#embrassé
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coquelicoq · 8 months ago
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wait a minute...is that the word "bras" i see hiding in embrasser???
omg ennui is related to s'ennuyer...duh......
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shatteredembers · 1 year ago
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Here are some assorted The Fragile pieces I've picked up. I can't seem to escape from the grasp this album has on me, nor does the music escape me at any time. Every range of emotion is captured in this album, and has shaped me beyond any form of media.
Happy birthday to The Fragile, if not a day late. Thank you.
“Et il est un jour arrivé Marteler le ciel Et marteler la mer
Et la mer avait embrassé moi Et la délivré moi de ma caille
Rien ne peut m'arrêter maintenant”
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coovieilledentelle · 1 month ago
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Je touchai mes lèvres avec incrédulité, voulant presque retenir ce baiser. Il m'a embrassé très passionnément et dès qu'il a cessé de m'embrasser, mes joues ont pris feu. Personne n'a jamais réussi à me déshabiller avec un baiser, mais il l'a fait.
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cuntyfieddemon · 4 months ago
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and zhen, jeune oiseau du gremelèin, i caressed her jolie rose cheek with my finger en claw. i took her visage in mes mains d'anges et i leeft up her chin so her lips would be rèady to be embrassées par moi. her yellow hèair juste like mine softly dancing in zhe brise d'été on her shouldère... i could not résist her beauté anymaure,,, alors i kissed her on her sensuelle mouthe. zhe rose of her lîps the same as mine, our tongues meeting together dans la bouche of the other, as i ouispered how i loved her, how i wanted her, as i moaned around elle her own name, the first word i ever spoke. maman, maman, maman.
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jeanchrisosme · 16 days ago
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Accrochez-vous aux moments qui comptent, à la fois joyeux et douloureux, car il y aura toujours une dernière fois. Qu’il s’agisse de rires partagés ou de la douleur d’un au revoir, chaque souvenir nous façonne. Vivez pleinement ces moments, de sorte que lorsqu’ils s’échappent, vous n’avez aucun regret, sachant que vous avez embrassé à la fois la joie et le chagrin.
LJ Blossoms
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mioritic · 9 months ago
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Auguste Rodin (French, 1840–1917)
"Jeune femme embrassée par un fantôme de marbre" ("Young girl embraced by a marble ghost"), pencil drawing on photograph
Musée Rodin
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chifourmi · 2 months ago
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Il m'a dit ce qu'il estimait le mieux à faire pour nous, notre relation, durant mon voyage. Il m'a dit son point de vue de manière si neutre, sans émotion. Je n'ai pas compris, ça m'a donné envie de pleurer. J'ai arrêté de le regarder, j'avais besoin d'accuser le coup. Je lui ai dit que j'avais l'impression qu'il s'en foutait totalement. Ça l'a choqué. En fait, il ne voulait pas penser à tout ça. Il a été froid pour prendre de la distance avec ses émotions et ne pas se laisser submerger. Je commence à le comprendre. Il a horreur d'être dans les émotions, il essaye toujours d'être objectif et factuel. Quoiqu'il en soit, quand je lui ai dit que j'avais l'impression qu'il s'en foutait, je l'ai vu réfléchir. Puis les larmes lui sont montées aux yeux. J'ai embrassé délicatement ses joues et il s'est effondré. À partir du moment où il a commencé à pleurer, il n'arrivait plus à s'arrêter. Ça m'a vraiment choqué et brisé le cœur. J'arrête pas de me refaire la scène. On s'est pris tellement de fois dans les bras. J'avais envie de le serrer tellement fort, c'était jamais assez. Puis il m'a dit "viens on y pense plus, on profite tant qu'on est là à 2". Il a voulu me jouer "Blackbird" des Beatles et dès les premières notes, c'est moi qui me suis effondrée en larmes cette fois. J'avais réussi à ne pas craquer jusque là mais ça a été le déclencheur. On s'est fait des câlins en pleurant tous les 2 cette fois. Puis je lui ai demandé de recommencer à la jouer. Mes larmes ne s'arrêtaient pas mais c'était super beau.
(30/08/2024)
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solargeist · 1 year ago
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mwah un petit embrassé
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abdou-lorenzo · 1 year ago
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Tant que vous n'avez pas été embrassé par un de ces pluvieux après-midi parisiens vous n'avez jamais été embrassé........💞💦✨✨
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W Allen
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orageusealizarine · 6 months ago
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si vous m'offriez - ne serait-ce que vos lèvres - (oserais-je ?) - ne serait-ce que... les voir, les humer - sentir leur souffle sur les miennes, que les lécher, les laper, les manger. ne serait-ce qu'avidité ? de ma part... embraser, dévorer, relécher, ne serait-ce qu'engloutir, qu'avaler - tous ces mots - embrassés, embrochés, ébréchés... au sortir de ma bouche, à la brèche du baiser, à la broche du désir ? au coin de ce visage dans les rues rencontrés. (le voulions-nous ? mais qu'avons-nous cherché ?) avidité, supplice, impatience quémandée. que soif, envie, plaisir. que soupirs expirés. jusqu'où vouloir... vers où languir... en quels hasards... et qu'exiger encore, que repentir, que fuir... par où... que dire - de vos baisers de vos brasiers de vos délires de mes délices de mes caresses de nos histoires de nos paresses des nuits ivoires.
et qu'espérer encore ? que rechercher en vain ? aller toujours plus loin ? en rexcitant les cendres de nos chairs calcinées. et répétant nos corps et ranimant les cieux, nous empoignons les flammes, nous mâchons les étoiles allongées dans nos ombres, elles aussi dévêtues, elles aussi cœurs à nu.
nos lèvres refermées - plus qu'atteintes, contentées.
lors nos envies perdues ? et nos désirs passés ? ... je ne saurais vouloir à la fin ce désastre ! pour déborder ma bouche, refermer les ravins, pour apaiser mes lèvres et rassasier ma faim - il faudrait plus qu'une vie. je rouvrirais - avec mes doigts - avec mes dents - les plaies de nos désirs - pour désirer encore - pour désirer toujours... être avide - et sublime. insatiable. insensée. pour revouloir encore, à vos lèvres rêver, à vos lèvres goûter et contenter ma peine et raviver la joie au feu et au festin de nos bouches en sang de nos dents criminelles de nos soifs carnassières de nos fièvres désirables.
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lacesconfidences · 2 months ago
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Plaisirs entre filles…
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Un après-midi, Christine nous a montré comment elle se servait du vibro de sa mère. C'était un vibro blanc, en plastique dur, un peu comme celui de la photo. Elle a commencé par ma sœur, en lui caressant les lèvres et le clito, sans la pénétrer car elle voulait 'rester neuve pour son mariage'. Ma sœur était bien humide au bout d'un moment, et moi je bandais à passer au travers de la culotte que j'avais gardé. Alors Christine s'est allongée sur le dos et a demandé à sa chérie de lui rentrer doucement le vibro dans la chatte en lui donnant son minou à lécher. Ma sœur s'est placée a califourchon sur le visage de Christine et a commencé les va et viens dans la chatte de sa chérie. Moi je m'étais mis face à cette petite chatte béante qui suçait ce gode vibrant. Quel merveilleux spectacle 💦💦💦😍 ! J'en ai déchargé presque instantanément dans ma culotte sans me branler 💦💦💦 A en croire leurs gémissements et leurs mouvements, je crois qu'elles m'ont suivi de peu 😉💦💦💦 Après ce premier plaisir, ma sœur a libéré le visage de Christine qui était rouge et tout mouillé et elles se sont embrassées💋💋💋. Puis Christine m'a regardé avec ma culotte trempée de foutre et m'a dit "Ma cochonne, tu as aimé le spectacle à ce que je vois ! Tu n'as pas envie d'essayer ? Pour toute réponse je me suis levée, j'ai laissé tomber ma culotte mouillée sur mes pieds et je lui ai tendu ma chatte en me cambrant et en prenant appui sur le fauteuil. Je ne voyais pas ce qu'elle faisait mais j'ai entendu le vibro redémarrer et je l'ai senti venir en douceur à l'entrée de mon petit trou. C'était une sensation nouvelle, très agréable. Je me suis contractée un peu par réflexe mais ma sœur m'a dit "Avec ce que Christine lui a mis comme mouille, il va glisser tout seul, laisse toi faire !" En effet, je l'ai senti rentrer bien au fond, avec les doigts de Christine qui butaient sur ma chatte. Et ces vibrations !💗💗💗💦 Et ces va et viens 💦💦 Je me sentais prise et c'était trop bon !!!! J'ai senti aussi montrer mon éjaculation alors j'ai dit à ma sœur de prendre de quoi absorber et elle m'a enveloppé le gland dans une serviette périodique, juste à temps encore une fois 💦💦💦💦 J'en ai redemandé souvent ensuite et je crois que nous avons consommé pas mal de piles électriques 😉😉
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Fun between girls…
One afternoon, Christine showed us how she used her mother's vibrator. It was a white, hard plastic vibrator, a bit like the one in the photo. She started with my sister, caressing her lips and clit, without penetrating her because she wanted to 'stay virgin for her wedding'. My sister was very wet after a while, and I was hard enough to pass through the panties I had kept. So Christine lay down on her back and asked her sweetheart to gently insert the vibrator into her pussy while giving her her pussy to lick. My sister straddled Christine's face and started going back and forth in her sweetheart's pussy. I had put myself in front of this gaping little pussy that was sucking this vibrating dildo. What a wonderful sight 💦💦💦😍! I unloaded almost instantly in my panties without jerking off 💦💦💦 Judging by their moans and movements, I think they followed me shortly 😉💦💦💦 After this first pleasure, my sister released Christine's face which was red and all wet and they kissed💋💋💋. Then Christine looked at me with my panties soaked with cum and said to me "My slut, you liked the show I see! Don't you want to try? For all answer I got up, I let my wet panties fall on my feet and I offered her my pussy by arching my back and leaning on the chair. I didn't see what she was doing but I heard the vibrator start up again and I felt it come gently to the entrance of my little hole. It was a new sensation, very pleasant. I contracted a little by reflex but my sister said to me "With what Christine put in it as wetness, it will slide all by itself, let yourself go!" Indeed, I felt it go deep inside, with Christine's fingers hitting my pussy. And those vibrations! 💗💗💗💦 And those back and forths 💦💦 I felt taken and it was so good!!!! I also felt my ejaculation showing so I told my sister to take something to absorb and she wrapped my glans in a sanitary towel, just in time again 💦💦💦💦 I asked for more often after that and I think we used up quite a few electric batteries 😉😉
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gloriousfartcupcake · 5 months ago
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Amoureux
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Câlin, embrassé...
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jamie-007 · 8 months ago
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💖
À 40 ans Franz Kafka (1883-1924) qui ne s'est jamais marié et n'avait pas d'enfants, se promenait dans le parc de Berlin quand il rencontra une petite fille qui pleurait parce qu'elle avait perdu sa poupée préférée. Elle et Kafka ont cherché la poupée sans succès.
Kafka lui a dit de le rencontrer le lendemain et ils reviendraient la chercher.
Le lendemain, quand ils n'avaient pas encore trouvé la poupée, Kafka donna à la petite fille une lettre "écrite" de la poupée qui disait : " S'il te plaît ne pleure pas. J'ai fait un voyage pour voir le monde. Je vais t'écrire sur mes aventures."
C'est ainsi que commença une histoire qui se poursuit jusqu'à la fin de la vie de Kafka.
Lors de leurs rencontres, Kafka lisait les lettres de poupée soigneusement écrites avec des aventures et des conversations que l'enfant trouvait adorables.
Enfin, Kafka lui ramena la poupée (en acheta une) qui était de retour à Berlin.
"Elle ne ressemble pas du tout à ma poupée", dit la petite fille.
Kafka lui remit une autre lettre dans laquelle la poupée écrivait : "Mes voyages m'ont changée."
La petite fille a embrassé la nouvelle poupée et l'a ramenée tout heureuse à la maison.
Un an plus tard, Kafka est mort.
Plusieurs années plus tard, la petite fille désormais adulte a trouvé une lettre dans la poupée. Dans la minuscule lettre signée par Kafka, il y avait écrit :
"Tout ce que tu aimes sera probablement perdu, mais à la fin l'amour reviendra d'une autre façon."
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impossiblyholyparadise · 1 month ago
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Candaulisme 
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
                « Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes... 
                « Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas �� l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
                « Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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drackarys · 1 year ago
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L'auto stoppeur
Lors d'un week end ou nous avions 3 heures de route, nous avons croisé un auto stoppeur sur le bord de la route.
Le pouce bien en l'air, 25 ans, le gros sac a dos, les cheveux aux vent, le short multi poches, la chemise ouverte, le débardeur blanc.
Nous le faisons monter a l'arrière, et commençons à discuter de tout, de rien.
Il nous dit partir rejoindre des amis et que nous sommes fort sympathiques de l'emmener.
Pour l'occasion de notre weekend, j'avais mis une jupe assez volante et un débardeur près du corps. Il faisait chaud.
Mon mari a fait dévier la conversation, en demandant à notre invité, s'il avait une petite amie, si cela faisait longtemps qu'il était parti, s'il avait été pris en auto stop par denombreuses personnes, si parfois cela avait dévié....
Nous avons vite compris que notre nouvel ami n'était pas contre un peu d'action.
Mon mari lui a donc demandé de glisser sur le siège derrière lui afin de pouvoir me regarder a sa guise.
Il m'a fait ouvrir mes cuisses et enlever mon string.
Tout en conduisant (vive les voitures automatiques), mon mari a commencé à me caresser la peau de mes cuisses.
Il faisait chaud, très chaud...
Il a alors demandé à notre invité de se mettre sur le siège derrière moi et lui a donné feu vert pour me peloter autant qu'il le souhaitait sans restriction....
J'ai vite senti ses mains se promener le long de mes seins, glissant sous mon débardeur afin de les soupeser, de les pincer, faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Elles ont continué leur chemin vers ma jupe, et il n'a pas fallut longtemps a ce jeune homme pour trouver l'entrée.
Il a senti mon excitation, l'humidité de mon antre et y a très vite glissé ses doigts.
Il se les aient léchés puis en a fait de même avec ma bouche.
Une main sur un sein, l'autre sur mon clitoris, il a commencé sa stimulation, tout cela sous le regard de mon mari qui faisait courir sa main sur ma cuisse.
Il n'a pas fallut longtemps pour que mes cris remplissent l'habitacle de la voiture.
Mon mari a arrêté la voiture sur le bas côté, m'a embrassé goulûment puis m'a dit de passer a l'arrière pour remercier notre auto stoppeur le temps de finir la route. Il ne restait que 15 minutes pour le faire venir avec ma bouche.
Au vue du niveau d'excitation, vous pouvez imaginer qu'il n'a pas fallut 15 minutes a notre ami pour venir entre ma bouche sur son sexe et mes mains sur ses boules...
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jeanchrisosme · 3 months ago
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Si vous avez réussi à faire en sorte qu’une femme se sente belle, cela signifie que vous avez embrassé son âme.
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