#dormi mal
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bom dia e tals
#bom dia webamigos#como vcs tao#acordei no pior humor do mundo#dormi mal#mas tamo ai ne#vou hoje com meu namorado comprar uma cama de casal#que loucura pq ainda nem caiu 100% a ficha de a gente estar morando junto kk
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putain de lundi de merde
y fait -40°C au taff et j'ai des crampes ses grands morts et jveux juste retourner me coucher
rendez moi ma couette bordel
#le combo mal dormi +1er jour de règles +fuck c'est lundi...#envie d'envoyer tout le monde se faire foutre#la petite mise à jour du pc sauvage en prime#parce que BIEN SÛR j'avais besoin de ça#sworny raconte sa vie
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Rendez-vous compte qu'il est à peine 9h et que j'angoisse à l'idée de me faire couper les cheveux dans 3h.
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je pense que j’ai perdu mon passeport :)))) que j’ai besoin ce mardi
#update j’ai passé toute la nuit à y rêver j’ai hyper mal dormi et je cherche 2 minutes ce matin et je le trouve !!!!!!#thank fucking god#il était là où je le mets normalement mais il était comme tombé dans un autre document#ughhhhh
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je fais grève quasi chaque jour en ce moment (1h généralement) ça sert pas à grand chose à soit (à part faire noter un gréviste de plus dans les chiffres officiels) mais de toute façon dans mon boulot la grève ne sert à rien.
La grève c'est un bras de fer entre les personnes qui produisent (ici moi qui fait une séance de kiné) et les personnes qui détiennent les moyens de production (toujours ici d'une part l'hôpital et l'état qui détiennent les locaux et le matos d'autre part les patients).
Alors après c'est peut être dans ma tête mais pour moi si je fais ma séance de kiné alors l'hôpital récupère des sous de la sécu (et l"état "perd" des sous) certes mais il doit aussi me payer (et l'état "reperd" des sous). Et si je la fais pas, d'un ma séance n'est pas comptabilisée et je ne suis pas payé mais en plus j'ai la "responsabilité" de ne pas avoir fait de séance au patients qui en ont besoin (qu'on soit clairs tous mes patients n'ont pas besoin d'une/deux séances quotidiennes mais yen a certains chez qui la différence est notable).
Du coup j'ai vraiment l'impression qu'à part notifier de notre mécontentement, faire grève dans le milieu hospitalier n'a pas beaucoup d'impact. (mais je vais quand même continuer à le faire)
#jeudi on va faire service minimum (voir tout nos patients qu'une seule fois) et partir manifester#ya des gros blocages de route vers chez moi#si je n'avais pas dormi chez ma copine hier 💖💖💖 j'aurai probablement eu du mal à venir ce matin#sérieusement ca soule que les députés soie't pas fichus de voter la motion de censure
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What if our umbrellas were gay and they yaoi'd with each other while we're trying to walk on opposite directions on the same pavement
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Mal dormi ! Mon chien a été agité toute la nuit au point de m'empêcher de dormir. Et quand on me réveille, c'est le seul moment ou je peux vraiment, mais alors vraiment être en colère ! Du coup Spritz a fini dans le salon. Ce qu'il n'a pas aimé du tout ! Ses gémissements ont finit par réveiller Monsieur, qui est allé chercher le chien et qui, a son tour, a passé une mauvaise nuit ! Heureusement, nous faisons chambre à part du coup moi, j'ai pu dormir un peu .
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bom dia, quantas mais bolas é que o Sporting mandou aos ferros durante a noite?
#dormi (mal) sobre o assunto#e concluo que estou grata que isto não tenha sido para o campeonato#perdemos um jogo desta forma para o campeonato e eu mato-me
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
! warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, évocation de sexualité et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots Description à la troisième personne
Il avait une ouïe surdéveloppée, tout le monde le savait. Les élèves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassées par un ballon, il les entendait. Les rires à deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxième étage. D’habitude, aucun problème à s’endormir avec ces bruits, il avait déjà dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empêcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gémissements c'étaient autre chose encore.
Au deuxième étage il n’y avait que les étudiants ayant dépassé la majorité, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'était léger et rapide, tout l’inverse de ces dernières fois. Parce que oui, “ces” dernières fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fêter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait à regretter son ouïe surdéveloppée.
Il n’avait jamais bien dormi, c'était pas son genre, mais ne pas dormir n'était pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se régénérer, il devait se reposer, pour éviter d'être de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer à la porte de cette chambre et demander poliment d'arrêter de baiser tous les soirs n'était pas non plus dans ses options. Malgré son caractère, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours très mal à l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il écoutait sans le vouloir ces bruits était un peu gênant, voire même beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan était parvenu à localiser la chambre d’où prévenait tout ce boucan. C'était la dernière, tout au fond du couloir, à environ cinq chambres de la sienne. Si sa mémoire était bonne, Oscar dormait là-dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre à se faire recaler par toutes ses conquêtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'était pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait être la deuxième personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas à un très haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan séchait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien être. Et même la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. Même si quelquefois il parvenait à capter une voix, très douce, très tremblante, et il devait l'avouer, assez agréable à entendre. Mais ce n'était pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas écouter, ses oreilles entendaient pour lui. Et même avec des bouchons il entendait tout, puis de toute manière il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquième fois, il avait eu espoir que ça s’arrête, qu’ils arrêtent. Mais ce n'était pas arrivé.
Honnêtement, il était un peu à cran. Les élèves le remarquaient très clairement, dès le début de la semaine ils avaient vu que Wolverine était d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus à carreaux. Leur soulagement était qu’au moins il n'était pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir à endurer ce regard enflammé pendant une voire deux heures de cours. Logan était simplement “invité”, ou peut-être “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposé un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusé, ne voulant pas avoir à se coltiner des évaluations à corriger et une cravate à porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutôt des entraînements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élèves peut-être, lui demandait fréquemment de les aider à la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaître tout le monde, même s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutôt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutôt avec qui il traînait.
Appuyé contre un encadrement de porte, Logan ne détacha pas son regard du jeune homme. Malicia était passée parler à Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilité, mais heureusement elle était avec Bobby dans une chambre à l'autre bout du couloir. Katt était aussi passée pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait déjà quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas être elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait à beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à râler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mètres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derrière ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a été compréhensive, elle m'a même aidé à le réparer »
Le garçon souriait faiblement, il n'était pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'était même lui qui l’avait ramené.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour être honnête, il voulait juste aller près d’un lac et regarder la forêt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tête à ce garçon lors de leur première rencontre, il s'était caché dans un buisson derrière lui. Logan l’a écouté lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour échapper à des personnes qui ne l’appréciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'était dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il était désolé pour tout ce qu’il avait vécu. Logan l’a fixé, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensées ?”. Ce à quoi le garçon a répondu : “j’interprète les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se détende un peu par la même occasion. Le garçon lui a demandé pardon, il a dit ne pas avoir voulu être trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empêcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'était arrêtée là, Logan s'était levé et avait lentement soufflé, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dérangé. Le garçon s'était encore une fois excusé, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardé pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre années. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrôlé son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. Après, Logan l'avait emmené au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empêcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il écoutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attaché à ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'être qu’une invitation à jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas à ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante était aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lâcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une bière accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mâchoire, ses muscles tendus, son cerveau en ébullition. Bordel, ça faisait des années qu'il n'avait pas été jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
Sincèrement, il devrait avoir une médaille pour ne pas déjà avoir lacéré cette foutue porte de chambre, et peut-être au passage un des hommes à l’intérieur. Mais c’était quelque chose de compliqué à contrôler, la colère elle était faite pour sa mutation, elle était compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de défoncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrètement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait à peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il était sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrêtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussée, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sûr il n’y avait personne, tout le monde était dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le réfrigérateur et y prit un soda, puisque l'alcool était interdit dans l’établissement. Il but la moitié de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'était de la bière, mais le sucre gâchait tout.
Un bâillement le fit sursauter. Par réflexe ses griffes sortirent, prêtes à embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immédiatement ses griffes, posant à l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incompréhensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon déglutit faiblement, il avança et passa derrière l’îlot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversé, ok non peut-être pas autant, juste un peu déboussolé alors. Ses yeux étaient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'était pas pour l’obscurité, il y avait au moins deux millimètres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mâchoire était tendue, pas contractée mais elle l’avait été très récemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le masséter. Et sa peau était pigmentée, par du rouge amarante, posé par points s’étirant petit à petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'être aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur épuisée, est-ce que ce t-shirt était à Oscar, est-ce que cette odeur était la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et régulée lorsque les clignements sont plus lents et contrôlés »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la désorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgée de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressé, énervé et frustré, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais même dire que c’est moi mais j’aime pas être narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune émit une courte pause, juste le temps d'interpréter les réactions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumé, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embêterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse à cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmèrent, Logan l'écoutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cœur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'était bon signe. Sa gorge était toujours serrée, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-être, ou alors une réaction, oui une réaction.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement à Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais très bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensées, ça fait flipper, ou rire, ça dépend des personnes »
Sa gorge se desserra très légèrement, et un souffle amusé passa ses lèvres. Le garçon s'écarta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla à peu près stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau à Logan et répondit en montrant de la tête les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusé, il la finit en quelques gorgées. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tête sur le côté, réfléchissant à ce signe plutôt qu'à la question. La voix de Logan était plus forte, d’environ trois décibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage était fermé, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'étaient pas contractés contrairement à d’habitude, il était plus détendu à certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, répondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mètre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, répondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais déchiqueté l’intestin d’Oscar si je te disais son prénom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mâchoire peut faire des dégâts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas très content si tu mets dans le coma un de ses élèves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermèrent sur les os solides de l’homme, créant une chaleur diffuse à ce niveau.
« Range ces armes, arrête de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraîcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derrière ces yeux, un courant d’eau et d'électricité, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derrière ces beaux yeux. La mutation de ce garçon était puissante, grande et dangereuse si elle était mal contrôlée, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accès aux corps de n’importe quel être vivant, des poumons aux paupières, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cœur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrôler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrôler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple être humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des années. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ôter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-être que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargé d’électricité humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant à l’encre rouge sur ses lèvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lèvres dangereuses qui pouvaient lui ôter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la première fois depuis des années, il pouvait légitimement éprouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lèvres, ces lèvres qu’il embrassa à pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empêcher de gémir en sentant les lèvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensé devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'était tout l’inverse. Il était doux, ses mouvements lents et contrôlés, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant même murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprétait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lèvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frère, il me l'a donné avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs où ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait être aussi bruyant pour être honnête »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractèrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusé qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapèze supérieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activité produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidé parce que c'était le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul étudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adoré te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander à Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le même manoir que toi »
Logan posa ses lèvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrête d’autant réfléchir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accélérée. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui éclaira les lèvres du plus âgé fit pulser le cœur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
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destino
Eu sempre desejei um amor assim, e até certo ponto não achei que o viveria, aquela conexão que tivemos desde o primeiro dia. E por primeiro dia quero dizer na primeira notificação, meu coração acelerou de uma forma sem explicação. Quando meus olhos encontraram com os seus, foi como seu eu te reconhecesse, mas como poderia se estávamos tão distantes? Eu sei que você também sentiu, muito antes de me ver, foi assim que nossa energia me trouxe até você. Como disse, me observava de longe, assim como eu observava você, eu entrava no seu perfil todo dia, a espera de encontrar algo, quando não aparecia por dias me perguntava o que havia se passado. E de repente aparecia, como se estivesse cuidando de mim, nos momentos que eu mais precisava sem saber estava ali por mim. Até que aconteceu, o primeiro boa noite, o mundo a minha volta parou, senti algo que nunca tinha sentido antes. Não pude esconder meu rubor, meu coração acelerou, me senti em paz e ansiosa ao mesmo tempo, não sei como foi possível a combinação. Mal dormi aquela noite, imaginando se iria estar lá no dia seguinte, e você estava, e no próximo, e no próximo do próximo, e todos os dias dali em diante. A nossa conexão é inexplicável, era pra acontecer, quem sabe coisa de outra vida, estava marcado pra gente se conhecer, isso explicaria como a gente sente a presença do outro mesmo sem se ver. Cada vez que tentávamos fugir, nos aproximávamos mais, como se houvesse um campo magnético entre nós, uma atração e repulsão incessante. Foi a melhor coisa que eu já tive a oportunidade de viver, mas que terminaríamos assim ninguém poderia prever. Não foi desejado nem por mim nem por você, eu sofrendo daqui e você daí, uma grande injustiça, só aguardando pelos próximos capítulos dessa grande novela que é a vida.
— Março, 1998.
interpretame.
#interpretame#pequenosescritores#espalhepoesias#carteldapoesia#lardepoetas#poecitas#liberdadeliteraria#projetoalmaflorida#projetovelhopoema#1998#poetaslivres
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𝗢𝘀 𝗗𝗶𝗮𝗿𝗶𝗼𝘀 𝗱𝗼 𝗦𝗲𝗺𝗶𝗱𝗲𝘂𝘀
Com uma expressão de quem preferia estar em qualquer outro lugar, Aslan se ajeitou na cadeira improvisada e suspirou, já imaginando as perguntas cansativas que viriam. Até tinha uma ideia de para que aquele questionário serviria, mas tentou manter suas opiniões para si para não acabar se irritando tão cedo com os deuses naquele dia. Lançando um olhar irritado ao questionador, o filho de Dionísio assentiu, confirmando que estava pronto para começar. @hefestotv @silencehq
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟭: 𝗕𝗔𝗦𝗜𝗖𝗢 𝗘 𝗣𝗘𝗦𝗦𝗢𝗔𝗟
Nome?
Aslan Emirhan Burakgazi.
Idade?
27 anos (26 quando voltou ao acampamento após o chamado de Dionísio).
Gênero?
Homem cis.
Pronomes?
Ele/dele.
Altura?
1,80cm.
Parente divino e número do chalé?
Dionísio, chalé 12.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟮: 𝗖𝗢𝗡𝗛𝗘𝗖𝗘𝗡𝗗𝗢 𝗢𝗦 𝗦𝗘𝗠𝗜𝗗𝗘𝗨𝗦𝗘𝗦
Idade que chegou ao Acampamento?
20 anos.
Quem te trouxe até aqui?
Depois do primeiro monstro, mais começaram a surgir e com eles veio também um sátiro chamado Ilias. Ele me explicou um pouco mais sobre o acampamento e a vinda até aqui foi calma, pelo menos tanto quanto pode ser para um semideus — em comparação com as histórias que já ouvi por aí, foi quase como viajar de férias.
Seu parente divino te reclamou de imediato ou você ficou um pouco no chalé de Hermes sem saber a quem pertencia?
Fui reclamado de imediato. Já sabia quem era meu pai desde o primeiro ataque, lá no meu bar em Istambul, porque minha mãe me contou depois de tudo, então quando cheguei ao acampamento, não vivenciei a espera agoniante e dúvida sobre quem seria meu pai que muitos semideuses vivenciam. No jantar mesmo, Dionisio me reclamou como dele e fui dormi no chalé 12 com meus irmãos.
Após descobrir sobre o Acampamento, ainda voltou para o mundo dos mortais ou ficou apenas entre os semideuses? Se você ficou no Acampamento, sente falta de sua vida anterior? E se a resposta for que saiu algumas vezes, como você agia entre os mortais?
Sim, tenho uma vida fora dessas barreiras e gosto muito dela, ficar apenas aqui faria mais mal que bem. Então não só sai, como fico a maior parte do ano longe daqui. Geralmente, volto durante os verões e mais para ficar com meus irmãos do que qualquer outra coisa. Sobre os mortais, nada mudou, na verdade. Como descobri muito tarde o que era, o que faço diante deles não mudou, o que acontece é que agora eu preciso conter a vontade de fazer tudo como felino porque simplesmente é bem mais legal viver como gato. Tento usar meus poderes apenas quando estou sozinho e perto de quem sabe a verdade, mas fora isso tento viver normalmente e lido com os monstros longe dos olhos mortais sempre que possível.
Se você pudesse possuir um item mágico do mundo mitológico, qual escolheria e por quê?
Não sei, o tridente de Poseidon ou o raio de Zeus? Parecem trecos legais de se ter.
Existe alguma profecia ou visão do futuro que o assombra ou guia suas escolhas?
Não, prefiro pensar que os deuses e suas tentativas de prever o futuro só afetam minha vida se eu permitir, apesar dessa última profecia estar atrapalhando bastante a vida de todos com esses ataques e deuses revoltados.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟯: 𝗣𝗢𝗗𝗘𝗥𝗘𝗦, 𝗛𝗔𝗕𝗜𝗟𝗜𝗗𝗔𝗗𝗘𝗦 𝗘 𝗔𝗥𝗠𝗔𝗦
Fale um pouco sobre seus poderes.
Eu consigo mudar minha forma para a forma de qualquer felino existente. Gato, leão, tigre, onça, guepardo e por aí vai. Na minha opinião nada imparcial, é um dos poderes mais legais de se ter.
Quais suas habilidades e como elas te ajudam no dia a dia?
Eu sou mais forte e mais rápido que uma pessoa comum pode ser, o que é ótimo quando combinado com meu poder. Felinos já são rápidos, com uma ajuda a mais então… No meu dia a dia fora daqui, é bom para agilizar as coisas no meu trabalho. Não me canso tão rápido e nem me esforço muito ao carregar caixas de bebidas e consigo realizar meus afazeres mais rápido que um barman normal, o que é bom porque quanto mais bebidas entregues, mais dinheiro recebo.
Você lembra qual foi o primeiro momento em que usou seus poderes?
Lembro, foi durante uma briga no bar. Uma mulher, que tenho quase certeza que tinha asas, me atacou e cortou minha cabeça com uma garrafa quebrada. Quando fui me defender, minha mão tinha mudado de forma, no lugar tinha uma pata enorme de leão e ela sumiu quando ataquei, então nunca tive certeza do que era.
Qual a parte negativa de seu poder?
Não poder usar ele o tempo todo serve como resposta? Não? Então tá. Eu fico bem cansado quando volto para a minha forma normal, principalmente se for animais grandes, como leões e tigres. Também me dá muita fome, aquela expressão “fome de leão” nunca foi tão real.
E qual a parte positiva?
Eu viro qualquer tipo de felino, tem algo melhor que isso??
Você tem uma arma preferida? Se sim, qual?
Não sou um cara de armas, realmente prefiro me transformar e usar os dentes e as patas para resolver as situações, mas gosto bastante da minha falcata, apesar de não a usar.
Acredito que tenha uma arma pessoal, como a conseguiu?
Foi um presente do meu pai. Ele entregou à minha mãe pouco antes de eu nascer e pediu para que me entregasse só quando eu já estivesse grande e entendesse o que o presente significava. Ela me deu no dia em que saí da Turquia para vir até o acampamento pela primeira vez. No fim, parece bem mais um presente dela do que de Dionísio.
Qual arma você não consegue dominar de jeito algum e qual sua maior dificuldade no manuseio desta?
Ironicamente, sou péssimo com espadas. Acho que meu pai não conseguiu prever isso antes de encomendar o presente.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟰: 𝗠𝗜𝗦𝗦𝗢𝗘𝗦
Já saiu em alguma missão?
Sim, apenas uma. Não tenho interesse em nenhuma outra, obrigado.
Qual foi a primeira que saiu?
Fui encarregado de ir para casa, na Turquia, e trazer a qualquer custo uma filha de Nike para o acampamento. Pelo visto naquele ano sátiros estavam fora de moda.
Qual a missão mais difícil?
Provavelmente essa já que não fui em mais nenhuma e espero que continue assim.
Qual a missão mais fácil?
Alguma missão é fácil? Tem sempre alguém tentando matar você.
Em alguma você sentiu que não conseguiria escapar, mas por sorte o fez?
Não sei se me encaixo para responder essa pergunta porque só sai em uma missão na vida.
Já teve que enfrentar a ira de algum deus? Se sim, teve consequências?
Não, não tô aqui para enfrentar a ira de ninguém além da minha. Até porque, se um deus realmente estiver irado comigo, não imagino que ele vá me deixar viver para ver um novo nascer do sol, então tento ficar na minha e bem longe da atenção deles.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟲: 𝗗𝗘𝗨𝗦𝗘𝗦
Qual divindade você acha mais legal, mais interessante?
Além do meu pai, Poseidon. A ideia de viver no mar e de controlar a água e os mares me parece algo incrível. Mas meu pai é o deus do vinho, das festas, da alegria, do teatro e tem como animal sagrado os felinos, tem algo mais interessante e legal que isso? Ele seria o melhor deus se fosse menos antipático, sinceramente.
Qual você desgosta mais?
Ares.
Se pudesse ser filhe de outro deus, qual seria?
Poseidon.
Já teve contato com algum deus? Se sim, qual? Como foi? Se não, quem você desejaria conhecer?
Tive com meu pai, mas será que conta? Todo mundo aqui tem contato com ele, mesmo sem querer.
Faz oferendas para algum deus? Tirando seu parente divino. Se sim, para qual? E por qual motivo?
Não.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟳: 𝗠𝗢𝗡𝗦𝗧𝗥𝗢𝗦
Qual monstro você acha mais difícil matar e por qual motivo?
Qualquer um que voe porque só consigo alcançar o que está no chão ou em uma altura razoável. Nem é por ser difícil, é só chato, parece aqueles caras que são maiores que você, pegam suas coisas e erguem o braço para você não alcançar. Um saco.
Qual o pior monstro que teve que enfrentar em sua vida?
Um basilisco e não recomendo. Se você não tem medo de cobras, vai começar a ter depois de encontrar um.
Dos monstros que você ainda não enfrentou, qual você acha que seria o mais difícil e que teria mais receio de lidar?
Uma Hidra talvez? Cabeças demais para lidar de uma vez só e mesmo que você se livre de uma delas, mais aparecem, então é quase morte certa se estiver sozinho.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟴: 𝗘𝗦𝗖𝗢𝗟𝗛𝗔𝗦
Caçar monstros em trio (X) OU Caçar monstros sozinho ( )
Capture a bandeira ( ) OU Corrida com Pégasos (X)
Ser respeitado pelos deuses ( ) OU Viver em paz (X)
Hidra ( ) OU Dracaenae (X)
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟵: 𝗟𝗜𝗗𝗘𝗥𝗔𝗡𝗖𝗔 𝗘 𝗦𝗔𝗖𝗥𝗜𝗙𝗜𝗖𝗜𝗢𝗦
Estaria disposto a liderar uma missão suicida com duas outras pessoas, sabendo que nenhum dos três retornaria com vida, mas que essa missão salvaria todos os outros semideuses do acampamento?
Sim, contanto que os outros dois saibam que é uma missão suicida e estejam tão dispostos quanto eu.
Que sacrifícios faria pelo bem maior?
Apenas aqueles que envolvem me sacrificar, sacrificar qualquer outra pessoa ou ser eu não aceitaria.
Como gostaria de ser lembrado?
Como um bom filho, irmão e amigo. De resto, pouco me importo, pois no fim ninguém além dos mais próximos vão lembrar de fato.
𝗖𝗔𝗠𝗔𝗗𝗔 𝟭𝟬: 𝗔𝗖𝗔𝗠𝗣𝗔𝗠𝗘𝗡𝗧𝗢
Local favorito do acampamento?
Lago ou a caverna dos deuses, não consigo decidir entre um e outro.
Local menos favorito?
Todas as áreas de treino.
Lugar perfeito para encontros dentro do acampamento?
Lago.
Atividade favorita para se fazer?
Nadar.
#com ele fazendo aniversário achei que tava na hora de responder isso ou nunca mais faria#na minha cabeça os gifs são tipo uma propaganda da tv hefesto (?) idk#tv tropes que encaixam no leãozinho e é isso#swf:task01#— task#— extras
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Suite du retour des ⭐toc⭐
Donc depuis ce we c'est un peu le cauchemar des toc qui reprend, suite à la confrontation avec ma peur irraisonnée du bruit du feu qui provient des murs. Comme c'est dans les murs, ça empêche de pouvoir le gérer et c'est surtout ça le problème, que l'immobilité me soit imposée.
C'est comme ça à chaque fois. La peur revient et l'hyper-vigilance s'installe. Chez moi c'est surtout dans les odeurs. Donc je sens tout. J'ai mal au nez. Mon odorat s'affine. Je sens encore plus. Je tousse parce que je suis dérangée par des odeurs que personne d'autre ne sent. Accessoirement je passe pour une folle. Et comme la nuit dernière, je ne dors pas, parce que je suis incommodée par une odeur. Celle-ci me fait penser à de l'insecticide comme quand on branche un truc anti moustique, alors qu'il n'y a pas une once d'insecticide dans cette maison. J'ai finalement dormi en vaporisant un peu de parfum mais ce matin l'odeur bizarre est toujours là.
Ce matin j'ai même senti l'odeur de la sdb du voisin.
La vigilance va bientôt reprendre son cours normal mais je sais que je dois d'abord passer par cet épisode hyper chiant.
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Pedi um amor e ele me deu um bolo mofado. “Eu pedi amor”, disse. - Isso é amor. - Mas não vai me fazer mal? - Talvez. Olhei e novo e percebi uma larvinha de mosca saindo da cobertura. - Vai querer ou não? – Ele olhava a larva também. - Não sei. – A larvinha agora afundava cada vez mais no bolo. - Eu não vou ficar parado o dia todo aqui, sabe. Lembrei que não sabia cozinhar e levei o bolo para a casa. Primeiro tentei tirar tudo que se movia na cobertura, mas era impossível . Me contentei em raspar o mofo, fechar os olhos e engolir uma garfada. Vomitei. Dormi com o estômago roncando e acordei com dor de barriga dos infernos. Não saí de casa nos próximos três dias: sem amor, não tinha vontade de tomar banho nem de escovar os cabelos. Não queria olhar o céu e nem os olhos das pessoas. No quinto dia sem amor, não quis abrir as pálpebras muito menos as janelas da casa. Prestes a perder as forças, olhei para a mesa e resolvi tentar de novo. O estômago reclamou, mas não devolveu. O intestino resolveu não opinar. Fui dormir indigesta e ao mesmo tempo aliviada. Pela manhã, as maquiagens do banheiro voltaram a fazer sentido. As roupas no chão pediram para serem penduradas. A maçaneta da porta pedia para ser girada e eu obedeci. A cada passo, sentia o estômago revirar, mas também sentia que estava viva. Segui na rua disfarçando uns arrotos enquanto olhava vitrines. À noite, resolvi encarar o bolo de novo. Ele não pareceu tão ruim quanto no dia anterior. Na verdade, olhando de lado nem dava para ver a parte feia. Segui comento o bolo, segui com o estômago revirado e mais importante: segui com vontade de entrar no ônibus e pagar minhas contas. Até que o bolo acabou. Preocupada, fui até ele pedir mais amor. O bolo que ele me entregou estava coberto de moscas. - Está fedendo demais. – comentei. - É o que eu tenho. Não consegui colocar sobre a mesa da sala, já que atraía mais moscas. Botei dentro do forno e cortei uma fatia: o cheiro era insuportável. Tampei o nariz aproximei o garfo da boca, tentando não mastigar as moscas mortas. Sabendo que não poderia ficar sem amor e nem me livrar de todos os insetos, engoli. O estômago não roncou nem a garganta contraiu: já estavam habituados. Quando o amor acabou, ele me entregou um prato fundo. - Mas isso é vômito! - Eu chamo de amor. Entendi que era bolo vomitado e resolvi guardar na geladeira. No dia seguinte provei uma colherada antes de ir trabalhar, e, para a minha surpresa, eu já não sentia mais gosto de nada. Tomei outra colherada à noite, pra garantir que iria ter vontade de tomar banho e sair com meus amigos. No dia seguinte tive um pouco de febre, mas segui dando umas colheradas. Dois dias depois, a cabeça doeu. A febre voltou. A garganta inchou. Sem conseguir engolir o amor, fechei as cortinas e esperei a morte bater. Quando ouvi o som da campainha, suspirei aliviada. Mas não era ela. Não era alguém que eu conhecesse. Tinha cabelos encaracolados e trazia um prato com uma espécie de massa branca. Leve, limpa, tinha cheiro de primavera. - Isso não é amor. - Eu disse. - - É amor, sim. - Parecia surpreso. - - Não, não é. - Eu ri. - Os olhos dele encheram de lágrimas. Antes que eu pudesse mudar de ideia, levou a torta de creme embora.
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Essa noite eu mal dormi, e quando dormi te encontrei. Acordei com dor de cabeça e um embrulho no estômago que os tolos apelidariam de borboletas. Não, devo ter comido algo que me fez mal e essa dor de cabeça só comprova isso. Um analgésico, um cafe e alguns minutos sentada na janela recordando em como foi te tocar depois de tanto tempo. Existe analgésico pra saudade também? Não, isso não é saudade. É comum sonhar com outras pessoas. Foi só um sonho besta que eu não devo ter fantasiado. Nem escolhido sonhar. Que colocaram ali pra me torturar por algum motivo. Dane-se isto, a vida ela é real e ela pede pra gente continuar caminhando. Fui trabalhar e pra ser sincera, estava me sentindo no modo avião. Pouco tempo pra processar tanta informação, só uma noite , só um sonho pra matar tanta saudade depois de meses sem te ver.. Chega disso, por favor coração. Meu cérebro implorava para um dia normal. Chegar no trabalho eu vou me distrair e isso vai se tornar só mais uma bobagem mais adiante. Algo que não faz sentido. Porque sonhar com você? Você dizia que éramos conectados, então talvez você esteja me contatando.. mais que viagem é essa? Não existe isso. Sonhos não são reais e você nem se lembra do meu rosto. Nem da minha cara. Talvez você nem me reconheça se me ver por aí. Mais você estava totalmente igual..Eu preciso parar de pensar nisso ou eu vou endoidar , e te procurar nunca fui uma opção pra mim. Droga, fui atravessar e não reparei, ainda bem que uma moto parou, ou seria meu fim. Nao pode ser!!! Alguém está pregando uma peça comigo, não é normal. Era você. O cara na moto, parando em cima de mim. Olha só, eu facilmente morreria por você na pior das hipóteses. Você me olhou e sorriu, confirmando com os olhos que também estava me procurando e seu suspiro profundo só comprovou isso. Assim como o meu. Talvez essa coisa de sonho seja real. Talvez o destino esteja sempre tentando nos unir. Talvez eu saia da sua vida, mais te encontre numa esquina mais adiante, porque ainda será o mesmo caminho a se seguir. E se cruzar por aí de vez em quando não me parece tão ruim, desde que você sempre sorria para mim desse jeito. De mil palavras que eu pensei em dizer, nada fui capaz naquele momento, além de concluir que o acaso não existe.
- Mary Salomao
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J'ai jamais compris le but des anniversaires. Autant le mien que celui des autres. J'ai souvent pensé que ce serait plus symbolique et sensé de célébrer les anniversaires tous les 5 ans. Parce que toutes les demies décennies, nous sommes à un moment clef. J'ai donc jamais réellement fait l'effort de me souvenir des dates de mes proches. Je sais que ça compte pour la plupart des gens donc je fais le minimum mais j'ai du mal à saisir l'euphorie d'avoir une année de plus. Pourquoi ça en fait un jour si exceptionnel. Je trouve l'événement exceptionnel, celui de la naissance, rétrospectivement, on banalise la grossesse et le fait de donner naissance mais ça reste fascinant. En revanche, le reste n'est pas si important à mes yeux. Ça me donne plus envie d'en faire un jour dédier à ma maman par exemple. Plus que pour moi. Donc j'ai jamais ressenti de réel besoin de le fêter, ni de réel hâte/joie concernant cet événement. C'est une journée banale. A la rigueur, j'apprécie que le 16 mai soit la journée mondiale du vivre ensemble même si ça paraît bien dérisoire et hypocrite le temps passant. Première fois de ma vie que j'ai passé ce jour seule physiquement parlant. D'habitude j'étais avec mes parents, en partiels, en colocation. Là, j'étais seule. J'avais pris rendez-vous pour donner mon sang, c'était la première fois. Alors je m'y suis rendue. Et tout s'est très bien passé. Et aujourd'hui, c'est également la première fois que j'ai eu la présence d'esprit de rendre ce jour utile et sensé. Je suis ensuite rentrée et j'ai dormi puis regardé une série. Moi je ne souffre pas de cette solitude à propos des dates importantes comme certains, à entendable titre évidemment. J'ai beaucoup aimé voir personne. J'ai reçu des messages et le prends en considération c'est gentil. Mais au fond, je me demande souvent pour quoi faire. Et ce que je trouve le plus ridicule c'est les gens qui s'excusent d'avoir oublié de te le fêter ou en retard, comme si c'était grave et que mon estime de eux en dépendait alors que je n'y avais même pas fait attention. Ça me laisse d'une indifférence visiblement anormale. Comme les jours de l'an. C'est des jours qu'on declare exceptionnel alors que ce sont juste des mardis ou des jeudis. Rien de plus banal en soi.
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Hj não me exercitei nadinha, literalmente o único esforço que fiz o dia todo foi sovar os pães que fiz, tô me sentindo mal por isso, mas hj eu tava morta, dormi a tarde toda, pelo menos não comi nada de muito calórico.
Inclusive olha como meus pães ficaram bonitos 😁
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