#dviance
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solid-six · 20 days ago
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nofatclips · 2 years ago
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Ouverture by Dviance & Lauren Auder with N-prolenta
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nnbennynn · 2 years ago
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Dviance - Need Minerals
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incivilizadx · 2 years ago
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champagnefurby · 7 years ago
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paris, 2018
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honeysweetangel444 · 7 years ago
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J’ai été taguée par le gentil @roux-as-fuck
Rules: if you can, list the top ten songs you are listening to lately, and tag ten mutuals/blogs to do the same.
10. Drake- Now and Forever
9. Rick Ross- 100 black coffins
8. Animal Collective- Penny Dreadfuls
7. Django- Jason Bourne
6. Nina Simone- Feelin’ Good
5. Tyler, the creator- IFHY
4. Chet Baker- Almost blue
3. Lauren Auder- Dviance
2. Animal collective- Brother Sport
1. Ben E King- Stand by me
Voilà la plupart me mettent de bonne humeur et d’autres matchent avec le mood un peu mélancolique de l’automne mais c’est du garanti 100% cool
Je tague personne mais si ça vous tente de le faire, j’ai envie de dire: faites le
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hallelujah-junction · 5 years ago
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Lauren Auder-Bihind the Blinds #7 2019 インタビュー
2019年6月 ロンドンにて
-自分が歌えるんだってことに気づいたのはいつ?
LAUREN AUDER:いつも何かしらの形で関わっていたと思うんだけど、本格的に歌った日の記憶は、中学校の聖歌隊にいた頃のことかな。The Policeの"Roxanne"を合唱した時、よくソロパートを任されてたよ。声変わりするまではね…想像できるだろうけど、それは最悪な時期だった。
-君の音楽はとてもロマンチックで感情的な感じがするね。 どのように作っているの?特定の場所の雰囲気を参考にしたりする?
LA: 脳内世界に没入できている間は制作できるよ。実際の場所よりも、内的な風景のほうが重要。とはいえ、次のレコードを作るために、これまで曲を共作していたDvianceと一緒に山腹に入ったんだ。結果的にその特定の空気感が影響を与えている可能性はあると思う。
-ライブパフォーマンスは、純粋に音楽的なものとして考えてる?それとも芸術的なもの?
LA:僕はパフォーマンスに関しては、演劇として捉えるほうが確実に好き。だって、僕が大好きなパフォーマンスをする人たちのことを考えてみると、彼らは音楽だけをやってるわけじゃないからね。彼らがやっているのは歌とボディーランゲージを通して物語を伝えることだから。
-音楽をやっていて別の人格(アルターエゴ)が乗り移ることはある?
LA:僕が取り組んでいるいろんなプロジェクトではいくつかの名前を使い分けてる。たとえば、僕が作った実験的な作品のThe Sowとかね。もうひとつの人格(アルターエゴ)というものに対してオープンな気持ちでいるけど、僕が伝えようとしているストーリーが全く新しい別の誰かになることを必要とする場合にだけ、別の名前を使ってるよ。 そういうことを戦略的にやれるわけじゃないんだけど。
-君はヨーロッパのラップシーンに親しんでいるよね。ラップ・ミュージックとの関係は?
LA:ラップ・ミュージックは大好き。そのことを意識しすぎちゃってる部分もあると思う。そういう音楽シーンはいつも身近な存在だったからね。最終的にはラップ界隈のプロデュースをやりたいな…Danny Brownが最初に思い浮かぶけど、あんな感じで。
-他にどんな音楽を聴いてるの?
LA:多くの時間はフォーク・ミュージックを聴いて過ごしてるよ。Phil Elverm (The Microphones)、Bill Callahan、Adrianne Lenker (Big Thief)みたいなアーティストを日替わりで聴いてる。
ー自分の中でのヒーローはいる?もしいるとしたら、それは誰?
LA:その時々で変わるんだけど、いまの時点で言うとしたら、Angela Morley※、Xiu XiuのJamie Stewart、Francesca Woodwan※、Jim O'Rourkeかな。
※Angela Morley: イギリスの作曲家・指揮者。1972年に性転換手術を受けた、トランスジェンダーの音楽家のパイオニア的な存在
※Francesca Woodwan:ニューヨークの女性写真家。 13歳で写真を撮り始め22歳で投身自殺した。
-君の個性的なスタイルは、音楽のファンだけでなくファッションの世界でもすごく人気があるよね。尊敬している特定のペルソナやデザイナーはいるの?
LA:僕は自分の周りのあらゆる事象と作品の制作を結びつけて神話を生み出すことができるアーティストの大ファンなの。思い浮かぶのはScott Walker、それからFrank Oceanも。彼らは自分のスペースを自由に作ることができる一方で、その希少性を期待と希望の対象にしたアーティストだよね。
-いまの世界でのジェンダー(性別)やジェンダー・ロール(性別役割)についてどう見ている?
LA:ひどい状況だし、変わる必要があると思う。どれだけそのことについて言及できるかはまだわからないけど、そのメッセージを伝える時は作品に込めるつもり。それは僕にとっても非常に重要な話題だし、個人的に闘っていることでもあるから。
-宗教との関係はどう?特定の信仰を持ってる?
LA:僕は宗教と密接な関係を持ってる。ヨーロッパで育った以上、それは避けられないと感じてる。 僕は多くの信仰を持ってるんだ。それって逆説的かもしれないけど、重要なことは、それぞれの信仰の精神性を探求して理解していくことだと思う。
-音楽を作っていなかったら、今何をしてると思う?
LA:難しい質問だね。 僕はしばらくグラフィックデザインに携わっていたけど、その仕事にこだわりを見出せなかった。空想の世界では、長い探偵小説を書いたり、The Odysseyの脚本をHBO(アメリカの放送局)用に書いたりすることを夢見てたよ。
-今日の世界で何を変えたいと思う?
LA:ありきたりな言葉かもしれないけど、資本主義に支配された僕らの精神を変えて、差別を無くしたい。それと闘っていくのはとても大変なことだし、本当に根深い問題だと思うけど、どうにかしてそれを実現させたいよ。
■Bihind the Blinds #7 "Foever" Issue 2019
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double-croche1 · 6 years ago
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[INTERVIEW #188] Lauren Auder nous a offert un gracieux premier EP ‘Who Carry’s You’ cette année. Alors qu’il travaille actuellement sur le second, le jeune homme nous a accordé une discussion avant son concert au Café de la Danse pour le Pitchfork Avant-Garde. Entre religion, mode et films d’horreur. Ton dernier EP s’appelle ‘Who Carry’s You’. Il y a une petite faute grammaticale, mais qui est volontaire, n’est-ce pas ? Lauren : C’est tiré d’une œuvre de Tracy Emin qui a pour habitude de faire volontairement beaucoup de fautes d’orthographe dans ce qu’elle fait. Ce n’est pas du vieil anglais comme on pourrait le croire, c’est tout simplement une faute. Le titre de l’EP est une référence à un dessin d’elle qui me touche beaucoup. La citation en entier est : “Why be afraid when I be the one who carry’s you to heaven.” [“Pourquoi avoir peur, quand c’est moi qui te porterai au paradis.”] Cela m’a beaucoup inspiré. L’approche personnelle de son art est très intimiste et c’est quelque chose que j’ai voulu retransmettre à travers mon propre projet, cela reflétait bien ce sentiment là. [Le dessin en question est à voir par ici : https://bit.ly/2PE4xdi].
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Tu as signé sur le label True Panther. Tu avais signé avant de te lancer dans l’EP ? Lauren : Oui, juste avant. J’ai été contacté par internet là encore, la nouvelle ère ! J’ai signé à peu près au moment où je recevais les résultats de mon bac. Je suis hyper heureux d’être sur ce très beau label [qui inclut notamment King Krule, Tobias Jesso Jr., Abra ou encore Kelsey Lu]. Je suis allé dans leurs locaux à New York et j’ai pas mal travaillé l’EP là-bas. Sur l’EP, tu évoques beaucoup le thème de la religion. Tu as par exemple un morceau nommé the baptist dans lequel tu évoques : “'Cause if Christ died for me one time for my crimes, I doubt he would again”. [“Le Christ a beau être mort une fois pour mes crimes, je doute qu’il le ferait à nouveau.”] Dans these broken limbs again into one body, tu chantes aussi : “You may ask if it's about God” [”Tu vas peut-être demander si c’est en lien avec Dieu”]. Tu savais que tu allais aborder cela avant de te lancer dans l’EP ? Lauren : Oui, totalement. J’avais envie de pouvoir donner un aspect grandiose aux sentiments tels que les amours adolescents qui sont souvent traités dans l’art de façon légère. C’est généralement présenté comme quelque chose à travers lequel on passe et qui est formateur, mais en soi qui n’est pas forcément biblique ou catastrophique. Pourtant quand on les vit, cela a cette ampleur là. Ce sont des métaphores filées au long de l’EP qui je trouve représentent très bien cette sensation d’un monde totalement ravagé. Un déluge de sentiments. Tu as produit l’EP avec Dviance. Comment cela s’est fait ? Lauren : On s’est trouvés via internet il y a longtemps. On avait des références similaires. Cela semblait assez naturel. On s’entend tellement bien humainement qu’on a produit l’intégralité de l’EP ensemble. Il m’accompagne aussi sur scène. On va continuer à travailler ensemble ainsi sur le prochain projet. Tu penses donc déjà à la suite ? Lauren : Oui, ce sera un deuxième EP. Il est presque fini. Il reste les phases mix et mastering. Il devrait sortir en début d’année prochaine. Je pense qu’il y a des continuités sonores et thématiques, mais là il y aura beaucoup plus une histoire qui se déroule de morceau en morceau. Il me reste encore des petites choses à raconter avant le projet suivant qui sera quant à lui mon premier album.
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Pour revenir à l’EP actuel, on a vu notamment que dans ta vie personnelle tu as eu un accident de voiture, dont tu parles d’ailleurs dans le dernier morceau for those who patiently endure. C’est ton histoire personnelle dans ce morceau ou il y a de la fiction ? Lauren : Oui c’est quelque chose de personnel. Cela s’est passé dans le Sud. Ce n’était pas quelque chose de très dramatique, mais c’était dans une période de ma vie très mouvementée. Cela apparaissait comme une conclusion de quelque chose. Le reste de l’EP est-il aussi personnel ? Lauren : Il y a plein de moments qui sont entremêlés d’histoires très personnelles. Bien sûr tout est vu à travers mon prisme. Je pense que la façon la plus touchante à travers laquelle les gens peuvent s’identifier, c’est en étant hyper personnel et précis. Peut-être qu’on ne peut pas comprendre exactement cette situation là, mais à travers cela les sentiments sont tellement purs et honnêtes que du coup ces situations sont plus transmissibles. Tu as cité notamment le compositeur français Maurice Duruflé [1902-1986]. Il a eu un accident de voiture en 1975, un peu comme toi mais plus grave, qui a ensuite entraîné sa réclusion chez lui pour travailler. Est-ce pour ce fait là que tu le cites ? Lauren : Tout est un peu réfléchi. Je l’ai beaucoup référencé dans mes compositions, surtout dans le travail de l’orgue qui est utilisé. J’essaie d’avoir une histoire cohérente à creuser. On a vu qu’il y a une dizaine de jours tu étais à une soirée privée avec Virgil Abloh [directeur artistique homme chez Louis Vuitton] et Frank Ocean. [En photo ici : https://bit.ly/2OluolD] Tu as pu parlé à Frank Ocean ? Lauren : C’était une soirée de Virgil, je le connais un peu. Il est très sympa. Pour ce qui est de Frank, oui il est cool. Il ne parle pas beaucoup. Mais je ne suis pas déçu. Je pense que c’est ce que j’aurais souhaité ! (Rires) Je l’apprécie beaucoup. C’est un des plus grands artistes de ces 10 dernières années, voire des années 2000 je pense. ‘Blonde’ [sorti en 2016] est le meilleur album qui a été fait depuis très longtemps. Justement, il touche à travers son hyper intimité dans ses morceaux, ses anecdotes très personnelles mais qui à la fois font écho dans la vie de tout le monde. C’est un artiste dont je pourrais parler pendant des heures.
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Crédits photo : Etienne Daho Tu as été introduit dans le monde de la mode notamment puisque tu avais participé avec Hedi Slimane à une série de photographies en 2016. Lauren : Oui avec Hedi on avait passé du temps ensemble à Los Angeles et là on fait à la nouvelle campagne de la marque Céline [la photo ici : https://bit.ly/2RsAxhR]. Honnêtement, c’est quelque chose qui m’est arrivé dessus, ce n’était pas quelque chose que je visais. Mais je pense que cela se marie bien. Maintenant, on verra là où ça mène. Il y a un Musée de la Mode à Albi, là où tu vivais dans ta jeunesse. Tu y es allé ? Lauren : Non, pas encore ! Mais apparemment c’est très beau. Je suis parti vivre à Londres désormais, mais mes parents vivent toujours dans le Sud. J’ai fait le pèlerinage tout seul en Angleterre, notamment pour évoluer dans le milieu musical. Mais je pense que je visiterai le Musée de la Mode bientôt ! Tu as fait en septembre une tournée européenne en première partie d’Amen Dunes [notre interview ici : https://bit.ly/2S6qznw] et en octobre en première partie de Christine and the Queens. Ce sont deux publics a priori assez différents. Comment se sont passées ces deux tournées ? Lauren : Oui ce sont deux publics très différents. Ce qui m’a toujours intéressé, c’est d’essayer de parler à différentes sortes de personnes. De ce point de vue là, c’est une grande chance qu’on me laisse faire cela. Honnêtement les deux se sont bien passés. Je pense que c’est très important pour un artiste d’être adaptable. Christine and the Queens c’était dans des très grandes salles, là où Amen Dunes c’était plus raisonnable, de l’ordre du Café de la Danse où je joue ce soir. J’avais à peu près le même set pour les deux, j’ai juste fait quelques petits changements mineurs. Sur scène, tu joues des morceaux non encore sortis ? Lauren : Oui quelques uns, notamment du prochain projet dont je vous ai parlé. C’est un sentiment étrange de jouer ces morceaux du premier EP maintenant, parce que les paroles ont été écrites il y a plus de deux ans, à l’aube de mes 18 ans. A ce propos tu avais sorti en 2015 un EP ‘Equus’ qui a depuis été supprimé d’internet. C’est quelque chose qui ne te convenait plus dans ton projet ? Lauren : Non pas tellement en effet. Je pense que j’avais besoin de faire un portfolio à l’époque. Mais musicalement je n’étais pas encore là où je voulais arriver. Je ne joue plus aucun morceau de ce projet sur scène désormais.
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A propos des visuels, tu as un style assez dénué. En concert, tu es toujours habillé en blanc ou beige clair. Aussi sur tes visuels comme les pochettes ou les clips, ce sont souvent des gros plans de ton visage ou de tes mains. Lauren : Quand j’ai commencé à décider de l’identité visuelle de ce projet, je voyais beaucoup d'images de synthèse, de modèles 3D qui étaient à la mode. Je voulais à l’encontre de tout cela et présenter la chose la plus nue possible. Les clips sont la continuité des pochettes. J’ai toujours voulu avoir une identité visuelle bien définie, en tous les cas par projet. Un nouveau clip en approche ? Lauren : Pas pour cet EP. Le prochain clip sera pour mon nouveau single nommé Mick qui va sortir d’ici quelques mois [et qui a d’ailleurs été joué lors de son concert du soir]. On a vu que tu apprécies pas mal le hip-hop. Cela t’intéresserait de faire des productions hip-hop ? Lauren : Oui, absolument. C’est vraiment quelque j’ai bien l’intention de poursuivre. C’est assez compliqué quand on y va, mais on verra. En dehors de ton projet Lauren Auder du coup ? Lauren : Non, je ne pense pas. Tout est relié pour moi. C’est là que j’ai commencé à faire de la musique. C’est quelque chose qui est hyper important pour moi. Mais à voir, quand l’opportunité se présentera et que ce sera le bon moment. Est-ce qu’il y a des artistes, par exemple amis, que tu pourrais nous recommander ? Lauren : Demain il y a slowthai qui est un ami à moi, je vous conseillerais d’aller voir cela. C’est grime et hip-hop.
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Quels sont les films que tu as vus récemment et aimés ? Lauren : J’ai vu ‘La Jetée’ récemment [de Chris Marker paru en 1962]. C’est quelque chose qui m’a vraiment bouleversé. A part cela j’ai vu le dernier ‘Halloween’ [de David Gordon Green, au cinéma depuis le 24 octobre]. C’est un remake de l’original de John Carpenter [1978] ? Lauren : Ce n’est pas un remake en fait. C’est une continuité, mais uniquement du premier. Ils ont totalement jeté toutes les histoires des suites qui sont sorties à l’époque. Il y a aussi l’actrice originale Jamie Lee Curtis. Il ne faut pas le prendre comme un grand film, mais si tu es dans le délire c’est pas mal. Je suis hyper film de genre, horreur surtout. Essayer de voir l’abject, ce qui nous perturbe. C’est cela qui m’intéresse je pense. Un film d’horreur de choix ? Lauren : Un classique, c’est ‘Suspiria’ [de Dario Argento paru en 1977]. Cela me parle beaucoup. Ce film est incroyable, l’identité visuelle est sublime. D’ailleurs il y a un remake qui va sortir bientôt [de Luca Guadagnino, le 14 novembre]. J’ai hâte de voir comment l’adaptation va être faite. Quel est ton programme des prochains jours ? Lauren : C’est le dernier concert de ma tournée ce soir. Après je rentre chez moi à Londres et je me remets au travail sur mon deuxième EP pour faire vraiment quelque chose de bien. A&B
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idklang · 8 years ago
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i did a mix for Call Cibs on Berlin Community Radio
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millburraywebsite · 8 years ago
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yesterday live at Red Ligh Radio!
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tracklist: dj song and party nice - inside your mind-live and let ham Oneohtrix Point Never - Zones Without People Ital Tek - Hollowed Kazuki Koga - Seil Ital Tek - Memory Shard Kazuki Koga - Seil M.E.S.H. - Optimate v1984 - Pre, Post, Pre(-lude) ii Rian Treanor - Pattern A2 BZGRL - Leyweg DVIANCE - 2sik2breathe Amnesia Scanner - Atlas Cocktail Party Effect - Emoit 4 Mill Burray - REVIVE Lost Choir Born in Flamez - And the Algorithm Cried Hex - Exotica Mill Burray - Bring it in Rian Treanor - Pattern B2 Mr Pigman - Lapillus Not Waving - Excesses
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nofatclips · 2 years ago
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Hauntology by Lauren Auder
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nnbennynn · 2 years ago
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viancy's attic (dviance) - Gods Favorite
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wormfinger · 9 years ago
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Take a trip into ‘Nyatalux’ by Dviance.
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yoshitakahikawa · 9 years ago
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(Dviance)
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attentatpoetique · 9 years ago
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just listen, just enjoy, this is so beautiful (via https://soundcloud.com/d_viance/eye?utm_source=soundcloud&utm_campaign=share&utm_medium=tumblr)
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double-croche1 · 6 years ago
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[REPORT] PITCHFORK MUSIC FESTIVAL PARIS 2018 Le Pitchfork Music Festival Paris revenait à la Grande Halle de la Villette pour sa huitième édition avec une programmation pléthorique. Débrief forcément subjectif sur notre festival parisien préféré de l’année. Avant-Garde JOUR 1 :
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Pour débuter ces cinq soirs de festivité, Lauren Auder montait sur la scène du Café de la Danse accompagné de son fidèle producteur électronique Dviance. Le duo vêtu de blanc nous a offert une prestation de fière allure, toujours plus profitable en salle (comme au Loud&Proud Festival à la Gaîté Lyrique) qu’en extérieur (le dernier We Love Green). Le jeune Lauren à la figure christique a enchaîné les morceaux de son dernier EP ‘Who Carry’s You’, des calmes the baptist et these broken limbs again into one body au plus entraînant for those who patiently endure agrémenté de flashes stroboscopiques. Lauren nous a même gratifié de deux ou trois nouveaux morceaux, dont un inédit The Mick qui fera son apparition sur son prochain EP à paraître en début d’année prochaine, comme il nous a confié quelques instants avant sa montée sur scène. Interview à venir ! Direction ensuite la salle du Pan Piper pour retrouver le chouchou Westerman qu’on avait déjà pu admirer au Midi Festival cet été. L’anglais accompagné par son batteur habituel et une nouvelle bassiste a pu profiter d’une belle acoustique de salle et nous a gratifiés d’une maîtrise guitare-voix hors pair. Jouant ses premiers excellents singles et l’intégralité de son très bel EP ‘Ark’ quelques jours avant sa sortie, le jeune homme a fini son set sur le tubesque et vallonné Confirmation. Un bon mot pour décrire ce qu’on a pensé de ce concert. Pour retrouver notre interview de Westerman effectuée à Hyères, c’est par ici : https://bit.ly/2OnqFW2. Le bar / salle de concert Le Réservoir affiche une grande façade noire de l’extérieur. Entrez-y et c’est une atmosphère baroque complètement atypique que vous découvrirez, avec lustres, nappes rouges et fleurs ornant les colonnades du lieu. Sur scène, le quintette londonien Alaskalaska avec son saxophoniste à gauche et sa chanteuse à droite a donné un concert assez énergique, très plaisant au début mais malheureusement légèrement répétitif sur la durée. Avant-Garde JOUR 2 :
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Pour commencer ce deuxième jour de l’Avant-Garde, nous avons eu la chance de voir la québécoise Helena Deland, véritable coup de cœur de cette année. Venue défendre les 4 premiers et excellents volumes de sa série ‘Altogether Unaccompanied’, Helena était accompagnée de deux membres pour donner corps à ses compositions. Halloween oblige, tout le groupe était grimé pour l’occasion et a livré une fort belle prestation. Si l’artiste n’aura pas eu le temps de terminer son set avec son morceau Body Language initialement prévu, on espère qu’elle reviendra très bientôt à Paris nous enchanter à nouveau comme elle sait si bien le faire. Et surprise, on a fait une interview avec Helena quelques minutes avant qu’elle entre sur scène, on vous partage ça très bientôt ! Faute d’un emploi du temps incompressible, nous n’aurons pas pu voir les super chouettes montréalais de Anemone qui se produisaient au Pan Piper mais nous les avons rencontrés en fin d’après-midi pour qu’ils nous dévoilent les secrets de leur lumineux premier album ‘Beat My Distance’ à paraître le 15 février prochain. On vous partage ça aussi bientôt !
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On avait déjà pu la découvrir en concert au festival Nos Primavera à Porto en juin dernier, la jeune et déjà confirmée Kelsey Lu a une aisance et une voix sidérantes. Seule sur la scène du Café de la Danse, la protégée de Sampha (duquel elle avait d’ailleurs déjà fait la première partie fin 2016 dans cette même salle) nous a montré à nouveau toute sa grâce. S’accompagnant parfois de sa guitare ou même de son violoncelle, la jeune femme impressionne par son charisme et sa prestance. On pourra regretter l’absence de réel groupe l’entourant (une bonne partie des instrumentations étant pré-enregistrée) mais Kelsey Lu assure le spectacle, finissant son concert par des vocalises sur des boucles enregistrées directement sur scène, façon James Blake, Moses Sumney ou même Bon Iver qui a utilisé cette même technique le dernier soir du festival. Un très bon concert.
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Buzzy Lee est Sasha Spielberg. Oui, la fille de Steven. Elle a prouvé lors de son concert au Pop-Up du Label que sa présence sur scène était bien méritée. Débutant son concert d’une voix d’ange avec Facepaint, le morceau titre de son dernier EP, la jeune femme assise au clavier et accompagnée de son guitariste australien a présenté un concert en pleine montée en puissance. S’amusant d’effets techniques non désirés (un très grand jet bruyant se de pénombre se déclenchant en plein morceau) et nous donnant le plaisir à nous petits Français d’entonner une reprise de Le Tourbillon que chantait Jeanne Moreau dans ‘Jules et Jim’ en 1962, Buzzy Lee a offert un concert des plus rafraîchissants. On a pu discuter avec Sasha avant son concert, interview à retrouver dans nos pages dans quelques jours !
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Dernier groupe à se produire à l’Avant-Garde et peut-être un des plus attendus, Trevor Powers, autrefois connu sous le nom de Youth Lagoon, venait défendre les compositions de son premier album ‘Mulberry Violence’ sur la scène du Pan Piper. Pari remporté haut la main ! Puissant, précis, plein de trouvailles, le live de l’Américain - qui portait des lentilles colorées bien freaky - aura été parfait. Le meilleur concert de ces deux premiers jours d’Avant-Garde. Et comme on a été réellement été partout ce second jour, on a également pu rencontrer Trevor l’après-midi pour parler de son nouveau projet et de plein d’autres choses. A lire prochainement sur notre site ! Festival JOUR 1 :
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Le californien Cola Boyy monte sur scène avec derrière lui les grandes lettres de son nom découpées sur des écrans géants verticaux. Déjà aperçu à la Philharmonie avant MGMT en juillet dernier, Matthew Urango de son vrai nom avait déjà pu nous montrer que ses sonorités disco sont assez efficaces en live. Le monsieur à l’allure particulière dûe à un handicap (une malformation de la colonne vertébrale à la naissance) s’arrête un instant en milieu de set pour commenter sur l’immensité de la Grande Halle qui pourrait abriter des réfugiés ou encore sur le festival qui accueille peut-être pour la toute première fois un handicapé à se produire sur scène. L’ensemble du concert à géométrie variable ne convainc pas toujours, mais la prestation s’achève en beauté avec le tube imparable Penny Girl, sympathiquement groovy à souhait.
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C’est au tour du bien aimé Yellow Days de monter sur scène. Armé de sa belle guitare bleu ciel et entouré d’un groupe bien en place, l’Anglais aura à nouveau eu tout bon. Ses morceaux au psychédélisme assuré font rêver. Si on ajoute à cela sa bonne humeur communicative, on pourra aisément dire qu’on aura passé un fort agréable moment. Notre interview de Yellow Days réalisée cette année est à retrouver par ici : https://bit.ly/2L4GChg.
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En juillet dernier, John Maus a perdu son frère Joseph Maus, qui jouait également dans son groupe. La présence de John Maus n’était ainsi pas assurée et ce concert aura donc été d’autant plus important. Si nous avions pu voir l’Américain entouré de son groupe en mai dernier au Trabendo, c’est seul qu’il a assuré un concert intense et enflammé. Intenable, le chien fou John Maus sidère par la hargne qu’il met dans l’interprétation de chacun de ses morceaux. Une pulsion de vie bienfaitrice.
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“Etieeeeeeeene !!!!” Oui, Etienne Daho au Pitchfork Festival ! Avec une mise à scène dernier cri, la gloire décidément indémodable de la pop française a fait vibrer la Grande Halle de la Villette avec une liste longue comme le bras de tubes imparables, dont l’extatique Tombés pour la France, piochant dans plusieurs de ses disques et laissant finalement assez peu de place à son dernier album ‘Blitz’. Etienne Daho, c’était la fête ! Quelle classe ce mec ! Etienne, on t’aime. Plein de coeurs. <3
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The Voidz était un des groupes que l’on attendait le plus cette année et c’est peu dire qu’on n’a pas été déçus. Aperçu pour la dernière fois sous des trombes d’eau au festival We Love Green en 2015, le groupe mené par un Julian Casablancas ultra charismatique avec sa voix atypique a confirmé tout le bien qu’on pensait de lui. Jouant la une bonne partie de son dernier album ‘Virtue’ paru cette année, avec en tête le très mélodique Leave It in My Dreams ou le plus doux ALieNNatioN, le sextuor hyper looké a aussi fait vrombir les guitares sur des montées bien plus énervées comme sur l’orientalisant Dare I Dare ou le bruitiste Black Hole. Le concert haletant se finit avec l’électrique chanson Pyramid of Bones dans laquelle la voix de son leader aux épaules striées de rouge côtoie tour à tour les aigus les plus enlevés et les basses les plus profondes. Un véritable tour de force.
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Mac DeMarco avait la charge de clôturer cette superbe première journée à la Grande Halle de La Villette. Et la conclusion est toujours la même avec le Canadien : ses prestations, aussi dilettantes qu’elles puissent paraître, touchent au génie. Il faut dire que Mac était bien remonté ce soir, avec une forme olympique et une envie à revendre. Faisant même profiter de la soirée à un petit garçon qui devait être fou de joie (et on le comprend !) en plus de son désormais classique Bistrot d’acolytes, Mac nous aura mis un sourire béat aux lèvres tout au long de sa prestation. En guise de clôture, son bassiste a pris la place centrale et, après avoir énoncé son ubuesque plan de campagne présidentielle, a enchaîné avec non pas une, ni deux, mais trois reprises du mythique groupe de punk Misfits ! Un finish avec l’incontournable Together et l’affaire était joliment pliée. Festival JOUR 2 :
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Boy Pablo est un peu le Mac DeMarco du pauvre. On assiste rapidement désintéressés à ces compositions bien trop acidulées et inoffensives. Le public paraît pourtant s’enthousiasmer mais on ne vous cachera pas qu’on n’a pas trop saisi pourquoi.
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L’anglaise Tirzah a sorti un des plus beaux disques de cette année avec le mûri et épuré ‘Devotion’. A la croisée des chemins entre soul nocturne, r’n’b vaporeuse et pop empreinte de nostalgie, la musique de la jeune femme se déploie à merveille dans la Grande Halle. Bras derrière le dos pendant tout le concert dans une prestation scénique réduite à l’essentiel, Tirzah nous a envoûtés par sa voix chaleureuse. Accompagnée par deux musiciens, dont son acolyte de toujours Mica Levi cachée derrière elle, la jeune femme profitait de percussions électroniques très légères et d’un carillon lumineux. Un peu de délicatesse, cela fait parfois vraiment du bien.
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Dans un style aux antipodes du concert précédent, le groupe aux tendances punk et féministes Dream Wife a retourné la Grande Halle. Les trois jeunes femmes alignées sur le devant de la scène ont déployé leur musique avec pas mal de réussite. La voix de la chanteuse d’origine islandaise Rakel Mjöll pourtant bien mise à contribution était presque un peu en retrait par rapport aux déchaînements impressionnants de virtuosité de la guitariste anglaise Alice Go et à l’assurance de la bassiste Bella Podpadec. Le trio a déployé ses chansons engagées avec ferveur, comme le puissant Somebody (“I am not my body, I am somebody”) avec un passage extrait du titre vintage Wannabee des Spice GIrls ou encore le menaçant F.F.U.. Le girl band qui envoie bien comme il faut.
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Lewis OfMan est un énergumène comme on les aime. Un peu loufoque, lunaire et romantique, la musique à tendance électro du français au physique juvénile s’apprécie pour son côté rafraîchissant et décomplexé. L’artiste semble masquer sa tension sous une couche de calme apparent, ces déclarations “C’était vraiment dingue !” ou “Je suis super excité !” ne se reflétant pas vraiment sur son visage. Mais le fait est que ses morceaux fonctionnent. On oublie peu à peu nos petits problèmes de la vie et on se trémousse en toute légèreté sur ses rythmiques entraînantes. Sa comparse Milena Leblanc monte même sur scène le temps de quelques chansons pour y déployer sa voix cristalline. Une prestation bien sympathique.
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Personne n’est parfait : on doit avouer que nous n’avons jamais réellement accroché aux disques de Car Seat Headrest. Après avoir assisté à la prestation des Américains, on n’a pas réellement changé d’avis. Les pourtant parfois belles mélodies sont trop souvent inexploitées. Mais ne laissons pas la porte fermée, on retentera le coup !
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Chromeo au Pitchfork Festival ? Une petite blague en soi tant le groupe joue la carte du kitsch sans retenue et lorgne allègrement vers le mainstream avec leurs compositions funky peu inspirées. Ecouter Chromeo, c’est comme manger des bonbons (et Dieu sait qu’on aime les bonbons) : ça fait ressentir un plaisir instantané quoique artificiel pendant 10 minutes, puis ça donne mal au cœur. Si on appréciera la mise en scène avec cette guitare réfléchissante de lumière, on sera vite déçus par cette prestation dont on n’attendait déjà pas grand-chose.
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Etrangement cette année, la programmation à la Grande Halle ne réservait quasiment aucune place au hip-hop ou au rap. Bagarre était peut-être ce qui s’en rapprochait le plus. La formation française au wesh wesh assumé a certains bons gros beats qui peuvent amuser, mais on avoue qu’on n’a été que peu réceptifs face à la pauvreté des mélodies et même des paroles de leurs chansons, si on peut appeler cela ainsi. Un concert sans grande saveur et à l’effet escompté (“un bon gros bordel”) qui n’a pas pris chez nous.
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La pire performance de ces cinq jours de festival sera à mettre au crédit de Chvrches. Quel dommage, tant les prémices de la carrière du groupe laissaient entrevoir un talent pour façonner des petits tubes électro-pop bien sentis. A des années lumières de cela, les trois écossais produisent maintenant une pop bulldozer infecte, avec la légèreté d’un éléphant sous ecstasy. A oublier aussi vite… !
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Le grand écart sera fait avec Blood Orange, de retour à la Grand Halle de la Villette, cinq ans après son dernier concert parisien sur cette même scène. Blood Orange était notre concert le plus attendu de cette édition. Et force est de constater qu’il n’a peut-être également pas été loin d’être le meilleur ! Entouré de deux choristes très adroits et d’un backing band au top, Devonté Hynes a joué de son aura de prince de la pop moderne. Aussi à l’aise au chant qu’à la guitare, au piano ou encore même à la danse, l’Anglais expatrié aux Etats-Unis aura été éblouissant. Les multiples pépites que contiennent ses quatre albums l’auront également aidé. Un concert brillant !
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“You’re experiencing Kaytranada live”. Cette phrase s’affichait périodiquement sur l’écran géant placé derrière le DJ sur lequel on voyait également défiler par moments des silhouettes dansantes façon anciennes pub Apple ou encore le Kaytranada himself un peu déchiré filmé dans un style caméra de surveillance. L’expression “live” est certes un peu fallacieuse ici, le jeune homme passant en mode DJ set sur ses platines des disques qui ne sont pas tous de lui (notamment AlunaGeorge, Kelela, N.E.R.D. et The Internet). Mais le fait est que le résultat dépote ! Toute la Grande Halle est en transe, et nous les premiers, devant ce déferlement de beats imparables, de flow hip-hop iconique et de fulgurances house. Un concentré de vitalité électronique des plus festifs pour clôturer avec un grand sourire cette deuxième journée à la Villette. Festival JOUR 3 :
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Si on doit avouer qu’on n’avait pas vraiment entendu parler de lui avant de le voir sur scène, Muddy Monk nous a présenté un visage assez intéressant dans sa prestation live douce et enlevée, invitant à l’évasion. Avec sa voix forte à tendance spatiale parfois comparable à celle du chanteur Anthony Gonzalez de M83, le jeune homme avec son clavier en mode banane autour de lui a insufflé une poésie fort appréciable dans la Grande Halle.
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Le premier album de Snail Mail sorti cette année est une perle de rock juvénile et nostalgique comme il faut. L’artiste a choisi d’interpréter la majorité de ses morceaux avec un tempo ralenti par rapport au disque. Choix déroutant s’il en est mais plutôt gagnant, poussant l’auditeur à se concentrer sur la voix de Lindsey dont la qualité des compositions n’est plus à démontrer. Comme c’est le cas sur l’album, l’Américaine a clôturé son concert seule à la guitare avec le joli Anytime, le cœur à vif. Pour retrouver l’interview réalisée avec Snail Mail, c’est par là : https://bit.ly/2JLs5di.
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Stephen Malkmus, le chanteur du mythique groupe de rock Pavement, était attendu. Si la carrière de Pavement a pris fin autour de la fin des années 2000, l’Américain a enchaîné avec The Jicks, se présentant donc en tant que Stephen Malkmus and the Jicks. Fort de 7 albums dont ‘Sparkle Hard’ sorti en mai, le groupe a surtout pioché dans ce dernier disque pour ce concert parisien. Bien réalisées et souvent entraînantes, les interprétations auront néanmoins manqué d’un petit peu de relief pour pleinement nous convaincre.
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Les Américains d’Unknown Mortal Orchestra font leur retour sur la scène du Pitchfork Festival après une première prestation remarquable en 2015. La formation enchaîne les tubes de son répertoire désormais assez fourni, avec notamment les moult fois entendus mais toujours aussi appréciables Multi-Love et Can’t Keep Checking My Phone. Axant son set sur son dernier album éclectique ‘Sex & Food’ paru en avril, le groupe varie les plaisirs entre l’abrasif American Guilt, le doux Hunny Bee ou l’enveloppant Not in Love We're Just High. Le chanteur Ruban Nielsen visiblement très à l’aise en profite même pour descendre dans la foule. On l’avait d’ailleurs rencontré à Paris pour qu’il nous parle en long de ce dernier disque kaléidoscopique : https://bit.ly/2pPnB9v. Go UMO !
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La dernière fois que nous avions eu la chance de voir le trop rare Bon Iver en concert, c’était il y a 7 ans, au même endroit, pour la toute première édition du Pitchfork Music Festival Paris. C’était donc un petit évènement ce soir pour nous, comme pour le festival qui a offert à l’Américain le plus long set de cette huitième édition. 1h30 d’exception, se basant sur la formidable discographie constituée de l’EP ‘Blood Bank’, l’album éponyme ‘Bon Iver’ et le dernier disque en date ‘22, A Million’, et laissant de côté le premier album ‘For Emma, Forever Ago’ duquel ne sera joué que Creature Fear dans une version inédite. Là est la force de Bon Iver, faire vivre chacun de ses morceaux et leur donner un nouveau jour, même pour ceux qui sont déjà très riches sur disque. Quelques passages assez magiques auront émaillé cette prestation, chacun des musiciens ayant son moment d’attention. On retiendra notamment l’interprétation de Woods seul au vocoder, peut-être les 4 plus belles minutes de tout le festival. Une prestation qui aura touché au sublime. La fin du concert de Bon Iver annonçait également le début de la soirée électro avec Jeremy Undergroud, DJ Koze, Peggy Gou, Avalon Emerson et Daniel Avery. Mais on laissera le soin aux valeureux qui sont restés jusqu’au bout de vous en parler. :) Le festival aura une nouvelle fois mis la barre très haut cette année avec moult concerts mémorables (Blood Orange, Etienne Daho, Mac DeMarco, Bon Iver, The Voidz), confirmations (Tirzah, Trevor Powers, Westerman, Helena Deland) et belles découvertes (Dream Wife, Buzzy Lee). A l’année prochaine ! Crédits Photos : Pitchfork Music Festival 2018 (Vincent Arbelet, Matt Lief Anderson, Alban Gendrot, Maria Louceiro, Kimberley Ross, Célestin Soum) Pour retrouver nos live-reports des cinq dernières éditions avant celle-ci, c’est par ici : ☞ 2013 : https://bit.ly/2PmNsFj ☞ 2014 : https://bit.ly/1TFxFep ☞ 2015 : https://bit.ly/1Hnw1e2 ☞ 2016 : https://bit.ly/2fzSXy0 ☞ 2017 : https://bit.ly/2zRZdf2 A&B
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