#elles font l'abstraction
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Vera Molnar in "Elles font l'abstraction" at Centre Pompidou
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Ils nous font confiance: Françoise Bolloré : l’abstraction lyrique au service de la lumière et de l’émotion. Françoise Bolloré, incarne l'essence de l'abstraction lyrique dans son travail pictural. Depuis ses débuts, elle a été fascinée par toutes les formes d'art, y trouvant un terrain fertile pour questionner et exprimer ce qu'elle ne perçoit plus dans le quotidien, prise dans le tourbillon de la vie. Sa démarche artistique, à la fois intuitive et instinctive, se nourrit d'une quête spirituelle et émotionnelle, où l'Art, la Science et la Spiritualité s'entrelacent pour révéler un univers vivant et en perpétuel mouvement. En savoir plus: https://www.artdesannonces.com/index.php/amateurs-d-art/le-magazine/portraits/2299-francoise-bollore-l-abstraction-lyrique-au-service-de-la-lumiere-et-de-l-emotion
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ELLES FONT L’ABSTRACTION
Visitando la mostra del Centre Pompidou di Parigi, “Elle font l’abstraction”, ora in viaggio verso il Guggenheim di Bilbao, non ho potuto fare a meno di pensare che , quando nel 1980 ho visitato a Milano “L’altra metà dell’Avanguardia”, la curatrice della mostra del Beauborug, Christine Macel, aveva undici anni. La mostra di Milano, allora curata da Lea Vergine, fu una novità assoluta nel campo delle grandi mostre. “Elles font l’abstraction” è, negli intenti, una mostra molto molto simile, e riserva piacevolissime novità nei pezzi esposti. Il modernismo artistico passa attraverso la creazione al femminile e se questa non può essere una grande scoperta, è piacevolissimo passare in rassegna i nuclei tematici che compongono l’esposizione: simbolismo sacro, danza e astrazione, Bauhaus, Espressionismo astratto, scienza e fotografia, e i “focus” sulle singole artiste. L’astrattismo, è la tesi dei curatori, non proviene da un processo unico o univoco, ma da un insieme di flussi, di energie, di ispirazioni diverse, che coprono un spettro temporale che si sviluppa dall’Ottocento fino al 1980 (che, ironia della sorte, è l’anno della famosa mostra milanese di Lea Vergine). E allora diamo una sbirciata, non troppo veloce, a ciò che è appeso alle pareti del Centre. Colpisce e molto l’opera, datata 1862, di Georgiana Houghton fondatrice del cosiddetto “Simbolismo Sacro”, dove una fitta rete di simbologie, rende le opere, coacervi di indicazioni, raccomandazioni, precetti; qui il giallo sta per la saggezza, il blu per la speranza e la verità, il rosso per la carità e l’amore. Una gouache, che se estrapolata da queste un po’ troppo rigide e pesanti simbologie, risulta essere una gioiosa novità visiva. Geometriche e rigorose le opere di Hilma af Klint, così come saettanti e futuristici sono i quadri di Helen Saunders, straordinaria e poco conosciuta artista degli anni Venti. L’astrazione pura compare già nel 1914 con le tele di Vanessa Bell: “Abstract Painting” proprio di quell’anno è di grande impatto. Ma se c’è una artista assolutamente stupefacente, questa è la sovietica Lioubov Popova; esposta una sua rutilante “maquette” per l’opera “Le Cocu magnifique” di Crommelynck del 1922, forse la più bella opera in mostra. A far compagnia alla Popova ecco i disegni di costumi di Varvara Stepanova. E che dire se non ammutolire di fronte alla bellezza misurata della testina di Sophie Taeuber-Arp, artista di spicco del gruppo “Cercle e Carré” che nel suo nome racchiude già tutto il rigoroso manifesto programmatico. Ci vorrebbe un bel po’ per passare in rassegna tutte le opere di questa magnifica mostra e occorrerebbe lo spazio per la pubblicazione di un’adeguato apparato iconografico. Accontentatevi di queste piccole considerazioni e magari mettete in programma un viaggio a Bilbao, almeno per vedere, le uniche cose che valgano davvero la pena di essere viste: la mostra dal titolo titolo “Mujers de l’Abstraccion” e l’avviluppante Guggenheim Museum progettato da Frank Gehry; per vederla avete tempo dal 22 ottobre al febbraio 2022.
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now that im double vaxxed im thinking about it (booking train tickets for a day trip to paris)
#despite everything that has been said about the 'elles font l'abstraction' exhib at the pompidou center i still wanna go.......#there are works by alexandra exter and olga rozanova and varvara stepanova..................gngnhhgng#.txt
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Bon sinon les parisiens allez voir l'expo sur les femmes peintres au musée du Luxembourg elle est courte mais très chouette
#et après je vais voir elles font l'abstraction au centre pompom#et l'expo photo de la bnf#et l'hotel de la marine#et la fondation pinault#et...#j'ai un million d'expos à rattraper
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Elles font l'abstraction au Centre Georges Pompidou (2021)
* The eye of God de Georgina Houghton
*Prismes électriques de Sonia Delaunay
*Costume pour le film Aelita (Protozana 1924) d'Alexandra Exter
*Fenêtre du Bauhaus de Florence Henri
*Cinq choeurs de Gunta Stözl
*Arabesque de Germaine Dulac (photogramme)
*Abstronic de Mary Ellen Bute (photogrammes)
*Milky way de Janet Sobel
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Essaim de reflets (1965), par Martha Boto. À l'exposition « Elles font l'abstraction » au Centre Pompidou, le 30 juin 21.
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Exposition Collective | Elles font l'abstraction https://www.artlimited.net/agenda/exposition-collective-elles-font-l-abstraction-centre-pompidou-paris/fr/7584121
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[AGENDA EXPOS] Les musées et galeries vont enfin pouvoir dévoiler toutes leurs expositions à l’issue de leur réouverture à partir du 19 mai. Voici notre sélection avec les dates associées : 19-30/05 : Artavazd Pelechian, Sarah Sze - Fondation Cartier 19/05-12/06 : Bertrand Dezoteux : Le Juste Prix - Fondation Pernod Ricard 19/05-12/06 : Wolfgang Tillmans : lumière du matin - Galerie Chantal Crousel 19/05-12/06 : L'éloge de la main + Roger Catherineau - Les Douches 19/05-26/06 : 30 ans à Paris - Galerie Thaddeus Ropac (Pantin) 19/05-26/06 : Regards hors-champ et paysages - La Fab. 19/05-27/06 : Hubert Duprat - Musée d'Art Moderne 19/05-04/07 : Peintres femmes, 1780-1830 : Naissance d'un combat - Musée du Luxembourg 19/05-04/07 : Sarah Moon - Musée d'Art Moderne 19/05-05/07 : Hito Steyerl. I Will Survive - Centre Pompidou 19/05-11/07 : Ex Africa, présences africaines dans l'art aujourd'hui - Musée du Quai Branly 19/05-18/07 : Olivier Ratsi, Heureux soient les fêlés car ils laisseront passer la lumière - Gaîté Lyrique 19/05-18/07 : Gabrielle Chanel. Manifeste de mode - Palais Galliera 19/05-18/07 : Les origines du monde : l'invention de la nature au XIXe siècle - Musée d'Orsay 19/05-19/07 : Magritte / Renoir. Le surréalisme en plein soleil - Musée de l'Orangerie 19/05-19/07 : Signac, les harmonies colorées - Musée Jacquemart-André 19/05-26/07 : Abbas Kiarostami - Centre Pompidou 19/05-01/08 : Louis de Funès - Cinémathèque 19/05-22/08 : Henri Cartier-Bresson : Le Grand Jeu - Bibliothèque Nationale François Mitterrand 19/05-23/08 : Elles font l'abstraction, une autre histoire de l'abstraction au 20è siècle - Centre Pompidou 19/05-27/08 : Dans la tête de Stéphane Blanquet + Tranchée Racine - Halle Saint-Pierre 19/05-06/09 : Marc Riboud. Histoires possibles - Musée Guimet 19/05-26/09 : Heure bleue de Peder Severin Krøyer - Musée Marmottan Monet 19/05-24/10 : Moriyama, Tomatsu : Tokyo - Maison Européenne de la Photographie 19/05-12/12 : Histoires de photographies - Musée des Arts Décoratifs 19/05-31/12 : Musée Méliès, la magie du cinéma - Cinémathèque 19/05-02/01/22 : Dalí, l'énigme sans fin & Gaudí, architecte de l'imaginaire - Atelier des Lumières 19/05-02/01/22 : Picasso-Rodin - Musée Picasso & Musée Rodin 19/05-22/01/22 : Jean - Cité des sciences et de l'industrie 19/05-13/02/22 : Napoléon ? Encore ! De Marina Abarmović à Yan Pei-Ming - Musée de l'Armée 20/05-13/07 : Kiki Smith : From Inside - Galerie Lelong 20/05-13/07 : Robert Rauschenberg : Photographies - Galerie Lelong (Librairie) 20/05-17/10 : La Mer imaginaire - Fondation Carmignac (Porquerolles) 20/05-31/10 : Salgado Amazônia - Philharmonie 20/05-14/11 : Azzedine Alaïa, Peter Lindbergh - Fondation Azzedine Alaïa 21/05-24/07 : Vive l'Afrique !! Les découvertes d'André Magnin - Galerie du Jour agnès b. 22/05-06/06 : Ecole Kourtrajmé : Hard-Corps - CentQuatre 22/05-20/06 : Bread & Salt - The Community Centre 22/05-24/10 : Anne Imhof, Natures Mortes - Palais de Tokyo 22/05-31/12 : Ouverture - Bourse du Commerce 26/05-03/10 : Wang Bing : l'œil qui marche - Le Bal 27/05-30/09 : Albert Uderzo - Musée Maillol 27/05-30/01/22 : Fake News - Fondation EDF 28/05-19/09 : Napoléon - Grande Halle de la Villette 29/05-01/08 : Energies Désespoirs - CentQuatre 01/06-02/09 : The Power of My Hands / Afrique(s) : artistes femmes - Musée d'Art Moderne 01/06-31/12 : The World of Banksy - Espace Lafayette-Drouot 03/06-19/09 : Eugène Atget : voir Paris - Fondation Henri Cartier-Bresson 03/06-31/10 : Chagall, Modigliani, Soutine… Paris pour école, 1905-1940 - Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme 08/06-29/08 : Michael Schmidt, une autre photographie allemande - Jeu de Paume 09/06-18/07 : Sammy Baloji - Beaux-Arts 09/06-23/08 : James Coleman - Centre Pompidou 15/06-31/10 : Henri Cartier-Bresson : Revoir Paris - Musée Carnavalet 17/06-05/09 : Surface Horizon - Lafayette Anticipations 17/06-05/12 : Yves Saint Laurent : Les coulisses de la haute couture à Lyon - Musée Yves Saint Laurent 21/06-31/07 : Isabelle Cornaro - Fondation Pernod Ricard 06/07-02/01/22 : Damien Hirst, cerisiers en fleurs - Fondation Cartier 10/09-24/01/22 : Boticelli - Musée Jacquemart-André 14/09-30/01/22 : Chefs-d'œuvre photographiques du MoMA - Jeu de Paume 15/09-10/01/22 : Soutine / De Kooning - Musée de l'Orangerie 15/09-16/01/22 : Vivian Maier - Musée du Luxembourg 22/09-22/02/22 : La Collection Mozorov - Fondation Louis Vuitton 28/09-16/01/22 : Enfin le cinéma ! : Arts, images et spectacles en France 1833-1907 - Musée d'Orsay 30/09-24/04/22 : Thierry Mugler : couturissime - Musée des Arts Décoratifs 20/10-02/01/22 : Martin Margiela - Lafayette Anticipations 22/10-22/01/22 : Jonathan Jones : Untitled (transcriptions of country) - Palais de Tokyo Octobre : Sarah Maldoror, Tricontinentale - Palais de Tokyo 11-14/11 : Paris Photo - Grand Palais 17/12-24/07/22 : Hip-Hop 360 - Philharmonie A&B
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Quel bonheur les musées et les galeries sont rouvertes !
voici l’exposition « elles font l’abstraction » jusqu’au 23 Aout 2021 au Centre Pompidou Paris. La femme n’est pas que l’avenir de l’homme. Elle en est aussi son passé et son présent. Beaubourg rassemble cent six artistes femmes pour démontrer leur apports à l’abstraction dès 1860. Pour ne prendre qu’un exemple, Sonia Delaunay a relancé l’œuvre de son mari Robert qui s’enfonçait dans une période sombre. Par sa propre production, elle l’a incité à créer un langage pictural lumineux, le cubisme orphique. C’est elle qui crée en 1946 le salon des réalités nouvelles pour promouvoir l'abstraction. Le pouvoir fécondant des femmes dans l’art fait l’objet de nombreuses expositions à Paris. Citons: Peintres femmes 1780-1830 au Musée du Luxembourg, Sonia Delaunay à la GALERIE ZLOTOWSKI, les amazones, une expo 100% féminine sur la péniche FLUCTUART, Divas d’Oum Kalthoum à Dalida à l’institut du monde arabe et Anne Imhof, révélation de la biennale de Venise 2017, au Palais de Tokyo. Précipitez-vous au centre Pompidou.
#CentrePompidou#institutdumondearabe#galeriesparis#fluctuart#museeduluxembourg#galeriezlotowski#abstraction#parisaimelart#artcontemporain#contemporaryart#contemporary art#femme#anneimhof#soniadelaunay
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Ras-le-bol, des mensonges et des amalgames !
Après 48 heures de “priorité au direct”, la vie reprend son cours, et les français-de-souche, dont on n'a plus besoin pour applaudir le cortège funéraire, sont tous redevenus d'ignobles racistes, à la fois antisémites et islamophobes, bons pour une repentance de chaque instant. Quant aux catholiques, humiliés et insultés, ils n'auraient que ce qu'ils méritent, eux qui voient leur patrimoine religieux et culturel dévasté, leurs églises et “leurs” cimetières profanés et vandalisés à raison de un tous les deux jours, alors que les médias nous rebattent les oreilles avec leur “islamophobie” inexistante. Mais le mensonge est Roi, dans notre République !
Par exemple Le Maire et Darmanin ont présenté la semaine dernière leur projet de budget 2020. Il y a des gagnants (Armées, Intérieur, Justice et Education Nationale), et des perdants (Logement, Bercy, les urgentistes), mais les grands gagnants seraient ‘’les ménages’‘, avec l'annonce en fanfare de baisses d’impôts qui atteindraient 9 Mds €… alors que la recette de l'impôt sur le revenu bondit de 72,6 Mds en 2019 à 75,5 Mds en 2020 ! Ces soi-disant baisses très sélectives de ‘’Plus 3 Mds’’ (sic !) sont “financées” pour partie par la baisse des taux mondiaux (un miracle laïc inespéré, mais mal utilisé une fois de plus) et surtout, pour changer, par “la dette” : la France empruntera l'an prochain 205 Mds € sur les marchés pour la financer, record historique (c'est 5 Mds € de plus qu'en 2019 et le double de 2007). Ils mentent, se foutent de nous, et ils s’imaginent qu'on va les croire…
Car parallèlement à cet effort annoncé (ce n’est qu’un effet d'annonce !), on constate une énorme diminution des effectifs de la Fonction publique, celui que le monde entier attend depuis des années pour baisser notre dépense publique pathologiquement “à gauche”. Finalement, le Pouvoir a entendu les cris des français, et le Budget de l'an prochain prévoit une réduction totale de… 47 personnes, soit 0, 00002 % des effectifs. C'est-y pas beau, un gros bobard ?
Tout cela reste dans la droite ligne tordue de la “doxa gaucho-bobo-compatible” et des temples médiatiques de la fausse bien-pensance de combat, à peine gauchie, depuis 1968, en un libéralisme libertarien qui ne peut mener à rien de bon.. Cette idéologie perverse où le mensonge est la seule vérité admise, exclut a priori toute pensée contraire (ce que Macron appelle des “fake-news” !) et elle fait de tout opposant un paria populiste… Grâce à cette congélation du cerveau, les conservateurs bon teint sont paradoxalement devenus les seuls véritables contestataires, aujourd'hui. Des “conservateurs-révolutionnaires”, en somme !
Autre gros mensonge officiel : Notre-Dame. Contre toute évidence étymologique, ce drame a cristallisé une séparation idéologique entre ‘‘culture’’ et ‘‘culte’’. D'ailleurs, lors de la première messe dite à Notre-Dame après l'horrible incendie qui fait le bonheur des “christophages”, le Cardinal Michel Aupetit précisait : “Une culture sans culte devient une inculture. Il n’est qu’à voir dans quelle ignorance religieuse abyssale sont nos contemporains, à cause de l’exclusion du Nom même de Dieu dans la sphère publique, au prétexte d'une laïcité qui exclut toute dimension spirituelle visible”. Et s'il faut plaindre très fort les tenants de ces idéologies désertifiantes, cela ne doit pas empêcher de leur signaler où et quand ils entrent dans l'erreur historique et par quels chemins ils pourraient retrouver joie de vivre et raison d'espérer, auxquelles ils ont droit aussi, après tout !
Un autre des bobards qui empuantissent cette triste époque : l'Europe. Tous ceux qui ont eu à diriger des grands projets savent que le fait de rater les phases initiales équivaut à condamner l'ensemble du projet… qui sera éventuellement rattrapable, mais jamais dans l'état où il avait été imaginé par ses concepteurs. Robert Schuman avait vu ce danger : “Il faut que l'Europe ait une âme, la conscience de ses affinités historiques et de ses responsabilités présentes et futures”. L'Occident seul a cette vision de l'Homme, “une harmonie enracinée dans la tradition et une volonté de futur qui ne renie pas le passé”, qui a été mise à mal, nous le disions hier, par la volonté de Chirac et l'étroitesse d'esprit doctrinale de Jospin qui ont foutu par terre tout l'édifice en refusant qu'il ait des racines : pour donner à l'Europe le ciment sans lequel rien n'est possible, il faudra trouver mieux que des fantasmes anti-populistes ou que le repoussoir des sacro-saints “3 %”, qui ne sont ni sacrés, ni saints, bien sûr ! Ni “3 %”, d'ailleurs !
. Les institutions qui sont dites européennes (qui ne sont que bruxelloises et technocratiques) se sont développées par “la méthode Monnet”, ce mécanisme intellectuellement malhonnête qui prétend faire l'intégration non par le choix des peuples (on dit : “horizontalement”), mais du haut vers le bas, pour et par un soi-disant impératif adminitrativo-financier qui “chosifie” les citoyens. Qui pourrait “aimer” une lointaine “Cour de justice de la Haye,” ou l'abstraction impersonnelle que sont les “Droits de l'Homme’‘ ? Mais les technocrates refusent de voir que l'Europe est bien autre chose qu'un processus administratif ou qu'un espace géographique : elle n'est pas vide de toute tradition, de toute histoire, ni de toute culture et de sa riche Histoire, et ils ne savent pas que ’'toute race et toute terre qui a été successivement romanisée et christianisée, et qui a accepté la discipline des grecs, est européenne” (Paul Valery). Alors, au nom d'une pseudo tolérance intolérante, ces “Lumières éteintes” ont érigé les déviances les plus aberrantes en néo-normes qui devraient jouir des mêmes droits que nos vraies valeurs…
Bref, on croule sous les mensonges.... au point de ne plus rien pouvoir ''gober'' de ce qui vient de l'Etat : la sécurité routière (un des mensonges les plus énormes et les plus vicieux : tout est totalement faux, mais ça rapporte beaucoup !), le ''nuage noir'' de Rouen et le syndrome ''Tchernobyl'' qui en découle, l'état de l'économie (l'OMC vient, aujourd'hui-même, de diviser par 2 ses prévisions de croissance pour les échanges internationaux en 2019. Il était temps !)... Ou les mensonges sur l'immigration, les migrants, la criminalité importée, les trafics de drogue, la lutte contre la violence et les ''incivilités'' (c'est la même chose, mais ''bobardisée''), sur la population carcérale, sur la sécurité (c'est pire encore), sur la cause des accidents de la route, sur tout ce qui a trait à la pollution, au CO², au climat, au chaud, au froid, au tiède,, etc...Et il y a aussi les résultats de toutes les mesures gouvernementales prises depuis 3 ans (dont les stupides 80 km/h)...
Où que l'on regarde, tous les chiffres sont tout-à-fait faux ! Et même sur l'épouvantable mesure-phare tellement voulue par le Président, sa mortifère PMA... puis GPA, aux conséquences insoupçonnées, voilà que le président-en-examen de l'Assemblée Nationale rend mensonger le résultat final, dès le début des discussions publiques... Qui peut-on croire, et quand ? D'ailleurs, il n'est pas neutre que 65% des Français croient au moins à une théorie complotiste (sondage Ifop) ! Et il n’est pas bon pour ce qui reste de notre démocratie que ’‘La Dictature en Marche’’ ait pris le pouvoir, comme le racontait hier au Forum ''Citizen Go'' la députée ''ex-LREM'' Agnès Thil, en évoquant le ''risque de mort sociale'' pour qui est en désaccord avec la ligne officielle du Parti, comme au bon vieux temps du NKVD.
Il faut redouter que la frustration des citoyens finisse par ouvrir la porte à des ruptures regrettables. La lutte (soigneusement fabriquée et entretenue) entre les “affreux populistes rétrogrades” et les “merveilleux progressistes bien-pensants” paralyse le fonctionnement de nos institutions, qui ne font vraiment rien pour se faire aimer. Et la Loi de Murphy nous rappelle que “quand une chose peut aller mal, il y a de bonnes chances qu'elle aille mal, un jour”. Ce jour serait-il arrivé ?
En attendant, ce grand dadais d'Edouard Philippe, que plus personne ne peut croire tant il raconte “des craques”, nous promet et re-promet “la transparence sur le nuage noir” (sic !) de Rouen. Dans le genre ‘‘foutage de gueule’’, ‘’n'importe quoi’’, ou ''plus con que moi, tu meurs'', ce “nuage opaque-transparent” ne peut que donner envie de douter de tout, par principe !
H-Cl.
PS. Deux énormes erreurs ont échappé à mes relectures pointilleuses, hier : tout d'abord, il s'agissait, bien sûr, du Requiem de Fauré, comme l'ont répété tous les commentateurs. Comment ai-je été écrire une telle bêtise, alors que “in Paradisum” est un de mes chevaux de bataille, à l'orgue ? Et ensuite, j'ai écrit, horribile visu, Requisecat au lieu de Requiescat. Les lecteurs auront rectifié d'eux-mêmes. Toutes mes excuses, et merci au blogueur du Morbihan qui l'a vu le tout premier.
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Two “Bribes de corps” by Huguette Caland are on view in: “Elles font l'abstraction” / “Women in Abstraction” at the Pompidou Museum in Paris, France 19 May - 23 August 2021.
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Pacôme Thiellement ou la transcendance des obsessions
Comment est-ce que je me suis retrouvée à lire un bouquin sur Jésus ? Durant les premières pages de "La victoire des Sans Roi. Révolution gnostique", qui passent en revue différentes appropriations par les apôtres de la pensée de Jésus, j'ai eu le temps de me poser la question. Je n'ai pas le moindre rapport avec la religion et un intérêt en dessous de zéro pour le christianisme. Mais il a fallu deux phrases, en fin de chapitre, pour que craque l'allumette de la curiosité et que je me souvienne ce que j'étais venue faire là.
"Dieu est le pire ennemi de Jésus et Jésus est le pire ennemi de Dieu. Et c'est là que les problèmes commencent."
Si je viens de finir un bouquin sur les Gnostiques, les premiers adversaires du christianisme, fidèles de Jésus mais dissidents de l'Eglise chrétienne, c'est de la faute de Pacôme Thiellement.
J'ai rencontré ses écrits autour de 2012-2013. Je lisais à l'époque avidement le site qui a le plus bâti ma conscience politique, Les Mots Sont Importants, créé par Sylvie Tissot et Pierre Tevanian. Les articles de Pacôme Thiellement portaient sur "Céline et Julie vont en bateau", le film de Jacques Rivette. Je me souviens, je n'y comprenais rien. C'étaient parmi les textes les plus ésotériques, confus et colorés que j'avais pu lire. Mais il élaborait une analyse qui avait créé en moi une petite déflagration. Sa proposition consistait à dire que les films dans lesquels les femmes sont amies, collaborent entre elles et ne sont pas punies pour ça, sont rarissimes. "Céline et Julie" en est le parangon. Le film, que j'ai fini par découvrir lors d'un mini ciné-club féministe, compte depuis parmi ce que j'ai vu de plus ésotérique, confus et coloré. Et les bouquins de Pacôme Thiellement me happent peu importe le sujet.
Il parvient à écrire avec suspense des essais qui articulent une mosaïque d'objets culturels populaires et des enseignements théoriques et spirituels qui, on l'aura compris, peuvent remonter à perpète. Il a l'art de semer des graines qui font lever un sourcil, tendre l'oreille, et qu'on ne comprendra pourtant que deux ouvrages plus loin. Il parle de gens, de lieux, en énonçant des noms qui ne sont pas toujours explicités. Sans nécessairement de contexte ni de pédagogie, le lecteur doit accepter de ne pas savoir où il va, où il est. Pour la blague, j'ai lu tout "Tu m'as donné de la crasse et j'en ai fait de l'or" et un bon tiers de "La victoire des Sans Roi" en pensant que le lieu de la découverte des textes des Gnostiques en 1945, la bibliothèque de Nag Hammadi, appartenait à quelqu'un. Je pensais que Nag Hammadi était une personne. (C'est une ville égyptienne proche de Louxor). Mais quand bien même on est souvent paumé, quand bien même la langue, les correspondances et les symboles sont parfois obscurs, je n'ai jamais été passionnée par des essais de cette façon. A part chez Mona Chollet, ce n'est jamais un type de littérature que je n'arrive pas à lâcher. Pourquoi est-ce que j'aime autant les livres de Pacôme Thiellement ?
Je partage peu de ses obsessions culturelles. Il y a bien Lynch, Philip K. Dick, The OA... Mais je ne suis ni proche de Franck Zappa, ni des Beatles, ni de Beaudelaire, ni de Blake, ni de Shakespeare. Je n'ai fini ni Lost, ni Buffy, ni The Leftovers. Mais ce n'est pas un problème. J'ai mes propres obsessions et je sais ce que ça peut faire à l'âme. De ça découle ma fascination pour le travail d'alchimiste qu'il opère, connectant des séries TV à des préceptes datant du début de la chrétienté, reliant au divin des récits de science-fiction et tirant de pop songs des enseignements existentiels. Il me semble être l'un de ceux qui parviennent le mieux à penser avec ses obsessions culturelles. Et il fournit généreusement la possibilité de penser avec lui. Son appropriation des œuvres, l'exégèse qu'il en fait, consiste à en retirer ce qui peut s'appliquer à l'existence. Ce qui peut résonner dans des petits bouts d'histoires personnelles, pour les connecter, les réconcilier ou en adoucir les contours. Il réussit à aller très haut dans l'abstraction, à nous égarer dans des circonvolutions vaporeuses, pour ensuite revenir tout en bas, l'appliquer au plus concret. Pacôme Thiellement nous dit littéralement comment l'art aide à vire.
Je suis parfois déstabilisée par sa façon de connecter des choses qui semblent n'avoir rien à voir. Chez Thiellement, si deux choses renvoient le même éclat, c'est qu'elles ont une essence en commun. Il a une façon de planter des connexions entre les idées avec un aplomb qui leur donnerait presque de l'objectivité. Avec une habileté d'illusionniste, Il fait apparaitre un pont entre deux rives avant de vous regarder droit dans les yeux : "Evidemment qu'il a toujours été là, ce pont. Vous ne l'aviez jamais remarqué ?". La pratique n'est pas pour autant sans rigueur. Il y a bien des références aux Sans Roi dans les discours de John Lennon, quand bien même la lecture des paroles d'une chanson ne nous semble pas immédiatement probante. Mais si la pratique trouble, c'est que le fait de plaquer ses propres conceptions sur un contexte différent, de tisser une narration entre des évènements indépendants, est considéré dans des domaines comme les sciences humaines comme un écueil. Mais là, il le peut. Il y a dans la pensée critique sur l'art une liberté d'un autre ordre. Ce qu'il y a de chouette, quand on parle de forces supérieures, de pop culture et de prescriptions spirituelles (avec le même sérieux) c'est qu'on peut se permettre de bâtir des ponts qui finissent par ressembler à des tourbillons arachnéens. La sensibilité n'obéit à aucune autre loi que la subjectivité.
Même si on n'a pas les mêmes codes ou les mêmes interprétations de l'univers, on peut se retrouver dans ce que Pacôme Thiellement garde du monde pour en faire une planche de salut : "l'art, l'amour et la politique".
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Elles font l'abstraction au Centre Georges Pompidou (2021)
*Denkifutu de Atsuko Tanaka
* Le Teck de Marta Pan
* Chorégraphie de Maurice Béjart et Michèle Seigneuret autour du Teck
*The arena of the sun de Fahrelnissa Zeid
* Bichos de Lygia Clark
* Armpit hair de Rosemarie Castoro
* Avenza revisited II de Louise Bourgeois
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SHAQ FOU !
1) EPIC RAP BATTLE OF HAZETORY !
Shaquille O'Neil était un grand, très grand joueur de basket-ball. Tellement populaire qu'on lui donna les rôles les plus improbables au cinéma : le génie Kazaam ! C'est lui ! Steel, le héro DC, c'est lui ! Shaq dans toutes les apparitions télé et ciné, c'est lui ! Oui ! Sa carrière se résume un peu à être lui-même, et c'est déjà pas mal. Mais notre Alain Delon d'ébène eut même droit à deux jeux-vidéos à son nom et là ça frôle le génie. C'est un peu le Père Ubu du basket, notre « Big Shaq Daddy », notre gros PapaShaq comme le dit un de ses surnoms. Il ne se contente pas de tenir un ballon enflammé dans ses mains sur la jaquette de NBA Hoopz, rendant jaloux Air Jordan, condamné à s'envoler dans la « windy city », il a aussi fait de la boxe, Ready Rumble Undisputed, il a joué les Shaqattack dans Delta Force, mitraillette en main à faire la guerre dans les déserts, il a putain de fait du Karaté—enfin, du Shakido--dans un jeu de combat à son nom, à sa gloire : Shaq-Fu.
Après tout ça, il ne pouvait pas s'arrêter en si bon chemin. Le spectacle se devait de continuer et voilà donc maintenant notre Most Dominant Ever, notre M.D.E., tout en podcast et en MDMA j'imagine, tout muscles et bec et ongles prêt à briser les tabous, à défier les interdits, à renverser le monde. Il n'a plus de limites et nous devons nous plier, nous incliner, pôvres roseaux pensants, devant ce chêne massif, ce Big Cactus impossible et gorgé de sève qui dans son élan nietzschéen ne s'enracine plus dans la logique et l'abêtissement général et moutonneux, mais qui s'enracine dans le ciel de sa propre folie tel un Yggdrasil d'os et de sang.
Notre 8th Wonder a perdu pied et c'est cela la 8e merveille du monde, et c'est cela le destin : tout ce qui s'élève sur la jaquette du NBA Live 96 finit par se ramasser. Par partir en live.
En live total. Car voilà-t-il pas qu'il se met à croire que la terre est plate, lui qui a pourtant fait le tour du monde. Que nous dit ce Gros Aristote, ce Big Aristotle comme il a osé s'appeler lui-même ? Pas seulement que l'excellence est une habitude, non un acte isolé, que l'on n'est que ce que l'on fait constamment (ce qui fait que Shaq est plus magic encore que Johnson) mais que :
« C’est vrai, la terre est plate, la terre est plate. (...) Ecoutez, il y a trois façons de manipuler l’esprit : il y a ce qu’on lit, ce qu’on voit et ce qu’on entend. À l’école, la première chose qu’on nous apprend c’est que Christophe Colomb a découvert l’Amérique, mais quand il est arrivé, il y avait des gens à la peau claire avec des longs cheveux et des calumets de la paix. Qu’est-ce que ça signifie ? Que Christophe Colomb n’a pas découvert l’Amérique. Ecoutez, je conduis d’une côte à l’autre et ce truc est plat pour moi. Je conduis de Floride jusqu’en Californie, et c’est plat. Je ne vais pas de bas en haut à 360 degrés. (…) Vous allez me dire que la Chine est en dessous de nos pieds ? La Chine est sous nous ? Non elle ne l’est pas. La Terre est plate. »
Et tout le monde de se moquer du Doctor Shaq … A faire du tomber de micro comme des shlagues, ricanant que « by the way, this is gravity … boom ». Démonstration aussi plate que la terre selon notre secoué préféré. Les autres se contentent souvent de se moquer, quand ils ne s'estiment pas carrément plus intelligents que lui. Que tous les autres en fait.
Mais si vous étiez tous aussi malins, vous autres docteurs rien et Aristoddlers, vous arriveriez à le convaincre. Vous êtes éclairés et vous vous croyez brillants, mais vous ne savez pas ce qu'est cette science que vous ne faites que refléter. Vous errez tout autant que notre Big Galactus dans la nuit sans fin de la connerie sidérale. Car si manifestement Shaquou le craqué tombe dans un écueil intellectuel et pense de travers, vous, vous tombez dans l'écueil opposé, le prenant de haut avec suffisance, si forts de vos certitudes, sans être pas plus avancés que lui.
Il ne suffit pas de connaître son Colomb et son Newton, encore faudrait-il relire son Bachelard. Ce philosophe français des sciences nous montre dans La Formation de l'Esprit Scientifique que la science, le savoir ne sont pas affaire de certitudes acquises. Que la science, quand elle s'abaisse à ce scientisme, se nie elle-même, se perd totalement et finit par devenir opinion. La science, la seule, est question. Elle repose dans la formulation de questions et dans l'effort d'y apporter des réponses. C'est dire qu'avant tout, il faut avoir un sens des problèmes, parvenir à les bien poser. Il ne faut donc jamais, comme le font ceux qui rient de Shaquille O'Neil, considérer le savoir comme figé, comme une certitude acquise, parce que « la connaissance non questionnée » s'érige elle-même comme obstacle au savoir, décline en opinion ; et « l'opinion a, en droit, toujours tort » parce qu'« elle pense toujours mal », qu'« elle ne pense pas ». Les ricaneurs ne sont donc pas savants et boum, lâché de micro.
Bachelard développe :
« L'esprit scientifique nous interdit d'avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement. Avant tout, il faut savoir poser des problèmes. Et quoi qu'on dise, dans la vie scientifique, les problèmes ne se posent pas d'eux-mêmes. C'est précisément ce sens du problème qui donne la marque du véritable esprit scientifique. Pour un esprit scientifique, toute connaissance est une réponse à une question. S'il n'y a pas eu de question, il ne peut y avoir connaissance scientifique. Rien ne va de soi. Rien n'est donné. Tout est construit. »
Voilà pour faire ravaler leurs dents en même temps que leurs arguments à tous ceux qui invoquent l'évidence ; l'évidence n'est qu'une opinion qui ne vaut rien et bien stupide est celui qui l'oppose à un raisonnement faux. Parce que le raisonnement a au moins le mérite d'être un raisonnement, donc une volonté, balbutiante, de répondre à une question qui se pose, de répondre à une contradiction entre le témoignage des sens et la leçon de l'histoire. Parce que Shaquille O'Neil s'étonne, s'interroge, s'inquiète, il est plus proche du savoir que ceux qui invoquent Newton, Galilée et Colomb comme des pokemon hors de leur sphéroïdes miniatures et hurlent 1492 ! gravité ! E pur se muove ! Comme autant d'attaques PSY.
Plus proche. Mais très éloigné tout de même. Notre Hobo Master a quand même beaucoup de chemin a parcourir, lui qui bute sur le premier obstacle épistémologique qui se présente à celui qui décide d'avancer sur le chemin de la connaissance. Ces obstacles sont des obstacles intérieurs, propres à la démarche et générés par elle. Ici, l'expérience première, sensible, est le premier obstacle qu'il faut combattre et avec lequel il faut rompre. « L'expérience première ne peut, en aucun cas, être un appui sûr » et c'est « une grave erreur » de penser que la connaissance empirique peut être rigoureuse « en se cantonnant dans la simple affirmation des faits ». Car :
« dans la connaissance vulgaire, les faits sont trop tôt impliqués dans des raisons. Du fait à l'idée, le circuit est trop court. On croit pouvoir s'en tenir au fait. On dit volontiers que les anciens ont pu se tromper sur l'interprétation des faits, mais que, du moins, ils ont vu—et bien vu—les faits. Or il faut, pour qu'un fait soit défini et précisé, un minimum d'interprétation. Si cette interprétation minima correspond à une erreur fondamentale, que reste-t-il du fait ? »
Le fait c'est que la terre apparaît plate. De ce fait, de cette perception première, le chemin à l'idée est trop court : la terre est donc plate. Les tenants de cette théorie, des auteurs de la bible à Shaquille O'Neil en passant par Rowbotham partent tous du principe que les sens nous donnent accès au monde tel qu'il est et que pour connaître il suffit de voir. Mais si les sens étaient trompeurs ? Par eux-mêmes et par la perspective qui est la notre sur le monde ? Ces observations simples se suffiraient-elles à elles-mêmes ? Non. Il faudrait, à partir d'elles, monter vers l'abstraction mathématique afin de valider l'impression ou de la réformer, chercher par la puissance du calcul des connaissances exactes dont on puisse mesurer les conséquences, tout faire donc, pour, à partir du témoignage immédiat des sens, pousser plus loin que la seule énonciation du fait ou la seule démonstration du fait. Il faut se donner les moyens de découvrir de nouvelles choses.
Et c'est justement ce qu'on va faire en seconde partie. Pour sauver Shaqy de sa folie. Et vous les enfants, voulez-vous nous aider à sauver Shaqy de sa folie ?
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