#et se frôlent
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Il y a des histoires d'amour qui ne commenceront jamais, des sentiments qui restent suspendus dans l'air, entre deux êtres qui se frôlent sans jamais oser se saisir. Elles naissent parfois dans des regards échangés, dans des silences éloquents, mais elles restent prisonnières des non-dits, des peurs, des circonstances qui les empêchent d'éclore. Ce sont des histoires que l'on porte en soi, secrètement, comme un rêve que l'on n'a jamais eu le courage de vivre. Ces amours inachevés sont faits d'imaginaire, de fantasmes, de "si seulement", d'un espoir latent qui refuse de s'éteindre complètement. Elles habitent les pensées, resurgissent dans les moments de solitude. Elles laissent un goût doux-amer, celui d'un bonheur qui aurait pu être mais qui n'a jamais été et ne sera jamais. Ce sont des histoires qui, malgré leur absence de réalité, laissent une empreinte profonde dans notre coeur, comme si leur potentiel non réalisé était plus intense encore que tout ce qu'elles auraient pu devenir. Et je me demande si leur force réside dans l'éternité de l'inaccompli ou dans la pureté d'un amour qui ne connaît ni échec, ni déception. Un amour qui restera toujours parfait dans sa forme inaboutie, gravé dans le cœur comme un murmure, une possibilité jamais explorée, mais toujours présente, quelque part, dans le fond de notre âme.
Nelly Delas
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Il y a des histoires d'amour qui ne commenceront jamais, des sentiments qui restent suspendus dans l'air, entre deux êtres qui se frôlent sans jamais oser se saisir. Elles naissent parfois dans des regards échangés, dans des silences éloquents, mais elles restent prisonnières des non-dits, des peurs, des circonstances qui les empêchent d'éclore. Ce sont des histoires que l'on porte en soi, secrètement, comme un rêve que l'on n'a jamais eu le courage de vivre.
Ces amours inachevés sont faits d'imaginaire, de fantasmes, de "si seulement", d'un espoir latent qui refuse de s'éteindre complètement. Elles habitent les pensées, resurgissent dans les moments de solitude.
Elles laissent un goût doux-amer, celui d'un bonheur qui aurait pu être mais qui n'a jamais été et ne sera jamais.
Ce sont des histoires qui, malgré leur absence de réalité, laissent une empreinte profonde dans notre coeur, comme si leur potentiel non réalisé était plus intense encore que tout ce qu'elles auraient pu devenir.
Et je me demande si leur force réside dans l'éternité de l'inaccompli ou dans la pureté d'un amour qui ne connaît ni échec, ni déception. Un amour qui restera toujours parfait dans sa forme inaboutie, gravé dans le cœur comme un murmure, une possibilité jamais explorée, mais toujours présente, quelque part, dans le fond de notre âme.
Nelly Delas
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2019
Je crois vraiment que l'on peut deviner qu'une personne est amoureuse à sa manière de marcher. Les pieds frôlent à peine la surface de la terre, tout sentiment de peur disparaît et le temps s'effiloche comme la brume au moment du lever du soleil.
- Henning Mankell
Et quand cette personne prend conscience que cet amour est orphelin, que l’autre est ... sur un autre chemin ... le corps devient prison , les murs se jettent en travers, la peur de perdre cet autre se mue en angoisse et la nuit s’allonge à n’en plus finir devenant douleur ... l’hiver qui pointe ses frimas a déjà planté ses pointes de glaces dans ce cœur ... solitaire ... qui avait trouvé son âme sœur ...
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[A l'occasion de30 jours pour écrire; #Dernières fois]
Seuls entre mille, des pulsations puissantes nous enivrent. L'atmosphère vibre et dans la foule transportée nos corps se défient, se jaugent et parfois se frôlent embrasant notre peau.
Sous les éclats de lune, les pupilles pleine d'étoiles, nos regards se poursuivent, se dissimulent et s'esquivent pour ne rien avouer... puis par surprise se se heurtent, se percutent lors de collisions cristallines.
Dans le fracas retentissant de nos iris on se confronte, on s'apprivoise, on s'enlace un instant captifs, laissant nos sourires se faire écho quand nos regards s'enfuient.
L'atmosphère vibre et seuls entre mille, on se délivre dans cette nuit pure et animale commune aux dernières fois.
Grain de Rien, 2023, à l'occasion de 30 jours pour écrire
#30jourspourécrire#grain de rien#texte français#amour#noir#rouge#poésie#poème français#texte#dernières fois
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J'ai terminé il y a quelques jours "Croire aux fauves" de Nastassja Martin.
L'histoire d'une femme, anthropologue, qui lors d'une mission en Sibérie, se retrouve face à un ours. Confrontation sanglante dont chacun ressortira vivant. Elle a enfoncé son piolet sous sa fourrure alors qu'elle sentait la moitié de sa tête craquer sous les dents du fauve.
L'hospitalisation suit, en Russie puis en France, chaque pays ayant ses méthodes. On suit ensuite sa guérison psychologique, son introspection. La psychologie se mélange aux croyances propres à la Sibérie, les rêves frôlent la réalité, son ours la hante et elle se rend compte que désormais liés, elle hante également son ours.
"Il existe selon Clarence un sans-limites qui affleure à la surface du présent, un temps du rêve qui se nourrit de chaque fragment d'histoire qu'on continue d'y adjoindre. Il y a dans le monde une latence et un bouillonnement, semblables à la lave qui attend sous le volcan"
L'histoire m'a beaucoup plu, j'avais d'abord aimé ce côté "warrior" perçu dans le résumé et de ce point de vue, j'étais ravie.
On sent l'anthropologue qui analyse, retrace, contourne, et certains passages sont alambiqués avec cette sensation que parfois, elle s'installe dans sa bulle et écrit exclusivement pour elle-même.
⭐⭐⭐⭐
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Dans les méandres du virtuel, où les mots se tissent et les idées se frôlent, certains modérateurs s’érigent en gardiens absolus. Sous le voile de la protection, ils traquent les mots comme des menaces, effaçant, bannissant, jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un murmure uniforme. Sous prétexte de préserver, ils asphyxient toute dissidence, refusant d'entendre les nuances. Leurs filtres deviennent des murs, infranchissables, où l’expression se heurte aux limites de leurs propres peurs. Et ainsi, les voix se taisent, et les idées s'étiolent, écrasées par une censure qui, au lieu de protéger, étouffe le monde qu’elle prétend servir.
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"Embrasse" (2023) 🎨
"Les fleurs s'entrecroisent et les corps se frôlent. Au delà de la palette qui remplit notre regard, c'est en fait le sens du toucher qui colorise notre perception. La chaleur se vit en technicolor"
Acrylique sur papier A2
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Comme un fantôme, je ne suis qu'une silhouette, une ombre que seuls le soleil ou les lampadaires font ressurgir. J'erre entre le chemin de la fac et mon appartement, comme une âme en peine. Chaque reflet dans le miroir me fait réfléchir. Je ne peux pas m'empêcher de me demander qui est cette fille. Toujours aussi étonnée de réaliser que tout est tellement automatique que je ne pense même plus à ce que je fais. Je le fais juste et, des fois, j'ai un instant de lucidité et je me sens surprise. Surprise d'être dans cette ville, surprise d'être assise dans cet amphi, surprise de faire les courses au aldi du coin de la rue. Cette vie la ne m'intéresse pas plus que l'autre, elle me coûte différemment. Je reste persuadée que je vais me réveiller ailleurs, avec quelqu'un d'autre, dans un autre appartement, un autre monde. Les angoisses existentielles reviennent si violemment que je ne sais pas où me mettre. Toutes ces vies qui me frôlent, qui disparaissent, qui agonisent partout, c'est un calvaire de faire partie de ça. D'assister à ça. D'être associée à ça. Je me sens monstrueuse d'exister vu ce que la plupart de l'humanité a investi dedans. Est ce que je me serais trompée ? Est ce que les gens, à force de se confronter à l'inconsistance de leur existence, perdraient le sens de la gravité de leurs actes ? Je ne sais pas, je me demande si on est pas tous en train de devenir fous face à notre gestion médiocre du non sens de tout.
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Où avons-nous perdu les pédales ? ( II ): L'islam(isme).
Résumons : La société française s'effondre sous nos yeux, dans un vaste dévoiement injustifiable de forces obscurantistes qui disent trouver dans l'assassinat à coups de couteau un nouveau moyen pour régler tout conflit-dispute-désaccord-regard de travers. La volonté de mensonge de nos gouvernants ne peut escamoter le fait qu'il y a en moyenne 120 attaques au couteau par jour, en France métropolitaine (dont 2 ou 3, au maximum, seront connues). Dans notre recherche des causes réelles de ce drame quotidien, nous avons proposé hier une première piste de réflexion. En voici d'autres.
(2)- Le refus de voir arriver la ''reine'' de batailles –cette ''Uhm el-Herb'' dont rêve l'islam. Il s'agit de lagrande bataille finale entre l'islam, d'un côté... et tout le reste de l'humanité, de l'autre. Au cours d'une longue vie au cours de laquelle mes chemins se sont très souvent croisés avec ceux qu'emprunte l'islam –et, je dois le dire, le plus souvent dans l'harmonie, j'en parle souvent ici-- je n'ai jamais pu comprendre comment toute une tranche de soi-disant ''penseurs'' occidentaux avait pu être aussi aveugle avec ou sur tout ce qui touche à l'islam. C'est bien simple : tout semble se passer comme si ce seul mot éteignait toute intelligence –dans la mesure où ils en avaient une-- chez les intellectuels de gôche.
Le lien entre le sujet que nous survolons depuis 48 heures et ma colère actuelle devant le néant officiel, trouve sa source dans la double volonté, qui n'est plus à démontrer, qu'ont nos gouvernants de supprimer la France en tant que ce qu'elle a été et est encore un peu, et de prétendre faire ''vivre ensemble'' des communautés dont tous les référentiels sont non seulement à l'opposé les uns des autres, mais incompatibles. Et nos nuls-au-pouvoir, qui frôlent sans cesse dangereusement (pour nous plutôt que pour eux, qui se sont fabriqué une fausse impunité), la non-assistance à ''pays en danger'', ont fait le choix de privil��gier sans vergogne tout nouvel entrant (NDLR : qu'on pourrait qualifier un tout petit peu de ''envahisseur'', tout de même, non ? Quand c'est si proche de la réalité et même revendiqué clairement, ce n'est plus une insulte de le dire !) au détriment de l'ancien occupant... qui est contraint par un système infâme mais violent de laisser peu à peu sa place.
L'aboulie (du grec a-voulia = indécision) chronique et savamment entretenue qui caractérise les ados prolongés auxquels, de manière inexplicable, nous avons demandé de nous guider (vers des futurs dont ils rêvent mais dont pas un seul n'est souhaitable, ne serait-ce que ''pour de rire''. Les rêves des enfants sont les cauchemars des adultes !) les rend strictement incapables de choisir entre une version américaine des choses, le ''open bar'' où chacun prend ce qu'il veut, à son libre choix, et l'auberge espagnole où chacun amène ce qu'il veut, selon ses goûts. Ils ont inventé une version soi-disant française, le ''ni... ni...'' où chacun serait libre de faire et dire n'importe quoi.
C'est dans ce cadre-qui-n'en-est-pas-un que nous ''importons'' des familles, des villages, voire des tribus entières, dont les cultures, les mœurs, les us et coutumes, les croyances et les motivations sont à l'exact opposé des nôtres... qu'ils rejettent et détestent en bloc. De cette ''confrontation'', dans laquelle un seul des protagonistes a la violence absolue dans son référentiel culturel, et dans laquelle l'autre est non seulement le point d'aboutissement de 20 siècles de ''civilités'' mais où il est accusé par système d'avoir tort par principe, puisqu'il est blanc, pas musulman, et seul vrai ''propriétaire des lieux'' de toute éternité... un seul va finir sous les coups de couteau. Et c'est lui qui sera l'accusé, le coupable n'ayant droit qu'à des excuses... ou à un diagnostic psychédélique...
A leur arrivée, on n'impose aux envahisseurs déclarés (car ils le sont et reconnaissent l'être, sans limite et sans pudeur, avec le culot de celui qui, se sentant protégé, veut imposer à l'autre sa manière de vivre), aucune obligation et aucun engagement. Et même, bien au contraire, quelques esprits malfaisants, qui n'ont rien compris, leur racontent, comme si c'était vrai, que le seul fait qu'ils soient totalement et rigoureusement incompatibles avec tout ce que nous sommes, croyons, pensons, voulons, désirons et aimerions... serait (je cite) : ''un enrichissement pour la France''... ce qu'ils comprennent très vite puisque c'est faux, contrairement à tout le reste, qu'ils rejettent en bloc puisque c'est vrai. Allez être étonnés, ensuite, quand toutes ces folies tournent en eau de boudin, et qu'il ne reste plus que les yeux pour pleurer et des marches blanches stériles et inutiles, pour... aucun résultat autre que la poursuite d'une invasion qui n'est pas ''militaire'', qui ne dit pas son nom (Wokisme ordonne !), mais n'en est pas moins ''de substitution'', à terme !
Les vrais responsables, politicards ou journaleux ancrés à gauche sans plus même s'en rendre compte ni savoir pourquoi, lancent leurs habituels anathèmes menteurs, leurs faux amalgames et leurs récupérations à la gomme contre, en vrac, les réseaux sociaux, la police, et la droite, qui, pour eux, ne peut être que ''extrême''... (NDLR – Lorsque Marion Maréchal ou Eric Zemmour disent être ''contre les coups de couteaux'', c'est de la récupération. En revanche, lorsque la pauvre Maman du pauvre petit Shems ed-dîn est contrainte par des islamistes de dire le contraire exact de tout ce qu'elle a hurlé, dans son désespoir, c'est de la démocratie... et des juges indignes font semblant de croire à ces tissus de bobards ! Et lorsque le Papa du pauvre petit Matisse croit refuser ''la récupération'' au (faux) prétexte que ''tous les musulmans ne sont pas etc...'', il la favorise, au seul profit des assassins de son fils, le pauvre : attendez la vraie confrontation et vous compterez les ''qui... ne sont pas'' sur les doigts d'une seule main ! Mais ce lavage de cerveaux est un autre sujet, dramatique aussi).
(3)- Autres responsables cachés de notre détresse, devenant sans espoir : le monde tel qu'il évolue semble ne vouloir se déplacer, dans tous les domaines, que dans le sens du ''pire'' pour le futur de l'humanité... Un exemple : la très progressiste Ursula von der Leyen (NDLR : ''der Leyen'' pouvant se traduire par ''dans la soie'', Napoléon en aurait sans doute tiré quelque savoureuse pique, comme celle décochée à Talleyrand : ''de... dans un bas de soie'' !), tient le courageux Victor Orban sous le coup d'une condamnation permanente, au prétexte qu'il a compris, lui, que la folie du moment, qui priorise et encourage le changement de sexe des ados, ne peut mener qu'à des tsunamis de suicides, de catastrophes et de drames irréversibles.
Les obscénités dites ''soclétales'' qui sont référencées, dans la doxa officielle, comme étant ''les valeurs de l'Europe'' (Quelle honte ! Pauvre Europe !), ne sont qu'un amas insensé de délires, tous mortels, qui ne visent, en gros, qu'à la promotion déjantée d'expérimentations vouées à l'échec, de perversions ou d'anomalies sexuelles, de pathologies mortelles pour l'avenir de ''nos enfants'' et de comportements répréhensibles au jour-le-jour et sans espoir quel qu'il soit, à terme. Ce sont, malheureusement, les dernières portes qui restent entr'ouvertes... alors que leur seule existence est largement plus dommageable que si elles étaient restées oubliées !
Il en va de même dans tous les domaines, mais il est interdit de le dire : les faux démocrates au pouvoir ont vite fait de transformer leurs contradicteurs en délinquants idéologiques et à les mettre au ban de leur lamentable univers, et je dois donc arrêter de dire la vérité, par crainte des représailles (NDLR... que j'ai fréquentées de près : ma fille Alexandra a eu le tort impardonnable d'avoir eu raison sur absolument tout ce qu'elle avait démontré scientifiquement. Il a fallu sa force de caractère pour transformer leur haine venimeuse en déroute piteuse...).
Mais malgré la violence que met ce troupeau de menteurs malfaisants pour tenter de faire croire à ses mensonges, chacun est encore libre de laisser filer sa pensée vers les drames infinis qui sont les seules portes qui nous restent encore ouvertes vers des futurs qui, tant qu'ils seront au pouvoir, n'en sont plus et ne peuvent en être... (à suivre).
H-Cl.
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Très très beau roman de Caroline Hinault, Traverser les forêts.
La photo ci-dessus est prise dans la forêt primaire, la seule d’Europe, en Pologne, par Andrea Olga Mantovani, pour le livre écrit avec Baptiste Morizet, S’enforester ; forêt précise qui est le personnage principal du roman de Caroline Hinault.
Forêt effrayante, sublime, refuge, prison ou tombeau…
A travers les trois femmes qui l’occupent en même temps, pour des raisons très différentes, l’autrice explore une tranche d’humanité très actuelle, entre la migrante syrienne qui cherche à quitter la Biélorussie, pour survivre, condamnée à errer au péril de sa vie parmi les ronces et les bisons, n’ayant que ses pieds et ses mains pour possession, et Véra, journaliste biélorusse qui cherche refuge dans le silence et la contemplation, pour contrer la violence du monde.
Les destins se frôlent, s’entrecroisent… se renvoient des solitudes, des interrogations.
Ce qui m’a frappée, c’est le style. Dès le départ, c’est saisissant, c’est intense, à la fois brut et recherché. Tranchant. Le dénuement d’Alma, sa peur, petit chaperon à la doudoune rouge, qui paraît si immense et qui se heurte, qui se frotte à l’immensité de la forêt, à l’intensité de ses odeurs et de ses bruits, son indifférence végétale, son indépendance vitale. C’est terrible et beau. Il y a une vraie poésie mise au service du récit, et de ces moments suspendus, colorés de peur ou d’espoirs. Lire ce livre est comme une expérience de l’altérité, face à un lieu sauvage, face à des idéologies contraires, qui ne convergent que vers ce désir primaire, violent et vibrant, de rester en vie, malgré le cauchemar si palpable, alimenté par des citations de Dante, issues de L’Enfer. Une actualisation percutante de ces différents périls infernaux.
Un rappel salutaire qui remue.
#littérature#livres#litterature#roman#livre#traverser les forêts#Caroline Hinault#éditions le rouergue#Andrea Olga Mantovani#forêt
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Il existe des regards qui se croisent, des caresses qui se frôlent, des pensées qui s’embrassent et des silences qui se parlent !
Laura Maria Ardelean
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L'attirance physique, un désir si fort, Que rien ne peut l'arrêter, pas même la mort. Le corps, la chair, la peau, tout est si beau, Que l'on ne peut s'empêcher de vouloir en avoir.
Les yeux qui se croisent, les mains qui se touchent, Les lèvres qui se frôlent, les corps qui se rapprochent. Tout cela n'est qu'un jeu, un jeu de séduction, Qui nous mène tout droit vers la passion.
Le désir est là, il est bien présent, Et rien ne peut l'arrêter, pas même le temps. Il est là pour nous guider, pour nous montrer, Que la vie est belle, qu'il faut en profiter.
Alors aimons-nous, aimons-nous sans retenue, Et laissons-nous aller, sans aucune vertu. Car l'attirance physique, c'est la vie, c'est l'amour, C'est ce qui nous fait vibrer, jour après jour.
DoomedPoete © - Tous droits réservés
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L'amour impossible, une énigme profonde qui tourmente nos cœurs avec une douce cruauté. C'est une mélodie envoûtante jouée sur les cordes fragiles de nos âmes, une danse silencieuse entre deux destins qui se frôlent sans jamais se rejoindre.
C'est le déchirement entre le désir ardent et la réalité implacable. Deux êtres que tout sépare, que le monde semble avoir condamnés à la séparation, mais dont les cœurs battent en harmonie, comme si l'un était l'écho secret de l'autre.
L'amour impossible, c'est le parfum enivrant d'une fleur interdite, une promesse murmurée à l'oreille du vent, un baiser volé dans l'obscurité. C'est la sensation brûlante de l'attente, l'écho d'un amour qui refuse de se taire, même face aux obstacles les plus insurmontables.
C'est un voyage solitaire à travers un paysage d'émotions tumultueuses, où chaque instant partagé est un trésor précieux, chaque regard échangé est une éternité volée. C'est le tourbillon des sentiments qui nous emporte loin des rivages de la réalité, dans un océan d'incertitude.
Pourtant, malgré la douleur de l'amour impossible, il y a une beauté ineffable dans cette passion ardente. C'est un rappel que l'amour ne se soucie pas des frontières tracées par le monde, qu'il peut briser les chaînes de la convenance et de la logique, qu'il peut transcender le temps et l'espace.
L'amour impossible, c'est une étoile lointaine qui brille dans la nuit noire de nos vies, nous guidant vers un horizon inatteignable. C'est une leçon d'humilité, nous rappelant que parfois, dans notre quête de l'amour, ce sont les chemins les plus difficiles qui nous révèlent le véritable sens de notre voyage.
Alors, même si l'amour impossible peut être une source de tourment, il est aussi une source d'inspiration. Il nous pousse à rêver, à défier les conventions, à croire en la magie de l'inattendu. Car parfois, dans l'impossible, se cache la promesse d'un amour véritablement extraordinaire.
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J'ai toujours eu l'intuition que j'aurai, dans le fond, toujours un peu 13 ans
Je me souviens du regard de Kirsten Dunst sous ses paupières lourdes —
Je me souviens que j'avais 16 ou 17 ans quand j'ai vu le film pour la première fois, je me souviens que j'avais probablement l'âge de la plus grande des sœurs Lisbon, et que pourtant la scène de Virgin Suicides qui m'avait le plus frappée c"était celle où l'on voit la plus jeune des adolescentes, Cecilia, dire au psychiatre
"Obviously doctor you've never been a 13-year-old girl."
(J'ai toujours eu l'intuition que j'aurai, dans le fond, toujours un peu 13 ans)
Je me souviens que je voyais, pour la première fois, que quelqu'un comprenait ce qu'il y avait de meurtri tout au fond du fond de ce cœur d'adolescente que nous nous traînions ensuite pour toujours (et les regards et les attentes et les corps et la chose de l'enfance qu'on nous enlève brutalement et qu'on ne récupère jamais même en essayant mille fois).
Je voyais la tendresse mais aussi l'agressivité avec laquelle Sofia Coppola filmait ça — les bracelets en plastique qui cachent les coupures et qui menacent de tremper dans le punch et la voix de Cecilia (ces bracelets en plastique scotchés, j'y ai pensé si souvent), sa voix nette, son regard profond. J'avais le sentiment que Sofia Coppola n'essayait pas d'adoucir quoi que ce soit parce qu'elle aussi, elle savait.
(Relisant le journal de mes 13 ans chez mes parents j'ai ressenti un mélange de honte et de douleur face à la brutalité des sentiments, bons comme mauvais — j'ai arrêté d'écrire un journal après l'adolescence et je me suis racontée autrement — mais je me suis rappelé en lisant mes mots que beaucoup ne savent pas, en effet, ce que ça fait d'être une ado de 13 ans et que même moi, sans le vouloir, je l'ai souvent oublié)
Je me souviens — et pourtant je n'étais pas une adolescente blonde aux cheveux longs, pas une sœur Lisbon en somme, pas une Sofia Coppola non plus — je me souviens que même si on ne parlait pas de female gaze à l'époque, entre nous, nous avions compris que ce film racontait quelque chose que nous n'avions encore jamais vu. Ce film filmait différemment le désir silencieux. Les mains qui se touchent, se frôlent. L'urgence, aussi.
(Sur des feuilles de papier nous essayions alors de recopier les différentes écritures qui apparaissent au début de film et sur nos platines CD nous écoutions la musique d'Air qui ne ressemblait alors à rien de ce que nous connaissions — et quelque part j'ai continué toute ma vie à m'envelopper de ces mêmes sons vaporeux)
Je me souviens que ce film racontait aussi une forme de version années 70 de cette manière que nous avions de parler en chansons. Les sœurs Lisbon communiquent avec leurs voisins et passent des disque au téléphone — nous on vivait pour les musiques qu'on aimait et on recopiait des paroles de chansons dans nos statuts MSN. Cela formait des conversations irréelles pourtant plus vraies que tout ce que nous essayions de dire avec nos propres mots. Ce film racontait soudain l'étrangeté absolue d'habiter le corps en mouvement d'une adolescente dans un monde qui méprise nos passions, nos chuchotements et nos secrets. On apprend à être des femmes comme ça — mais dans un endroit très précieux on continue, parfois, à parler en chansons et en statuts MSN.
Ce que Virgin Suicides avait compris de nous c'était aussi — que nous faisons des montagnes des petits moments, nous avions comme cette compréhension profonde de l'importance de l'immédiat. Et ce n'était pas ridicule mais beau.
Quand j'ai revu le film c'est encore une fois la scène qui m'a le plus touchée, celle où les garçons lisent le journal de Cecilia. Ce journal qui consigne des dizaines de petits riens — les larmes de Lux, les arbres, les gestes. Les garçons ont l'air de donner corps à ses phrases avec une forme d'incompréhension mais Sofia Coppola, elle, met en images ces instants volés au temps avec une fantaisie qui n'existe que dans cette séquence. Une licorne, des paillettes. C'est une ode courte aux petits instants, ceux que Cecilia voit, et à l'esthétique de l'adolescence qui s'effleure du bout des doigts comme les flacons observés dans la salle de bain par un invité. Dans la séquence du journal, la voix off des garçons disparaît au profit de celle de Cecilia et c'est l'une de mes idées préférées — une manière de nous dire qu'au ton amusé des garçons la réalisatrice préfère la profondeur de l'adolescente.
Et quand on revoit ce film, adulte, on se souvient de quelque chose que l'on avait trop longtemps oublié.
Lisant plus tard le roman d'Eugenides (qui a inspiré le film) je serai déçue de la place que les personnages masculins prennent dans la narration. Pour moi ils n'existent pas, expulsés à la marge. Dans le regard de Sofia Coppola ils sont, mais peut-être que j'extrapole, très secondaires.
Peut-être que c'est la manière dont mon regard de jeune femme tout juste sortie de l'adolescence a corrigé le film. Et je continue, par fidélité, à lui faire honneur. J'oublie leurs scènes et leur fascination ne m'intéresse pas.
Lisant le journal de Cecilia, l'un des garçons demande : "How many pages can you write about dying trees ? Relisant mon journal, je retrouve trois pages consacrées à une remarque anodine faite par une camarade de classe, de longues vexations tournées dans tous les sens. Je me dis que c'est parce qu'elle a capturé exactement ce sentiment-là que ça que j'ai gardé pour Sofia Coppola une forme de loyauté aussi bizarre qu'éternelle. À la vie, à la mort.
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Le soleil qui caresse nos peaux en douceur et leur donne ce petit doré qui nous va si bien.
Nos peaux qui s'attirent, se frôlent, s'effleurent, et puis se collent l'une à l'autre, inlassablement.
Des jours entiers, toi et moi...sans oublier les autres. Du soleil, la plage, la mer pour se baigner, des balades, des randos, des apéros, des rires à n'en plus finir...du bonheur à chaque instant. Nous rien que Nous, juste Nous. Merci pour ces merveilleuses vacances.
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4ème semaine ! 🍈
J'étais contente car avec le 14 juillet ça allait être une petite semaine ...
Je fais le boulot. Toujours le même ... mais j'entends aussi mes collègues dire qu'ils veulent quitter le navire et frôlent le burn out. Heureusement que je ne compte pas rester ...
Du coup tout le monde se dit que voilà bientôt les vacances et que là on allait avoir un week-end de 3 jours !
Je m'étais dit que ça allait être chouette pour faire tout ce que j'ai à faire, refaire mes ongles, virer des trucs dans ma chambre, laver ma voiture ... et benh finalement non. J'ai rien pu faire car malade ... il semblerait que je fasse une intolérance au melon ...
Ma mère me sort le plus naturellement du monde que "Bah tu feras le weekend prochain" ... c'est pas comme si laver la voiture ça allait me prendre un après-midi car faut laver les tapis et passer l'aspirateur ...
Et comme on fait toujours mon anniversaire en juillet avec la famille, je suis même pas sûre de pouvoir manger du gâteau ...
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