan-human contribution, it shouldn’t matter a jot. Some universal principles of good conduct were bound to be discovered by some tribes ahead of others, but they apply to us all nevertheless. My own little tribe, the Irish, made only a modest contribution to the preservation of knowledge during the Dark Ages, but I adopt the precepts of the enlightenment without hesitation.
It’s important to remind ourselves of this fact in the face of opposition from fanatics in the Muslim world, who view the enlightenment as foreign and depraved.
It’s worth recalling the contributions of Voltaire:
We understand by fanaticism at present a religious madness, gloomy and cruel…But when an ardent man of strong imagination addresses himself to weak imaginations, his eyes dart fire, and that fire rapidly spreads; his tones, his gestures, absolutely convulse the nerves of his auditors. He exclaims, “The eye of God is at this moment upon you; sacrifice every mere human possession and feeling; fight the battles of the Lord”— and they rush to the fight.
Here he was writing on the subject of fanaticism is his celebrated Dictionnaire Philosophique, published in 1764.
Voltaire had much more to say about fanaticism, much of it quite relevant today:
Fanatics are nearly always under the direction of knaves, who place the dagger in their hands. These knaves resemble Montaigne’s “Old Man of the Mountain,” who, it is said, made weak persons imagine, under his treatment of them, that they really had experienced the joys of paradise, and promised them a whole eternity of such delights if they would go and assassinate such as he should point out to them.
All religions, so the great man says, have been susceptible to fanaticism. All except those of China. However, religious extremism is not enough on its own:
But in order to inspire this fanaticism, you must be seconded and supported by the spirit of the times.
Only the ablest men have the power to make and to guide fanatics. It is not, however, sufficient to possess the profoundest dissimulation and the most determined intrepidity; everything depends, after these previous requisites are secured, on coming into the world at a proper time.
I went to the Panthéon, formerly a Church, now a monument to Human achievement: AUX GRANDS HOMMES LA PATRIE RECONNAISSANTE. To Great Men, the Grateful Homeland.
On Voltaire’s tomb it reads: Il combattit les athées et les fanatiques, il inspira la tolérance, il réclama les droits de l’homme contre la servitude de la féodalité.
Or, in English: He fought atheists and fanatics, he inspired tolerance, he demanded human rights against the servitude of feudalism.
Naturally he was wrong about atheism, even twisting the words of the great Jean Meslier to make him appear to be a deist, but then:- you can’t be right about everything. He was certainly right about religious fanaticism, though. And he was incisive enough to get to the heart of the matter:
A report is publicly spread abroad by some person, that there exists a giant seventy feet high; the learned soon after begin to discuss and dispute about the color of his hair, the thickness of his thumb, the measurement of his nails; they exclaim, cabal, and even fight upon the subject. Those who maintain that the little finger of the giant is only fifteen lines in diameter burn those who assert that it is a foot thick. “But, gentlemen,” modestly observes a stranger passing by, “does the giant you are disputing about really exist?” “What a horrible doubt!” all the disputants cry out together. “What blasphemy! What absurdity!” A short truce is then brought about to give time for stoning the poor stranger; and, after having duly performed that murderous ceremony, they resume fighting upon the everlasting subject of the nails and little finger.
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