#entropia sentimental
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Otra vez trato de esconderme del mundo real.
Aunque te había dicho que empezaría a atesorar mis sentimientos me veo preocupada por lo incontrolable del universo,
Creo que me da miedo lo que pueda pasar.
Ver el tiempo perderse tan rápido me asusta, y no puedo evitar ignorar lo que no puedo resguardar.
Siento que no me alcanzan las horas del día para vivir consciente de mi presente.
Por ti quería ser mejor, aún quiero serlo, pero eso me requiere mucha energía.
me gustaría tener la confianza que tú tenías en mi cuando aún estabas con vida.
@entropia-sentimental
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das coisas que não prometi para mim
me desconheço. veio o sopro para borbulhar a cera desnivelada que já não mais cumpria ofício para meus ossos. sigo com uma cratera que corre longe do ébrio e da memória eidética. sinto sempre que existe um termo-palavra-bichodesetecabeças melhor a ser cunhado por meu inativismo agora mais do que nunca meramente acadêmico e suicida ineficiente. a própria sombra marginalizada daquilo que não me oferece espaço digno para regurgitar meu relançamento à origem do meu caos me causa preguiça. desaprendi a beijar meus próprios ferimentos. não por entendimento prévio que alguém assim faria e crucificaria minhas lágrimas sacras no crânio iletrado. constantemente me pretendo analfabeta sentimental como se minha única missão messiânica e tribal não tivesse correlação com criar maneirismo prático para a motricidade do amor. me finjo desconhecer e como portadora da eterna alzheimer seletiva me despeço em marcha covarde e frustrada daquilo que pulsa minha matéria desforme no desfile infindo.
retiro gentilmente as mãos dos ouvidos para ouvir o amor sussurrar baixinho que quer sentar-se à mesa. só para logo depois ficar em pé esperando o baile acabar. que quer quadros fragmentários e inocivos para que possa me maltratar a natureza e fazer carinho ao inverso. ouço o amor sussurrar baixinho que quer sombras para enxergar a luz pela fisiologia corretamente anormal que me faz estrela para nunca prosperar na escuridão. espero na janela. num quarto sem portas. isolada. termômetro negativo. sentindo o sussurro que nunca vem para arrepiar a nuca. delibera desencontros desenhados. faz autobiografia dos meus quadros e do balanço e do cheiro. me diz que a madrugada está flagelando as centenas de embarcações confluentes que examinam os olhares canônicos ao meu redor apenas para deslegitimá-los sem que tenham poder para tal. o amor vem para sussurar ensurdecendo. porque calado permeia invasivo e imprudente como a renovação. sussura berrando que volta amanhã para brincar de mitologia com os próprios desejos. sussura em marcha meu nome com um desdém e preocupação inerte que nunca vislumbrei como suficiente para minha entropia etiquetada de forma desordenada. o amor não me esquece para que eu continue lembrando do que não vem. e dentro disso me desconheço. e a química cerebral pouco balanceada me coloca em arquétipo de minotauro do coração clarividente.
presa nos caminhos costeiros do meu front inextensivo. a proximidade me lambeu a vontade de me expandir de mim. meus olhos não saltam mais para fora do meu rosto de cerimonialidades. e ainda que memorizando o microcosmos da minha carne em contato com as instituições austeras que me disciplinam em matematização açucarada tudo ainda recaí no mesmo par de asas flamejantes. ícaro me espia através do buraco espiralar cármico que me desconforta. o amor. esse pêssego flechado que empapa meus lábios de tributos. ou cópias carimbadas pelos experimentalismos sem antecedentes que o justifiquem. esse banho escaldante de corpos foragidos de si. me desconheceu quando me desconheci. atestou me desconhecer sem que me colocasse como lugar de tradição. sem que me colocasse como lugar. o amor sussura baixinho que ainda tem tanto a me dizer que engasga na tentativa de mapear sua fala extrema. prefere matar a sede no que deixa subentender sem nunca nem insinuar. promete exaspero. despreocupa em constância. sossega as espadas em meu peito estriado pelas quintuplicidades. pela minha incoerência em me dizer humana e me soletrar exata. me aceita. enfim.
o amor sussura baixinho
que desconhecendo-se
deixa-se acontecer
mal enxerga ele
que me desconheço
ao ponto de já ter acontecido.
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Georges Bataille, lumière maudite
"Tu es le vide et la cendre oiseau sans tête aux ailes battant la nuit l’univers est fait de ton peu d’espoir." G. Bataille (L’archangélique, 1943)
Georges Bataille a voué son œuvre à la recherche d’une expression à la limite de l’impossible. Il ne pouvait écrire sans s’engager dans une expérience profonde et risquée des sujets au centre de son attention.
Bataille, une pensée de l’excès essentiel
De la mystique à l’érotisme, de la philosophie à l’économie en passant par la poésie et la peinture, l’auteur de l’Expérience intérieure, de L’Erotisme, de Lascaux ou la naissance de l’art, de récits à caractère sexuel sans concession (Madame Edwarda, Ma mère, Histoire de l’œil…), récits auxquels on ne doit surtout pas réduire cet auteur, mais aussi de tracts politiques ( Contre-Attaque ) de militant activiste avec –et parfois contre- André Breton à une période charnière du siècle dernier, pendant la montée de l’hitlérisme, cet écrivain continue de déconcerter les lecteurs. Bataille se confronte à des gouffres. Si tout en nous, dans nos actes, comme dans notre pensée, appelle à la dissimulation du Néant et de la Mort, car il faut bien vivre, et l’angoisse pétrifie, sidère et bloque toute action, tout, chez Bataille exige au contraire d’oser contempler l’irrémédiable et d’en méditer la blessure et le vertige. Les poèmes de L’archangélique(1) sont à lire, comme des supports de méditation et avec prudence, sans se perdre, car ils partent de l’angoisse comme état d’expérience immédiate et ils ne visent pas à séduire mais à transmettre. Cette pensée de l’excès a pu se concrétiser également dans un projet apparemment fort éloigné de ces mêmes gouffres : au bout de 18 ans de travail, Bataille achève en 1949, à 52 ans, La part maudite (2). Ce livre, très à part dans le parcours de cet homme de lettres, conservateur de musée formé à l’Ecole Nationale des Chartes en Sorbonne, reste, pour quelques uns, la pièce principale d’une œuvre majeure.
La part maudite et la notion de dépense : l’économie générale et le don
La part maudite est précédé d’un essai antérieur, daté de 1933, La notion de dépense dans lequel il considère d’emblée la nature comme surabondance d’énergie vitale. Dans la mouvance de la sociologie de Marcel Mauss, il explore les notions d’excédent, de dépense improductive et de perte, en particulier autour du « potlach », ce comportement interculturel basé sur le don. Si La notion de dépense liait le don à l’investissement dans le collectif, à un engagement politique de jeunesse, autour du communisme, La Part maudite promeut une vision du don plus orthodoxe, en redonnant au potlatch sa valeur de jeu et d’épreuve et son sens de construction d’un lien interpersonnel. Le prosélytisme explicite de Bataille transforme cependant, à la fin de La part maudite, la notion de don en un instrument de qualification des personnes et de valorisation d’une éthique du partage, dont l’art et la poésie sont les vecteurs. La part maudite, commence par exposer le sens de ce que Bataille nomme « l’économie générale ». Pour Bataille, cette économie prend en compte l’ensemble des mouvements de l’énergie sur la terre, et en particulier ceux du vivant, et elle pose le problème pour le vivant, et donc pour l’homme, de la dissipation de l’énergie excédante, ce qu’il appelle la « part maudite ». D’emblée est introduite la dépendance de l’économie par rapport au parcours de l’énergie sur le globe terrestre. Approche de l’économie déjà originale qui n’est pas sans rappeler les théoriciens de la décroissance, convenons-en, on peut penser déjà à Nicolas Georgescu Roegen (3). Puis, dans la première partie, il aborde les lois de l’économie générale. Dans le deuxième chapitre de cette partie, nommée « la limite de la croissance »- cette formule précède de 23 ans le rapport Meadows au Club de Rome !- on peut lire : « le soleil donne sans jamais recevoir : les hommes en eurent le sentiment bien avant que l’astrophysique ait mesuré cette incessante prodigalité ; ils voyaient mûrir les moissons et liaient la splendeur qui lui appartient au geste de qui donne sans recevoir (…)Le rayonnement solaire a pour effet la surabondance de l’énergie à la surface du globe. Mais d’abord la matière vivante reçoit cette énergie et l’accumule dans les limites données par l’espace qui lui est accessible. Elle la rayonne ou la dilapide ensuite, mais, avant d’en donner une part appréciable au rayonnement, elle l’utilise au maximum à la croissance. Seule l’impossibilité de continuer la croissance donne le pas à la dilapidation. Le véritable excédent ne commence qu’une fois limitée la croissance de l’individu ou du groupe. » (2, p55)
Georges Bataille, penseur de la décroissance
Bataille introduit un questionnement partagé aujourd’hui, et un questionnement que les objecteurs de croissance ont introduit dans le débat public. C’est sous cet angle que nous abordons ici La part maudite : les développements de Bataille sur les sociétés sacrificielles (en particulier les Aztèques), l’Islam, le lamaïsme, et ses données sur la Réforme, le monde bourgeois et le monde industriel sont passionnants, mais reliés ici à sa principale conclusion que nous indiquons plus loin... nous ne pouvons qu’inviter nos lecteurs à aller voir dans le texte, la place nous manque pour parler complètement de ce livre extrêmement dense. « La limitation immédiate, pour chaque individu, pour chaque groupe, est donnée par les autres individus, par les autres groupes. Mais la sphère terrestre (exactement la biosphère - le mot est ici souligné par Bataille lui-même), qui répond à l’espace accessible à la vie est la seule limite réelle. L’individu ou le groupe peut être réduit par l’autre individu, par l’autre groupe. Mais le volume global de la nature vivante n’a pas changé ; en définitive, c’est la grandeur de l’espace terrestre qui limite la croissance globale. » (2, p56) Lorsque la limite de la croissance est atteinte, pour Bataille, il y a « ébullition » et « risque d’explosion ». On peut mettre cette observation en regard avec les données quantitatives d’aujourd’hui sur la masse des espèces aujourd’hui vivantes sur notre terre : si la biodiversité est en cours d’effondrement, la masse d’hommes et d’animaux domestiques et d’élevage a considérablement explosé (la qualité diminue, la quantité augmente). Après cette ébullition quantitative, les courbes du modèle de Meadows (1972, modèle prévisionnel World 3, toujours validé au bout de 40 ans…) font état, dans les années 2030, d’une baisse inéluctable de la population mondiale (et fatalement des cheptels bovins et ovins) qui impacte la biosphère. Pour Bataille il nous faut alors perdre le « trop » qui nous menace, le perdre sans l’utiliser. Il nous somme de sortir de l’utilitarisme car son « économie générale » définit le caractère explosif de ce monde, qui est porté à une extrémité d’une tension dans le temps présent. Pour Bataille, « une malédiction pèse évidemment sur la vie humaine, dans la mesure où elle n’a pas la force d’enrayer un mouvement vertigineux. » La lucidité est souvent très noire, nous le savons. Mais, nous dit Bataille, « il dépend de l’homme, de l’homme seul, de la lever », et il ouvre ainsi, virilement, pourrait-on dire, car les choses lui semblent bien pliées, le possible du champ de l’intervention politique. « Mais elle ne pourrait l’être si le mouvement qui la fonde n’apparaissait pas clairement dans la conscience. » « Il semble à cet égard, nous dit Bataille, assez décevant de n’avoir à proposer, en remède à la catastrophe qui menace, que « l’élévation du niveau de vie » (2, p66). L’actualité politique de cette remarque n’est-elle pas sidérante ? Rappelons que Bataille avait fait un tour du côté du parti communiste dans les années 1930. Bataille nous dit encore qu’un exposé sur « l’économie générale » implique « une intervention dans les affaires publiques ». Une intervention conçue pour Bataille de façon tout à fait originale qui part de l’hypothèse de base suivante : l’homme étant, de tous les êtres vivants, « le plus apte à consumer, intensément, luxueusement, l’excédent d’énergie » il est confronté à un choix déterminant sa survie. Soit l’homme entretient l’économie d’un système séparé dans lequel règne un sentiment de rareté, de nécessité, avec des problèmes de profit constant, où la croissance apparaît toujours possible et désirable, c’est-à-dire le système actuel, soit il oriente son destin en fonction de la totalité du vivant liée à l’énergie du soleil qui « donne sans jamais recevoir ». Dans le deuxième cas, l’homme sort alors de l’abstraction inhérente à l’étude des phénomènes isolés. C’est ce que Bataille nous invite à faire : abandonner joyeusement tous les systèmes fondés sur l’idée de pouvoir sur la matière et sur les hommes !
Décroissance et spiritualité
Dans un passionnant article paru dans la revue disparue Entropia (4), Jean-Claude Besson-Girard articule dans une analyse de La part maudite une expérience du sacré et de la spiritualité et cette "économie générale" créée par Bataille. Le dessein de Bataille serait de préserver et respecter le monde. Tout au contraire, sa profanation « provient de l’usage du monde, de son usage servile, c’est-à-dire assujetti à la marchandise » ( 2, p78). Besson-Girard écrit : « La part maudite permet d’éclairer et de souligner de nombreux éléments faisant écho aux orientations fondamentales de l’objection de croissance dans ses relations profondes avec le sacré : le rejet de la dégradation de l’état du monde. Elle permet aussi d’éclairer la recherche et l’instauration de liens sociaux définissant horizontalement des ritualisations situationnelles et des formes anticoercitives de pouvoirs partagés. (4) » Bataille nous invite à (re)trouver le chemin d’une alliance sacrée avec l’énergie de la vie qui est une dilapidation matérielle et immatérielle sans aucune utilité. Rapporté à l’éthique et à la politique, l’apport de Bataille est, entre autres choses, une condamnation sans appel de l’esprit bourgeois, devenu aujourd’hui celui des classes moyennes du monde et de l’ensemble de la population connectée à la mégamachine. C’est que, pour Bataille, l’individualisation de la propriété est aliénante dans le sens où elle abroge le possesseur de sa fonction sociale ; il oppose donc nos sociétés aux sociétés païennes, ou plus exactement notre société occidentale (maintenant généralisée) aux sociétés qui ne considèrent pas l’homme individuel comme le centre du monde, isolé de ses semblables et séparé de la nature. Sur le plan d’un programme politique, il s’agirait de réactiver les fonctions sociales de don et d’entraide, de les réintégrer pour les rendre consubstantielles à la vie coutumière : nous sommes entraînés dans une perspective libertaire où la pratique de l’entraide généralisée permet une sortie de l’économisme et du primat de la rationalité marchande.
Références : 1) Georges Bataille : L’archangélique, Poésie Gallimard, 1967 2) Georges Bataille : La part maudite, précédé de La notion de dépense. Introduction de Jean Piel. Editions de Minuit, edition de 2011, 188 pages. 3) Nicholas Georgescu-Roegen : Demain, la décroissance : Entropie, écologie, économie. 1979. 3ème édition revue, 2006. Coll. Sang de la Terre et Ellébore. Texte disponible en ligne : http://classiques.uqac.ca/contemporains/georgescu_roegen_nicolas/georgescu.html 4) Jean-Claude Besson-Girard : Le sacré sans sacrifice in « Entropia », n°11 ; automne 2011 nashtir togitichi
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Cómo le haces cuando tú eres una pieza rota de un rompecabezas?
Cuando tu historia queda incompleta y hay espacios vacíos que nunca se podrán completar.
Porque no podrías encajar en otro lugar, tus ángulos son únicos, irrepetibles cortes de tijera que cambiaron lo que venía en el empaque original.
A dónde vas si no tienes donde funcionar?
Cuando sientes que ahora le arruinas a todos la fiesta porque en tu cumpleaños no había buen clima pero sí fotos perfectas.
Cuando no te encuentras en ningún espejo que te refleja, y te pierdes entres todas las máscaras que creas para participar y conectar con los demás.
Crees que existe otro final?
Ojalá encuentres uno donde puedas ser feliz con tu realidad.
@entropia-sentimental
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Este año no he disfrutado mucho del sol, sé qué te dije que lo haría, pues me encanta el suave calor de aquella luz de estrella en primavera.
Supongo que es porque no he salido mucho de casa, o más bien sí lo he hecho pero mentalmente me he mantenido en mi habitación. Entre cuatro paredes seguras, aguantando todo el movimiento del mar que me ha revolcado durante cada semana de cada mes.
Aún así sigo en pie, a punto de rendirme en algunas cosas, habiendo logrado tantas otras y deseando un par que mañana olvidaré al despertar.
Si estuvieras aquí dirías que lo he hecho bien?
Creerías que debería estar orgullosa?
Seguramente te mantendrías en silencio, asumiendo que soy feliz.
Voy a intentar serlo por ti, de disfrutar del sol como si aún estuvieras aquí.
@entropia-sentimental
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Siempre me he preguntado cómo te fijaste en mi corazón entre todo el montón.
Qué te llevo a decidir que tenía algo especial digno de atesorar.
En una feria donde se venden muchas chucherías bellas me elegiste a mí,
Al unicornio de porcelana con grietas en el alma.
Un adorno algo fantástico pero de carácter infantil,
Con los colores desgastados pero con sus detalles delicados pulidos y bien logrados.
Pero también creo que buscando una casualidad en otro multiverso yo te encontré a ti,
A un pequeño osito de madera tierno pero resistente ante los golpes que la vida le aseste.
Un poco minimalista en el exterior pero con miles de sentimientos ocultos en su interior.
Con vetas como pecas que se escondían debajo del polvo de una tristeza ligera.
Y en algún entrecruce de estrellas y luces logramos coincidir,
En un tiempo imperfecto, cargado de nuevos deseos bajo un cielo lleno de palabras y sueños.
Fuimos eso, un cometa en el firmamento.
@entropia-sentimental
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Es como ver una película que olvido que es sobre mí,
Donde dos mapaches salvajes corretean y pelean entre sí.
Uno es la fuerza de voluntad y ganas de luchar,
Es la energía de un alma dura pero que quiere explotar.
El otro es la paciencia y la compasión,
Las lágrimas sensibles pero que desmoronan al corazón.
Se representa mi naturaleza dual,
La eterna riña entre lo que quieres hacer y lo que en verdad das.
Al final solo es otra función que me estruja la moral y me deja el sabor amargo de la indecisión.
Porque me es imposible no validar ambos puntos de vista en una discusión.
Y recuerdo que sin importar la historia, el conflicto o la razón,
Aunque estos polos opuestos sean diferentes, en su interior siguen siendo dos representaciones de lo que soy.
Gemelos idénticos fruto de mi miedo interno a la desaprobación.
De mi necesidad de separar al bien y al mal, pero de darle lugar a ambos por igual.
De como todo se soluciona si salgo de aquel cine y comienzo a actuar sin pensar en todo lo que la incertidumbre puede abarcar.
Si dejo de intentar evitar que las cosas salgan mal,
Si me convierto en personaje principal sin importar el rumbo que pueda tomar.
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Recuerda siempre mirar el cielo, de ver con asombro y con un corazón sincero el universo.
Porque allí está el reflejo de lo que eres, en cada rayo de sol que pinta las hojas de los árboles y en las estrellas que dibujan la noche de luz.
En ese espejo gigante, ahí estás tú.
Nunca lo olvides.
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Por qué no puedo simplemente ir detrás de mis sueños, de mis metas, de una idea que parece estar tan cerca?
No sé si me falta motivación, energía o si debo directamente cambiar toda mi vida.
No digo que no tenga fuerza y resiliencia, porque quiero confiar en que las poseo, porque he logrado alcanzar y superar otros miedos.
Pero me frustra no poder, estando tan al límite, solo esforzarme un milímetro más para ganar la batalla.
Todos los demás pueden cruzar la línea de llegada sin problema, pero yo me freno antes de terminar la carrera.
Y me preguntó, cómo convivo con la falta de esperanza, coraje y decisión que son necesarios para sobrevivir en este mundo?
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Solo quiero desaparecer del radar un rato,
Dormir más de la cuenta un sábado.
Quiero ignorar quien soy y los planes que tengo agendados,
Sería lindo detener el tiempo y disfrutar del presente antes de que se vuelva pasado.
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Y me di cuenta que lo que más quiero es atención real, detalles y tiempo de calidad.
Pero al mismo tiempo rechazo los cumplidos y las muestras de afecto, y yo misma pierdo el inter��s rápidamente en los demás.
Quizás busco lo que no tengo, y por eso anhelo lo que me cuesta aceptar.
Es mi lógica incoherente, triste y deprimente, auto impuesta y que con resiliencia inconcientemente en mi persona se mantiene.
Es la barrera que debo superar, mi propio veneno que debo contrarrestar.
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Me asfixia esta atmósfera, sus palabras me molestan y agobian.
El oxígeno simplemente se acumula en mi mente, inflando mi cerebro como si no tuviera un escape concreto.
Así me siento, como si quisiera estar fuera de este planeta por completo.
Aunque seguramente eso me mataría, puesto que no respiraria.
Pero al mismo tiempo, se hace tan tentador flotar en el espacio exterior, como si hubiera libertad en dejarlo todo atrás y ser puramente egoísta.
Porque quizás así, vuelta una estrella, habría gente que me tendría en cuenta.
Aunque también sería bueno no tener que transmutar para que importe lo que tengo que expresar.
Sería increíble pensar que mi hogar en la tierra no me acorta la existencia, y que yo por mi parte no rumio los pensamientos nefastos que en esta prosperan.
Pero quizás mañana el sol dará otra vuelta, y el tiempo será distinto a como era.
O quizás nada de eso suceda, y solo se suprimiran nuevamente mis emociones durante otra temporada entera.
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Y en el vacío encontré ahora un camino,
Me di cuenta que lo transitaba cuando ya llevaba varios kilómetros recorridos.
Es el tipo de senda que no puedes controlar,
Esas de un solo destino, sin desvíos ni atajos que cambien el recorrido.
Y solo me quedó aceptar que debía terminar mi caminata, porque culminaba en una calle cerrada.
Aunque triste y decorazonada, la situación sola se solucionaba.
Porque yo podía salirme del mapa, y trazar nuevas rutas a aventuras extraordinarias.
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Pero cariño, cómo pensas que podemos hablar de los dos como un conjunto si a duras penas me hablas de ti y de cómo sos.
No me malinterpretes, no es que no quiera estar contigo. Pero no quiero ser yo siempre la que habla, incluso de más, y que un día me pregunten algo sobre ti y no sepa qué contestar.
Sé que no lo haces con intención, pues noto que no estás habituado a ponerte en el centro del universo.
Yo te puedo y voy a esperar, estaré junto a ti todo el tiempo que necesites para conocerte a ti mismo y encontrar las palabras que quizás antes no pensabas que necesitabas.
Porque quizás fue una coincidencia bien acertada, una risa en medio de una llamada, que alguien llena de expresión pero pobre en decisión se encontrará con alguien valiente pero que había olvidado su propia voz.
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Supongo que siempre quise que alguien me quisiera de la manera en la que tú lo haces, que me diera esas muestras de afecto tiernas y típicas de las novelas. Que me hiciera reír hasta en mis momentos más vulnerables y me diera fuerzas para perseguir mis sueños más imposibles. Alguien que me animara a bailar y a vencer los límites que creía incuestionables. Una persona que me encuentre entre tanta gente.
Y al final dices que me quisiste, que me querés, porque te enamoré.
Porque al principio yo te encontré, fui valiente y confíe.
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Tu amor me genera esa nostalgia especial, la de extrañar algo porque en el pasado, antes de que ambos fueron un conjunto, no sabía que existía, pero que ahora conozco y me parece indispensable.
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