#encoreune

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Être prêt à laisser une idée de personnage aux oubliettes, avant de craquer de faiblesse en se disant qu'on a la place pour le jouer!

[julianocaldeira]

#encoreune #atelier #artstudio #oilpainting #contemporaryart #painting #freshpaint #colors #lights #glasses #sunlight #eclipse #julianocaldeira (à Le Marais)

[motherfucker-la-blog]

#IAMF 52 - Quand on a appris qu’Arya sortait avec Stanley.

[inspirartecanada]

#etvoilà #encoreune #bellejourneeproductive #seducedbypottery #elencantodelbarro #pottersofinstagram

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Jacqueline Fischer - A ceux que j'ai perdus de vie

Jacqueline Fischer – A ceux que j’ai perdus de vie

Photo de Pixabay A ceux que j’ai perdus de vieEt de leur vue, tendre exiléeéperdue donner encoreUne goutte de lumièreUn peu de peau encore doucePas de quoi arpenterLes déserts du désirOffrirPour une soif incidenteJuste la perleEn son arrêtD’une mémoireEn déroute.(in points de bévue)

[caddyplace]

Voir vite

C’est un sourire en coinUn éclair inconnuSoudain, je suis là Je cherche encoreUn corps à corps d’étéSous l’ennui bleu Ses seins sont si beauxEt pour elle des fardeauxLe monde est mal fait Nuit tombée jetéeSur les épaules en ville oncourt à notre perte

[phytoncidesdefrance]

⛰ 𝙿𝙷𝙰𝚁𝙴 𝙰𝚆𝙰𝚈 ⛰ _____________________________________________________________ . 👋 Bonjour à tous les amis 🤩 Encoreune photo de notre beau cap Béar, mais cette fois-ci sous un angle inédit, avec son joli phare de très prêt, 🗼 un nuage obscurcissant les Pyrénées 🌩 . 🙏 Merci de votre lecture et de votre fidélité. Crédit photo @phytoncidesdefrance . _____________________________________________________________ 🙏 Vous pouvez liker, commenter, poser vos questions, nous nous ferons toujours un plaisir de vous répondre ♥️🗯💭⬇️ 🌍 Abonnez-vous et rejoignez notre monde 😊 . @france4dreams @france.focus_on @france_regards @francebleuroussillon @djglobal @occitanietourisme @tourisme_en_occitanie @laregionoccitanie @occitaniesuddefrance @pyreneesorientales_tourisme @francebleuroussillon @port.vendres #Pyrenees #Mediterranee #Plage #Phare #DestinationPyrenees #DronePic #Lighthouse #Mediterraneanlife #DjiGlobal #PaysageDeFrance #loves_pyrenees #DronePhoto #les_beautes_catalanes #Pyrénées #PyreneesOrientales #Catalogne #LanguedocRoussillon #VisitPo #SudDeLaFrance #leSud #TourismeOccitanie #FierDuSud #SudDeFrance #TravelFrance #FrenchCountry #France_photolovers #MagnifiqueFrance #France4Dreams #Occitanie #PhytoncidesDeFrance (à Cap Béar) https://www.instagram.com/p/CD4fg1WsIf-/?igshid=17x4k6jvnxp98

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(Re) : Numeric Landscape / les 5 articles les plus lus sur l'année 2018 / N°5

(Re) : Numeric Landscape / les 5 articles les plus lus sur l’année 2018 / N°5

Temps de lecture : 2minutes

Voici notrecinquième et dernière semaine et donc la fin de notre TOP 5 : «COLVERT » ou COMMENT EXPLIQUER L’UNE DES MESURE PHARE DU SDT WALLON?!Encoreune fois il est question de densité, de gestion parcimonieuse du territoire.Colvert est une petite vidéo canadienne démontrant les affres de l’extensionurbaine avec la voiture et expliquant de manière très ludique…

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Kim Kardashian confirme ENFIN le sexe de son bébé !

Elle ne lui a pas encore choisi de prénom mais vous pouvez en être sûrs : Kim Kardashian va être maman d'une petite fille ! La mère porteuse qu'elle a engagé avec Kanye West accouchera autour de Noël , et c'est bien une petite soeur qu'auront North et Saint ! La star de "l'Incroyable famille Kardashian" l'a annoncé malgré elle, ce 14 novembre, dans l'émission d'Ellen DeGeneres, diffusée à la télévision américaine."Baby Sister"L'enfant qui naîtra bientôt a déjà un surnom au sein de la famille. North, 4 ans, l'appelle "Baby Sister" (petite soeur). Après l'organisation rapide d'une baby shower ce week-end - pour que "North ressente quelque chose et qu'elle comprenne vraiment" - la grande soeur de Khloé Kardashian et Kylie Jenner a analysé le comportement de son ainée.  Kim confie : "Les gens ont apporté des jouets et des cadeaux et North les a tous ouvert, le jour suivant". Pleine de tendresse, la bimbo a rapporté que sa jolie petite fille lui avait assuré "Maman, puisque Baby Sister n'est pas là, je pense que j'ai besoin de prendre tous ses jouets dans ma chambre. Je vais jouer avec et faire en sorte qu'ils soient tous ok pour Baby Sister".Saint ne comprend pas encoreUn enthousiasme que ne partage pas encore Saint, qui aura bientôt 2 ans. Pour lui, le processus "était un peu plus compliqué" assure la star de télé-réalité. >> A voir aussi : kim kardashian affiche son psoriasis F.A... Retrouvez cet article sur Public

Photos : Kim Kardashian a 37 ans : qui sont les hommes de sa vie ?

Photos : Khloé Kardashian : il est où le baby bump, il est où ?

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Kourtney Kardashian et Younes Bendjima : bientôt fiancés ?

Photos : Kim Kardashian fête son anniversaire, snobée par ses soeurs enceintes !

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Quand un membre te demande le nombre de persos que t'as et que tu balances le nombre :

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Imagination et Réalité, Dame nature- Marianne Dessaux

Imagination et Réalité, Dame nature- Marianne Dessaux

  Un rêve bleu qui passe sur un nuage blancEt change les couleurs du ciel en songeQuelle féérie !   Imagine encore La pluie s’invite ruisselante sur les pâturages ensoleillésTandis qu’un arc en ciel se colore sur les montagnesQuelle beauté ! Imagine encore plusUn vol d’hirondelles là-haut, frôlant l’azurUn murmure dans les feuilles de chênes sacrésQuelle magie ! Imagine encore et encoreUn coucher…

[aestheticslyrics]

lifeline // anastacia

[maudonblchd]

18 février – 22mars

POURSUITE DU PROJET

               Nous continuons à préparer le terrain. Après l’avoir labourer il faut l’égaliser. Sous le soleil c’est assez éprouvant mais pas le choix, nous résistons de plus en plus à la chaleur. Au fur et à mesure de l’avancée du projet nous nous rendons compte que certain de nos travaux sont inutiles, comme par exemple l’aplanissement du terrain. Je pense que c’était assez inévitable puisqu’il n’est pas toujours aisé de se comprendre avec les philippins sur le plan de l’organisation. L’un va nous dire de bécher la terre, l’autre que c’est inutile, un autre qu’il faut acheter des graviers car ainsi le terrain sera de meilleure qualité, l’autre que c’est trop cher et pas indispensable. Il nous faudra nous roder un peu avant de bien comprendre leur fonctionnement et ainsi pouvoir travailler ensemble. Prenons l’exemple du panier de basket : Tito Rode pensait récupérer l’ancien panier de basket qui trainait dans le village et le retaper, nous lui proposons de partir sur quelque chose de vraiment neuf pour qu’il tienne longtemps. Et plutôt que de prendre un poteau que l’on pose simplement sur le sol avec des gros blocs de béton derrière pour faire le contre poids, nous pensons plus investir dans un vrai poteau de basket planté dans le sol en coulant un bloc de béton sous terre. Quelque chose de bien solide !Il nous dit que cela va être trop cher, comme souvent lorsque nous proposons un invetissement. Nous avons pris le parti de ne pas donner la somme dont nous disposions car elle est tellement énorme pour ici, qu’on aurait perdu toute relation simple avec les « workers » et même avec le projectdirector. Comme il nous l’a été enseigné à notre arrivée aux Philippines. Ici on commence par crééer une relation amicale avant de parler business ou argent. Contrairement à la France. Je dérive. Nous expliquons donc à Tito Rode que nous avons récolté en France avant de partir de quoi faire un terrain de bonne qualité. Il nous emmène donc en voiture voir le poteau de basket. Nous prenons sa superbe voiture 4x4 pick up triple suspensions pour faire 500 mètres (aller à Fiesta, la communauté voisine). Nous voilà donc dans un entrepôts … pourvoir le panier de basket que nous ne voulions pas … n’a-t-il pas compris notre requête ou fait-il semblant .. ?Nous regardons le poteauet Constant se lance avec son accent très American «We think it’s not strong enough, you know, eeeeem, we want something sustainable, a basket where people can grab you knoww ». Nous l’invitons donc à aller regarder sur les terrains de basket juste en face, où il y a des paniers solidement fixés dans le sol. Tito Rode observe, évalu, il hoche de la tête, il estime le tout à 40 euros « no more ?!? ». Nous rentrons donc à la maison, sans vraiment savoir l’issu de ce panier. Mais tout semble ok pour Tito Rode. Suspens. Un autre jour nous allons acheter des sacs de ciment dans un entrepôts à 15 min du village en voiture, et Tito Rode achète également des tubes de métal en plus. « What’sthat for ? ». C’est pour construire les jeux d’enfants. Nous pensions que nous allions acheter des jeux tout fait, mais super Tito Rode à de bien meilleurs plans que nous. Nous allons employer un « steel man » pour fabriquer les jeux du playground. C’est ainsi que notre magicien du fer nous crééa à partir des tubes de fer et les tiges de métal, de superbes jeux. Avec bien évidement des matériaux de récup par-ci par-là. A grand coup de machine à souder dans la « multipourpose » soit la salle polyvalente du village et à coup de scie à métaux qui nous broie les oreilles, il mit 10 jours à faire surgir ces merveilles.Pendant que le « steel man » continuait de construire des jeux, les enfants jouaient déjà sur les jeux construits. Autant vous dire que entre les bruits de la scie et ceux des cris des enfants, les décibels ne cessaient de monter ! Lors d’une sortie au « SM Clark » soit le mall de la grosse ville, nous croisons entre 2 magasins Tito Rode et sa femme. Surprise, il est tout étonné et dans sa bonté il nous propose de nous ramener au village en voiture ! Trop sympa ces philippins !  A l’aller une jeepney partant du village nous amène gratos au mall « it’sokay, iy’sokay ». Nous rentrons donc avec Tito,  dans l’arrière de son pick up dort tranquillement un panier de basket orange, flambant neuf ! C’est une vraie chasse au trésor, nous découvrons au fur et à mesure les différentes parties du poteau de basket. C’est pourquoi sur le chemin du retour, nous nous arrêtons dans une ferraillerie pour dégoter une plaque de fonte de 30 sur 30 cm : encoreune partie du panier ! Les factures tombent doucement et c‘est sans surprise que nous dépassons les 40 euros prévu initialement pour le panier de basket ahha ! Mais tout ceci reste bien raisonnable nous ne sommes pas chez décathlon. Le résultat sera très satisfaisant, un chef d’œuvre ! Avec cependant un petit hic  : une fois installé, la structure tremble : il faut couler du béton dans le poteau principal pour le fortifier.

Revenons en au terrain en lui même : nous l’avions laissé dans ce récit au stade de terre retourné et tassée. Il s’agit maintenant de prendre les mesures du terrain et de creuser des tranchées sur son périmètre. Ensuite ces tranchés seront remplis de mortier (sable + ciment) afin d’y déposer les parpains qui constitueront le moule du terrain. Pour que le terrain soit bien plat un ingénieux système de nivellement dont je ne révélerai pas le secret, fut mis en place. Reste à remplir le moule à gâteaux. Il nous fallait de quoi faire du ciment soit des sacs de ciments + sable + gravier. Pour les sacs de ciment la commande était faite comme expliqué plus haut, reste à se faire livrer sable et gravier ! Un des type du village nous donne un bon tuyau : le chef du baranguay de Tabun peut nous en donner gratos quand aux graviers il ne nous en faut pas beaucoup ! Pas de machine à béton ici, tout se fait à la pelle ! La technique est simple, le coup de main est plus dur, mais ce n’est pas grave si nous ne le saisissons pas tout de suite, notre aide porte quand même de ses fruits ! Voici la recette : - 1 grosse bolé  sable - 2 sacets de ciment à éventrer à grand coup de pelle  - une émincée de gravier - 1 dizaine de litre d’eau Mélanger le sable et le ciment à coup de cuillères à soupe de la façon suivante : déplacer la montagne de ce granuleux mélange sur la droite, une fois la montagne reconstituée, effectuer le mélange dans le sens inverse pour obtenir un mélange homogène. A l’aide de cette même cuillère à soupe creuser un puit au centre de manière à obtenir un large puit peu profond et y ajouter les œufs ! Euh les graviers pardon, de façon circulaire sur le pourtour du puit. A ceci ajouter les bons litres d’eau du tuyau d’arrosage. Laissez reposer le temps de la pose déj des workers (histoire de bien bloquer le passage : le mélange s’effectuant sur la route). La partie la plus musclée arrive alors : il faut mélanger cette lourde mixture avant de remplir les sceaux qui emporteront cet onctueux béton sur le terrain. Roberto et Max, ces hommes finement musclés,  transportaient les sceaux de lourd béton avec les philippins tandis qu’avec d’autres philippins nous remplissions les sceaux. Les hommes du village n’étant disponible que le dimanche matin, entre 2 dimanches nous ne pouvions pas beaucoup avancer, c’est pourquoi dès le lundi nous employons 3 hommes du village. En 4 jours, le béton était coulé avec l’aide deCuya Max et CuyaRoberto !

 Pour résumer je dirai que nous apprenons une chose : la patience et la confiance. Nous ne pouvons pas mener le projet selon notre vision, il nous faut nous adapter à la façon de fonctionner du pays.C’est ainsi que certains matins, le projet director « Tito Rode », est sur le terrain à 8heure, mais comme il ne nous prévient ni de sa venue ni de sa présence …. nous ne sommes pas sur le terrain (qui juxte notre maison je vous l’accorde).  Nous réussissons désormais à dormir jusqu’à 8h30 ou plus, c’est pourquoi nous ne sommes plus au taquet à 7h30 – 8h sur le terrain. La chaleur fatigue mine de rien ! Ou comme hier, par exemple, où ilnous donne rdv à 9h et ne vient pas ahah. Nous l’attendons donc toute la journée J Il arrive à 17h30 et nous dit qu’il reviendra le lendemain matin à 9h pour qu’on aille acheter la peinture pour les jeux du playground et le ciment car … nous allons construire, à la demande du chef du baranguay, un deuxième demi-terrain de basket pour avoir ainsi un terrain entier ! Nous l’attendons donc ce matin mais à 10h30 un texto … « je ne peux pas venir ce matin, je viens demain à 9h ». Bon … patience je disais donc ! J

VIE AU VILLAGE

Nous prenons nos marques, les habitudes s’installent. Les garçons discutent avec notre voisin Jerry, avec sa mémorable voix nasillarde qui vous réveil dès le matin : « Guys, the water ! Can I takeit ? »ahah il va bien nous manquer lui ! Ca discutent philippine, poulet et pour ne rien vous cacher, Jerry n’a pas toujours besoin de réponse, parfois il se fait des monologues ,un simple besoin de parler. Ca tombe bien car on ne comprend pas toujours tout ahha ! Jerry vend de la streetfood à l’angle de la rue : des dimsum ou encore des shiomaï. Pour les amateurs de nourriture chinoise se sontdes bouchées vapeurs de crevettes ou de pork. Un vrai délice. Il part donc sur les coups de16h (sortie de cours pour certains) avec son vélo boutique vendre ses dimsumsavec « the best sauce of Pampamga ». C’est non sans plaisir que nous passons lui dire un petit coucou pour acheter ces petites merveilles. Mais le drame arrive quelques jours plus tard : une vraie désillusions : alors que Clémence et moi jouions avec les enfants de Jerry dans leur pièce des séjour/chambre, Madame Jerry ouvre  le frigo et la mon Dieu : il est remplit de dimsumscongélés et empaquetés : Jerry n’est donc pas le cuisinier de ces merveilles comme nous le supposions mais bien le réchauffeur de dimsums. Je disais donc que nous retrouvions parfois Max, Rob, Jerry et son frère en train de siroter une Red Horse avec des chicharons (chips épaisse au vinaigre) : je viens de vous décrire ici le paradis des garçons. Leur deuxième eden est le café chocomucho. Ce simple mot n’évoque rien pour, mais sa simple évocation dans notre maison entraine une euphorie incontrôlable chez Marie, Max et Rob. Ce sont des barres chocolatés/crispy/caramel. Clémence, elle, ne jure que par les Lava Cake : un bon gâteau au choc bien chimique empaqueté comme les Savanes de nos intermarchés ! Déclencher une guerillas est bien simple : il suffit de cacher l’un de ces gâteaux pour que son propriétaire rentre dans une paranoïa effrénée et prenne en otage les gâteaux des autres. C’est alors que les gâteaux volent d’une main à l’autre, voir son projeté violemment contre le mur sous les rires amusés des enfants. C’est le sort que subit ce jour un lava cake de Clémence : pris dans une terrible échauffourée avec Max et Roberto, le lava cake fini son voyage en bas du mur de la cuisine, après un lancé non sans force de Roberto qui finit d’achevé les papilles malmenées de notre chère Fifi. Cette scène ponctuée par une phrase de Max « c’est ce qui fallait à ton gâteau pour être bien moelleux ». Les trocs de gâteaux sont également périlleux : un chocomuchovaut il un lava cake … ? Je disais donc que pendant que les garçons s’acoquine avec notre Jerry, nous jouons avec les enfants, ou alors discutons avec nos bodibuildés du village : 2 jumeaux de 24 ans, model au Japon. Ou encore c’est enceinte et danse ou coiffure après nos douches ! Des soirées bien remplis ! Mais pas de discrimination, Max et Rob font également apparition sur la piste de danse et lors des jeux ! Plus le temps avance, moins les jeux se font fréquent. Mais vous comprendrez que 1 mois de « dans ma maison sous terre » puisse devenir lassant ! Mais maintenant que le terrain et les jeux sont prêts, les activités sont plus diversifiées ! C’est grâce à ces danses avec les enfants que nous rencontrons des mamans du village qui regarde avec amusement. Comme cette maman de 5 enfants âgée de 26ans, musulmane. Je commence à discuter un peu avec elle (son anglais n’est pas très développé), elle a une petite fille de 9 mois, je lui demande de la voir et nous voilà chez elle. En entrant, comme il fait sombre dehors je tente d’allumer la lumière mais elle rit : ils n’ont pas d’éléctricité. Elle va allumer une bougie. Son mari, 4 de ses enfants et elle vivent dans ces 2 pièces avec son père. Dans la chambre à coucher au fond : un lit double pour eux, un grand matelas pour tous les enfants et une nacelle accrochée en travers de la pièce où elle balance énergiquement avec un grand sourire sa fille de 2 ans pour l’endormir ! J’ai l’impression que la nacelle va se décrocher et envoyer balader son enfant à travers la pièce ! Encore un réflexe d’européen ! Son neveu qui est là avec son chien (avec qui nous avons joué au basket cette après-midi. Pas le chien mai le neveu bien sur) fait la traduction quand cela est nécessaire ; TitaJeniss a donc 5 enfants : 1 fille de 8 ans qui vit dans une autre ville chez de la famille, puis 2 jumeaux de 5 ans et les 2 dernières que j’ai déjà évoquée plus haut. Elle a eu son premier enfant à 19 ans, on voit souvent son mari déambuler dans la rue avec les 4 enfants accrochés à lui, j’adore cette scène ! Ce papa n’a plus de travail et nous aide souvent pour le terrain. Clémence nous rejoint et craque également pour la petite de 9 mois qui est à bouffer !!En partant, Clémence et TitaJeniss ont prévu que nous partagions un soir un repas de pâtes que nous cuisinerons dans sa cuisine (car nous n’en avons pas !). La dernière chose dont je voudrais vous parler concerne … sage-femme ! (étude oblige) Nous avons croisé 2 femmes enceintes dans le village dont l’une qui parle très bien anglais et qui attend … des jumeaux !! Clémence papote un jour avec elle et lui demande si de peut venir un jour à une de ses consult ! Pas de problème, la prochaine est le 24 mars. J’irai lui demander quelques jours plus yard si je peux me joindre à la consult, mais bien sûr et d’ailleurs j’ai un check up au centre de santé jeudi prochain, vous pouvez venir ! Nous nous rendons donc au centre de santé situé à 15 min à pied du village. C’est un centre de santé pour les enfants et pour les femmes enceintes. La sage-femme est un homme et aujourd’hui l’infirmière n’est pas là, il n’y aura donc pas de palpation du ventre. Lors du rendez-vous la femme présentera donc juste ses prises de sang et échographies à la sage – femme qui lui donnera des comprimés de fer à prendre tous les jours et lui fera une injection contre le tetanos (sans désinfection bien sûr). La sage-femme n’aura donc pas touché la femme ni écouté le cœur du bébé : .difficile de comprendre comment elle peut savoir que tout va bien … ! Mais nous sommes très bien accueillit et le sagefemme m’accorde un interview pour mon mémoire. Il travaille au centre tous les jeudis. Dans le cadre de mon mémoire, j’ai besoin d’interviewer entre 10 et 15 femmes enceintes. Je commence donc mon 1er interview le surlendemain avec la maman enceinte de jumeaux. Pour mon 1er interview Clémence m’accompagne, elle tiendra le dictaphone. Nous connaissions déjà la plupart de ses réponses puisque nous avions pas mal discuté les jours précédents, mais l’interview n’en fut pas moins intéressante pour autant ! Une vieille dame du village trop sympa, avec un sourire à 1 dent, assistait elle aussi à l’entretien. Ce fut un moment très sympa, avec rires et explications ! A la fin, la vieille dame me pose une question que nous mettons du temps à comprendre : veut on être les marraines des jumeaux. On en revient pas !! Ca nous fait super plaisir ! Le petit (gros) hic de notre côté est que nous serons déjà partis quand elle accouchera : elle est à 6 mois de grossesse. Ca ne change rien, ça lui fait plaisir ! Elle nous explique également que parfois c’est la marraine qui choisit le prénom c’est pourquoi elle nous demande d’en choisir un chacune. Elle souhaite qu’il commence par la lettre J. sans grande surprise Clémence choisit Joseph, pour ma part j’opte pour Jean c’est-à-dire « John » ici ! En rentrant de notre semaine de vacances, je vais lui rendre visite pour discuter un peu, lui raconter les vacances, parler des Philippines. C’est très sympa de faire des rencontres comme ça !

 Je tiens à remercier les fidèles poules qui m’ont soutenu durant ma longue écriture par leurs roucoulements amicales

[inspirartecanada]

#encoreun #onemoreinwhite #seducedbypottery

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#etbim #encoreune #☀️ #couchéaulever #levéaucoucher #dur #villefranchesurmer

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#ossau #encoreune #iphone #pyrenees 09/11/14