#effet matrix
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Le métavers, "l'internet du futur" qui fait rêver la tech promet des expériences en ligne bien plus immersives qu'avec un écran ou une souris. Cet univers, qui réunit les mondes réel et virtuel, intéresse de plus en plus l'industrie technologique. Elle y voit la prochaine étape du développement d'internet. Internet s'apprête à passer la troisième. Plusieurs géants de la technologie, veulent bâtir un "métavers", un méta-univers numérique où la frontière entre le réel et le virtuel se brouille, jusqu'à disparaître complètement. Au même titre que de nombreuses innovations technologiques, l'idée d'un métavers a parcouru un long chemin avant d'intéresser les mastodontes de la Silicon Valley. Le terme apparaît pour la première fois dans un roman de science-fiction, Le Samouraï virtuel, publié par l'auteur américain Neal Stephenson en 1992, dans laquelle tout individu peut se connecter, grâce à des lunettes spécifiques, à cet univers en trois dimensions où les actions virtuelles ont des effets sur le monde réel. "C'est le fantasme de tous les développeurs de jeux vidéo depuis qu'ils existent", explique à franceinfo Julien Pillot, économiste enseignant à l'Inseec et spécialiste des marchés technologiques. D'autres œuvres cultes, comme les films Tron (1982), Matrix (1999) ou, plus récemment, Ready Player One (2018) explorent aussi des univers numériques où la fiction vaut autant, sinon plus, que la réalité
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Top 5 worst (or most hated) movies you've ever seen?
Merci de demander ! J'ai décidé de ne mettre aucune suite dans ce top, parce que c'est bien connu que les suites sont souvent de moins bonne qualité que le film original. Exit, donc, les Shrek 3, Matrix 4, X-Men 3 et autres. Par contre, il y aura pas mal d'adaptations dans le top, car je suis facilement déçu'e avec ce sous-genre.
1. Loups-Garous de Thiercelieux sur Netflix : il est si haut dans le classement parce que je l'ai vu la semaine dernière, donc c'est encore très frais dans mon esprit. L'humour est beauf (sexiste et raciste, notamment), les effets spéciaux sont pourris, le scénario n'a aucun sens, c'est bourré de clichés sur le Moyen Âge... Un navet, pas même un nanard !
2. Le film Miraculous Ladybug. Pareil, il est haut dans le classement car je l'ai vu relativement récemment. Il massacre la série animée de départ, qui a certes des problèmes mais qui reste fort sympathique. Là, les personnages sont fades, les chansons sont nulles et y en a beaucoup trop (et pourtant j'aime les comédies musicales !), ça essaye de raconter 5 saisons en 1h30, bref c'est naze.
3. Seven Son (« l'adaptation » de L'Épouvanteur). Notez bien que j'ai mis « adaptation » entre grosses guillemets. J'adore le livre, et je sais que le cinéma est un support différent, mais là c'est même pas un bon film. De la fantasy générique très basique alors que l'univers du livre est vraiment riche, des effets spéciaux qui sont à la rue, une romance super fade... J'ai vraiment détesté.
4. Avatar The Last Airbender, le film. Beaucoup de gens sur Internet ont déjà expliqué pourquoi ce film est mauvais, mais si je résume ce qui m'a déplu, outre le whitewashing des personnages principaux, c'est que ce film est beaucoup plus plat que la série de départ. On s'ennuie, alors que la série animée réussissait à parler de sujets profonds et avait une véritable beauté.
5. Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ? Comédie française dont je ne m'explique pas le succès. La morale du film, c'est quand même « tout le monde est raciste donc c'est OK d'être raciste ! » Ah, remarque, si, je comprends pourquoi ça peut plaire à des gens qui penseraient pareil.
Il y a d'autres films que j'ai détesté, mais je n'arrive pas à me souvenir de leur titre, donc finalement ils ne m'ont pas tant marqué que ça, y compris dans leur détestation.
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Les années 90 ont été une véritable percée pour Reeves
Il a eu l'opportunité de jouer dans les projets les plus divers de réalisateurs célèbres, de l'art et essai aux thrillers et films d'action. En 1991, Keanu Reeves a joué un agent infiltré du FBI dans On the Crest de Kathryn Bigelow, a repris le rôle de Ted dans la suite Bill et Ted et a travaillé avec Gus Van Sant dans le drame de River Phoenix My Own State of Idaho. Et ce fut juste le début. Un an plus tard, il donne la réplique à Francis Ford Coppola dans l'adaptation du roman Dracula de Bram Stoker avec Winona Ryder et Gary Oldman. Puis il y a Little Buddha de Bernardo Bertolucci, le film d'action Speed avec Sandra Bullock, l'adaptation de l'histoire de science-fiction de William Gibson Johnny Mnemonic et The Devil's Advocate avec Charlize Theron et Al Pacino.
À la fin des années 90, Keanu Reeves incarne Neo dans le film culte des sœurs Wachowski, The Matrix. La bande est devenue un succès international grâce aux scènes de combat, des effets spéciaux incroyables à l'époque, une mode spéciale et une intrigue passionnante. En conséquence, deux autres images ont été prises : "The Matrix : Revolution" et "The Matrix : Reboot".
Malgré le succès et la popularité, l'acteur a continué à choisir divers projets pour lui-même: du mélodrame "Sweet November" au film fantastique "Constantine: Lord of Darkness". En 2006, Reeves a joué dans l'adaptation cinématographique de Richard Linklater de "The Blur" de l'auteur américain populaire Philip Dick. Il retrouve Sandra Bullock sur le tournage du mélodrame "House by the Lake". En 2008, Keanu Reeves a joué le rôle de David Ayre dans le film d'action policier "King of the Streets".
#cinéma#unfilmcouleur#film#comportementhumaines#actionshumaines#joie#plaisir#aventures#lesdessinsanimés#buxberg
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SÉANCE #10 L'allégorie de la caverne numérique
L’intelligence artificielle (IA) a connu des avancées technologiques impressionnantes ces dernières années. De plus en plus performante et accessible, l’IA a passé du statut d’innovation de pointe à technologie de masse (LePont, 2023). Cependant, l’IA pose des questions inquiétantes car elle résout des problèmes de manière que les humains ne peuvent pas toujours suivre ; cette opacité est souvent appelée le concept de la boîte noire. (de Castex, s.d.). En se complexifiant, ces systèmes rendent opaques, du point de vue de l’utilisateur, les procédés internes de leur fonctionnement. Cette opacité maximale, qui ne peut, par conception, devenir transparente, rend impossible d’établir rationnellement un lien de cause à effet entre les données de départ et le résultat final (idem). Faut-il comprendre les algorithmes pour leur faire confiance ?
Dans l’imaginaire collectif, la narration adoptée face à la montée technologique est méfiante. Les grandes productions telles que Matrix, Terminator, Black Mirror ou encore le livre 1984 antagonisent la progression technologique. Ces œuvres fictives deviennent un point de référence quant aux conséquences potentielles de l’avancement technologique ; la mégarde est de mise. Les premiers abords de la population générale sont naturellement sceptiques quant aux accomplissements utilitaires possibles de l’IA. Certains pensent que c’est possible et appellent le problème de la boîte noire un mythe (Bender, 2019). Le modèle d’apprentissage profond, de l'hôpital général du Massachusetts, surpasse les radiologues dans le dépistage des mammographies (idem). À cause du processus derrière la boîte noire, les résultats ne sont pas explicitement compréhensibles, mais diverses méthodes en langage machine permettent d'interpréter ces résultats. De plus, certains médecins pensent que pour utiliser ces systèmes, ils doivent comprendre comment l’IA prend ses décisions. Cependant, la médecine est riche en technologies avancées qui fonctionnent d'une manière que les cliniciens ne maîtrisent pas totalement (idem).
L’exemple du dépistage est un exemple modeste et le début d’un phénomène global dans le domaine de la médecine générale (Amisha et al, 2019). Il existe un point de basculement potentiel où l’intelligence artificielle dépassera l'intelligence humaine. Elle pourrait être capable de s'améliorer elle-même à un rythme exponentiel, conduisant à des avancées technologiques inimaginables. (Ziegler, 2023). À ce point, notre compréhension serait un fardeau sur son vrai potentiel.
source: BingAI, 2023
Références bibliographiques
Amisha, M., Pathania, M., Rathaur, V. (2019, juillet). Overview of artificial intelligence in medicine. Journal of Family Medicine and Primary Care. 8 (7). 2328-2331. DOI: 10.4103/jfmpc.jfmpc_440_19.
BingAI. (2023). DALL-E (Version 3) [Une représentation visuelle des concepts de l'intelligence artificielle, la singularité technologique, et les implications éthiques et sociétales mentionnées dans le texte]. URL.
Bender, E. (2019, 4 décembre). Unpacking the Black Box in Artificial Intelligence for Medicine. Undark. URL.
de Castex, E. (2019, 20 décembre). Le problème de la boîte noire : pour faire confiance aux algorithmes, faut-il les comprendre. Anthropotechnie. URL.
LePont. (2024, 5 mars). Quel avenir pour l'intelligence artificielle: bilan pour 2023. URL. .
Ziegler, R. (2023, 29 mai). La singularité est-elle une menace pour l'humanité. Tomorrow Bio. URL.
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Need for Speed: Most Wanted 2005 gratuite
Need for Speed : Most Wanted est le prochain volet d'une série en développement depuis le milieu des années 1990. Need for Speed: Most Wanted 2005 gratuite.
L'histoire du jeu
Après les escapades nocturnes des deux jeux Need for Speed : Underground, le temps est venu de conduire une voiture de sport dans un environnement complètement différent. Le jeu se déroule néanmoins dans une seule et même métropole, avec une superficie assez importante et une grande variété de bâtiments (quartiers résidentiels, zones industrielles, etc.).
Mécanismes du jeu
L'objectif du jeu est de devenir le meilleur pilote de rue de la "Black List", qui doit faire face à des rivaux potentiels ainsi qu'à des agents des forces de l'ordre dans des voitures de police. Ainsi, non seulement nous participons à de nombreuses courses illégales dans le trafic urbain normal, mais nous devons aussi souvent fuir les policiers vicieux. Il convient de noter que lorsqu'une situation à haut risque se présente (par exemple, un camion sortant soudainement d'une route secondaire), un ralentissement momentané de l'action est activé, à l'instar du célèbre effet bullet-time de la trilogie cinématographique Matrix, ce qui vous permet d'effectuer les manœuvres appropriées de manière relativement calme et précise.
Un large choix de voitures
Comme à l'accoutumée, les développeurs ont pris soin d'obtenir les licences nécessaires pour inclure de nombreuses voitures authentiques dans la réalité virtuelle, notamment la BMW M3 et la Mazda RX-8. Chaque voiture est susceptible de faire l'objet de réglages externes et internes, de sorte que nous pouvons, à notre guise, installer des spoilers, modifier la peinture, améliorer le groupe motopropulseur, monter des trains de pneus professionnels, etc. En outre, les véhicules à quatre roues sont soumis à des dommages réalistes, de sorte qu'une collision frontale avec un mur en béton à une vitesse excessive met tout simplement fin au jeu.
Problèmes techniques
Les développeurs de Need for Speed : Most Wanted se sont donné beaucoup de mal pour que leur création soit un chef-d'œuvre visuel. Les modèles tridimensionnels des véhicules et de tous les éléments de l'environnement ont été créés avec un souci du détail exceptionnel, dans le but de plaire aux puristes les plus graphiques. De plus, une bande sonore dynamique a été mise en place, ainsi qu'un mode en ligne qui ravira les amateurs de multijoueurs. Need for Speed: Most Wanted 2005 gratuite. Read the full article
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Le Meilleur du Streaming : Les Films et Séries Incontournables
Introduction: À l’ère du streaming, les amateurs de cinéma ont accès à une bibliothèque virtuelle infinie de films et de séries de tous les genres et de toutes les époques. Parmi cette multitude de contenus, certains se démarquent comme des incontournables, des œuvres intemporelles qui méritent d’être vues. Ces films et séries ont traversé le temps et continuent d’enchanter les spectateurs du monde entier. Dans cet article, nous vous présentons une sélection de ces chefs-d’œuvre disponibles en streaming, qui vous procureront des moments cinématographiques inoubliables.
Le Parrain (1972): Le chef-d’œuvre de Francis Ford Coppola, “Le Parrain”, est un film de gangsters qui est régulièrement cité parmi les meilleurs films de tous les temps. Avec son histoire captivante, ses performances d’acteurs brillantes et son ambiance inoubliable, “Le Parrain” est un incontournable pour tout cinéphile.
Casablanca (1942): “Casablanca” est un classique intemporel qui touche les cœurs des spectateurs depuis des décennies. Humphrey Bogart et Ingrid Bergman brillent dans cette histoire romantique sur l’amour et la perte pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le Silence des Agneaux (1991): Ce thriller psychologique réalisé par Jonathan Demme a marqué le genre et laisse une empreinte durable. Avec une intrigue captivante, une performance mémorable d’Anthony Hopkins dans le rôle d’Hannibal Lecter et le talent exceptionnel de Jodie Foster dans le rôle de l’agent du FBI Clarice Starling, “Le Silence des Agneaux” est un incontournable absolu.
Pulp Fiction (1994): “Pulp Fiction” de Quentin Tarantino est un collage audacieux et stylisé d’histoires entrelacées de manière fascinante. Avec sa mise en scène dialoguée emblématique, son humour noir et ses personnages inoubliables, ce film a profondément influencé la culture pop.
Le Cercle des Poètes Disparus (1989): Un film émouvant sur le pouvoir de la poésie et l’importance de la pensée libre. Robin Williams brille dans le rôle d’un professeur d’anglais non conventionnel qui inspire ses élèves à poursuivre leurs rêves et à façonner leur propre vie.
Blade Runner (1982): “Blade Runner”, le film de science-fiction visionnaire de Ridley Scott, a repoussé les limites du genre. Avec son atmosphère dystopique, ses effets visuels impressionnants et sa réflexion philosophique sur l’humanité, ce film est un incontournable pour les fans de science-fiction.
Taxi Driver (1976): “Taxi Driver” de Martin Scorsese est un portrait intense d’un chauffeur de taxi instable, interprété par Robert De Niro. Le film explore des thèmes tels que la solitude, la violence et la décadence morale de la société, et est devenu un classique intemporel.
Les Évadés (1994): Basé sur la nouvelle de Stephen King, “Les Évadés” raconte l’histoire d’Andy Dufresne, un homme condamné injustement qui reconstruit sa vie en prison. Avec une intrigue captivante et des performances exceptionnelles de Tim Robbins et Morgan Freeman, ce film est un véritable chef-d’œuvre.
Matrix (1999): Les frères Wachowski ont créé “Matrix”, un film de science-fiction révolutionnaire qui a redéfini le genre. Avec ses effets visuels époustouflants et son scénario complexe explorant la réalité virtuelle et l’existence humaine, “Matrix” reste un incontournable du cinéma.
Conclusion: Les films et séries mentionnés dans cet article représentent le meilleur du streaming, des œuvres intemporelles qui ont enchanté des générations de spectateurs. Que vous soyez un amateur de films classiques, de thrillers psychologiques ou de science-fiction, ces incontournables vous offriront des expériences cinématographiques inoubliables.
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Keanu Reeves est enfin prêt pour Constantine 2
Si vous êtes fan de l’acteur Keanu Reeves, sachez que ce dernier a fait un carton dans la saga « Matrix », les 4 volets de « John Wick ». D’ailleurs, il sera bientôt à l’affiche de « Constantine 2 ». En effet, il excelle dans tous les rôles.
Crédit image : Nathan Congleton via Flickr / Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 Générique (CC BY-NC-SA 2.0 DEED)
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Laylow, du digital réel. Comment la technologie et le numérique influencent-ils sa musique ?
De nos jours, les nouvelles technologies sont omniprésentes dans notre quotidien. En effet, depuis l'arrivée d'internet et la démocratisation du digital (utilisation de la technologie numérique), ces dernières s'imposent dans nos vies. Ces hautes technologies sont, de prime abord, développées afin d'aider les populations, on peut notamment penser aux exo-squelettes qui sont en fait des systèmes externes, biomécaniques ou motorisés, apportant une assistance physique à leurs utilisateurs, et qui sont un espoir pour améliorer les conditions de travail de certaines personnes. On peut également prendre l'exemple des technologies d'assistance médicale qui nous permettent d'être plus rapide dans la compréhension d'une maladie ou d'une pandémie.
Les nouvelles technologies s'implantent également dans le monde de l'art, c'est notamment le cas dans le cinéma avec certains films tels que Transformers (2007), Ready play one (2018), ou bien Nerve (2016) qui mettent en scène robots, hologrammes, intelligences artificielles, tout ceci dans un monde à l'aspect digital. Depuis quelques temps, nous avons même pu voir apparaître des générateurs de textes ou d'images, en bref des générateurs d'art qui sont en fait des intelligences artificielles.
Cependant, le high-tech ne s'arrête pas là, aujourd'hui, en effet, les nouvelles technologies prennent une place à part entière dans le monde de la musique. Après l'arrivée du style electro, les musiques assistées par ordinateur et l'utilisation de l'autotune, module corrigeant les fausses notes et faisant chanter juste ceux qui chantent faux, ont été démocratisées grâce notamment à leur utilisation dans des groupes tels que les Daft Punk. A présent, il y a plus que ça. En Corée du Sud, par exemple, certains groupes de korean-pop aussi appelée k-pop sont composés d'intelligences artificielles, ces dernières chantent et écrivent leurs propres chansons. En Europe, et jusqu'au mois de novembre, le célèbre groupe de pop suédois Abba remonte sur scène, mais sous forme d'hologramme ! La musique jadis écoutée sous forme de cassettes, de disques ou de CD à a présent bien évoluée côté digital. Dans le rap notamment, un artiste se démarque tout particulièrement grâce à sa musique à l'ambiance numérique. Ce dernier se prénomme Laylow.
• Mais comment Laylow a-t-il su tirer parti de l'émergence des nouvelles technologies pour se démarquer des autres ?
Tout d'abord, Laylow, de son vrai nom Jéremy Larroux, né en 1993, est un artiste originaire de la banlieue toulousaine. Avec son propre label Digital Mundo, il est l'une des figures les plus créatives du paysage musical français. Il s'est rapidement distingué sur la scène du rap français par un univers faisant abondamment appel aux nouvelles technologies.
Laylow est un artiste qui aime jouer avec les différents modules musicaux tels que l'autotune, qu'il utilise surtout pour créer de nouvelles sonorités, en effet, il acquiert souvent une voix robotique, saccadée de possibles interférences comme dans le titre Logiciel Triste paru dans son album du nom de Trinity. Plus que cela, ses albums tels que Digitalova, .RAW, .RAW-Z ou Trinity s'inscrivent dans une vague digitale ne serait-ce que par leur musicalité. Effectivement, même sans voix, l'artiste rythme les cheminements musicaux de ses albums avec saturations, vibrations, grésillements, distorsions... En bref, ses musiques sont ponctuées de bruits électroniques en tout genre. Laylow intègre l'ère du digital dans les scénarios des histoires qu'il invente, et même dans les visuels de ses clips en montrant par exemple des hologrammes comme dans Gogo, titre faisant parti du projet Digitalova, un bras robotique ou bien carrément en personnifiant un logiciel dont il tombera amoureux dans l'album Trinity. En plus de tout cela, Laylow s'inspire de références emblématiques telles que le premier Matrix (1999) ou bien de films plus futuristes comme Her (2013) ou Blade Runner (1982).En bref, en intégrant les nouvelles technologies et l'univers digital de différentes façons à ses œuvres, Laylow a su créer une ambiance puissamment digitalisée qui lui a permis de se démarquer des autres artistes.
Pour finir, grâce à l'engouement créé par Laylow autour de la musique digitalisée, on a assisté à l'émergence d'autres artistes tels que Wit, ou bien So Lalune et Luther, nouveaux artistes faisant partis de la "New Wave" ("Nouvelle Vague" d'artistes). Ces derniers s'annoncent très prometteurs.
● PRUD'HOMME Lana ●
______________________________________________
SOURCES :
https://youtu.be/So6ycBXKlMQ (interview clique x)
https://youtu.be/WlVeRoSjBO8 (le règlement mr anderson)
https://youtu.be/9OyVVsjuVVM (le règlement trinity)
https://thesaurap.fr/albums/laylow-trinity/
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Laylow
https://www.essentiel-sante-magazine.fr/sante/innovation/exosquelettes-un-espoir-pour-ameliorer-les-conditions-de-travail
https://www.bfmtv.com/people/musique/abba-leur-spectacle-futuriste-en-hologrammes-prolonge-jusqu-a-novembre-2023_AN-202211280637.html
https://www.sonymusic.fr/artist/laylow/
https://www.deezer.com/fr/artist/4510044?deferredFl=1&utm_campaign=artist&utm_source=google&utm_medium=organic
SOURCES IMAGES :
https://images.app.goo.gl/rjbRA96TtqyTedQo8 (image 1 : exo-squelette porté par un humain)
https://images.app.goo.gl/r2oAbfU9x2Ng3bhE8 (image 2 : affiche du film Nerve)
https://images.app.goo.gl/EzGoXk5b3ab9GZgY6 (image 3 : images générées par l'intelligence artificielle DALL-E)
https://youtu.be/5Uo_gsAo0Rw (image 4 : pochette album Trinity (Laylow))
https://youtu.be/WlVeRoSjBO8 (image 5 : résumé de Trinity (Laylow))
https://youtu.be/qnth3aMiUcw (image 6 : pochette album Digitalova (Laylow))
https://youtu.be/U4Q8bjvdgUM (image 7 : pochette album Sirus (Wit))
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Où notre héroïne a un gros béguin
Samedi soir à boire des mojitos avec Valérie, à Savigny-sur-Orge, en pleine vague de froid.
Savigny, ses richesses architecturales, son rayonnement culturel.
On a trottiné dans la nuit et les néons laiteux jusqu'au seul bar un peu classe du coin, pour le plaisir de se répéter la vanne immortelle de Lolita : "Heureusement qu'il y a du brouillard, çà cache un peu les crétins qui vivent ici".
Je voulais lui parler de cette histoire avec les boulets de la classe, qui me tombe sur le pied au moment où j'en ai le moins besoin ; et puis finalement, on s'est retrouvées à parler de Prof Sexy toute la soirée. Elle est heureuse en ménage et les fixettes de célibataires doivent lui rappeler des souvenirs.
Le calcul que je traînais dans les reins, depuis l'après-midi, irradiait d'heure en d'heure, et elle m'a proposé de rouler un spliff en sortant. Elle a insisté pour qu'on le fume dans la voiture - "Thierry va me prendre la tête sinon" - alors on est restées devant son pavillon, dans sa petite rue transie, à attendre que çà fasse effet et que je puisse reprendre la route. On voit bien que ce ne sont pas des pavillons riches qu'il y a dans sa rue, certains ressemblent même plutôt à de petits immeubles mitoyens ; mais enfin, c'est déjà quelque chose. Une jardinière sur la façade de devant, un jardinet-couloir derrière : le début de l'accession à la propriété. On déglutissait, chaque fois qu'on tirait sur le cône, parce qu'elle l'avait bien chargé, et on soufflait la fumée par les vitres entrouvertes.
On essayait d'imaginer avec quel genre de fille Sexy était maqué. Val le voyait avec une bourge toute refaite de partout, le genre "Grande connasse, blonde en carton, les nichons sous le menton et le chihuahua dans les bras, genre le clébard il pose jamais les pattes par terre". J'ai dit que je le voyais bien cerné par des tas de doctorantes jeunes et sexy qui se battaient à coup de tablettes, en mode Matrix, pour obtenir une audience avec lui. Je sais pas si c'est les mojitos ou le THC, mais visualiser la scène nous a bien fait marrer. On a convenu ensuite que la réalité devait être un mix des deux.
Après, on a essayé de se mettre d'accord sur la chanson à lui envoyer pour lui faire comprendre mes intentions - des chansons de Q, évidemment. Les grandes idées humaines ne naissent jamais après un verre de jus d'orange. Elle voulait que je lui donne son mail pour lui envoyer le clip de Fatal Bazooka
Je lui ai dit que c'était un message subtil mais que, si elle voulait coller à ma réalité, il valait mieux lui envoyer les paroles de Hey Lover, de LL Cool J.
Elle m'a encore proposé de dormir chez eux, mais je savais que j'allais être réveillée à 7h par leur bouledogue - rebaptisé le Chien Le Plus Con De La Planète depuis qu'il avait essayé de s'accoupler avec un kilo de pommes de terre en filet ; et encore après, à 7h30, par Enzo, leur fils de cinq ans. Je n'avais pas envie que : "Vas-y casse-toi le chien" sois la première phrase qui sorte de ma bouche un dimanche matin. Je ne sais pas pourquoi tout ce qui est en état de marche, à 7h, dans cette maison, n'a rien de mieux à faire que de venir étaler ses jouets gluants sur mon oreiller.
En rentrant, j'ai reçu le sms de Valérie qui me demandait si j'avais croisé des flics sur la route. Je lui ai écrit que tout était ok, que je gardais mon permis. Sa réponse m'a collé le sourire d'une oreille à l'autre :
"NEVER EVEN THOUGHT. MURRAY HEAD !!! "
#çà y est#je suis cuite des deux côtés#secret crush on you#lolita livre#nabokov#célibataire#fatal bazooka#j'aime trop ton boule#hey lover#ll cool j#never even thought#murray head#je ne peux pas taguer ce billet proprement#tumblr censure les contenus évoquant drogue et alcool#pour en dire autre chose que C'est le mal#et qui ne sont pas agréés par la sécurité routière aussi ?#tout en nous spammant de pubs comme des maléfiques#et en laissant des sites de prostitution troller notre mur#tout est normal#le père noël est une ordure#anémone#marie-anne chazel#all time favourite#my gifs
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Matrix Cow, une vache qui se la joue Matrix, bullet time et effet, extrait du film Kung Pow Extrait du film Kung Pow, Enter The Fist
August 27 2021
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Les années 90 ont été une véritable percée pour Reeves
Il a eu l'opportunité de jouer dans les projets les plus divers de réalisateurs célèbres, de l'art et essai aux thrillers et films d'action. En 1991, Keanu Reeves a joué un agent infiltré du FBI dans On the Crest de Kathryn Bigelow, a repris le rôle de Ted dans la suite Bill et Ted et a travaillé avec Gus Van Sant dans le drame de River Phoenix My Own State of Idaho. Et ce fut juste le début. Un an plus tard, il donne la réplique à Francis Ford Coppola dans l'adaptation du roman Dracula de Bram Stoker avec Winona Ryder et Gary Oldman. Puis il y a Little Buddha de Bernardo Bertolucci, le film d'action Speed avec Sandra Bullock, l'adaptation de l'histoire de science-fiction de William Gibson Johnny Mnemonic et The Devil's Advocate avec Charlize Theron et Al Pacino.
À la fin des années 90, Keanu Reeves incarne Neo dans le film culte des sœurs Wachowski, The Matrix. La bande est devenue un succès international grâce aux scènes de combat, des effets spéciaux incroyables à l'époque, une mode spéciale et une intrigue passionnante. En conséquence, deux autres images ont été prises : "The Matrix : Revolution" et "The Matrix : Reboot".
Malgré le succès et la popularité, l'acteur a continué à choisir divers projets pour lui-même: du mélodrame "Sweet November" au film fantastique "Constantine: Lord of Darkness". En 2006, Reeves a joué dans l'adaptation cinématographique de Richard Linklater de "The Blur" de l'auteur américain populaire Philip Dick. Il retrouve Sandra Bullock sur le tournage du mélodrame "House by the Lake". En 2008, Keanu Reeves a joué le rôle de David Ayre dans le film d'action policier "King of the Streets".
#cinéma#unfilmcouleur#film#comportementhumaines#actionshumaines#joie#plaisir#aventures#lesdessinsanimés#buxberg
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Dimanche 26 avril
René
Il est difficile d’avancer dans une critique ciblée sur la situation tout à fait exceptionnelle que nous vivons. En effet, tous les discours, les décisions et les perspectives sanitaires déployés autour de la présence du coronavirus dévoilent de façon tragique une crise sismique de la politique occidentale concernant sa conception de l’homme et de sa place dans le monde.
L’Occident s’est clairement déterminé au XIXème siècle pour une vision naturaliste de l’homme assimilé à une espèce animale et dimensionné par les mêmes mécanismes adaptatifs. La question de la conscience humaine a donc été dévêtue de ses atours philosophiques précieusement tissés par la civilisation gréco-latine. Ainsi réduite à une nouvelle disposition adaptative, la conscience ne concerna plus que l’aptitude de l’homme à se représenter le monde.
Il fut alors évident que cette représentation du monde se devait d’être objective et privée de toute transcendance. Elle entérinait le fondement économique de toute vie sur terre et légitimait un arraisonnement brutal du réel servi par l’essor du capitalisme.
Cette révolution portée par la science a pu facilement écarter le phénomène religieux tout en empruntant les mêmes couloirs du pouvoir ; cependant, il était plus difficile d’éliminer les valeurs culturelles qui témoignaient de la présence critique d’une intelligentsia. La question fut réglée grâce à l’extrême rapidité du développement des sciences mathématiques et physiques au tournant du XXème siècle qui favorisèrent leur mainmise sur le monde de l’éducation et réduisirent peu à peu les sciences humaines à une peau de chagrin. La force hégémonique de ce courant technoscientifique explique le rejet violent de la psychanalyse qui n’a eu aucun véritable impact sur le monde malgré les ambitions de Freud.
La politique occidentale s’est donc construite selon un profond clivage entre une conception purement économique que Karl Marx a bien su analyser, et des valeurs libertaires, séquelles de l’humanisme de la Renaissance. Les temps ont passé et l’économie capitaliste s’est infiltrée dans le moindre foyer instaurant durement sa hiérarchie dont il serait possible de faire une caricature animalière comme a su le faire George Orwell en littérature ou Pier Paolo Pasolini au cinéma.
L’essor de l’informatique d’un côté et la venue des sciences cognitives de l’autre ont définitivement chassé d’un revers de main la problématique métaphysique de la conscience pour laisser venir le meilleur des mondes d'Aldous Huxley. La machine dépasse l’homme et lui offre sa raison d’être sous un mode dispersif et infini, mais elle ne peut lui donner en plus une conscience morale car elle n’en a pas, sauf à entrer dans un film de science-fiction.
Il est donc vain d’ajuster une critique sur les divers problèmes occasionnés par l’apparition du coronavirus puisqu'ils reposent tous sur les mêmes philosophèmes que l’Occident a su imposer au monde et qui ne sont que des dérivés du positivisme aboutissant à son extrême pointe, à la naturalisation de l’être avec les neurosciences. La science n’a cessé de nous faire des propositions au fur et à mesure de son avancée : l’homme machine, l’homme électronique, l’homme génétique, l’homme cybernétique enfin l’homme virtuel ou Matrix.
Le coronavirus a le mérite d’ouvrir une crise mondiale sur la question de l’homme et de son lien à la vie et à la mort. C’est une question métaphysique et non technique, clairement significative du clivage que la politique de la France a porté à son extrême, en laissant croire d’un côté à une éthique supérieure et de l’autre, en s’asservissant au pouvoir dogmatique de la science.
Il est donc désolant de voir un gouvernement se soumettre à la dictature d’un conseil scientifique incapable d’apporter la moindre réponse cohérente à cette crise qu’elle a elle-même déclenchée. Rappelons que la France a étroitement participé à la création du laboratoire P4 en Chine dont le coronavirus est plus que probablement sorti. Je n’ai cessé d’évoquer le lien originel entre le chaos et les virus, mais pour le cas présent, le chaos a une cause artificielle, provenant de manipulations génétiques. Un simple assemblage artificiel de composants viraux amène un tohubohus monstrueux dans le monde et la responsabilité en incombe à des orientations scientifiques sans que la moindre critique ne soit faite.
Aujourd'hui, la politique des vaccins qui oblige la culture des virus en laboratoire avec la dangerosité qu'elle présente, ne relève que de la seule volonté de puissance de contrer le Chaos, sans prendre en compte sa raison. Cette attitude correspond à un acharnement à vouloir échapper aux difficiles et douloureuses lois de l’évolution d’une conscience critique et de s’en émanciper par le pouvoir utopique de la technoscience. L’objectif supposé est d’offrir à l’homme une existence sans risque, un présent sans maladie, sans trouble, sans souci, sans but et plein de techniques. Autrement dit, il s’agit d’une politique de refoulement massif d’un passé originaire jugé turbulent, mutagène et dangereux pour un futur immaculé et prothétique. Nous savons depuis Freud que le refoulé revient toujours car il a la figure insistante de l’Autre ou encore de ce qu’il faut accepter comme degré d’altérité. Il était possible par ailleurs, de traiter par homéopathie certaines pathologies inhérentes à l’hérédité avec ses options de dépassement, mais l’homéopathie a été balayée d’un geste méprisant par la caste des scientifiques.
Cette attitude de caractère hautement phobique révèle que nous atteignons la phase critique d’implosion du clivage entre la valeur spirituelle de la conscience et l’utopie scientifique : une dissociation s’amorce. Regardons ce qui se passe au niveau politique.
Le gouvernement prétend à une valeur si absolue de la vie qu’un virus dont le pouvoir pathogène n’est pas vraiment encore mesuré, amène à une décision produisant un cataclysme économico-social. Cette éthique méritoire du confinement à protéger un petit nombre aux dépens d’une mise en abîme de toute une population dévoile l’improbable jonction entre la vision naturaliste de l’homme et les vestiges d’une vision humaniste. La dissociation se réalise en direct devant nous et tel est l’intérêt de cette crise.
Le gouvernement est censé faire croire à une décision relevant de la tradition humaniste, laquelle se révèle peu à peu n’être qu’un sentimentalisme effrayant de mièvrerie. Nous retombons dans la gazette, les consciences n’ayant de toute évidence absolument pas évolué, mais bien plutôt involué.
Par ailleurs, les enjeux de la science se déplacent si haut vers des modes sophistiqués de contrôle de la population que les scientifiques ne savent plus que faire sinon protéger à tout prix leur pouvoir sans porter la moindre critique sur leur notoire et invraisemblable incompétence face à ce virus.
Cet évitement se transforme en une exaltation de la valeur salvatrice de la technologie alors qu’il est certain que d’autres thérapies moins violentes auraient fonctionné. Les statistiques officielles annoncent que sans le confinement, il y aurait eu le triple de cas graves en insistant sur l’incapacité des hôpitaux à absorber une telle quantité de patients. Ce constat qui n’est pas aussi catastrophique que cela, aurait dû plutôt entraîner l’aveu d’une absence totale de jugement sur la gravité de la crise. En place d’un minimum d’humilité, nous avons assisté à une défense acharnée sur la rigueur méthodologique de prescription des médicaments. Il aurait été plus averti de demander d’autres avis, celui du Professeur Raoult n’en étant qu’un, les homéopathes auraient pu apporter un aide considérable, mais peut être aussi l’acupuncture et certaines thérapies naturelles comme le quinquina et bien d'autres substances.
Le pathétisme de la population, applaudissant les pauvres victimes politico-scientifiques que sont les soignants, voisine avec des postures scientifiques incohérentes, hésitantes et totalement irresponsables.
Soyons clairs, l’Occident a imposé une vision de l’homme centrée sur la croissance économique. Cette vision est celle de la science d’obédience darwinienne ultra matérialiste qui prétend apporter bonheur et réjouissance à l’humanité tout en hiérarchisant le monde sous la loi des plus rusés.
Nous évoquions le chiffre de décès qui aurait pu éventuellement atteindre cent mille sans le confinement, ce chiffre est ridicule en rapport des morts par famine dans le monde, environ vingt mille par jour. En conséquence, il faut accepter un minimum de logique et comprendre que lorsque l’on sait qu’une partie importante de la population mondiale vit sous le seuil de pauvreté et que l’on s’offre des vacances à Bali, cela signifie crûment que l’on pense que ces populations affamées sont nulles et incapables d’atteindre à un minimum d’économie vitale. On en profite par ailleurs pour les rendre esclaves du tourisme qui est la balade hallucinée des vainqueurs.
Il faut se décider. Soit la vie est une donation qui exige en contrepartie que l’on sache en user consciemment avec sagesse, soit nous ne sommes qu’une espèce dominée par la nécessité de la survie et Darwin a raison : l’évolution est jonchée de cadavres, en l’occurrence de ceux qui sont incapables de se défendre.
Mais la technique, toujours elle, prétend apporter des solutions universelles sans prendre en compte une seconde l’hétérogénéité des populations et leur passé. Il ne peut en aucun cas y avoir une solution économique à ce problème de diversité des postures éthiques dans le monde, la question relève de la morale.
Il ne faut pas rêver sur la reprise du 11 mai, c’est l’ouverture officielle de la guerre de tous contre tous qui sera une guerre économique vitale, proche de celle qui a lieu dans la nature. Il y a déjà vingt-deux millions de chômeurs aux États-Unis et des millions de personnes au bord de la famine en Asie et en Afrique. Cela va être une ruée vers l’or sans pitié.
La science a le mérite d’avoir pu montrer le fond sans fond de notre univers et l’absence de certitude sur quoi que ce soit, la matière étant elle-même un confinement instable d’énergie. Elle a été déterminante dans son déploiement aux XVIIème et XVIIIème siècles pour apprendre à réfléchir par soi-même et sa concrétisation dans la technique a considérablement amélioré l’existence, mais elle n’a aucune autre position éthique à tenir que celle d’accepter ses limites explicatives sur la réalité d’autant qu’elle en dénonce les frontières instables. Elle ne peut en aucun cas prétendre à un discours sur la vérité, elle n’en sait rien pas plus que n’importe lequel d’entre nous.
La théorie de l’évolution n’est qu’une axiomatisation des processus adaptatifs qu’il devient dès lors possible de déplacer dans le domaine social. La vision sociobiologique est la conséquence du positivisme du XIXème et peut passer à sa phase de concrétisation avec l’informatique de pointe comme elle se met en place en Chine.
L’homme n’est pas encore sorti de son état d’esclave, il cherche un maître et l’a trouvé en la caste scientifique qui s’est peu à peu imposée. Heureusement, un début de critique se fait jour à divers niveaux, concernant surtout l’éducation et la santé, mais aussi l’économique. Ainsi, nous avons pu voir des mouvements d’opposition contre la politique vaccinale et l’élimination brutale de l’homéopathie. Cependant, les dangers ne sont pas toujours bien perçus, ainsi le développement de l’allopathie va droit vers un contrôle génétique des populations, c’est-à-dire de la mise en place d’une totale domestication de l’être.
Les chiffres dont on ne cesse de nous parler deviennent dérisoires à la longue et perdent tout rapport à une position éthique. Sur les 20000 victimes françaises du coronavirus, la moitié était déjà sur le chemin du départ et une autre grande partie était atteinte de pathologies typiques de notre civilisation. Pour les autres cas il faut étudier les dossiers cliniques et en connaître le contenu précis, la médecine n’a rien à voir avec des chiffres, mais relève de diagnostics précis.
Je suis persuadé que cette crise est fondamentale pour le devenir de l’humanité. La science doit accepter ses limites et continuer à apporter à l’homme des informations qui lui permettent une autonomie de réflexion sur le monde, mais elle ne peut continuer à imposer une dictature de caste. Si on a raté la révolution de 1789 pour s’asservir à un nouveau maître, il est encore temps d’accomplir ce mouvement de libération et d’apprendre à penser autrement et librement en échangeant nos idées.
Je reste persuadé qu’il est possible de revenir à une science spirituelle telle qu’elle a été rêvée par les romantiques et pensée par l’idéalisme allemand, il faut lui donner ses lettres de noblesse.
Cette lettre sera la dernière car un seuil a été atteint où il faut se décider pour chacun d’entre nous. Le chaos extérieur n’est que le stigmate inquiétant du fait que nous avons abandonné nos vies intérieures à la science et jeté l’esprit hors de ce monde. Cependant, je sais que la vraie souffrance des cœurs indomptables ne supportera pas une telle désolation et qu’un retour de l’esprit en force peut se faire.
J’en profite pour remercier vivement tous les soutiens qui se sont affirmés durant ces quelques semaines concernant mon petit effort d’écriture. C’est la preuve que les liens d’amitié se confirment virilement dans le partage du même espoir pour une liberté de penser et de vivre selon les hauteurs auxquelles on a l’exigence de se projeter.
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(de René Gandolfi, médecin)
Il est difficile d’avancer dans une critique ciblée sur la situation tout à fait exceptionnelle que nous vivons. En effet, tous les discours, les décisions et les perspectives sanitaires déployés autour de la présence du coronavirus dévoilent de façon tragique une crise sismique de la politique occidentale concernant sa conception de l’homme et de sa place dans le monde.
L’Occident s’est clairement déterminé au XIXème siècle pour une vision naturaliste de l’homme assimilé à une espèce animale et dimensionné par les mêmes mécanismes adaptatifs. La question de la conscience humaine a donc été dévêtue de ses atours philosophiques précieusement tissés par la civilisation gréco-latine. Ainsi réduite à une nouvelle disposition adaptative, la conscience ne concerna plus que l’aptitude de l’homme à se représenter le monde.
Il fut alors évident que cette représentation du monde se devait d’être objective et privée de toutetranscendance. Elle entérinait le fondement économique de toute vie sur terre et légitimait un arraisonnement brutal du réel servi par l’essor du capitalisme.
Cette révolution portée par la science a pu facilement écarter le phénomène religieux tout en empruntant les mêmescouloirs du pouvoir ; cependant, il était plus difficile d’éliminer les valeurs culturelles qui témoignaient de la présence critique d’une intelligentsia. La question fut réglée grâce à l’extrême rapidité du développement des sciences mathématiques et physiques au tournant du XXème siècle qui favorisèrent leur mainmise sur le monde de l’éducation et réduisirent peu à peu les sciences humaines à une peau de chagrin. La force hégémonique de cecourant technoscientifique explique le rejet violent de la psychanalyse qui n’a eu aucun véritable impact sur le monde malgré les ambitions de Freud.
La politique occidentale s’est donc construite selon un profond clivage entre une conception purement économique que Karl Marx a bien su analyser, et des valeurs libertaires, séquelles de l’humanisme de la Renaissance. Les temps ont passé et l’économie capitaliste s’est infiltrée dans le moindre foyer instaurant durement sa hiérarchie dont il serait possible de faire une caricature animalière comme a su le faire George Orwell en littérature ou Pier Paolo Pasolini au cinéma.
L’essor de l’informatique d’un côté et la venue des sciences cognitives de l’autre ont définitivement chassé d’un revers de main la problématique métaphysique de la conscience pour laisser venir le meilleur des mondes d'Aldous Huxley. La machine dépasse l’homme et lui offre sa raison d’être sous un mode dispersif et infini, mais elle ne peut lui donner en plus une conscience morale car ellen’en a pas, sauf à entrer dans un film de science-fiction.
Il est donc vain d’ajuster une critique sur les divers problèmes occasionnés par l’apparition du coronavirus puisqu'ils reposent tous sur les mêmes philosophèmes que l’Occident a su imposer au monde et qui ne sont que des dérivés du positivisme aboutissant à son extrême pointe, à la naturalisation de l’être avec les neurosciences. La science n’a cessé de nous faire des propositions au fur et à mesure de son avancée : l’homme machine, l’homme électronique, l’homme génétique, l’homme cybernétique enfin l’homme virtuel ou Matrix.
Le coronavirus a le mérite d’ouvrir une crise mondiale sur la question de l’homme et de son lien à la vie et à la mort. C’est une question métaphysique et non technique, clairement significative du clivage que la politique de la France a porté à son extrême, en laissant croire d’un côté à une éthique supérieure et de l’autre, en s’asservissant au pouvoir dogmatique de la science.
Il est donc désolant de voir un gouvernement se soumettre à la dictature d’un conseil scientifique incapable d’apporter la moindre réponse cohérente à cette crise qu’elle a elle-même déclenchée. Rappelons que la France a étroitement participé à la création du laboratoire P4 en Chine dont le coronavirus est plus que probablement sorti. Je n’ai cessé d’évoquer le lien originel entre le chaos et les virus, mais pour le cas présent, le chaos a une cause artificielle, provenant de manipulations génétiques. Un simple assemblage artificiel de composants viraux amène un tohu-bohu monstrueux dans le monde et la responsabilité en incombe à des orientations scientifiques sans que la moindre critique ne soit faite.
Aujourd'hui, la politique des vaccins qui oblige la culture des virus en laboratoire avec la dangerosité qu'elle présente, ne relève que de la seule volonté de puissance de contrer le Chaos, sans prendre en compte sa raison. Cette attitude correspond à un acharnement à vouloir échapper aux difficiles et douloureuses lois de l’évolution d’une conscience critique et de s’en émanciper par le pouvoir utopique de la technoscience. L’objectif supposé est d’offrir à l’homme une existence sans risque, un présent sans maladie, sans trouble, sans souci, sans but et plein de techniques. Autrement dit, il s’agit d’une politique de refoulement massif d’un passé originaire jugé turbulent, mutagène et dangereux pour un futur immaculé et prothétique. Nous savons depuis Freud que le refoulé revient toujours car il a la figure insistante de l’Autre ou encore de ce qu’il faut accepter comme degré d’altérité. Il était possible par ailleurs, de traiter par homéopathie certaines pathologies inhérentes à l’hérédité avec ses options de dépassement, mais l’homéopathie a été balayée d’un geste méprisant par la caste des scientifiques.
Cette attitude de caractère hautement phobique révèle que nous atteignons la phase critique d’implosion du clivage entre la valeur spirituelle de la conscience et l’utopie scientifique : une dissociation s’amorce. Regardons ce qui se passe au niveau politique.
Le gouvernement prétend à une valeur si absolue de la vie qu’un virus dont le pouvoir pathogène n’est pas vraiment encore mesuré, amène à une décision produisant un cataclysme économico-social. Cette éthique méritoire du confinement à protéger un petit nombre aux dépens d’une mise en abîme de toute une population dévoile l’improbable jonction entre la vision naturaliste de l’homme et les vestiges d’une vision humaniste. La dissociation se réalise en direct devant nous et tel est l’intérêt de cette crise.
Le gouvernement est censé faire croire à une décision relevant de la tradition humaniste, laquelle se révèle peu à peu n’être qu’un sentimentalisme effrayant de mièvrerie. Nous retombons dans la gazette, les consciences n’ayant de toute évidence absolument pas évolué, mais bien plutôt involué.
Par ailleurs, les enjeux de la science se déplacent si haut vers des modes sophistiqués de contrôle de la population que les scientifiques ne savent plus que faire sinon protéger à tout prix leur pouvoir sans porter la moindre critique sur leur notoire et invraisemblableincompétence face à ce virus.
Cet évitement se transforme en une exaltation de la valeur salvatrice de la technologie alors qu’il est certain que d’autres thérapies moins violentes auraient fonctionné. Les statistiques officielles annoncent que sans le confinement, il y aurait eu le triple de cas graves en insistant sur l’incapacité des hôpitaux à absorber une telle quantité de patients. Ce constat qui n’est pas aussi catastrophique que cela, aurait dû plutôt entraîner l’aveu d’une absence totale de jugement sur la gravité de la crise. En place d’un minimum d’humilité, nous avons assisté à une défense acharnée sur la rigueur méthodologique de prescription des médicaments. Il aurait été plus averti de demander d’autres avis, celui du Professeur Raoult n’en étant qu’un, les homéopathes auraient pu apporter un aide considérable, mais peut être aussi l’acupuncture et certaines thérapies naturelles comme le quinquina et bien d'autres substances.
Le pathétisme de la population, applaudissant les pauvres victimes politico-scientifiques que sont les soignants, voisine avec des postures scientifiques incohérentes, hésitantes et totalement irresponsables.
Soyons clairs, l’Occident a imposé une vision de l’homme centrée sur la croissance économique. Cette vision est celle de la science d’obédience darwinienne ultra matérialiste qui prétend apporter bonheur et réjouissance à l’humanité tout en hiérarchisant le monde sous la loi des plus rusés.
Nous évoquions le chiffre de décès qui aurait pu éventuellement atteindre cent mille sans le confinement, ce chiffre est ridicule en rapport des morts par famine dans le monde, environ vingt mille par jour. En conséquence, il faut accepter un minimum de logique et comprendre que lorsque l’on sait qu’une partie importante de la population mondiale vit sous le seuil de pauvreté et que l’on s’offre des vacances à Bali, cela signifie crûment que l’on pense que ces populations affamées sont nulles et incapablesd’atteindre à un minimum d’économie vitale. On en profite par ailleurs pour les rendre esclaves du tourisme qui est la balade hallucinée des vainqueurs.
Il faut se décider. Soit la vie est une donation qui exige en contrepartie que l’on sache en user consciemment avec sagesse, soit nous ne sommes qu’une espèce dominée par la nécessité de la survie et Darwin a raison : l’évolution est jonchée de cadavres, en l’occurrence de ceux qui sont incapables de se défendre.
Mais la technique, toujours elle, prétend apporter des solutions universelles sans prendre en compte une seconde l’hétérogénéité des populations et leur passé. Il ne peut en aucun cas y avoir une solution économique à ce problème de diversité des postures éthiques dans le monde, la question relève de la morale.
Il ne faut pas rêver sur la reprise du 11 mai, c’est l’ouverture officielle de la guerre de tous contre tous qui sera une guerre économique vitale, proche de celle qui a lieu dans la nature. Il y a déjà vingt-deux millions de chômeurs aux États-Unis et des millions de personnes au bord de la famine en Asie et en Afrique. Cela va être une ruée vers l’or sans pitié.
La science a le mérite d’avoir pu montrer le fond sans fond de notre univers et l’absence de certitude sur quoi que ce soit, la matière étant elle-même un confinement instable d’énergie. Elle a été déterminante dans son déploiement aux XVIIème et XVIIIème siècles pour apprendre à réfléchir par soi-même et sa concrétisation dans la technique a considérablement amélioré l’existence, mais elle n’a aucune autre position éthique à tenir que celle d’accepter ses limites explicatives sur la réalité d’autant qu’elle en dénonce les frontières instables. Elle ne peut en aucun cas prétendre à un discours sur la vérité,elle n’en sait rien pas plus que n’importe lequel d’entre nous.
La théorie de l’évolution n’est qu’une axiomatisation des processus adaptatifs qu’il devient dès lors possible de déplacer dans le domaine social. La vision sociobiologique est la conséquence du positivisme du XIXème et peut passer à sa phase de concrétisation avec l’informatique de pointe comme elle se met en place en Chine.
L’homme n’est pas encore sorti de son état d’esclave, il cherche un maître et l’a trouvé en la caste scientifique qui s’est peu à peu imposée. Heureusement, un début de critique se fait jour à divers niveaux, concernant surtout l’éducation et la santé, mais aussi l’économique. Ainsi, nous avons pu voir des mouvements d’opposition contre la politique vaccinale et l’élimination brutale de l’homéopathie. Cependant, les dangers ne sont pas toujours bien perçus, ainsi le développement de l’allopathie va droit vers un contrôle génétique des populations, c’est-à-dire de la mise en place d’une totale domestication de l’être.
Les chiffres dont on ne cesse de nous parler deviennent dérisoires à la longue et perdent tout rapport à une position éthique. Sur les 20000 victimes françaises du coronavirus, la moitié était déjà sur le chemin du départ et une autre grande partie était atteinte de pathologies typiques de notre civilisation. Pour les autres cas il faut étudier les dossiers cliniques et en connaître le contenu précis, la médecine n’a rien à voir avec des chiffres, mais relève de diagnostics précis.
Je suis persuadé que cette crise est fondamentale pour le devenir de l’humanité. La science doit accepter ses limites et continuer à apporter à l’homme des informations qui lui permettent une autonomie de réflexion sur le monde, mais elle ne peut continuer à imposer une dictature de caste. Si on a raté la révolution de 1789 pour s’asservir à un nouveau maître, il est encore temps d’accomplir ce mouvement de libération et d’apprendre à penser autrement et librement en échangeant nos idées.
Je reste persuadé qu’il est possible de revenir à une science spirituelle telle qu’elle a été rêvée par les romantiques et pensée par l’idéalisme allemand, il faut lui donner ses lettres de noblesse.
Cette lettre sera la dernière car un seuil a été atteint où il faut se décider pour chacun d’entre nous. Le chaos extérieur n’est que le stigmate inquiétant du fait que nous avons abandonné nos vies intérieures à la science et jeté l’esprit hors de ce monde. Cependant, je sais que la vraie souffrance des cœurs indomptables ne supportera pas une telle désolation et qu’un retour de l’esprit en force peut se faire.
J’en profite pour remercier vivement tous les soutiens qui se sont affirmés durant ces quelques semaines concernant mon petit effort d’écriture. C’est la preuve que les liens d’amitié se confirment virilement dans le partage du même espoir pour une liberté de penser et de vivre selon les hauteurs auxquelles on a l’exigence de se projeter.
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L’acteur James ‘Jamie’ Denton a interprété Mr Lyle dans la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender).
Où le voir cette semaine à la TV ?
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Famille : Il est né en 1963 à Nashville (Tennessee, USA), cadet d’une famille de 3 enfants. Son père était dentiste, avait servi dans l’armée et s’occupait de la musique dans l’église méthodiste Westmoreland United de Westmoreland.
En 1997, il épouse Jenna Lyn Ward, dont il divorce en 2000. En 2002, il épouse Erin O’Brien, rencontrée sur scène en jouant dans la même pièce de théâtre et avec qui il a 2 enfants : Sheppard, à qui il chantait Singing in the rain quand il était petit, car il en aime le style, et est devenu par conséquence la chanson préféré de son fils, et Mailin. Sa femme et lui ont (eu) ouvert une salle de sport dans laquelle elle donne des cours. C’est d’ailleurs elle qui l’a “maintenu en forme” pour son rôle dans Desperate Housewives.
Etudes : Il est diplômé de l’Université du Tennessee en télévision et journalisme. Il y a appris la langue française... et a repris des cours particuliers intensifs en 2024 pendant sa participation à Danse Avec Les Stars !
Carrière professionnelle : D’abord dans le secteur de la publicité, il quitte cette première carrière professionnelle à 23 ans pour se lancer dans le théâtre. Il déménage à Chicago et devient comédien dans le The Griffin Theater and Strawdog Theater Ensemble. Son premier rôle sur les planches est celui de Stanley dans la pièce A Streetcar Named Desire. Dans les années 90′, il joue son premier rôle dans la série TV The Untouchables. Une décennie plus tard, ses projets l’amènent vers les séries TV et des apparitions dans des films. C’est ainsi qu’il se retrouve sur le même film qu’Harve Presnell en 1997.
Il tient un rôle principal de vétérinaire dans la série The Hanleys avant qu’ABC décide d’annuler sa diffusion. Il se console avec son rôle de Mr Lyle dans la série Le Caméléon.
Il obtient ensuite le rôle de Mike dans Desperate Housewives sur ABC, après le non-renouvellement de sa série Agence Matrix. Beaucoup d’acteurs et de membres de l’équipe technique ont travaillé pour ces deux séries. Pour son rôle emblématique de plombier dans la série culte Desperate Housewives, il remporte des prix collectifs, et profite du confort apporté par le succès de cette série pour développer son talent musical en jouant dans son groupe 16:9. Il joue en effet du piano et de la guitare en famille depuis toujours. Et a écrit une chanson pour sa femme :)
Le succès de cette série populaire lui permet également de représenter des marques : Serengeti (2009) et Daniel Hechter (2011/2014), dont le parfum ‘Caractère’. Cette dernière collaboration professionnelle l'amènera jusqu’en France, puisque les vidéos promotionnelles auront lieu, entre autres, à Paris, puis à Bordeaux.
A la fin de cette série, il prend une pause pour déménager et s’occuper de sa famille, dont la belle-sœur est touchée par un cancer du sein. Puis petit à petit, il revient devant la caméra, mais avec des projets dont le tournage est géographiquement proche ou comportant peu d’épisodes, comme la série Good Witch en 2015. Il connaissait déjà l’actrice principale pour avoir joué en 2003 dans un épisode de la série JAG ... qui a vu les débuts de son ex-partenaire Andrea Parker.
Ayant la confiance des directeurs de la chaîne Hallmark, il a alterné les tournages canadiens saisonnier de la série Good Witch avec un TVfilm pour la même chaîne, et enfin des pièces de théâtre là où vit sa famille. A la fin de cette série TV, il a poursuivi son partenariat avec la chaîne, qui lui a donné l’opportunité de (co)produire des TVfilm, dont deux partagés avec son fils aîné, Sheppard (Instagram), pour la première fois ensemble à l’écran, faisant décidément le goût de la scène une affaire de famille, même si ses enfants ne veulent pas en faire leur métier à l’âge adulte.
Pour la même chaîne, il a présenté à plusieurs reprises une émission annuelle qui met en valeur le rôle des animaux dans notre quotidien : Hero Dog Awards
Il a mis de longues années avant de rejoindre les réseaux sociaux, dont il se méfie, a d’ailleurs supprimé des comptes (Twitter) et renommé d’autres (Instagram). Durant un laps de temps où l’un de ses comptes était actif, l’acteur en a profité pour publier un message de soutien pendant le Sras-covid19. Depuis, l’acteur se tient de nouveau loin des réseaux sociaux... jusqu’à l’émission télévisuelle française Danse Avec Les Stars !
Avec d’autres acteurs de séries TV, il a également formé un groupe de musique caritatif, à l’image des Enfoirés en France : Band From TV. L’acteur y joue de la guitare, talent qu’il démontre par ailleurs dans quelques scènes des séries Desperate Housewives et Good Witch, ainsi que dans les Tvfilms. Il a également profité du confinement Covid-19 pour mettre sa fille à la guitare, son fils en jouant aussi (Instagram), et le donne en conseil pour une quarantaine durant une interview à Today.
Il a récolté également des fonds via des tournois caritatifs de baseball, via le Taco Bell MLB All-Star Legends & Celebrity ou bien encore le Steve Garvey Celebrity Softball Game, ici avec l’actrice Alyssa Milano (Charmed) :
Fan de ce sport, il participe même aux entraînements officiels d’équipe locale de baseball, comme en 2011, et assiste souvent à des matchs. Il a d’ailleurs appelé l’un de ses chiens Dodger, du nom de l’équipe de Baseball qu’il affectionne.
Il lui est également arrivé de récolter des fonds caritatifs via des tournois de golf ou d’athlétisme ou de basket... comme un certain Willie Gault ou Jeffrey Donovan. Ou encore au bowling et au poker... comme une certaine Andrea Parker.
Il vit actuellement dans le Minnesotan et une partie de l’année à Los Angeles pour ses projets professionnels... à la marina^^ ... en mode Ma Seule Famille (2015) ^^.
Ses photos : - 10 août 2022 : projection-évènement de "Unthinkably Good Things"
Ses Interviews : 16 janvier 2023 : interview dans Parade pour la série
Son Actualité 2024 : - 5ème Christmas Con du New Jersey - Happy Holidays from Cherry Lane - The Real West - Saison 13 de Danse Avec les Stars.
Alias Mr Lyle dans la série Le Caméléon
Ses autres rôles dans les séries TV : Alias le Dr Sam dans Good Witch Alias Peter Hudson dans Devious Maids. Alias Mike dans Desperate Housewives. Alias Agent Spécial John Kilmer dans Agence Matrix.
Sa filmographie : 2023 : - Fantasy Island (Ep. 2.03) - Christmas on Cherry Lane avec sa partenaire de Good Witch 2022 - Les Témoins Amoureux avec son fils 2021 - Coup de Foudre Avant Noël 2020 - Selfie Dad 2018 : - NCIS Nouvelle Orléans (Ep. 4.24) - Wake 2016 - For Love and Honor (TV) avec son fils 2015 - Ma Seule Famille (TV) 2014 : - Back Rider : Revelation Road - Paradis d’Amour (TV) 2013 - Un Intrus dans ma Maison (TV) 1998 - Primary Colors 1997 - Volte/Face avec Harve Presnell 1996 : - Sliders, les Mondes parallèles (Ep.2.04). - JAG (Ep. 1.15 et 8.18)
Théâtre : 2021 - Animate - A Streetcar Named Desire
sources : imdb et ... photos : suitedmen, jamesdenton_fp, et mae.bella24
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Le Matrix bientôt réel : la gestation dans un utérus artificiel peut bientôt être légalisée en Ukraine
L’utérus artificiel remplacera les femmes vivantes : l’Ukraine envisage la légalisation de bébés éprouvette
La gestation hors corps maternel par voie artificielle peut devenir une réalité très bientôt. Ceci aura lieu en Ukraine si les députés soutiennent le projet de loi « Sur l’ectogenèse » (http://w1.c1.rada.gov.ua/pls/zweb2/webproc4_1?pf3511=66141), déjà déclaré au parlement et présenté à la commission de profil. Cet acte législatif est censé régler les questions de la naissance des enfants nés grâce aux technologies de procréation assistée dans un milieu artificiel. La science connaît déjà des cas où certains animaux s’étaient développés dans un utérus artificiel, notamment un agneau. L’Ukraine se montre déjà plus ambitieuse, à savoir de non seulement promouvoir les technologies reproductives de pointe, mais de considérer le couple marié dont l’enfant est né au cours de l’ectogenèse (hors corps maternel), comme des parents légaux.
Pour expliquer, l’ectogenèse est un processus de développement d’un organisme dans un milieu artificiel hors corps humain. La science mondiale suppose que la gestation dans un utérus artificiel remplacera complètement la gestation naturelle dans 25 ans. Les leadeurs du domaine de la technologie reproductive et de l’ingénierie génétique sont les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Pourtant, dans ces pays avancés la loi en vigueur les expériments sur les embryons humains sont rigoureusement réglementés et il est interdit de garder les embryons à partir du 14ième jour de leur existence. Parallèlement, le status légal de l’embryon humains n’est pas complètement défini à l’échelle internationale et en Ukraine. Si le projet de loi numéro 10427 initié par le député Vitalii Koupriy passera et sera soutenu par les parlementaires, l’Ukraine qui a déjà le status d’un des leadeurs de traitement de l’infertilité grâce aux technologies d’assistance à la procréation, deviendra le premier pays du monde où les bébés grandissant au sein d’une ferme de Matrix fantastique pourront devenir réels.
La bioingénierie dans le monde : qu’en est-il de la légitimité et du moral ?
Qu’en est-il dans le monde ? Il y a seulement deux ans, grâce aux bio-ingénieurs américains, le monde a vu la naissance d’un agneau s’étant développé dans un utérus artificiel. Ce dernier dénommé Biobag a été mis à point par l’équipe de recherche scientifique de l’hôpital enfantin à Philadelphie. Tous les agneaux ont survécu et pendant un mois les organes sains se sont formés chez eux, et le chef de l’expériment a déclaré être capable de créer un utérus artificiel pour les bébés humains. Les essais de Biobag sur les humains démarreront dans 3 ans, c’est-à-dire en 2020. Cependant, on se pose la question à quoi peuvent aboutir de tels experiments sans violer la loi, sans parler du moral et de la réaction de la société ?
L’auteur du projet de loi met un accent sur le fait que le développement des technologies de l’ectogenèse est freiné par le cadre légal. En effet, cet acte législatif adopté à la fin des années 70 aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, veut que les embryons humains ne puissent pas être cultivés in vitro (dans une éprouvette) pendant plus de 14 jours à partir du moment de la fécondation. Ce qui veut dire, à partir de deux semaines de recherches l’embryon fait objet de l’élimination.
De cette raison les suppositions récentes sur le fait que la règle pouvait être revisée, c’est-à-dire que le status moral de l’embryon humain et l’admissibilité de l’utilisation et de l’élimination des embryons lors des recherches est à modifier ont provoqué l’inquiétude dans la communauté scientifique, éthique et politique du monde entier. Le feedback le plus négatif conernant la culture des embryons provient des représentants des différentes réligions mondiales, en premier lieu des chrétiens. Selon eux, en fabriquant des nouvelles vies artificiellement, les scientifiques perturbent les mécanismes créés par le Dieu.
En même temps, et au nom du chef de l’église catholique (le pape Jean Paul II s’est exprimé sur ce sujet-là), et du leadeur d’une des écoles du bouddisme tibétain Dalaï -Lama il a été déclaré que si les technologies de la bio-ingénierie peuvent servir à un homme particulier ou traiter une maladie – elles sont tout à fait justifiées.
L’ectogenèse à l’ukrainienne : que propose le projet de loi ?
La nouvelle sur l’enregistrement à la Verkhovna Rada du projet de loi « Sur l’ectogenèse » a déjà provoqué une répercussion en Ukraine : cette nouvelle est publiée par les sources en ligne les plus connus : http://www.aif.ua/society/law/v_ukraine_predlagayut_vnesti_izmeneniya_v_opredelenie_materinstva_i_otcovstvaet https://ubr.ua/ukraine-and-world/society/v-ukraine-khotjat-lehalizovat-vyrashchivanie-detej-v-probirke-3884447. L’auteur du projet de loi donne une raison solide de la nécessité des amendements au Code familial de l’Ukraine. Ceci est une solution d’un des problèmes les plus importants de l’humanité – de la stérilité dont découlent plusieurs facteurs de traitement de cette maladie. Dans l’exposé au projet de loi numéro 10427 il est indiqué qu’environ 50 millions de couples du monde entier souffrent de la stérilité. L’Ukraine, grâce à un développement intense des technologies reproductives a déjà gagné le status d’un des leadeurs mondiaux dans le traitement de l’infertilité. Pourtant, les méthodes de la procréation assistée se perfectionnent en permanence, l’ectogenèse étant une de telles méthodes qui fait l’objet des nombreux efforts des scientifiques aujourd’hui.
Les technologies de pointe, telles que la FIV (fécondation in vitro), le greffe de l’endomètre, le don d’ovocytes et de mitochondries etc montrent bien que la méthode de l’ectogenèse peut bien remporter des bons résultats. Malgré les disputes autour du sujet de la culture des embryons, les opposants acharnés de ces technologies ignorent un côté moral et éthique très important. L’ectogenèse permettrait de résoudre le problème incitant une répercussion sociale considérable, à savoir la garantie des droits des femmes devenant mères porteuses. De cette manière, avec le développement de l’ectogenèse la nécessité de recourir à la maternité de substitution disparaîtra. Et, par conséquent, la question de l’exploitation des mères porteuses ne sera plus d’actualité.
Actuellement le Code familial de l’Ukraine ne réglemente que la filiation des enfants nés suite à l’utilisation des technologies d’assistance à la procréation, mais il ne réglemente pas la filiation des enfants venus au monde grâce à la méthode de l’ectogenèse. Ainsi, les concepteurs du projet de loi trouvent plus raisonnable la même approche que pour l’établissement de la parenté aussi à l’égard des enfants nés suite au transfert des embryons humains dans l’organisme d’une femme tierce. Le projet de loi propose de réserver le droit du couple marié à être considérés comme les vrais parents du bébé s’étant développé suite à l’ectogenèse, à condition qu’au moins un des époux avaient donné ses gamètes.
L’Ukraine deviendra-t-elle le premier pays à changer le status de l’embryon humain en transgressant les normes législatives de tels pays que les Etats-Unis et le Royaume-Uni ? En cas de l’approbation du projet de loi par les parlementaires nous avons la chance de non seulement devenir le centre du tourisme scientifique, mais également influencer la bio-ingenérie mondiale. Est-ce réel ? On le verra au fil du temps.
Source: https://fr.newseurope.info/?p=40047https://fr.newseurope.info/?p=40047https://fr.newseurope.info/?p=40047
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