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abdlrimespotiques · 1 year ago
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africafinancialtimes · 1 year ago
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Inauguration du pipeline Benin-Niger ce mercredi 1er novembre 2023 : le Président Patrice Talon a choisi d’écouter son peuple en portant une estocade à l’embargo de Ouattara et ses amis.
Selon les informations qui sont parvenues à la rédaction de Kingo Media Group tôt ce matin, le projet de pipeline pétrolier et gazier initié par le Bénin et le Niger sera inauguré ce mercredi 1er novembre 2023. En effet, le Président Patrice Talon a choisi d’écouter la voix de son peuple en acceptant de co-inaugurer avec son voisin et frère du Niger l’ambitieux projet de pipeline initié sous…
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emploitogo · 1 year ago
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Séminaire de formation portant sur la maîtrise et la mise en application du SYCEBNL
SEMINAIRE DE FORMATION PORTANT SUR LA MAITRISE ET LA MISE EN APPLICATION DU SYCEBNL (Système Comptable des Entités à But Non Lucratif) Le cabinet SOFICOM CONSULTING SARL porte à la connaissance du grand public, qu’il organise un spécial séminaire de formation sur une période d’une (01) semaine portant sur le système comptable des entités à but non lucratif (SYCEBNL). << L’entité à but non…
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malone-davis · 10 months ago
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C'est vrai que c'est jamais arrivé mais vaut mieux être trop prudent. Tu veux vraiment rester dans ce registre-là ? Allez, j'attends de voir le résultat, fais-moi rêver.
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T'en fais pas pour ça, je te laisserai jamais à sec. Peut être pas toujours aussi dramatique que celui-ci... Mais rester dans un ton plus sérieux me dérangerait pas. Te surprendre, c'est mon objectif principal. J'espère juste que tu seras pas trop gêné de me voir dans certaines scènes...
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Pendant vos prochaines interviews, dans vos posts Instagram, ça m'est égal
Mais il faut que vous commenciez à parler de cette réunion. Dès maintenant.
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bts-trans · 5 months ago
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240715 Paris Olympics' Tweet
Jin, membre du groupe BTS et étoile de la Kpop, illumine Paris en portant la Flamme Olympique 🔥 - 진, BTS 멤버이자 K팝 스타가 올림픽 성화를 들고 파리를 밝히다 🔥 한국어가 정확했으면 좋겠어요.
Jin, Kpop star and member of the group BTS, lights up Paris with the the Olympic Torch 🔥
(T/N: The same message was posted in Korean, with a small addition: "I hope the Korean is accurate.")
Trans cr; Aditi @ bts-trans © TAKE OUT WITH FULL CREDITS
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the-fandomgremlin · 3 months ago
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Vive la France...
Transcription:
[article par Le Parisien]
En fauteuil, il ne trouve pas d'agent pour l'aider à monter dans le RER et rate la flamme Paralympique à Paris.
Pierrick Courilleau, habitant d'Orsay (Essonne) et élu municipal, n'a pas pu monter dans le RER en gare de Guichet pour aller à Paris ce mercredi assister au passage de la flamme Paralympique. Une mésaventure qu'il raconte, rappelant que «L'accessibilité n'est pas une variable d'ajustement».
Photo: Pierrick Courilleau, un homme blanc portant un casque, des lunettes de soleil et un costume est assis dehors sur son fauteuil électrique.
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chic-a-gigot · 4 months ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme �� la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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empiredesimparte · 6 months ago
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(Stéphane Bernard) Observe with what elegance most of the guests are wearing the republican cocarde! Among all the French symbols, the Emperor has chosen to honor Liberty, so dear to our Nation. What a magnificent way to celebrate our shared heritage. (Other journalist) Indeed, the empire has preserved many remnants, if I may say, of the French Revolution. (Stéphane Bernard) Emperor Napoleon III once said that the empire is "the reign of liberty, preserving the moral influence of the Revolution, and diminishing the fears it inspired." I believe that sums up Simpartism quite well.
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(Stéphane Bernard) Look, the Emperor and Empress of Pierreland, also wearing la cocarde. (Other journalist) Always so radiant. It is said that today the roles have reversed, with Emperor David, once protected by Napoleon IV, now striving to watch over Napoleon V. (Stéphane Bernard) Absolutely, Their Imperial Majesties share a very strong relationship. In fact, when he was still the imperial prince, Napoleon V spent many hours coordinating the maritime alliance between our two countries.
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(Stéphane Bernard) Queen Diana of Simdonia and her consort, who welcomed Emperor Napoleon V on his first ever state visit. They are followed by King Arthur of the United Kingdom of Prydain and Voltadermar.
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°3 | Francesim, Versailles, 27 Thermidor An 230
The guests arrive at the gala for the coronation of Emperor Napoleon V at Versailles. It was broadcast live on television by Stéphane Bernard, the famous journalist for the crowned heads in Francesim.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Guests at the coronation
TIM, Emperor David I and Empress Katalina of Pierreland (@officalroyalsofpierreland)
HRH, Prince Oliver, Duke of Rothsey (@officalroyalsofpierreland)
HIM, Queen Viviana II of the Ionian Union (@funkyllama)
TM, King Arnaut and Queen Lorraine of Uspana (@nexility-sims)
HM, Queen Anastasia of Carrington and HRH, Prince Hisirdoux, the Duke of Clois (@royalhouseofcarrington)
TRH, Crown Prince George, Duke of Everton and Crown Princess Anne, Duchess of Everton (@crownsofesha)
HRH, Margaret, the Princess Royal of Corrilea (@theroyalsofcorrilea)
HM, Queen Diana and HRH, Prince Gerhard of SimDonia (@bridgeportbritt)
HRH, Madame Royale Eleanor de Thornolie (@theroyalthornoliachronicles)
TM, King Giovanni and Queen Consort Cassandre (@royalhouseofcardsleyts4)
TIM, The High King and High Queen of the Presean Empire (@stthomaspalace)
TM, King George I and Queen Elizabeth of Illyria (@the-lancasters)
TRH, the Duke and Duchess of Marseille and Saint-Lyon (@sosa-royals)
HM, Rosalind II, Queen of the Armoricans (@armoricaroyalty)
HM, King Arthur of the United Kingdom of Prydain and Voltadelmar (@prydainroyals)
TRH, The Prince and Princess of Belen (@housekonig)
HIH,  The Princess Imperial Eliana of Alexandria (@thealexandrianroyals)
TM, Queen Najwa and King Abeni of Oasis Springs (@hrh-the-royals)
TRH, Crown Princess Emeline and Crown Prince Cedric of Whitmore (@whitmoreroyals)
TM, King Oliver and Queen Charlotte of Cedoria and the Isle (@thebaillieroyals)
TM, King James II and Queen Alibhe of United Kingdoms of Great Briton and Ériu (@trhor)
Her Majesty Queen Irene and HRH Prince James (@albanyroyals)
⚜ Traduction française
(Stéphane Bernard) Observez avec quelle élégance la plupart des invités arborent la cocarde républicaine ! Parmi tous les symboles français, l'Empereur a souhaité mettre à l'honneur la Liberté, si chère à notre Nation. Quelle magnifique manière d'honorer notre héritage commun ! (Autre journaliste) Effectivement, l'empire a conservé de nombreux vestiges si j'ose dire de la Révolution française. (Stéphane Bernard) L'empereur Napoléon III disait que l'empire est "le règne de la liberté, sauvant l'influence morale de la Révolution, et en diminuant les craintes qu'elle inspirait". Je crois que ça résume bien le Simpartisme.
(Stéphane Bernard) L'empereur et l'impératrice de Pierreland, portant eux aussi la cocarde. (Autre journaliste) Toujours aussi rayonnants. On raconte aujourd'hui que les rôles s'inversent, que l'empereur David, autrefois protégé par Napoléon IV, s'efforce aujourd'hui de veiller sur Napoléon V. (Stéphane Bernard) Tout à fait, Leurs Majestés Impériales ont de très bonnes relations. D'ailleurs, lorsqu'il était encore prince impérial, Napoléon V a passé de nombreuses heures à coordonner l'alliance maritime entre nos deux pays.
(Stéphane Bernard) La reine Diana de Simdonia et son consort, qui ont accueilli l'empereur Napoléon V pour sa toute première visite d'Etat. Ils sont suivis du roi Arthur du Royaume-Uni de Prydain et Voltadermar.
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sabinerondissime · 25 days ago
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Au pied des collines de Provence, une vieille maison semble endormie sous le soleil, avec ses tuiles de terre cuite brûlée et ses murs blanchis à la chaux, portant la trace des saisons passées. Le jardin qui l’entoure est un fouillis d’arômes et de couleurs, où les fleurs d’immortelles côtoient des massifs de lavande et de romarin. L’air est saturé de leur parfum, qui danse avec la brise, enroulant la maison dans une fragrance douce et sauvage. Un chemin, fait de dalles de pierre usées par le temps, serpente depuis le portail jusqu’à une table en bois, un peu bancale, dont le soleil et les années ont patinée la peinture jaune. Autour d’elle, quatre chaises en bois attendent patiemment des amis de passage, prêtes à accueillir les rires et les conversations qui s’étioleront sous le ciel étoilé de la Provence. Sur la table, un vieux pot de fleurs trône, sa terre craquelée par la sécheresse, laissant deviner qu’un peu d’eau ne lui ferait pas de mal. Mais, dans ce cadre immobile et intemporel, même les détails oubliés semblent ajouter au charme d’une scène figée entre deux époques, où le temps se fond au parfum du jardin et au murmure des collines.
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chicinsilk · 3 months ago
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Harper's Bazaar August 1990
Model wearing a sage baby alpaca sweater with shoulder buttons, a duffle coat with printed lining and suede ankle boots, all by Salvatore Ferragamo. Necklace by Dominique Aurientis. Hair by Kerry Warn, makeup by Brigitte Reiss-Anderson for Trish McEvoy.
Modèle portant un pull bébé sage en alpaga avec boutons aux épaules, un duffle-coat avec doublure imprimée et des bottines en daim, l'ensemble, par Salvatore Ferragamo. Collier Dominique Aurientis. Coiffure, Kerry Warn, maquillage par Brigitte Reiss-Anderson pour Trish McEvoy.
Photo J.R. Duran
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ladyniniane · 6 months ago
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Je suis tombée récemment sur une vidéo portant un titre putaclic mais efficace qui disait en substance "maisons d'éditions : vous avez 97% de chance d'échouer à être publié". L'autrice y faisait part de ses expériences passées et des multiples refus essuyés.
Ma première réaction en voyant ça a été : "à quoi bon ?". Comme beaucoup de gens qui écrivent un peu, je caresse parfois ce rêve. On écrit certes pour soi, mais j'ai aussi envie de me lier à d'autres personnes à travers mon texte. De le partager pour qu'il vive.
Une chose très importante ressortait de la vidéo : l'édition c'est un business et du marketing. Si le manuscrit est refusé, c'est qu'il ne correspond pas à ce que recherche l'éditeur. Cela ne veut pas forcément dire qu'il est mauvais. C'est comme quand on publie une fanfic. C'est mieux quand le sujet est populaire auprès des lecteurs.
C'est encore plus désolant vu que de nombreuses maisons d'édition françaises sont en train de créer de nouveaux labels. Sauf que c'est pour publier des oeuvres traduites, souvent de la romantasy, qui se ressemblent beaucoup les unes les autres, avec une énième histoire "enemies to lovers" qui était une fanfic reylo à la base. Et c'est dommage parce qu'il y a des tas d'aspirants auteurs francophones qui aimeraient être publiés. Mais bon, c'est plus facile de vendre un titre anglophone qui a déjà fait ses preuves et est attendu plutôt que l'oeuvre d'un parfait inconnu.
Et au final, je me suis dit "puisque je ne serai sans doute jamais publiée, autant écrire ce que je veux comme je veux".
Je pense que je commence à faire des progrès.
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thebusylilbee · 4 months ago
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[...] Preuve qu’il n’a pas pour idée de se remettre en cause, le président de la République a invité ce jeudi 25 juillet à l’Élysée pour déjeuner un parterre de grands patrons internationaux venus pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques (JO) et paralympiques (JOP) afin de les rassurer sur ses intentions pro-business. Un signal politique clair de la part de celui qui est accusé, bien au-delà des rangs de la gauche, de faire sécession avec les plus riches. Étaient présents à l’Élysée Elon Musk, patron du groupe automobile Tesla et soutien de Donald Trump, James Quincey (Coca-Cola), Joseph Tsai (Alibaba), Brian Chesky (Airbnb), Shou Zi Chew (TikTok), Lee Jae-yong (Samsung) Aditya et Lakshmi Mittal (ArcelorMittal), ou encore Neal Mohan (YouTube). Côté français, Bernard Arnault (LVMH), Nicolas Namias (BPCE), Alexandre Bompard (Carrefour) ou encore Sébastien Bazin (Accor) étaient également conviés. [...] Pas de remise en cause  Selon une conseillère élyséenne qui a parlé à l’AFP, Emmanuel Macron a, lors du déjeuner, voulu « rassurer » tous les patrons inquiets après des élections législatives désastreuses pour son camp politique, en se portant garant que ses réformes structurelles (baisse de la fiscalité sur le capital et les plus riches, flexibilisation du marché du travail, chômage, retraites…) ne seraient pas remises en cause.  Une conseillère de l’Élysée a précisé à l’AFP qu’Emmanuel Macron avait « expliqué les choix qui ont été les siens, avec notamment la dissolution » de l’Assemblée nationale, tout en les « invitant à continuer à investir dans notre pays ». Elle a aussi précisé qu’Emmanuel Macron leur avait donné « des gages » sur le fait qu’il a, lui, « l’attractivité chevillée au corps », et que cet élément serait « non négociable » lors des débats parlementaires à venir. [...] [C’est] cette idée « d’attractivité » qui gouverne la politique d’Emmanuel Macron et lui permet de justifier sa politique de l’offre, sans jamais questionner les plus de 160 milliards d’euros d’aides publiques distribuées chaque année aux entreprises qui creusent le déficit. Pacte législatif sans compromis  Autre preuve du déni démocratique en matière d’économie : ce mardi 30 juillet, Les Échos ont révélé les grandes lignes du « pacte d’action » prévu par le toujours premier ministre Gabriel Attal pour travailler avec d’autres forces politiques sur un « pacte législatif commun »... qui n’a de commun que le nom.  Le groupe macroniste, qui s’est renommé Ensemble pour la République (EPR), propose certes d’améliorer le pouvoir d’achat, principale préoccupation de la population. Mais nulle idée, pour ce faire, de rehausser le Smicà 1 600 euros net, comme le propose la gauche, ou de réinvestir dans les services publics. Il s’agit juste de poursuivre la politique déjà engagée depuis 2017.   Le groupe EPR propose en effet, selon Les Échos, une revue des exonérations de cotisations sociales pour rapprocher le salaire net du salaire brut et inciter aux augmentations. Soit ce qui était déjà prévu depuis l’automne dernier, via la mission qui avait été confiée par Élisabeth Borne aux économistes Antoine Bozio et Étienne Wasmer. Le parti présidentiel planche aussi sur une mesure visant à un meilleur « partage de la valeur » et à une amélioration de la « prime d’activité », également dans les tuyaux bien avant la dissolution de l’Assemblée nationale. Les Échos nous apprennent enfin que le groupe EPR promouvra la « continuité sur la politique économique, avec une stratégie activité, emploi et croissance pour accélérer la réindustrialisation et inciter à la reprise d’emploi avec une réforme de l’assurance-chômage ». Bref, de compromis en économie, il n’y aura pas du côté de la Macronie. 
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carbone14 · 6 months ago
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Joséphine Baker portant son uniforme de l’Armée de l’Air française – Paris – 1948
©Studio Harcourt
En 1939, Joséphine Baker devient agent du contre-espionnage à Paris. Elle participe en tant qu’infirmière pilote secouriste de l’air (IPSA), affectée à la Croix-Rouge à la réception de réfugiés belges et hollandais, et est officiellement engagée le 23 mai 1944 dans l'Armée de l'Air comme «officier de propagande» avec le grade de sous-lieutenant. Elle est Chevalière de la Légion d'Honneur et médaillée de la Résistance avec rosette et de la Croix de guerre 1939-1945.
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mrsines · 2 days ago
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Destinée Enchantée
Chapitre 10 : La mort
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Agatha dormait profondément, enveloppée dans un cocon de chaleur et de douceur. Les rayons du soleil filtraient à travers les rideaux, créant un jeu de lumière sur son visage serein. Son souffle était régulier, presque musical, tandis qu'un doux sourire se dessinaient sur ses lèvres, témoignant de rêves agréables. Elle était si plongée dans son sommeil qu'elle ne remarquait même pas qu'Ivana avait quitté l'espace douillet. Les draps s'étaient légèrement froissés là où Ivana avait été, mais Agatha, dans son monde de tranquillité, restait totalement inconsciente de cette absence. Les bruits du matin, doux et lointains, semblaient s'évanouir autour d'elle, ajoutant à la sensation de paix qui l'entourait.
Lorsque Agatha ouvrit doucement les yeux, la lumière du matin l'accueillit avec une douceur presque palpable. Elle cligna plusieurs fois des paupières, essayant de chasser la brume du sommeil qui enveloppait encore son esprit. En se redressant lentement, elle remarqua l'absence d'Ivana à ses côtés. Un frisson d'inquiétude parcourut son échine, et elle fronça les sourcils, son cœur se serrant à l'idée de ce qui avait pu se passer.
Agatha s'assit sur le bord du lit, les draps froissés glissant sous elle. Elle balaya la chambre du regard, cherchant des indices, des signes qui pourraient expliquer cette soudaine solitude. La panique commença à s'installer dans son esprit, alimentée par la peur que Ivana puisse regretter la nuit qu'elles avaient partagée. Des souvenirs de rires et de confidences lui revinrent, mais l'angoisse de l'incertitude assombrissait ses pensées. Elle se demanda si Ivana était partie par crainte ou par doute, et son cœur battait plus vite à chaque seconde qui passait.
Perdue dans ses pensées, Agatha flottait dans un océan de réflexions, son esprit vagabondant d'une idée à l'autre, sans prêter attention à son environnement. Les bruits de l'eau s'écoulant dans la salle de bain résonnaient doucement, mais elle était tellement absorbée par ses préoccupations qu'elle ne remarqua pas immédiatement qu'Ivana en était sortie.
Ce ne fut qu'un mouvement furtif dans son champ de vision qui attira son attention. Lorsque le regard d'Agatha se posa enfin sur Ivana, un frisson d'excitation parcourut son corps. Ivana se tenait là, radieuse, portant la chemise violette foncée d'Agatha, qui épousait parfaitement ses formes. La couleur mettait en valeur la douceur de sa peau et contrastait avec ses cheveux, créant une image à la fois familière et captivante.
Agatha observa Ivana avec admiration, ses lèvres s'humidifiant instinctivement alors qu'un sourire se dessinait sur son visage. Elle adorait voir Ivana vêtue de sa chemise, cela lui donnait un sentiment de proximité et d'intimité. La chemise, souvent associée à des moments partagés et à des souvenirs doux, semblait maintenant porter un nouveau sens, une sorte de lien entre elles. Agatha se sentit soudainement réconfortée, comme si la présence d'Ivana dissipait les nuages de ses pensées.
Agatha, avec une voix douce et mélodieuse, s'approcha d'Ivana, ses yeux pétillants d'une curiosité malicieuse. "Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres.
Ivana, surprise mais amusée, répondit en souriant, "Oui, une objection avec ça ?" Son regard pétillait de défi, comme si elle savait que sa réponse provoquerait une réaction.
Agatha se leva lentement, ses yeux ne quittant pas Ivana, admirant la façon dont la chemise épousait ses courbes. Elle se sentait comme si son cœur battait la chamade, chaque battement résonnant dans son être. Elle s'approcha d'Ivana, la chaleur de son corps la rapprochant encore plus. Puis, sans hésitation, elle l'embrassa tendrement sur les lèvres, un baiser chargé de passion et d'affection.
Après ce moment doux, Agatha murmura à l'oreille d'Ivana, "Malgré que j'adore cette couleur sur toi, je te préfère sans rien." Ses mots étaient chuchotés, pleins de tendresse et de désir.
Ivana, un sourire en coin illuminant son visage, répliqua avec malice, avant de l'embrasser à nouveau, cette fois-ci avec une intensité qui faisait vibrer tout son être. Leurs lèvres se rencontrèrent une fois de plus, scellant ce moment de complicité et d'amour partagé.
Suite au baiser, Agatha ne pouvait s'empêcher de poser son regard sur le cou d'Ivana, où se dessinait un suçon, une marque indélébile de leur passion. Elle s'approcha, ses doigts effleurant délicatement la peau d'Ivana, traçant des cercles doux autour de cette empreinte. 
Ivana, amusée par l'attention d'Agatha, leva les yeux vers elle et dit avec un sourire espiègle : "Tu admires ton travail ?" 
Agatha, un sourire en coin se formant sur ses lèvres, répondit avec une lueur malicieuse dans les yeux : "Au moins, les gens savent que tu es à moi. Te plains pas j'aurai pu poser une rune sur toi" Elle se pencha un peu plus près, ses mains se posant sur les hanches d'Ivana, accentuant leur connexion.
Ivana, mordant légèrement sa lèvre inférieure, répliqua avec un air provocateur : "Qui a dit que ça ne m'aurait pas plu ?" Son regard pétillait de défi, révélant une complicité pleine de jeu entre elles. 
Agatha, sentant une vague d'excitation à l'écoute des mots d'Ivana, se mordit la lèvre, un sourire complice illuminant son visage. La tension entre elles était palpable, comme une douce promesse d'aventures à venir. 
S'approchant encore plus près, elle laissa échapper un souffle chaud, chuchotant sensuellement à l'oreille d'Ivana : "Moi, j'adore l'idée." Sa voix était un murmure, chargé de désir et de complicité, créant une atmosphère intime autour d'elles.
Ivana frissonna à ce contact, son cœur battant plus vite. Elle tourna légèrement la tête pour croiser le regard d'Agatha, ses yeux pétillant d'une malice partagée. "Ah vraiment ? Et qu'est-ce qui te plaît tant dans cette idée ?" demanda-t-elle, jouant avec la tension entre elles.
Agatha, amusée par la question, répondit avec un clin d'œil : " Que tu sois a moi et rien que a moi." Elle se recula légèrement, savourant ce moment, avant de se rapprocher à nouveau, prête à explorer ensemble les possibilités qui s'offraient à elles.
☆○o。  。o○☆
Belle se tenait dans la boutique de Gold, entourée d'un parfum délicat de bois poli et de bijoux scintillants. Les murs étaient ornés de miroirs qui reflétaient la lumière tamisée, créant une ambiance à la fois chaleureuse et mystérieuse. Pourtant, malgré la beauté du lieu, son esprit était en proie à un tourbillon de pensées. La révélation de Gold résonnait dans sa tête comme un écho, chaque mot pesant lourdement sur son cœur.
Elle se posait une multitude de questions, son regard scrutant les étagères chargées de trésors, mais son esprit était focalisé sur l'homme qui venait de lui confier un secret si lourd. Alors que Gold entra dans la boutique, une expression de mélancolie sur son visage, Belle sentit une vague d'angoisse l'envahir. Elle avait besoin de réponses, de comprendre ce qu'il avait caché si longtemps.
Sans dire un mot, elle posa son regard sur lui, ses yeux cherchant à percer le mystère qui l'entourait. Gold, conscient de son observation, évita son regard, comme s'il était en proie à ses propres démons. L'atmosphère était chargée de tension, chaque seconde s'étirant entre eux, remplie de non-dits et d'émotions refoulées. Belle savait qu'elle devait briser le silence, mais les mots restaient bloqués dans sa gorge, attendant le bon moment pour émerger.
Gold, le regard perdu dans le vide, finit par rompre le silence pesant :
��« Dis-moi ce que tu as à me dire, Belle... je sens ton regard. » Sa voix était teintée d'une tension palpable, comme s'il redoutait la question qui allait suivre.
Belle, s'approchant de lui avec une détermination tranquille, répondit : « Je ne peux pas rester dans l'incertitude. Tu dois me donner des explications. Qu'est-ce qui se passe vraiment ? » Son ton était à la fois ferme et doux, cherchant à percer la carapace de l'homme devant elle.
Gold, sentant la pression de ses mots, serra les poings, sa frustration éclatant à la surface. « Il n'y a rien à dire. » Sa voix était rauque, presque désespérée, comme s'il tentait de se convaincre lui-même que le sujet était clos.
Belle, ne se laissant pas décourager, posa une main apaisante sur l'épaule de Gold. « Mais... il y a une chance que Lucillia soit ta fille ? » La question flottait dans l'air, chargée d'espoir et de crainte.
Gold se retourna brusquement, son visage marqué par la douleur. « Ma fille est morte. Cette Lucillia est une imposteur. »
Ses mots étaient tranchants, comme une lame, et la tristesse dans sa voix révélait l'ampleur de sa perte. L'atmosphère autour d'eux se chargea d'une intensité émotionnelle, chaque silence entre leurs échanges pesant lourdement de secrets et de chagrin.
☆○o。  。o○☆
Lilia était assise à la table en bois usé de Granny's, les rayons du soleil filtrant à travers les , créant des motifs délicats sur la table. Elle tenait une tasse de thé fumant entre ses mains, la chaleur réconfortante du breuvage contrastant avec le tumulte de ses pensées.
Son esprit vagabondait vers Regina et Lucillia, se demandant pourquoi Regina, qui avait toujours été perçue comme la méchante de l'histoire, choisissait d'aider Lucillia. Lilia plissa les yeux, une légère ride de frustration marquant son front. Elle n'aimait pas ce rapprochement, cette alliance inattendue .
Tout en sirotant son thé, elle observa les autres clients de Granny's, leurs rires et leurs conversations flottant dans l'air. Pourtant, elle se sentait isolée, perdue dans un tourbillon d'émotions contradictoires. La jalousie n'était pas son intention, mais l'idée que Lucillia pouvait trouver du soutien auprès de Regina la dérangeait profondément. Elle secoua la tête, comme pour chasser ces pensées sombres, mais elles revenaient sans cesse, comme une mélodie obsédante.
Lilia prit une profonde inspiration, essayant de se concentrer sur le goût du thé, sur la douceur du miel qui adoucissait l'amertume. Elle savait qu'elle n'avait pas à être jalouse, mais cette nouvelle dynamique entre les deux femmes la troublait. Elle se demanda si elle devait intervenir ou laisser les choses se dérouler, se sentant tiraillée entre son instinct protecteur et son désir de comprendre.
Lilia était tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne remarqua pas l'arrivée de Lucillia. Elle était absorbée par le tourbillon de ses émotions, son regard fixé sur la tasse de thé, sans vraiment voir les autres clients de Granny's.
Soudain, elle sentit une présence familière en face d'elle. Lucillia s'installa doucement, le bruit léger de sa chaise glissant sur le sol en bois attirant enfin l'attention de Lilia. Lucillia, avec son sourire chaleureux, observa Lilia pendant un moment, notant l'air préoccupé de son amie.
« Eh, ça va ??? » demanda Lucillia, une note d'inquiétude dans sa voix.
Lilia leva les yeux, surprise, comme si elle sortait d'un rêve. Elle cligna des yeux, réalisant que Lucillia était là, juste en face d'elle. 
« Oh, Lucillia ! Je... je ne t'avais pas vue arriver. » Sa voix était un peu tremblante, trahissant son trouble intérieur.
Lucillia pencha la tête, ses yeux pétillants de curiosité. « Tu sembles préoccupée. Qu'est-ce qui se passe ? »
Lilia ne savait pas quoi répondre. Les mots se bousculaient dans sa tête, mais elle ne pouvait pas dire la vérité. Dire qu'elle était jalouse de Regina serait trop difficile à avouer, même à Lucillia. Elle fronça les sourcils, son esprit en proie à des pensées conflictuelles, et prit une gorgée de son thé, essayant de trouver un peu de réconfort dans la chaleur de la tasse.
En plongeant son regard dans celui de Lucillia, elle ressentit une vague d'honnêteté. Lilia savait que son amie méritait la vérité, mais sa peur de blesser ou de paraître faible la retenait. Après un moment de silence, elle se décida à parler, sa voix délicate et hésitante.
« Je me demande quelles sont les intentions de Regina, » dit-elle finalement, ses mots flottant dans l'air comme une plume.
Lucillia l'observa attentivement, ses yeux reflétant une compréhension profonde. « Je comprends, Lilia. Regina peut sembler... méchante.. Mais je pense qu'il y a plus en elle que ce qu'on voit je t'assure quelle est vraiment gentil avec moi. »
Lilia hocha la tête, mais l'inquiétude persistait. « Je sais, mais il y a quelque chose qui me dérange. Comme si elle avait un plan, quelque chose que nous ne comprenons pas encore. »
Lucillia se mit alors à sourire, un sourire qui illuminait son visage et apaisait l'atmosphère tendue. Voir que Lilia était inquiète pour elle était tout simplement parfait à ses yeux. Cela prouvait à quel point leur amitié était forte, même dans les moments de doute.
« Je t'en prie, fais-moi confiance, » dit-elle doucement, sa voix empreinte de sincérité. Elle se pencha légèrement en avant, ses yeux pétillants d'une lueur encourageante. 
Lucillia savait que sa demande était importante, et elle espérait que Lilia ressentirait la profondeur de son engagement.Lilia, bien que touchée par l'attention de son amie, ne pouvait s'empêcher de froncer les sourcils.
 « Je te fais confiance, » répondit-elle, sa voix un peu plus ferme, « je ne lui fais tout simplement pas confiance. »
Les mots étaient sortis plus brusquement qu'elle ne l'avait prévu, mais la vérité était là, palpable. Elle se leva légèrement, comme si elle voulait s'éloigner de la tension qui s'était installée entre elles.
Lucillia s'approcha lentement de Lilia, son cœur battant légèrement plus vite. Avec une délicatesse infinie, elle posa sa main sur celle de Lilia, ses doigts effleurant la peau douce et chaude de son amie. Ce contact, bien que simple, était chargé d'une tendresse palpable.
Elle commença à caresser doucement le dos de la main de Lilia, un geste qui semblait suspendre le temps. Les mouvements étaient lents et apaisants, comme une brise légère qui caresse un champ de fleurs. Lilia, surprise par cette attention, se mit alors à sourire. Ce geste si simple envoyait des frissons dans son corps, une chaleur réconfortante qui se répandait de sa main jusqu'à son cœur.
Lucillia, perdue dans ce moment, n'avait pas envie de bouger. Elle se laissa emporter par la douceur de l'instant, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Ses yeux brillaient d'une lumière douce, reflétant la complicité et l'affection qu'elle ressentait pour Lilia.
Leurs regards se croisèrent, et Lilia pouvait lire dans les yeux de Lucillia une promesse silencieuse de soutien et de compréhension. Ce simple contact, cette connexion, semblait créer un cocon autour d'elles, les protégeant des inquiétudes du monde extérieur.
Lucillia continua de sourire, heureuse de voir que son geste avait apporté un peu de réconfort à son amie. Dans ce silence partagé, elles savaient toutes deux que leur amitié était un refuge, un espace où elles pouvaient se comprendre sans mots.
Après un petit moment de silence, Lucillia, sentant la tension dans l'air, décida de briser le calme. Elle se pencha légèrement vers Lilia, son regard sincère et apaisant. 
"Je te promets de faire attention...", dit-elle d'une voix douce, presque comme un murmure.
Lilia, touchée par la promesse de son amie, se mit à sourire délicatement. Elle baissa les yeux sur leurs mains, unies par ce contact tendre. Ses pensées se bousculaient, mais elle trouva le courage de relever le regard vers Lucillia. 
"J'ai juste pas envie de te perdre," avoua-t-elle, sa voix tremblant légèrement, trahissant l'inquiétude qui l'habitait.
Lucillia, voyant la vulnérabilité de Lilia, sourit doucement, un sourire qui réchauffait le cœur. Elle prit une grande inspiration avant de répondre avec assurance : 
"Tu ne me perdras jamais, Lilia. Je suis là, et je le serai toujours."
Lilia hocha la tête, se sentant réconfortée par la certitude de son amie. "Merci, Lucillia. " murmura-t-elle, un sourire sincère se dessinant sur son visage.
Leurs mains restèrent enlacées, symboles d'une promesse  indéfectible, tandis qu'elles partageaient ce moment précieux, enveloppées dans une bulle de confiance et de compréhension mutuelle.
Lucillia s'approcha doucement de Lilia, un sourire délicat illuminant son visage. Ses yeux brillaient d'une tendresse sincère, comme si chaque éclat de lumière reflétait son affection profonde. Elle se pencha légèrement, cherchant à établir un contact visuel qui ferait fondre les inquiétudes qui pesaient sur leur amitié.
Après un instant, Lucillia se leva avec grâce, ses mouvements fluides et empreints d'une douceur palpable. Elle s'avança vers Lilia, et sans hésitation, elle l'enveloppa dans ses bras. Le contact était chaleureux et réconfortant, un geste qui parlait plus que des mots. Lucillia serra délicatement Lilia contre elle, comme si elle voulait lui transmettre toute sa force et son soutien.
"J'ai besoin de toi dans ma vie," murmura Lucillia, sa voix à peine audible, mais chargée d'émotion.
 Elle pouvait sentir le cœur de Lilia battre contre le sien, un rythme rassurant qui lui confirmait que son amie était là, qu'elle était en sécurité. Elle se recula légèrement pour regarder Lilia dans les yeux, s'assurant que son regard était empreint de bienveillance. Lilia, touchée par cette déclaration, ressentit une vague de chaleur l'envahir. Elle savait à quel point leur lien était précieux et combien ces moments de connexion étaient essentiels. Dans les bras de Lucillia, elle trouva un réconfort inestimable, un rappel que, quoi qu'il arrive, elles seraient toujours là l'une pour l'autre.
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Belle était assise à une petite table dans la bibliothèque, entourée par le calme habituel de l'endroit. Devant elle, le livre d'Henry reposait ouvert, ses pages anciennes et jaunit portaient les histoires du royaume enchanté. Elle feuilletait les pages avec une attention frénétique, ses doigts tremblant légèrement à chaque passage d'un conte familier.
Chaque page semblait contenir une pièce du puzzle du passé, mais aucune n'offrait les réponses qu'elle cherchait. Elle lut rapidement les récits de héros, de reines déchues et de malédictions brisées, mais rien, absolument rien, ne parlait de ce qui était arrivé à la fille de Rumplestiltskin.
Elle s'arrêta sur une page où une illustration détaillée de Rumplestiltskin la fixait, sombre et imposante. Belle fronça les sourcils et murmura pour elle-même :
« Pourquoi il manque cette partie de ton histoire ? Pourquoi tout est là, sauf elle ? »
Elle referma le livre d'un geste brusque, le bruit résonnant dans la pièce vide.
Belle resta un long moment immobile, perdue dans ses pensées. La pièce autour d'elle semblait plus froide, plus vide, comme si le poids de l'absence de réponses l'écrasait. Mais elle n'était pas du genre à abandonner, surtout quand il s'agissait de quelqu'un qu'elle aimait.
Elle se releva, déterminée, et se dirigea vers l'étagère où étaient rangés d'autres ouvrages. Si le livre d'Henry ne contenait rien, peut-être qu'un autre en savait plus. Elle tira un volume lourd et poussiéreux sur les lignées familiales du royaume enchanté et le posa sur la table.
Elle tourna rapidement les pages, cherchant un indice, un nom. Hela , était mentionnée. Mais aucune trace de leur fille. Pas même un mot. Comme si elle n'avait jamais existé.
Un frisson de colère et de tristesse la traversa. Pourquoi effacer une vie, une histoire ? Était-ce si terrible qu'on devait la cacher ?
La porte de la bibliothèque s'ouvrit brusquement, et Belle sursauta. Rumplestiltskin se tenait là, son expression sombre et scrutatrice. Il avait ce regard qu'il prenait toujours lorsqu'il savait que quelque chose allait être dit, ou découvert, qu'il aurait préféré garder enterré.
« Belle, » dit-il doucement, mais avec une pointe d'inquiétude. « Qu'est-ce que tu fais ? »
Elle referma le livre devant elle, mais ne le quitta pas des yeux. « Je cherche des réponses, Rumple. Des réponses sur ta fille. »
Un éclair de panique traversa son visage, mais il se reprit aussitôt. Il entra lentement dans la pièce, ses pas résonnant comme un écho de la tension entre eux.
« Tu sais que certaines histoires... n'ont pas besoin d'être racontées, » dit-il, sa voix lourde de sous-entendus.
Elle se leva, les poings serrés. « Et tu sais que je ne peux pas accepter ça. Pas après tout ce qu'on a traversé. Pourquoi elle n'est nulle part dans ce livre, Rumple ? Pourquoi tout ce que je trouve sur toi est clair, sauf ce chapitre ? »
Il baissa les yeux, évitant son regard, ses doigts se tordant nerveusement. « Parce que c'est ma douleur, Belle. Pas la tienne. »
« Tu crois vraiment que je peux t'aimer sans comprendre ce qui t'a brisé ? » Sa voix se brisa légèrement, trahissant l'émotion qu'elle tentait de contenir. « Je veux savoir ce qui est arrivé. Pas pour te juger, mais pour t'aider. Pour te soulager de ce fardeau que tu portes seul. »
Il resta silencieux, ses traits se crispant sous le poids de ses propres souvenirs. Finalement, il leva les yeux vers elle, et elle vit dans son regard une tempête d'émotions : douleur, regret, et une peur profonde.
« Elle était tout pour moi. Mais je l'ai perdue... à cause de ma propre faiblesse. »
Belle sentit son cœur se serrer. « Tu veux dire que tu l'as laissée partir ? »
Il secoua la tête. « Non. Je veux dire que c'est moi qui ai causé sa mort. »
Ces mots résonnèrent dans l'air comme une gifle, laissant Belle figée sur place. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais il leva une main, comme pour la faire taire.
« Je croyais pouvoir la protéger, comme je crois toujours pouvoir tout contrôler. Mais mes choix... mes choix ont détruit tout ce que j'aimais. » Sa voix se brisa, et il détourna le regard.
Belle s'approcha de lui, sa colère remplacée par une compassion infinie. Elle posa une main douce sur son bras. 
« Tu ne peux pas continuer à fuir, Rumple. Cette douleur, ce regret... tu ne peux pas les garder pour toi seul. Laisse-moi t'aider. Laisse-moi comprendre.  Peut être que ta fille n'ai pas morte.  »
Il ferma les yeux, une larme solitaire coulant sur sa joue. Pour la première fois, il sembla prêt à baisser sa garde, à partager ce qui le hantait depuis si longtemps.
« Très bien, » dit-il finalement, sa voix à peine audible. « Mais sache que certaines vérités sont plus cruelles qu'on ne peut l'imaginer. »
Belle hocha doucement la tête, prête à affronter cette vérité à ses côtés, peu importe à quel point elle pourrait être sombre.
☆○o。  。o○☆
La nuit était sombre, enveloppée d'une brume épaisse qui semblait absorber le moindre son. Mary-Margaret se tenait au centre de la clairière, ses mains tremblant légèrement tandis qu'elle déposait les dernières fleurs de sang sur le sol. Un cercle rougeâtre commençait à s'illuminer autour d'elle, pulsant faiblement sous la lumière de la lune.
Elle murmurait des mots anciens, une incantation qu'elle avait dénichée dans un grimoire oublié, enterré au fond de la bibliothèque interdite. La peur et la colère dansaient dans ses yeux, une combinaison dangereuse qui la poussait au bord du précipice moral.
Lorsqu'elle prononça les dernières syllabes, un souffle glacé balaya la clairière. Le sol devant elle se fissura, et un grondement sourd résonna, comme si la terre elle-même protestait.
Puis, lentement, une silhouette émergea du sol. D'abord une main osseuse, puis un bras recouvert d'un manteau noir déchiré. Une fois debout, la figure sombre s'avança, sa démarche fluide et éthérée. Rio Vidal, la Mort personnifiée, se tenait devant elle.
Sa silhouette était à la fois terrifiante et fascinante : un mélange d'ombre et de chair, son visage voilé par une capuche, ne laissant apparaître que des yeux brillants d'un éclat rougeâtre.
« Qui ose m'appeler ? »
Mary-Margaret déglutit difficilement, mais se força à garder son calme. Elle leva le menton, déterminée.
« C'est moi, Mary-Margaret. J'ai besoin de tes services. »
Rio Vidal inclina légèrement la tête, un sourire imperceptible se dessinant dans l'ombre de sa capuche.
« Mes services ? » répéta-t-elle avec amusement. « Peu osent m'invoquer. Moins encore survivent pour en parler. Qu'est-ce qui te pousse à prendre un tel risque, petite reine ? »
« Il y a une femme. Ivana. Elle doit mourir. »
Rio Vidal éclata d'un rire profond, presque moqueur.
« Ah... Toujours des morts à réclamer. Et pourquoi devrais-je exécuter ce caprice, Mary-Margaret ? »
Elle fit un pas en avant, ignorant le frisson glacé qui parcourait son échine.
« Elle représente une menace. Pas seulement pour moi, mais pour ma famille. » Sa voix trembla légèrement, mais elle continua. « Je ne peux pas risquer de la tuer moi-même. Pas cette fois. Mais toi, toi, tu peux le faire sans laisser de traces. »
La Mort resta silencieuse un moment, semblant la jauger.
« Et qu'es-tu prête à offrir en échange ? » demanda-t-il enfin, ses yeux brillant plus intensément.
Mary-Margaret sentit un poids s'abattre sur ses épaules. Elle savait que cette question viendrait, et elle avait préparé sa réponse.
« Tout ce que tu veux, » dit-elle, sa voix basse mais résolue.
Rio Vidal s'approcha lentement, si près qu'elle pouvait sentir un froid mortel émaner d'elle 
« Tout ce que je veux ? » murmura-t-il. « Es-tu sûre de comprendre ce que cela implique ? »
Elle détourna les yeux un instant, mais se força à soutenir son regard.
« Oui. »
La Mort sembla réfléchir, puis tendit une main vers elle. Une main à moitié osseuse, à moitié humaine, tendue comme une invitation.
« Très bien, Mary-Margaret. Je te donnerai la mort que tu réclames. Mais en échange... » Elle marqua une pause, laissant planer une tension insupportable. « Je prendrai un fragment de ton âme. Un morceau suffira... pour l'instant. »
Elle hésita, sachant que cela laisserait une marque sur elle, un vide qu'elle pourrait ne jamais combler. Mais elle pensa à Ivana, à la façon dont David la regardait, à la menace qu'elle représentait.
Finalement, elle tendit sa main et la plaça dans celle de Rio Vidal.
Une douleur vive la traversa, comme si une partie de sa lumière intérieure lui était arrachée. Elle tomba à genoux, haletante, tandis que la Mort se redressait, son aura encore plus sombre et puissante.
« L'accord est scellé, » déclara Rio Vidal d'une voix solennelle. « Ivana ne verra pas la prochaine lune se lever. »
Elle disparut dans un souffle de vent glacé, ne laissant derrière elle que des traces noires sur le sol.
Mary-Margaret resta là, à genoux dans la clairière, un mélange de soulagement et de terreur dans le cœur.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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aurevoirmonty · 2 months ago
Text
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Une étude majeure portant sur 1,7 million d’enfants a révélé que les lésions cardiaques n’apparaissaient que chez les enfants ayant reçu des vaccins à ARNm contre le Covid.
Aucun enfant non vacciné du groupe n’a souffert de problèmes cardiaques.
De plus, les chercheurs notent qu’aucun enfant de l’ensemble du groupe, vacciné ou non, n’est décédé de la COVID-19.
En outre, l’étude a révélé que les vaccins contre le Covid offraient aux enfants très peu de protection contre le virus, nombre d’entre eux étant infectés seulement 14 à 15 semaines après avoir reçu une injection.
Les 1,7 million d'enfants observés dans l'étude étaient âgés de 5 à 15 ans et étaient inscrits auprès du système national de santé du Royaume-Uni (NHS).
www.slaynews-com.translate.goog/news/study-million-children-heart-damage-found-covid-vaxxed-kids/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
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philoursmars · 5 days ago
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Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile. Cette fois, on est basés à Modica.
Ce jour-là, balade à Ragusa (Raguse). A Ragusa Ibla, les balcons baroques du Palazzo La Rocca, avec un étrange personnage grimaçant portant des lunettes !
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