#dormi mal
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amopalhassos · 4 months ago
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bom dia e tals
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neutrallyobsessed · 8 days ago
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*te muerde y no deja de morderte*
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mavieaujourlejour · 25 days ago
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Mercredi
2em nuit Ă  peu dormir. Cette fois, c'est mon chien qui m'a rĂ©veillĂ© Ă  3h en piĂ©tinant le parquet flottant. Ceux qui ont cette combinaison chien + parquet comprendront que cela m'est rĂ©veillĂ©e. A 4h30, n'arrivant pas Ă  me rendormir, je me suis levĂ©e et ... j'ai fais des crĂȘpes ! Autant mettre ce temps libre Ă  profit. Puis la fatigue est arrivĂ©e vers 8h malgrĂ© mes 2 cafĂ©s, alors j'ai fais un somme d'1h30. Et maintenant ? J'ai la tĂȘte dans le cul ! Je suis toute dĂ©phasĂ©e ou dĂ©calĂ©e, je ne sais mĂȘme plus ! Je sens que cette journĂ©e va ĂȘtre longue !
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anditwentlikethis · 3 months ago
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dia porque se fosse bom o Sporting nĂŁo tinha levado na boca ontem
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leleaulait · 1 year ago
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Rendez-vous compte qu'il est à peine 9h et que j'angoisse à l'idée de me faire couper les cheveux dans 3h.
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minivirgo · 2 years ago
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je pense que j’ai perdu mon passeport :)))) que j’ai besoin ce mardi
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ehalatp · 2 years ago
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je fais grÚve quasi chaque jour en ce moment (1h généralement) ça sert pas à grand chose à soit (à part faire noter un gréviste de plus dans les chiffres officiels) mais de toute façon dans mon boulot la grÚve ne sert à rien.
La grÚve c'est un bras de fer entre les personnes qui produisent (ici moi qui fait une séance de kiné) et les personnes qui détiennent les moyens de production (toujours ici d'une part l'hÎpital et l'état qui détiennent les locaux et le matos d'autre part les patients).
Alors aprĂšs c'est peut ĂȘtre dans ma tĂȘte mais pour moi si je fais ma sĂ©ance de kinĂ© alors l'hĂŽpital rĂ©cupĂšre des sous de la sĂ©cu (et l"Ă©tat "perd" des sous) certes mais il doit aussi me payer (et l'Ă©tat "reperd" des sous). Et si je la fais pas, d'un ma sĂ©ance n'est pas comptabilisĂ©e et je ne suis pas payĂ© mais en plus j'ai la "responsabilitĂ©" de ne pas avoir fait de sĂ©ance au patients qui en ont besoin (qu'on soit clairs tous mes patients n'ont pas besoin d'une/deux sĂ©ances quotidiennes mais yen a certains chez qui la diffĂ©rence est notable).
Du coup j'ai vraiment l'impression qu'Ă  part notifier de notre mĂ©contentement, faire grĂšve dans le milieu hospitalier n'a pas beaucoup d'impact. (mais je vais quand mĂȘme continuer Ă  le faire)
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elmaxlys · 7 days ago
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JE ME LES CAIIIIIILLE
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spidersinmysoup · 4 months ago
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What if our umbrellas were gay and they yaoi'd with each other while we're trying to walk on opposite directions on the same pavement
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sabinerondissime · 6 months ago
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Mal dormi ! Mon chien a Ă©tĂ© agitĂ© toute la nuit au point de m'empĂȘcher de dormir. Et quand on me rĂ©veille, c'est le seul moment ou je peux vraiment, mais alors vraiment ĂȘtre en colĂšre ! Du coup Spritz a fini dans le salon. Ce qu'il n'a pas aimĂ© du tout ! Ses gĂ©missements ont finit par rĂ©veiller Monsieur, qui est allĂ© chercher le chien et qui, a son tour, a passĂ© une mauvaise nuit ! Heureusement, nous faisons chambre Ă  part du coup moi, j'ai pu dormir un peu .
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 385
La France
Le retour en France me replonge dans ma réalité.
En vrac :
les annexes sont terminées et les habitants installés dedans. Jona et François sont trop contents de leur appart dans l'annexe 1. Jalil passe la plupart de ses nuit dans leur seconde chambre mais aussi au Blockhaus dÚs que la triplette y est.
Jona mĂšne d'une main de directeur compĂ©tant ma sociĂ©tĂ©, organisation du personnel, prises de rendez-vous, recrutements et gestion des physiques. Le fait de loger sur place lui gagne du temps et lui permet d'ĂȘtre dispo Ă  toute heure pour mes escorts.
Mes amours qui m'ont finalement plus manqués que je ne l'avais pensé au départ. La nuit de mon retour c'est à peine si nous avons dormis une heure. Il y en avait toujours un qui bandait et que les autres devaient purger !
Mes petits, Enguerrand, Max et Nathan toujours aussi jeunes dans leur enthousiasme, sont maintenant collés de Jalil.
Jalil que j'ai du mal Ă  reconnaitre, changĂ© par mes insupportables gamins, coiffure mode, vĂȘtements idem, un vrai petit europĂ©en ! Il s'est vite Ă©toffĂ© Ă  suivre le rĂ©gime culinaire et sportif du Blockhaus. Du cotĂ© de ses Ă©tudes par correspondance, PH a finalement dĂ©cidĂ© avec le suivit du CNED d'aller jusqu'au BAC en Auditeur libre et de le lui faire passer en 2 ans (au lieu des 3 annĂ©es du dernier cycle, seconde, premiĂšre et terminale). Les cours dispensĂ©s par les uns et les autres portent leurs fruits et les devoirs reviennent de correction avec des rĂ©sultats trĂšs satisfaisants. Les " mĂ©decins " qui suivent la partie scientifique (math, physique, SVT) sont contents de leur Ă©lĂšve mĂȘme si ce dernier est plutĂŽt littĂ©raire. Ça, m'est confirmĂ© par SosthĂšne.
Pour le sexe, d'aprÚs ce que je comprends il se limite à mes trois petits frÚres et ce n'est pas faute d'en faire bander plus d'uns lors des séances sport. Les 4 mois d'entrainement aux différents sports de combat dispensés par Jona, PH et João l'ont changé aussi. Son naturel effacé et timoré a laissé place à un abord franc et ouvert. Là, ma " thérapie " maison a fait son office.
Avec son pÚre les relations se sont renouées d'autant plus facilement qu'avec  la distance, il n'y a plus la barriÚre de son " état ".
Enguerrand me confie que de temps en temps il s'isole avec lui pour parler de ses 3 années au service sexuel des intégristes. C'est par vague que cela lui revient et, à ces moment-là, il lui en parle et uniquement à lui qui a connu aussi ce genre de contrainte.
Je comprends, c'est ce qui lui Ă©tait arrivĂ© et c'est sur mon Ă©paule qu'Enguerrand venait alors poser sa tĂȘte et pleurer un coup. Je le serre fort dans mes bras pour le remercier de ce qu'il fait pour Jalil. J'ai droit Ă  un " dĂ©conne, je peux pas faire moins, on l'aime tous trop ". Ça me va bien ces rĂ©actions et pas seulement parce que ça en fait un petit groupe de baiseurs. Ça remet Jalil dans un cursus de dĂ©veloppement normal.
Marc que je n'ai pas assez vu pendant ces 6 derniers mois a droit Ă  une vraie salope dans son lit quand il revient d'Asie. Il me finit dans le donjon rĂ©affirmant sa domination sur moi. Ça m'avait manquĂ© ça aussi. J'aime les rapports de force avec lui comme maĂźtre. Il se rattrape de ces derniers mois oĂč nous ne nous Ă©tions vus qu'un WE. mais c'est Ă©vident que je ne suis plus le gamin de 18ans qu'il a dĂ©pucelĂ© dans sa douche Ă  moitiĂ© terminĂ©e et qu'il dominait totalement. Physiquement je dois ĂȘtre au moins une fois et demie plus large et plus musclĂ©, psychologiquement j'assure mĂȘme si je ne me suis jamais cachĂ© que j'aimai me faire enculer grave dĂšs qu'il m'a fait subir ma premiĂšre sodomie. Mais l'Ă©volution que j'ai suivie m'a fortement muri, surtout les responsabilitĂ©s envers les jeunes de ma sociĂ©tĂ©. Mais je crois que c'est Ă  la triplette Ă©largie, dont je considĂšre les membres comme les petits frĂšres que je n'ai pas eu la chance d'avoir, que je dois ma plus grande transformation psychologique. 
Emma pareil, nos retrouvailles se font en simple duo avec une tendresse que je ne me connaissais pas. Sans me rappeler les premiers pas de notre relation (tarifĂ©e Ă  l'Ă©poque), le fait d'ĂȘtre en tĂȘte Ă  tĂȘte tranche avec ces derniĂšres annĂ©es oĂč nous avons surenchĂ©ris dans la stimulation sexuelle. Le summum ayant Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© quand nous avons Ă©tĂ© 4 Ă  la pĂ©nĂ©trer en mĂȘme temps (chose possible que grĂące aux 24cm d'Ernesto). On en rit alors que, couchĂ©s cĂŽte Ă  cĂŽte aprĂšs l'amour, nos regards perdus dans notre reflet, (le plafond est recouvert de glace), Emma rĂ©sume l'Ă©volution que je lui ai apportĂ©e. Quand je lui demande si elle regrette, elle roule sur moi et me dit que jamais de sa vie elle n'avait vĂ©cu aussi intensĂ©ment que depuis que je suis entrĂ© dans sa vie. Ça lui vaut un cĂąlin qui termine avec pĂ©nĂ©tration c'est Ă©vident ! LĂ , je lui prends le cul et lentement l'amĂšne Ă  une troisiĂšme jouissance qui la laisse pantelante.
Pablo nous fait un repas de fĂȘte avant que j'aille lui faire ma propre fĂȘte avant de quitter cette maison. Ses 24cm me font patienter la prochaine remontĂ©e de son petit frĂšre Ernesto mon 4Ăšme amour et ses 24cm Ă  lui. La tĂȘte sur son oreiller, je vois Ă  l'envers les trois toiles que nous lui avions offertes lors de son installation, je lui demande s'il est heureux. C'est lui qui me prend dans ses bras, m'Ă©crase gentiment les cĂŽtes et m'assure que c'est le cas. Je lui demande s'il ne regrette pas de ne pas avoir son propre restaurant. Il me rĂ©pond qu'il a tous les avantages sans les inconvĂ©nients. Il peut crĂ©er ce qui lui passe par la tĂȘte, avec les diner d'Emma, il a le plaisir de voir que ses crĂ©ations plaisent et ça sans les lourdes responsabilitĂ©s d'un Ă©tablissement Ă  faire tourner. Il a nĂ©gociĂ© avec Julien pour mettre ses meilleures recettes dans sa boutique de traiteur. Ça + ses prestations extĂ©rieures suffisent Ă  le distraire et il a la possibilitĂ© de prendre du plaisir avec des mecs sans que cela porte Ă  consĂ©quence pour son taf. Il redescend sur Barcelone quasiment quand il veut et son petit frĂšre devient un vrai homme et ça lui plait aussi.
Je fais la connaissance de la recrue de CÎme, Grégoire. Débarrassés de ses poils en trop, il ne fait pas honte à mon écurie. Pas farouche, alors que je l'ai convoqué pour un entretien avec son Boss, c'est tout juste si ce n'est pas lui qui me viole (en passif bien sûr). Quand je lui demande son parcours, il me décrit aussitÎt son dépucelage par un élÚve ingénieur agricole en stage dans l'exploitation de son pÚre. Comment ce dernier, en 6 mois, lui avait fait aimer le sexe et particuliÚrement en position passive. Il me sous-entend que ce n'était pas le seul sexe mùle de la ferme à avoir défoncé sa jeune rondelle. Et donc mes clients, malgré leurs dimensions hors normes ne lui avaient pas posé plus de problÚme que ça. Il me dit qu'il appréciait aussi l'ambiance que j'avais su créer avec tous les escorts et qu'il aimait aussi beaucoup se les prendre par deux pour entretenir sa souplesse anale.
Comme je m'inquiĂšte qu'il ne soit trop " dĂ©tendu ", il me prouve le contraire aussitĂŽt. Venu s'assoir sur mes cuisses, il a eu vite fait de faire glisser ma bite raide sur le cotĂ© de mon shorty et de la kpoter d'une main experte avant de s'assoir dessus. Ok, sa rondelle est restĂ©e ferme et rĂ©sistante. Je m'enfonce dans son intimitĂ© mais tout en sentant une bonne compression. Tout en me chevauchant, il m'explique que son " initiateur " lui faisait contracter son anus sur son petit doigt aprĂšs chaque dĂ©fonce. Et le temps d'exercice Ă©tait proportionnel au diamĂštre de la bite qu'il venait de recevoir. Je le fais taire en prenant sa bouche et en lui enfonçant ma langue dedans. Il attend de m'avoir fait juter dans ma kpote pour laisser sortir son sperme sur mes abdos. LĂ  il dĂ©cule rapidement et vient lĂ©cher sa production. Naturellement ma main est venue caresser ses cheveux. Il ne s'offusque pas de cette marque de domination. Je vois mĂȘme qu'il continu Ă  me lĂ©cher alors qu'il n'y a plus rien Ă  ramasser.
Quand je lui dis qu'avec lui j'ai une bonne recrue, il m'assure qu'il peut faire pour moi et mes clients des plans Zarbi si besoin. Il était sûr que certains seraient plus qu'intéressés par ses capacités spéciales. Je creuserai plus tard.
En attendant il me remercie d'avoir accepté qu'il rejoigne mon écurie et m'assure qu'il va se donner à fond pour moi. Je tempÚre son enthousiasme en lui rappelant qu'il n'était pas question que ses études en pùtissent.
Jalil me demande un rendez-vous. Je ris un peu de le voir aussi protocolaire. Nous nous isolons et là, il me fait sa proposition. Il veut intégrer mes escorts pour me rembourser son entretien. Je suis étonné. Du coup je lui demande si c'est vraiment ce qu'il veut, s'il ne préférait pas rester avec ses 3 nouveaux amis et piocher au besoin, parmi tous ceux qui passent au blockhaus s'il avait besoin de nouveauté. Il insiste que ça va faire plus de 4 mois qu'il encombre ma maison et que PH refuse qu'il nous dédommage alors que son pÚre approvisionne son compte suffisamment pour ça. A mon tour je refuse. Je lui explique que je n'ai pas besoin de son argent et que cela ne le met pas pour autant mon débiteur. Je voulais juste qu'il retrouve non pas son innocence, mais au moins une joie de vivre. Là, il me remercie et me dit que j'ai réussis ça. je clos la conversation et le chasse de mon bureau avec ordre de s'amuser et surtout de se faire plaisir, l'immeuble permettait ça.
ArrivĂ© Ă  la porte il se retourne, traverse l'espace qui nous sĂ©pare et se jette sur moi pour coller ses lĂšvres sur les miennes. Je suis si surpris que je mets un peu de temps Ă  rĂ©agir, surprenant non ? J'ouvre la bouche pour protester mais le coquin en profite pour y enfoncer sa langue. Direct je bande ! Je le repousse Ă  bout de bras. LĂ , il me fixe dans les yeux et me sort qu'il ne veut pas ĂȘtre le seul des 4 Ă  ne pas voir fait l'amour avec moi. AprĂšs avoir posĂ© sa main sur mon entrejambe, il ajoute que j'en ai envie.
Je ne sais pas mais j'ai une certaine rĂ©serve avec lui. Il le sent, sa voix baisse d'un ton et il me demande pourquoi je le rejette. Il me cueille et je le reprends dans mes bras oĂč il se love avant de me tendre ses lĂšvres.
Je craque ! Ma langue envahi sa bouche et nous nous roulons un patin d'enfer. Mes mains parcourent son corps et je sens qu'il bande comme un fou lui aussi. Je reprends mes esprits, le repousse Ă  nouveau. LĂ , il me dit qu'il a grave l'envie de faire l'amour avec moi et que ses trois nouveaux copains l'ont assurĂ© que j'Ă©tais un super coup. Il ajoute qu'Enguerrand lui a confiĂ© que c'Ă©tait grĂące Ă  moi qu'il avait pu surmonter son Ă©pisode " esclave, sado-maso " et puis mĂȘme sans ça, je le faisais trop kiffer.
Je lui demande s'il veut qu'on fasse ça tous les deux ou s'il ne préférait pas avec ses trois autres amis. Je le vois hésiter. Il finit par me dire qu'il aimerait bien m'essayer tout seul.
On se prend la premiĂšre chambre aprĂšs mon bureau. Je le pousse sur le lit et le vois se tortiller pour s'extraire de son marcel et de son short. Je l'aide.
Putain qu'il est beau ! Il a gardĂ© sa tĂȘte d'ange mais en dessous il est nettement plus beau qu'Ă  son arrivĂ©e. Ses os se sont entourĂ©s de muscles qui commencent Ă  Ă©largir sa silhouette. Toujours imberbe, les aisselles rasĂ©es et le pubis Ă  notre mode, il est plus que baisable ! Il se redresse et m'aide Ă  me mettre nu. A genoux sur le lit alors que je suis debout devant lui, il me caresse. Je le laisse faire le tour du propriĂ©taire. Mon cou, mes bras, mon torse sont parcourus pas ses mains jusqu'Ă  ce qu'il empoigne fermement mes 20cm qui n'attendaient que ça. Sa tĂȘte plonge en avant et je sens sa bouche recouvrir la totalitĂ© de ma queue. Le nez Ă©crasĂ© sur mes abdos, il joue de sa gorge pour compresser mon gland coincĂ© entre ses amygdales. Je ne veux pas savoir oĂč il a appris ça mais c'est trop bon. Je le lui dis et mes mains sur sa tĂȘte, je l'aide ou plutĂŽt je maitrise. Inconsciemment, pendant qu'il me suce, il cambre ses reins et fait ressortir ses fesses. Puis il roule des hanches. Alors que je suis doux dans mes mouvements, il me recrache le temps de me dire que je peux y aller plus hard avec lui. Pour me le prouver, il devient plus brusque dans ses mouvements et cherche Ă  s'Ă©touffer avec mon gland.
Ok j'ai compris. Je lui tiens la tĂȘte entre mes mains et utilise sa bouche comme d'un cul. Je lui lime la gorge sans me soucier (enfin si quand mĂȘme) de sa respiration et s'il Ă©met une forte production de salive gluante je ne m'arrĂȘte pas pour autant. Raide comme la justice, la queue hyper lubrifiĂ©e de cette salive de fond de gorge, je le retourne pour qu'il me prĂ©sente son cul.
Il a compris ce qui l'attend et les genoux légÚrement écartés, il attend. J'ai à peine posé mon gland sur sa rondelle que d'un brusque coup de rein, il recule dessus jusqu'à ce que ses fesses s'écrasent sur mon bassin. Un ha de soulagement sort de sa bouche. Il commence alors à se déchainer sur ma bite. Je le laisse faire 5mn puis reprend la main. Je bloque ses mouvements alors que je suis bien au fond de son cul. Je le pousse jusqu'à ce qu'il soit couché sur le lit et là, mes chevilles bloquant ses jambes, mon bras gauche en travers de son cou, je m'emploi à lui limer la rondelle avec la totalité de mes 20cm. Je ressors à chaque fois et de temps en temps j'attends qu'il me supplie de le défoncer pour le sodomiser à nouveau. Je surveille qu'il kiffe ma façon de lui faire l'amour. Malgré mon poids, il réussit à se remettre sur ses genoux et à ruer du cul pour " brutaliser " ma sodo.
Peut-ĂȘtre que c'est ce qui lui manque avec ses 3 complices ! Surtout s'ils l'ont converti Ă  " l'actif " pour bien profiter de sa grosse bite.
Je l'attrape par les hanches et le fais pivoter sur ma bite. Je plaque son dos sur le matelas. Il écarte ses jambes quasiment au grand écart, c'est chose faites quand de ses mains posées sur ses chevilles il les tire en arriÚre.
Trop beau le tableau ! Sa rondelle est légÚrement écartée par la position qu'il a adoptée, ses 22x6 raides de plaisir collent son ventre et recouvrent son nombril.
Je me jette sur lui et ma bite, direct, le dĂ©fonce alors que je me couche pour pouvoir lui rouler un patin. Ses bras viennent autour de mon cou, retenir ma tĂȘte. Ses jambes se replient et me bloquent aux reins. Il me garde sans bouger le temps de me glisser dans l'oreille de la baiser hard (sa rondelle).
Je me redresse, mes mains viennent prendre appuis sur ses cuisses et mes pieds fixé au sol, je lui défonce la rondelle à grands coups de bite qui ébranlent à chaque fois le mur. Ses gémissements se transforment en petit cris qui s'achÚvent dans un rùle alors que, sans se toucher, sa queue se met à expulser de grands jets de sperme. Il se couvre les pecs, son cou, quelques éjaculations atteignent son visage. Je tapisse l'intérieur de son boyau, stimulé par ses compressions anales, avant de m'écraser sur lui.
Ses yeux fermés s'entrouvrent et je n'y vois que du bonheur, ouf !
Je sors ma langue et viens récupérer sur ses joues les larmes de sperme que sa jouissance a déposé là. Je me replace et il comprend. Il ouvre la bouche et je dépose dedans ma récolte. Il m'attrape par le cou et me tire vers lui, collant nos deux bouches on se la partage.
Une fois nos esprits retrouvés, je lui demande si j'avais été assez brutal pour lui.    
RĂ©ponse : " beaucoup moins que les combattants de la foi, mais juste ce qu'il fallait pour son plaisir ".
Sous les douches, c''est à mon tour de le caresser avec mes mains savonneuses. Je lui fais la remarque que j'ai l'impression qu'il a grandi. Il me le confirme et ajoute que ses répétiteurs médecins n'en sont pas étonnés. Les mauvais traitements avaient dû perturber sa croissance et il se rattrapait maintenant.
Jardinier
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urween · 9 months ago
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
⚠ warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, Ă©vocation de sexualitĂ© et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots - Description Ă  la troisiĂšme personne
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Il avait une ouĂŻe surdĂ©veloppĂ©e, tout le monde le savait. Les Ă©lĂšves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassĂ©es par un ballon, il les entendait. Les rires Ă  deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxiĂšme Ă©tage. D’habitude, aucun problĂšme Ă  s’endormir avec ces bruits, il avait dĂ©jĂ  dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empĂȘcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gĂ©missements c'Ă©taient autre chose encore.
Au deuxiĂšme Ă©tage il n’y avait que les Ă©tudiants ayant dĂ©passĂ© la majoritĂ©, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'Ă©tait lĂ©ger et rapide, tout l’inverse de ces derniĂšres fois. Parce que oui, “ces” derniĂšres fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fĂȘter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait Ă  regretter son ouĂŻe surdĂ©veloppĂ©e.
Il n’avait jamais bien dormi, c'Ă©tait pas son genre, mais ne pas dormir n'Ă©tait pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se rĂ©gĂ©nĂ©rer, il devait se reposer, pour Ă©viter d'ĂȘtre de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer Ă  la porte de cette chambre et demander poliment d'arrĂȘter de baiser tous les soirs n'Ă©tait pas non plus dans ses options. MalgrĂ© son caractĂšre, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours trĂšs mal Ă  l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il Ă©coutait sans le vouloir ces bruits Ă©tait un peu gĂȘnant, voire mĂȘme beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan Ă©tait parvenu Ă  localiser la chambre d’oĂč prĂ©venait tout ce boucan. C'Ă©tait la derniĂšre, tout au fond du couloir, Ă  environ cinq chambres de la sienne. Si sa mĂ©moire Ă©tait bonne, Oscar dormait lĂ -dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre Ă  se faire recaler par toutes ses conquĂȘtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'Ă©tait pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait ĂȘtre la deuxiĂšme personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas Ă  un trĂšs haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan sĂ©chait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien ĂȘtre. Et mĂȘme la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. MĂȘme si quelquefois il parvenait Ă  capter une voix, trĂšs douce, trĂšs tremblante, et il devait l'avouer, assez agrĂ©able Ă  entendre. Mais ce n'Ă©tait pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas Ă©couter, ses oreilles entendaient pour lui. Et mĂȘme avec des bouchons il entendait tout, puis de toute maniĂšre il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquiĂšme fois, il avait eu espoir que ça s’arrĂȘte, qu’ils arrĂȘtent. Mais ce n'Ă©tait pas arrivĂ©.
HonnĂȘtement, il Ă©tait un peu Ă  cran. Les Ă©lĂšves le remarquaient trĂšs clairement, dĂšs le dĂ©but de la semaine ils avaient vu que Wolverine Ă©tait d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus Ă  carreaux. Leur soulagement Ă©tait qu’au moins il n'Ă©tait pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir Ă  endurer ce regard enflammĂ© pendant une voire deux heures de cours. Logan Ă©tait simplement “invitĂ©â€, ou peut-ĂȘtre “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposĂ© un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusĂ©, ne voulant pas avoir Ă  se coltiner des Ă©valuations Ă  corriger et une cravate Ă  porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutĂŽt des entraĂźnements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élĂšves peut-ĂȘtre, lui demandait frĂ©quemment de les aider Ă  la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaĂźtre tout le monde, mĂȘme s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutĂŽt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutît avec qui il traünait.
AppuyĂ© contre un encadrement de porte, Logan ne dĂ©tacha pas son regard du jeune homme. Malicia Ă©tait passĂ©e parler Ă  Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilitĂ©, mais heureusement elle Ă©tait avec Bobby dans une chambre Ă  l'autre bout du couloir. Katt Ă©tait aussi passĂ©e pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait dĂ©jĂ  quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas ĂȘtre elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait Ă  beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à rùler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mùtres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derriùre ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a Ă©tĂ© comprĂ©hensive, elle m'a mĂȘme aidĂ© Ă  le rĂ©parer »
Le garçon souriait faiblement, il n'Ă©tait pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'Ă©tait mĂȘme lui qui l’avait ramenĂ©.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour ĂȘtre honnĂȘte, il voulait juste aller prĂšs d’un lac et regarder la forĂȘt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tĂȘte Ă  ce garçon lors de leur premiĂšre rencontre, il s'Ă©tait cachĂ© dans un buisson derriĂšre lui. Logan l’a Ă©coutĂ© lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour Ă©chapper Ă  des personnes qui ne l’apprĂ©ciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'Ă©tait dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il Ă©tait dĂ©solĂ© pour tout ce qu’il avait vĂ©cu. Logan l’a fixĂ©, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensĂ©es ?”. Ce Ă  quoi le garçon a rĂ©pondu : “j’interprĂšte les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se dĂ©tende un peu par la mĂȘme occasion. Le garçon lui a demandĂ© pardon, il a dit ne pas avoir voulu ĂȘtre trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empĂȘcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'Ă©tait arrĂȘtĂ©e lĂ , Logan s'Ă©tait levĂ© et avait lentement soufflĂ©, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dĂ©rangĂ©. Le garçon s'Ă©tait encore une fois excusĂ©, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardĂ© pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre annĂ©es. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrĂŽlĂ© son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. AprĂšs, Logan l'avait emmenĂ© au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empĂȘcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il Ă©coutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attachĂ© Ă  ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'ĂȘtre qu’une invitation Ă  jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas Ă  ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante Ă©tait aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lñcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une biùre accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
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« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mĂąchoire, ses muscles tendus, son cerveau en Ă©bullition. Bordel, ça faisait des annĂ©es qu'il n'avait pas Ă©tĂ© jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
SincĂšrement, il devrait avoir une mĂ©daille pour ne pas dĂ©jĂ  avoir lacĂ©rĂ© cette foutue porte de chambre, et peut-ĂȘtre au passage un des hommes Ă  l’intĂ©rieur. Mais c’était quelque chose de compliquĂ© Ă  contrĂŽler, la colĂšre elle Ă©tait faite pour sa mutation, elle Ă©tait compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de dĂ©foncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrĂštement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait Ă  peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il Ă©tait sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrĂȘtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussĂ©e, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sĂ»r il n’y avait personne, tout le monde Ă©tait dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le rĂ©frigĂ©rateur et y prit un soda, puisque l'alcool Ă©tait interdit dans l’établissement. Il but la moitiĂ© de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'Ă©tait de la biĂšre, mais le sucre gĂąchait tout.
Un bĂąillement le fit sursauter. Par rĂ©flexe ses griffes sortirent, prĂȘtes Ă  embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immĂ©diatement ses griffes, posant Ă  l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incomprĂ©hensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon dĂ©glutit faiblement, il avança et passa derriĂšre l’ülot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversĂ©, ok non peut-ĂȘtre pas autant, juste un peu dĂ©boussolĂ© alors. Ses yeux Ă©taient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'Ă©tait pas pour l’obscuritĂ©, il y avait au moins deux millimĂštres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mĂąchoire Ă©tait tendue, pas contractĂ©e mais elle l’avait Ă©tĂ© trĂšs rĂ©cemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le massĂ©ter. Et sa peau Ă©tait pigmentĂ©e, par du rouge amarante, posĂ© par points s’étirant petit Ă  petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'ĂȘtre aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur Ă©puisĂ©e, est-ce que ce t-shirt Ă©tait Ă  Oscar, est-ce que cette odeur Ă©tait la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et rĂ©gulĂ©e lorsque les clignements sont plus lents et contrĂŽlĂ©s »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la dĂ©sorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgĂ©e de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressĂ©, Ă©nervĂ© et frustrĂ©, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais mĂȘme dire que c’est moi mais j’aime pas ĂȘtre narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune Ă©mit une courte pause, juste le temps d'interprĂ©ter les rĂ©actions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumĂ©, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embĂȘterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse Ă  cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmĂšrent, Logan l'Ă©coutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cƓur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'Ă©tait bon signe. Sa gorge Ă©tait toujours serrĂ©e, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-ĂȘtre, ou alors une rĂ©action, oui une rĂ©action.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement Ă  Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais trĂšs bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensĂ©es, ça fait flipper, ou rire, ça dĂ©pend des personnes »
Sa gorge se desserra trĂšs lĂ©gĂšrement, et un souffle amusĂ© passa ses lĂšvres. Le garçon s'Ă©carta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla Ă  peu prĂšs stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau Ă  Logan et rĂ©pondit en montrant de la tĂȘte les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusĂ©, il la finit en quelques gorgĂ©es. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, rĂ©flĂ©chissant Ă  ce signe plutĂŽt qu'Ă  la question. La voix de Logan Ă©tait plus forte, d’environ trois dĂ©cibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage Ă©tait fermĂ©, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'Ă©taient pas contractĂ©s contrairement Ă  d’habitude, il Ă©tait plus dĂ©tendu Ă  certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, rĂ©pondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mùtre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, rĂ©pondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais dĂ©chiquetĂ© l’intestin d’Oscar si je te disais son prĂ©nom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mĂąchoire peut faire des dĂ©gĂąts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas trÚs content si tu mets dans le coma un de ses élÚves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermĂšrent sur les os solides de l’homme, crĂ©ant une chaleur diffuse Ă  ce niveau.
« Range ces armes, arrĂȘte de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraĂźcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derriĂšre ces yeux, un courant d’eau et d'Ă©lectricitĂ©, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derriĂšre ces beaux yeux. La mutation de ce garçon Ă©tait puissante, grande et dangereuse si elle Ă©tait mal contrĂŽlĂ©e, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accĂšs aux corps de n’importe quel ĂȘtre vivant, des poumons aux paupiĂšres, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cƓur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrĂŽler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrĂŽler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple ĂȘtre humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des annĂ©es. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ĂŽter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-ĂȘtre que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargĂ© d’électricitĂ© humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant Ă  l’encre rouge sur ses lĂšvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lĂšvres dangereuses qui pouvaient lui ĂŽter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la premiĂšre fois depuis des annĂ©es, il pouvait lĂ©gitimement Ă©prouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lĂšvres, ces lĂšvres qu’il embrassa Ă  pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empĂȘcher de gĂ©mir en sentant les lĂšvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensĂ© devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'Ă©tait tout l’inverse. Il Ă©tait doux, ses mouvements lents et contrĂŽlĂ©s, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant mĂȘme murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprĂ©tait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lÚvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frĂšre, il me l'a donnĂ© avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs oĂč ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait ĂȘtre aussi bruyant pour ĂȘtre honnĂȘte »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractĂšrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusĂ© qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapĂšze supĂ©rieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activitĂ© produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidĂ© parce que c'Ă©tait le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul Ă©tudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adorĂ© te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander Ă  Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le mĂȘme manoir que toi »
Logan posa ses lùvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrĂȘte d’autant rĂ©flĂ©chir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accĂ©lĂ©rĂ©e. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui Ă©claira les lĂšvres du plus ĂągĂ© fit pulser le cƓur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
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banniĂšres par @/saradika-graphics
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interpretame · 10 months ago
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destino
Eu sempre desejei um amor assim, e atĂ© certo ponto nĂŁo achei que o viveria, aquela conexĂŁo que tivemos desde o primeiro dia. E por primeiro dia quero dizer na primeira notificação, meu coração acelerou de uma forma sem explicação. Quando meus olhos encontraram com os seus, foi como seu eu te reconhecesse, mas como poderia se estĂĄvamos tĂŁo distantes? Eu sei que vocĂȘ tambĂ©m sentiu, muito antes de me ver, foi assim que nossa energia me trouxe atĂ© vocĂȘ. Como disse, me observava de longe, assim como eu observava vocĂȘ, eu entrava no seu perfil todo dia, a espera de encontrar algo, quando nĂŁo aparecia por dias me perguntava o que havia se passado. E de repente aparecia, como se estivesse cuidando de mim, nos momentos que eu mais precisava sem saber estava ali por mim. AtĂ© que aconteceu, o primeiro boa noite, o mundo a minha volta parou, senti algo que nunca tinha sentido antes. NĂŁo pude esconder meu rubor, meu coração acelerou, me senti em paz e ansiosa ao mesmo tempo, nĂŁo sei como foi possĂ­vel a combinação. Mal dormi aquela noite, imaginando se iria estar lĂĄ no dia seguinte, e vocĂȘ estava, e no prĂłximo, e no prĂłximo do prĂłximo, e todos os dias dali em diante. A nossa conexĂŁo Ă© inexplicĂĄvel, era pra acontecer, quem sabe coisa de outra vida, estava marcado pra gente se conhecer, isso explicaria como a gente sente a presença do outro mesmo sem se ver. Cada vez que tentĂĄvamos fugir, nos aproximĂĄvamos mais, como se houvesse um campo magnĂ©tico entre nĂłs, uma atração e repulsĂŁo incessante. Foi a melhor coisa que eu jĂĄ tive a oportunidade de viver, mas que terminarĂ­amos assim ninguĂ©m poderia prever. NĂŁo foi desejado nem por mim nem por vocĂȘ, eu sofrendo daqui e vocĂȘ daĂ­, uma grande injustiça, sĂł aguardando pelos prĂłximos capĂ­tulos dessa grande novela que Ă© a vida.
— Março, 1998.
interpretame.
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anditwentlikethis · 1 year ago
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bom dia, quantas mais bolas Ă© que o Sporting mandou aos ferros durante a noite?
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leaozinho · 6 months ago
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                             𝗱𝘀 đ——đ—¶đ—źđ—żđ—¶đ—Œđ˜€ đ—±đ—Œ 𝗩đ—Čđ—șđ—¶đ—±đ—Č𝘂𝘀
Com uma expressão de quem preferia estar em qualquer outro lugar, Aslan se ajeitou na cadeira improvisada e suspirou, jå imaginando as perguntas cansativas que viriam. Até tinha uma ideia de para que aquele questionårio serviria, mas tentou manter suas opiniÔes para si para não acabar se irritando tão cedo com os deuses naquele dia. Lançando um olhar irritado ao questionador, o filho de Dionísio assentiu, confirmando que estava pronto para começar. @hefestotv @silencehq
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𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟭: 𝗕𝗔𝗩𝗜𝗖𝗱 𝗘 𝗣𝗘𝗩𝗩𝗱𝗔𝗟
Nome?
Aslan Emirhan Burakgazi.
Idade?
27 anos (26 quando voltou ao acampamento apĂłs o chamado de DionĂ­sio).
GĂȘnero?
Homem cis.
Pronomes?
Ele/dele.
Altura?
1,80cm.
Parente divino e nĂșmero do chalĂ©?
Dionísio, chalé 12.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟼: 𝗖𝗱𝗡𝗛𝗘𝗖𝗘𝗡𝗗𝗱 𝗱𝗩 𝗩𝗘𝗠𝗜𝗗𝗘𝗹𝗩𝗘𝗩
Idade que chegou ao Acampamento?
20 anos.
Quem te trouxe até aqui? 
Depois do primeiro monstro, mais começaram a surgir e com eles veio tambĂ©m um sĂĄtiro chamado Ilias. Ele me explicou um pouco mais sobre o acampamento e a vinda atĂ© aqui foi calma, pelo menos tanto quanto pode ser para um semideus — em comparação com as histĂłrias que jĂĄ ouvi por aĂ­, foi quase como viajar de fĂ©rias.
Seu parente divino te reclamou de imediato ou vocĂȘ ficou um pouco no chalĂ© de Hermes sem saber a quem pertencia?
Fui reclamado de imediato. JĂĄ sabia quem era meu pai desde o primeiro ataque, lĂĄ no meu bar em Istambul, porque minha mĂŁe me contou depois de tudo, entĂŁo quando cheguei ao acampamento, nĂŁo vivenciei a espera agoniante e dĂșvida sobre quem seria meu pai que muitos semideuses vivenciam. No jantar mesmo, Dionisio me reclamou como dele e fui dormi no chalĂ© 12 com meus irmĂŁos.
ApĂłs descobrir sobre o Acampamento, ainda voltou para o mundo dos mortais ou ficou apenas entre os semideuses? Se vocĂȘ ficou no Acampamento, sente falta de sua vida anterior? E se a resposta for que saiu algumas vezes, como vocĂȘ agia entre os mortais?
Sim, tenho uma vida fora dessas barreiras e gosto muito dela, ficar apenas aqui faria mais mal que bem. Então não só sai, como fico a maior parte do ano longe daqui. Geralmente, volto durante os verÔes e mais para ficar com meus irmãos do que qualquer outra coisa. Sobre os mortais, nada mudou, na verdade. Como descobri muito tarde o que era, o que faço diante deles não mudou, o que acontece é que agora eu preciso conter a vontade de fazer tudo como felino porque simplesmente é bem mais legal viver como gato. Tento usar meus poderes apenas quando estou sozinho e perto de quem sabe a verdade, mas fora isso tento viver normalmente e lido com os monstros longe dos olhos mortais sempre que possível.
Se vocĂȘ pudesse possuir um item mĂĄgico do mundo mitolĂłgico, qual escolheria e por quĂȘ?
NĂŁo sei, o tridente de Poseidon ou o raio de Zeus? Parecem trecos legais de se ter.
Existe alguma profecia ou visĂŁo do futuro que o assombra ou guia suas escolhas?
NĂŁo, prefiro pensar que os deuses e suas tentativas de prever o futuro sĂł afetam minha vida se eu permitir, apesar dessa Ășltima profecia estar atrapalhando bastante a vida de todos com esses ataques e deuses revoltados.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟯: đ—Łđ—ąđ——đ—˜đ—„đ—˜đ—Š, 𝗛𝗔𝗕𝗜𝗟𝗜𝗗𝗔𝗗𝗘𝗩 𝗘 đ—”đ—„đ— đ—”đ—Š
Fale um pouco sobre seus poderes.
Eu consigo mudar minha forma para a forma de qualquer felino existente. Gato, leão, tigre, onça, guepardo e por aí vai. Na minha opinião nada imparcial, é um dos poderes mais legais de se ter.
Quais suas habilidades e como elas te ajudam no dia a dia?
Eu sou mais forte e mais rĂĄpido que uma pessoa comum pode ser, o que Ă© Ăłtimo quando combinado com meu poder. Felinos jĂĄ sĂŁo rĂĄpidos, com uma ajuda a mais entĂŁo
 No meu dia a dia fora daqui, Ă© bom para agilizar as coisas no meu trabalho. NĂŁo me canso tĂŁo rĂĄpido e nem me esforço muito ao carregar caixas de bebidas e consigo realizar meus afazeres mais rĂĄpido que um barman normal, o que Ă© bom porque quanto mais bebidas entregues, mais dinheiro recebo.
VocĂȘ lembra qual foi o primeiro momento em que usou seus poderes?
Lembro, foi durante uma briga no bar. Uma mulher, que tenho quase certeza que tinha asas, me atacou e cortou minha cabeça com uma garrafa quebrada. Quando fui me defender, minha mão tinha mudado de forma, no lugar tinha uma pata enorme de leão e ela sumiu quando ataquei, então nunca tive certeza do que era.
Qual a parte negativa de seu poder?
NĂŁo poder usar ele o tempo todo serve como resposta? NĂŁo? EntĂŁo tĂĄ. Eu fico bem cansado quando volto para a minha forma normal, principalmente se for animais grandes, como leĂ”es e tigres. TambĂ©m me dĂĄ muita fome, aquela expressĂŁo “fome de leĂŁo” nunca foi tĂŁo real.
E qual a parte positiva?
Eu viro qualquer tipo de felino, tem algo melhor que isso??
VocĂȘ tem uma arma preferida? Se sim, qual?
Não sou um cara de armas, realmente prefiro me transformar e usar os dentes e as patas para resolver as situaçÔes, mas gosto bastante da minha falcata, apesar de não a usar.
Acredito que tenha uma arma pessoal, como a conseguiu?
Foi um presente do meu pai. Ele entregou à minha mãe pouco antes de eu nascer e pediu para que me entregasse só quando eu jå estivesse grande e entendesse o que o presente significava. Ela me deu no dia em que saí da Turquia para vir até o acampamento pela primeira vez. No fim, parece bem mais um presente dela do que de Dionísio.
Qual arma vocĂȘ nĂŁo consegue dominar de jeito algum e qual sua maior dificuldade no manuseio desta?
Ironicamente, sou péssimo com espadas. Acho que meu pai não conseguiu prever isso antes de encomendar o presente.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟰: 𝗠𝗜𝗩𝗩𝗱𝗘𝗩
JĂĄ saiu em alguma missĂŁo?
Sim, apenas uma. NĂŁo tenho interesse em nenhuma outra, obrigado.
Qual foi a primeira que saiu?
Fui encarregado de ir para casa, na Turquia, e trazer a qualquer custo uma filha de Nike para o acampamento. Pelo visto naquele ano sĂĄtiros estavam fora de moda.
Qual a missĂŁo mais difĂ­cil?
Provavelmente essa jĂĄ que nĂŁo fui em mais nenhuma e espero que continue assim.
Qual a missão mais fåcil? 
Alguma missĂŁo Ă© fĂĄcil? Tem sempre alguĂ©m tentando matar vocĂȘ.
Em alguma vocĂȘ sentiu que nĂŁo conseguiria escapar, mas por sorte o fez? 
NĂŁo sei se me encaixo para responder essa pergunta porque sĂł sai em uma missĂŁo na vida.
JĂĄ teve que enfrentar a ira de algum deus? Se sim, teve consequĂȘncias?
Não, não tÎ aqui para enfrentar a ira de ninguém além da minha. Até porque, se um deus realmente estiver irado comigo, não imagino que ele vå me deixar viver para ver um novo nascer do sol, então tento ficar na minha e bem longe da atenção deles.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 đŸČ: 𝗗𝗘𝗹𝗩𝗘𝗩
Qual divindade vocĂȘ acha mais legal, mais interessante?
Além do meu pai, Poseidon. A ideia de viver no mar e de controlar a ågua e os mares me parece algo incrível. Mas meu pai é o deus do vinho, das festas, da alegria, do teatro e tem como animal sagrado os felinos, tem algo mais interessante e legal que isso? Ele seria o melhor deus se fosse menos antipåtico, sinceramente.
Qual vocĂȘ desgosta mais?
Ares.
Se pudesse ser filhe de outro deus, qual seria?
Poseidon.
JĂĄ teve contato com algum deus? Se sim, qual? Como foi? Se nĂŁo, quem vocĂȘ desejaria conhecer?
Tive com meu pai, mas serĂĄ que conta? Todo mundo aqui tem contato com ele, mesmo sem querer.
Faz oferendas para algum deus? Tirando seu parente divino. Se sim, para qual? E por qual motivo? 
NĂŁo.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟳: đ— đ—ąđ—Ąđ—Šđ—§đ—„đ—ąđ—Š
Qual monstro vocĂȘ acha mais difĂ­cil matar e por qual motivo?
Qualquer um que voe porque sĂł consigo alcançar o que estĂĄ no chĂŁo ou em uma altura razoĂĄvel. Nem Ă© por ser difĂ­cil, Ă© sĂł chato, parece aqueles caras que sĂŁo maiores que vocĂȘ, pegam suas coisas e erguem o braço para vocĂȘ nĂŁo alcançar. Um saco.
Qual o pior monstro que teve que enfrentar em sua vida?
Um basilisco e nĂŁo recomendo. Se vocĂȘ nĂŁo tem medo de cobras, vai começar a ter depois de encontrar um.
Dos monstros que vocĂȘ ainda nĂŁo enfrentou, qual vocĂȘ acha que seria o mais difĂ­cil e que teria mais receio de lidar? 
Uma Hidra talvez? Cabeças demais para lidar de uma vez sĂł e mesmo que vocĂȘ se livre de uma delas, mais aparecem, entĂŁo Ă© quase morte certa se estiver sozinho.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟮: 𝗘𝗩𝗖𝗱𝗟𝗛𝗔𝗩
Caçar monstros em trio (X) OU Caçar monstros sozinho ( ) 
Capture a bandeira ( ) OU Corrida com Pégasos (X) 
Ser respeitado pelos deuses ( ) OU Viver em paz (X) 
Hidra ( ) OU Dracaenae (X) 
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 đŸ”: đ—Ÿđ—œđ——đ—˜đ—„đ—”đ—Ąđ—–đ—” 𝗘 đ—Šđ—”đ—–đ—„đ—œđ—™đ—œđ—–đ—œđ—ąđ—Š
Estaria disposto a liderar uma missĂŁo suicida com duas outras pessoas, sabendo que nenhum dos trĂȘs retornaria com vida, mas que essa missĂŁo salvaria todos os outros semideuses do acampamento?
Sim, contanto que os outros dois saibam que Ă© uma missĂŁo suicida e estejam tĂŁo dispostos quanto eu.
Que sacrifĂ­cios faria pelo bem maior?
Apenas aqueles que envolvem me sacrificar, sacrificar qualquer outra pessoa ou ser eu nĂŁo aceitaria.
Como gostaria de ser lembrado?
Como um bom filho, irmão e amigo. De resto, pouco me importo, pois no fim ninguém além dos mais próximos vão lembrar de fato.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟭𝟬: 𝗔𝗖𝗔𝗠𝗣𝗔𝗠𝗘𝗡𝗧𝗱 
Local favorito do acampamento?
Lago ou a caverna dos deuses, nĂŁo consigo decidir entre um e outro.
Local menos favorito?
Todas as ĂĄreas de treino.
Lugar perfeito para encontros dentro do acampamento?
Lago.
Atividade favorita para se fazer?
Nadar.
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ernestinee · 5 months ago
Text
Suite du retour des ⭐toc⭐
Donc depuis ce we c'est un peu le cauchemar des toc qui reprend, suite Ă  la confrontation avec ma peur irraisonnĂ©e du bruit du feu qui provient des murs. Comme c'est dans les murs, ça empĂȘche de pouvoir le gĂ©rer et c'est surtout ça le problĂšme, que l'immobilitĂ© me soit imposĂ©e.
C'est comme ça à chaque fois. La peur revient et l'hyper-vigilance s'installe. Chez moi c'est surtout dans les odeurs. Donc je sens tout. J'ai mal au nez. Mon odorat s'affine. Je sens encore plus. Je tousse parce que je suis dérangée par des odeurs que personne d'autre ne sent. Accessoirement je passe pour une folle. Et comme la nuit derniÚre, je ne dors pas, parce que je suis incommodée par une odeur. Celle-ci me fait penser à de l'insecticide comme quand on branche un truc anti moustique, alors qu'il n'y a pas une once d'insecticide dans cette maison. J'ai finalement dormi en vaporisant un peu de parfum mais ce matin l'odeur bizarre est toujours là.
Ce matin j'ai mĂȘme senti l'odeur de la sdb du voisin.
La vigilance va bientĂŽt reprendre son cours normal mais je sais que je dois d'abord passer par cet Ă©pisode hyper chiant.
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