#et dit au barman :
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lolochaponnay · 5 months ago
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C'est un prêtre qui a envie de se soulager. Il se précipite dans un bar et demande au barman: -Où sont vos toilettes s'il vous plaît ? -Vous prenez cette porte et c'est au bout du couloir. -D'accord, merci. Soudain, le barman le rappelle: -Attendez, mon père ! -Qu'est-ce qu'il y a ? -J'ai oublié de vous dire que dans le couloir se trouve la statue d'une femme dont le vagin, si je puis me permettre le mot, est caché par une feuille de vigne. J'ai peur que cela vous gêne. Le prêtre lui répond: -Oh, ça ? Vous savez tant que c'est caché tout va bien. Et même si ça ne l'était pas, j'aurais réussi à prendre sur moi. Il prend donc la porte et revient 3 minutes plus tard. À peine a-t-il ouvert la porte que tous les clients l'applaudissent en scandant des: "Bravo ! Il est des notres ! etc..." Le prêtre se tourne alors vers le barman: -Je ne vois en quoi aller aux toilettes est un évènement ! Le barman lui dit: -Ils veulent parler de la statue. Le prêtre lui demande: -Et bien quoi la statue ? Et le barman lui répond: -Quand on soulève la feuille de vigne, la lumière du bar s'éteins.
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kelthoumrambles · 2 months ago
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Ce que je trouve assez rigolo c'est que j'ai repris de la coke hier pour la première fois après 104 jours. Ce que je trouve encore plus rigolo c'est que c'est arrivé le jour de l'anniversaire de la mort de ma mère. Et ce que je trouve vachement rigolo c'est que ca sest passé avec pepito (eh ouais le seul l'unique, le mec sur qui j'ai une touche depuis des mois et que je ne voyais plus depuis des mois et avec qui je n'étais plus en contact depuis des mois et qui en a raf de moi) et c'est arrivé comme ça: "ah ouais en fait j'ai décroché, jsuis allée me faire aider en HP etc" sur quoi il me répond "ça te dit de venir terminer de m'aider à déménager pendant 2-3h jnous commande 1g chacun?" "Ouais à fond" et voilaaaaa jsuis une grosse conne j'ai envie de crever tout va bien. J'ai savouré chacune de ses lattes c'était vraiment délicieux ça m'avait manqué d'une de ces forces ptnnn! Je l'ai donc aidé à terminer son déménagement, on a écouté du bon son et on a parlé de plein de trucs mega perso comme à la vieille époque et je lui ai mordu le doigt. après m'avoir donné une lampe, il est parti rejoindre sa "meilleure amie"et je suis donc allée dans mon bar préféré avec cette ptn de lampe énorme. Et j'ai bu j'ai bu j'ai bu comme une grosse poucave de merde et quand le bar a fermé j'avais envie de continuer à boire mais comme j'avais une grosse lampe avec moi et dans un semblant de sagesse, j'ai décidé de rentrer. le barman m'a alors aidé à prendre un taxi (ce qui me fait penser que jsuis partie sans payer et qu'il faut donc que j'y retourne pour régler ma note (ils sont habitués)). Le taximan était un vieux congolais pas du tout agressif (lol) qui a mis de la grosse rumba congolaise à m'en faire péter le crane et j'étais mega bourré comme ça dans la voiture
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En rentrant je me suis cuisiné une sole avec des pommes de terre et j'ai pris 5 xanax (aucun souvenir mais il y a les preuves). Je me suis réveillée et j'ose même pas me regarder dans le miroir car jme dégoûte. Bref voilà je me déteste merci au revoir. Ah oui dernier truc et le truc le plus drôle dans cette histoire d'ailleurs, c'est que j'avais dit à mon psy que j'allais passer cette ptn de date des 20 ans en pleine sobriété mais non en fait j'accumule une ts au mois de mars et là en novembre jme sens tjs comme une grosse merde donc fini l'hypocrisie j'arrive pas à vivre c'est trop pénible ptn
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histoiresduninstant · 3 months ago
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𝔻𝕚𝕝𝕦𝕔 | Sway
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*↷◌ Info:
||Personnage : Diluc ||Origine : Genshin Impact ||Nombre de mots : 3 560 ||Inspiration musicale : Sway de Michael Bubblé ||Synopsis : [T/P] est une chanteuse connu à Mondstadt, et performe régulièrement dans la taverne de Diluc. On dit que les deux sont de bon amis, mais n'entretiendraient-ils pas une relation plus intime lorsque les portes sont closes?
⁎↣♡↢⁎
     Ce soir, à Angel's Share, taverne emblématique de Mondstadt, un évènement sortant de l'ordinaire allait prendre place à l'intérieur. Au rez-de-chaussée, une petite scène avait été installée, où quelques instruments reposaient dessus. Puis à l'avant, au centre, un micro solitaire. Cette petite mise en scène intriguait les nouveaux clients, se questionnant sur la raison de ce décor différent de l'habitude. Mais les habitués de la petite taverne savaient ce qui allait se passer. Un vendredi soir sur deux, une chanteuse à la voix mielleuse venait faire son spectacle, remplissant à l'occasion la taverne de client friand de son chant.
     Pour Diluc, barman et propriétaire de ce repère chaleureux, la venue de cette chanteuse lui permettait de venir gonfler ses recettes si la semaine n'avait pas été assez florissante pour lui. Bien évidemment, ce n'était pas l'unique raison pour laquelle il appréciait particulièrement ces soirées. Mais étant fidèle à lui-même, Diluc n'admettrait jamais l'effet que cette présence féminine avait sur lui, tout du moins, pas en public. PDV [T/P] :
     La taverne commençait petit à petit à se remplir, créant un brouhaha joyeux au sein de cette dernière. Diluc, lui, était au comptoir, nettoyant des verres ou servait des boissons. Son air sérieux même dans cette ambiance de fête me fit sourire. Rare sont les moments où j'ai pu le voir sourire, mais je les chéries comme rien au monde. Mon regard continua son chemin de son visage vers cette chevelure d'un rouge flamboyant, lui donnant un air sauvage et élégant en même temps. Puis mes yeux descendirent le long de sa nuque pour atteindre son torse musclé et pourtant, regorgeant de finesse. Je ne pouvais détacher mes yeux de cette silhouette envoutante. « Arrête de le fixer comme ça, tu vas baver [T/P]. » dit l'un de mes musiciens en rigolant. Je me retournais en laissant échapper un léger soupir avant de lui répondre quelque peu blessée. « Ce n'est pas de ma faute s'il est bel homme! Comment ne pas vouloir admirer ce profil si charmant? » dis-je, un léger sourire sur les lèvres, jetant un dernier regard sur ce visage de marbre.
- Haha, non mais regardé moi ces yeux langoureux. Est-ce que notre cher [T/P] n'aurait pas un petit béguin pour le barman distant et mystérieux? » renchérit un autre musicien. Je fronçais les sourcils et regardais à l'opposé de Diluc en croisant les bras.
« Je ne vois pas ce qui te fait dire ça. Allez, trêve de bavardage, nous allons bientôt rentrer en scène! »
     La petite troupe s'échangea quelques regards complices avant de rigoler. Un rictus se dessina sur mes lèvres avant que je ne prenne la poignée de la porte de derrière, nous faisant rentrer directement à côté de la petite scène. À peine avions-nous passé le pas de la porte que tous les regards de la taverne se dirigèrent vers nous, devenant le centre de l'attention. Il faut dire aussi que nous étions plutôt chics. Chacun des musiciens portaient un costume trois pièces blanc crème, le tout accompagné d'un nœud papillon rose pastel. De mon côté, j'avais opté pour une robe noire en satin avec un col bateau. Cette robe enveloppait mon corps délicatement, adoucissant les courbes de mon corps. Finalement, je portais des gants en dentelle rose pastel, remontant jusqu'au coude, rappelant le nœud papillon des musiciens. Le tout était assez minimaliste, tout en ayant de l'élégance.
     Nous sourîmes à toute la salle, ravis de voir qu'il y a toujours autant de monde prêt à venir nous écouter; ça réchauffe le cœur. Pendant que les musiciens s'installaient, je pouvais entendre les murmures qui parcourraient la taverne à notre sujet. Des murmures d'excitation, de questionnement, d'appréhension. C'est alors que je me plaçais en face du micro, testais si le son fonctionnait, et la taverne devint silencieuse, impatience de savoir le déroulement de la soirée.
« Bonsoir à tous! Je vois que, ce soir encore, nous sommes nombreux et impatient que la soirée commence, n'est-ce pas? » dis-je dans le micro, le sourire aux lèvres à cause de l'excitation qui commençait à monter.
- OUAIS! » cria toute la taverne dans un élan de joie et de bonne humeur.
- Haha, bien bien. Je vois que tout le monde est en forme aussi encore ce soir. Eh bien, commençons sans plus tarder avec la première chanson qui est dédiée à la personne qui a su faire tambouriner mon cœur avec passion, qui a su faire frissonner ma peau de plaisir, et qui d'un simple toucher enflamma tout mon être du grand brasier qu'est l'amour. J'ai choisi la chanson Sway! »
     Suite à cette déclamation, une vague de sifflement parcourut le public intrigué de savoir qui était cet heureux élu. J'en profitais d'ailleurs pour lancer un regard furtif dans la direction de Diluc. Ce dernier restait impassible devant le comptoir à s'occuper des clients; il ne daignait même pas m'adresser un regard. Mais je savais que mes dires ne l'avaient pas laissé si indifférent que cela, bien qu'il montrât le contraire. Le bout de ses oreilles ainsi que ses pommettes prirent une teinte légèrement rosée, un changement très discret, mais qui n'échappait pas à mes yeux. À la vue de cette réaction chez Diluc, je reportais mon attention face à la salle, un sourire satisfait scotcher aux lèvres.
« Musiciens! »
     Ils s'échangèrent un regard, tous souriant et commencèrent aussitôt à jouer la mélodie. Je pris une grande inspiration et calmais ma respiration en fermant les yeux quelques secondes, avant de commencer à chanter de plus belle.
« . »
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
Other dancers may be on the floor Dear, but my eyes will see only you Only you have that magic technique When we sway, I go weak
I can hear the sounds of violons Long before it begins Make me thrill as only you know how Sway me smooth, sway me now
Other dancers may be on the floor Dear, but my eyes will see only you Only you have that magic technique When we sway, I go weak
I can hear the sounds of violons Long before it begins Make me thrill as only you know how Sway me smooth, sway me now
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
« . »
     À la fin de ma performance, j'en profitais pour faire un petit clin d'œil dans la direction de Diluc, espérant cette fois une réaction plus prononcée chez le barman. Mais il n'en fut rien, malheureusement.
      Après seulement une chanson, la taverne était déjà en ébullition et en redemandait. Mes compagnons et moi-même ne pouvions nous arrêter de sourire face à l'engouement du public. Je repris mon souffle avant de ne reprendre le micro dans mes mains.
« Vous en revoulez encore ? »
     Un « Oui » unanime émergea dans toute la taverne, nous faisant comprendre que la soirée ne s'arrêterait pas en si bon chemin. C'est alors, qu'après deux trois gorgées d'eau, les musiciens se remirent à jouer, moi les accompagnant avec ma voix qui résonnait à travers tous les murs de la petite taverne.
PDV Diluc :
     La première chanson venait à peine de finir, et pourtant, la salle en redemandait déjà encore. Du coin de l'œil je l'avais vu m'adresser un clin d'œil, mais je ne réagis pas. Du moins, je ne le montrais pas, car je savais très bien qu'au fond de moi, mon cœur battait légèrement plus rapidement contre ma cage thoracique simplement à cause de ce clin d'œil.
     Je continuais ainsi de servir les clients qui se faisaient nombreux au comptoir. Evidemment, Venti était présent, mais je crains que les 10 bouteilles de vin n'aient eu raison de sa conscience. Je soupirais, découragé, de le voir ainsi avachi sur une table de ma taverne, encore une bouteille à la main et un sourire d'idiot accroché à ses lèvres. Parfois je me demande s'il est celui qu'il prétend vraiment être ; l'archon Anemo. Je secouais, désespéré, la tête de droite à gauche avant de reprendre la tâche que j'étais en train d'effectuer.
     De l'autre côté de la salle, [T/P] continuait de chanter de plus belle, sans jamais s'arrêter. Je lançais de temps à autre quelques regards furtifs dans sa direction tout en restant le plus discret possible ne voulant éveiller quelques soupçons. Et pourtant, plus je la regardais, plus il m'était difficile de détacher mon regard de sa silhouette. Ce corps sublime devenait enivrant, et ce visage, un visage d'ange, qui transpire la tendresse et l'amour. Ses traits fins et délicats, ses yeux remplis d'un feu ardent de passion, ses lèvres légèrement rosées dues au rouge �� lèvres les rendaient encore plus délicieuses. Et sa voix, comment ne pas en parler. Le timbre de sa voix pouvait être à la fois fort et doux, agressif et tendre, sensuel et délicat. Sa voix n'était comparable à rien en ce monde tellement elle était unique et envoutante. Et ce vibrato grave et lent qu'elle pouvait produire en allant chercher un son du plus profond de ses entrailles ; j'en avais des frissons d'excitation. C'est incroyable l'effet que [T/P] a sur moi.
     Je souris tendrement en la regardant prendre plaisir à chanter devant cette foule en effervescence. Plongé dans mes pensées, je l'admirais paisiblement avant qu'une certaine voix un peu trop familière ne me sorte de mes songes.
« Elle est ravissante, tu ne trouves pas ? » dit-il avec un ton enjoué, les yeux rivés sur la silhouette de [T/P].
     Pas besoin de relever la tête pour savoir à qui appartenait la voix. Je décidais simplement de continuer à effectuer mes différentes tâches sans lui prêter trop d'attention.
« N'as-tu donc rien d'autre à faire que de venir boire dans ma taverne ? »
« Hahaha, même rendre visite à mon frère m'est interdit désormais ? » dit-il un verre de liqueur à la main, son air espiègle ne quittant jamais son visage.
     Je relevais la tête et le fixais du regard. Ne voulant pas envenimer la situation, je décidais simplement de le laisser faire, après tout, j'avais plus important à faire en ce moment.
« Eh bien reste, si cela te convient, mais tâche de boire raisonnablement dans mon établissement. Je n'ai pas envie de me retrouver à gérer un ivrogne de plus dans ma taverne. »
     Il laissa échapper un petit ricanement avant d'acquiescer et de s'éloigner, son verre à la main.
PDV [T/P] :
     La soirée commençait à toucher à sa fin et la taverne ne comptait plus que quelques clients en son sein. Épuisée de cette soirée de fête, je décidais d'aller me poser quelques instants au comptoir pour retrouver mon cher barman. Les musiciens, quant à eux, venaient de rentrer chez eux, tout aussi exténués de la soirée. Je m'assis sur une des chaises hautes du comptoir, et observais amoureusement le visage sérieux de Diluc, concentré sur une tâche à la fois. Il releva sa tête dans ma direction en me demandant ce que je voudrais prendre. A cet instant, mes lèvres s'étirèrent dans un sourire affectueux, n'ayant d'yeux que pour lui.
« Je vais vous prendre un verre de wiskey, mon cher. »
     A peine ma commande énoncée qu'il se mit au travail pour finalement me servir mon verre quelques minutes plus tard. Je bus quelques gorgées de ma liqueur avant de reposer le verre sur le comptoir verni de la taverne. Je relevais yeux afin d'avoir son visage dans mon champ de vision.
« Alors, que penses-tu de la performance de ce soir ? » demandais-je intriguée de connaître son impression ce soir encore.
- On peut dire encore une fois qu'elle a été réussie vu le nombre de clients qui se sont attroupés autour de toi et de la scène. » me répondit-il, un air indifférent sur le visage. Un soupir s'échappa de mes lèvres, quelque peu déçue de ce manque de réaction. Mais bon, à quoi est-ce que je m'attendais, c'est de Diluc dont on parle. Et pourtant, c'est une des raisons pour lesquelles mon petit cœur a craqué pour lui.
- Toujours neutre à ce que je vois. Et qu'en est-il de ma première chanson ? A-t-elle fait frissonner ton cœur de passion ? » le questionnais-je à nouveau, cette fois un petit rictus espiègle au coin de la bouche. C'est à ce moment que je pus voir à nouveau le bout de ces oreilles ainsi que très légèrement ces pommettes prendre une teinte rosée. Mon sourire s'élargit, connaissant déjà la réponse à ma question, mais je voulais tout de même savoir quel commentaire désintéressé Diluc allait me fournir.
- Je ne vois pas pourquoi une chanson aurait un tel effet sur ma condition cardiaque [T/P]. Toute fois, il se fait tard, tu devrais rentrer pour te reposer. » son sérieux ne quittait jamais son visage.
- Roooohhh la la, toujours aussi pragmatique à ce que je vois. Tu pourrais au moins dire que tu as apprécié mon chant au lieu de faire des remarques désobligeantes. » Je soufflais avant de ne reprendre une gorgée de mon whisky, le terminant à la même occasion.
- Mais, est-ce que l'impassible barman de la taverne Angel's Share serait en train de s'inquiéter pour moi en me demandant de rentrer tôt ?
- Pas nécessairement. Je m'inquiète plus du fait de devoir faire encore des heures supplémentaires.
- Tu sais, ce n'est pas en restant aussi froid que tu vas réussir à gagner mon cœur. » répondis-je dramatiquement, exagérant la situation.
- Veux-tu donc bien arrêter ta comédie et rentrer à la maison s'il te plaît ? Nous sommes en public ici, dans la taverne. » dit-il doucement en jetant de furtifs regards à droite et à gauche pour savoir si un client n'écoutait pas silencieusement la conversation.
- Haha, aurais-tu peur que quelqu'un se méprenne sur notre relation ? Eh bien soit, je rentre. Je réchaufferais le lit en t'attendant, mon chou ~ »
     Je lui susurrais les derniers mots à son oreille avant de me retourner pour sortir de la taverne. Du coin de l'œil, je le vis rougir me faisant sourire, satisfaite. Seulement, je ne me doutais pas qu'une certaine personne avait tout vu, et entendu qui plus ait.
« ... »
Lendemain matin
     Les quelques rayons qui traversèrent le rideau de la chambre vinrent effleurer mon visage, me réveillant doucement. Tranquillement, j'ouvris les yeux, ne voulant pas me faire aveugler par la lumière matinale. J'étendis mon bras à côté de moi et tâtai le lit, mais rien. Je ne sentis que les résidus de chaleur de son corps, ainsi que les quelques effluves encore présentes de son odeur dans les draps. Je me redressais donc sur le lit avant d'en sortir.
     Alors que je me dirigeais vers la cuisine, une douce odeur de nourriture vint remplir mes narines, me donnant l'eau à la bouche. J'accélérais le pas afin de me retrouver au plus vite dans la cuisine. Lorsque j'arrivais dans la pièce, je fus accueilli par un Diluc au fourneau, concentré sur chaque mouvement qu'il faisait. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je m'avançais vers lui.
« Bonjour Diluc. Alors, bien dormi ? » lui dis-je en faisant un petit clin d'œil.
     Il releva la tête et posa son regard dans le mien, cette fois, je pouvais clairement voir la tendresse épouser les traits de son visage. Comme quoi, dans un endroit à l'abri des regards, même le plus désintéresser des barmans pouvait se révéler tendre et attentionné pour sa douce moitié. Il me sourit tendrement avant de déposer ce qu'il tenait dans les mains sur le comptoir pour se rapprocher de moi.
« Très bien, et toi mon amour ? »
     Il glissa ses bras le long de ma taille me rapprochant de lui. Un rire étouffé sortit de ma bouche tandis que je le laissai faire.
« Pourquoi ne m'as-tu pas réveillée lorsque tu es rentré ? Je n'ai même pas pu te faire un bisou pour te souhaiter bonne nuit.
- Tu dormais si paisiblement. Et puis, tu sais qu'il n'est pas conseiller de réveiller un ange qui dort, surtout lorsque ce dernier s'appelle [T/P]. Mais tu peux toujours me faire un bisou pour me souhaiter une bonne journée. »
     Il déposa un bref bisou sur mon front tout en resserrant l'étreinte. Cette fois, c'était à mon tour de rougir comme une tomate. Il a le don de, avec seulement quelques mots, me faire chavirer et perdre mes repères. J'enfouis mon visage dans son torse pour qu'il ne voit pas à quel point l'on pouvait me confondre avec sa chevelure d'un rouge flamboyant. Toutefois, il devait surement avoir remarqué ma timidité car, l'oreille contre son torse, j'entendis sa cage thoracique résonner dans un rire léger avant qu'il n'approche ses lèvres de mes oreilles pour venir me susurrer ces quelques mots
« Je t'aime, [T/P]. »
     Ce par quoi je répondis évidemment par l'affirmative, un sourire enfantin sur le visage. Puis, je relevais la tête et plongeai mon regard dans le sien. Nous nous observions tous les deux amoureusement, aucun ne voulant briser l'étreinte. Mes yeux descendirent légèrement pour venir se poser sur ses lèvres rosées et fines ; si délicieuses qu'on avait envie de croquer dedans. Je plaçais mes mains sur chacune de ses joues, et sur la pointe des pieds, posais mes lèvres contre les siennes. Il m'embrassa passionnément, comme s'il s'agissait encore de la première fois. Ses bras se refermèrent davantage autour de ma silhouette ne laissant ainsi quasiment plus d'espace entre nos deux corps, tandis que nos lèvres dansaient à l'unisson suivant un rythme rapide. Hâtivement, ce baiser devint passionnel et remplit d'amour pour l'autre, tout en y gardant une forme de tendresse. Je profitais de cette intimité pour venir glisser ma main le long de son dos avant d'atteindre son fessier. Ma main le caressa avant de le prendre fermement, nous collant davantage. Face à cette initiative, Diluc eut le souffle coupé, visiblement surpris de cette action. Je pus même voir un Diluc rougissant, presque timide et embarrassé. Mais je dois le reconnaitre, le fait de voir Diluc dans cet état pour la première fois le rendait si mignon et sexy à la fois, me fit encore une fois tomber sous son charme.
« Diluc, je te cherchais justement pour te dire que- »
     Soudain, on entendit une voix masculine résonner dans la pièce. Nous nous arrêtâmes net avant de tourner nos visages vers ladite voix. C'est alors qu'on vit un Kaeya, droit comme un i, trop choqué pour dire ou faire quoi que se soit. Un silence s'installa dans la cuisine, un long silence lourd de sens. Personne ne disait rien, mais tout le monde comprenait la situation.
« JE SAVAIS QUE TU AVAIS UNE AFFAIRE AVEC [T/P] ! »
     Kaeya s'écria soudainement, nous faisant sursauter Diluc et moi. Puis, un autre silence avant que je n'éclate de rire. Seulement, Diluc, lui, ne trouvait pas la situation aussi drôle que moi. En un clin d'œil il avait repris son air sérieux et sévère en regardant son frère. Pour ma part, je ne pouvais m'arrêter de rire, tellement le comique de situation était parfait. Visiblement, même son propre frère n'était pas au courant de tout.
« Tu n'as même pas prévenu ton frère ? Hahaha, tu es vraiment sans cœur mon cher Diluc. »
     Je me retournais dans la direction de Kaeya, un air perplexe au visage. J'essuyais quelques larmes de joie avant de reprendre.
« Nous sommes bien plus qu'une simple affaire, Kaeya. »
     En disant cela, je lui montrais mon annulaire gauche ainsi que celui de Diluc, mettant à présent bien en évidence nos alliances. La réaction de Kaeya fut des plus divertissante. Ce dernier s'attendait à tout sauf à cette fin, je pense. Rien qu'à voir sa tête de six pieds de long sous l'effet du choc, il s'agissait de la dernière possibilité. Diluc, lui, ne paraissait pas très ravi que son frère apprenne la nouvelle. Je souris et embrassais brièvement Diluc avant de sortir de la cuisine pour leur laisser un petit moment d'explication.
« Bon, je pense que des explications doivent se faire, en attendant, je vais aller prendre une douche. »
-T'as intérêt à m'expliquer pourquoi je n'étais pas au courant Diluc. »
     Alors que je m'éloignais tranquillement de la cuisine, je m'arrêtais avant d'intervenir une dernière fois.
« Ah, et pas de duel entre frères, hein, je compte sur toi mon chou ~ »
     Je quittais finalement la salle, un air satisfait sur le visage.
Ne pas prévenir son frère d'un tel changement, il faut le faire quand même.
⁎↣♡↢⁎
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vulnerablequeen · 2 months ago
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Nicolas
On est la semaine précédant celle de mes vingt ans. Je suis à l’Abreuvoir (je répète, j’avais 19 ans) avec une de mes amies. On s’apprête à aller au sous-sol.
C’est aussi l’époque où je me commandais des Sex on the Beach au bar, et que j’avais toujours un petit sourire de la part des barmans. Heille, je voulais pas goûter l’alcool dans mes drinks. J’ai le droit. À l’époque, l’Abreuvoir était mon temple et j’étais une adepte depuis plusieurs années. Il y avait tout là-bas; le premier étage style bar sportif pour rencontrer des jocks, la terrasse chauffée pour aller fumer et parler à des p’tits bums et le sous-sol avec les fameuses poles dance pour possiblement frencher. Tout y était. Pourquoi aller ailleurs? 
Mon amie et moi on danse au sous-sol. Le genre de place qui nous transporte directement dans un épisode de Fugueuse. La musique est bonne, c’est du Rihanna. Je sens quelqu’un me regarder au loin. Mon prochain french qui m’attend? Let’s go. Je le regarde en retour et je constate qu’il s’est approché. Wo, il me veut? Alright. 
Oh, ça sera pas mon prochain kiss celui-là. C’est un ami d’enfance, je le connais depuis que je suis née. Je suis contente de le voir par exemple, ça faisait un bail. On jase un peu avant qu’il m’introduise à son ami, Nicolas. Nicolas est cute. Il a un regard perçant, les cheveux en bataille et est vêtu de noir. Il a l’air mystérieux. J’ai peut-être envie de percer le mystère. 
Les gars sont dans le mood pour fêter. Mon amie et moi aussi. Un mariage heureux, rien de moins. 
On décide de migrer vers la terrasse pour que les gars puissent fumer et qu’on s’entende un peu plus parler. Nicolas s’assoit tout de suite à côté de moi, nos cuisses se touchent volontairement. Ok, il ne perd pas de temps, me dis-je. On discute tous les quatre ensemble, on a du fun. On parle du dernier album de Drake, que j’ai dévoré. Nicolas et moi avons la même chanson préférée.
Tu me parles d’un bel adon. 
Plus je regarde Nico, plus il me rappelle quelqu’un. J’ai l’impression que c’est un acteur, mais il vient de me dire qu’il travaille pour la compagnie de son père. Peut-être que j’ai bu trop de drinks sucrés portant un nom risible. 
Mon amie et moi, on veut rentrer chez nous, on est un peu fatiguées. Mon amie est déçue de ne pas avoir frenché, je la comprends. On quitte les gars et je les invite par la bande à ma fête la semaine prochaine au Salon Officiel. Nicolas accepte tout de suite. D’accord, on se verra la semaine prochaine mon beau. 
« Damn, y’est down le gars. As he should. » me dit mon amie. 
Je donne un bec sur la joue à mon amie. J’aime ça quand on me donne des compliments. 
On est le 24 avril 2015, c’est le jour officiel - comme le Salon - de mes 20 ans. Mes ami·es de l’université et moi on fait une tournée des bars sur St-Denis: on va au 3 Amigos manger, on va au St-Bock prendre des shots, on va caler des pichets au St-Sulpice et on fait un arrêt au Pub du Quartier Latin prendre je sais plus quoi. Ça commence à être flou. 
On termine notre course à la boisson au Salon Officiel. Je suis complètement ivre. J’ai pris des shooters, j’ai mélangé les drinks, mais j’ai un bon fond de bouffe donc tout est bien géré. On n’a 20 ans juste une fois, hein?
On arrive au Salon Officiel et je ne vois que Nicolas au fond de la salle, pas loin du DJ booth où Ajust s’en donne à cœur joie. Je vais le rejoindre. Nicolas, pas Ajust, même si son set est excellent. 
« T’es tout seul? », lui lance-je. Mon esprit logique n’était pas invité à ma fête.
« Ouais, j’étais dans le coin. Ton ami d’enfance va arriver plus tard. », me répond Nicolas. 
On se met tout de suite à danser ensemble. Mes ami·es et moi et Nicolas sommes au centre du petit Salon Officiel et on est là pour mettre de l’ambiance. La musique est bonne, il fait chaud, tout est réuni pour que…
Nicolas m’embrasse. Un bec un peu timide, mais sincère. Il ne perd pas de temps. Mes pauvres ami·es vont devoir m’endurer en train de frencher pour un ti-bout. Je suis aussi timide que Nico à ce moment précis, mais l’alcool me donne le kick pour l’embrasser en retour. Y’a beaucoup de va-et-vient dans toute l’histoire.  
On est collés, on se french à grands coups d’insouciance. On a clairement plus conscience que mes ami·es nous regardent se manger la face. Oh well. 20 ans, right? 
Mon ami d’enfance nous rejoint finalement. Il doit être 2h du matin. La soirée a passé cruellement vite. Je lui donne le plus gros câlin du monde. T’sais, un bon câlin de fille saoule qui vient d’entrer dans la vingtaine. Ça saute dans les bras du monde, ça. 
On danse tout le monde ensemble, mes ami·es de l’uni décident de rentrer au bercail. Iels ont été vaillant·es toute la soirée. Allez dormir, mes ami·es. Vous êtes exceptionnel·les. 
Mon ami d’enfance, Nicolas et moi, on n’a pas le goût de se coucher. Nico me dit qu’on peut aller chez son père, vu qu’il n’habite pas loin. Je ne suis pas en état de rencontrer le daron, pense-je. Il nous confirme que son père est à Los Angeles pour le travail. Bon, parfait dans ce cas. 
Que la fête continue. 
On arrive chez le père de Nicolas et… Wow. Quessé ça cette belle maison-là qui n’a l’air de rien à l’extérieur? Les plafonds sont tellement hauts, mais c’est pas écho. Bien pensé, architecturalement parlant. 
On continue à boire, d’autres amis de Nico sont venus nous rejoindre pour un after party qui bat visiblement son plein. C’est l’fun, la vingtaine. On continue à faire des shots, à boire des gin tonic plus gin que tonic. Je suis bien partie, mais étonnement encore présente mentalement. C’est ça l’important. 
On se réchauffe des pizz’ congelées qu’on mange comme de vrais affamé·es. Je suis comblée. C’est comme ça que je voulais fêter ce soir. 
Nicolas m’invite à rester dormir. Il doit être 4h du matin. Je ne me vois pas retourner chez ma mère à ce moment-là, je pense que je lui avais dit que je dormais chez une de mes amies de toute façon. Ton lit ce sera, mon Nico. 
On monte et… pardon? Les escaliers flottants, les immenses chambres, les rideaux qui se baissent automatiquement… Mais où suis-je? 
« Ton père il fait quoi? », demande-je à Nicolas, de la façon la plus indiscrète possible. 
« Il travaille beaucoup disons », me répond Nico. J’oublie cette réponse incomplète et me jette sur le lit. Nicolas me déshabille, c’est cute. Il m’embrasse partout sur le corps. Sur le ventre. Les seins. Les joues. La bouche. Mmm. 
« Nico… Je suis trop saoule. Je te vois flou. Hahahaha. », lui dis-je, en toute honnêteté, en simulant un fou rire afin d’étouffer le possible malaise. 
« Y’a tellement pas de stress Gen. Moi aussi je suis complètement drunk. Hahahaha. » me revient-il, en respectant mes limites et les siennes. 
Une belle fête, quoi. 
On s’endort en cuillère dans son lit terriblement confortable. 
Je me réveille le lendemain matin, ou le matin même, vers 10h. J’ai un mal de tête monstrueux. Je remarque un peu plus le paysage et je suis toujours aussi impressionnée. Nicolas a un énorme projecteur dans sa chambre. Ça doit valoir cher, me suis-je passée comme remarque. 
Moi, je vaux pas grand chose en ce moment. Nico est encore endormi, j’en profite pour me rendre au rez-de-chaussé me claquer un bon verre d’eau.
La place est encore plus belle que la veille. Immenses œuvres d’art qui maquillent les murs, une cour intérieure digne d’une revue d’architecture. Je me sers un verre d’eau dans la somptueuse cuisine et je me retourne vers… des prix? 
Voyons. C’est un Golden Globe, ça? Et ça, un Emmy? Quoi? 
Attends. 
Je m’approche d’une photo regroupant plusieurs personnes et je vois Matthew McConaughey. Puis…
Jean-Marc Vallée. 
Attends minute. Attends. Attends. Attends. 
Je suis chez… Jean-Marc Vallée. 
Je ne vois que des photos de lui par la suite, avec Nicolas et son grand frère. 
Je sais où j’ai vu Nicolas. Dans C.R.A.Z.Y. Le petit frère. 
Tout devient clair. Mon mal de tête est quasiment parti tellement que mon cerveau est illuminé en ce moment. 
Nicolas descend. Il me voit devant toutes les décorations d’or. Il comprend que je comprends. 
« Ton père c’est fucking Jean-Marc Vallée? » lui lance-je, visiblement sous le choc. 
« Le seul et l’unique! » me répond-t-il, avec un beau sourire. Il a l’air fier. Il a raison de l’être. 
Je suis terriblement hangover, mais fière aussi d’être chez un homme que j’admire. 
Je ne pouvais pas mieux commencer ma vingtaine.  *** Aujourd'hui, c'est émotif pour moi de partager cette nouvelle-là. Je n'ai pas revu Nicolas après ça, mais je suis chanceuse d'avoir eu connaissance de la fierté et de l'amour qu'un fils porte envers son père aussi prolifique. La mort de Jean-Marc Vallée est une tragédie, tant pour sa famille que pour le cinéma et la télévision. Je chéris réellement cette histoire, plus particulièrement depuis son décès. J'aurai toujours une pensée pour ses fils.
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ennio-mancini · 1 year ago
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You're a call to motion / Neva & Ennio
Où? : Dans un bar New Yorkais branché. Quand?: Aux alentours de minuit. Qui?: Neva et Ennio.
Il se rend bien compte qu’il doit avoir l’air particulièrement pathétique, recroquevillé sur le comptoir du bar, en train de se noyer dans un ultime verre de whisky pur qui lui fait passer le stade du gars un peu éméché au gars complètement torché. Ennio relève la tête pour zieuter les alentours. Des filles qui dansent, des gens qui discutent. Personne de plus seul que lui. L’enterrement de vie de jeune fille d’une dénommée Emily (ou un truc comme ça) bat son plein à côte. Il sait qu’elle s’appelle à peu près Emily puisqu’elle est venue le draguer deux heures plus tôt quand il n’était pas encore au stade ridicule de son alcoolémie. Pas encore mariée qu’Emily-truc-chouette se lâche sur le premier venu ! Et bien… Il a répondu à ses avances par un « Tu verras, ça coûte cher le divorce, tiens la carte de mon avocat », qui comme tout le monde aurait pu s’y attendre, n’a pas vraiment plu à Emitruc qui a rapidement déserté. Le business man déprimé s’est de nouveau retrouvé seul avec ses propres pensées, avec seulement son téléphone pour lui tenir compagnie. iPhone tout neuf qu’il sort de nouveau de sa poche pour reproduire encore une fois la boucle de cette soirée : pour ouvrir Instagram, se rendre sur le profil de Mia, et regarder encore un coup cette photo pour se rappeler que tout est bien réel. Mia, ses beaux cheveux blonds sublimes qui recouvrent sa poitrine voluptueuse, et la main de cet enculé de Roman sur son ventre bombé. Sa femme allait avoir un bébé… Oui, son ex-femme... certes. Il avait un peu de mal à se faire au divorce. En plus, évidemment Mia avait tout fait pour rendre ça instagramable et esthétique. Le couple parfait qui fait rêver. Ennio en est littéralement dégoûté. Ou est-ce que c’est l’alcool ? Non… Peut-être plutôt qu’il n’a pas assez bu pour que ça ne lui fasse plus rien. « Je peux avoir la même chose, s’il-vous-plaît ? » Il demande au barman, alors qu’il laisse retomber son téléphone sur le plan de travail après l’avoir éteint pour de bon pour ne plus être tenté de jeter un nouveau coup d’oeil. Ce qui est complètement con puisqu’il va avoir besoin de le rallumer après son verre pour appeler son chauffeur. « Je suis complètement con, je vais avoir besoin de le rallumer après mon verre pour appeler mon chauffeur. » … Oui. Il l’a dit à voix haute. A la jolie brune juste à côté qui a l’air bien plus fraîche que lui. C’est bien, comme s’il n’avait pas suffisamment l’air d’un crétin. Il replace sa cravate qui est de toute façon de travers pour occuper sa gêne. « Je me parle. » Il précise, comme si c’était nécessaire.
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alexar60 · 1 year ago
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Whisky
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Whisky ou le soleil me fuit. Voilà un thème qui ne m’inspire pas vraiment. Le soleil ? Mon premier poème s’appelait « Ode au soleil ». J’avais 10 ans et je ne m’en souviens plus. Et l’autre, autant dire que le whisky me fuit. Je n’en bois pas. Je ne déteste pas ça mais je n’en bois pas. Je devrais peut-être boire un verre de whisky, goûter, apprécier son arôme. Seulement, les whiskies qu’on trouve dans le commerce ne sont pas les meilleurs. Je laisse plutôt cela à un pote qui boit du ‘Aberlour’, un autre boit du Chivas. Eux pourraient mieux parler du Whisky.
En cherchant l’inspiration parmi les photos archivées dans mon ordinateur, j’ai imaginé des histoires qui, je le reconnais ne m’enchantent guerre. La première concernait un enfant de trois ou quatre ans appelant les secours parce que sa mère était dans comas, après avoir enfilé une bouteille de whisky. Je partais sur la discussion entre l’opérateur et l’enfant qui ne connaissait même pas son adresse. Seulement, il existe tellement d’histoires de ce genre dans la réalité, que je me sens mal à l’aise à la développer.
La seconde qui m’est venue était une prostituée alcoolique, qui après avoir bu un verre de whisky avec son prochain client, partait faire sa petite affaire. Aussi, le client en question était un célèbre tueur en série appelé Jack l’éventreur. Histoire écrite, réécrite, et corrigée depuis.
La troisième histoire aurait été au sujet du viol d’une amérindienne par des cowboys, après l’avoir saoulée au whisky. Rien de bien réjouissant et on trouve beaucoup d’histoires de ce genre dans les westerns. Je peux vraiment dire que le whisky n’est pas ma tasse de thé.
Je me suis posé cette question : quelle image j’avais du whisky ? Elle m’est venue avec évidence : Machisme, puissance et sexe. C’est marrant d’avoir cette opinion sur le whisky. Je parle du whisky bu sec ou avec des glaçons. Pas celui mélangé avec du soda. Après, j’ai repensé aux blagues dans lesquels on parle de whisky.
La première trouvée dans le film « la cité de la peur ».
Gérard Darmon: Vous voulez un whisky ?
Chantal Lauby : Juste un doigt.
Gérard Darmon : Vous ne voulez pas un whisky d’abord ?
La seconde de Coluche :
Un commandant de bord s’adresse aux passagers après le décollage de l’avion. Il n’éteint pas les hauts parleurs et continue de parler à son second : « Je bois un whisky et après je me tape l’hôtesse de l’air ». En entendant cela, l’hôtesse rougit et se précipite vers le cockpit. Soudain un passager l’arrête : « Ne soyez pas pressée, il a dit qu’il boit un whisky d’abord ! ».
Enfin, la troisième, ma préférée.
Un type entre dans un bar. « Sept whiskys, je fête ma première fellation ! ». Le barman le sert en disant : « Ah si c’est votre première, permettez-moi de vous offrir le huitième ». Le gars répond : « Merci, mais sept devraient suffire pour m’enlever le gout. »
Voilà, ça c’est fait. Je vous souhaite une bonne nuit.
PS: Notez qu'au pluriel, on peut écrire: Whiskies et whiskys.
Alex@r60 – août 2023
Photo : Gérard Darmon et Chantal Lauby dans la cité de la peur.
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0nalia · 1 year ago
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L’île de Neige. (Eustass x Lecteur) 🍋
PT.5 - { Chapitre 04 }
{ PDV Kidd }
la lumière qui se refléter sur la neige posé sur les branche de sapin illuminé la chambre. une envie de mettre la couverture sur mon visage pour continuer le sommeil si confortable était présent, voulant tiré la couverture je baisse la tête et voie Reader contre mon torse endormie, elle dégager toujours autant de chaleur émanant de son corp. soupirant un moment légèrement renfrogner de ne plus pouvoir fermer l'œil a la vue de son corp dans se si petit bout de tissue léger.
je remémore la journée et nuit d'hier. un peut de blush sur mes oreille, "depuis quand je suis autant attiré par elle..?" cette question me venez de plus en plus souvent au court de ces dernier mois. c'est vrais, dès que j'avais posé les yeux sur elle... je sert le point mais fini par la blottir plus contre moi posant un baiser sur sont front. elle gémie a mon acte se qui me fit la relâcher pour la regardé ouvrir les yeux.
{ PDV Reader }
je sentie mon corp blottie contre quelque chose de robuste, me souvenant petit a petit de la journée d'hier je sourie doucement, avant de me sentir un peu plus blottie je gémie un peu avant de lever la tête, je le voie pour la première fois de si près, avec la lumière éclatante venant des fenêtres. "Reader : Bonjour, Capitaine~ dit-je la voie du matin un peu cassé par temps de son de la veille.
"Kidd : Bonjour Reader. avec sa voie du matin, qui me fit frémir, elle était plus roque que d'habitude.
"Reader : tu est réveiller depuis longtemps ? au son de sa voix je pouvez deviner que non, mais posé cette question était purement instinctive. je rougis un peu.
"Kidd : Non. je viens de me réveiller. 
son estomac fit un gargouillement étonnant me faisant écarquillé les yeux puis rire, je le sent s'agité dans le lit avant de vouloir sortir du lit, il avait a peine lever la couverture qu'il replongé directement sous la couverture et marmonnant de choses incohérente.
"Reader : Kidd ? je demande perplexe et étonné.
"Kidd : il fait putain de froid ! pourquoi il faut qu'il fasse froid en dehors du lit et chaud dans la couette ! il ralle a lui-même se qui me fit rire sur le moment.
"Reader : je viens glisser ma mains et me faufiler sur lui étant toute blottie contre son torse, tu veux que j'aille te chercher a manger ? killer a dit que toute sorti était impossible aujourd'hui a cause de la tempête qui arrive.
"Kidd : il grommelle et fini par acquiescer de la tête, pas le choix de rester ici et de se reposé.
je viens lui picoré le bout de ces lèvre se qui le fit sourire légèrement avant de venir ma tâtonné les fesses.
"Reader : Kidd ! il viens approcher mon visage du sien avec sa mains
"Kidd : si tu ne me donne rien a manger je vais devoir en trouvé moi-même, dit-il taquin.
je me lève d'un coup a califourchon sur lui étant toute rougissante, je saute en dehors du lit courant mettre son mentaux sur moi, en l'entendant râler de l'air froid que j'ai laisser passé sous la couette en quittant le lit.
"Reader : je me retourne vers lui et lui fait un clin d'œil malicieux, sa c'est pour ta taquinerie Capitaine ~
je ferme la porte derrière moi avant d'entendre l'impacte de l'oreiller sur la porte, je me mis a rire fortement marchant dans le couloir.
Marchant tranquillement dans le couloir la porte se trouvant non loin de la notre s'ouvrir, je sursaute voyant une masse énorme de doudoune debout, regardant au niveau des yeux je pouvez y voir des yeux persan et d'un bleu éclatant.
"Reader : Heu... Bonjour ?
je pouvez sentir sont regard le long de mon corp, de la tête au pied, puis rester fixer sur le manteau sur les épaule.
. . . Silence . . .
je me balance un peu sur mes pied et repris mon chemin des yeux écarquiller de se que je viens de voir. "mais c'était quoi sa !?" je me dépêche de descendre les escaliers et de passé la porte du bar pour voir le barman nettoyer les tables.
"Barman : Oh bonjour, je ne m'attendez pas a voir quelqu'un a cette heure-ci, dit-il étonné.
"Reader : Ah oui ? je penche la tète, tenant le mentaux contre moi fermer. quel heure est-il ?
"Barman : il est 6H20 actuellement, dit-il en regardant sa montre a gousset. 
"Reader : Oh.. je suppose qu'il n'est pas l'heure pour commandé a manger ? je baisse mes oreilles voyant le vielle homme vaciller un peu
"Barman : N-Non ! c'est bon, je peu préparé quelque chose, en général j'ouvre la cuisine a 7h30, mais je peu faire une exception. dit-il en souriant et venant vers moi.
"Reader : je lui sourie, au ces gentille merci beaucoup, c'est possible d'avoir de la nourriture dans la chambre ?
"Barman : Bien sûr, il sort son petit carnet et son crayons se préparant déjà a prendre la commande. alors.. que veux donc la charmante petite louve ? dit-il gentiment, se qui me fit rire et sourire.
"Reader : et bien j'aimerais beaucoup de choses qui pourrais nourrir un capitaine affamé ~
"Barman : il vacille de nouveau a mes mots, riant nerveusement, et bien il y a pas de problème, je vais commencé a préparé tout sa et l'apporter dans vôtre chambre, dit-il en souriant.
je sourie me retournant avant de partir en trombe vers les couloirs disant merci au passage au vielle homme, remontant les escalier je croise l'énorme masse de doudoune.. il bloque les escalier...
. . . Silence . . .
"Reader : heu.. on se connait ? je penche la tête et examine un peu plus ces yeux.
{ FLASH BACK }
" . . . : Allez saute plus haut ! et envoie tes bras vers l'arrière pour surprendre ton adversaire ! crie t-il en esquivant mes coup de dague en bois.
"Reader : tu dit sa comme si c'était la chose la plus facile a faire !! je crie de rage partant pour esquiver son coup mais fini par être plaquer contre le murs de la salle d'entraînement du navire.
". . . : il suffis juste que tu y mette un peu plus du tien et tu pourra y arriver, n'oublie pas que tu peu être tué a tout moment dans le nouveau monde. dit-il calmement.
"Reader : je te signal que je suis née dans le nouveau monde, au cas ou que tu l'aurais.. OUBLIER !! je le pousse hors de moi d'un coup de pied a son torse se qui le jeta au sol.
je profite de cette opportunité pour bondir sur lui, finissant avec mes lame en bois sous sa gorge à califourchon sur sont ventre, respirant essoufflait près de son masque. le reflet du ciel bleu, et le couché de soleil clair traversant la fenêtre, je pouvais voir a travers les troue de celui-ci le reflet de ces yeux, il était... Magnifique. un ciel emprisonné dans une paire d'yeux, mélangeant les couleur du ciel et de la mer. je me senti sortir de mes pensé par une forte prise sur mes poignée, me retournant sur le dos, il inversa les rôle.
"Reader : AH c'est pas vrais !!!! TU MA PRISE EN TRAITRE !! K-I-L-L-E-R !!!! j'hurle de frustration se qui le fit rire de plus belle.
"Killer : Je voie pas de quoi tu parle. si tu rêvassé comme sa en plein combat tu ne durera pas plus de 2mn sur un champ de bataille.
il me relâché et m'aide a me relever, je lui fait la moue les oreille et la queue baisser.
"Killer : . . . ? quoi ?
"Reader : je redresse un peu mes oreilles et ma queue et le fixe calmement. Killer ? je peu voir ton visage ? je penche la tête.
"Killer : . . . Non. il avait répondu après un long moment qui semblait être un moment de réflexion..
"Reader : Eeeeeh !!!??? Allez !!! s'teuplaiiiiiiis !!!!
"Killer : Non. il répondis directement cette fois croisant les bras comme a son habitude quand il était ferme.
"Reader : Pas cool ! je fait la moue, allez juste un petit coup d'oeil !!!! je lui fit la moue de petit chiot.
"Killer : . . . après un moment de silence il soupire, si tu réussi un jour a me battre tu pourra le voir ? cela ressemblait a la fois une condition et une question.
"Reader : je baisse la tête un moment avant de la relever avec des étoile dans les yeux remplis de détermination, D'ACCORD !! je te prend au mots alors !!!
Killer posant les arme en bois a leur place, il se mis en chemin de la sorti de la salle d'entrainement, je fit de même mais restant pour nettoyer un peu le sol qui était un peu humide par les goutte de transpiration, au bout de 2h d'entrainement il était dure de ne pas transpiré, surtout avec un partenaire d'entrainement comme Killer.
"Reader : avant qu'il ne referme la porte je ne pouvais pas m'empêcher de lui faire la remarque. en tout cas tu as déjà de beau yeux Killer~
"Killer : Il tressaille a mon commentaire avant de se rattraper sur la poigner de porte. P-Pardon ? dit-il se retournant vers moi
"Reader : je sourie grandement et joyeusement, Et bien oui~ je les es entrevue dans les troue de ton masque tout à l'heure ! je fait la moue, c'est pour sa que je "rêvasser" !!!
"Killer : . . . il se mis a rire, Je voie.. et bien Merci.. dit-il avant de repartir.
{ FIN DU FLASH BACK }
je le pointe du doigt faisant un pas en arrière avant de commencé à m'écrier, KIL- !!! il fini par dévaler les escaliers m'emportant avec lui avant de finir en bas des marche avec un énorme vacarme.
"Reader : Aïe..Aïe... je me relève difficilement assis sur cette énorme boule de doudoune frottant ma tête. Killer... je soupire... Pourquoi tu porte autant de vertement ??? je soupire.
"Killer : . . . comme kidd, je ne supporte pas le froid. . . il détourne les yeux embarrasser.
"Reader : . . . au niveau ou tu en n'et se n'est plus du "supporter" c'est plutôt "craindre" dit-je d'un aire narquois croisant les bras sur ma poitrine. 
j'ai oublier que durant la roulade dans les marche le mentaux qui était sur mes épaule n'était plus là. s'entend directement le contacte de mes mains sur mes bras je m'en rendis compte avant de baisser la tête et me rappeler quel genre de tenue je porté. j'explose d'un rouge directement, entendant des pas lourd dans les escalier me retournant voyant Kidd en haut les marche analysant la situation.. Oh non.. nous parlons avant tout de Eustass Cap'tain Kidd.
{ PDV KIDD }
il c'est écouler un bon moment déjà depuis que Reader est parti chercher a manger. m'assoupissant de nouveau dans la chaleur du lit, quelques instant passe avant qu'un vacarme me fit sursauter. "c'était quoi sa ?" je grogne et sort quand même du lit, l'air froid qui frappe ma peau me fait grimacer, mais je doit allez voir si Reader n'as pas de problème.
m'habillant en vitesse je sort de la chambre me dirigeant d'où venait le bruit, je me stop en haut des marche court-circuitant un neurone ou deux voyant Reader, en petite tenue sans mon mentaux assise sur... une boule de doudoune...???? je cligne plusieurs fois des yeux, avant de revenir a la réalité.
"Reader : Capitaine ! s'écrias t-elle cherchant déjà mon mentaux en tournant la tête de droite a gauche.
"Kidd : je descend les escalier et viens l'attraper par la taille, la tirant hors de se "truc" ? je grommelle. tu en met du temps pour commandé a manger.
"Reader : elle rie nerveusement, Oui... il bloquer les escalier, elle pointe du doigt l'énorme boule au sol.
"Kidd : bordel mais c'est quoi sa ? j'interroge perplexe.
"Reader : Beh... C'est Kil-
"Killer : C'est moi Kidd-o. . .
Un moment de silence se fit avant que je finisse par éclater de rire avec Reader contre moi qui avait sursauté fouettant sa tête vers moi les yeux écarquillé.
"Kidd : MERDE !! MEC REGARDE TOI !!! on dirait un énorme tas de linge perdu !!
"Killer : Ca va !! on as pas tous la chance d'avoir un chauffage a disposition dans cette auberge ! dit-il en râlant, essayant de se relevé avec difficulté.
"Kidd : je viens donné un coup de pied a la grosse boule de doudoune qui fini par rouler un peu plus loin, je pouvez pas retenir mon rire a cette situation.
{ PDV Reader }
je profite que Kidd est pousser Killer pour ramasser sont mentaux qui était juste là et de le remettre sur mes épaules. je me dirige vers Killer l'aidant a se remettre droit entendant Kidd rire de plus belle jusqu'as s'accroupir tenant sont ventre. je me retiens de rire aussi maintenant que je repense a se qui c'est passé a l'instant. mais quand j'ai croisé le regard de Killer en colère je ferme mon sourire une goute de sueur au coin de ma tempe.
"Reader : S-Sa va ..?
"Killer : je vais retiré ces doudoune et lui botté le cul moi-même.. dit-il en gigotant.
je pince mes lèvre m'éloignant un peu passant a coté de Kidd qui ouvrit les yeux me regarde passer d'un air effrayer accélérant le pas, perplexe il a regardé Killer qui avait plus que la moitié de ces doudoune sur lui fixant d'un aura de colère Kidd, qui lui fini par tressaillir.
je me retourne en vitesse sur la Troisième marche tapant des mains deux fois en fermant les yeux d'un air de prière japonaise, se qui attira de nouveau l'attention de Kidd sur moi.
"Reader : Kami-sama... protégé cette auberge de tout grabuge... et ... évité que killer ne décide de castré notre capitaine adoré. je retape de nouveau deux fois dans mes mains et fit demi-tour en sprintant en direction de la chambre en criant, "le repas arrivera dans la chambre d'ici une bonne heure !!!"
j'entendez Kidd hurler, suivis par les fracas de ces deux là se battre en bas des marche, fermant la porte de la chambre et me remettant dans le lit au chaud j'attendez le repas sagement, écoutant maintenant un silence lourd...
{ PDV KIDD }
avant même de quitté du regard Reader je l'entend taper des mains, la fixant étonné et écoutant ces mots je me suis instinctivement relevé et positionné sur mes gardes, recevant un coup de pied violant de la part de Killer.
"Kidd : Enfoiré !! je me fait éjecter a l'autre bout du couloir me rattrapant contre un murs.
"Killer : tu l'as cherché Kidd-o ! cette auberge tombe en ruine, les canalisation sont complètement gelée !
"Kidd : et c'est ma faute peut-être ?! j'hurle incrédule.
"Killer : . . . quoi qu'il en soit pousse toi j'ai faim. il me pousse sur le coté pour passé du coté du bar.
Voulant ouvrir la porte qui mène a l'extérieur il l'as claqua aussitôt, se qui me fit le fixer en silence les yeux grand ouvert. il se retourne vers moi passant de nouveau a coté en direction des doudounes.
"Kidd : Ha..-
"Killer : Tu rie, t'est mort. dit-il au plus sérieux et sombre qu'il pouvez.
je déglutie ravalant mon rire presque en m'étouffant avec, avec une goutte de sueur je le regarde re mettre quelque doudoune avant d'ouvrir la porte et de taper son plus beau sprint en direction du bar.
Killer hors de vue maintenant je me mis a rire de nouveau faisant presque trembler les murs de l'auberge, prenant mon temps pour me calmer j'ai eu un frisson parcourir tout mon corp, me rappelant que je n'avais pas mon mentaux avec moi, je retourne donc dans la chambre, montant les marche je croise certain membre de l'équipage qui c'était réveiller avec tout le grabuge passé. mis à part me saluer comme à leur habitude il profité tous de leur journée de repos a resté dans leur couchette au chaud, ou bien a allez boire au bar et manger.
refermant la porte derrière moi, je pouvait déjà voir Reader au lit sous la couette, mon premier reflexe était de regardé par la fenêtre, voyant les nuage de tempête approché a toute vitesse. marmonnant de colère je viens m'allonger près de Reader la prenant dans mes bras.
"Reader : tu est toujours vivant ? dit-elle ironiquement avant que je viennent la serrer un peu plus fort.
"Kidd : Tu veux peut-être que je te montre a quel point je le suis ? je ricane taquin.
"Reader : elle gigotte dans mes bras secouant la tête, Non.. je veux juste dormir encore un peu avant que le repas n'arrive.
"Kidd : Bon plan.
{ PDV Narrateur }
après une sieste de 15mn, quelqu'un se mis a frapper a la porte, Kidd refrogner se lève et ouvre la porte, le pauvre petit barman sursaute de peur tenant le plateau de nourriture dans ces mains. prenant le plateau, il lui claqua la porte au nez et pose le plateau sur le lit avant de venir secouer Reader.
il manger le repas ensemble emmitoufler dans la couverture se qui rappela un certain souvenir de Reader, la première fois que cela arriva avec son capitaine. développant une attache plus qu'amicale, elle se rend bien compte qu'il ne s'agis pas que de simple action humaine, derrière toute cette attention et agissement se cache bien des sentiment qui se développe et ceux depuis quelque temps déjà.
la journée était longue, Kidd était devenue ronchon quand Reader lui avait dit qu'elle allez passé un peu de temps avec les autres fille de l'équipage. jouer au carte et discuter entre elle. il a essayer de la gardé contre lui mais fini par céder à son regard innocent de chiot.
Résultat de cette journée ? gagnée un capitaine caché sous une pile de couverture, s'amusant a commandé a boire et a manger dans la chambre.
{ Message de l'écrivaine }
Heio !! sa fait longtemps je sais !! PARDON !! mais j'essais de trouvé l'inspiration, mon cerveau et remplis d'idée et de rêve, mais quand je me trouve face à face avec la feuille blanche.. Le néant apparait !!
comme c'est effrayant... je ne veux pas gardé pour moi toute cette imagination, je veux la partager avec vous tous.
merci de suivre cette histoire encore aujourd'hui... n'hésité pas a me dire se que vous en pensé.
j'avais envie de faire un chapitre plutôt calme et drôle. du moins selon mon point de vue cela là était !!
à la prochaine fois !!
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bleucommemonstre · 12 days ago
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1 janvier 2025
1/2
Pour le nouvel an, j’ai d’abord été à une soirée chez E. Tout le monde était en costume, petits fours, etc. J’avais un peu l’impression de dénoter car ma soirée qui suivait consistait à se bourrer la gueule avec les copains, mais au moins j’étais bien habillée. Tout le monde m’a fait des compliments et, même si je suis arrivée les mains vides, j’ai eu le droit à des bières, etc. Très rapidement, les gens présents que je ne connaissais pas m’ont vite dit que j’étais cool et j’ai été réinvité à deux autres soirées dans la semaine. Ensuite, j’ai rejoint mon autre groupe de copains au Georges. Dès que je suis arrivée au bar, le barman m’a dit « une pinte de Weston, je suppose », en rigolant, et là j’ai réalisé que ça faisait peut-être trop longtemps que j’allais là-bas.
J’étais vraiment contente de finir l’année avec ce groupe, même s’il n’était pas au complet vu que certains sont restés chez leurs familles et que j’ai dû dire non à d’autres groupes de copains car il y avait R et K, deux de mes meilleures rencontres de cette année. Un peu avant 00h, j’ai vu que Cédric était tout seul chez lui alors je lui ai proposé de passer et, à ma grande surprise, il a accepté. Il avait l’air très touché par l’attention, ça m’a fait plaisir. Le décompte s’est fait au bar, je n’ai suivi aucune tradition mais l’essentiel c’était que j’étais entourée de gens que j’aime et qui m’aiment, personne n’était sur son téléphone et j’étais dans mon bar préféré. Même pas deux minutes après, le groupe a voulu décaler dans un appartement, mais j’ai choisi de rester boire quelques coups avec C et les copains que je venais de me faire. On a beaucoup discuté et rigolé, surtout avec Nael, un type de Paris qui est acteur. On s’est follow puis plus tard, quand j’étais au bar, il m’a fait arriver un shooter en me faisant un clin d’œil, comme dans les films, c’était un peu drôle. Par contre, je n’avais pas du tout compris qu’il me draguait avant ça. Bref, la soirée continue, je papillonne par-ci par-là jusqu’à ce que le bar ferme. Ça m’a touchée, plein de gens m’ont dit qu’ils étaient super contents de m’avoir rencontrée et que j’étais quelqu’un qu’ils n’allaient pas oublier, que j’avais participé à la bonne ambiance de la soirée. Je me rends compte que je suis vraiment devenue hyper sociable, je suis contente. D’ailleurs, j’ai fait plein de photos avec des inconnus et mon truc à bulles a tourné un peu dans tout le bar.
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lesnotions · 3 months ago
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Le guide pour sortir seul et aller en soirée
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Sortir seul en soirée, en voilà une drôle d’idée. De celle qui respire l’ennui et la misère sociale à sa simple évocation, d’autant plus que les bars et boîtes de nuit sont des plus cruels pour ceux qui osent s’aventurer en marge du groupe.
Et pourtant, tant par nécessité (parce que vous venez de déménager, parce que vous êtes de passage en ville) que par défi (vous êtes avides de nouvelles rencontres, de nouvelles expériences), vous avez tout à gagner de vous s’affranchir de ce soupçon de bizarrerie et des affres du quand dira-t-on.
Sortir seul, c’est en effet casser la routine de l’entre soi (votre éternelle bande de potes, le sempiternel verre entre collègues). C’est oser la spontanéité (vous assumez vos envies, vous parlez à qui vous voulez, rentrez avec qui vous voulez, quand vous voulez). C’est être maître de son emploi du temps (vous n’êtes pas à la merci des disponibilités des autres). Sortir seul, c’est l’ultime corde à l’arc des ceintures noires de l’intelligence sociale.
Prêt pour le grand saut ? Voici quelques tuyaux pour rejoindre ce club d’esthètes.
1. Bossez votre légende
Lorsque vous démarrez une conversation avec un(e) inconnu(e) seul en soirée, vient fatalement ce moment où il vous est demandé « Avec qui es-tu venu ? »/« Qu’est-ce que tu fais tout seul ici ? ».
Plutôt que de bégayer, car pris au dépourvu, et de créer du malaise, deux options s’offrent à vous : soit vous la jouez carte sur table, soit vous embellissez habilement les choses.
Si vous êtes nouveau en ville, c’est facile à assumer, et vous pouvez même marquer des points en mettant en valeur votre témérité. Si vous avez vu de la lumière vous êtes rentré, c’est plus compliqué, les femmes ayant besoin (à juste titre) de se sentir rassurer face à un potentiel prédateur isolé.
Mieux vaut ici vous fendre d’un léger mensonge pour faire passer la pilule (le premier et le dernier de votre vie, croix-de-bois-croix-de-fer), du style : « Je buvais un verre avec des potes, ils sont tous rentrés chez eux. Moi j’avais encore la pêche, je me suis dit pourquoi pas ? ».
Rien de bien fou, nul besoin d’en faire des caisses (n’en reparler plus ensuite), mais cela permet de booster un chouia votre preuve sociale.
2. Échauffez-vous
Ce qu’il y a de plus difficile quand vous sortez seul, c’est de sociabiliser immédiatement (lire ci-dessous). Ce peut être d’autant plus difficile, qu’une fois sur les lieux, une forme d’anxiété sociale peut s’emparer de vous.
Pour y remédier, commencez votre soirée, non pas dès que vous mettez le pied dans ladite soirée, mais dès que vous mettez le pied en dehors de chez vous.
Parlez avec la voisine que vous croisez, parlez au type assis à côté de vous dans le métro, parlez aux gens qui font la queue à l’entrée de la boite... Bref, parler le plus possible, au plus grand nombre de personnes possible.
Pas besoin de vous lancer de longues conversations. L’objectif est, à la manière d’un sportif, de vous mettre en jambes.
3. Choisissez le bon endroit
Aux bars où les gens sont assis, préférez les bars où les gens sont debout. Plus propice aux discussions impromptues, la position permet, d’une part, aux groupes de se mélanger plus facilement, et de l’autre, de vous déplacer avec plus de fluidité dans le lieu. A contrario, sitôt assis à une table, excepté parler à vos voisins, les possibilités sont limitées.
Préférez également un établissement où le bar est spacieux. Lieu de passage obligé de tous les clients, il sera votre QG pour votre début de soirée – là où vous pourrez voir et être vue, là où vous pourrez avoir vos premiers échanges (avec le barman, avec les clients qui y sont assis...).
Préférez enfin un lieu bondé à un lieu plus intimiste. La règle n’est pas absolue, mais disons que plus c’est grand, plus vous serez anonyme et plus il vous est facile de vous fondre dans la foule.
4. Interagissez au plus vite
LA règle quand on se pointe seul en soirée. Plus vous passez du temps isolé, plus votre énergie et le degré d’attraction qui va avec piquent du nez.
Le temps n’est pas votre ami. Pas question donc de d’abord commander un verre ou d’aller aux toilettes. Faite rugir sans sommation l’animal social qui sommeille en vous (en théorie, vous êtes prêt cf. point n°2).
Parlez à TOUT LE MONDE. Inutile d’attendre le bon moment/la bonne personne. Hommes, femmes, beaux, moins beaux... adressez-leur la parole sans arrière-pensée, votre seul objectif à ce stade est de briser la glace.
Gros point bonus pour le personnel (videur, serveurs, vestiaires...), notamment en début de soirée où ils sont toujours plus disponibles et ouverts à l’échange, d’autant plus si vous retournez un jour sur place.
[Coin fumeur et mecs seuls sont aussi des valeurs sûres.]
Pour ce faire, rien de tel que le combo magique : question, même banale (« C’est quoi le programme ce soir ? », « Tu bois quoi, je n’arrive pas à me décider ? », « Très cool ta veste, je peux te demander où tu l’as achetée ? », etc.), suivie des toujours très efficaces « Ah ouais ? » et « C’est-à-dire ? » pour faire durer l’échange – les gens n’aiment rien tant que parler d’eux et vous trouveront d’autant plus intéressant que vous vous intéressez à eux.
[Attention à ne pas rester collé comme à une bouée de sauvetage à LA personne à qui vous avez adressé la parole en premier.]
5. Changez de lieu quand votre niveau d’énergie baisse
Et s’il ne se passe rien ? Et si malgré vos efforts, vous sentez que vous commencez à ressembler à un piquet planté au milieu d’un champ ? Ou pire, à ces types zarbis accoudés au bar qui matent du coin de leur œil torve le reste du monde s’amuser sans eux ?
Pas de panique, vous ne devez demander à l’autorisation à personne pour mettre les voiles. Dès lors, le jeu repart à zéro.
Et vous pouvez remettre une pièce dans la machine autant de fois que vous le voulez.
Sortir seul ce n’est pas faire mouche à tous les coups. C’est à chaque fois un challenge. Mais lorsque ça marche (vous ne repartez pas seul, vous présentez des gens qui ne se connaissent pas...), cela vous procure ce sentiment inégalé d’avoir franchi un palier dans cette quête de la meilleure version de vous-même.
Aurélien, qui comme Épicure, pense que « quand on se suffit à soi-même, on n'arrive à posséder ce bien inestimable qu'est la liberté ». Octobre 2024.
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lignes2frappe · 4 months ago
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LE TRÈS CULTE ABÉCÉDAIRE DE « PULP FICTION »
Sorti le 26 octobre 1994 dans les salles françaises, le plus culte des films cultes fête ses 30 ans...
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A comme Amsterdam
De retour aux États-Unis depuis quelques jours à peine au début de Pulp Fiction, Vincent Vega vient de passer trois ans dans la capitale hollandaise. Pourquoi est-il parti là-bas ? Et qu’a-t-il pu bien faire de ses journées à part s’enfiler des Royal Cheese et picoler de la bière au cinéma ?
A priori rien bien légal si l’on en croit Paul, le barman du club de striptease tenu par Marsellus Wallace, qui le présente comme leur « agent » sur place – « Yo! Vincent Vega's in the house! Our man in Amsterdam! ».
Une piste confirmée par Quentin Tarantino quelques années plus tard.
Envisageant un temps de se lancer dans un préquel de Reservoir Dogs et Pulp Fiction intitulé The Vegas Brothers/Double V Vega dans lequel Monsieur Blonde/Victor Vega aurait fait équipe avec Vincent (ils sont frères), une fois le projet abandonné, le réalisateur a révélé que dans le script ce dernier s’occupait de faire tourner un bar pour le compte de son patron
Spoiler : pas dit qu'il n’y ait pas eu du grabuge (lire plus bas).
B comme Big Kahuna Burger
La chaîne de restauration rapide hawaïenne immortalisée dans cette scène où Jules tape avec enthousiasme un croc dans le burger du pauvre Brett, avant de lui cribler le corps de balles.
Tout comme les cigarettes Red Apple, la compagnie aérienne Cabo Air, les donuts Teriyaki, la tequila Benny’s World ou la pâtée pour chiens Wolf’s Tooth, il s’agit d’une marque fictive née de l’imagination de Quentin Tarantino.
Une recette dudit burger existe cependant bel et bien et serait à base d’ananas. Est-ce pire péché que de tremper ses frites dans la mayonnaise ? Le débat est ouvert.
C comme Chronologie
Et si Pulp Fiction se regardait de manière linéaire ?
Pour qui voudrait remonter le film à l’endroit, tout commence avec le monologue du capitaine Koons sur la montre en or. L’action à proprement parlé se déroule une trentaine d’années plus tard et s’étale sur 48 heures.
Jules et Vincent s’en vont dézinguer une bande d’étudiants. Jules voit la lumière. Vincent shoote Marvin. Wolf arrive à la rescousse. Yolanda et Ringo décident de braquer le restaurant dans lequel Jules et Vinent prennent leur petit déjeuner en shorts et t-shirts. Nos deux larrons remettent la mallette à Marsellus. Vincent raye la caisse de Butch, part s’acheter 300 dollars d’héroïne et emmène Mia danser. Au même moment, Butch déjoue les pronostics sur le ring en tuant son adversaire.
Le lendemain, Marsellus et Vincent s’en vont lui causer du pays. Ce dernier dézingue alors Vincent, récupère sa montre, puis sauve Marsellus d’un guet-apens dans l’arrière salle de la boutique d’un prêteur sur gage. Il rejoint ensuite Fabienne sur la motocyclette le chopper de Zed avant de voguer vers de nouveaux horizons.
Ou pour le dire autrement : « Pulp Fiction commence au milieu, revient en arrière, puis en avant de plus en plus loin dans le temps, afin de retourner et de se conclure au milieu. »
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D comme Dialogues
Si Pulp Fiction dure 2 heures 34 minutes sans que l’on regarde sa montre (et aurait pu sans problèmes durer deux heures de plus), l’immense mérite en revient aux dialogues. Plus encore que l’histoire, ce sont eux qui structurent et font avancer le film.
Longue conversation entre ses personnages, Pulp Fiction se savoure comme une succession de digressions sur tous ces détails du quotidien qui n’en sont pas (les anecdotes de voyage, la pop culture, le prix des milkshakes...) dans un parler qui, bien que travaillé, sonne naturel – enfin des dialogues de cinéma qui ne ressemblent pas à du mauvais théâtre ou à du faux cool de teenage movies.
Quentin Tarantino, le Céline du septième art ?
E comme Ezekiel 25:17
« La marche des vertueux est semée d'obstacles/Qui sont les entreprises égoïstes/Que fait sans fin surgir l'œuvre du malin… », vous connaissez la suite.
Sauf que la tirade récitée in extenso par Jules avant de faire parler la poudre ne correspond que très vaguement au 17e verset du 25e chapitre du Livre d'Ézéchiel (bizarrement traduit par « verset 10 » en français).
Jugez plutôt : « Parce que les Philistins se sont livrés à la vengeance, et qu’ils se sont vengés à outrance, le mépris dans l’âme, pour exterminer, haine éternelle. À cause de cela, je vais étendre ma main contre les Philistins. J’écraserai les Crétois et détruirai le reste qui habite le rivage de la mer et j’exercerai sur eux de grandes vengeances, les châtiant avec fureur. Et ils sauront que je suis l’Éternel quand je leur ferai sentir ma vengeance. »
Cette réécriture n’est cependant pas due à Tarantino, elle est « empruntée » au film Karaté Kiba sorti en 1973 avec Sonny Chiba dans le rôle principal (Hattori Hanzo dans Kill Bill).
F comme Fiction Pulpeuse
Installé à Amsterdam où, grâce à l’argent de Resevoir Dogs, il peut d’adonner sans relâche à l’écriture pendant trois mois, Quentin Tarantino souhaite dans un premier temps porter sur grand écran une trilogie de films de gangsters.
Inspiré par les pulps, « ces publications macabres imprimées sur un papier bon marché » très populaires au début du 20e siècle, l’idée lui vient ensuite de ramasser le tout dans un seul script.
« Je voulais faire ce que font les romanciers mais pas les réalisateurs : raconter trois histoires distinctes avec des personnages qui vont et viennent dans chacune d'entre elles, mais dont l'importance diffère selon l'histoire ».
Et c’est ainsi qu’est né Pulp Fiction, cette relecture des trames de films noirs les plus éculées (le casse qui tourne mal, la liaison entre la femme du boss et son homme de main, le combat de boxe truqué...) devenue à sa manière le film noir ultime.
Notez qu’outre le titre qui référence directement ladite littérature pulp, l’affiche reprend le code couleur délavé de ses couvertures, tandis qu’Uma Thurman a la main posée sur l’un de ses fleurons, Harlot In Her Heart! de Norman Bligh (1950). Dans le film, Vincent est également vu régulièrement bouquiner Modesty Blaise de Peter O'Donnell (1965), les aventures d’une espionne britannique au passé trouble.
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G comme Générique
Quentin Tarantino a-t-il oui ou non écrit seul le scénario de Pulp Fiction ?
Si les premières secondes du générique d’ouverture promettent « Un film de Quentin Tarantino », quand la musique passe de Dick Dale à Kool and the Gang, ce sont des « Histoires de Quentin Tarantino et Roger Avary » qui sont annoncées.
Pote de QT avec qui il bossait à l’époque des vaches maigres dans le magasin de location de cassettes Video Archives, Roger Avary aurait plus ou moins écrit le sketch sur la montre. Désireux d’appuyer la réputation de petit prodige de Tarantino en le présentant comme seul aux commandes de Pulp Fiction, Miramax lui offre de renoncer à tout cocrédit en échange d’un chèque. Ce qu’Avary refuse.
Un compromis est finalement trouvé pour que la mention « Écrit et réalisé par Quentin Tarantino » apparaisse dans le générique de fin et puisse être utilisée dans la campagne promo.
Ce deal un peu bancal provoque une brouille entre les deux amis, Tarantino « omettant » de remercier Avary aux Golden Globe après avoir reçu le prix du meilleur scénario. Vexé, quand les deux hommes remportent l’Oscar du meilleur scénario, Avary, qui est cette fois crédité comme coscénariste (oui, c’est compliqué), se venge en payant « 500 dollars » le caméraman chargé de filmer Tarantino lors de la retransmission télé pour qu’il le coupe à l’image à l’annonce de son nom – ce qu’il a fait.
Une fois monté sur scène, au lieu de se fendre d’un discours, Avary s’éclipse au plus vite, prétextant « devoir aller p*sser ».
H comme Hitler
Chez Quentin Tarantino, deux univers distincts s’entremêlent : l’univers réel et l’univers cinématographique.
Ou pour citer le Christ : « L’univers réel est celui dans lequel les personnages de la vraie vie évoluent (ceux de Reservoir Dogs, ceux de Pulp Fiction…). L’univers cinématographique est un univers spécial composé de films, comme Kill Bill ou Une nuit en enfer. Ainsi quand les personnages de Reservoir Dogs ou de Pulp Fiction vont au cinéma, ils vont voir Kill Bill ou Une Nuit en enfer. »
Pour la faire courte (pour la version longue, c’est ici), sachez que tous les films de l’univers réel s’imbriquent.
Pulp Fiction est connecté à Reservoir Dogs via les frères Vega. Reservoir Dogs est connecté à True Romance via la référence faite au personnage d’Alabama (Patricia Arquette). True Romance est connecté à Inglorious Basterds via les liens de parenté du producteur Lee Donowitz avec « l’Ours juif » Donny Donowitz, et ceux du colocataire stoner Floyd Raine avec le Lieutenant Aldo Raine (tous deux interprétés par Brad Pitt).
Et oui, Pulp Fiction se déroule dans un monde où le dictateur nazi est mort mitraillé et brûlé dans un cinéma parisien.
I comme Impact de balles
Dans la dernière scène de Reservoir Dogs, celle où Joe, Eddie-le-gentil (Chris Penn) et M. White (Harvey Keitel) s’entretuent après avoir chacun dégainé leurs armes, Eddie ne se fait en réalité pas tirer dessus.
« Harvey Keitel devait d’abord viser Lawrence Tierney, puis moi, puis se faire descendre. Mais son explosif s’est déclenché directement avec avoir tiré sur Lawrence, et il est parti vers le bas » a révélé Chris Penn quelques années plus tard.
Plutôt que de corriger cette « erreur », Quentin Tarantino a préféré laisser les choses telles quelles afin de laisser libre cours aux spéculations – « Tu sais quoi ? Ce sera la controverse du film, ça fera parler. »
Libre donc à chacun de penser que si le mur de l’appartement de Brett est troué avant même que Jules et Vincent ne se soient fait canarder par Jerry Seinfeld, il ne s’agit peut-être pas d’une faute de raccord, mais d’une volonté de sa part d’alimenter les conversations.
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J comme Jack Rabbit Slim
Non, Vincent et Mia n’ont pas remporté le concours de twist du restaurant le plus fifties de Los Angeles. Malgré leur emballante prestation, s’ils sont aperçus rentrant chez eux le trophée sous le bras, c’est parce qu’ils l’ont volé.
Plus tard dans le film, lorsque Butch revient dans son appartement, l’information peut être entendue dans un flash info en fond sonore.
À cinq dollars le milkshake, nos deux filous n’allaient quand même pas repartir les mains vides.
K comme Ketchup
Joie du doublage, la blague que Mia raconte à la fin de la soirée n'est pas la même en français et en anglais. Là où dans la langue de Shakespeare, Vincent a droit à jeu de mot intraduisible sur l'homophonie entre le mot « ketchup » et l'expression « catch up » (« dépêche toi »), la VF est partie dans une toute autre direction.
« Trois tomates se baladent dans l'avenue. Papa tomate, Maman tomate. Bébé tomate traîne, regarde les belles nanas. Papa tomate se met en rage, lui balance une claque et lui dit : 'Qu'est ce que t'as ? T'es tout rouge !'. »
L'effet comique repose sur le fait que Bébé tomate est une tomate et qu’il st rouge quoi qu'il arrive. Problème, une tomate au tout premier stade de maturité n'est pas rouge, mais verte blanchâtre.
Du coup, soit Bébé tomate est rouge et ce n’est plus un bébé (Papa tomate n’a donc pas à le corriger), soit Bébé tomate est vraiment un bébé, et qu'il passe du vert au rouge devant les belles nanas n’a rien de drôle (car tout à fait normal).
Bon après, pas de quoi considérer que regarder Pulp Fiction en français constitue le huitième péché capital. Là où sur le papier restituer le flow d'un film où l'on cause tant tenait de la mission impossible, les comédiens de doublage s'en sont tirés avec les honneurs – Thierry Desroses en tête, la voix de Samuel L. Jackson, dont c'était le tout premier rôle !
L comme Louise Brook
Désormais grand classique d’Halloween, le look « Reservoir Dog au féminin » de Mia (chemisier blanc à boutons de manchette, pantalon noir 7/8 et ballerines Chanel dorées) ne serait pas sans son fameux carré à frange qui a fait tant d’émules (Natalie Portman dans Léon, Audrey Tautou dans Amélie Poulain, Rinko Kikuchi dans Pacific Rim...).
Uma Thurman n’est toutefois pas la première actrice à avoir popularisé cette coupe. Loin de là. L’honneur revient à Louise Brook qui, en 1929, l’arborait dans le film Loulou où elle incarnait une jeune femme libérée et hédoniste.
Symbole d’émancipation, ce « casque noir » aux airs androgynes traverse depuis les époques (Anna Karina dans Vivre sa vie de Jean-Luc Godard en 1962, Liza Minnelli dans Cabaret en 1972, Bella Hadid...).
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M comme Massage de pieds
Passé le casting exclusivement masculin de Reservoir Dogs, Quentin Tarantino s’est offert avec Pulp Fiction une scène coming out dans laquelle Vincent soutient que « glisser la langue dans le sanctuaire des sanctuaires » et masser les pieds d’une femme relève du même ordre.
Tout reposerait sur une tension sexuelle qui ne dit pas son nom (« Personne ne dit rien, mais tu le sais. Et elle aussi, elle le sait. ») – raison pour laquelle, selon lui, le pauvre Tony Rocky Horror qui se serait aventuré à masser les attributs de Mia ne s’est pas fait balancer sans raison d’une fenêtre au troisième étage par les hommes de son mari.
Absolument pas anodine, cette scène annonce une figure majeure de sa filmographie : le plan resserré sur les pieds nus de ses actrices. Uma Thurman, Bridget Fonda, Rosario Dawson, Diane Kruger, Margot Robbie ou encore Margaret Qualley (pourtant « mortifiée » à l’idée de montrer ses pieds) y ont toutes eu droit, qu’importe que cela serve l’intrigue ou non.
Totalement décomplexé sur le sujet, dans Une Nuit en enfer, Tarantino est allé jusqu’à s’écrire une scène où Salma Hayek/Santanico Pandemonium lui enfonce son vernis dans la bouche.
N comme Nouvelles générations
N’en déplaise aux mecs qui en 1994 étaient plus cools que Fonzie mais qui en 2024 le sont beaucoup moins, Pulp Fiction n’est plus le totem qu’il a été.
Jugé « surcoté » par une partie de la génération Snapchat/TikTok, il serait, selon leurs dires, trop lent, trop long, trop bavard. Film sans sujet (« Bordel, mais de quoi ça parle ? »), voire film hors sujet (« Les histoires sont mal reliées entre elles. En sortant du film, on ne se souvient même pas du sort des personnages à la fin »), il cacherait sa vacuité derrière des effets de manche vus mille fois depuis trente ans.
Ovni rock’n’roll et irrévérencieux à sa sortie, à force d’unanimité, Pulp Fiction sera-t-il un jour à ranger aux côtés de ces chefs-d’œuvre poussiéreux que plus personne ne regarde ?
O comme Overdose
Lorsque que, quelques années avant Pulp Fiction, Quentin Tarantino a présenté le scénario de Reservoir Dogs à Harvey Keitel, l’acteur, surpris par son degré d’authenticité et de détails, lui demande « s’il a grandi entouré de racailles et de truands ?? ». Candide, QT lui rétorqua qu’il a « juste maté un paquet de films ».
Encyclopédie du cinéma, Tarantino vit dans la fiction. Ses films référencent d’autres films, pas le réel.
Exemple avec l’une des scènes phare de Pulp Fiction, celle où Vincent plante une aiguille en plein dans le sternum de Mia pour la faire revenir d’entre les morts, qui n’est que vaguement crédible.
Déjà, parce que sniffer de l’héroïne est paradoxalement « moins dangereux » que de sniffer de la cocaïne – la poudre se dilue dans le système digestif, ce qui ralentit fortement son absorption par l’organisme, diminuant les risques d’overdose.
Ensuite, parce que l’adrénaline n’est pas la substance adéquate pour renverser les effets d'une surdose d'opioïdes – au cas où, préférez lui la naloxone.
Enfin, parce que toute l’idée de la séquence n’est pas venue à Tarantino en feuilletant un précis de médecine, mais en discutant avec l’équipe des Aventures du baron de Münchhausen (le film de Terry Gilliam dans lequel Uma Thurman se montre nue en Vénus de Botticelli) : « Ils m’avaient raconté l’histoire d’un tigre sur un tournage en Espagne à qui ils avaient donné trop de sédatifs pour qu’il reste calme. Ils avaient dû lui injecter de l’adrénaline pour qu’il se réveille. »
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P comme Palme d’Or
Lorsque le 23 mai 1994, Clint Eastwood, président du jury de la 47e édition du festival de Cannes, annonce la victoire de Pulp Fiction, un vent de surprise s’empare l’assistance : Quentin Tarantino, 32 ans, vient de faire la nique aux pointures internationales Krzysztof Kieslowski (Rouge), Nanni Moretti (Journal intime), Nikita Mikhalkov (Soleil trompeur), Zhang Yimou (Vivre !) et Atom Egoyan (Exotica) !
Si pour Eastwood la décision serait allée de soi (« C'était un film excitant et rafraîchissant. Quand les jurés se sont retrouvés pour décider, tout le monde était unanime pour dire que c'était le meilleur film. »), Catherine Deneuve, vice-présidente du jury, tempérera cette belle version des années plus tard (« Clint Eastwood était très protégé par son staff de la Warner, donc souvent coupé du reste du jury. On ne se voyait pas assez, et nous avons sans doute délibéré trop vite. […] Que voulez-vous répondre à des Anglo-Saxons que Journal intime ennuie profondément ? »).
Plus diplomate, dans ses mémoires, le président du festival Gille Jacob regrettera à demi-mots que le grand favori Kieslowski soit reparti les mains vides : « Entre la Russie impériale aux parfums nostalgiques et l’art du feuilleton populaire à la violence speedée, Clint avait parié sur l’avenir et pesé de tout son poids en faveur du feuilleton. »
Q comme « Qu’y a-t-il dans cette foutue mallette ? »
Objet de toutes les convoitises, le contenu de l’attaché-case de Marsellus Wallace demeure un mystère.
Plusieurs théories ont donc vu le jour : il s’agirait de l’âme maléfique de son propriétaire qui aurait fuité (d’où son pansement derrière la tête, d’où le 666 comme code d’ouverture), des diamants de Reservoir Dogs (aperçu en serveur grimé en Buddy Holly au Jack Rabbit Slim, M. Pink/Steve Buscemi a-t-il depuis refait sa vie incognito ?) ou du costume doré d'Elvis Presley porté par Val Kilmer dans True Romance.
Ou alors, elle contient tout bêtement deux piles et une ampoule.
R comme Rédemption
Pour Samuel L. Jackson, ce serait la morale de Pulp Fiction.
« Les gens qui méritent d’être sauvés le sont. Pumkin et Honey Bunny, sont épargnés. Ils ont une seconde chance. Uma passe tout près de la mort. Elle ne meurt pas. Butch aussi a une seconde chance. Même Marsellus Wallace y a droit. »
Si l’analyse est corroborée par l’arc de son personnage, ainsi que par Tarantino en personne (« C’est explicite tout au long du film »), elle ne saute cependant pas franchement aux yeux.
Ce serait même plutôt l’inverse à en lire La Philosophie du film noir de Mark T. Conard, pour qui, Pulp Fiction se veut une parabole sur le nihilisme de la société américaine.
« Le vide existentiel qui habite les personnages procède de l’absence de structures autres que celles qui établissent un rapport basé sur la force. Incapables de produire un jugement autre que celui dictée par cette valeur, cette dernière est le seul critère qui guide leurs vies. »
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S comme Série B
Déflagration sans nom à sa sortie, à la manière d’un Star Wars ou d’un Matrix, Pulp Fiction a initié une révolution comme on en voit une tous les dix ans en donnant ses lettres de noblesse à la culture bis.
Méprisée depuis toujours, cette dernière trouve alors en Tarantino son héraut... pour le meilleur et pour le pire.
Confondu un peu trop rapidement avec du génie (le critique Jean-Michel Frodon déplorait à l’époque « qu’une désinvolture quelque peu arrogante, faite d'une accumulation de bons mots, de vedettes et de scènes-choc, passe pour le fin du fin de la mise en scène »), son talent pour le recyclage est en effet de celui qui horizontalise tout. De celui qui met sur un pied d’égalité l’essentiel et l’accessoire. De celui qui permet aux cinéphages de se croire cinéphiles. De celui qui transforme toujours un peu plus le septième art en produit de consommation courante.
Au-delà de ses qualités intrinsèques, Pulp Fiction marque le point de départ de cette pop culturisation à grande échelle de la culture.
Marvel, Netflix et les youtoubeurs cinoche lui doivent beaucoup.
T comme Tarantinesque
Victime de son succès, le back-to-back Reservoir Dogs/Pulp Fiction a très vite engendré une vague de copiés/collés telle qu’est né l’adjectif « tarantinesque » (« tarantinoesque » en VO).
Pas gêné pour un sous que « pendant cinq ans, tous les films de gangsters mélangent ironie, discussions sur les séries télé et musique en toile de fond », Quentin Tanrantino considère au contraire que tous ses imitateurs « rendent par comparaison ses films meilleurs ».
À sa décharge, à quelques exceptions près (Arnaques, Crimes et Botanique de Guy Ritchie, Dernières Heures à Denver avec Andy Garcia, Get Shorty avec John Travolta, Freeway avec Reese Whiterspoon...), tous sont tombés dans l’oubli.
« Tarantinesque » est en revanche rentré dans le très prestigieux dictionnaire d’Oxford en 2018. Il caractérise « des films qui ressemblent aux films de Quentin Tarantino », « des films où la violence est stylisée, où le ton est satirique, où les histoires sont non linéaires, où les références cinématographiques pullulent et où les dialogues sont aiguisés ».
U comme Univers parallèles
Et si Pulp Fiction était un multivers à lui tout seul ?
Là où le spectateur lambda est en droit de s’étonner que chaque trame repose sur des évènements qui n’ont qu’une chance infime de se produire (les coups de feu qui n’atteignent pas Jules et Vincent, Butch qui oublie sa montre, Mia qui se trompe de sachet, Marsellus qui se fait déflorer dans une cave…), les plus avertis ont remarqué qu’avant chacun desdits évènements, l’action qui le précède est légèrement altérée (la phrase prononcée par Yolanda au début et la fin du film n’est pas identique, le nombre de balles restant dans le barillet de Jules varie...).
De là à penser que chaque chapitre prend place dans une réalité alternative et que Pulp Fiction se veut une réflexion sur les méandres du destin, il n’y a qu’un pas.
V comme Vincent Vega
Le compère de Jules est-il le tueur à gage le plus incompétent de Los Angeles ?
Clairement pas le canard le plus futé de la mare, camé à l’héroïne, il foire dans les grandes largeurs toutes les tâches qui lui sont confiées.
Il oublie d’inspecter la pièce juste derrière lui dans l’appartement tandis qu’un type armé jusqu’aux dents s’y planque (sans « intervention divine » Jules et lui ne seraient plus). Il tire accidentellement une balle en plein dans la tronche de ce pauvre Marvin (le b.a.-ba du maniement d’arme à feu veut que l’on ne pointe jamais quelqu’un, et encore moins avec le doigt sur la détente). Il cherche inutilement des noises à Winston Wolfe pourtant venu le dépêtrer en urgence.
Ça, plus le temps fou qu’il passe aux toilettes, source de drames en cascade (Ringo et Yolanda qui braquent le restaurant, Mia qui fait une overdose, Bruce Willis qui se saisit du Mac-10 laissé sans surveillance).
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W comme Winston Wolfe
Deux ex machina, il surgit de nulle part (et en smoking) lors de la Bonnie Situation, pique la vedette à tout le reste du casting dix minutes durant, avant de repartir aussi sec on ne sait où (et avec une fille à son bras).
Qui est-il ? D’où vient-il ? Comment a-t-il appris à nettoyer des banquettes de voiture tâchées d’éclats de cervelle ? Les réponses ce sera pour une autre fois, tout juste aura-t-on le loisir d’apprécier que personne au monde n’a l’air plus calme et plus déterminé que lui tasse de café en main.
En même temps, qu’attendre d’autre d’un type qui « pense vite », « parle vite » et qui se fait surnommer sans une once d’ironie « Le Loup » ?
X comme Miramax
Pulp Fiction a couté 8,5 millions de dollars, a été tourné « comme s’il coutait 25 millions de dollars » dixit Tarantino, et a rapporté 214 millions de dollars rien qu’en salle.
« Film indépendant le plus rentable de l’histoire », il a relancé la carrière de John Travolta, donné un second souffle à celle de Bruce Willis, et propulsé Samuel L. Jackson et Uma Thurman au rang de stars.
Son succès a aussi et surtout ouvert la voie aux frères Harvey et Bob Weinstein (oui, le Harvey Weisntein prédateur et violeur aujourd’hui en prison) pour écrire l’une des plus belles pages de l’histoire Hollywood.
Fondé en 1979 dans le but de financer les films que les grands studios refusent de financer, Miramax venait en effet de passer à deux doigts de la banqueroute. Racheté par Disney un an plus tôt, Pulp Fiction l’a affranchi de la tutelle de la firme aux grandes oreilles.
Cette liberté artistique a ainsi permis aux deux frères de régner sur les années 90 avec des films plébiscités tant par le public que par la critique (Clercks, Le Patient anglais, Will Hunting, Scream, Shakespeare in Love, Fahrenheit 9/11…).
Vantard, Tarantino a longtemps claironné : « C’est moi qui ai bâti Miramax, je suis leur Mickey Mouse. »
Y comme You Can Never Tell
La chanson de Chuck Berry sur laquelle se trémoussent Mia et Vincent.
Gros hit en 1964, elle conte sur un air de piano l’histoire de deux adolescents qui se marient, deviennent des « monsieur et madame » (en français dans le texte), et pour qui la vie se déroule de la façon la plus douce qui soit (ils achètent un petit meublé, conduisent une décapotable rouge et collectionnent les disques de rock).
Détail beaucoup moins feel good : Chuck Berry a écrit et composé You Can Never Tell alors qu’il purgeait une peine de 20 mois de prison pour corruption de mineure – il avait tenté de ramener de Mexico une fille de 14 ans dans sa voiture pour la faire travailler dans son club de Saint-Louis.
Rapporté au thème, difficile de séparer l’œuvre de l’artiste.
Z comme Zed
Dans Pulp Fiction, dire de la police qu'elle se fait discrète est un euphémisme : Vincent et Jules vident tranquillement leurs chargeurs dans une résidence sans que personne ne s'en émeuve, Marvin se fait exploser la cervelle en plein jour à l'arrière d’une voiture, il est possible de prendre le temps de disserter sur la Bible en plein braquage, etc.
Seule exception, Zed, le flic sodomite qui initie Marsellus aux plaisirs du coffre sans trop se soucier de son consentement.
Du genre rancunier, une fois ce dernier remis de ses émotions, il balance LA réplique que tout le monde a appris par cœur au moins une fois dans sa vie.
« Maintenant quoi ? Je m’en vais te le dire moi quoi ! J’appelle deux experts complètement défoncés au crack qui vont travailler nos deux copains. Avec une paire de pinces, un chalumeau et un fer à souder. Est-ce que tu m’as entendu ! Espèce de porc ! Je suis très loin d’en avoir fini avec toi ! Je vais te la jouer à la flamme bien moyenâgeuse ! »
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Septembre 2024
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lolochaponnay · 6 months ago
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Un Singe rentre dans un bar et demande au barman : "Vous avez des bananes ?" Le barman : "Non" Le singe : " Vous avez des bananes ?" Le barman : "Non je t'ai dit" Le singe : "Vous avez des bananes ?" Le barman : "Demande moi encore une fois si j'ai des bananes et je te scotch au mur" Le singe : "Vous avez du scotch ?" Le barman : "Non" Le Singe : " Vous avez des bananes ?
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isamarasdiary · 8 months ago
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Jour 3
On décide de commencer à mener noter enquête. Il semblerait que nous ayons complètement oublié notre objectif principal qui était de ramener de l'aide au navire...
Heureusement lorsque nous arrivons à la capitainerie, on nous dit que le commandant est parti à la rescousse de l'équipage du navire. Nous discutons avec l'un des gardes, qui nous donne difficilement les informations. Nous apprenons néanmoins que des créatures essaient de faire leur loi sur la mer et qu'elles attaquent souvent les nuits sans lune. Cela concorde avec les informations du barman.
On décide ensuite de nous diriger vers le phare, c'est une marche douloureuse, les escaliers de l'Académie sont moins ardus à gravir. Un autre garde se trouve devant le phare. C'est étrange que le phare soit gardé. La conversation est ardue mais il nous révèle qu'il arrive parfois que le phare soit perçu comme éteint ou comme ayant changé de place. Il y a d'ailleurs eu un gros naufrage il y a quelques mois et que les sirènes - les naufrageurs - en sont à l'origine. Il nous indique également qu'il y a des ruines sur la falaise et des inscriptions.
Mais nous ignorons allègrement ses directives et retournons en ville, à la rencontre des assureurs et des avocats. Le vieux, très très très vieux, Maître Tordu nous reçoit. Il nous explique qu'il monte un dossier avec les victimes des naufrages et propose de nous intégrer au dossier pour la modique somme de 100 pièces d'or. Je me retiens de rire.
Nous allons ensuite à la forteresse dans laquelle se trouve le bureau de Ravelor. Nous avons trois étages à monter, au premier étage se trouve un ogre. Evidemment, mes compagnons s'approchent pour le harceler alors que le pauvre ogre n'avait rien demandé à personne.
On arrive (enfin) dans le bureau de Ravelor qui nous explique qu'il cherche des aventuriers pour enquêter sur un site archéologique et y récupérer tous les objets magiques. En échange il nous propose 25 pièces d'or par personne. (il va sans dire que le nain tente de négocier, je ne comprendrai jamais les coutumes des nains)
On découvre que l'ogre s'appelle Saint-Gris. Il mérite amplement son nom.
On va alors vers l'extérieur de la ville et on s'enfonce dans la forêt. Nous trouvons rapidement l'illusion et la traversons pour nous retrouver au milieu d'une clairière. Après quelques investigations, nous rassemblons des vases et des tablettes. Un peu plus, se trouve un cercle de champignon et lorsque nous nous approchons, un gnome étrange apparait! Mais ce n'est pas un cousin de Kimchi, bien qu'ils se ressemblent beaucoup, c'est un bonnet-rouge! Nous parvenons à le vaincre et Téthys s'empare de la dent qu'il a laissé. (pourquoi ?)
Nous réalisons que les bonnets rouges apparaissent toujours en nombre impair sur les lieux d'un crime.
Nous faisons une pause bienvenue et Kimchi découvre une amulette. Elle semble être magique. Sans plus réfléchir, Kimchi la met autour de son cou. (pourquoi ?) Et il est à présent capable de lire les tablettes :
En l'an XX, la délégation du roi XX se réunit en vue de l'élection du Haut-Roi
Téthys remarque alors un cerf blanc. Kimchi dégaine sa cornemuse (pourquoi ?), sans succès, mais il arrive à charmer le cerf qui nous montre quelque chose dans l'étang. Il s'agit d'une dague! Que Téthys choisit de garder. (pourquoi ?)
Nous retournons enfin à Bon-Thon. Il est tard et, comme promis, nous avons une chambre qui nous attend. Nous remarquons un miroir sans teint. Le nain se déshabille et se met à danser devant le miroir qui se brise. Je comprends.
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seoulserpents · 10 months ago
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𝗕͟𝗔͟𝗡͟𝗚͟ 𝗦͟𝗨͟𝗟͟𝗟͟𝗜͟𝗩͟𝗔͟𝗡 ;
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Sullivan n’a jamais su ce que c’était de vivre dans une famille aimante, nombreuse, une famille stable. Parce que ses parents ne sont pas les parents parfaits, en même temps entre une mère en dépression qui oublie une fois sur deux qu’elle a un enfant, et un père aux abonnés absents, autant dire que les services sociaux sont bien vite alertés de cette situation. Il n’a que dix ans quand il est placé en foyer, un foyer miteux qui accueille déjà beaucoup trop d’enfants. Il reste muet une bonne partie de cette colocation forcée, ne veut pas jouer avec les autres enfants, ne veut pas parler aux éducateurs et aux personnes qui s’occupent d’eux. Tout ce qu’il veut lui, le petit garçon, c’est retrouver sa famille, sa mère. De ce qu’il sait, son père est parti pour de bon, quand il a profité de ce déboire familial pour faire sa vie ailleurs. Il ne voit sa mère que très peu de fois, quand elle a l’autorisation de venir le voir au foyer, quand elle à chaque fois qu’elle vient lui rendre visite, elle semble ailleurs. Sulli soupçonne même cette dernière d’avoir plongé dans l’alcool, vu les nombreuse fois où il avait du retenir sa respiration en sentant l’alcool dans son haleine. Bien que ces fois là soient bancales, bien qu’ils soient chacun dans un coin de la pièce alors que le malaise a fait place à la bonne entente, Sulli n’oubliera jamais les fois où sa mère lui rapportait – en douce – des bonbons. Et puis un jour tout change. Parce que sa mère ne viendra plus. C’est quand il atteint ses douze ans, qu’il apprend d’une voix presque glaciale, trop détachée, que sa mère est morte. Coma à cause de l’alcool, elle ne s’en réveillera jamais. C’est un coup dur pour ce petit garçon qui n’a plus aucun support, qui n’a plus aucune famille, et c’est en se refermant encore plus sur lui même qu’il apprend à vivre par lui même, à se forger cette carapace. Mais sa vie semble reprendre des couleurs, quand à seize ans il rencontre l’adolescente qui deviendra sa première petite amie, son premier amour. Rose. C’est l’amour fou entre les deux, ils font tout ensemble, connaissent leurs premières fois, et c’est la première fois depuis longtemps que Sulli rentre au foyer avec le sourire aux lèvres, parce qu’il sait que même si c’est l’enfer là où il est, le lendemain il retrouvera sa copine. C’est tout ce qui compte. Mais à croire qu’il y’a une malédiction, à croire que le jeune homme n’a pas le droit au bonheur, quand du jour au lendemain, il apprend que Rose est enceinte. Bien sûr que c’est un accident, mais pour ce garçon qui a du apprendre à grandir plus tôt que prévu, il est incapable de prendre la fuite. Rose aime Sulli. Sulli aime Rose, donc il se dit que rien ne peut leur arriver. Ils sont à quelques semaines de la majorité quand elle accouche de leur fils – Lio – mais les choses ne se passent pas comme prévu. Le jeune homme ne remet pas bien les faits, ne se rappelle pas de tout tellement le choc est puissant. La seule chose dont il se rappelle, c’est le sang, beaucoup trop de sang qui s’échappe du corps de son amour quand cette dernière, prise d’une hémorragie, échappera son dernier souffle, Lio contre sa poitrine.
Un jeune homme de dix sept ans, vivant en foyer, un père absent et une mère décédée, autant dire qu’il n’avait aucune chance d’accompagner correctement son fils dans ses premiers mois. Les parents de Rose s’opposent franchement à ce qu’il soit présent, même quand il atteint la majorité, même quand il trouve un petit boulot de barman avant de récupérer son propre bar. Parce qu’ils jugent qu’il n’est pas apte à s’occuper de son fils, pas les ressources nécessaires et surtout aucune stabilité. Ils sont loin de se douter que les moments où Sulli est le moins stable, c’est quand il n’a pas son fils avec lui.
Comment Sulli a-t-il l’idée de créer le gang ? Honnêtement, lui même ne sait pas d’où lui vient cette idée bancale. Sans doute parce qu’il n’avait aucun but dans la vie, qu’il s’ennuyait et qu’il avait besoin de se distraire. Ouais il avait le bar, mais il ne se plaisait pas en simple patron, avait besoin de nouveau, de quelque chose qui puisse lui maintenir la tête hors de l’eau. Cependant, il ne s’attendait pas à ce que cela arrive quand il fait la rencontre de Ujin. C’est une rencontre des plus malheureuses, parce qu’il se promenait simplement pour regagner son appartement, quand il tombe sur un jeune homme, un rouquin allongé à même le sol et qui semble avoir du mal à rester parmi eux. C’est sans doute cet élan de gentillesse, cet élan de vouloir sauver quelqu’un qui fait qu’aujourd’hui il est toujours ici. Le gang ne s’est pas monté tout de suite, parce qu’il voulait d’abord d’assurer que son nouvel ami – Ujin – retrouve un état normal. Il ne connaissait pas ce garçon et pourtant il était resté au chevet du rouquin, quand après une lourde opération du coeur, il avait été transféré en salle de soins. Autant dire que Ujin était des plus perdus en ouvrant les yeux. Mais de cet acte vu comme un sauvetage, une amitié verra le jour.
C’est l’année d’après que avec l’aide de Ujin, Sulli monte créer le gang. Et ils ont l’air de deux cons parce que justement, ils sont que deux, mais ils y croient dur comme fer, sont persuadés d’arriver avec quelque chose avec le nom qu’ils viennent de donner au gang ; les Serpents. Ils s’interdisent à toucher à quoi que ce soit de trop dangereux, se contentant d’avancer dans le monde illégal de la mécanique et des pièces de moto. Tout le monde pense que le rouquin a toujours été le seul boss, que c’est lui le leader et qu’il a eu cette bonne idée, mais parce qu’il a voulu rester dans le silence, personne se doute de l’implication de Ujin dans la création du gang. Alors il est son bras droit, Junseo – quand il débarquera – sera son bras gauche, et ainsi de suite quand les prochains membres feront leur arrivée. Gabriel, Hyunsu, Tayden… - qui deviendra son colocataire - Les filles par la suite. C’est une grande famille qui se forme petit à petit, et même si le jeune homme est vite dépassé parce que ça fait beaucoup de monde, parce qu’il ne s’imaginait pas créer un tel gang, il en est fier. Parce qu’il a enfin la putain de famille dont il rêvait jusqu’à maintenant. Il ne manque plus que Lio. Il a cette nouvelle famille et il a Min-ah. De base embauchée comme simple serveuse, parce qu’avec les activités du gang, Sulli manque de temps pour tenir la maison de ses deux mains. Elle n’est pas la meilleure en terme de cocktails, tout le monde le sait dans le bar, mais il ne pourra jamais se séparer d’elle. Parce qu’elle est un élément important pour le gang, importante pour le rouquin qui voit en la jeune femme, une personne de confiance, son pilier dans la vie de tous les jours. Quand elle apprend l’existence des Serpents, Sulli s’opposera fermement à ce qu’elle participe aux missions, parce qu’il est trop protecteur envers elle, qu’il ne veut pas la voir blessée. Puis il sait dans le fond, que ça lui suffit amplement d’être derrière le bar et de réduire l’espérance de vie des autres membres. L’attirance et la tension sont palpables entre les deux que tout le monde s’amuse à considérer comme les parents du gang. Sulli éprouve un réel attachement envers la jeune femme, il cache ses sentiments, mais c’est de plus en plus dur quand il se livre sur Lio et quand dans un élan de pouvoir la protéger de cette intrusion qu’il y’a eu à son appartement, il craque. C’est quand ses lèvres entrent en contact avec les siennes que la réalité lui vient en pleine face. Il veut qu’elle, n’a besoin que d’elle dans sa vie, et sait parfaitement qu’elle sera une très bonne personne également dans la vie de son fils.
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monsieurhihat · 11 months ago
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Ce rêve d'un grand désert blanc
Cette semaine nous allons parler de Léon Sojac. Encore ? Ouais. Né à Montevideo comme tout le monde, Léon Sojac est très tôt, voire trop précocement, repéré par ses pairs comme aimant bien faire son petit intéressant, et ça lui ouvre un boulevard pour la carrière qu'on lui connaît : barman, cariste, père Noël et répétiteur en abdo-fessiers à Ajaccio. On ne sait pas au juste de quand de quoi de qui de qu'est-ce remonte sa vocation poétique, mais d'aucuns s'entendent à soupçonner par devers eux-mêmes et dans des sphères et des proportions dont on ne saurait que rester coït, que ce serait le jour où il aurait capté que si le poète ne dit pas ce qu'il le dit, c'est que c'est d'abord pour lui une chance inespérée de dire n'importe quoi n'importe comment. Mais avec une vraie morgue. On lui doit outre le recueil aquarellé eurêka Barbie est folle à lier, une recette de la quiche à saucisse, ainsi qu'une recette de la pizza à la saucisse, encore une recette du cake à la saucisse,  et d'aucuns s'entendent à soupçonner par devers eux-mêmes et dans des sphères et des proportions dont on ne saurait que rester coït, les mêmes que tout à l'heure, qu'il travaillerait sur sa version de la saucisse melba - une façon bien à lui de revisiter les accords compassés convenus entre la glace vanille, les amandes pilées, la chantilly et la saucisse de francfort. Mais je vous dis ce que vous savez déjà, ce que tout le monde sait. Place à la poésie.
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sexybutyoucantseeit · 1 year ago
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Parfois il faut faire confiance au chemin qu'on nous pousse à prendre.
Il y avait trois hommes.
Le premier était celui qui m'avait invité à cette fête.
Il était tatoué, avait les cheveux longs et allait à la salle de sport plusieurs fois par semaine. Il était très musclé et imposant.
Ça faisait des années qu'on se tournait autour. J'avais eu l'impression que cette invitation faisait office de "premier pas".
Il s'est avéré qu'au milieu de la soirée j'ai découvert qu'il avait en fait quelqu'un. Bon. Tant pis pour moi.
Le deuxième était un ami d'enfance de mon meilleur ami.
Il était beau, mince, des muscles parfaitement dessinés, grand et un visage magnifique.
Ça faisait quelques semaines que je voulais l'avoir dans mon lit, je ne l'imaginais que pour une nuit.
Quand je lui ai dit que je le trouvais très attirant il est parti. M'a laissée en plan. Bon. Je ne suis pas du genre à courir après les hommes. Alors qu'il parte !
Le troisième était le barman du Sunshine. Un bar dans lequel on allait chaque semaine mes amis et moi.
En effet, on avait déserté cette soirée à minuit pour aller au bar jusqu'à la fermeture. Après deux refus il fallait que je tente ma chance avec lui.
Ses yeux bleus, ses cheveux bouclés et son sourire de tombeur me faisaient fantasmer depuis quelques semaines.
Quand j'ai eu le courage, 10 minutes avant la fermeture, de lui demander s'il voulait mon numéro de téléphone, il m'a répondu qu'il avait déjà une chérie. Bon. Encore un refus. Je commençais à être habituée.
J'aimerais revenir au début de cette soirée. Je suis arrivée seule. Je ne connaissais que le premier. Celui qui m'avait invitée. Il m'a présentée et j'ai remarqué un homme, W. Grand, beau, plus beau que les 3 autres. Je n'ai pas vraiment discuté avec lui au début mais je l'ai remarqué. Certaine personnes paraissent transparentes dans une salle remplie de monde. Lui il brillait.
Mon ami est arrivé 45 minutes plus tard, avec son copain. J'ai discuté avec eux pendant un moment.
W avait vu la scène, moi qui déclare mon attirance au 2eme, lui qui part, etc.
Plus tard je me suis retrouvée dehors avec lui et d'autres gens, pour fumer une cigarette.
J'ai annoncé que je cherchais du travail, il a dit qu'il pourrait m'engager. Il avait donc son entreprise. Intéressant.
Puis on est rentrés, et on a parlé avec d'autres gens. J'ai proposé à un mec de danser, je me suis levée pour me placer sur la piste de danse. Il m'a dit qu'il ne dansait pas et est parti. W est venu, il a pris mes mains et on a dansé. Il me disait que je dégageais quelque chose, une aura. "On reconnaît tout de suite les bonnes personnes".
Plus tard, je suis partie pour aller au bar.
Il est venu, avec 3 autres mecs de la soirée. Il avait forcé pour qu'ils viennent parce que "j'étais là". Il m'a proposé de me ramener chez moi, comme un de ces gars avait la voiture.
"tu vois ce qu'un homme peut faire pour une femme? Je les ai forcés à venir juste pour te ramener chez toi en sécurité"
Le trajet était court mais il était chargé de rires et de discussions intéressantes. Une fois arrivé proche de chez moi, il est descendu pour me laisser sortir. Je lui ai fait la bise et suis partie.
On a discuté ensuite par message pendant une bonne heure. Il me disait à quel point il était content de m'avoir rencontrée et qu'il voulait me revoir.
Et moi, moi j'avais le sourire. J'avais le sourire quand il me parlait, j'avais le sourire quand on a dansé, j'avais le sourire quand il est venu me chercher, j'avais le sourire quand on a échangé des textos.
J'ai eu l'impression pour la première fois de ma vie que c'était ma personne. La personne qui partagera ma vie.
Je ne le connais pas. Et j'ai beaucoup d'espoir dans cette éventuelle future relation.
Je dois faire attention à moi. Ou me laisser porter par le courant.
J'ai hâte de le revoir.
Et je suis contente que les 3 autres chemins étaient barricadés.
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12-edition · 1 year ago
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Chapitre III : Réalité parallèle (Inachevé)
[Publication originale : 12 juillet 2022]
Avant-propos : Celle-ci aussi résulte d’une nuit blanche, je ne sais plus trop quand, c’était l’été parce que d’une certaine manière, l’été est lié à toi, certainement dû au fait que l’on sait connu en été. Donc certainement été 2019 ou 2020.
Il se gara sur le parking en gravier attenant à l’hôtel du commerce, quelques cailloux venaient taper les bas de caisses. Il sortit, le soleil était très bas, une lumière orange baignait le paysage. Il entra, le hall d’accueil ressemblé à un de ces vieux hôtels des années 50 comme ceux que l’on voit dans les films d’Alfred Hitchcock, un grand comptoir avec des reposes pieds dorés, le sol était un carrelage marron et les murs et plafonds étaient recouverts de moquette, l’accueil était sur la droite et le bar sur la gauche, il se dirigea vers la gauche et commanda un coca. Il contrôla son smartphone mais aucune notification ne s’afficha, il le posa sur le comptoir. Il but une gorgée et jeta un regard rapide sur la salle, des clients étaient assis, certains lisaient un journal, d’autres prenez leur diner, son regard s’arrêta sur une fille assise à une table près de l’accueil. Il pensa à une veille connaissance, ça lui arrivé assez souvent, un petit détail lui rappeler cette fille, ici c’était ses chaussures avec des lacets dépareillés, mais cette fois il y avait autre chose, elle bougé pareil, sa façon de fumer sa cigarette, ses cheveux. Il n’y avait pas de doutes possibles c’était elle. Il hésita à aller la voir, la dernière fois qu’ils s’étaient parlé ça ne c’était pas vraiment bien passé. Il se jeta à l’eau, se dirigea vers sa table. Il allait dit bonsoir mais il n’en eut pas le temps. Sans se retourner elle dit
-Salut, toi.
-Tu m’avais vu .
-Je t’ai reconnu dès que je t’ai vu arriver du parking. Ta démarche est reconnaissable.
-Ah oui ? Bon, ça va . Qu’est-ce que tu fais ici ?
-Je suis en déplacement dans le coin, et toi .
-Je retourne chez moi.
Un long silence s’installa. Il enchaîna :
-Je suis content de t’avoir revu, t’as l’air en forme, je te dérange pas plus longtemps.
-Arrête tout de suite, on se connaît maintenant, tu me déranges pas et je commençais à m’ennuyer. Qu’est-ce que t'as de prévu ?
-Rien de bien constructif, je sirote un coca au comptoir et je vais prendre une chambre, je repars demain.
-Toujours au coca, hein.
-Ouais toi aussi d’ailleurs. Bon je te laisse, sympa de t’avoir revu.
-Moi aussi.
Il retourna au comptoir et finit son verre. Il demanda au barman d’offrir un coca à la femme à la table du fond. Il se dirigea vers l’accueil. Elle le rattrapa après qu’il ait demandé une chambre et dit :
-T'étais pas obligé, tu sais.
-Je te l’avais dit que je t'en offrirais un.
-Quand ça ?
-Il a bien longtemps.
-Toujours dans le passé ?
-Il a la vie dur, oui. Je sais que ça te saoul, je m’en excuse.
-Je n'ai rien dit.
Elle commença à fouiller dans sa sacoche et dit : « Je vais aller payer de tout de suite, ce sera fait. » Il se dit que ce n’était pas une mauvaise idée et la suivi c’était très étrange, qu'ils se revoient pour la première fois depuis une éternité et qu'ils se retrouvent comme dans une capsule temporelle, le gérant était un vieil homme moustachu, il sortit le terminal de payement, elle paya et l’attendit. Une fois qu’il avait lui aussi payer, il se retourna et elle lui demanda :
-Tu as pris un économique
-La moins chère possible comme d’habitude, et toi ?
-Tu as raison c’est souvent les meilleurs paradoxalement. J’ai pris avec vue sur le parc.
-La vue devrait être sympa, moi, c’est l’une des moins chers mais sur le site de réservation elle avait l’air génial, d’ailleurs je vais aller voir tout de suite.
-Tiens-moi aussi.
Il se dirigea vers l’escalier à coté de l’accueil, mais elle partit dans la direction opposé, pris son sac et monta par l’escalier de l'autre côté du Hall. Il se dit que quitte à monter autant monté sa valise, il alla la chercher dans le hall et repris le chemin vers l’escalier de l’accueil, tout en montant il se rendit compte de la bizarrerie de la situation. Ils se retrouvèrent au premier, elle faisait un bruit de tous les diables, son sac à roulettes claqué sur le parquet, il eut un rictus. Elle le vit et lui demanda pourquoi il riait, et répondit :
-Non non, rien.
-Allez dit moi.
-Non tu vas mal le prendre.
-Dit moi.
-Je me disais que la dernière fois que l’on était dans un hôtel tous les deux, tu n’avais pas fait autant de bruit à mon grand regret.
-Je vois. Qu’elle est ton numéro .
-112, et toi ?
-246.
-Bon bah je te laisse monter, a tout à l’heure .
-Ouais à plus, peut-être.
Il poussa la porte de l’étage et entra dans un couloir où les murs le plafond et le sol étaient recouverts de moquette, un panneau indiqué 100 à 119 à droite et 120 à 130. Il prit à droite et se demanda pourquoi il avait fait cette réflexion, totalement inutile. Il arriva devant la porte de la 112 et entra.
Elle était arrivée au deuxième étage, ses mots résonnaient encore dans sa tête, c’est vrai que ce week-end n’avait pas été une réussite, il se demanda comment il avait fait pour en plaisanter alors qu’elle savait que cela avait été très traumatisant pour lui. Elle continua le long du couloir et arriva devant la 246, déposa ses affaires ne regarda même pas la chambre et redescendit dans le hall et buvait son coca le regard dans le vide.
Il défit sa valise machinalement, il se demanda subitement pourquoi il s’était arrêté dans cet hôtel, alors qu’il avait encore de la route à faire et qu’il n’avait pas l’habitude de faire une pause pendant ses trajets même la nuit.
♬ Band of Horses – I Go to the Barn Because I Like
« J'ai posé le téléphone comme ça
J'peux jurer avoir entendu le glas
J'aurais dû te libérer avant que tu me libères, moi »
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