#dictature de la pensée unique
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Québec sous la dictature de la CAQ:le retour du balancier
Message aux journalistes congédiés par TVA,Québécor,etc À tous ceux qui ont perdu leur emploi chez @Québecor hier, sachez que j’ai ZÉRO pitié pour vous. Vous avez appuyé le gouvernement dans sa folie sanitaire, et vous nous avez fait sentir comme du moins que rien alors qu’aujourd’hui je vous rends la pareille. Allez brailler ailleurs ! La propagande évidente pour la CAQ Hey boy,…
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#conspiration#Défenseurs de la Terre#dictature de la pensée unique#gouvernement corrompu#haine systémique antivax#Michel Duchaine#Pierre Karl Péladeau#Québécor#Québec#Sociétés secrètes
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Le ministre parle, la caravane passe…
Catastrophe, c'est la catastrophe !
[Une prof en France] Temps de lecture = 3 minutes Rien ne devrait changer dans nos écoles sauf le nivellement par le bas qui va encore s’accentuer. Virginie Fontcalel Pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique :Cliquer ICI pour nous soutenir ⬆︎⬆︎⬆︎⬆︎⬆︎⬆︎⬆︎ Le ministre parle, la caravane passe… [Une prof en France] J’ai entendu notre ministre parler, enfin,…
#éducation nationale#boulevard voltaire#la caravane passe#Observatoire du MENSONGE#une prof en France#Virginie Fontcalel
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309 Les hommes politiques
Une scène savoureuse s’est passée un jour à Hyde Park à Londres lors d’un meeting politique en plein air. Juché sur une estrade de fortune un homme haranguait la foule en ces termes :
- « Mesdames et Messieurs, quand nous aurons la liberté… puis, avisant un Londonien en chapeau boule qui fumait un cigare à la Winston Churchill, Ladies and Gentlemen, nous fumerons tous des cigares comme ça ! »
De la foule, une voix criarde à l’accent faubourien lança une réplique qui suscita l’hilarité générale :
- « Oh, je préfère mon mégot ! »
L’orateur, apparemment impassible continua :
- « Mesdames et Messieurs, quand nous aurons la liberté, nous passerons toutes nos vacances à la mer. »
- « J’aime mieux mon jardin ! » Cria la même voix.
- « Mesdames et Messieurs, poursuivit le tribun, Mesdames et Messieurs, quand nous aurons la liberté… (Signalant une Rolls Royce qui passait) nous aurons tous des bagnoles comme ça. »
- « J’aime mieux ma bécane ! »
Ce fut l’explosion. Furibond, l’orateur pointant le doigt du côté d’où venaient les répliques acides hurla :
- « Camarade, quand nous aurons la liberté, vous ferez ce qu’on vous dira ! »
Voilà, ce que la pensée unique va nous conduire : Dans une dictature ou nous perdrons toute liberté de penser, d’agir et de croire ! Beaucoup de ceux qui ont essayé de goûter à la politique ont fait des expériences amères. Ils se sentent vides et lassés.
Leur candidat n’a pas été élu, ou bien il a été incapable de tenir ses promesses. La politique est un terrain dangereux, inapte à produire des résultats durables. La raison principale est que la politique nie toutes références au créateur du ciel et de la terre !
Écoutons ce que nous dit le Proverbe 9 au verset 10. « Le commencement de la sagesse, c’est la crainte de l’Éternel ! »
Ou alors l'Épître de Paul aux Romains chapitre 1 verset 22. « Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous. »
Lisez ce chapitre extraordinaire de l'Épître de Paul aux Romains, qui nous donne les clefs de toutes les folies de ce que nous voyons de nos yeux aujourd’hui dans nos pays d’Europe !
Les chrétiens sont rejetés, traités d’attardés mentaux ! Mais, ce n’est pas le plus grave, cela doit au contraire nous encourager à nous approcher de Dieu et il s’approchera de nous ! Nous dit, l'Épître de Jacques 4 :8
Nous devons encore plus mettre en route le véritable Évangile qui nous invite à donner réellement nos vies, et il nous accordera une grâce encore plus excellente, car Dieu résiste aux orgueilleux, mais fait grâce aux humbles ! La grâce inépuisable de Dieu se renouvelle chaque matin !
Les lamentations de Jérémie 3:22-23 :
« Les bontés de l'Éternel ne sont pas épuisées, Ses compassions ne sont pas à leur terme; Elles se renouvellent chaque matin. Oh ! Que ta fidélité est grande ! »
Jésus-Christ seul offre à ceux qui le reçoivent, une satisfaction profonde, une paix durable et un but qui ne déçoit jamais. Ce que Jésus-Christ offre survit à tous les régimes et à toutes les révolutions.
Lui, reste la valeur stable. Il reste le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Faisons-lui confiance, donnons-nous pleinement à Lui, et nous serons les instruments du Seigneur ! Retrouvons notre vision que nous avions reçue lors de notre conversion. Et nous serons utiles pour l'œuvre du royaume de Dieu !
#Foi #JésusChrist #Valeur #Évangile #Bible #Romains1 #Lamentations3 #GrâceDeDieu #Espoir #PaixIntérieure #Sagesse
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L'Obsession du Woke
Depuis quelques années, un terme s'est immiscé dans nos débats publics : le "Woke". Initialement, le terme était associé à la prudence face à l’injustice, mais il devient rapidement l’emblème d’une nouvelle idéologie dominante, plus intransigeante et solidement implantée. Le mouvement tente de saper les fondements de notre société, tels que la liberté d’expression, les opinions pluralistes et le discours intellectuel, en fusionnant ses revendications en matière de justice sociale.
La Dictature de la Pensée Unique
Le wokisme est passé de la mise en avant des inégalités à d’autres aspects. Il est devenu une véritable police de la pensée, surveillant en permanence tout écart par rapport aux canons de la doctrine de de l'ultra gauche. Ceux qui remettent en question certains dogmes sont rapidement réduits au silence, souvent par l'intimidation ou la censure. Les universités étaient autrefois considérées comme un lieu de débat et de diversité de points de vue. Elles sont désormais des champs de bataille où seules les identités qui pensent comme eux sont acceptables. Les étudiants et les professeurs qui osent être en désaccord avec le consensus sont qualifiés de réactionnaires, voire exclus. Ces institutions ne parlent pas de choses contradictoires, elles sont juste là pour éduquer, pas pour débattre.
L'Inquisition Numérique
La situation est encore plus préoccupante dans le domaine en ligne. Les réseaux sociaux sont le nouveau refuge des militants woke, protégeant les idées dissidentes du public. Ces derniers, armés de hashtags et de tweets offensants, lancent des campagnes « de Cancel-culture » pour détruire la réputation de ceux qu'ils estiment coupables de « mauvais pensant ». Un commentaire déplacé peut ruiner la vie des journalistes, des écrivains, des artistes et des gens ordinaires. Paradoxalement, ces censeurs autoproclamés utilisent des tactiques qui rappellent celles employées par les plus terribles dictatures, prétendant lutter pour la justice et l’inclusivité. Ils imposent une vision déformée du monde, ignorant tous les aspects et considérant le conflit comme une attaque, tout cela au nom du progrès.
La Tyrannie de l'Émotion
Le mouvement Woke repose sur la conviction que les actions individuelles sont plus importantes que les informations objectives. Les infractions deviennent absolues et si quelqu'un se sent offensé, cette offense ne peut être contestée par leur mouvement. Cette tyrannie de l'émotion mène à une société où l'on ne peut plus aborder certains sujets sans risquer d'être sur un banc d'accusé médiatique. Le problème de cette approche est qu’elle fait obstacle à toute discussion. Si tout point de vue opposé est immédiatement rejeté comme haineux, comment pouvons-nous engager des discussions sur des questions complexes telles que le racisme, le féminisme ou le transgenre ? Cette logique émotionnelle arrête le débat et aboutit à une sorte d’obscurantisme contemporain.
Une Menace pour la Démocratie
En imposant ses diktats, le mouvement Woke mine non seulement la démocratie, mais également les piliers de la civilisation même. Finalement, une société libre est celle dans laquelle les gens peuvent débattre et critiquer, contester ou soutenir tout ce qu’ils veulent. Dès que ces libertés sont retirées, la base de la société s’effondre. Elles doivent être déclarées et affirmées plus fermement: la pluralité des opinions est une force. La censure, à savoir celle de l’État ou des activistes, est un poison. Ce n’est pas à dire que les idées doivent être protégées de tout; c’est le contraire.
Pour un Retour au Bon Sens
En prétendant être le défenseur des opprimés, le mouvement Woke a créé une nouvelle forme de tyrannie sur l’esprit. Face à cette menace, il est de notre responsabilité de réaffirmer les valeurs qui ont fait la force de notre société: la liberté d’expression, la tolérance de l’opinion dissidente, et la réalité des faits avant les émotions. Nous ne pouvons pas vivre dans un monde où le moindre écart est passible du bûcher médiatique et social. Nous devons nous battre pour sauver notre démocratie et garantir le droit de chacun de s’exprimer sans craindre la radiographie. Read the full article
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Dans un Panthéon secret...
Il y a bien longtemps, j'avais été frappé par une idée du cinéaste américain Woody Allen. Dans son film ''Manhattan'', il devisait avec la ravissante Diane Keaton de l'existence d'une ''Académie personnelle '' où il conviendrait que soient archivés soigneusement les plus authentiques ''Nuls'' qu'ils avaient connus, une sorte de ''Dîner des cons'' répertorié. Ils avaient appelé cet anti-panthéon ''the over-rated Academy'' (l'académie des gens sur-cotés''). L'idée m'est alors venue d'une ''Under-rated Academy de mes choix à moi'', pour les auteurs que j'estimais sous-évalués, où entreraient les auteurs que j'aime, ce dernier facteur, anti-démocratique s’il en fût, étant la seule condition d'accès à ce Panthéon secret... et totalement inutile !
Les lecteurs de ce blog ont fini par connaître, le temps et les ''billets'' passant, bon nombre des gens qui y ont leurs petites entrées sans le savoir, ce qui n'a aucune importance, puisque c'est secret, c’est gratuit et, malheureusement, tout-à-fait inintéressant, puisque je ne suis que... ''qui je suis'', c'est-à-dire : personne ! Mais grâce à cette astuce, je retrouve là –sans qu'aucun ne s'en soit jamais douté ni plaint-- les auteurs que j'ai admirés et dont j'ai envié l'intelligence, le style, la ''vista'', la clairvoyance ou la capacité d'analyse et de compréhension des événements. J'ai eu l'honneur d'en ''croiser'' quelques uns (Raymond Aron et Jean Fourastié aux Hautes Etudes, ou mon regretté ami Jean Raspail), les autres, les plus nombreux, n'étant là qu'après lecture de leurs œuvres. Parmi ces derniers, deux ont une place de choix (près du poêle ?) : l'immense GK Chesterton –a qui nous consacrerons un ''billet'', c'est promis- et Georges Bernanos, qui y a droit aujourd'hui, le pauvre !
Tout ceci pour vous dire qu'un superbe livre vient de ''sortir''(mon statut d'ancien DG à Hachette me permettant de recevoir bien des parutions avant leur mise en vente, ceci expliquant cela) : ''Vivre et mourir avec Georges Bernanos'', de Sébastien Lapaque (Ed. L'escargot), et que je l'ai dévoré, car, dans ce monde en décadence, les pseudo-indignés pullulent, les faux révoltés sont partout, et les juges sans jugement, les censeurs sans loi, les justiciers sans cause nous inondent de leurs certitudes douteuses, pendant qu'une Presse imbécile leur donne la parole surtout s'ils n'ont rien à dire. Partout, la fausse vertu et les fausses valeurs s'étalent et se répandent. Mais où sont les pamphlétaires, depuis que Philippe Murray s'en est allé ? Un exemple parfait de ''visionnaire'', cette figure si nécessaire et donc si reniée, était Bernanos, ce défenseur de la Liberté qui ''écrivait les vérités d'après demain''.
L'auteur du célèbre “Journal d'un curé de campagne” était un catholique convaincu, un peu royaliste sur les bords (deux mots qui suffisent aujourd'hui à le classer parmi les infréquentables officiels, ceux qui sentent mauvais), fruit d'une école politique contre-révolutionnaire qui opposait le concret, le local et l'innombrable à la pensée unique et à l'universalisme réducteur. Son univers de référence, plus proche de Saint Louis que de Macron, est celui de la chevalerie, de la noblesse de l'âme, de la courtoisie –on disait, autrefois, ''le respect humain''. L'homme, à ses yeux, est profondément libre, d'une vraie liberté que tout qualificatif ne peut que réduire –comme nous le vérifions chaque jour : à force de nous octroyer, en disant que c’est démocratiquement (tu parles !) des libertés de... et des droits à... sans aucune contrepartie, nous en avons perdu --''au nom de la liberté'', vous vous en doutiez !-- jusqu'au sens réel de ce que pouvaient vouloir signifier les mots : ''être libre''...
Bernanos condamne la tendance à l'envahissement de réglementations tous azimuts, chaque jour plus minutieuses et plus strictes (à en devenir tatillonnes), toutes élaborées au nom d'une espèce de socialisme d'Etat qui n'est en réalité que le dernier avatar en date d'une dictature qui préfère ne pas dire son nom, une tyrannie molle, un ''soft-absolutisme'' qui nous ratatine, et qui fait de nous des moutons... que quelqu'un finira bien par conduire à l'abattoir : Octave Mirbeau avait annoncé que ce destin était inévitable, et on sait que lorsque quelque chose existe, il ne se peut pas que ça ne serve pas un jour (ceci est un conseil de prudence à ceux qui affirment sans raison que la guerre nucléaire n’aura pas lieu --puisqu’ils n’en veulent pas ! : Même Xi JinPing et Biden, pourtant limités, l’ont compris, hier).
En 1945, la France enfin libérée se grise de progrès technique, et se prépare à abandonner le Dieu de ses Pères pour une foi qui va vite devenir quasi-religieuse dans le dieu-progrès, le dieu-technique et la réponse automatique. (NDLR -... faux dieux qu'elle perdra bientôt pour d'autres déités encore plus anthropophages : les droits de l'homme, le vivre ensemble, le ''social'', le climat, ou le ''et en même temps''... et autres fariboles prétendues ''sociétales'', en vérité toutes mortifères !). C'est le moment (1947) que choisit Bernanos pour publier son meilleur ouvrage (d'après moi...) : ''La France contre les robots'', dans lequel il nous avertit sagement que ''Ce que le monde gagne pour la technique est à jamais perdu pour la liberté'' !
L'accueil fut très loin d'être à la hauteur de cette œuvre formidable ! Le philosophe ‘’catholique de gauche’’ (?) Emmanuel Mounier se fendra même d'un ''La petite peur du XX ème siècle'' : ''le Kodak éduque l'œil et la sensibilité de milliers de jeunes gens (…) la vitesse décantonnalise les mentalités et met le monde à portée de tous'', ce à quoi Bernanos répondra ''La termitière future m'épouvante, et je hais la vertu des robots. La civilisation moderne est une conspiration universelle contre toute vie intérieure''. On sait aujourd'hui lequel des deux fut prophétique ! ''De notre histoire de bâtisseurs, in ne restera bientôt plus que la manifestation débraillée, hurlante, de plus en plus violente de la grande peur de bien-pensants minuscules''.
Trois quarts de siècle plus tard, ces immenses querelles sur le devenir de l'Homme ne sont toujours pas tranchées définitivement, même si les dix dernières années semblent avoir sonné le glas de ce que fut –et de ce qu'aurait pu être l'Humanité. A titre personnel (ce qui, ''moi'' étant ce que je suis, c’est-à-dire : rien, n'a pas la moindre importance autre qu'indicative, et encore...), je commence à comprendre que ce n'est pas l'intelligence qui a abandonné l'Humanité, c'est la communauté des vivants qui pouvait, seule, servir de terreau et de fondement fidèle à cette intelligence pour la faire ''fructifier'' (nous déclinions ce mot, dans un ''billet'' récent).
La conclusion que tire Bernanos (in-''Les grands cimetières sous la lune'') de ce qu'il prophétisait ou plutôt redoutait pour ''demain'' me semble dans la droite ligne de nos réflexions récentes sur ce que deviennent, ces temps derniers, la France, l'Europe … et le monde : ''Certes, ma vie est déjà pleine de morts. Mais le plus mort de tous est le petit garçon que je fus, qui a vu disparaître le monde qu'il aimait. Et pourtant, l'heure venue, c'est lui qui reprendra sa place, la première dans ma vie. Il sera le trait d'union entre toutes les pauvres années qui ont vu mon monde et le sien se séparer''. Peut-être, finalement, est-ce là qu'il faut chercher mon indulgence et ma pitié renouvelée pour cet ancien petit Moi bientôt nonagénaire, qui a vu peu à peu s'écrouler autour de lui tout ce qu'il aimait, tout ce en quoi il croyait que résidait le futur, et tout ce qu'il continue à trouver ''bon pour l'Homme et pour l'Humanité''... contre l'évolution actuelle d'un monde qu’il voit se perdre chaque jour un peu plus.
H-Cl
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Slt, Je sais que on se connais pas mais c'était une journée triste et je suis dessolée pour les résultats. Je connais bien ce genre de douleur aussi chaque fois on voit dans l'Espagne l'avance effrayante de l'extrême droite. Tout est bien difficile maintenant et c'est dur de savoir que les gens peuvent être si bêtes...et malgré tout Il faut qu'on résiste.
Pardonne moi l'intromission mais j'ai lu ta souffrance et j'ai senti que je devrais dire ça.
Nos pensées sont avec vous
Courage
Merci beaucoup, je sais que notre douleur c'est celle de millions de personnes au travers le monde dont les pays sont déjà sur la trajectoire choisie par la France, ou n'ont même pas le luxe du choix. Je ne vois plus que la rue pour faire entendre nos voix. Mais c'est incroyablement dur pour moi de faire le deuil de mes derniers espoirs - au fond j'avais des tendances profondément philanthropes, et leurs dernières réminiscences sont mortes hier soir, parce que plus que l'échec d'une population c'est l'échec d'un système qui pourtant est né de la révolution, d'un idéal de fraternité et de raison, mais qu'il a tenté d'étouffer dès ses premiers instants. C'est l'échec à l'échelle de l'espèce puisqu'on suit la trajectoire du reste du monde. Maintenant je me battrai pour ce qui est juste, éthique, moral, en essayant de concilier tout ça avec mes désillusions. Je veux faire du quotidien quelque chose d'un peu moins difficile, je veux aider à échelle individuelle : mais mes croyances, ou plutôt mon sentiment profond, celui qu'il ne sert à rien de se battre pour les masses au lieu de l'individu parce qu'elles se mangent la queue, est confirmé. Et c'est dur. Et je ne vais pas continuer de me raccrocher à quelque espoir et idéal concernant la nature humaine qui jusqu'ici avaient toujours mis un peu de couleur dans ma vision profondément pessimiste et essentialiste. Au fond je fais mon deuil, mais au moins maintenant je suis parfaitement en accord avec ce que m'a toujours crié ma conscience. C'est peut-être mieux pour la suite. Il n'y a pas de grand salut et de miracle humanitariste. On lutte, perpétuellement, c'est ainsi qu'on fonctionne et qu'on fonctionnera toujours, et ce faisant on aide qui on peut, l'on fait au mieux. Mais l'amour de l'autre ne fera jamais système. Je serai dans la rue pour ceux qui sont encore plus jeunes que moi, pour les animaux, les minorités. Je me concentrerai uniquement sur le présent. Parce que de regarder la grande masse humaine et de se souvenir qu'elle condamne ses enfants sans broncher - sous la République jusqu'à sous la dictature, ce qui est un aveu absolu - c'est trop dur.
Bref, merci beaucoup pour tes mots citoyenne, je ne baisse pas les bras, mais je me résigne, et les deux sont cohérents. Pensée fraternelle pour vous tous en Espagne
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Facebook, Tweeter, Instagram... vous pensiez que c’était la liberté, mais ce ne sont que des réseaux sociaux, précisément. L’avantage de vous mettre sur un réseau, c’est de savoir ce que vous pensez, ce qui vous préoccupe, ce qui vous fait rire ou vous fout en boule. Ça s’appelle le contrôle de masse et grâce à Internet, on est passé de l’artisanat à la méga-production industrielle. Tant que vous likez des châtons ou des infirmières en colère, compatissez à la leucémie de Dylan ou à la sous-nutrition de Babacar, que vous grognez sur les Gilets Jaunes ou les CRS qui les éborgnent, tout va bien. En fait, tout va bien tant que vous êtes mainstream, que rien ne dépasse des normes imposées par les tauliers, c’est à dire celle du silence déguisé en tolérance, celle de la soumission travestie en consensus ou celle du coup de matraque numérique dissimulé en “non-respect des normes de la communauté”. Parlons-en de la “communauté”. Cette communauté-là, c’est le grand projet des progressistes de toute obédiance, leur rêve absolu, l’acmé de leur projet universaliste : c’est tout le monde relié à tout le monde via la grande sphère de la décérébration collective. Le marché contre la pensée, la consommation contre le politique, l’individualisme contre le collectif. Belle communauté d’assistés, somme d’amas cellulaires indistincts nourris à coups d’écran, dont les appétits sont contrôlés, conditionnés et satisfaits selon la norme unique en vigueur : uniformisation (des profils), conformation (des goûts), promotion (de l’égo). Et toutes ces légions avançant d’un même pas ultra-personnalisé, construisent en se divertissant la prison mondiale de laquelle ils ne pourront plus sortir, et pour cause : les barreaux seront partout, devant chaque horizon, dans n’importe quel esprit. Ce sera le triomphe du marché unique, de la norme unique, du langage unique, de l’homme unique – hormis le club des Élus. Récemment, ces mécanismes ont été analysés et disséqués par Orwell et Huxley, figures populaires d’une certaine résistance de l’esprit humain au totalitarisme. Ils dénonçaient les dictatures émergentes. Ils n’imaginaient pas vraiment ce qui est entrain de se produire... et pourtant. Finalement, le plus important, c’est de prendre conscience que tant que vous êtes sur les réseaux sociaux, vous n’êtes pas ailleurs à lire, à réfléchir, à discuter, à publier, à contester... bref, à comploter. J.-M. M.
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12 août 2021
Linda
"On va leur pourrir la vie !"
C'est l'aboutissement des mesures sanitaires à l'œuvre depuis la mise en place du pass sanitaire. Un pas de plus fait par ce gouvernement vers l'instauration d'une dictature sanitaire en France.
Je voudrais dans un premier temps éclaircir quelques notions telles que la Liberté, l'Égalité, la Vérité qui semblent avoir largement perdu leur sens initial dans la bouche de nos dirigeants.
Concernant la vérité, on connaît l'adage "à chacun sa vérité". Pour les parents du jeune garçon de 22 ans qui est mort à Sète après l'injection du vaccin, la vérité est que le vaccin l'a tué. Certes, il y a très peu de chance ou plus exactement de malchance que ça arrive mais c'est tombé sur lui. Pourquoi alors que ce jeune homme avait encore la liberté de ne pas se vacciner d'autant qu'il avait un terrain allergique préoccupant, a-t-il fait ce geste inconsidéré qui lui a coûté la vie ? Il est difficile pour un gamin de cet âge de renoncer à aller au café ou au restaurant, dans les salles de sport, etc. Difficile de ne pas faire comme tout le monde, difficile de ne pas se montrer courageux face à un geste qui paraît bénin, difficile d'échapper à la propagande menée auprès des jeunes par le Président lui-même pour être plus proche. On remarquera à ce propos le look présidentiel en tee-shirt. La vérité est que ce jeune homme n'a pas choisi son destin. On a choisi pour lui. Mort sur le champ d'honneur, mort pour le collectif !
Il en va de même pour tous ceux qui font des réactions secondaires graves. Lorsqu'on choisit de mesurer soi-même les bénéfices/risques d'un acte médical, on se comporte en personne responsable. Une infirmière m'a raconté qu'elle avait fait une réaction qui l'a clouée au lit plus d'une semaine dès la première dose. Elle ne veut pas faire la deuxième et sera donc suspendue. "Chacun sa vérité" veut dire que dans un pays démocratique chacun est libre d'évaluer en fonction de sa position ce qu'il faut ou ce qu'il ne faut pas faire. Certains ont besoin de conseils, d'autres cherchent eux-mêmes la meilleure solution mais tous sont amenés à réfléchir et à décider.
Concernant la Liberté, disons tout de suite que la Liberté collective est une absurdité. Il n'y a pas de liberté collective mais uniquement une Liberté individuelle : à partir du moment où vous pensez pour l'autre, il ne s'agit plus d'une pensée libre. Le concept d'Égalité en revanche est lié au collectif dans la mesure où il tend à égaliser la position des sujets. Le communisme a choisi de mettre en avant l'Égalité au dépens de la Liberté en tentant de gommer toutes les différences et de mettre les personnes sur un même pied de richesse : distribution des terres, travail en commun, revalorisation du travail manuel etc... En Chine communiste par exemple, on est allé jusqu'à obliger les hommes et les femmes à porter le même uniforme. Il est évident que ce choix de l'Égalité sacrifie la Liberté qui n'a plus aucune place. En outre, ces États qui imposent l'Égalité ne peuvent le faire que de façon autoritaire en rendant obligatoire la loi communautaire ; c'est la dictature du prolétariat qui est censées'estomper au fil du temps. Évidemment, c'est fait au nom de tous et pour le bien de tous et toute opposition doit être réprimée. Aucune discussion n'est possible et bien sûr, c'est la porte ouverte à la corruption des dirigeants. Les pays occidentaux ont fait le choix de la Liberté en modérant dans un premier temps ses effets inégalitaires notamment en mettant en place des régimes sociaux ou en intervenant directement dans la distribution des richesses. Ils ont effectivement glissé le terme de Fraternité pour tempérer la difficile dialectique entre Liberté et Égalité. Mais ne nous y trompons pas, les enjeux restent liés à la préservation de la Liberté individuelle sans cesse menacée par l'avidité des tenants du pouvoir. Tout peut toujours basculer du côté de l'ombre tyrannique. Le nazisme par exemple, a imposé une vision idéologique de l'homme en quelques années et a tenté d'éradiquer tous ceux qui n'entraient pas dans le cadre de cette vision : les malades, les infirmes, les homosexuels, les opposants politiques,... bref, tous ceux qui n'étaient pas conformes avec le modèle hitlérien n'avaient plus droit de cité. L'éradication des juifs entrait dans le plan car le judaïsme est au cœur de la première altérité support de l'individualisme et pourvoyeur de Liberté : Dieu donne à Moïse les tables de la loi et l'invite à trouver sa voie par lui-même et par l'étude des textes. Les juifs détenteurs de cette Liberté ont donc été les premiers visés par le nazisme pour lequel toute velléité individuelle doit être éradiquée. Il est intéressant de faire certains liens avec ce que nous sommes en train de vivre. Certes, il ne s'agit pas de nazisme et toute comparaison serait stupide, mais reconnaissons que le procédé de mise à l'écart d'une partie de la population, celle qui n'est pas d'accord, et qui donc, ne rentre pas dans le faisceau sanitaire déterminé, est bien le même, toute proportion gardée. On ne tue pas ceux qui ne sont pas d'accord, certes. On se contente de leur "pourrir la vie". Ce n'est pas bien grave. On peut se passer de cinémas, de spectacles, de voyages, de piscines... et même de l'hôpital et cela bien que nous ayons payé nos cotisations sociales comme les autres. C'est un bien ridicule sacrifice comparé à l'importance du principe que nous défendons. C'est beaucoup plus grave pour les gens qui sont empêchés de travailler. Un autre parallèle peut être fait et là, le problème est plus délicat : la motivation à l'origine de la décision collective. En l'occurrence, il s'agit de vacciner tout le monde pour atteindre l'immunité collective et mettre fin à la pandémie de Coronavirus. Tous vaccinés pour que le virus disparaisse ! Tout cela pour notre bien collectif bien sûr. Pour que ce soit possible, il faut vacciner toutes les tranches d'âge : les vieillards, les adultes, les enfants et bientôt sans doute, les nourrissons (les premiers essais cliniques ont été commencés chez des nouveaux-nés de 6 mois). Il y a toujours, derrière un processus tyrannique, une intention bienveillante affichée : le pouvoir en place sait ce qui est bon pour nous. Les décideurs ont la vérité et si vous ne les croyez pas, c'est que vous avez peur ou bien que vous faites partie des classes laborieuses défavorisées généralement superstitieuses. Autrement-dit ce qui provoque la décision totalitaire est une pensée qui met tout le monde sur le même rang. Ainsi, même si le vaccin n'empêche pas de contracter le virus, ce qui rend l'immunité impossible à atteindre, même si depuis le début de la crise, le gouvernement est pris en flagrant délit de mensonges, même si des épidémiologistes sérieux émettent des réserves — et la liste des "même si" est longue —, il y a une majorité, environ 70 % de gens, qui se rangent sous la bannière autoritaire. Alors pourquoi cette dérive totalitaire dans les pays démocratiques alors qu'ils auraient l'occasion de gérer la crise en toute intelligence en appelant à la responsabilité de chacun et en faisant confiance au choix de chacun ce qui éviterait beaucoup d'effets secondaires ? En outre, si le gouvernement se contentait d'inciter sans imposer, il se mettrait à l'abri d'une grave accusation dans le cas où la vaccination s'avérerait dans le temps peu efficace voire dangereuse. Il nous faut sans doute accepter l'idée que derrière le rideau démocratique se cache en embuscade la tyrannie. Elle a toujours été là, en sommeil, au cœur des hommes de pouvoir, mais elle attend patiemment son heure pour se saisir des circonstances. Il faut être particulièrement puissant et libre dans sa tête pour lui résister. La France a toujours su faire valoir ce grand principe de la Liberté à la source de l'individualisme et pourtant, cette fois-ci, elle a plongé tête première. Aujourd'hui les cul-terreux, les différents, les marginaux, les originaux, les idiots... autrement-dit, ceux qui ne sont pas conformes au modèle, dont je suis fière de faire partie, se dressent contre cette dérive égalitaire qui refuse tout choix individuel. Fidèle à son histoire, les véritables penseurs français dénoncent cette tyrannie. Elle n'est pas très grave en soi, mais elle montre la fragilité des systèmes démocratiques. Cette frange représente au mieux 30% de la population ; ce n'est pas énorme mais c'est 30% de gens libres et ça aucune loi d'exception ne pourra le leur enlever. Tous ceux qui vont se dresser contre la perversion du verbe, contre les artifices de toute sorte, contre l'utilisation malveillante de la peur, vont véritablement œuvrer pour l'avenir. Ce sont eux qui vont marquer l'histoire. Tel est le véritable défi de ce virus-vérité qui dévoile mieux que l'on aurait su le faire, la perversion d'un système médical entièrement à la disposition du pouvoir et de l'argent. Toutes les décisions sont au service des grands intérêts financiers et la science est à leur pied. Une telle démonstration d'immoralité, de mensonges et de contraintes est le véritable sens de cette pandémie. Les pays qui ont massivement imposé la vaccination continuent d'être touchés et continueront de l'être encore davantage. Le virus est l'arme de la vérité contre le vaccin qui met à l'épreuve notre individualité. Nous vivons un moment crucial qui va déterminer l'avenir. On va sans doute "pourrir la vie" de cette frange qui résiste, mais on ne pourra pas atteindre son noyau de Liberté.
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Article multilingue/Multilingual article:Appel à la Résistance Nationale des Peuples du 4 juillet 2021 /Appeal to the National Resistance of Nations of July 4, 2021
Article multilingue/Multilingual article:Appel à la Résistance Nationale des Peuples du 4 juillet 2021 /Appeal to the National Resistance of Nations of July 4, 2021
Nous en sommes finalement rendu au 4 juillet 2021:Jour de l’Indépendance Américaine!Jour de la Nation qui se “prétend” la championne des droits et des libertés de toutes les nations! Tantôt,nous en serons au 14 juillet 2021,fête universelle de la Révolution Française qui donna naissance à la Déclaration Universelle des Droits de L’Homme et du Citoyen!La Belle République Française écrasée sous la…
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Riposte Médiatique N°56
Avec Marion Maréchal, Fabrice Leggeri, Eric zemmour, Alexandre Goldfarb, Jean-Philippe Tanguy En révolte contre la pensée unique ! Par Observatoire du MENSONGE Riposte Médiatique, le média de l’opposition qui s’oppose N° 56- Avril 2024 – parution le premier dimanche du mois – Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique.Cliquer ICI pour nous…
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#Alexandre Goldfarb#Avril 2024#L&039;actualité du mensonge#N°56#Observatoire du MENSONGE#politique#riposte médiatique#TV-MENSONGE
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Les hommes politiques ou Jésus-Christ ?
Une scène savoureuse s’est passé un jour à Hyde Park à Londres lors d’un meeting politique en plein air.
Juché sur une estrade de fortune un homme haranguait la foule en ces termes :
- Mesdames et Messieurs, quand nous aurons la liberté… puis, avisant un Londonien en chapeau boule qui fumait un cigare à la Winston Churchill,
- Ladies and Gentlemen, nous fumerons tous des cigares comme ça !
De la foule, une voix criarde à l’accent faubourien lança une réplique qui suscita l’hilarité générale :
- " Oh, je préfère mon mégot !"
L’orateur, apparemment impassible continua :
- Mesdames et Messieurs, quand nous aurons la liberté, nous passerons toutes nos vacances à la mer.
- J’aime mieux mon jardin ! Cria la même voix.
- Mesdames et Messieurs, poursuivit le tribun, Mesdames et Messieurs, quand nous aurons la liberté… (signalant une Rolls Royce qui passait) nous aurons tous des bagnoles comme ça.
- J’aime mieux ma bécane !
Ce fut l’explosion. furibond, l’orateur pointant le doigt du côté d’où venaient les répliques acides hurla :
- Camarade, quand nous aurons la liberté, vous ferez ce qu’on vous dira !
Voilà, ce que la pensée unique va nous conduire ! Dans une dictature ou nous perdrons toute liberté : de penser, d’agir et de croire !
Beaucoup de ceux qui ont essayé de goûter à la politique ont fait des expériences amères. Ils se sentent vides et lassés. Leur candidat n’a pas été élu, ou bien il a été incapable de tenir ses promesses.
La politique est un terrain dangereux, inapte à produire des résultats durables.
La raison principale est que : la politique nie toutes références au créateur du ciel et de la terre !
Écoutons ce que nous dit le Proverbe 9 au verset 10.
" Le commencement de la sagesse, c’est la crainte de l’Éternel ! "
Ou alors l'Épitre de Paul aux Romains aux Romains, dans le Nouveau Testament chapitre 1 depuis le verset 20 et les versets verset 22- 32. " Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous …"
Lisez ce chapitre extraordinaire de l’Épitre de Paul aux Romains, chapitre 1 qui nous donne les clefs de toutes les folies de ce que voyons de nos yeux aujourd’hui dans nos pays d’Europe !
Les chrétiens sont rejetés, traités d’attardés mentaux !
Mais, ce n’est pas le plus grave cela doit au contraire nous encourager à : " nous approcher de Dieu et il s’approchera de nous ! " Nous dits l'Épitre de Jacques 4 : 8
Nous devons encore plus mettre en route le véritable Évangile qui nous invite à donner réellement nos vies Et il nous accordera une grâce encore plus excellente, car Dieu résiste aux orgueilleux, mais fait grâce aux humbles !
La grâce inépuisable de Dieu se renouvelle chaque matin !
Les lamentations de Jérémie 3:22-23 : "Les bontés de l'Éternel ne sont pas épuisées, Ses compassions ne sont pas à leur terme; Elles se renouvellent chaque matin. Oh ! que ta fidélité est grande !"
Jésus-Christ seul offre à ceux qui le reçoivent, une satisfaction profonde, une paix durable et un but qui ne déçoit jamais.
Ce que Jésus-Christ offre survit à tous les régimes et à toutes les révolutions.
" Lui, reste la valeur stable. Il reste le même hier, aujourd’hui et éternellement."
Faisons-lui confiance, donnons-nous pleinement à Lui, et nous serons ses instruments ! Retrouvons notre vision que nous avions reçue lors de notre conversion. Et nous serons utiles pour l'œuvre du royaume de Dieu
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A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.
Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.
Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.
Pardonnez-moi d’exister
Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de s’encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
Vous avez raison le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.
Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer un offre d’abonnement à vie
Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.
C’est pour notre bien.
Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital.
C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long terme.
C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs
C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme mort du covid une majorité de gens morts avec le covid.
C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les Gafam pour censurer les lanceurs d’alerte sur you tube, sur twitter, sur Facebook.
C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fou, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.
Trop bête pour comprendre
Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.
Trop bête pour comprendre.
Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel mais qu’on on peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles
Que si une personne âgée meurt en ayant le covid, elle meurt du covid mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels mais que nous devons fermer les yeux.
Trop bête pour comprendre
Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non vaccinés.
Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième dose et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou bi-annuel.
Trop bête pour comprendre
Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non vaccinés.
Que l’Etat est surendetté et n’a pas d’argent mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
Que les tests et les vaccins sont gratuits mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.
Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.
Inversion
Je dois en effet comprendre que :
- La liberté c’est de se soumettre au pass sanitaire - L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle - Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche - Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin. - Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade. - Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.
Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir me répéter souvent tout cela pour réussir à l’intégrer.
Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de persuasion.
Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.
Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021
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La culpabilisation collective, arme idéologique absolueThomas Verden pour France Soir
« Nous sommes en guerre » ! Cette phrase prononcée il y a quelques mois par le président Macron n’est pas seulement un slogan politique destiné à frapper la population, elle exprime une manière de comprendre la relation à la maladie : l’ennemi est en face et il faut le supprimer.
Tout le monde ou presque sait pourtant aujourd’hui au moins deux choses : premièrement que nous sommes porteurs d’une quantité énorme de virus en tous genre qui stimulent et renforcent notre système immunitaire, autrement dit notre capacité à nous défendre. Deuxièmement, qu’un virus n’est viable qu’au sein d’un organisme et absolument jamais de façon isolée telle une entité indépendante. Or ces deux principes connus de tous ont été totalement occultés dans la manière dont le problème « corona » a été médicalement et médiatiquement traité.
Le virus a été présenté à la manière d’une entité autonome, indépendante des facteurs organiques individuels. On a donc complètement objectivé le concept de virus en en faisant un ennemi en soi justifiant une attitude frontale de « déclaration de guerre ».
L’image qui a été façonnée correspond exactement à celle d’un terroriste frappant n’importe qui, n’importe où, n’importe quand. Le portrait-robot de la covid 19 est donc celui d’un psychopathe meurtrier lâchant ses bombes virales dans les populations du monde entier et risquant d’en décimer une partie importante.
Mais outre cette gigantesque menace qui, numériquement parlant, dépasse de bien loin Al-qaida ou Daech, ce terroriste d’un genre nouveau possède une propriété supplémentaire qui fait de lui un danger sans précédent. Tout comme dans le jeu du « loup » des enfants, celui qui est touché devient lui-même le loup, le prédateur. Autrement dit tout le monde se sent porteur potentiel de cette explosive « bombe virale », tout le monde devient potentiellement ce terrifiant terroriste vis-à-vis de tout le monde.
C’est très rigoureusement cette image qui a été créée et implantée dans les consciences. Et l’effet premier de cette image, qu’on l’admette ou non, c’est la terreur.
De la terreur à la culpabilisation
La peur est certes un prodigieux levier idéologique. Ce phénomène a souvent été relevé dans le cadre de cette épidémie mais il en est un autre possédant une puissance encore supérieure.
Il y a quelques années, l’atout de toute politique médicale préventive était la protection personnelle. Mais en peu de temps le « protégez-vous » s’est transformé en « si vous ne vous protégez pas vous mettez en danger les autres » ! Un retournement de paradigme d’une prodigieuse puissance psychologique.
En étant saisi par une valeur profondément éthique où la pensée vers autrui l’emporte sur l’intérêt personnel, l’individu est directement touché au cœur de sa conscience morale : quelle sorte d’être humain suis-je donc si je ne fais pas ce qu’exige la protection d’autrui ?
Or dans le cadre de l’image « virus meurtrier », que signifie ne pas protéger les autres ? Pesons de tout leur poids les conséquences d’airain d’une problématique posée de cette façon-là. Il en découle une logique implacable : par ma faute, quelqu’un peut contracter le virus et en mourir. Je deviens donc un criminel en puissance !
Dès lors que l’on est captif d’un réseau de pensées qui prend sa racine dans le concept « virus terroriste et meurtrier », dès lors que l’on implante dans ma conscience que je suis potentiellement ce terroriste meurtrier, l’injonction « mettre en danger les autres » acquiert une force illimitée et devient la pièce à double face d’un puissant levier idéologique et psychologique : côté face, la bonne intention morale de protection d’autrui et côté pile, le jugement implacable envers celui qui n’agit pas conformément à la préconisation dominante et officielle !
L’union du couple peur/culpabilité devient le ferment actif d’une véritable dictature par le bas : chacun exige de l’autre qu’il se soumette à une nécessité éthique de groupe, laquelle devient l’acte obligé de la totalité des individus.
L’Etat, la version scientifique officielle, l’opinion publique se tournent vers l’insoumis : si tu n’agis pas conformément à la préconisation générale, tu deviens un criminel potentiel ! Pire encore, lorsque cette injonction semble sortir tout droit de ma propre conscience!
Une bien singulière éthique que celle qui s’appuie sur le ressort psychologique de la culpabilité !
De la culpabilisation à l’obligation vaccinale
« Tant que nous n’aurons pas un vaccin, nous ne parviendrons pas à éradiquer cette pandémie !»
La phrase culte rabâchée à satiété sur toutes les ondes ou presque du monde entier, fait apparaître, en face de l’entité conceptuelle « virus terroriste », une autre entité conceptuelle à caractère quasi messianique : « le vaccin sauveur ». C’est donc lui, l’unique, le seul... que l’on appelle de nos vœux, que l’on attend avec ferveur !
Là encore, la même logique déroule son fil d’airain : puisque le terroriste est potentiellement en chacun de nous, le sauveur doit entrer en chacun de nous. Logique implacable ! Dès lors, l’exception doit être bannie.
Et c’est ici que le concept « d’obligation vaccinale » fait son entrée en scène.
Bien que le 24 novembre dernier, le président Macron ait annoncé « Je ne rendrai pas la vaccination obligatoire », tout donne à penser que la question est sans doute très loin d’être définitivement réglée. D’une part parce cette perspective concerne de très nombreux pays de par le monde. D’autre part, parce qu’à la suite de l’annonce présidentielle, nous serions tentés de demander si cette « promesse » reste valable quoi qu’il arrive ?
Autrement dit, est-ce une décision ponctuelle relative à la situation présente ou est-ce une décision définitive qui relève de la conviction éthique du droit au libre choix ? Cette « petite » précision ne me semble pas inutile dans le contexte général dans lequel nous nous trouvons.
Pour ces différentes raisons il est urgent que la question de l’obligation vaccinale soit réellement pensée dans ses implications les plus profondes du point de vue humain.
Une éthique…. totalitaire.
L’infectiologue Karine Lacombe déclare : “[…] Comme dans toute société solidaire et altruiste, ce sont ceux qui accepteront de se faire vacciner qui vont protéger les autres… car lorsque l’on accepte de se faire vacciner on se protège soi mais aussi les autres »”* interview Marie Claire 16/11/2020
L’élément premier qui me semble le plus profondément pervers dans une telle déclaration réside dans le ligotage d’une valeur humaniste à une obligation de ce genre !
Une merveille de manipulation psychologique permettant d’imposer ce que l’on veut à une population ! Le propos des plus simplistes vise implicitement à diviser d’emblée la société en deux groupes : d’un côté, les individus solidaires, altruistes, ceux qui possèdent de vraies valeurs morales et éthiques et, de l’autre côté, les purs égoïstes méprisant le danger de mort qu’ils font courir à autrui !
Chers lecteurs, vous avez donc le choix : le volontariat vaccinal et vous êtes du côté du bien, de l’altruisme, ou le refus d’obligation et vous représentez le mal, l’égoïsme. L’individu est littéralement pris en étau entre ce qu’il ne souhaite pas et ce qu’il est contraint de faire s’il veut rester un individu moral aux yeux de la société.
Quant aux insoumis, les humanistes plein de bonté qui veillent sur l’avenir de l’humanité pointeront vers eux le doigt accusateur : « La persistance des épidémies et des morts seront votre fait ! ».
Karine Lacombe, qui s’inscrit dans la droite ligne de l’approche gouvernementale n’ajoutait-elle pas à ses propos cités plus haut : « Malheureusement, si la défiance est trop importante, la vaccination devra être rendue obligatoire […]. »
Dans l’esprit de cette dernière, la liberté vaccinale ne peut être conservée que sur la base d’un volontariat massif. L’arrivée annoncée du vaccin pour les mois, voire semaines qui viennent, va de toute évidence de pair avec une campagne médiatique destinée à en faire comprendre à la population l’enjeu... éthique, puisque « ce sont ceux qui accepteront de se faire vacciner qui vont protéger les autres ».
Ce n’est donc que si la population ne devient pas massivement altruiste à la manière dont madame Lacombe le conçoit, que « la vaccination devra être rendue obligatoire. […] ».
Dès lors, la loi apparaîtra en justicier dont la tâche sera de « contraindre à la raison », celui qui s’en écartera. Au « mieux » on isolera les rebelles en leur interdisant tout accès à la vie commune, au pire...
Pas à pas, étape par étape, la divergence se transforme insensiblement en dissidence, la conviction personnelle en obligation morale, la préconisation médicale en contrainte juridique.
L’idée de la vaccination « pour autrui » engendre, non pas un altruisme véritable mais une grave atteinte à la liberté de conscience. Des valeurs aussi profondes que la solidarité et l’altruisme sont ici placées sur un plan illégitime, ayant pour effet d’engendrer le plus insidieusement qui soit une forme d’éthique par la culpabilité, une éthique excluant toute altérité d’opinion, une éthique… totalitaire.
Cette prise en otage odieusement manipulatrice des bons sentiments doit être mise à jour et dénoncée !
Les sophismes de l’obligation vaccinale
Premièrement, à celui qui accuserait mes propos d’égoïstes, je réponds en premier lieu que l’approche médicale qui aboutit à une telle « préconisation », est tout sauf une vérité scientifique absolue et unique. Il y a donc d’autres façon de penser la résolution du problème ! Les plus grands scientifiques mondiaux se sont diversement expliqués sur ce point. La volonté d’obligation vaccinale est donc d’abord l’expression d’une idéologie médicale qui se croit absolue. Elle représente déjà une dictature de la pensée. Cette dernière conduit inévitablement à une dictature de l’action.
Il ne s’agit donc en aucun cas d’égoïsme ou d’irresponsabilité mais d’une autre façon de concevoir la résolution du problème ! L’obligation vaccinale interdit cette altérité.
Que l’on regarde seulement, avec honnêteté, le fossé existant entre le fait d’être positif à un test PCR (dont le CT est situé entre 35 et 50) et le fait d’être réellement porteur d’un virus actif : un premier décompte engendrerait déjà une chute vertigineuse des chiffres. Que l’on regarde ensuite, à partir de ce qui reste, le second fossé existant entre ceux qui sont vraiment porteurs du virus et ceux dont la vie est réellement en danger, un deuxième décompte ferait encore chuter les chiffres de façon tout aussi vertigineuse.
Sur la base de chiffres réalistes et honnêtes qui rendraient compte qualitativement des risques réels, une fois retranchées les personnes déjà atteintes de pathologies graves après soixante-dix ans, les diabétiques et quelques autres affections, on arriverait à un taux de létalité totalement dérisoire !
Au mépris du réel, on inonde la population de chiffres globaux, gonflés, qu’on illustre en dénichant les cas d’exception servant la thèse dominante.
Deuxièmement, pourquoi un individu non vacciné mettrait-il en danger des individus vaccinés ? Sauf si le vaccin est inefficace, nulle personne vaccinée ne devrait se sentir mise en danger puisque justement la vaccination est, pour celui qui le souhaite, la garantie de sa protection ! Sauf génocide de la logique, nul n’a besoin de la vaccination d’autrui pour se protéger lui-même !
Précisons bien qu’il n’est pas question ici d’opposer les pour et les contre la vaccination ; nous parlons de l’obligation vaccinale, laquelle relève d’une discrimination négative pénalisant des gens sains qui ne souhaitent pas la vaccination pour eux-mêmes.
La conservation de son intégrité corporelle et intellectuelle comme principe éthique supérieur à toutes les autres.
A la spoliation du principe d’autodétermination qui garantit le respect de la personne individuelle s’ajoute la violation de l’intégrité corporelle. Car peut-on imposer à des individus sains de corps et d’esprit d’introduire, sous la contrainte, des substances dans leur propre corps ?
De la science-fiction ? Non cette menace est aujourd’hui bien réelle et ne manque pas de faire frémir toute personne attachée à l’exercice de sa liberté de choix. Il semblerait que l’humanité actuelle doive de nouveau mener un combat pour la conserver.
Dans les temps qui viennent, l’être humain devra absolument exiger jusque dans la loi, de garder le pouvoir absolu de décision concernant sa propre entité corporelle. L’intégrité corporelle doit rester affaire individuelle ! Ce principe doit être placé au-dessus de tous les autres.
Nul ne saurait être obligé de consentir à un acte qui aurait la valeur d’un viol. Nul ne doit faire l’objet d’une répression morale et juridique pour un tel choix.
Au Danemark, le projet de loi qui vient d’être fermement contesté par une minorité lucide et active consistait à octroyer au ministère de la santé « ... la capacité d'isoler, de traiter de force et de vacciner de force des groupes de population si cela vise à enrayer la maladie contagieuse".
Avons-nous bien lu ? Il est question d’obliger des groupes de population, à une vaccination, manu militari ! Au nom de la protection de tous cela va sans dire !
La question est donc d’une extrême gravité ! Que l’on soit favorable ou défavorable pour soi-même à tel ou tel vaccin n’est pas la question. La seule question ici est de savoir qui doit en décider ? Est-ce chaque individu selon sa conscience ou est-ce une autorité de tutelle qui prétend posséder la connaissance ultime de ce qu’il convient de faire ?
Tout le monde doit donc se sentir concerné par un tel enjeu. Quels que soient ses choix médicaux, tout être humain qui aime la démocratie, doit revendiquer avec force le même degré de liberté de choix pour celui qui pense autrement que lui !
Ce n’est pas une question d’égoïsme, c’est une question de dignité !
Toute obligation de ce type revient à destituer l’individu de son droit à se déterminer lui-même. Seul un individu qui conserve cette liberté peut encore être appelé individu. Ou alors ne parlons plus de démocratie, de liberté mais d’un troupeau de moutons guidés par les bons bergers de la conscience morale universelle...
Gardez votre obligation vaccinale solidaire, je garde ma dignité
Madame Lacombe, j’ignore quelle est la valeur marchande, pour vous et vos frères d’armes, de cette « éthique du vaccin pour le bien d’autrui », que vous défendez si bien en vous drapant de rigueur scientifique et d’altruisme. Je refuse votre morale vrillée et manipulatrice qui à mes yeux n’est rien d’autre que le signe avant-coureur d’une monstrueuse dictature.
Je souhaite pouvoir me vacciner si je le veux, et ne pas me vacciner si je ne le veux pas ! C’est mon affaire. Je l’affirme comme principe souverain.
Et je récuse l’idée simpliste et perverse de l’égoïsme ou de la mise en danger d’autrui si je ne souscris pas à votre logique. Le danger, le vrai, c’est le totalitarisme qui sévit dans les consciences de directeurs de conscience sans conscience.
Nul argument fallacieux, nulle propagande, nuls détours par une troisième, une quatrième vagues… ne me feront abandonner mon bien le plus précieux, gage de la dignité humaine : ma liberté de penser, de choisir, d’agir, de devenir !
En d’autres temps, les hommes ont dû lutter pour conquérir leur liberté. Faut-t-il désormais en faire de même pour la conserver ? Humains qui voulons le rester, il nous faut réclamer avec force une garantie de droit, pérenne et non négociable du pouvoir souverain de tout individu à disposer de son intégrité corporelle. Plus encore, la protection juridique contre toute discrimination d’accès à quelque service que ce soit au seul motif de la non-vaccination doit être, dans un état démocratique, garantie par la loi. Une ostracisation par voie détournée équivaudrait à un asservissement déguisé en libre choix et reviendrait à mettre un costume de démocrate sur une dictature.
Le temps est venu de nous unir, indépendamment de toute appartenance, de toute nationalité, sur la base du seul attachement à une valeur universelle, qui fait de nous des êtres humains à part entière, porteurs de nos idées, de nos choix, de notre liberté.
Thomas Verden, conseiller pédagogique et philosophe
Auteur(s): Thomas Verden pour FranceSoir
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Légitimité
Puissance et actualité de la légitimité royale historique
En ces temps troublés où le crime, la terreur et le chaos règnent à la surface de la Terre, nous éprouvons de la douleur et de l'inquiétude pour notre nation qui peine à se maintenir encore. Si elle subsiste, c'est dans des formes que nous réprouvons et qui sont des avatars de la Révolution, rupture tragique dans notre Histoire, dont procède l'actuelle République comme tous les régimes éphémères qui se sont succédés avant elle, depuis l'interruption de facto en 1830 du règne de Sa Majesté le roi Charles X.
Force est de constater qu'elle n'est pas à la hauteur de son ambition, le bien commun. Ceux qui en ont la charge n'ont jamais rechercher que leur profit personnel ou celui de leur caste. Le peuple sent l'escroquerie gigantesque que représente ce régime aristocratique déguisé, mais ne peut s'attaquer à la mythologie de l'acte même par lequel on le fit roi. Du moins s'est-on employé à le lui faire croire par l'obscure magie du sang versé. C'est une France délavée qui est à la dérive dans le fleuve houleux d'un monde de plus en plus menaçant, que ce soit par les folies sectaires, les régimes totalitaires, les stratégies économiques belliqueuses, les dérèglements démographiques et les puissances financières occultes qu'il sécrète.
Veille perpétuelle et attentive des hussards blancs
Pour autant, nous savons notre nation généreuse en savoir, en courage, en créations de toutes sortes et même en génie ! Nous y voyons quotidiennement les Français témoigner de ressources d'intelligence et de sensibilité qui nous étonnent ! Nous ne doutons pas qu'il y a là encore aujourd'hui un trésor gâché, exploité sans perspective, avili. C'est pourquoi la France survit à sa propre décollation. Elle mérite assurément la chance de pouvoir se retrouver elle-même, à travers sa tête, à travers son roi, Sa Majesté le roi Louis XX, connu sous le nom de SAR le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, ou son successeur. Le temps est notre allié dans la mesure ou nous ne le laissons pas filer passivement. Les destinées de la France sont entre ses millions de mains. Notre devoir de fidèles sentinelles du royaume est de l'en avertir. Ainsi sommes-nous les hussards blancs de la royauté. Cependant on voit aujourd'hui les pires dangers pour la race humaine émerger de toutes parts : capitalisme sauvage mondialisé, dictatures militaires et intégrismes religieux sanglants, terrorismes, guerres, famines, épidémies, équilibres écologiques chancelants, libertés individuelles et collectives fondamentales menacées partout, civilisations déclinantes, destinées en panne. C'est donc une nation en grand péril, orpheline de son Histoire au passé comme, nous devons le craindre, au futur, qui est l'objet de notre préoccupation. Nous appelons donc les Français à se ressouvenir de leurs heures glorieuses et à redevenir ce qu'ils furent de toute éternité : naturellement royalistes.
Nous pensons que la France recèle une force spécifique liée à cette Histoire et qu'elle ne pourra l'actualiser qu'en regardant vers celle-ci, en remontant à la source. Le drame central de la nation se joue depuis deux siècles au niveau de la légitimité du pouvoir. Au jour du plébiscite républicain que constitue le régime des partis et le suffrage universel, cela crève les yeux. Le chef de l'Etat est le député d'une partie d'une partie des Français, à qui l'on a imposé sa candidature et qui ont voté. Mais un seul Français a-t-il seulement voté pour l'homme qu'il désirait voir gouverner la France ? Un seul a-t-il voté sans regret ? Un royaliste ne vote pas, il se bat ! Notre premier combat est de rétablir les vérités historiques et de déconstruire le mensonge national que constitue la mythologie révolutionnaire de la République et l'Histoire officielle falsifiée et travestie qui en résulte.
Le roi ou la manifestation tangible de la légitimité
La force de la France réside dans la légitimité, et celle-ci réside dans sa source même, son origine historique : le roi. Ainsi la France, crée par ses rois, nécessite que la nation soit incarnée par un roi dont la légitimité s'engendre elle-même par le truchement du droit royal historique, Les lois fondamentales. Un seul et unique prince est automatiquement désigné par les lois de dévolution de la Couronne, ce qui a pour effet de placer définitivement la magistrature suprême, la fonction et la dignité royales, hors de portée des volontés humaines si peu dignes de confiance. C'est pourquoi nous sommes royalistes. C'est pourquoi le roi de France de jure est Louis XX.
La France possède par conséquent l'avantage inouï de pouvoir placer à son sommet un roi qui soit l'héritier de ceux qui l'ont engendrée et façonnée en plus de quinze siècles depuis la Francia originelle des Francs, et qui soit issu en droite ligne des meilleurs de ces rois, les Capétiens. Ainsi le pouvoir pourrait-il être confisqué à ceux qui l'utilisent à des fins autres que le bien commun, en étant remis en dépôt entre les mains du roi. Ce pouvoir à la fois si précieux et si dangereux résiderait ainsi en définitive dans le seul père de la nation, et ce quels que soient les mécanismes de la représentation populaire que l'on permette par ailleurs par la constitution du royaume. Ainsi se dessine notre pensée royaliste.
Ce roi est Louis XX, aîné salique incontestable des tous les Capétiens. Nous sommes ses sujets loyaux et serviteurs fidèles. Vive le roi !
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