#devenir un célèbre
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vinon0 · 6 months ago
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LE GRAND MARABOUT DU MONDE GERMAIN
LE GRAND MARABOUT DU MONDE GERMAIN Le plus grand marabout du monde possède des pouvoirs surnaturels comme nul autre spécialiste des sciences occultes au monde , vous ne saviez sans doute pas; lisez cet article sur GERMAIN, le plus grand marabout du monde pour en savoir davantage. En effet, de plus en plus de personnes reconnaissent désormais au Vaudou la puissance de ces prêtres. Ces puissants…
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kilfeur · 4 months ago
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En vrai les oreilles noires me font pas mal pensé à l'handicap. Du coup quelqu'un comme Nova ne peut pas entrer dans le moule. Munmu a malheureusement la mauvaise méthode concernant Nova. On sent qu'il tient à lui mais le couver ou bien l'entraîner dans l'enseignement de l'ouïe, va plus le mettre à l'écart qu'autre chose. Et encore Nova peut supporter ce qui disent les autres à son sujet mais la future génération des oreilles noires n'auront pas forcément la même force de caractère que Nova et souffriront en silence. Après j'avoue que faire inviter Amaryllis, je l'avais pas vu venir mais en soit ça fait sens. Munmu n'aurait pas écouté Iruma et les autres mais un membre des 13 couronnes qui vante les mérite de leurs carottes pour être utilisé dans de célèbres restaurants. Nova a enfin trouvé le nouveau futur pour son clan et c'est de devenir fermier. C'est beau de voir Munmu ému !
Actually, black ears make me think of disability. So someone like Nova can't fit into the mold. Unfortunately, Munmu has the wrong approach to Nova. You can tell he cares about him, but coddling him or training him in the teaching of hearing will sideline him more than anything else. And Nova can put up with what others say about him, but the future generation of black ears won't necessarily have the same strength of character as Nova and will suffer in silence. I did admit that inviting Amaryllis was unexpected, but in itself it makes sense. Munmu wouldn't have listened to Iruma and the others, but to a member of the 13 crowns who praises the merits of their carrots to be used in famous restaurants. Nova has finally found the new future for his clan and it's to become a farmer. It's great to see Munmu so moved!
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lisaalmeida · 3 months ago
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J'ai vécu heureuse
J’aurais pu devenir riche si j’avais choisi l’or plutôt que mes amitiés.
J’aurais pu être célèbre si j’avais cherché la renommée pendant les heures où je m’appliquais à jouer.
Et me voici, assis au milieu de ma vie, jetant un coup d’œil derrière moi pour voir tout ce que j’ai fait avec ces jours et ces années qui étaient miens et tout ce qui m’est arrivé.
Je n’ai pas vraiment de fortune à léguer à ceux qui porteront mon nom.
Et je n’ai rien fait qui soit susceptible de m’assurer une place sur les registres de la renommée.
Mais j’ai adoré le ciel et ses grands espaces bleus;
J’ai vécu avec les arbres et les oiseaux; J’ai dédaigné l’or et l’argent pour partager des plaisirs comme ceux-là.
J’ai donné mon temps à mes enfants, amis
Et je n’échangerais pas les heures heureuses passées avec eux pour tout l’argent que j’aurais pu faire.
J’ai choisi d’être connu et aimé par quelques personnes,
et j’ai fait la sourde oreille aux applaudissements des hommes;
et je referais les mêmes choix si la chance m’était donnée de revivre ma vie.
J’ai vécu avec mes amis
et j’ai partagé leurs joies,
connu leurs peines avec toutes leurs larmes;
J'ai fait une belle récolte avec les quelques arpents de ma vie,
Même si certains prétendent que j’ai gaspillé mon temps.
J’ai été à même de bien profiter de mes belles choses, et je crois avoir ainsi rempli ma vie de mon mieux.
Et a mon demie siècle de ma vie, je ne regrette pas tout l’or que j’aurais pu posséder. .."aujourd’hui je faites mes 56 ans ....et je peux vous affirmez que j’ai aimé c’est 56années... je suis une femme heureuse... épanouie... j’ai mon trésor.... mes enfants, ma famille, mes amis ❤️❤️
Et je ne regrette rien vraiment rien de ma vie ❤️
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clubvideotapes · 28 days ago
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EYES WIDE SHUT, 1999
Le dernier film de Stanley Kubrick est donc son dernier chef-d'œuvre. Le film oscille entre rêve et réalité, certitudes et doutes, tentation et hésitation. On vit ce rêve, ou plutôt ce cauchemar, avec le personnage principal (interprété par un excellent Tom Cruise). Contrairement aux apparences, le scénario ne dérive pas et est constamment maîtrisé. Le film date, il a déjà vingt-cinq ans. Pourtant, on a l’impression que c’était hier. Tom Cruise et Nicole Kidman étaient déjà célèbres. Leelee Sobieski était toute jeune. Thomas Gibson jouait déjà la comédie, avant de devenir le futur officier de police dans *Esprit criminel*. Par contre, le casting féminin, avec ses comédiennes, reste d’un très haut niveau. En particulier, les figurantes pour jouer nues dans un château médiéval ; leurs corpulences sont absolument parfaites : ce sont des femmes avec des corps impeccables et sans défauts. Le film, au préambule, semble ne parler que des relations intimes entre les femmes et les hommes, mais il recèle bien plus de choses, bien plus de mystères.
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« Le génie du réalisateur Stanley Kubrick dévoile un chef-d'œuvre. Ce maître du cinéma, cet artiste exceptionnel, nous présente une véritable œuvre d'art. Il y a beaucoup de choses dans ce film, bien plus qu'un simple divertissement. L'histoire se complique avec le temps, jusqu'à atteindre un chef-d'œuvre absolu. »
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katewalker · 4 months ago
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Bernadette,
Je te désire terriblement comme un éléphant gris qui boit à foison avec ma paille.
Bernadette, sache que tu pourrais potentiellement devenir plus tard la femme, potentiellement, de ma potentielle vie.
Bernadette, j’ai le désir de mettre trois doigts et également ma potentielle bite dans la maison de Patrick Fiori, le célèbre chanteur de variétés.
Oui.
Bernadette, écoute bien ceci...
Bernadette, pense à sortir de chez Patrick, car je t’aime très goulument... coquine ! Mais, hélas, je dois mille cinq cent euros à Patrick bientôt. Je vais te faire potentiellement, si Patrick veut bien accepter…
Cordialement,
Mickaël Vendetta
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christian-dubuis-santini · 3 months ago
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Penser le changement ou changer le pansement : un point sur l’idéologie à l’époque du covidioclimatisme…
«Everything has to change so that nothing changes.» Giuseppe Tomasi di Lampedusa
Pourquoi l’idéologie ? Afin que rien ne change, que sous couvert de "changements", tout reste comme avant, reconduisant le même système d’exploitation, les mêmes catégories d’acteurs pris dans le même piège infernal de la domination et de la soumission.
Comment se manifeste l’idéologie aujourd’hui ?
Au plan le plus basique, l’idéologie te fait croire que:
– les hommes peuvent tomber enceints
– rester chez soi, c’est sauver des vies
– une guenille faciale peut protéger d’un virus respiratoire
– un produit génique expérimental qui n’empêche ni la contamination ni la transmission peut être appelé "vaccin"
– une firme déjà condamnée à plus de dix milliards de dollars d’amendes en vingt ans pour escroqueries et mise en danger de la vie d’autrui est fondée à devenir le partenaire privilégié des gouvernements pour la santé publique
– "croire à la science" est une proposition scientifique
– tout russe sans discernement doit être considéré comme un ennemi potentiel (remplacez "russe" par ce que vous voulez…)
– il y a des "élites" qui gouvernent la France dans l’intérêt des français
– un "réchauffement climatique" d’origine anthropique va provoquer la mort de la planète
– tu peux "sauver la planète"
– … (liste non exhaustive)
Écologisme... climatisme… féminisme... lgbtisme... homosexualisme... collapsologisme... antisexisme... antiracisme... antifascisme... pourtoussisme... communautarisme... progressisme... gauchisme... les -ismes ne contiennent aucun connecteur logique complexe, ce qui les rend inaptes à la dialectique et en fait les contreforts objectifs indéfectibles du capitalisme.
L'efficacité de l'idéologie (discours dominant) repose sur l'industrie du divertissement culturel, dont les médias dits "d'information" constituent la force de frappe la plus massive, imposant un "bruit de fond", qui au contraire de proposer au sujet un repli hors des déterminations de la réalité sociale, a fait de la réalité "sociétale" elle-même une échappatoire à son réel ; le sujet (symbolique) se trouvant dès lors ravalé à son identification imaginaire (l'un des "camps" de l'opinion), tenu éloigné du seul lot de savoir susceptible de lui fournir les clés de son émancipation, l'inconscient dont il est affligé.
L’idéologie libérale de la victimisation réduit la politique à un programme "d'évitement du pire", au renoncement à tout projet positif et à la poursuite de l'option "la moins mauvaise" – nonobstant la lucide remarque d’Arthur Feldmann, un écrivain juif, selon laquelle notre survie se paie généralement au prix de notre vie... Pour paraphraser Hannah Arendt: à force d’être endoctriné à choisir le moindre mal, l’électeur en oublie qu’il a choisi le mal.
L'idéologie n'est pas, comme on le croit souvent, un procédé discursif second et insidieux qui te forcerait à t'identifier à un rôle ou à une fonction sociale déterminée à l’avance pour toi, l'idéologie en tant que telle, c'est l'inverse: le premier discours dans lequel ton sujet est pris, que tu le veuilles ou non, et qui te permet d'avoir une fausse distanciation avec ton véritable rôle social effectif, ce qui te fait croire qu'il y a au-delà (ou en deçà) de toi, indépendamment de ce que tu fais dans ta vraie vie avec les autres, quelque chose "en plus", un mystère insondable qui te rend digne d'être aimé.
L'illustration la plus élémentaire de l'idéologie est probablement celle proposée par Marx, le célèbre "cela, ils ne le savent pas, mais ils le font".
On attribue à l'idéologie une certaine naïveté constitutive: l'idéologie méconnaît ses conditions, ses présuppositions effectives, son concept même implique un écart entre ce qu'on fait effectivement, et la "conscience fausse" qu'on en a.
Le but de l'analyse critique-idéologique est donc de détecter, derrière l'universalité apparente (par exemple le covidoclimatisme aujourd’hui...) la particularité d'un intérêt qui fait ressortir la fausseté de l'universalité en question: l'universel est en vérité pris dans le particulier, déterminé par une constellation historique et subjective concrète…
L’idéologie c’est ce qui fait que, sous couvert de revendications, d’appels aux réformes, aux changements, rien ne change, et tout reste exactement comme avant, le discours dominant, qui pour le psychanalyste s’appelle "discours capitaliste", fonctionnant sur l’illusion de la maîtrise du signifiant par le sujet (alors que le sujet est un effet du signifiant, en tant que "rejet" de la chaîne signifiante…) le mettant dans une alternative d’être soit coupable soit victime, privant ainsi le sujet du signifiant de son authentique responsabilité dans ce qu’il se représente comme un "rapport au monde" et qui en vérité est toujours d’abord un rapport aux mots, un écart entre un énoncé et une énonciation.
"Evil is whatever distracts." (Franz Kafka)
Le capitalisme repose sur le discours dont il s’ordonne: le Discours Capitaliste, le seul "discours" à ne pas faire lien social, inscrit par Lacan "alla lavagna" à Milan en 1974, qui inverse le rapport du sujet au signifiant.
Le capitalisme est une idéologie, un discours (dans son acception lacanienne) dont la structure est profondément religieuse, même si nous (les sujets du capitalisme) n'y croyons pas vraiment, nous en référons "aux chiffres" par exemple, car notre croyance n'a pas besoin d'être exprimée par des mots - elle peut même être déniée ! - elle est toujours déjà intégrée dans notre comportement social.
Nous imaginons que nous ne croyons pas vraiment à l'idéologie, mais nous continuons à agir conformément à l'idéologie, voilà le sens ultime de ce que Marx a appelé "fétichisme de la marchandise".
L'acte libre n'est atteint qu'à partir du moment où le fondement de mes actes sur les mots - et donc sur l'idéologie ! - échoue car ce fondement n'est tout simplement pas à la hauteur de l'abysse annoncé en lui…
«L'analyse a pour but l'avènement d'une parole vraie.» Jacques Lacan (Écrits)
L’homme est par essence le porteur de la parole, s’il l’oublie il est foutu…
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aisakalegacy · 3 months ago
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Été 1928, Hylewood, Canada (1/3)
Chère cousine Noé,
Je t’écris en pleine ferveur olympique nationale, puisque nos athlètes nous ont ramené quatre médailles d’or en athlétisme. Te rends-tu compte qu’il y avait sept femmes dans la délégation olympique du Canada ? Et deux de ces médailles sont liées à cinq d’entre elles ! Cette année est une année spéciale pour les femmes. Je t’avais entretenu de ces femmes qui auraient rendu ma grand-mère jalouse, les Célèbres Cinq d’Alberta. Elles ont eu gain de cause. Grâce à elles, les femmes sont officiellement reconnues comme des personnes et donc ont le droit de siéger au Sénat. Du ciel, ma grand-mère doit être réjouie. Mon père m’a dit qu’elle rêvait de devenir sénatrice. Si elle était encore en vie, il ne fait aucun doute qu’elle aurait immédiatement commencé à faire campagne, quand bien même elle aurait eu quatre-vingt dix ans.
À ce propos, comment se porte Eugénie ? Elle avait l’air fatiguée lors de ta dernière lettre, et vu son âge… J’espère qu’elle continue de houspiller tout le monde, généralement, c’est un signe de santé.
Si mes calculs sont bons, tes filles doivent approcher les deux ans. Ont-elles commencé à parler ? La situation était si dramatique il y a deux ans, il me parait fou de me dire que tout s’est arrangé.
Lassé d’être harcelé par ma sœur, Agathon a commencé à travailler en jouant dans des cafés, des bars, ou en accompagnant des cours de danse ou des répétitions théâtrales à Kingston. C’est-à-dire que tous les matins, nous faisons le trajet en automobile ensemble ! C’est beaucoup moins ennuyeux qu’avant. Je le dépose en ville, et il vaque à ses occupations, et je le récupère le soir au port lorsqu’il ne joue pas, et nous repartons. Nous nous retrouvons parfois pour déjeuner, et il nous arrive de nous partager la location d’une chambre d’hôtel pour passer la nuit à Kingston, quand je vais le voir jouer et que nous n’avons pas le cœur à rentrer. Il ne se fait pas beaucoup d’argent, mais il en ramène quand même un peu, et cela suffit à calmer Marie.
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transparentgentlemenmarker · 9 months ago
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Né le 8 juillet 1831 à Knoxville, en Géorgie, John Stith Pemberton est entré dans l'histoire en tant qu'inventeur de l'une des boissons les plus populaires au monde : le Coca-Cola. Décédé le 16 août 1888 à Atlanta, sa vie fut marquée par l'innovation et la transformation d'une simple idée en un phénomène global.
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John Pemberton, issu d'une famille modeste avec son père James Clifford Pemberton et sa mère Martha L. Gant, a montré très tôt un intérêt pour la chimie et la médecine. Après avoir terminé ses études au Wesleyan College, il a choisi de poursuivre une carrière en pharmacie, une décision qui allait s'avérer révolutionnaire. En 1853, il épousa Ann Eliza Clifford Lewis. Le couple eut un fils, Charles Ney Pemberton, qui fut plus tard impliqué dans les affaires de son père. La vie familiale de Pemberton, bien qu'importante pour lui, était souvent éclipsée par ses expériences et découvertes en pharmacie. Avant de créer sa recette mondialement célèbre, Pemberton avait déjà fait preuve d'innovation dans le domaine pharmaceutique. En effet, il fut un des premiers à formuler ce qu'on appelle des "sodas médicinaux", des boissons conçues pour soulager divers maux en utilisant des extraits de plantes. L'histoire de Coca-Cola commence réellement dans les années 1880, lorsque Pemberton cherchait à créer un remède contre les maux de tête et la fatigue. Le contexte était celui d'une Amérique en pleine transformation, où l'urbanisation et le changement de mode de vie créaient de nouveaux besoins chez les citoyens. La première version de ce qui deviendra le Coca-Cola était initialement une boisson alcoolisée à base de vin de coca, connue sous le nom de "French Wine Coca". Toutefois, avec l'introduction des lois de prohibition à Atlanta en 1886, Pemberton a été contraint de reformuler sa boisson pour en retirer l'alcool, remplaçant le vin par un sirop sucré mélangé à de l'extrait de feuille de coca et à de la noix de kola, d'où le nom Coca-Cola. Le nouveau breuvage fut d'abord vendu en pharmacie comme un remède exotique pour divers maux, mais son goût unique et rafraîchissant en fit rapidement une boisson appréciée à sa propre valeur. Pemberton n'avait pas les moyens de commercialiser massivement son invention, mais il a vu le potentiel de son produit. Il s'est associé avec des hommes d'affaires locaux et a commencé à vendre le sirop aux pharmacies de la région, où il était mélangé à de l'eau gazeuse et servi au comptoir. Malheureusement, Pemberton ne verra pas le succès mondial de son invention. Affaibli par des années de dépendance à la morphine, une conséquence de blessures subies pendant la guerre de Sécession, il vendit les parts restantes de son entreprise à Asa Candler, un entrepreneur local. Candler fut celui qui transforma Coca-Cola en un géant mondial de l'industrie des boissons, utilisant des techniques de marketing innovantes pour rendre la marque synonyme de rafraîchissement et de plaisir. Il mourut en 1888, laissant derrière lui une boisson qui deviendrait un symbole de la culture américaine et un produit consommé par des millions de personnes dans le monde. Sa vie et son œuvre restent un témoignage de l'ingéniosité et de l'entrepreneuriat, démontrant comment une simple idée peut évoluer pour devenir une partie intégrante de la vie quotidienne globale.
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maitre-gotta · 2 months ago
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Rituel pour devenir riche, plus grand marabout sénégal
Rituel pour devenir riche rapidement Cherchez vous un rituel pour devenir riche rapidement, des moyens pour devenir célèbres rapidement. La bonne nouvelle est qu’il existe de puissants rituels qui peuvent vous aider à atteindre ces objectifs. Un puissant rituel pour devenir riche rapidement grâce à un portefeuille magique, alors voulez-vous devenir riche d’un jour à l’autre et finir avec la…
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underthe-shadows · 10 months ago
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UNDER THE SHADOWS. (projet rpg médiéval fantasy)
tw : mention de conflits politiques, mention de guerre, mention de morts, séparation des classes.
Un Conclave pour tous les unir, voilà ce qu’ils s’étaient tous répétés lorsqu’ils avaient accosté sur l’île d’Halamshiral, au cœur même des terres religieuses. Voilà ce que la Divine souhaitait leur offrir, une chance de s’unir, de mettre fin aux terribles maux qui affligent les cours des Seelies, des Unseelies et des Humains. Elle avait fait venir les membres les plus éminents du Monde Connu. Et malgré la neutralité apparente de l'île d’Halamshiral, l’atmosphère était tendue. Le conclave devait se tenir en huis clos, pour une durée d’une semaine.
Il n’aura duré que deux jours.
Personne ne sait vraiment ce qu’il s’est produit, mais le monde s’est mis à trembler, comme mille ans auparavant. La tour divine a explosé, ravagée par les fruits d’une magie infernale, d’une science immorale ou de l’intervention d’une divinité funeste. Personne n’en sait réellement la cause. Ce qui est sûr cependant, c’est qu’une brèche s’est ouverte, détruisant tous celles et ceux qui se trouvaient à proximité. Des horreurs sans noms sont sorties des décombres. Plus terribles encore que les monstres qui peuplaient déjà les différentes contrées du Monde Connu, des démons. Aujourd’hui, les esprits s’échauffent, perdus entre la terreur et le désir de combattre l’apocalypse imminente. Mais les hostilités entre chaque nation règnent et l’union ne semble plus à l’ordre du jour.
Dans les contrées Unseelies de l’Empire de Vesperia le tonnerre gronde, alors qu'on célèbre les funérailles de l'Empereur Rajesh, décédé lors du Conclave. Si sa mort bouleverse les Fay Unseelies, les Humains eux, y voient l'occasion de se défaire possiblement de l'emprise de leurs bourreaux. Des vents de révolte se lèvent aux quatre coins des différentes régions de l'empire, tandis qu'au loin, des brèches vomissant des monstres s'ouvrent un peu partout à l'Est.
Mais le fer résonne au sein des Terres Libres, le dernier territoire de Vesperia non sujet à l'autorité impériale. Les démons accourent sur le territoire, sévissent dans certains villages et cités libres. Ils courroucent les mers et engendrent de sombres nuits chaotiques. La Garde de l'Aube se bat corps et âme contre ces monstruosités venus d'âges oubliés, tandis que les humains se découvrent peu à peu changés par les effets des brèches. Les éclats d'une guerre tonnent cependant à la frontière avec Vesperia, tandis qu'on murmure qu'une rébellion contre les Fay Unseelies se prépare. Certains se demandent s'ils doivent venir en aide à ceux restés aux mains des bourreaux, ou s'ils doivent continuer à détourner le regard.
Au cœur même du royaume de Mythralis, la cour des Seelies referme ses portes qu’elle avait jadis laissées ouvertes aux humains. Par méfiance ou par besoin de se retrouver, les récents évènements les ont poussés à se renfermer sur eux-mêmes afin de trouver un moyen de se protéger des brèches, mais également des changements soudains qui semblent doter les humains d'une énergie nouvelle. Seul royaume qui n’est pas encore touché par les brèches, Mythralis cherche à devenir une forteresse imprenable, un endroit où les ombres n’ont pas leur place.
— LES INFORMATIONS les inspirations — Les inspirations sont diverses et variées, et proviennent de plusieurs univers de fantasy, de folklore et de jeux de rôles. On retrouve par exemple des inspirations tirés de la saga The Witcher, des jeux vidéos Dragon Age, du folklore féérique et des cours Seelies et Unseelies, ainsi que de l’univers de Game of Thrones.
les espèces jouables — Vous aurez le choix entre trois espèces pour vos personnages. Les Fay (appartenant soit à la Cour Seelie, soit Unseelie), les Humains et les Demi-Fay. Ces trois espèces possèdent toutes leur propres particularités, que ce soit dans leur pouvoirs, leurs capacités ou leur culture.
la magie — La magie est inhérente au Monde Connu et certains êtres qui peuplent ses terres en sont pourvus. Il existe plusieurs types de magie, allant de la plus commune magie élémentaire à des magies plus sombres comme la magie nécrotique. Selon l'espèce de votre personnage, il vous sera possible de choisir entre six types de magie. Ces types de magie se déclineront sous la forme d'arbres de compétences, permettant ainsi à chacun de pouvoir personnaliser un peu plus votre personnage.
les intrigues — Le forum aura une intrigue globale (actuellement, il s’agit des brèches) qui avancera au fur et à mesure. Il s’agit donc d’une intrigue qui concerne tout le monde et qui aura des répercussions globales. Le monde connu est cependant vaste et possède de nombreux territoires. Pour cette raison, chaque nation possède également ses propres subplots, qui avanceront selon les plots mis en place par le staff mais également ceux créés de toute pièce par les membres.
recherche de staff — Nous sommes actuellement deux sur le projet, (stēllāris et @iratze-mia) mais nous voudrions agrandir l'équipe pour permettre au projet de prospérer et d'avancer plus rapidement. Si toutes ces informations vous plaisent et que vous avez envie de nous rejoindre dans l'aventure, n'hésitez pas à envoyer un message sur ce compte.
Si le projet vous intéresse, n'hésitez pas à vous abonner à ce blog pour être tenu au courant de l'avancement et des nouveautés !
crédits des icons : lunarghost.
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o-link · 6 months ago
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La véritable histoire de d'Artagnan | ARTE
La véritable histoire de Charles de Batz de Castelmore, dit d’Artagnan, qui a inspiré l’intrépide mousquetaire de Dumas. De la légende littéraire au personnage historique, l’amateur de cape et d’épée ne perd pas au change…
C’est le Gascon le plus célèbre au monde. Depuis la parution en 1844 des Trois mousquetaires, d’Artagnan a acquis une renommée inégalable, grâce à la traduction du livre d’Alexandre Dumas en une centaine de langues et à ses dizaines d’adaptations à l’écran. De Douglas Fairbanks à Gene Kelly en passant par Belmondo ou Jean Marais, le compagnon d’Athos, Porthos et Aramis fait partie des héros les plus incarnés au cinéma. Personnage de légende, d’Artagnan n’est pourtant pas une fiction. Né aux alentours de 1615, Charles de Batz de Castelmore, dit d’Artagnan, connut même une existence aussi fascinante que celle de son double littéraire : plongé au cœur des complots de la Fronde, qui menaçaient la royauté, le capitaine-lieutenant devint l'agent secret du cardinal Mazarin, puis l'homme de confiance de Louis XIV, pour lequel il arrêta Fouquet et combattit à travers toute l'Europe.
C’est l’histoire d’une double métamorphose que raconte cette enquête historique aux allures de jeu de piste : celle, à rebours, d’un personnage littéraire devenant sous nos yeux un homme réel au cœur de l’histoire ; celle, aussi, d’un jeune provincial qui connaît une ascension prodigieuse pour devenir l’un des favoris du Roi-Soleil. Entre les faits romancés par le génie de Dumas, puis décuplés par le septième art, et les grandes lignes d’une vie hors du commun, la légende de d’Artagnan s’enrichit d’une densité imprévue. Un héros pour tous, tous pour… la vérité historique !
Documentaire d'Augustin Viatte (France, 2020, 1h31mn)
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francepittoresque · 2 months ago
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11 novembre 1688 : mort de l’agronome Jean-Baptiste de La Quintinie ➽ http://bit.ly/Jean-Baptiste-Quintinie Embrassant dans un premier temps une carrière d’avocat le laissant indifférent, il s’éprend fortuitement d’horticulture et d’agronomie pour devenir le premier et le plus grand des écrivains didactiques dans l’art de cultiver les jardins, et s’illustrer notamment comme créateur du célèbre "Potager du roi", achevé en 1683 après des travaux d’ampleur visant à transformer ce terrain à l’origine marécageux en espace fertile
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nvminnd · 1 year ago
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Ok j'ai une théorie
L'autre fois je me faisais la reflexion que la relation Arthur & Perceval était l'exacte opposée de celle de Loth & Galessin. Loth & Galessin sont un peu les "jumeaux diaboliques" de Arthur & Perceval
Arthur et Galessin sont tous les deux des personnages assez blasés, qui utilisent le sarcasme comme mécanisme de défense, sont souvent de sale humeur et qui ont été habitués à obéir sans trop reflechir (Arthur de part son enfance à Rome). Mais Arthur, lui, a su aller au delà de son caractère parfois solitaire et renfrogné, pour prendre sa vie en main et essayer de tirer le meilleur de sa situation, pour lui comme pour son entourage. Galessin est ce qu'Arthur aurait pu être s'il était resté à Rome par exemple, sans jamais devenir roi.
Loth & Perceval sont tous les deux assez bavards, avec leur propre logique, un langage pas toujours très sensé et ont tendance à vouloir cacher leurs lacunes derrière des techniques un peu bancales. Mais là où Perceval veut se sortir de son ignorence (en se rapprochant d'Arthur, en posant des questions etc.) Loth, lui, ne semble pas vouloir évoluer. Il ne veut rien apprendre des autres ("j'ai pas envie de participer !"). Quand il raconte n'importe quoi, il le fait sous couverture d'une belle assurance pour se présenter comme un savant et manipuler son monde. Perceval, même s'il est tenté de faire de même (nottament avec la célèbre botte secrète) finit par vouloir au contraire apprendre à mieux s'exprimer et enrichir son vocabulaire.
Arthur & Perceval et Loth & Galessin ont quelque part les même lacunes et les mêmes démons. Mais là où le premier duo s'entraide pour s'élever vers le haut, le deuxième au contraire, par le manque de volonté des deux partis de vouloir s'améliorer, stagne et s'enracine dans une dynamique toxique.
En gros, Loth & Galessin sont ce que Arthur & Perceval auraient pu être s'ils avaient succombé à leurs défauts profonds et refusé à un moment d'évoluer.
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ask-the-becile-boys-vf · 2 months ago
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Compilation de réponses écrites au sujet de l'univers de Steam Powered Giraffe
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Hare : Ass-où-quoi ??
The Skull : Mauvais Becile. C'est là que Ignatius a fini.
Hare : … Ignatius ? Bon sang, je n'ai pas pensé à lui depuis des lustres. Où as-tu entendu ça ?
The Skull : Becile Industries. J'ai obtenu un travail chez eux et ai entendu par hasard des… rumeurs. Des soupçons sur son travail, sur ce qui lui est arrivé. Je suppose qu'il a pété les plombs.
Hare : Hein ! Il était vraiment spécial. Je n'ai jamais aimé la façon dont il me regardait, comme s'il me désassembler du regard. J'ai toujours pensé qu'il aller devenir un ermite fou.
Hare : … Je suppose qu'il a suivi les traces de Pa' après tout.
The Skull : …
Hare : …
Hare : Eh bien, voilà ta réponse. Nous n'avons aucune idée de ce à quoi ressemble Ass-land ou quoi que ce soit. Bonne chance avec ça.
Note du traducteur: Ass signifie cul en anglais.
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Hare : Je n'ai jamais rencontré ce type. Ce qui le place au-dessus du reste de la famille.
The Skull : J'ai travaillé pour sa société, mais c'est tout. Il semble intelligent. Et il est un beau parleur. C'est assez pour être dangereux. Franchement, je suis satisfait de le garder à distance.
Hare : Hé, ouais…
Hare : …
Hare : Dis, euh…
Hare : Est-ce que… est-ce qu'on sait exactement quel est son lien de parenté avec Pa' ?
The Skull : … Euh.
Hare : Je veux dire, ça doit être par Norman, non ? C'est le dernier que nous ayons vraiment connu.
The Skull : Je… ne sais pas.
Hare : Mais bon, hé. Il aurait pu voler le nom, devenir célèbre rapidement grâce à la mauvaise réputation.
The Skull : …
The Skull : Je dois y aller.
The Skull : Je vais faire un peu de... « Recherches. »
Hare : Oups ! Que quelqu’un dise à Buster qu’il est sur une liste noire ! Hahaha !
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Hare : Ha ! Qu'est-ce que je ferais dans le Wisconsin ? Traire des vaches ? C'est ça, oui. Ce n'est pas comme si quelqu'un me conduirait là-bas non plus. Je n'ai pas le fric, je n'ai pas le temps. C'est pourquoi je n'y suis jamais allé. Je ne suis jamais euh... allé en dehors de la ville. *tousse*
The Skull : Je suis allé à Santa Ana une fois, avec Maître Becile.
Hare : Ah ouais ? Comment c'était ?
The Skull : … C'était une ville.
Hare : … C'est vraiment tout ce que tu vas me dire.
The Skull : Ce n'est pas comme s'il s'intéressait aux visites touristiques.
Locksmith : Quelles vies terriblement déprivées de tout que vous menez ! Ne jamais être témoin des sources culturelles qui parsèment notre continent, et encore moins notre globe. Admirer les paysages et les odeurs des montagnes et des déserts, contempler l'art immuable des maîtres artisans, savourer un spectacle en direct, sachant qu'il ne pourra jamais être reproduit. Comme je désire ardemment cette liberté de voyager ; Le Caire est splendide à cette époque de l'année.
The Skull : Et comment diable le saurais-TU ?
Locksmith : ...
Locksmith : National Geographic.
Note du traducteur : National Geographic est une chaîne culturelle qui parle d'histoire et de géographie populaire dans les pays anglo-saxons.
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Hare : Oh, tu veux dire Papa. Papa le merveilleux. Papa le génie. Monsieur Grand Maître-Des Robots. Monsieur A-Fait-Un-Million-De-Choses. Monsieur Peut-Pas-Trouver-Une-Autre-Petite-Amie. Le gars qui a fait jeter mon Pa' en prison. Le gars qui a ruiné sa réputation et l’a rendu fou. Le gars qui a « gagné ! » Le gars qui a pu vivre heureux pour toujours, riche et célèbre !
Hare : Colonel Peter A.-putain-Walter, le putain de Premier !
Hare : Le gars qui a construit Rabbit.
Hare : NIQUE CE TYPE.
The Skull : Dieu. Tu as tout fait sortir de ton système ?
Hare : TAIS-TOI.
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Hare : Le son que fera Rabbit quand je la jetterai enfin dans les égouts. Suivant.
The Skull : Je n’écoute pas leurs conneries.
Lockslith : De la même manière, je m’abstiens de m’adonner au style rudimentaire des Walters. Une fois a suffit pour trouver que l’orchestration faisait défaut.
Dee : Non.
The Jack : Ju Ju Magic.
Hare :
The Skull :
Locksmith :
Dee :
The Jack : HAHAHAHAHA !
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fashionbooksmilano · 2 years ago
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Jane Birkin 
par Gabrielle Crawford
Flammarion, Paris 2004, 192 pages, 25 x 32 cm, Relié sous jaquette, ISBN  978-2080113221
euro 50,00
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Jane et Gabrielle se sont connues en 1965, trois ans avant que Gabrielle Crawford - qui a depuis immortalisé maints événements et personnages célèbres, des Beatles à Diana Rose en passant par Margaret Thatcher - ne devienne photographe. Mais dans ce livre, elle nous offre ce dont personne d'autre ne pouvait témoigner : quarante années d'une forte amitié qui font d'elle et de Jane Birkin deux sœurs d'âme. C'est pourquoi le regard, qu'elle porte sur la star est infiniment plus riche que celui - aussi, pertinent et talentueux soit-il - d'un simple photographe. Au fil des images inédites et intimes, des mots simples et sincères de Gabrielle, se dévoilent en filigrane les couleurs de la vie de Jane et les innombrables facettes de sa personnalité. Autant d'indices qui éclairent sous un, nouveau jour la vie et l'œuvre de cette femme sur le point de devenir une légende nommée Birkin.
14/05/23
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christian-dubuis-santini · 2 days ago
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LA LANGUE DU VAINQUEUR
Chaque jour, c'était de nouveau pour moi un coup au visage, pire que le tutoiement et les insultes de la Gestapo, jamais mes protestations ni mes remontrances n'y ont rien fait, jamais je n'y ai été insensible, jamais, parmi tous mes caractères «La Bruyère», je n'en ai trouvé ne serait-ce qu'un seul qui eût évité cet opprobre.
Tu étais pourtant vraiment allée à l'école de la pensée et tu étais une brave germaniste passionnément intéressée, pauvre Elsa Glauber, une véritable assistante pour ton professeur et l’auxiliaire, la conseillère de ses étudiants de séminaire; et lorsque, ensuite, tu te marias et eus des enfants, tu demeuras philologue, épuratrice du langage et professeur - presque un peu trop, derrière ton dos de mauvaises langues te nommaient «Herr Geheimrat».
Et comme tu m'as aidé longtemps avec ta belle bibliothèque de classiques' que tu avais préservée de manière si comique! Les Juifs -pour autant qu'on leur laissât des livres- n'avaient le droit de posséder que des livres juifs, et «Frau Geheimrat» tenait à ses classiques allemands réunis dans les plus belles éditions. Depuis une dizaine d'années, elle avait quitté l'enceinte de l'université et était l'épouse d'un commerçant très cultivé à qui la Gestapo venait d'attribuer la douloureuse charge de président de la communauté juive, et donc de médiateur responsable, désemparé et martyrisé des deux côtés, pris entre les bourreaux et leurs victimes. Maintenant, les enfants d'Elsa commençaient déjà, sous sa direction, à lire dans ces livres précieusement conservés. Comment avait-elle sauvé ce trésor des mains de la Gestapo toujours en train de fureter ? De façon très simple et très morale ! Par une scrupuleuse honnêteté. Si l'éditeur d'un volume s'appelait Richard M. Meyer, Elsa Glauber levait le voile du M. et remplaçait l'imtiale par le prénom Moïse; ou bien elle attirait l'attention sur la judéité du germaniste Pniower; ou encore elle enseignait que le véritable nom du célèbre Gundolf était le nom juif Gundelfinger. Il y a, parmi les germanistes, tant de nonAryens que, sous la protection de ces éditeurs, les œuvres de Goethe et de Schiller ainsi que beaucoup d'autres se sont métamorphosées en «livres juifs».
La bibliothèque d'Elsa avait également conservé son ordre et son étendue, car la vaste villa du président avait été déclarée maison de Juifs, et, ainsi, la famille avait certes dû se limiter à un petit nombre de pièces, mais vivait tout de même dans ses murs. Des classiques juifs, j'ai pu faire un usage abondant, et il était réconfortant de pouvoir parler métier sérieusement avec Elsa.
Mais nous parlions aussi, naturellement, de notre situation désespérée. Je ne saurais vraiment pas dire si Elsa était meifieure Juive ou meilleures patriote allemande.
Ces deux manières de penser et de sentir s'intensifiaient sous la pression des événements. Une expression pathétique affleurait, même dans les conversations quotidiennes terre à terre. Elsa racontait souvent combien elle veillait à ce que ses enfants soient élevés dans la foi juive orthodoxe mais à ce qu'en même temps, malgré l'opprobre du moment, ils respirent la foi dans l'Allemagne répandue autour d'eux - elle ne disait jamais autrement que «dans l'Allemagne éternelle».
«Ils doivent apprendre à penser comme moi, ils doivent lire Goethe comme la Bible, ils doivent être des Allemands fanatiques !»
Il était là, le coup au visage.«Que doivent-ils devenir, madame Elsa?
- Des Allemands fanatiques, tout comme moi. Seule la germanité fanatique peut laver notre patrie de la nongermanité actuelle.
- Eh bien, ne savez-vous donc pas ce que vous êtes en train de dire? Ne savez-vous pas que "fanatique" et "allemand", je veux dire votre allemand, sont des mots qui jurent entre eux, que, que..» Je lui renvoyai, avec une certaine irritation, de manière lacunaire et désordonnée naturellement, mais d'autant plus violemment, tout ce que j'ai noté dans mon chapitre sur le mot «fanatique». Et, pour finir, je lui dis: «Ne savez-vous pas que vous parlez la langue de votre ennemi mortel, et qu’ainsi vous vous avouez vaincue, et qu'ainsi vous vous livrez, et qu'ainsi vous commettez une trahison envers votre germanité justement? Si vous ne le savez pas, vous qui êtes une femme lettrée, vous qui défendez l'Allemagne éternelle, l'Allemagne immaculée -, qui donc le sentira et l'évitera? Que nous, dans notre penible isolement, nous soyons obligés de développer une langue spéciale, que nous soyons obligés d'employer les désignations administratives du lexique nazi qui nous concernent, que, çà et là, une extension du yiddish [Jargon] devienne sensible à travers des hébraïsmes, tout cela est naturel. Mais cette inféodation à la langue du vainqueur, de ce vainqueur-là !
Elsa était toute secouée par ma sortie, elle perdit complètement sa supériorité de Geheimrat, elle avoua, elle promit de s'amender. Et lorsque, la fois suivante, elle insista de nouveau sur l'«amour fanatique» qu'elle portait cette fois à Iphigénie, elle corrigea aussitôt pour m'apaiser: «Ah, c'est vrai, je ne dois pas dire cela; j'en ai seulement pris l'habitude depuis le retournement [Umbruch]»
- Depuis le retournement?
- Cela aussi vous le réprouvez? Mais, là, vous avez sûrement tort. Un si beau mot poétique, il sent littéralement la terre fraîchement retournée, il n'a certainement pas été inventé par les hitlériens, il provient sûrement du cercle de Stefan George.
- Assurément, mais les nazis l'ont emprunté parce qu'il va si bien avec le sang et le sol, avec la glorification du terroir, de l'attachement au sol, ils l'ont tellement infecté de leurs mains contaminées que pendant les cinquante années à venir aucun homme convenable...»
Elle m'interrompit, passa à la contre-attaque : j'étais un euriste, un pédant, un intransigeant, un-«ne m'en veuillez pas trop, un fanatique.
Pauvre Elsa Glauber- d'elle et de sa famille on n'a plus eu aucune nouvelle ; «ils ont été emmenés de Theresienstadt»,c'est la dernière chose qu'on a su. Et voilà que, maintenant, alors que je voudrais me souvenir d'elle sous un nom qui ne soit pas flétri, parce que, malgré son penchant à l'esthétisme et ses allures de Geheimrat, c'était une personnalité pour laquelle on pouvait avoir du respect et dont la vaillante intellectualité m'a beaucoup apporté, voilà que cette oraison funèbre se transforme en accusation.
Mais cette accusation contre l'une, la philologue, décharge un peu tous les autres, tous ceux qui, en ayant moins réfléchi aux choses linguistiques qu'elle ne l'avait fait, ont succombé au même péché. Car tous y ont succombé, et le nom de chaque individu est gravé, avec un vocable qui lui est propre, dans le livre de comptes de mon souvenir.
Il y avait le jeune K., un commerçant absolument pas littéraire, mais pris tout entier dans sa germanité, baptisé au berceau et tout naturellement protestant, n'ayant aucun attachement à la religion juive, ni la moindre compréhension, sans parler de bienveillance, pour les aspirations sionistes - mais il emprunta l'expression le «peuple des Juifs» et l'employa à maintes reprises, exactement comme l'hitlérisme l'employait, comme s'il y avait un tel peuple, aujourd'hui, à l'instar d'un peuple d'Allemands, de Français, etc., et comme si le «judaïsme mondial» - cette formule douteuse des nazis, il la reprenait elle aussi à son compte - formait sciemment et délibérément cette unité nationale.
Et il y avait l'antagoniste parfait de K., tant au point de vue physique que psychique: S., né en Russie, Mongol d'après son faciès, ennemi implacable de l'Allemagne, de tous les Allemands, puisqu'il voyait dans tous les Allemands des nationaux-socialistes convaincus, et nationaliste sioniste de la tendance la plus dure - et lorsqu'il défendait les droits de ce nationalisme juif, il parlait alors de ses «intérêts racistes» [volkischen Jelangen].
Le dentiste, non: le «soigneur de dents» F., quant à lui, un homme prodigieusement disert face à ses patients sans défense - car que peut-on riposter quand on a la bouche grande ouverte ? -, ennemi tout aussi mortel que S. de tous les Allemands et de tout ce qui est allemand sans exception, mais sans le moindre lien avec le sionisme ni avec le judaïsme en général, obéissait entièrement à une anglophilie insensée qui remontait à un séjour en Angleterre dans d'heureuses conditions.
Chaque instrument, chaque vêtement, chaque livre, chaque opinion devait venir d' Angleterre, sinon ils n'étaient absolument pas bons, et s'ils venaient d'Allemagne, même de l'ancienne Allemagne, ils étaient rejetés catégoriquement. Car les Allemands étaient tout bonnement «caractériellement inférieurs». Qu'avec ce mot qu'il aimait tant : «caractériel», il contribuât à la propagation d'un néologisme des nazis, il n'en avait aucune conscience (comme maintenant non plus les partisans de l'époque nouvelle ne semblent pas en avoir pris davantage conscience). La pédagogie nazie faisait tout dépendre si exclusivement des convictions, du nazisme non frelaté de ses disciples, qu'en toutes choses les principes primaient de manière décisive sur toute quahfication et tout savoir-faire, sur toutes connaissances. C'est par la langue scolaire, par le besoin de certificats d'examen de fait d'études que je m'explique l'extension de ce nouvel adjectif; la mention «caractériellement bon», signifiait donc: irréprochablement nazi, et ouvrait à elle seule la porte de toutes les carrières.
La répulsion la plus forte, et exprimée avec la plus grande volubilité, notre «soigneur de dents» l'éprouvait pour notre «soigneur de malades». La grande époque de ce dernier était la Première Guerre mondiale à laquelle il avait participé en tant que médecin-major. Il se mouyait parfaitement dans la langue des officiers de 1914 et l'enrichissait, inconsciemment, de chaque tournure que Goebbels mettait en circulation. De combien de «goulets d'étranglement» est-il venu à bout, combien de «crises» a-t-il «surmontées» !
C'est pour de tout autres motifs et d'une tout autre façon qu’un collègue de notre médecin de Juifs se servait de la LTI. Avant 1933, le docteur P. s'était senti tout à fait Allemand et médecin, et il n'avait jamais gaspillé son temps avec des problèmes de religion et de race, il avait pris le nazisme pour un égarement ou un délire qui passeraient sans provoquer de catastrophe. À présent, il était tout à fait exclu de sa profession, contraint de faire un travail d'usine et délégué d'un groupe auquel j'avais moi-même appartenu pendant assez longtemps.
Ici, son aigreur se manifestait d'une façon singulière. Il faisait siens tous les propos antisémites des nazis, spécialement ceux de Hitler, et se mouvait continuellement et de telle façon dans cette manière de s'exprimer qu'il ne pouvait probablement plus juger lui-même dans quelle mesure il se raillait du Führer, dans quelle mesure il se raillait de lui-même et dans quelle mesure ce langage d'humiliation volontaire était devenu sa seconde nature.
Ainsi, il avait l'habitude de ne jamais adresser la parole à un homme de son «groupe de Juifs» sans faire précéder son nom de la mention «Juif». «Juif Lowenstein, aujourd'hui tu dois faire marcher la petite coupeuse.» - «Juif Mahn, voilà ton certificat de maladie pour le Juif des dents» (ce par quoi il voulait désigner notre dentiste). Les membres du groupe acceptèrent ce ton d'abord en plaisantant puis par habitude.
(Victor Klemperer - LTI, La langue du IIIe Reich)
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