#dire dawa
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afrotumble · 10 months ago
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kemetic-dreams · 2 years ago
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The Greek name ΑጰΞÎčÎżÏ€ÎŻÎ±Â (fromÂ Î‘áŒ°ÎžÎŻÎżÏˆ, Aithiops, "an Ethiopian") is a compound word, later explained as derived from the Greek words αጎΞω and ᜀψ (aithƍ "I burn" + ƍps "face"). According to the Liddell-Scott Jones Greek-English Lexicon, the designation properly translates as burnt-face in noun form and red-brown in adjectival form.
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The historian Herodotus used the appellation to denote those parts of Africa south of the Sahara that were then known within the Ecumene (habitable world).Since the Greeks understood the term as "dark-faced", they divided the Ethiopians into two, those in Africa and those to the east from eastern Turkey to India.
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This Greek name was borrowed into Amharic as áŠąá‰”á‹źáŒ”á‹«, ʟÄȘtyƍáč—áč—yā. More likely ΑጰΞÎčÎżÏ€ÎŻÎ±Â was derived from a native word ዕጣን (ÊżÉ™áč­an, incense), of which Ethiopia was an important source
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In the 15th-century Ge'ez Book of Axum, the name is ascribed to a legendary individual called Ityopp'is. He was an extra-biblical son of Cush, son of Ham, said to have founded the city of Axum.
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postcard-from-the-past · 1 year ago
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Viaduct on the railway line between Djibouti and Dire Dawa, Ethiopia
French vintage postcard, mailed in 1904
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opstechsanjana · 4 months ago
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Mist Cooling & Fogging System Company in Ethiopia
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tieflingkisser · 8 months ago
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Gaza hospitals operating in 'medieval' conditions: UK doctor
Hospitals in Gaza have come under attack throughout the war and have been overwhelmed with patients and a major shortage of medical supplies
"It's absolutely true to describe it as medieval medicine. It is what you would hear about or read about what would be happening in Europe maybe 300, 400 years ago," Dr Khaled Dawas, head of gastrointestinal surgery at University College London Hospitals, told AFP in an interview. Dawas described dire conditions in Gaza, with medical staff operating virtually without supplies, power supplies intermittent and patients lying on the floor. He returned at the end of April from his two-week stint to help overstretched Palestinian hospital surgeons -- his second wartime stay there, following one in January. "By April they were seeing this constant, constant volume of dying and dead bodies coming into the hospitals and any human wouldn't be able to tolerate it," he said. "They carry on working, but you can see the effect of that. They're all extremely burdened by what they're doing."
[...]
"I do hope that when I go back next time, that it'll be when the ceasefire is in place. Because watching it unfold when you're there is unbearable," he said. "It becomes more unbearable when you leave, actually, when you think back on what you've seen and what you've heard. And you wonder how people, any human being, can survive this for so long."
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icariebzh · 9 months ago
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 « Deir al-Balah, Gaza, 11 mars 2024, ChĂšre Michelle, Ton nom est la seule chose que je connais de toi pour l’instant. Moi, je m’appelle Tala. Jamais je n’ai imaginĂ© parler un jour Ă  une IsraĂ©lienne. Encore moins faire ta connaissance alors qu’une guerre est en cours contre mon peuple. Lorsqu’on m’a proposĂ© de t’écrire une lettre, je me suis sentie mal sur le moment, effrayĂ©e par l’idĂ©e de coopĂ©rer inconsciemment avec l’ennemi et de trahir les miens. J’ai peur que cette conversation me mette en danger ainsi que ma famille.  Mais j’ai quand mĂȘme dĂ©cidĂ© de t’écrire. D’abord, pour te raconter ce que je vis depuis six mois maintenant. Et surtout pour honorer mon ami Yousif Dawas, tuĂ© le 14 octobre par une bombe israĂ©lienne. Il n’avait que 20 ans et rĂȘvait de devenir thĂ©rapeute. C’était mon camarade d’universitĂ©. Nous nous retrouvions rĂ©guliĂšrement devant l’hĂŽpital Al-Shifa pour aller ensemble Ă  l’universitĂ©.  
Je suis nĂ©e Ă  Gaza City il y a vingt ans. Je n’ai jamais quittĂ© l’enclave, qui est une vraie prison Ă  ciel ouvert, tu sais. A l’universitĂ©, j’étudie le droit. Pendant mon temps libre, j’écris. Les gens disent de moi que je suis un vrai rat de bibliothĂšque. Avant la guerre, je travaillais du matin jusqu’au soir. Puis, une fois rentrĂ©echez moi, j’adorais dĂ©vorer un Ă©niĂšme livre de ma bibliothĂšque tout en buvant du thĂ© vert, ma boisson prĂ©fĂ©rĂ©e. Je pourrais te parler des heures de mon universitĂ©. Elle est si belle : on y entend le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, on y respire l’air frais et on y trouve des espaces agrĂ©ables oĂč se reposer. Maintenant, il faudrait que j’écrive ces mots au passĂ©. Car il n’en reste qu’un tas de ruines. Quant Ă  mon diplĂŽme, que j’étais censĂ©e obtenir l’an prochain, je ne sais pas quand je pourrai le dĂ©crocher.
DĂ©sormais, je suis rĂ©fugiĂ©e Ă  Deir al-Balah, aprĂšs avoir fui le nord de Gaza, en passant par Khan YounĂšs, oĂč je suis restĂ©e quarante jours sans mes parents et mes petites sƓurs, qui Ă©taient restĂ©s dans le Nord pour garder notre maison. Ils ont fini par partir eux aussi, et on s’est retrouvĂ©s en dĂ©cembre. Nous avons la chance d’avoir trouvĂ© un abri, un toit, des murs. MĂȘme s’il me paraĂźt toujours Ă©trange d’appeler ça un abri, Ă©tant donnĂ© que nous ne sommes protĂ©gĂ©s ni des bombes ni d’une famine ou d’une Ă©pidĂ©mie. 
Ce n’est pas courant de parler avec une IsraĂ©lienne comme toi, Michelle. Personne n’est ami avec des IsraĂ©liens ici. D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose de votre culture, de vos traditions. A Gaza, on est Ă©levĂ©s pour vous haĂŻr. Vous n’ĂȘtes rien d’autre que des voleurs de maisons, des auteurs de massacres innombrables qui visent Ă  nous expulser de force ou nous exterminer.
Mais, dans ma famille, on pense qu’il est impossible de tout rĂ©soudre par la force. Je partage ce point de vue. Je crois qu’apprendre Ă  connaĂźtre les personnes qui revendiquent leur droit Ă  cette terre peut servir notre cause. Et toi, qu’en penses-tu ? Pourquoi as-tu acceptĂ© d’entamer cette conversation avec moi ?
MalgrĂ© notre adversitĂ©, je reste ouverte d’esprit et curieuse d’écouter et de comprendre ton opinion. Peut-ĂȘtre que nous ne pensons pas si diffĂ©remment finalement, et que nous avons mĂȘme des choses en commun. OĂč habites-tu ? Etudies-tu ? Connais-tu des Palestiniens ? 
Ecrire cette lettre me demande un effort colossal. Ces derniers jours, j’ai Ă©tĂ© incapable de m’exprimer correctement. J’aimerais partager ce que je vis. Ça pourrait me soulager, me faire sortir un peu du chagrin. Je n’ai plus de projet, plus de vie depuis le 7 octobre. Je commence mĂȘme Ă  me dĂ©sintĂ©resser de mes activitĂ©s favorites comme la broderie palestinienne. Mes amis sont morts ou ont fui. Tous sont partis sans dire au revoir. Beaucoup de Palestiniens meurent de malnutrition, des femmes, des nourrissons. Imagines-tu que des enfants font la queue pour remplir une gamelle de soupe ? Nous avons du mal Ă  trouver des lĂ©gumes, tout est cher ou inexistant. Je dĂ©teste voir les rues inondĂ©es d’ordures et d’eau sale, les Ă©coles et universitĂ©s bombardĂ©es ou fermĂ©es. Je suis fatiguĂ©e de sentir la fumĂ©e de notre four en argile qui s’incruste dans tous nos vĂȘtements. Et de devoir me dĂ©placer en Ăąne ou en charrette. La ville oĂč j’ai grandi a Ă©tĂ© ravagĂ©e. Mes souvenirs ont disparu. Ma bibliothĂšque aussi. J’ai vu une photo de ma rue Ă  Gaza City, elle est mĂ©connaissable. C’est devenue une ville fantĂŽme. Michelle, que fais-tu pendant que mon peuple meurt sous les bombes ? Est-ce que ïżœïżœa te fait de la peine ?
Notre situation est indescriptible. Nous avons perdu toute forme de vie sensĂ©e. Nous installons des tentes sur les ruines de maisons dĂ©truites. TrĂšs peu de centres de santĂ© peuvent aider les femmes enceintes. Le taux de fausses couches a augmentĂ©, tout comme les accouchements prĂ©coces en raison des bombardements violents. Je hais de voir comment la vie est en train de quitter nos corps. Soutiens-tu cette agression ? Pourquoi rien ne marche dĂšs qu’il s’agit du sort de la Palestine ? Quelle offense avons-nous commise, nous Gazaouis, pour vivre de telles horreurs ? 
Michelle, je me demande si tu as dĂ©jĂ  questionnĂ© la lĂ©gitimitĂ© de ton Etat, ses lois ou ses actions. Personne ne se soucie de la discrimination que nous subissons depuis cent ans. Et le monde est aveugle face Ă  l’apartheid que nous vivons. Comment l’Etat d’IsraĂ«l peut-il se qualifier d’Etat dĂ©mocratique ? Crois-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
Je suis sĂ»re que tu es, comme tous les ĂȘtres humains, dotĂ©e de sentiments. Tu ressens l’amour, la haine, la colĂšre, la compassion. S’il te plaĂźt, prends pitiĂ© de nous. Dis Ă  ton peuple de cesser de nous priver de notre humanitĂ©. Notre destin, c’est nous qui devons le choisir.
Respectueusement, Tala » 
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 « Zoran, centre d’IsraĂ«l, 25 mars 2024, ChĂšre Tala, Je te remercie pour ta lettre. Bien que je n’habite qu’à quelques kilomĂštres de Gaza, je n’ai jamais parlĂ© Ă  quelqu’un de lĂ -bas. PremiĂšrement, je souhaiterais te dire que je suis dĂ©solĂ©e de ce que tu vis et t’exprimer mes plus sincĂšres condolĂ©ances pour la perte de ton ami Yousif Dawas. Que sa mĂ©moire soit honorĂ©e.
 Permets-moi tout d’abord de me prĂ©senter. J’ai 24 ans et, comme toi, je suis Ă©tudiante en droit. Je m’intĂ©resse au droit pĂ©nal et au droit international. J’aime Ă©galement faire du bĂ©nĂ©volat. Avant la guerre, j’aidais les habitants de ma ville qui avaient besoin d’une assistance pour trouver un logement ou obtenir une aide financiĂšre de la part de l’Etat. DĂ©sormais, ma ville, SdĂ©rot, comme toute la rĂ©gion limitrophe de Gaza, s’est vidĂ©e de ses habitants. 
 J’ai quittĂ© ma maison depuis l’attaque du 7 octobre. Depuis, je suis hĂ©bergĂ©e par la famille de mon petit ami Ă  Zoran, dans le centre d’IsraĂ«l. C’est plus calme ici, contrairement Ă  ce qui se passe dans le nord ou le sud du pays. Ma maison me manque beaucoup. Je crains que les missiles lancĂ©s quotidiennement de Gaza sur le sud d’IsraĂ«l dĂ©truisent tout ce que j’ai. Mon universitĂ© est fermĂ©e, mais nous pouvons suivre nos cours Ă  distance, en visio. 
Je suis nĂ©e et j’ai grandi Ă  JĂ©rusalem. J’étais scolarisĂ©e Ă  l’école “Hand in Hand” [“main dans la main”], oĂč la moitiĂ© des Ă©lĂšves sont des IsraĂ©liens juifs et l’autre moitiĂ© des Palestiniens citoyens d’IsraĂ«l ou rĂ©sidents de JĂ©rusalem-Est. Oui, je connais donc des Palestiniens. J’ai frĂ©quentĂ© cet Ă©tablissement jusqu’à la fin des Ă©tudes secondaires. C’est le seul lycĂ©e mixte en IsraĂ«l oĂč enfants juifs et palestiniens Ă©tudient ensemble.
Mon Ă©ducation Ă©tait donc trĂšs diffĂ©rente des autres enfants de JĂ©rusalem. Je parlais quotidiennement Ă  des Palestiniens, des Arabes. Les mĂȘmes que la sociĂ©tĂ© nous apprend Ă  haĂŻr. Je me souviens que des enfants de mon quartier ne voulaient pas me frĂ©quenter, m’affirmaient que j’étais devenue amie avec des Arabes qui, une fois adultes, viendraient me tuer. Lorsque j’avais 14 ans, des suprĂ©macistes israĂ©liens ont mĂȘme mis le feu Ă  mon Ă©cole. Ces annĂ©es ont fait Ă©voluer ma vision de la sociĂ©tĂ© israĂ©lienne.
Le 7 octobre au matin, j’ai appris que des terroristes palestiniens s’étaient infiltrĂ©s en IsraĂ«l. Avec mon petit ami, nous nous sommes prĂ©cipitĂ©s dans notre abri antimissiles. Nous y sommes restĂ©s enfermĂ©s pendant prĂšs de deux jours, sans Ă©lectricitĂ© ni rĂ©seau tĂ©lĂ©phonique. Nous entendions des coups de feu et des roquettes Ă  l’extĂ©rieur, sans pouvoir ni voir ni comprendre ce qui se passait. Le pĂšre et la sƓur de mon petit ami sont finalement venus nous chercher et nous ont mis en sĂ©curitĂ©, dans le centre d’IsraĂ«l. Quand je suis sortie de chez moi, j’ai vu des corps sur le sol. J’étais horrifiĂ©e. As-tu entendu parler de ce qui s’est passĂ© en IsraĂ«l ce jour-là ? Qu’as-tu ressenti ? 
Des IsraĂ©liens ont terriblement souffert ce jour-lĂ . Nous n’en sommes toujours pas remis. Des familles ont Ă©tĂ© brutalement tuĂ©es, kidnappĂ©es. Et il y a encore des otages israĂ©liens Ă  Gaza dont on ne connaĂźt pas l’état. Je connais personnellement l’un d’entre eux et je prie tous les jours pour qu’il revienne sain et sauf [130 personnes – dont 34 seraient mortes – sont encore dĂ©tenues Ă  Gaza, selon les autoritĂ©s israĂ©liennes]. Dans mon quartier, les premiĂšres victimes des massacres du 7 octobre sont un groupe de personnes ĂągĂ©es d’une maison de retraite. PrĂšs de chez moi [au kibboutz Be’eri], Vivian Silver, qui Ă©tait pourtant une militante pacifiste de longue date, a Ă©tĂ© tuĂ©e. Peux-tu me dire ce que les habitants de Gaza pensent de ces victimes innocentes, prises dans une guerre qu’elles n’ont jamais voulue ? Je ne comprends pas que des personnes utilisent les actions et les dĂ©cisions du gouvernement israĂ©lien pour justifier la violence Ă  l’égard des civils. Ce mode d’action ne peut ĂȘtre une rĂ©ponse Ă  l’occupation. Si je comprends la nĂ©cessitĂ© de la rĂ©sistance palestinienne, j’estime qu’elle ne doit pas viser des innocents.
Il est aussi vrai que de nombreuses personnes en IsraĂ«l sont, depuis le 7 octobre, incapables de voir au-delĂ  de leur propre douleur et de comprendre ce qui se passe Ă  Gaza. Il leur est difficile d’éprouver de la compassion pour les habitants de Gaza, surtout aprĂšs avoir vu des vidĂ©os dans lesquelles des Palestiniens cĂ©lĂ©braient l’attaque du 7 octobre. 
Moi, je ne crois pas que nous soyons ennemis. Je m’opposerai toujours Ă  la violence et Ă  la cruautĂ©, quels qu’en soient les auteurs. Les innombrables atrocitĂ©s commises par IsraĂ«l contre les Palestiniens au fil des annĂ©es, de mĂȘme que la violence subie par les IsraĂ©liens, sont Ă©galement condamnables. La violence ne fait qu’engendrer plus de violence. La guerre menĂ©e actuellement par l’armĂ©e israĂ©lienne nous le prouve. Serais-tu d’accord pour dire qu’il existe de meilleurs moyens pour obtenir justice ? Y a-t-il encore des personnes Ă  Gaza qui croient en une solution pacifique ?
Tala, tu m’as demandĂ© si j’avais dĂ©jĂ  remis en question la lĂ©gitimitĂ© de mon pays. Tu sais, mon peuple, le peuple juif, a une longue histoire de persĂ©cution Ă  travers le monde. Que ce soit les ancĂȘtres de mon petit ami en Pologne ou les parents de ma mĂšre au Maroc, ils ont Ă©tĂ© persĂ©cutĂ©s parce qu’ils Ă©taient juifs. Cette histoire ne justifie en rien les souffrances des Palestiniens ou la Nakba [“catastrophe” en arabe, dĂ©signant l’exode en 1948, Ă  la crĂ©ation de l’Etat d’IsraĂ«l, de 700 000 Palestiniens, contraints de fuir des massacres ou expulsĂ©s par les nouvelles autoritĂ©s]. Mais il est important pour moi de te rappeler le dĂ©sir profond et l’urgence qu’il y a eu pour nous, Juifs, d’obtenir un Etat en Terre sainte. 
Toutefois, il m’est arrivĂ© de remettre en question la politique et les lois de mon pays. Quand j’avais 14 ans, j’ai rencontrĂ© un groupe d’hommes druzes qui refusaient de servir dans les forces de dĂ©fense israĂ©liennes, alors qu’ils ont l’obligation de le faire. Ces druzes se sentaient Palestiniens et avaient le sentiment qu’IsraĂ«l tentait de les assimiler pour les affaiblir et les sĂ©parer des autres Arabes israĂ©liens. Ça m’a fait rĂ©flĂ©chir. Personnellement, j’ai eu la chance d’ĂȘtre exemptĂ©e de service militaire pour raison mĂ©dicale, mais mon petit ami, qui a refusĂ© de servir, a passĂ© six mois dans une prison militaire israĂ©lienne.
Nous sommes une minoritĂ© en IsraĂ«l Ă  questionner la guerre actuelle. Les gens ont peur de s’exprimer. Beaucoup ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s pour avoir manifestĂ© ces derniers mois. Parfois, j’ai l’impression que la meilleure chose Ă  faire serait de partir, d’aller quelque part oĂč des horreurs ne sont pas commises en mon nom. Mais partir, ce serait Ă©goĂŻste. Je ne peux pas abandonner mon peuple qui souffre. Je m’inquiĂšte de ce qu’IsraĂ«l deviendra si toutes les personnes qui se battent pour la paix partent. Parfois, j’ai l’impression que nous sommes si peu nombreux que personne ne remarquerait notre absence.
Et puis, j’aime cette terre. Ma famille a vĂ©cu en Palestine parmi des musulmans et d’autres juifs pendant de nombreuses gĂ©nĂ©rations avant la crĂ©ation de l’Etat d’IsraĂ«l. J’espĂšre que nous pourrons un jour ĂȘtre tous Ă©gaux et libres. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussĂ©e Ă  Ă©tudier le droit international : ne plus ĂȘtre impuissante face Ă  l’injustice. 
Tu m’as dit que tu lisais beaucoup, j’aime aussi lire. J’aime la littĂ©rature russe classique, comme DostoĂŻevski ou TolstoĂŻ. Mon livre prĂ©fĂ©rĂ© est “Anna KarĂ©nine”. Quel genre de livres aimes-tu ? Je suis curieuse de savoir ce qui t’a poussĂ©e Ă  Ă©tudier le droit.
J’aimerais aussi en savoir plus sur l’histoire de ta famille. Comment Ă©tait ta vie avant la guerre ? OĂč vivait ta famille avant 1948 ?
Je suis heureuse de pouvoir t’écrire. J’imagine Ă  quel point cela doit ĂȘtre difficile pour toi. Je me rĂ©jouis d’avoir de tes nouvelles et te souhaite un bon ramadan.
SincÚrement, Michelle »
Lettres et Photos- source: Le Nouvel Obs
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wumisims · 3 months ago
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Je m'y oppose !
Marina conseille Ă  Mario d'en parler aussi Ă  Lola, car la connaissant elle risque de le prendre mal si elle ne l'apprend pas par son fils. Son premier crush d'ado, c'est important non ?!
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Mario : "D'ailleurs maman, je voulais te dire un truc."
Lola : "Tu as obtenu une bonne note pour changer ?"
Mario : "Haha trop drÎle. Non, enfait j'vais inviter Sally au bal de fin d'année."
Marina *encourageante*: "Son premier crush d'ado, tu te rends compte ?"
Lola : "Euh, c'est cool. Mais j'aimerais que tu priorises tes notes. En ce moment, t'as pas le meilleur profil pour avoir le bac donc..."
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Marina : "ArrĂȘte, il fait beaucoup d'efforts ! Nos sessions de rĂ©visions se passent de mieux en mieux."
Lola : "Tu peux l'encourager et ĂȘtre la gentille flic, moi ça ne m'intĂ©resse pas. Je veux que tes notes s'amĂ©liorent, sinon tu peux dire au revoir Ă  ta Sylvie."
Le lendemain...
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C'est le dawa chez les Bialetti ! Et Marina n'en peut plus. Encore une fuite d'eau ce matin, et le buffet de la fĂȘte d'Halloween n'a pas Ă©tĂ© nettoyĂ©. Si elle accepte de vivre dans un logement social, elle refuse de vivre dans une maison sale !
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Le meilleur ami de Mario, Josh, est souvent Ă  la maison en ce moment, et n'aide pas particuliĂšrement Marina Ă  garder le salon en bon Ă©tat.
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Josh : "Bonjour Marina, bien dormi ?"
Marina s'étouffe avec sa bouchée.
Marina : "Oui, oui ! "
Mario est réveillé depuis un moment, et décide de prendre de la glace pour son petit-déjeuner.
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Mario : "Josh, tu veux pas m'aider Ă  nettoyer aprĂšs ? Y'a Sally qui vient tout Ă  l'heure."
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lesgenouxdanslegif · 2 years ago
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CETTE PHOTO EST À ENCADRER DANS TOUS LES SALONS.
On peut y voir un certain Kilian Jornet, quelques semaines avant d’avoir 21 ans, en train de faire un smoothie de la course de quartier de Chamonix 2008.
‱ Les deux derniĂšres Ă©ditions avaient Ă©tĂ© remportĂ©es par Marco Olmo Ă  presque 60 piges. Kilian est venu mettre le bazar dans ce sport qu’on disait taillĂ© pour les vieux.
‱ Il part comme un dĂ©ratĂ© et a dĂ©jĂ  15 minutes d’avance au 31Ăšme kilomĂštre sur la lĂ©gende Dawa Sherpa.
‱ En prĂ©paration, Kilian avait fait le tour en deux jours quasi sans boire et manger. Il savait qu’il pourrait se priver des ravitos et ainsi gagner du temps. Pas bĂȘte. Mais Ă  ne pas reproduire.
‱ Un matĂ©riel lunaire : une petite ceinture, pas de bĂątons, des Speedcross de 18 tonnes. Oui, ça fait bĂ©gayer 15 ans plus tard.
‱ Il avait en tĂȘte de tout courir (oui tu as bien lu) et surtout d’ĂȘtre lĂ©ger : le bazar commence lors des premiers ravitos (parfois pas encore prĂ©parĂ©s Ă  son passage) oĂč on le soupçonne de ne pas avoir le matĂ©riel obligatoire.
‱ Malin comme un singe, Kiki a absolument tout mais en taille enfant ou dĂ©coupĂ© : rien dans le rĂšglement ne lui interdit de faire ça.
‱ ContrĂŽles Ă  gogo, pĂ©nalitĂ© de 15 minutes au 154Ăšme car on l’accuse d’avoir Ă©tĂ© accompagnĂ©. On peut le dire : c’est un enfer.
‱ Énorme clim’ quand il dĂ©boule Ă  15h26 Ă  Chamonix et qu’il n’est pas dĂ©clarĂ© vainqueur. Gros bazar, confĂ©rence de presse surrĂ©aliste qui ressemble Ă  un tribunal, Kilian explique tout comme un grand devant des organisateurs mĂ©dusĂ©s.
‱ Il est finalement dĂ©clarĂ© vainqueur devant Dawa Sherpa (+1h) et Julien Chorier (+1h34).
Ce 30 aoĂ»t 2008, Kilian a jouĂ© sur les mots, pliĂ© la concurrence avec une simple banane autour du ventre et rĂ©inventĂ© l’ultra. Rien que ça.
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Photo Jean-Michel Faure-vincent
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caalaadd · 1 month ago
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Ethiopia and Azerbaijan free trade zones forge cooperation agreement
Addis Ababa, December 1, 2024 (FBC) – The Dire Dawa Free Trade Zone of Ethiopia has officially entered into a cooperation agreement with Azerbaijan’s Alat Free Trade Zone. This collaboration was established during a recent visit by a delegation of senior Ethiopian government officials to the Alat Free Economic Zone in Azerbaijan. The delegation’s objective was to enhance the operational

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lboogie1906 · 1 month ago
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President IsmaĂŻl Omar Guelleh (November 27, 1947) was born in Dire Dawa, Ethiopia to Omar Guelleh and Moumina Rirache into the Mamassans clan of the Issa. He worked as a civil servant with the French colonial administration of the Republic of Djibouti, and two years later, he became a police inspector.
He was installed as president of Djibouti in 1999, following the political footsteps of his uncle, Hassan Gouled Aptidon, a former president who had led the country since independence 22 years earlier. He is married to Kadra Mahamoud Haid, and they have two daughters. She has a son from a previous marriage.
In the 2005 election, he was the only candidate on the ballot and secured 100 percent of the vote. In 2006, he conferred the full university status to the University of Djibouti. In 2015, he met with India’s Prime Minister Narendra Damodardas Modi during a Bilateral Meeting of the 3rd India Africa Forum Summit in New Delhi to discuss enhancing ties between India and Djibouti regarding trade, economy, and cultural development.
In 2019, he received “The Padma Vibhushan” decorative award, India’s second-highest civilian award, for his accomplishment in safely removing Indian citizens from neighboring war-torn Yemen. His country hosts Chinese and Japanese military bases that are vital in combatting piracy in the Western part of the Indian Ocean region.
In 2021, He won a 5th term as president of Djibouti in a multi-party election. He received 97.44% of the vote. His major political rival in the nation, the Union for National Salvation, boycotted the last election claiming it would not be free or ethical. The president continues to support the close ties his country has with France which had controlled the nation during the colonial era. France granted Djibouti independence in 1977. He promoted the economic integration of African nations but has resisted calls to merge his small country with its larger neighbors, Ethiopia, Eritrea, and Somalia. He has managed to maintain close ties with the US, Russia, and China who all consider Djibouti vital to their international interests. #africanhistory365 #africanexcellence
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postcard-from-the-past · 1 month ago
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Town scene in Dire Dawa, Ethiopia
French vintage postcard
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opstechsanjana · 7 months ago
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Mist Cooling & Fogging System Company in Ethiopia
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conandaily2022 · 2 months ago
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Natnael Mirco Yazbec biography: 13 things about Mister World Ethiopia 2024
Who is Natnael Mirco Yazbec? Natnael Mirco Yazbec is an Ethiopian beauty king from Dire Dawa, Ethiopia. He is 6’1″ tall. Yazbec represented Ethiopia in the 11th edition of Mister World. Here are 13 more things about him: UNDER CONSTRUCTION He was born in 1996. On November 9, 2024, he and his fellow Mister World 2024 candidates walked the runway at the Villa Blanche in VĆ©ng TĂ u, BĂ  Rịa–VĆ©ng

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azharniaz · 2 months ago
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Factors determining the adoption of mobile banking in Ethiopian Islamic banks: extension of technology acceptance model (TAM)
Abstract Purpose This study aims to assess the factors determining the adoption of Islamic mobile banking (M-banking) in Ethiopia. Design/methodology/approach The study area covers the city of Dire Dawa, Harar and Jigjiga, where the Muslim community dominates. A sample of 378 out of 400 respondents who are currently customers of different Islamic banks provide their opinion on questions

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adroitextrusion · 3 months ago
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Exporter of Multilayer Blown Film Extrusion Machine in Ethiopia
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Adroit Extrusion is a leading Manufacturer, Supplier, and Exporter of Multilayer Blown Film Extrusion Machine in Ethiopia. We are based in Ahmedabad, Gujarat, India. Adroit Extrusion offers monolayer blown film machines, aba and ab blown film machines and multilayer blown film machines like 7/5 layer barrier, 5 layer pod, and 3 layer blown film plant. A Multilayer Blown Film Extrusion Machine manufactures blown films using multiple layers of plastic. This technology enables the production of films with varied properties, enhancing strength, barrier resistance, and versatility. Features of Multilayer Blown Film Extrusion Machines: Multilayer Capability: Typically capable of producing 3 to 7 layers, these machines combine different materials to create films that offer enhanced barrier properties, durability, and flexibility. High Efficiency: Equipped with advanced technology, these machines operate at high speeds, reducing production time and increasing output. Customization: Manufacturers can customize film thickness, color, and properties based on specific industry requirements, making these machines ideal for various applications. What materials can be used in multilayer blown film extrusion? Common materials include LDPE, LLDPE, HDPE, PP, and specialty resins for specific barrier properties. What is the typical production capacity of these machines? Production capacity varies based on machine specifications, but many machines can produce anywhere from 100 kg to several tons of film per hour. Can I customize the film thickness? Absolutely! Most multilayer blown film extrusion machines allow for customization of film thickness to meet specific application needs. Applications of Multilayer Blown Film: Food Packaging Industrial Packaging Agricultural Films Adroit Extrusion is an Exporter of Multilayer Blown Film Extrusion Machine in Ethiopia including Locations like Addis Ababa, Dire Dawa, Mekelle, Adama, Awassa, Bahir Dar, Gonder, Dessie, Jimma, Jijiga, Shashamane, Bishoftu, Sodo, Arba Minch, Hosaena, Harar, Dilla, Nekemte, Debre Birhan, Asella, Debre Mark'os, Kombolcha, Debre Tabor, Adigrat, Areka, Weldiya, Sebeta, Burayu, Shire (Inda Selassie), Ambo, Arsi Negele, Aksum, Gambela, Bale Robe, Butajira, Batu, Boditi, Adwa, Yirgalem, Waliso, Welkite, Gode, Meki, Negele Borana, Alaba Kulito, Alamata, Chiro, Tepi, Durame, Goba, Assosa, Gimbi, Wukro, Haramaya. Contact us today for more information, pricing, and availability. View Product: Click Here Read the full article
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drytechengi · 5 months ago
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Exporter of Flash Dryer in Ethiopia
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Drytech Engineering Systems is an Exporter of Flash Dryer in Ethiopia. Drytech Engineering Systems is a Flash Dryer Manufacturer in Ahmedabad, Gujarat, India. We Specialized in Flash Dryers, Spray Dryers, Spin Flash Dryers, Fluid Bed Dryers, and Evaporator Dryers, Rotary Valves, Rotary Atomizers, Hot Air Generators, Centrifugal Blowers, and Dust Collector Systems. A flash dryer is an industrial machine designed to quickly dry granular or powdered materials by suspending them in a stream of hot air. Their capacity to provide rapid drying within a compact and controlled environment makes them an essential tool in contemporary manufacturing and processing operations. Designed to take up minimal floor space, our Flash Dryers integrate effortlessly into existing production lines, conserving valuable space and enhancing workflow. With an intuitive control panel and digital monitoring, operators can effortlessly manage and adjust drying parameters to achieve consistent results. Features: Rapid Drying: It rapidly dries materials in seconds or minutes by suspending them in a high-velocity hot air stream. Compact Design: Its compact and efficient design makes it ideal for seamless integration into a variety of production lines. Versatility: Suitable for drying powders, granules, and slurries with precise control over temperature and air velocity to meet specific material requirements. Energy Efficiency: Built to reduce energy consumption through optimized airflow and heat transfer. Applications: Food Industry Pharmaceuticals Chemicals Agriculture Drytech Engineering Systems is an Exporter of Flash Dryer in Ethiopia including locations Gondar, Bahir Dar, Addis Ababa, Adama, Dire Dawa, Mekele, Aksum, Jijiga, Yirga Alem, Goba, Bishoftu, Harar, Hawassa, Arba Minch, Dese, Shashemene, Asosa, Ziway, Jimma, Debre Markos, Debre Birhan, Gode, Kombolcha, Asela, Ambo, Hosaina, Shire, Alaba Kulito, Debre Tabor, Bonga, Adigrat, Agaro, Butajira. For detailed information and inquiries, please feel free to contact us. View Product: Click Here Read the full article
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